

98 - Vous êtes bien chez Sophie (6/6)
Le répondeur tire sa révérence
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 6Sophie a quitté la radio pour travailler auprès d’un réalisateur de documentaires de télévision, Daniel Karlin. Elle vit désormais en couple. Autour d’elle, on ne parle que d’achat immobilier et de bébés. Saura-t-elle y résister ? Peut-on recoller les morceaux épars de sa vie, tous ces petits échos de répondeur qui sont autant de fragments contradictoires de son identité et de ses rêves ? Après le dernier bip s’achève son voyage initiatique, sonore et amoureux.
Enregistrements : 1989-1994, 2022 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio


99 - Vous êtes bien chez Sophie (5/6)
Un répondeur gonflé aux hormones
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 5En 1996, Sophie vit une nouvelle aventure radiophonique, celle de la création du Mouv’, la future "radio jeune" de Radio France. Un projet fou pour lequel on réunit 15 jeunes professionnels de la radio. 15 jeunes enfermés dans un studio jour et nuit, tous en pleine forme et en pleine montée d’hormones. Une aventure dans laquelle, comme toujours, vont venir s’entremêler amour du son et liaisons dangereuses, et obliger Sophie à se poser la seule question qui vaille : est-il possible de rester rock’n’roll ad vitam ?
Enregistrements : 1989-1994, 2022 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio


100 - Vous êtes bien chez Sophie (4/6)
Histoires d'amour et de radio sur le répondeur
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 4En 1994, Sophie profite de son stage à RFI à la Maison de la Radio pour aller toquer à la porte de son idole, Daniel Mermet, responsable de « Là-bas si j’y suis ». Pendant deux ans, elle travaille d’arrache-pied pour réponde à l’exigence hautement radiophonique de cette émission mythique. Elle trouve du réconfort auprès d’amoureux qu’elle rencontre, évidemment, dans les couloirs de la maison ronde. Mais en amour comme au boulot, il n’est pas facile de rester fidèle à ses idées…
Enregistrements : 1989-1994, 2022 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio


96 - Mon ARTE (5/5)
2016-2022, la reconnaissance
Des audiences en forte progression, des récompenses à foison, une pandémie qui bloque tout le monde à la maison…Dans ce 5e et dernier épisode, il sera question de pause déjeuner, de baby-foot et de lingettes désinfectantes. On parlera aussi cinéma, psychanalyse, TikTok et multilingue.
Avec la participation de Paul Laurent, Audrey Kamga, Karen Michael, Guillaume Thomas, Caroline Oltz, Arnaud Forest, Sara Monimart, Adrienne Frejacques, Claire Doutriaux, Stéphanie Poncelet et Annette Gerlach.
Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE.
Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France
- Samuel Hirsch


97 - Mon ARTE (4/5)
2011-2015, à la conquête de l'Europe
2011, changement d’ère à ARTE : Jérôme Clément quitte la présidence. Véronique Cayla prend les rênes de la chaîne, développant notamment la fiction et les séries européennes. Dans ce 4e épisode, il sera aussi question de réunion Teams, de sang de chèvre et de jeu vidéo.
Avec la participation de Stéphanie Poncelet, Karen Michael, Arno Forest, Audrey Kamga, Adrienne Frejacques, Paul Laurent et Rudy Chambard.
Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE.
Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France
- Samuel Hirsch


98 - Mon ARTE (3/5)
2000-2010, à la conquête de l'Internet
À l’aube du nouveau millénaire, fidèle à son esprit pionnier, ARTE se lance avec envie dans l’Internet. Web-radio, web-docu… Dans ce troisième épisode, on vous raconte la conquête de la Toile par ARTE, mais aussi les messages plus ou moins farfelus postés sur la “Diff générale”, une messagerie interne qui permettait d'écrire un message qui s’affiche en pop-up sur les écrans de tous les salariés.
Avec la participation de Sylvie Smets, Audrey Kamga, Elena Zenone, Silvain Gire, Mehdi Ahoudig, Samuel Hirsch, Richard Gaitet, Chloé Assous-Plunian et Hélène Vayssières.
Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE.
Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France
- Samuel Hirsch


99 - Mon ARTE (2/5)
1992-2000, des débuts difficiles
Une soirée de lancement un peu ratée, un directeur des programmes inspiré, une entente franco-allemande pas toujours facile à trouver… Ce second épisode revient sur la création de la chaîne ARTE et ses premières années d’existence. Bienvenue dans les nineties, à la glorieuse époque du fax et des disquettes informatiques.
Avec la participation d’Annette Gerlach, Karen Michael, Silvain Gire, Caroline Oltz, Elisabetta Zampa, François Pieretti.
Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE.
Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France
- Samuel Hirsch


100 - Mon ARTE (1/5)
1989-1992, aux origines d'ARTE, La Sept
Aux origines d’ARTE, il y eut la SEPT, Société d'Édition de Programmes de Télévision à vocation culturelle et européenne. Ce premier épisode raconte la préhistoire de la chaîne, faite d’orages solaires et de satellites qui se détraquent, d’émissions emblématiques et d’habillages loufoques. On va vous parler d'un temps que les moins de 30 ans peuvent ne pas connaître, l'époque des K7 Betacam et des VHS PAL SECAM.
Avec la participation de Franck Evin, Elisabetta Zampa, Eglantine Dupuy, Claire Doutriaux, Elena Zenone.
Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE.
Enregistrement : mai-juin 22 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France
- Samuel Hirsch


707 - Enlèvement à l'italienne (7/7) : Nous nous sommes tant aimés
Il faut savoir se retirer à temps
Daniel Nieto est activement recherché. Les enquêteurs ont identifié le Marseillais en cavale. Dans un geste désespéré, il donne un dernier rendez-vous à Giovanna Amati, le 24 mai 1978...Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


708 - Enlèvement à l'italienne (6/7) : Prends l’oseille et tire-toi
Tout le pays l’avait donnée pour morte...
Le 16 mars 1978, Aldo Moro est enlevé par les Brigades Rouges. Rome est un champ de mines patrouillé par la police. Après avoir fini dans un placard à balais, Giovanna Amati est enfin libérée contre rançon. Daniel Nieto échappe à un vaste coup de filet et reste en contact avec son ancienne victime.
Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


702 - Enlèvement à l'italienne (5/7) : Une journée particulière
Ce qui ne devait pas arriver
Daniel Nieto, le bourreau, et Giovanna Amati, la victime, concluent un pacte. Une relation contre-nature se noue entre le kidnappeur et son otage. À Pâques, Daniel Nieto commet l’irréparable.
Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


703 - Enlèvement à l'italienne (4/7) : Dans la cage
La belle et le geôlier
Athlétique et intrépide, Giovanna Amati n’a qu’une idée en tête : devenir pilote automobile. Pour l’heure, la jeune femme de 19 ans vit enchaînée dans un caisson obscur et insonorisé de 4m². Daniel Nieto est son geôlier attitré. Une nuit, il entre dans la cage à visage découvert...
Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


704 - Enlèvement à l'italienne (3/7) : 75 jours et 75 nuits
Passage à l'acte
Daniel Nieto et sa bande sont à la recherche d’une nouvelle victime. Ils arrêtent leur choix sur Giovanna Amati, la fille du « roi du cinéma » local. Après quelques hésitations et plusieurs semaines de filature, elle est enlevée sur le pas de sa porte en février 1978. Mais le rapt-éclair de la riche héritière s’éternise.
Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


705 - Enlèvement à l’italienne (2/7) : La dolce vita
En route pour le kid ultime
Avec un enlèvement tous les quatre jours en moyenne, 1977 marque un record dans l’Italie des années de plomb. À Rome, Daniel Nieto intègre une bande de voyous "anonymes" qui s’essaie aux kidnappings. Entre deux prises d’otages, le Marseillais en cavale mène la dolce vita en tuant le temps au cinéma.
Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


706 - Enlèvement à l'italienne (1/7) : Voyage en Italie
Le récit vrai d'un kidnapping dans les années de plomb
Après une enfance miséreuse mais pas malheureuse dans le Marseille de l’après-guerre, Daniel Nieto multiplie les braquages avant d'être emprisonné. En 1976, il profite d’une permission pour s’enfuir en Italie. Il gravit les échelons du crime aux côtés de "l'ennemi public numero uno", Renato Vallanzasca. Les braquages devant trop dangereux, la bande décide de se lancer dans le kidnapping...
Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro…
Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes et en musique de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien.
Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
- Samuel Hirsch


701 - Le Trafiquant (8/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 8 :Cette fois, fin de partie pour le trafiquant. Le voilà « enchristé » pour longtemps. Milou donne alors carte blanche à ses avocats pour le faire sortir de prison. Mais sa plus lourde peine ne sera pas celle prononcée par la justice.
Enregistrements : mai-août 21 - Entretiens et montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias, Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


700 - Le Trafiquant (7/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 7 :Le juge Michel le suit à la trace, mais Milou se pense intouchable. D’autant qu’un nouveau partenaire lui promet un avenir radieux : la Cosa Nostra.
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


699 - Le Trafiquant (6/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 6 :À peine sorti de prison, Milou reprend les affaires. La French Connection est morte, mais pas lui. La Turquie et sa fameuse « base » lui tendent les bras mais, très vite, le revoilà dans le viseur des autorités.
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


698 - Le Trafiquant (5/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 5 :Le filet se resserre autour de Milou. Les policiers de Marseille ont vu monter en puissance ce trafiquant âgé d’à peine 30 ans. En 1974, ils sont décidés à le faire plonger.
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


697 - Le Trafiquant (4/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 4 :À la suite de l’assassinat d’un de ses oncles, Milou est rattrapé par la vendetta. Comme on dit en Corse, "le sang appelle le sang". Son instinct de survie l’amène à commettre l’irréparable.
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


696 - Le Trafiquant (3/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 3 :Milou installe des labos près de Marseille pour transformer la morphine base en héroïne. Le jeune homme est déjà un voyou accompli, qui jette l’argent par les fenêtres jusqu’au prochain voyage.
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


695 - Le Trafiquant (2/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 2 :Milou se lance le trafic de drogue. D’abord simple transporteur, il décide de remonter à la source en Turquie pour en tirer, cette fois, le maximum de profit.
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


694 - Le Trafiquant (1/8)
Milou, le dernier survivant de la French Connection
Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.
Milou, le dernier trafiquant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015.
Épisode 1 :Émile Diaz, dit « Milou », naît dans une famille de voyous corso-marseillais. Des petits chapardages au trafic d’armes, le jeune garçon entre dans le monde très fermé de la voyoucratie. Et commence ses premiers trafics…
Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Thomas Loupias


684 - La route de l'Eldorado (5/5) : Rêve ou mirage
En France ou au Canada, l’Eldorado existe-t-il ?
Le mythe de l’Eldorado comme celui du self-made man résonnent fort chez beaucoup d’exilés. L’idée selon laquelle « tout est possible en Amérique si tu le veux », ils ont pu la mesurer, la vivre, l’expérimenter. Qu’ont-ils trouvé en Amérique du Nord qui semblait impossible en Europe ? Et y resteront-ils ?
La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch


683 - La route de l'Eldorado (4/5) : La valse de l'exil
La France tient-elle ses promesses ?
Myriam et Caroline ont quitté leurs pays respectifs pour des raisons politiques. Le Maroc en 1967 pour Myriam en tant que juive après la guerre des 6 jours, et la Chine pour Caroline au début des années 90 après le massacre de Tian’an men. L’une était encore adolescente, l’autre passionnée par la langue française. Tout aurait dû bien se passer pour elles en France, et pourtant, elles l’ont quittée en espérant des jours meilleurs au Canada.
La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch


687 - La route de l'Eldorado (3/5) : Une lumière au bout du voyage
Du bon accueil aux écueils du racisme
Mekki, Benjamin et Grace ont fait des études universitaires en France avant de tenter d’intégrer le monde du travail. Qu’on soit Algérien, Camerounais ou Franco-Congolaise, les opportunités en tant que Noir ou Maghrébin sont-elles différentes d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre ?
La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch


685 - La route de l'Eldorado (2/5) : Les 12 travaux de l'immigration
Les mystères de l'administration française
Miguel, Gloria et Rachel ont bien connu les déboires de l’administration française. Obtenir ses papiers, qu’on vienne du Mexique ou du Cameroun, amène à devoir vivre l’expérience de la préfecture - pour ne pas dire le cauchemar de la préfecture. Visa temporaire, permis de travail à renouveler, récépissé, file d’attente, confrontation avec les agents, incohérences bureaucratiques… Ils ont fini par renoncer. Mais est-ce mieux au Canada et particulièrement à Vancouver ou Winnipeg ? Il faut y aller pour le savoir.
La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch


686 - La route de l'Eldorado (1/5) : À la recherche de la terre promise
Bochra, Samlé et Renata ont choisi la France
Bochra, Samlé et Renata ont quitté la Tunisie, la Côte d’Ivoire ou le Brésil pour émigrer en France. L’une est réfugiée politique, l’autre est issu d'un mariage mixte, la troisième est passionnée de langue française. Qu’est-ce qui a fait qu’ils ont un jour voulu quitter la France ? Quels rêves et quels espoirs entrevoyaient-ils au Canada et particulièrement au Québec ?
La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch
682 - Bande-annonce La route de l'Eldorado
Parcours d’exils de la France au Canada
Ils et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch


681 - Le bocal (24/24)
L'apocalypse
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


680 - Le bocal (23/24)
La fiction radio
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


679 - Le bocal (22/24)
Le 2e CDD
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


678 - Le bocal (21/24)
Le renouvellement
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


677 - Le bocal (20/24)
La déprime
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


676 - Le bocal (19/24)
Le sauveur
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


675 - Le bocal (18/24)
La journée de formation
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


674 - Le bocal (17/24)
La médecine du travail
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


673 - Le bocal (16/24)
Les bien loties
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


672 - Le bocal (15/24)
L'employée modèle
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


671 - Le bocal (14/24)
Les heures manquantes
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


670 - Le bocal (13/24)
L'esprit d'équipe
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


669 - Le bocal (12/24)
L'externalisation des hôtesses d'accueil
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


668 - Le bocal (11/24)
Le trajet pour le bureau
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


667 - Le bocal (10/24)
Calamar en colère
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


666 - Le bocal (9/24)
L'accueil du public
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


665 - Le bocal (8/24)
Le service collectivité
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


664 - Le bocal (7/24)
La nouvelle
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


663 - Le bocal (6/24)
Critiques au bureau
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


662 - Le bocal (5/24)
Le jour de l'inauguration
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


661 - Le bocal (4/24)
Les heures sup s'accumulent
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


660 - Le bocal (3/24)
Un calamar hors de l'eau
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


659 - Le bocal (2/24)
Le bureau B19
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


658 - Le bocal (1/24)
Description des bureaux
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction politique et drôle, entre journal intime et cartoon. Prix Europa 2008 de la Meilleure Fiction radio.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle prestigieuse (que nous ne nommerons pas). L'immense Delphine Théodore joue Mariannick tandis que le grand Christophe Brault joue le calamar et tous les autres personnages. Sophie Bissantz bruite le calamar avec des spaghettis jetés sur la vitre du studio, ainsi que plein d'autres trucs. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec Mariannick. Traduit en tchèque et en chinois, "Le Bocal" a marqué l'histoire de la fiction sonore en rapportant son premier prix Europa à ARTE Radio, et en prouvant qu'on pouvait faire court, plaisant et politique.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


656 - La cage, une Française dans le djihad (4/4) : Revivre
L'heure de la justice
En mars 2019, Nessrine est renvoyée en France après avoir été arrêtée par les autorités turques à sa sortie de Syrie. Mise en examen pour "association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste", elle est immédiatement incarcérée et séparée de son fils et de sa fille. Libérée après un an et demi de détention, Nessrine est aujourd’hui placée sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès où elle risque une très lourde peine. Elle suit une thérapie et tente de se recontruire avec ses enfants.
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


655 - La cage, une Française dans le djihad (3/4) : La terreur
L'espoir dans la pénombre
Fin 2014, Nessrine arrive à Raqqa, devenue capitale syrienne de l’État Islamique. La ville millénaire est paralysée par la terreur imposée par l’organisation terroriste. Les frappes aériennes du régime de Damas et de son allié russe sont de plus en plus fréquentes. Puis viennent celles de la coalition internationale. C’est à Raqqa que Nessrine donne naissance à ses deux enfants. Et c’est pour eux qu’elle trouve la force de fuir Daech.
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


654 - La cage, une Française dans le djihad (2/4) : Enfermée
Prise au piège dans le djihad
À son arrivée en Syrie, Nessrine se retrouve rapidement plongée dans la violence. D’abord celle de l'homme qu’elle a épousé sans le connaitre, mais aussi celle des autres Françaises qui l’entourent. Prise au piège, elle ne parvient pas à s’enfuir. Après la mort de son premier mari, et sous la pression des autres femmes de l’État Islamique, elle accepte de se remarier.
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


657 - La cage, une Française dans le djihad (1/4) : Les failles
Comment une jeune Française a rejoint le djihad
Nessrine grandit dans un cadre familial étouffant et violent qui lui vaut d'être surnommée « la prisonnière » par ses amis d’école. À l’université, la jeune femme s’isole et se réfugie sur les réseaux sociaux. C’est là qu’elle croise une recruteuse pour des candidat.e.s au djihad en Syrie. Convaincue qu’une vie meilleure l’attend, elle se marie par Skype à un Français djihadiste déjà sur place, quelques semaines après sa radicalisation. Le 9 décembre 2013, âgée de 22 ans, Nessrine embarque dans un avion pour partir en Syrie...
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


640 - La Cité des hommes (9/9) : l'héritage
Ma cité s'appelait Paganini
Vivre dans une cité c’est une expérience unique. Un lieu où l’on n’est jamais seul, où l’on ressent une promiscuité parfois pesante, mais qui est aussi un espace d’entraide et de fraternité. Pour les garçons plus encore que pour les filles, elle se révèle comme un terrain d’apprentissage, une école de la vie. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


638 - La Cité des hommes (9/9) : l'héritage
Ma cité s'appelait Paganini
Vivre dans une cité c’est une expérience unique. Un lieu où l’on n’est jamais seul, où l’on ressent une promiscuité parfois pesante, mais qui est aussi un espace d’entraide et de fraternité. Pour les garçons plus encore que pour les filles, elle se révèle comme un terrain d’apprentissage, une école de la vie. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


638 - La Cité des hommes (8/9) : la cassure
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans dans un quartier populaire de Paris la cité Paganini sortait de terre. Un ensemble d’immeubles modernes, avec ses équipements, ses services et ses commerces. Aujourd’hui elle n’a plus la même apparence. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


637 - La Cité des hommes (8/9) : la cassure
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans dans un quartier populaire de Paris la cité Paganini sortait de terre. Un ensemble d’immeubles modernes, avec ses équipements, ses services et ses commerces. Aujourd’hui elle n’a plus la même apparence. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


639 - La Cité des hommes (7/9) : les filles
Ma cité s'appelait Paganini
En 85, la cité Paganini sortait de terre. A notre arrivée, nous étions tous des gamins et on jouait tous ensemble. En grandissant nous nous sommes séparés, les filles à l’intérieur et les gars à l’extérieur… La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire.A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. « Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


635 - La Cité des hommes (7/9) : les filles
Ma cité s'appelait Paganini
En 85, la cité Paganini sortait de terre. A notre arrivée, nous étions tous des gamins et on jouait tous ensemble. En grandissant nous nous sommes séparés, les filles à l’intérieur et les gars à l’extérieur… La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire.A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. « Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


637 - La Cité des hommes (6/9) : la charriance
Ma cité s'appelait Paganini
Une cité c’est un petit pays avec son territoire, ses codes, ses valeurs et sa propre langue. Une langue inventée et parlée uniquement par ses habitants, où seul compte le pouvoir des vannes et de la « charriance ». La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


636 - La Cité des hommes (6/9) : la charriance
Ma cité s'appelait Paganini
Une cité c’est un petit pays avec son territoire, ses codes, ses valeurs et sa propre langue. Une langue inventée et parlée uniquement par ses habitants, où seul compte le pouvoir des vannes et de la « charriance ». La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


634 - La Cité des hommes (5/9) : les bastons
Ma cité s'appelait Paganini
Les embrouilles avec d’autres cités, pourtant en tous points identiques à la nôtre, étaient fréquentes. Les garçons portent sur leur jeunesse un regard lucide. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


634 - La Cité des hommes (5/9) : les bastons
Ma cité s'appelait Paganini
Les embrouilles avec d’autres cités, pourtant en tous points identiques à la nôtre, étaient fréquentes. Les garçons portent sur leur jeunesse un regard lucide. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


633 - La Cité des hommes (4/9) : la délinquance
Ma cité s'appelait Paganini
J’ai grandi cité Paganini, une cité construite dans les années 80 dans un quartier populaire de Paris. J’ai grandi là mais en tant que fille, j’étais à l’écart, comme protégée de la vie de la cité, de la vie nocturne, de la vie parallèle : la vie des garçons et de leurs trafics. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


633 - La Cité des hommes (4/9) : la délinquance
Ma cité s'appelait Paganini
J’ai grandi cité Paganini, une cité construite dans les années 80 dans un quartier populaire de Paris. J’ai grandi là mais en tant que fille, j’étais à l’écart, comme protégée de la vie de la cité, de la vie nocturne, de la vie parallèle : la vie des garçons et de leurs trafics. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


635 - La Cité des hommes (3/9) : La mixité
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir en cité, c’est surtout un formidable melting-pot. A Paga se croisent sans heurts des familles de Blancs, Noirs, Arabes, Juifs, Antillais, Africains chrétiens et musulmans… Ce sont leurs voix diverses qui animent la série. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


632 - La Cité des hommes (3/9) : La mixité
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir en cité, c’est surtout un formidable melting-pot. A Paga se croisent sans heurts des familles de Blancs, Noirs, Arabes, Juifs, Antillais, Africains chrétiens et musulmans… Ce sont leurs voix diverses qui animent la série. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


636 - La Cité des hommes (2/9) : L'amitié
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir dans une cité, c’est particulier. On connaît tout le monde et tout le monde nous connaît. On y tisse des amitiés solides, sincères et fidèles – ici de l’école primaire à la quarantaine ! 20 ans plus tard j’ai retrouvé les copains de Paga pour qu’ils me racontent notre cité, leur cité. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.
« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


631 - La Cité des hommes (2/9) : L'amitié
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir dans une cité, c’est particulier. On connaît tout le monde et tout le monde nous connaît. On y tisse des amitiés solides, sincères et fidèles – ici de l’école primaire à la quarantaine ! 20 ans plus tard j’ai retrouvé les copains de Paga pour qu’ils me racontent notre cité, leur cité. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.
« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


641 - La Cité des hommes (1/9) : L'arrivée
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans, ils étaient des enfants, les premiers habitants de Paganini. Ils racontent leur arrivée dans cette cité flambant neuve du XXe arrondissement de Paris. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. Les gars de Paga« Ma cité s’appelait « Paganini », mais pour nous c’était Paga. Une cité de l’Est parisien. Une cité populaire du XXe arrondissement, sortie de terre au milieu des années 80. 20 bâtiments, 600 logements, 2000 habitants, un parc, une école, un cabinet médical, un magasin alimentaire, un coiffeur et deux restaurants. Je suis arrivée à Paga à 6 ans en 85. J’en suis partie à 22 ans en 2001. 15 ans dans l’appartement 73, 7e étage, bâtiment 7.Vivre à Paga dans ces années-là, selon qu’on soit une fille ou un garçon, ce n’est pas la même chose. A l’extérieur, ce territoire semble exclusivement masculin. Les garçons qui y habitent sont aussi les gardiens de la cité. Des halls au parking, des toits aux caves, ils en détiennent les clés. Ils l’occupent, ils la squattent, la défendent, se battent pour elle… Ils la malmènent mais l’aiment profondément.C’est cette histoire que racontent Cédric, Charlin, Samir, Robinson, Franck, Madala, Mohamed, Giscard, Tarik, Rodney, Silvio, Guillaume et Kassim. Pendant 9 épisodes, ils évoquent leur arrivée au quartier, leur amitié depuis l’école primaire à l’âge adulte, la mixité des origines et des religions, la petite délinquance, mais aussi les guerres de territoires entre cités pourtant identiques, la « charriance » des vannes et du langage, le rapport compliqué aux filles, le démantèlement de la cité et pour finir l’héritage de cette expérience commune.
Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


630 - La Cité des hommes (1/9) : L'arrivée
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans, ils étaient des enfants, les premiers habitants de Paganini. Ils racontent leur arrivée dans cette cité flambant neuve du XXe arrondissement de Paris. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. Les gars de Paga« Ma cité s’appelait « Paganini », mais pour nous c’était Paga. Une cité de l’Est parisien. Une cité populaire du XXe arrondissement, sortie de terre au milieu des années 80. 20 bâtiments, 600 logements, 2000 habitants, un parc, une école, un cabinet médical, un magasin alimentaire, un coiffeur et deux restaurants. Je suis arrivée à Paga à 6 ans en 85. J’en suis partie à 22 ans en 2001. 15 ans dans l’appartement 73, 7e étage, bâtiment 7.Vivre à Paga dans ces années-là, selon qu’on soit une fille ou un garçon, ce n’est pas la même chose. A l’extérieur, ce territoire semble exclusivement masculin. Les garçons qui y habitent sont aussi les gardiens de la cité. Des halls au parking, des toits aux caves, ils en détiennent les clés. Ils l’occupent, ils la squattent, la défendent, se battent pour elle… Ils la malmènent mais l’aiment profondément.C’est cette histoire que racontent Cédric, Charlin, Samir, Robinson, Franck, Madala, Mohamed, Giscard, Tarik, Rodney, Silvio, Guillaume et Kassim. Pendant 9 épisodes, ils évoquent leur arrivée au quartier, leur amitié depuis l’école primaire à l’âge adulte, la mixité des origines et des religions, la petite délinquance, mais aussi les guerres de territoires entre cités pourtant identiques, la « charriance » des vannes et du langage, le rapport compliqué aux filles, le démantèlement de la cité et pour finir l’héritage de cette expérience commune.
Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


632 - Carnets de correspondante (5/5) : Rendre l’antenne
Ma vie de journaliste sur le terrain
Lassée d’être dans le viseur des autorités israéliennes et épuisée par ses conditions de travail ultra-précaires, Marine Vlahovic décide de quitter Ramallah et son costume de correspondante. Un départ à la fois libérateur et déchirant. A son retour en France, la journaliste continue de subir des pressions des organisations militantes et, pour la première fois, elle est confrontée à la censure. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Arnaud Forest


626 - Carnets de correspondante (5/5) : Rendre l’antenne
Ma vie de journaliste sur le terrain
Lassée d’être dans le viseur des autorités israéliennes et épuisée par ses conditions de travail ultra-précaires, Marine Vlahovic décide de quitter Ramallah et son costume de correspondante. Un départ à la fois libérateur et déchirant. A son retour en France, la journaliste continue de subir des pressions des organisations militantes et, pour la première fois, elle est confrontée à la censure. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Arnaud Forest


631 - Carnets de correspondante (4/5) : Entre les mondes
Ma vie de journaliste sur le terrain
Les balles des snipers israéliens sifflent à la frontière entre la bande de Gaza et l’Etat hébreu, et frôlent l'oreille de la journaliste. Marine Vlahovic navigue entre ces deux mondes séparés par un mur de béton et de haine. En Terre sainte, ce n’est pas une mais trois religions qui rythment sa vie personnelle et professionnelle. Prise à partie par les soldats et les colons, la journaliste tente de sauver une vieille amitié mise à rude épreuve par ce conflit qui n’est pas le sien. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


625 - Carnets de correspondante (4/5) : Entre les mondes
Ma vie de journaliste sur le terrain
Les balles des snipers israéliens sifflent à la frontière entre la bande de Gaza et l’Etat hébreu, et frôlent l'oreille de la journaliste. Marine Vlahovic navigue entre ces deux mondes séparés par un mur de béton et de haine. En Terre sainte, ce n’est pas une mais trois religions qui rythment sa vie personnelle et professionnelle. Prise à partie par les soldats et les colons, la journaliste tente de sauver une vieille amitié mise à rude épreuve par ce conflit qui n’est pas le sien. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


630 - Carnets de correspondante (3/5) : La guerre promise
Ma vie de journaliste sur le terrain
Dans les Territoires occupés, les manifestations se suivent et se ressemblent et la nouvelle Intifada tarde à éclater. En attendant la “guerre promise” et leur heure de gloire, les journalistes font la bringue. A Ramallah, Marine Vlahovic enchaine les soirées arrosées et les histoires sans lendemain avec des amants des deux côtés du Mur alors que les bombes tombent sur la bande de Gaza. Un territoire verrouillé que la correspondante découvre en tournant sur place des reportages télévisés “à sensation”. Avant de couvrir les convulsions qui secouent l’enclave depuis chez elle, en pyjama. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


624 - Carnets de correspondante (3/5) : La guerre promise
Ma vie de journaliste sur le terrain
Dans les Territoires occupés, les manifestations se suivent et se ressemblent et la nouvelle Intifada tarde à éclater. En attendant la “guerre promise” et leur heure de gloire, les journalistes font la bringue. A Ramallah, Marine Vlahovic enchaine les soirées arrosées et les histoires sans lendemain avec des amants des deux côtés du Mur alors que les bombes tombent sur la bande de Gaza. Un territoire verrouillé que la correspondante découvre en tournant sur place des reportages télévisés “à sensation”. Avant de couvrir les convulsions qui secouent l’enclave depuis chez elle, en pyjama. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


629 - Carnets de correspondante (2/5) : Le temps c’est de l’info
Ma vie de journaliste sur le terrain
Comme les bouquets de feu d'artifice qui fusent dans le ciel de Ramallah, "Marine la machine" a la tête qui explose. Depuis sa maison-studio, elle produit de l'information à la chaîne. Un contre-la-montre au diapason des rédactions parisiennes sous le règne de l'urgence et de la pression. Dopée au café-clopes, la correspondante jongle entre les commandes imprévues, les conférences de presse interminables de l'Autorité palestinienne, les micro-trottoirs prétextes et les reportages chronométrés aux quatre coins des Territoires pour alimenter le flux de l'actualité. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


623 - Carnets de correspondante (2/5) : Le temps c’est de l’info
Ma vie de journaliste sur le terrain
Comme les bouquets de feu d'artifice qui fusent dans le ciel de Ramallah, "Marine la machine" a la tête qui explose. Depuis sa maison-studio, elle produit de l'information à la chaîne. Un contre-la-montre au diapason des rédactions parisiennes sous le règne de l'urgence et de la pression. Dopée au café-clopes, la correspondante jongle entre les commandes imprévues, les conférences de presse interminables de l'Autorité palestinienne, les micro-trottoirs prétextes et les reportages chronométrés aux quatre coins des Territoires pour alimenter le flux de l'actualité. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


628 - Carnets de correspondante (1/5) : En direct de Ramallah
Ma vie de journaliste sur le terrain
Etre journaliste au Proche-Orient, c’est le Graal de la profession. Quand le poste de correspondant en Palestine s’est libéré en 2016, Marine Vlahovic a sauté sur l’occasion et s’est installée dans une maisonnette avec jardin en bordure de Ramallah. C’est le début d’une vie en alerte et sous pression, coincée dans les embouteillages au checkpoint, loin du quotidien fantasmé des reporters de guerre. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast FestivalCarnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musiques originales : Arnaud Forest


622 - Carnets de correspondante (1/5) : En direct de Ramallah
Ma vie de journaliste sur le terrain
Etre journaliste au Proche-Orient, c’est le Graal de la profession. Quand le poste de correspondant en Palestine s’est libéré en 2016, Marine Vlahovic a sauté sur l’occasion et s’est installée dans une maisonnette avec jardin en bordure de Ramallah. C’est le début d’une vie en alerte et sous pression, coincée dans les embouteillages au checkpoint, loin du quotidien fantasmé des reporters de guerre.
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musiques originales : Arnaud Forest


629 - Game Lover (3/3) : River, premier amour sur l’Ile aux rochers
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 3
River a 13 ans la première fois qu’elle rencontre Hulan sur l'Île aux Rochers, l’univers paradisiaque de Lifespan. L’adolescent vit dans une petite ville en Picardie et River sait que cela prendra du temps avant qu’elle puisse rencontrer "pour de vrai" son premier amour. Mais Hulan joue-t-il à un jeu ou prend-il leur amour au sérieux ?
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Sarah-Megan Allouch (River), Théophile Fontaine (Hulan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


627 - Game Lover (3/3) : River, premier amour sur l’Ile aux rochers
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 3
River a 13 ans la première fois qu’elle rencontre Hulan sur l'Île aux Rochers, l’univers paradisiaque de Lifespan. L’adolescent vit dans une petite ville en Picardie et River sait que cela prendra du temps avant qu’elle puisse rencontrer "pour de vrai" son premier amour. Mais Hulan joue-t-il à un jeu ou prend-il leur amour au sérieux ?
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Sarah-Megan Allouch (River), Théophile Fontaine (Hulan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


628 - Game Lover (2/3) : Erwan, une romance sur Artheros
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 2
Erwan est un mage solitaire. Lui qui aime tant soigner ses coéquipiers sur le champ de bataille ne veut plus jouer avec les autres, sous prétexte qu’il est trop fort pour eux. Mais à Artheros, monde heroïc-fantasy de Lifespan, ce jeune gamer mal dans sa peau va rencontrer une joueuse hors pair qui lui fera quitter sa solitude…
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Quentin Dolmaire (Erwan), Gabrielle Varoquier (Emma) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


626 - Game Lover (2/3) : Erwan, une romance sur Artheros
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 2
Erwan est un mage solitaire. Lui qui aime tant soigner ses coéquipiers sur le champ de bataille ne veut plus jouer avec les autres, sous prétexte qu’il est trop fort pour eux. Mais à Artheros, monde heroïc-fantasy de Lifespan, ce jeune gamer mal dans sa peau va rencontrer une joueuse hors pair qui lui fera quitter sa solitude…
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Quentin Dolmaire (Erwan), Gabrielle Varoquier (Emma) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


627 - Game Lover (1/3) : Léa, coup de foudre sur Calycé
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 1
Léa, une aide-soignante, vit dans une bourgade proche de Fontainebleau (77) quand elle se met à jouer compulsivement à Lifespan, le jeu vidéo que son copain lui a offert pour ses 20 ans. Dans la peau d’une punk hackeuse, elle navigue dans le monde galactique de Calycé, jusqu’au jour où un avatar hypersexualisé va éveiller ses désirs cachés...
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Clémence Boisnard (Léa), Annabelle Martella (Sarah), Raphaël Marriq (Gaëtan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


625 - Game Lover (1/3) : Léa, coup de foudre sur Calycé
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 1
Léa, une aide-soignante, vit dans une bourgade proche de Fontainebleau (77) quand elle se met à jouer compulsivement à Lifespan, le jeu vidéo que son copain lui a offert pour ses 20 ans. Dans la peau d’une punk hackeuse, elle navigue dans le monde galactique de Calycé, jusqu’au jour où un avatar hypersexualisé va éveiller ses désirs cachés...
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Clémence Boisnard (Léa), Annabelle Martella (Sarah), Raphaël Marriq (Gaëtan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


624 - Tout fout le camp (4/4) : Jeunes de toutes les époques, unissez-vous !
Comment lutter avec ses propres mots
Comment, à chaque époque, les jeunes se sont-ils emparés des mots pour se tailler une place dans le monde des adultes ? En nous confiant leur lien intime avec le langage, entre violence et aisance, les jeunes que l’on écoute nous montrent combien la bataille avec le langage est un enjeu intemporel. En entremêlant les voix des jeunes d’hier et d’aujourd’hui, il apparait plus clairement encore combien, plus que le temps, c’est surtout l’espace social qui détermine l’aisance avec laquelle on manie la langue. Saurez-vous dater les extraits qui composent ce dernier épisode ?
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Léana, Manel, Mourad, Sana, Toumany, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Nuits Magnétiques, Les Chemins de la connaissance, Mercredi Jeunesse, Inter Actualités
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier.Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


621 - Tout fout le camp (4/4) : Jeunes de toutes les époques, unissez-vous !
Comment lutter avec ses propres mots
Comment, à chaque époque, les jeunes se sont-ils emparés des mots pour se tailler une place dans le monde des adultes ? En nous confiant leur lien intime avec le langage, entre violence et aisance, les jeunes que l’on écoute nous montrent combien la bataille avec le langage est un enjeu intemporel. En entremêlant les voix des jeunes d’hier et d’aujourd’hui, il apparait plus clairement encore combien, plus que le temps, c’est surtout l’espace social qui détermine l’aisance avec laquelle on manie la langue. Saurez-vous dater les extraits qui composent ce dernier épisode ?
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Léana, Manel, Mourad, Sana, Toumany, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Nuits Magnétiques, Les Chemins de la connaissance, Mercredi Jeunesse, Inter Actualités
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier.Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


623 - Tout fout le camp (3/4) : OK Boomer !
Manuel de survie en milieu jeune
Qu’est-ce qui aujourd’hui façonne « le langage des jeunes » ? Quels sont les mots nouveaux, quels sont les usages ? Dans ce troisième épisode, treize jeunes nous prennent par la main pour nous expliquer leur rapport avec ce langage. Leur plaisir et leur déplaisir à manier les mots qui circulent parfois à une vitesse vertigineuse, laissant les boomers sur le carreau. Et leurs stratégies à chacun et chacune pour se singulariser, ou passer incognito.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Amélie, Ben Mohammed, Héloïse, Léana, Léonore, Manel, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Bien entendu, Radioscopie, Tribune de Paris, Le Chemin des écoliers, Le Masque et la Plume.
Musique additionnelle (archive INA) : Damia, Tout fout l'camp
Musiques additionnelles : - Jul, BDG- Nicki Minaj, Did It On'em- Extraits YouTube : OhPlai, Rayton
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


620 - Tout fout le camp (3/4) : OK Boomer !
Manuel de survie en milieu jeune
Qu’est-ce qui aujourd’hui façonne « le langage des jeunes » ? Quels sont les mots nouveaux, quels sont les usages ? Dans ce troisième épisode, treize jeunes nous prennent par la main pour nous expliquer leur rapport avec ce langage. Leur plaisir et leur déplaisir à manier les mots qui circulent parfois à une vitesse vertigineuse, laissant les boomers sur le carreau. Et leurs stratégies à chacun et chacune pour se singulariser, ou passer incognito.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Amélie, Ben Mohammed, Héloïse, Léana, Léonore, Manel, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Bien entendu, Radioscopie, Tribune de Paris, Le Chemin des écoliers, Le Masque et la Plume.
Musique additionnelle (archive INA) : Damia, Tout fout l'camp
Musiques additionnelles : - Jul, BDG- Nicki Minaj, Did It On'em- Extraits YouTube : OhPlai, Rayton
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


622 - Tout fout le camp (2/4) : L’âge d’or, c’était mieux avant
De l’argot des blousons noirs aux accents de banlieue
Pourquoi associe-ton toujours la jeunesse à la prétendue détérioration de la langue ? Comment est-on passé de l’expression « parler jeune » à « parler de banlieue » ? Quel dette ce langage doit-il à la gouaille populaire ?Dans ce deuxième épisode, les linguistes nous éclairent sur les évolutions naturelles de la langue. En se référant à l’histoire du cinéma, du théâtre ou de la radio, ils nous montrent comment la croyance en un « âge d’or de la langue » oriente notre regard sur le langage des jeunes.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec :- Michael Abecassis, linguiste et enseignant de langue française à Oxford - Philippe Boula de Mareüil, phonolinguiste et chercheur au CNRS - Maria Candea, sociolinguiste et directrice du département Langue et littérature françaises et latines – Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 - Cyril Trimaille, sociolinguiste et responsable du Master Sciences du langage – Université Grenoble Alpes - Héloise, Mourad, Nathan, Yanis et Léonore.
Et les voix de (archives INA) : Renaud, Coluche, JoeyStarr, Arletty, André Malraux, des jeunes de Trouville et du Métropolis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Dimanche dans un fauteuil, Nuits Magnétiques, Le Masque et la Plume, Les Pieds sur Terre.
Musiques additionnelles (archives INA) :- Damia, Tout fout l’camp- Extraits de films : Marcel Carné, Hôtel du Nord ; Edgar Morin & Jean Rouch, Chroniques d’un été
Remerciements : Jean-Julien Aucouturier, Henri Boyer, Nathalie Chouchan, Marc Jacquin, Jean Lebrun, Agathe Maire, Irène Omelianenko, Edwige Roncière, Jacqueline Schaeffer, Mathias Théry, Jack Vidal, Elsa Vettier.
Pour aller plus loin :- Michael Abecassis, Gudrun Ledegen, Les Voix des Français Volumes 1 & 2, Peter Lang, 2010- Michael Abecassis, The Representation of Parisian Speech in the Cinema of the 1930s, Peter Lang, 2005- Philippe Boula de Mareüil, D’où viennent les accents régionaux ?, éd. Le Pommier 2010- Maria Candea, Le français est à nous ! Petit manuel d’émancipation linguistique, La Découverte, 2019- Maria Candea, L’Académie contre la langue française. Le dossier « féminisation », éd. Ixe, 2016- Michel Chion, Le complexe de Cyrano, la langue parlée dans les films français, Cahiers du cinéma — Essais, 2008- Cyril Trimaille, Études de parlers de jeunes urbains en France. Éléments pour un état des lieux, Presses Universitaires de Rennes, 2004
Enregistrements : janvier, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


619 - Tout fout le camp (2/4) : L’âge d’or, c’était mieux avant
De l’argot des blousons noirs aux accents de banlieue
Pourquoi associe-ton toujours la jeunesse à la prétendue détérioration de la langue ? Comment est-on passé de l’expression « parler jeune » à « parler de banlieue » ? Quel dette ce langage doit-il à la gouaille populaire ?Dans ce deuxième épisode, les linguistes nous éclairent sur les évolutions naturelles de la langue. En se référant à l’histoire du cinéma, du théâtre ou de la radio, ils nous montrent comment la croyance en un « âge d’or de la langue » oriente notre regard sur le langage des jeunes.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec :- Michael Abecassis, linguiste et enseignant de langue française à Oxford - Philippe Boula de Mareüil, phonolinguiste et chercheur au CNRS - Maria Candea, sociolinguiste et directrice du département Langue et littérature françaises et latines – Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 - Cyril Trimaille, sociolinguiste et responsable du Master Sciences du langage – Université Grenoble Alpes - Héloise, Mourad, Nathan, Yanis et Léonore.
Et les voix de (archives INA) : Renaud, Coluche, JoeyStarr, Arletty, André Malraux, des jeunes de Trouville et du Métropolis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Dimanche dans un fauteuil, Nuits Magnétiques, Le Masque et la Plume, Les Pieds sur Terre.
Musiques additionnelles (archives INA) :- Damia, Tout fout l’camp- Extraits de films : Marcel Carné, Hôtel du Nord ; Edgar Morin & Jean Rouch, Chroniques d’un été
Remerciements : Jean-Julien Aucouturier, Henri Boyer, Nathalie Chouchan, Marc Jacquin, Jean Lebrun, Agathe Maire, Irène Omelianenko, Edwige Roncière, Jacqueline Schaeffer, Mathias Théry, Jack Vidal, Elsa Vettier.
Pour aller plus loin :- Michael Abecassis, Gudrun Ledegen, Les Voix des Français Volumes 1 & 2, Peter Lang, 2010- Michael Abecassis, The Representation of Parisian Speech in the Cinema of the 1930s, Peter Lang, 2005- Philippe Boula de Mareüil, D’où viennent les accents régionaux ?, éd. Le Pommier 2010- Maria Candea, Le français est à nous ! Petit manuel d’émancipation linguistique, La Découverte, 2019- Maria Candea, L’Académie contre la langue française. Le dossier « féminisation », éd. Ixe, 2016- Michel Chion, Le complexe de Cyrano, la langue parlée dans les films français, Cahiers du cinéma — Essais, 2008- Cyril Trimaille, Études de parlers de jeunes urbains en France. Éléments pour un état des lieux, Presses Universitaires de Rennes, 2004
Enregistrements : janvier, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


621 - Tout fout le camp (1/4) : On est toujours le jeune de quelqu'un
Les jeunes d'aujourd’hui écoutent ceux d’hier
Un groupe d’adolescents de 15 à 18 ans découvre avec stupéfaction et humour, les pépites des archives de l’INA sur les jeunes. Que produit cette rencontre avec leurs alter-egos des années 60, 70, 80 ?Dans ce premier épisode, en s’amusant, s’émouvant, se questionnant, ils en viennent à comprendre comment chaque époque imprime sur le langage une marque particulière.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Héloïse, Léonore, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Qu’en pense la jeunesse, Radioscopie, Le Chemin des Ecoliers, Le Cahier à Spirales, Nuits Magnétiques.
Musique additionnelle (archive INA) : Daniel Teruggi, concert du 12/12/1998
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


618 - Tout fout le camp (1/4) : On est toujours le jeune de quelqu'un
Les jeunes d'aujourd’hui écoutent ceux d’hier
Un groupe d’adolescents de 15 à 18 ans découvre avec stupéfaction et humour, les pépites des archives de l’INA sur les jeunes. Que produit cette rencontre avec leurs alter-egos des années 60, 70, 80 ?Dans ce premier épisode, en s’amusant, s’émouvant, se questionnant, ils en viennent à comprendre comment chaque époque imprime sur le langage une marque particulière.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Héloïse, Léonore, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Qu’en pense la jeunesse, Radioscopie, Le Chemin des Ecoliers, Le Cahier à Spirales, Nuits Magnétiques.
Musique additionnelle (archive INA) : Daniel Teruggi, concert du 12/12/1998
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


620 - Suprême NBA (3/3) : La communauté de l'anneau
Le bitume chaud des playgrounds
Comme les concerts mythiques, il y a ceux qui y étaient et ceux qui n’y étaient pas. Durant les années 90, les playgrounds (terrains urbains) de basket étendent leur toile en France. Dans toute la région parisienne, le bitume est chaud, le verbe haut et le hip-hop coule à flot. La culture street se développe et les marques emblématiques prennent la balle au bond à travers un marketing sportif de masse.École de la vie et rite de passage entre deux crossovers, tout est concentré sur un terrain où il faut assumer son jeu, se faire sa place et « prendre les coups comme tout le monde », comme le résume l’ancienne internationale Diana Gandega. Les matchs sont aussi rugueux que la créativité débridée, et une communauté se fédère autour du culte de la balle orange. Du un contre un sur demi-terrain au « tous pour un » lors des contrôle de police serrés à Stalingrad, la génération « Dream-Team » passe à l’âge adulte.
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- Diana Gandega : ancienne joueuse professionnelle, elle a grandi dans le 18e arrondissement de Paris et a participé aux JO 2008 de Pékin dans l’équipe du Mali.- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- William Sambin : joueur de club et de playground de l'est parisien (Val-de-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec Arte Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : septembre 2017-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements : Ahmed Doumbia, Karla Mbende, Florent Boni, Tiemoko - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


616 - Suprême NBA (3/3) : La communauté de l'anneau
Le bitume chaud des playgrounds
Comme les concerts mythiques, il y a ceux qui y étaient et ceux qui n’y étaient pas. Durant les années 90, les playgrounds (terrains urbains) de basket étendent leur toile en France. Dans toute la région parisienne, le bitume est chaud, le verbe haut et le hip-hop coule à flot. La culture street se développe et les marques emblématiques prennent la balle au bond à travers un marketing sportif de masse.École de la vie et rite de passage entre deux crossovers, tout est concentré sur un terrain où il faut assumer son jeu, se faire sa place et « prendre les coups comme tout le monde », comme le résume l’ancienne internationale Diana Gandega. Les matchs sont aussi rugueux que la créativité débridée, et une communauté se fédère autour du culte de la balle orange. Du un contre un sur demi-terrain au « tous pour un » lors des contrôle de police serrés à Stalingrad, la génération « Dream-Team » passe à l’âge adulte.
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- Diana Gandega : ancienne joueuse professionnelle, elle a grandi dans le 18e arrondissement de Paris et a participé aux JO 2008 de Pékin dans l’équipe du Mali.- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- William Sambin : joueur de club et de playground de l'est parisien (Val-de-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec Arte Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : septembre 2017-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements : Ahmed Doumbia, Karla Mbende, Florent Boni, Tiemoko - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


619 - Suprême NBA (2/3) : Saint Michael est parmi nous
Le Dieu du basket s'appelle Jordan
La Jordan-mania est à son comble au niveau mondial. En France, le rêve NBA poursuit sa déflagration dans l’imaginaire des ados. Face aux écrans, sur les terrains, la passion orange rythme les journées et la fascination tourne à l’obsession. Maillot Barkley, Kemp ou Robinson sur le dos, chacun s’invente une autre identité. Certains se la créent vraiment, comme Samuel Nadeau. Avant même le lever du jour, il travaille ses fondamentaux à Sarcelles sur le terrain situé en bas de son immeuble. À l’autre bout de la banlieue, Julien Müller se fait tirer dessus à la carabine à plombs par des voisins pas très fans de son tir à la manière de Scottie Pippen. Si chacun s’imagine faire 2 mètres 05, Paris se fait tout petit quand un jour de septembre 1990, Jordan vient taper la balle dans la salle Géo André. Un moment unique « difficile à partager, tellement c’était particulier » se rappelle Clarisse Mercier qui a la chance de côtoyer ce jour-là le « dieu du basket ».
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 2018-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Batterie : Mathias Pontevia - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements :Emmanuelle Ripoche, Lelo Jimmy Batista, Yann Mbaye, Julien Pérez, Natalia Gómez-Carvaja - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


615 - Suprême NBA (2/3) : Saint Michael est parmi nous
Le Dieu du basket s'appelle Jordan
La Jordan-mania est à son comble au niveau mondial. En France, le rêve NBA poursuit sa déflagration dans l’imaginaire des ados. Face aux écrans, sur les terrains, la passion orange rythme les journées et la fascination tourne à l’obsession. Maillot Barkley, Kemp ou Robinson sur le dos, chacun s’invente une autre identité. Certains se la créent vraiment, comme Samuel Nadeau. Avant même le lever du jour, il travaille ses fondamentaux à Sarcelles sur le terrain situé en bas de son immeuble. À l’autre bout de la banlieue, Julien Müller se fait tirer dessus à la carabine à plombs par des voisins pas très fans de son tir à la manière de Scottie Pippen. Si chacun s’imagine faire 2 mètres 05, Paris se fait tout petit quand un jour de septembre 1990, Jordan vient taper la balle dans la salle Géo André. Un moment unique « difficile à partager, tellement c’était particulier » se rappelle Clarisse Mercier qui a la chance de côtoyer ce jour-là le « dieu du basket ».
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 2018-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Batterie : Mathias Pontevia - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements :Emmanuelle Ripoche, Lelo Jimmy Batista, Yann Mbaye, Julien Pérez, Natalia Gómez-Carvaja - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


618 - Suprême NBA (1/3) : Ce que George a dit
Comment la France a chopé la fièvre du basket : stars XXL sur petit écran
Au milieu des années 80, le sport US arrive à la télé en même temps que la nouvelle chaîne Canal+. Et la Dream Team enfonce le clou aux J.O. de Barcelone 92 avec ses stars XXL : Jordan, Magic, Ewing, Bird, Barkley écrasent la concurrence et marquent les esprits. Du jour au lendemain, tout le monde veut être l’Américain, « celui qui fait la magie dans ta tête » comme le dit Samuel Nadeau qui lance sa carrière en lycée aux Etats-Unis avant de rejoindre le Real Madrid.Une génération découvre alors le frisson de se lever en pleine nuit pour suivre les play-offs en direct sur Canal +, un bol de céréales à la main. On rêve d’avoir des Reebok Pump, un survêt à bouton-pression et d’épater tout le monde en jouant en tirant la langue. Ce sport-spectacle a un prophète : George Eddy, le commentateur des matchs NBA sur Canal+, et ses expressions badaboumesques ! C’est lui qui donne le top départ de ce podcast-fantasme : une conversation entre des amateurs et des pros, des joueurs de la bouillonnante Île-de-France et d’autres perdus dans « le trou du cul du monde de la campagne mosellane », à l’instar du chanteur de rock-psyché Guillaume Marietta. Un jeu de miroir entre des anciens ados fascinés par le même objet et qui ont repeint leur chambre avec les mêmes posters format géant NBA. Archives et jingles a gogo, il est temps de replonger !
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Tex Lacroix : spécialiste de la street culture, consultant marketing et DJ.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Odile Méndez-Bonito : documentariste, co-directrice du Créadoc- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Musiques originales : Alexandre Duval, Samuel Hirsch et Jehanne Cretin-Maitenaz - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Source archives : Bballchannel - Remerciements : Gaëtan Conte, Kevin Couliau, Gwenaël Pestel, Pierre Poireau - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


614 - Suprême NBA (1/3) : Ce que George a dit
Comment la France a chopé la fièvre du basket : stars XXL sur petit écran
Au milieu des années 80, le sport US arrive à la télé en même temps que la nouvelle chaîne Canal+. Et la Dream Team enfonce le clou aux J.O. de Barcelone 92 avec ses stars XXL : Jordan, Magic, Ewing, Bird, Barkley écrasent la concurrence et marquent les esprits. Du jour au lendemain, tout le monde veut être l’Américain, « celui qui fait la magie dans ta tête » comme le dit Samuel Nadeau qui lance sa carrière en lycée aux Etats-Unis avant de rejoindre le Real Madrid.Une génération découvre alors le frisson de se lever en pleine nuit pour suivre les play-offs en direct sur Canal +, un bol de céréales à la main. On rêve d’avoir des Reebok Pump, un survêt à bouton-pression et d’épater tout le monde en jouant en tirant la langue. Ce sport-spectacle a un prophète : George Eddy, le commentateur des matchs NBA sur Canal+, et ses expressions badaboumesques ! C’est lui qui donne le top départ de ce podcast-fantasme : une conversation entre des amateurs et des pros, des joueurs de la bouillonnante Île-de-France et d’autres perdus dans « le trou du cul du monde de la campagne mosellane », à l’instar du chanteur de rock-psyché Guillaume Marietta. Un jeu de miroir entre des anciens ados fascinés par le même objet et qui ont repeint leur chambre avec les mêmes posters format géant NBA. Archives et jingles a gogo, il est temps de replonger !
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Tex Lacroix : spécialiste de la street culture, consultant marketing et DJ.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Odile Méndez-Bonito : documentariste, co-directrice du Créadoc- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Musiques originales : Alexandre Duval, Samuel Hirsch et Jehanne Cretin-Maitenaz - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Source archives : Bballchannel - Remerciements : Gaëtan Conte, Kevin Couliau, Gwenaël Pestel, Pierre Poireau - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio
617 - Bande-annonce Suprême NBA
La fièvre du basket en podcast
Dans les années 1990, la France succombe à la passion du basket américain. Souvenirs persos et parcours de pros, entrecoupés d'archives bondissantes et commentés par George Eddy, le speaker mythique des matches NBA sur Canal+.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : George Eddy - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio
617 - Bande-annonce Suprême NBA
La fièvre du basket en podcast
Dans les années 1990, la France succombe à la passion du basket américain. Souvenirs persos et parcours de pros, entrecoupés d'archives bondissantes et commentés par George Eddy, le speaker mythique des matches NBA sur Canal+.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : George Eddy - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


611 - Technopolis (3/9) : Sacrées soirées, soirées foirées
La vraie vie des DJ : galères et bons moments
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
3. Sacrées soirées, soirées foirées Quand les soirées ne se passent pas comme prévu.
Musiques :- D'Julz - Da madness- Point G - Braka- Point G - Underwater- DJ Deep - Happy people- Sergie Rezza - Treehouse
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


607 - Technopolis (3/9) : Sacrées soirées, soirées foirées
La vraie vie des DJ : galères et bons moments
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
3. Sacrées soirées, soirées foirées Quand les soirées ne se passent pas comme prévu.
Musiques :- D'Julz - Da madness- Point G - Braka- Point G - Underwater- DJ Deep - Happy people- Sergie Rezza - Treehouse
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


609 - Technopolis (2/9) : Tombé dans la nuit
La vraie vie des DJ : les débuts
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
2. Tombé dans la nuit Comment on devient DJ.
Musiques :- D’Julz - Da madness- D’Julz - Silent drums IX- Siler - Saint eustache
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


606 - Technopolis (2/9) : Tombé dans la nuit
La vraie vie des DJ : les débuts
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
2. Tombé dans la nuit Comment on devient DJ.
Musiques :- D’Julz - Da madness- D’Julz - Silent drums IX- Siler - Saint eustache
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


608 - Technopolis (1/9) : DJ c'est un métier
La vraie vie des DJ
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
1. DJ c’est un métier Mais il faut d'abord en convaincre ses parents...
Musiques :- D’Julz - Da madness- DJ Gregory - Tropical soundclash- Sergie Rezza - Eclipse- Point G - Braka- D’Julz - Acid trix- D’Julz - Silent drums IV- DJ Deep - Swinging with the P- D’Julz - Nuage
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


605 - Technopolis (1/9) : DJ c'est un métier
La vraie vie des DJ
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
1. DJ c’est un métier Mais il faut d'abord en convaincre ses parents...
Musiques :- D’Julz - Da madness- DJ Gregory - Tropical soundclash- Sergie Rezza - Eclipse- Point G - Braka- D’Julz - Acid trix- D’Julz - Silent drums IV- DJ Deep - Swinging with the P- D’Julz - Nuage
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


524 - Vous êtes bien chez Sophie (3/3)
20 ans après, la voix de l'amour est intacte
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des dizaines de cassettes audio accumulées, des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 3En 1993, Sophie débarque à la Maison de la Radio comme Alice au pays des merveilles. Une année charnière, où l’amour du son s’entremêle avec l’amour tout court. Un premier stage, une rencontre explosive et décisive avec l’homme idéal, qui, dans les années 90 à Paris et en tout cas pour Sophie, se devait forcément d’être brun, latino ou breton, avec des pattes et délicieusement torturé…
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio


523 - Vous êtes bien chez Sophie (2/3)
Mes amies, mes amants, le répondeur de mes vingt ans
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 2Installée dans son studio de Bastille, Sophie, grâce à son répondeur, découvre la liberté. Après trois ans d‘amour fou avec Stéphane qu’elle a connu au lycée, la jeune femme - pour qui l’indépendance est la valeur suprême - multiplie les aventures : Antony, Serge et Michel, fan de l’émission « Là-bas si j’y suis », et qui lui offre son premier enregistreur. Peu à peu, les K7 de son petit Sony viennent grossir la pile déjà grande des K7 du répondeur : Sophie découvre la radio...
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré


522 - Vous êtes bien chez Sophie (1/3)
J'ai gardé les messages du répondeur de mes 20 ans
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des dizaines de cassettes audio accumulées, des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique des voix de son passé. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 1 Le répondeur téléphonique fait partie de ces inventions, comme le minitel ou le bi-bop, qui ont révolutionné la façon de vivre d’une génération. C’est d’ailleurs le tout premier objet acheté par Sophie pour meubler son tout premier studio, dans le quartier de la Bastille, à Paris, en 1989. Pour elle et pour sa bande de copains, cette machine est vite devenue la pierre angulaire de leur vie sociale. Mais pour Sophie, atteinte du "syndrome du sablier" qui ne veut pas que le temps s’écoule ni que les bons moment disparaissent, le répondeur a vite représenté beaucoup plus que tout ça…
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré
646 - Comme un pied (12 et fin)
Trois petits cailloux blancs (12/12)
Rendu furieux par la mort brutal de son ami, Memed (Adama Diop) pète les plombs sur le terrain. Va t-il révéler les tricheries de la Présidente (Florence Loiret-Caille) ? Dernier épisode d'une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique : Arnaud Forest - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
199 - Comme un pied (12 et fin)
Trois petits cailloux blancs (12/12)
Rendu furieux par la mort brutal de son ami, Memed (Adama Diop) pète les plombs sur le terrain. Va t-il révéler les tricheries de la Présidente (Florence Loiret-Caille) ? Dernier épisode d'une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique : Arnaud Forest - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
642 - Comme un pied (11)
Mort au champ d'honneur (11/12)
C'est le grand match contre Clermont-Ferrand. Les commentateurs (Christophe Brault) s'étonnent de la prestation pitoyable de Saint-Murc. Alors que Memed (Adama Diop) est toujours sur le banc, La Tourette (Slimane Yefsah) tombe sur la pelouse... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.Home Goal (11/12 - He fell on the field of battle) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits.
Enregistrement : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Production : Sara Monimart & Chloé Assous-Plunian - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
198 - Comme un pied (11)
Mort au champ d'honneur (11/12)
C'est le grand match contre Clermont-Ferrand. Les commentateurs (Christophe Brault) s'étonnent de la prestation pitoyable de Saint-Murc. Alors que Memed (Adama Diop) est toujours sur le banc, La Tourette (Slimane Yefsah) tombe sur la pelouse... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.Home Goal (11/12 - He fell on the field of battle) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits.
Enregistrement : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Production : Sara Monimart & Chloé Assous-Plunian - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
643 - Comme un pied (10)
En route pour la gloire (10/12)
Grâce aux matches truqués, l'équipe de St-Murc monte et les joueurs découvrent les médias. L'agent (Christophe Brault) a déjà vendu Memed (Adama Diop) à un grand club. En vue d'un match décisif, entraînement sous les regards de la Présidente (Florence Loiret-Caille), du coach (Jackie Berroyer) et du préparateur physique (Paul Filippi). Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Stagiaire : Elodie Fiat - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
197 - Comme un pied (10)
En route pour la gloire (10/12)
Grâce aux matches truqués, l'équipe de St-Murc monte et les joueurs découvrent les médias. L'agent (Christophe Brault) a déjà vendu Memed (Adama Diop) à un grand club. En vue d'un match décisif, entraînement sous les regards de la Présidente (Florence Loiret-Caille), du coach (Jackie Berroyer) et du préparateur physique (Paul Filippi). Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Stagiaire : Elodie Fiat - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
644 - Comme un pied (9)
Un grand vide au vestaire (9/12)
Alors que Wei (Yucheng Sun) attire les médias chinois, Memed (Adama Diop) voit Saint-Murc monter grâce aux matches truqués. La Tourette (Slimane Yefsah) a même recours au dopage. La Présidente (Florence Loiret Caille) et l'entraîneur (Jackie Berroyer) sont contents, l'agent et les commentateurs (Christophe Brault) aussi. Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique : Arnaud Forest - Scripte : Mathilde Guermonprez - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
196 - Comme un pied (9)
Un grand vide au vestaire (9/12)
Alors que Wei (Yucheng Sun) attire les médias chinois, Memed (Adama Diop) voit Saint-Murc monter grâce aux matches truqués. La Tourette (Slimane Yefsah) a même recours au dopage. La Présidente (Florence Loiret Caille) et l'entraîneur (Jackie Berroyer) sont contents, l'agent et les commentateurs (Christophe Brault) aussi. Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique : Arnaud Forest - Scripte : Mathilde Guermonprez - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
645 - Comme un pied (8)
La recette de l'amour foot (8/12)
Lors d'une fête, La Tourette (Slimane Yefsah) remercie le club à sa manière. La présidente (Florence Loiret-Caille) invite Memed (Adama Diop) à passer chez elle. Elle parle wolof et sait cuisiner le maffé... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.Home Goal (8/12 - The recipe for football love) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Bruitages : Sophie Bissantz, Cyril Menauge - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
195 - Comme un pied (8)
La recette de l'amour foot (8/12)
Lors d'une fête, La Tourette (Slimane Yefsah) remercie le club à sa manière. La présidente (Florence Loiret-Caille) invite Memed (Adama Diop) à passer chez elle. Elle parle wolof et sait cuisiner le maffé... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.Home Goal (8/12 - The recipe for football love) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Bruitages : Sophie Bissantz, Cyril Menauge - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
647 - Comme un pied (7)
Karaoké à la chinoise (7/12)
La Tourette (Slimane Yefsah) est amoureux ! L'autre grande nouvelle au club de St-Murc, c'est l'arrivée de Wei (Yucheng Sun), un joueur venu de Chine. Entre exilés solitaires loin de leur foyer, le courant passe avec Memed (Adama Diop) et le reste de l'équipe lors d'une soirée karaoké bien arrosée... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
194 - Comme un pied (7)
Karaoké à la chinoise (7/12)
La Tourette (Slimane Yefsah) est amoureux ! L'autre grande nouvelle au club de St-Murc, c'est l'arrivée de Wei (Yucheng Sun), un joueur venu de Chine. Entre exilés solitaires loin de leur foyer, le courant passe avec Memed (Adama Diop) et le reste de l'équipe lors d'une soirée karaoké bien arrosée... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
648 - Comme un pied (6)
La véritable histoire de Memed (6/12)
Où l'on apprend comment Memed (Adama Diop) a quitté le Sénégal pour la France, et l'on entend la chaude ambiances des vestiaires du club avec le coach (Jackie Berroyer), La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid), Dani (Jonathan Cohen), Frankie (Mohamed Rouabhi)... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Préparateur physique : Paul Filippi - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
193 - Comme un pied (6)
La véritable histoire de Memed (6/12)
Où l'on apprend comment Memed (Adama Diop) a quitté le Sénégal pour la France, et l'on entend la chaude ambiances des vestiaires du club avec le coach (Jackie Berroyer), La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid), Dani (Jonathan Cohen), Frankie (Mohamed Rouabhi)... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Préparateur physique : Paul Filippi - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
649 - Comme un pied (5)
L'enfant qui rêvait au football (5/12)
Le petit club de Saint-Murc monte dans le championnat, encouragé par les commentateurs sportifs (Christophe Brault). Memed (Adama Diop) raconte comment un petit joueur africain a débarqué un jour en France, provoquant la surprise chez ses partenaires, Frankie (Mohamed Rouabhi), La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid) et Dani (Jonathan Cohen). Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
192 - Comme un pied (5)
L'enfant qui rêvait au football (5/12)
Le petit club de Saint-Murc monte dans le championnat, encouragé par les commentateurs sportifs (Christophe Brault). Memed (Adama Diop) raconte comment un petit joueur africain a débarqué un jour en France, provoquant la surprise chez ses partenaires, Frankie (Mohamed Rouabhi), La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid) et Dani (Jonathan Cohen). Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
650 - Comme un pied (4)
Parier comporte des risques (4/12)
L'agent qui gère sa carrière (Christophe Brault) met en garde Memed (Adama Diop) contre le mystérieux M. Yes. Celui-ci aurait déjà sévi dans les championnats européens, truquant des matches de foot pour gagner les paris. Memed rêve à sa famille restée à Dakar... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique originale : Arnaud Forest - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
191 - Comme un pied (4)
Parier comporte des risques (4/12)
L'agent qui gère sa carrière (Christophe Brault) met en garde Memed (Adama Diop) contre le mystérieux M. Yes. Celui-ci aurait déjà sévi dans les championnats européens, truquant des matches de foot pour gagner les paris. Memed rêve à sa famille restée à Dakar... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique originale : Arnaud Forest - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
651 - Comme un pied (3)
La montagne ça vous gagne (3/12)
Memed (Adama Diop) et toute l'équipe de football de St-Murc (Slimane Yefsah, Jonathan Cohen, Mustapha Abourachid, Mohamed Rouabhi) font un stage en montagne. Pendant ce temps la Présidente (Florence Loiret-Caille) et l'entraîneur (Jackie Berroyer) rencontrent le roi des Chinois (Yucheng Sun) qui veut bien investir dans le club à condition de truquer les matches. Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
190 - Comme un pied (3)
La montagne ça vous gagne (3/12)
Memed (Adama Diop) et toute l'équipe de football de St-Murc (Slimane Yefsah, Jonathan Cohen, Mustapha Abourachid, Mohamed Rouabhi) font un stage en montagne. Pendant ce temps la Présidente (Florence Loiret-Caille) et l'entraîneur (Jackie Berroyer) rencontrent le roi des Chinois (Yucheng Sun) qui veut bien investir dans le club à condition de truquer les matches. Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
652 - Comme un pied (2)
Les ambitions de la Présidente (2/12)
Memed (Adama Diop), jeune joueur de foot, débarque au petit club de St-Murc. Celui-ci est dirigé d'une main de fer par la Présidente (Florence Loiret-Caille), qui en a hérité de son père (Christophe Brault) avec une usine de gâteaux bio. Pour sauver ses affaires, la Présidente veut faire appel à un mystérieux investisseur, le roi des Chinois... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Bruitages : Sophie Bissantz & Cyril Menauge - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
189 - Comme un pied (2)
Les ambitions de la Présidente (2/12)
Memed (Adama Diop), jeune joueur de foot, débarque au petit club de St-Murc. Celui-ci est dirigé d'une main de fer par la Présidente (Florence Loiret-Caille), qui en a hérité de son père (Christophe Brault) avec une usine de gâteaux bio. Pour sauver ses affaires, la Présidente veut faire appel à un mystérieux investisseur, le roi des Chinois... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Bruitages : Sophie Bissantz & Cyril Menauge - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
653 - Comme un pied (1)
Nouveau club pour Memed (1/12)
Memed (Adama Diop) est un jeune joueur de football venu du Sénégal. Grâce à son agent (Christophe Brault), il débarque en France au petit club de St-Murc. L'entraîneur (Jackie Berroyer) lui présente l'équipe : La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid), Dani (Jonathan Cohen), Frankie (Mohamed Rouabhi)... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Home Goal (1/12 - A new club for Memet) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Prises de son : Samuel Hirsch & Arnaud Forest - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
188 - Comme un pied (1)
Nouveau club pour Memed (1/12)
Memed (Adama Diop) est un jeune joueur de football venu du Sénégal. Grâce à son agent (Christophe Brault), il débarque en France au petit club de St-Murc. L'entraîneur (Jackie Berroyer) lui présente l'équipe : La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid), Dani (Jonathan Cohen), Frankie (Mohamed Rouabhi)... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Home Goal (1/12 - A new club for Memet) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits.
Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Prises de son : Samuel Hirsch & Arnaud Forest - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest