682 - Bande-annonce La route de l'Eldorado
Parcours d’exils de la France au Canada
Ils et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.
Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio
- Musiques originales : Samuel Hirsch


681 - Le bocal (24/24)
L'apocalypse
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


680 - Le bocal (23/24)
La fiction radio
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


679 - Le bocal (22/24)
Le 2e CDD
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


678 - Le bocal (21/24)
Le renouvellement
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


677 - Le bocal (20/24)
La déprime
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


676 - Le bocal (19/24)
Le sauveur
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


675 - Le bocal (18/24)
La journée de formation
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


674 - Le bocal (17/24)
La médecine du travail
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


673 - Le bocal (16/24)
Les bien loties
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


672 - Le bocal (15/24)
L'employée modèle
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


671 - Le bocal (14/24)
Les heures manquantes
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


670 - Le bocal (13/24)
L'esprit d'équipe
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


669 - Le bocal (12/24)
L'externalisation des hôtesses d'accueil
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


668 - Le bocal (11/24)
Le trajet pour le bureau
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


667 - Le bocal (10/24)
Calamar en colère
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


666 - Le bocal (9/24)
L'accueil du public
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


665 - Le bocal (8/24)
Le service collectivité
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


664 - Le bocal (7/24)
La nouvelle
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


663 - Le bocal (6/24)
Critiques au bureau
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


662 - Le bocal (5/24)
Le jour de l'inauguration
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.
24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


661 - Le bocal (4/24)
Les heures sup s'accumulent
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


660 - Le bocal (3/24)
Un calamar hors de l'eau
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


659 - Le bocal (2/24)
Le bureau B19
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


658 - Le bocal (1/24)
Description des bureaux
Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction politique et drôle, entre journal intime et cartoon. Prix Europa 2008 de la Meilleure Fiction radio.
Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle prestigieuse (que nous ne nommerons pas). L'immense Delphine Théodore joue Mariannick tandis que le grand Christophe Brault joue le calamar et tous les autres personnages. Sophie Bissantz bruite le calamar avec des spaghettis jetés sur la vitre du studio, ainsi que plein d'autres trucs. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec Mariannick. Traduit en tchèque et en chinois, "Le Bocal" a marqué l'histoire de la fiction sonore en rapportant son premier prix Europa à ARTE Radio, et en prouvant qu'on pouvait faire court, plaisant et politique.
Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio


656 - La cage, une Française dans le djihad (4/4) : Revivre
L'heure de la justice
En mars 2019, Nessrine est renvoyée en France après avoir été arrêtée par les autorités turques à sa sortie de Syrie. Mise en examen pour "association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste", elle est immédiatement incarcérée et séparée de son fils et de sa fille. Libérée après un an et demi de détention, Nessrine est aujourd’hui placée sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès où elle risque une très lourde peine. Elle suit une thérapie et tente de se recontruire avec ses enfants.
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


655 - La cage, une Française dans le djihad (3/4) : La terreur
L'espoir dans la pénombre
Fin 2014, Nessrine arrive à Raqqa, devenue capitale syrienne de l’État Islamique. La ville millénaire est paralysée par la terreur imposée par l’organisation terroriste. Les frappes aériennes du régime de Damas et de son allié russe sont de plus en plus fréquentes. Puis viennent celles de la coalition internationale. C’est à Raqqa que Nessrine donne naissance à ses deux enfants. Et c’est pour eux qu’elle trouve la force de fuir Daech.
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


654 - La cage, une Française dans le djihad (2/4) : Enfermée
Prise au piège dans le djihad
À son arrivée en Syrie, Nessrine se retrouve rapidement plongée dans la violence. D’abord celle de l'homme qu’elle a épousé sans le connaitre, mais aussi celle des autres Françaises qui l’entourent. Prise au piège, elle ne parvient pas à s’enfuir. Après la mort de son premier mari, et sous la pression des autres femmes de l’État Islamique, elle accepte de se remarier.
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


657 - La cage, une Française dans le djihad (1/4) : Les failles
Comment une jeune Française a rejoint le djihad
Nessrine grandit dans un cadre familial étouffant et violent qui lui vaut d'être surnommée « la prisonnière » par ses amis d’école. À l’université, la jeune femme s’isole et se réfugie sur les réseaux sociaux. C’est là qu’elle croise une recruteuse pour des candidat.e.s au djihad en Syrie. Convaincue qu’une vie meilleure l’attend, elle se marie par Skype à un Français djihadiste déjà sur place, quelques semaines après sa radicalisation. Le 9 décembre 2013, âgée de 22 ans, Nessrine embarque dans un avion pour partir en Syrie...
La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
"Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.
Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.
Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio


640 - La Cité des hommes (9/9) : l'héritage
Ma cité s'appelait Paganini
Vivre dans une cité c’est une expérience unique. Un lieu où l’on n’est jamais seul, où l’on ressent une promiscuité parfois pesante, mais qui est aussi un espace d’entraide et de fraternité. Pour les garçons plus encore que pour les filles, elle se révèle comme un terrain d’apprentissage, une école de la vie. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


638 - La Cité des hommes (9/9) : l'héritage
Ma cité s'appelait Paganini
Vivre dans une cité c’est une expérience unique. Un lieu où l’on n’est jamais seul, où l’on ressent une promiscuité parfois pesante, mais qui est aussi un espace d’entraide et de fraternité. Pour les garçons plus encore que pour les filles, elle se révèle comme un terrain d’apprentissage, une école de la vie. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


638 - La Cité des hommes (8/9) : la cassure
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans dans un quartier populaire de Paris la cité Paganini sortait de terre. Un ensemble d’immeubles modernes, avec ses équipements, ses services et ses commerces. Aujourd’hui elle n’a plus la même apparence. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


637 - La Cité des hommes (8/9) : la cassure
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans dans un quartier populaire de Paris la cité Paganini sortait de terre. Un ensemble d’immeubles modernes, avec ses équipements, ses services et ses commerces. Aujourd’hui elle n’a plus la même apparence. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


639 - La Cité des hommes (7/9) : les filles
Ma cité s'appelait Paganini
En 85, la cité Paganini sortait de terre. A notre arrivée, nous étions tous des gamins et on jouait tous ensemble. En grandissant nous nous sommes séparés, les filles à l’intérieur et les gars à l’extérieur… La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire.A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. « Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


635 - La Cité des hommes (7/9) : les filles
Ma cité s'appelait Paganini
En 85, la cité Paganini sortait de terre. A notre arrivée, nous étions tous des gamins et on jouait tous ensemble. En grandissant nous nous sommes séparés, les filles à l’intérieur et les gars à l’extérieur… La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire.A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. « Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


637 - La Cité des hommes (6/9) : la charriance
Ma cité s'appelait Paganini
Une cité c’est un petit pays avec son territoire, ses codes, ses valeurs et sa propre langue. Une langue inventée et parlée uniquement par ses habitants, où seul compte le pouvoir des vannes et de la « charriance ». La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


636 - La Cité des hommes (6/9) : la charriance
Ma cité s'appelait Paganini
Une cité c’est un petit pays avec son territoire, ses codes, ses valeurs et sa propre langue. Une langue inventée et parlée uniquement par ses habitants, où seul compte le pouvoir des vannes et de la « charriance ». La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


634 - La Cité des hommes (5/9) : les bastons
Ma cité s'appelait Paganini
Les embrouilles avec d’autres cités, pourtant en tous points identiques à la nôtre, étaient fréquentes. Les garçons portent sur leur jeunesse un regard lucide. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


634 - La Cité des hommes (5/9) : les bastons
Ma cité s'appelait Paganini
Les embrouilles avec d’autres cités, pourtant en tous points identiques à la nôtre, étaient fréquentes. Les garçons portent sur leur jeunesse un regard lucide. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


633 - La Cité des hommes (4/9) : la délinquance
Ma cité s'appelait Paganini
J’ai grandi cité Paganini, une cité construite dans les années 80 dans un quartier populaire de Paris. J’ai grandi là mais en tant que fille, j’étais à l’écart, comme protégée de la vie de la cité, de la vie nocturne, de la vie parallèle : la vie des garçons et de leurs trafics. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


633 - La Cité des hommes (4/9) : la délinquance
Ma cité s'appelait Paganini
J’ai grandi cité Paganini, une cité construite dans les années 80 dans un quartier populaire de Paris. J’ai grandi là mais en tant que fille, j’étais à l’écart, comme protégée de la vie de la cité, de la vie nocturne, de la vie parallèle : la vie des garçons et de leurs trafics. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


635 - La Cité des hommes (3/9) : La mixité
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir en cité, c’est surtout un formidable melting-pot. A Paga se croisent sans heurts des familles de Blancs, Noirs, Arabes, Juifs, Antillais, Africains chrétiens et musulmans… Ce sont leurs voix diverses qui animent la série. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


632 - La Cité des hommes (3/9) : La mixité
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir en cité, c’est surtout un formidable melting-pot. A Paga se croisent sans heurts des familles de Blancs, Noirs, Arabes, Juifs, Antillais, Africains chrétiens et musulmans… Ce sont leurs voix diverses qui animent la série. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


636 - La Cité des hommes (2/9) : L'amitié
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir dans une cité, c’est particulier. On connaît tout le monde et tout le monde nous connaît. On y tisse des amitiés solides, sincères et fidèles – ici de l’école primaire à la quarantaine ! 20 ans plus tard j’ai retrouvé les copains de Paga pour qu’ils me racontent notre cité, leur cité. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.
« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


631 - La Cité des hommes (2/9) : L'amitié
Ma cité s'appelait Paganini
Grandir dans une cité, c’est particulier. On connaît tout le monde et tout le monde nous connaît. On y tisse des amitiés solides, sincères et fidèles – ici de l’école primaire à la quarantaine ! 20 ans plus tard j’ai retrouvé les copains de Paga pour qu’ils me racontent notre cité, leur cité. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.
« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


641 - La Cité des hommes (1/9) : L'arrivée
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans, ils étaient des enfants, les premiers habitants de Paganini. Ils racontent leur arrivée dans cette cité flambant neuve du XXe arrondissement de Paris. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. Les gars de Paga« Ma cité s’appelait « Paganini », mais pour nous c’était Paga. Une cité de l’Est parisien. Une cité populaire du XXe arrondissement, sortie de terre au milieu des années 80. 20 bâtiments, 600 logements, 2000 habitants, un parc, une école, un cabinet médical, un magasin alimentaire, un coiffeur et deux restaurants. Je suis arrivée à Paga à 6 ans en 85. J’en suis partie à 22 ans en 2001. 15 ans dans l’appartement 73, 7e étage, bâtiment 7.Vivre à Paga dans ces années-là, selon qu’on soit une fille ou un garçon, ce n’est pas la même chose. A l’extérieur, ce territoire semble exclusivement masculin. Les garçons qui y habitent sont aussi les gardiens de la cité. Des halls au parking, des toits aux caves, ils en détiennent les clés. Ils l’occupent, ils la squattent, la défendent, se battent pour elle… Ils la malmènent mais l’aiment profondément.C’est cette histoire que racontent Cédric, Charlin, Samir, Robinson, Franck, Madala, Mohamed, Giscard, Tarik, Rodney, Silvio, Guillaume et Kassim. Pendant 9 épisodes, ils évoquent leur arrivée au quartier, leur amitié depuis l’école primaire à l’âge adulte, la mixité des origines et des religions, la petite délinquance, mais aussi les guerres de territoires entre cités pourtant identiques, la « charriance » des vannes et du langage, le rapport compliqué aux filles, le démantèlement de la cité et pour finir l’héritage de cette expérience commune.
Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


630 - La Cité des hommes (1/9) : L'arrivée
Ma cité s'appelait Paganini
Il y a 35 ans, ils étaient des enfants, les premiers habitants de Paganini. Ils racontent leur arrivée dans cette cité flambant neuve du XXe arrondissement de Paris. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture. Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. Les gars de Paga« Ma cité s’appelait « Paganini », mais pour nous c’était Paga. Une cité de l’Est parisien. Une cité populaire du XXe arrondissement, sortie de terre au milieu des années 80. 20 bâtiments, 600 logements, 2000 habitants, un parc, une école, un cabinet médical, un magasin alimentaire, un coiffeur et deux restaurants. Je suis arrivée à Paga à 6 ans en 85. J’en suis partie à 22 ans en 2001. 15 ans dans l’appartement 73, 7e étage, bâtiment 7.Vivre à Paga dans ces années-là, selon qu’on soit une fille ou un garçon, ce n’est pas la même chose. A l’extérieur, ce territoire semble exclusivement masculin. Les garçons qui y habitent sont aussi les gardiens de la cité. Des halls au parking, des toits aux caves, ils en détiennent les clés. Ils l’occupent, ils la squattent, la défendent, se battent pour elle… Ils la malmènent mais l’aiment profondément.C’est cette histoire que racontent Cédric, Charlin, Samir, Robinson, Franck, Madala, Mohamed, Giscard, Tarik, Rodney, Silvio, Guillaume et Kassim. Pendant 9 épisodes, ils évoquent leur arrivée au quartier, leur amitié depuis l’école primaire à l’âge adulte, la mixité des origines et des religions, la petite délinquance, mais aussi les guerres de territoires entre cités pourtant identiques, la « charriance » des vannes et du langage, le rapport compliqué aux filles, le démantèlement de la cité et pour finir l’héritage de cette expérience commune.
Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.
Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Samuel Hirsch


632 - Carnets de correspondante (5/5) : Rendre l’antenne
Ma vie de journaliste sur le terrain
Lassée d’être dans le viseur des autorités israéliennes et épuisée par ses conditions de travail ultra-précaires, Marine Vlahovic décide de quitter Ramallah et son costume de correspondante. Un départ à la fois libérateur et déchirant. A son retour en France, la journaliste continue de subir des pressions des organisations militantes et, pour la première fois, elle est confrontée à la censure. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Arnaud Forest


626 - Carnets de correspondante (5/5) : Rendre l’antenne
Ma vie de journaliste sur le terrain
Lassée d’être dans le viseur des autorités israéliennes et épuisée par ses conditions de travail ultra-précaires, Marine Vlahovic décide de quitter Ramallah et son costume de correspondante. Un départ à la fois libérateur et déchirant. A son retour en France, la journaliste continue de subir des pressions des organisations militantes et, pour la première fois, elle est confrontée à la censure. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musique originale : Arnaud Forest


631 - Carnets de correspondante (4/5) : Entre les mondes
Ma vie de journaliste sur le terrain
Les balles des snipers israéliens sifflent à la frontière entre la bande de Gaza et l’Etat hébreu, et frôlent l'oreille de la journaliste. Marine Vlahovic navigue entre ces deux mondes séparés par un mur de béton et de haine. En Terre sainte, ce n’est pas une mais trois religions qui rythment sa vie personnelle et professionnelle. Prise à partie par les soldats et les colons, la journaliste tente de sauver une vieille amitié mise à rude épreuve par ce conflit qui n’est pas le sien. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


625 - Carnets de correspondante (4/5) : Entre les mondes
Ma vie de journaliste sur le terrain
Les balles des snipers israéliens sifflent à la frontière entre la bande de Gaza et l’Etat hébreu, et frôlent l'oreille de la journaliste. Marine Vlahovic navigue entre ces deux mondes séparés par un mur de béton et de haine. En Terre sainte, ce n’est pas une mais trois religions qui rythment sa vie personnelle et professionnelle. Prise à partie par les soldats et les colons, la journaliste tente de sauver une vieille amitié mise à rude épreuve par ce conflit qui n’est pas le sien. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


630 - Carnets de correspondante (3/5) : La guerre promise
Ma vie de journaliste sur le terrain
Dans les Territoires occupés, les manifestations se suivent et se ressemblent et la nouvelle Intifada tarde à éclater. En attendant la “guerre promise” et leur heure de gloire, les journalistes font la bringue. A Ramallah, Marine Vlahovic enchaine les soirées arrosées et les histoires sans lendemain avec des amants des deux côtés du Mur alors que les bombes tombent sur la bande de Gaza. Un territoire verrouillé que la correspondante découvre en tournant sur place des reportages télévisés “à sensation”. Avant de couvrir les convulsions qui secouent l’enclave depuis chez elle, en pyjama. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


624 - Carnets de correspondante (3/5) : La guerre promise
Ma vie de journaliste sur le terrain
Dans les Territoires occupés, les manifestations se suivent et se ressemblent et la nouvelle Intifada tarde à éclater. En attendant la “guerre promise” et leur heure de gloire, les journalistes font la bringue. A Ramallah, Marine Vlahovic enchaine les soirées arrosées et les histoires sans lendemain avec des amants des deux côtés du Mur alors que les bombes tombent sur la bande de Gaza. Un territoire verrouillé que la correspondante découvre en tournant sur place des reportages télévisés “à sensation”. Avant de couvrir les convulsions qui secouent l’enclave depuis chez elle, en pyjama. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


629 - Carnets de correspondante (2/5) : Le temps c’est de l’info
Ma vie de journaliste sur le terrain
Comme les bouquets de feu d'artifice qui fusent dans le ciel de Ramallah, "Marine la machine" a la tête qui explose. Depuis sa maison-studio, elle produit de l'information à la chaîne. Un contre-la-montre au diapason des rédactions parisiennes sous le règne de l'urgence et de la pression. Dopée au café-clopes, la correspondante jongle entre les commandes imprévues, les conférences de presse interminables de l'Autorité palestinienne, les micro-trottoirs prétextes et les reportages chronométrés aux quatre coins des Territoires pour alimenter le flux de l'actualité. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


623 - Carnets de correspondante (2/5) : Le temps c’est de l’info
Ma vie de journaliste sur le terrain
Comme les bouquets de feu d'artifice qui fusent dans le ciel de Ramallah, "Marine la machine" a la tête qui explose. Depuis sa maison-studio, elle produit de l'information à la chaîne. Un contre-la-montre au diapason des rédactions parisiennes sous le règne de l'urgence et de la pression. Dopée au café-clopes, la correspondante jongle entre les commandes imprévues, les conférences de presse interminables de l'Autorité palestinienne, les micro-trottoirs prétextes et les reportages chronométrés aux quatre coins des Territoires pour alimenter le flux de l'actualité. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


628 - Carnets de correspondante (1/5) : En direct de Ramallah
Ma vie de journaliste sur le terrain
Etre journaliste au Proche-Orient, c’est le Graal de la profession. Quand le poste de correspondant en Palestine s’est libéré en 2016, Marine Vlahovic a sauté sur l’occasion et s’est installée dans une maisonnette avec jardin en bordure de Ramallah. C’est le début d’une vie en alerte et sous pression, coincée dans les embouteillages au checkpoint, loin du quotidien fantasmé des reporters de guerre. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast FestivalCarnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musiques originales : Arnaud Forest


622 - Carnets de correspondante (1/5) : En direct de Ramallah
Ma vie de journaliste sur le terrain
Etre journaliste au Proche-Orient, c’est le Graal de la profession. Quand le poste de correspondant en Palestine s’est libéré en 2016, Marine Vlahovic a sauté sur l’occasion et s’est installée dans une maisonnette avec jardin en bordure de Ramallah. C’est le début d’une vie en alerte et sous pression, coincée dans les embouteillages au checkpoint, loin du quotidien fantasmé des reporters de guerre.
Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.
Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
- Musiques originales : Arnaud Forest


629 - Game Lover (3/3) : River, premier amour sur l’Ile aux rochers
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 3
River a 13 ans la première fois qu’elle rencontre Hulan sur l'Île aux Rochers, l’univers paradisiaque de Lifespan. L’adolescent vit dans une petite ville en Picardie et River sait que cela prendra du temps avant qu’elle puisse rencontrer "pour de vrai" son premier amour. Mais Hulan joue-t-il à un jeu ou prend-il leur amour au sérieux ?
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Sarah-Megan Allouch (River), Théophile Fontaine (Hulan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


627 - Game Lover (3/3) : River, premier amour sur l’Ile aux rochers
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 3
River a 13 ans la première fois qu’elle rencontre Hulan sur l'Île aux Rochers, l’univers paradisiaque de Lifespan. L’adolescent vit dans une petite ville en Picardie et River sait que cela prendra du temps avant qu’elle puisse rencontrer "pour de vrai" son premier amour. Mais Hulan joue-t-il à un jeu ou prend-il leur amour au sérieux ?
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Sarah-Megan Allouch (River), Théophile Fontaine (Hulan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


628 - Game Lover (2/3) : Erwan, une romance sur Artheros
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 2
Erwan est un mage solitaire. Lui qui aime tant soigner ses coéquipiers sur le champ de bataille ne veut plus jouer avec les autres, sous prétexte qu’il est trop fort pour eux. Mais à Artheros, monde heroïc-fantasy de Lifespan, ce jeune gamer mal dans sa peau va rencontrer une joueuse hors pair qui lui fera quitter sa solitude…
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Quentin Dolmaire (Erwan), Gabrielle Varoquier (Emma) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


626 - Game Lover (2/3) : Erwan, une romance sur Artheros
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 2
Erwan est un mage solitaire. Lui qui aime tant soigner ses coéquipiers sur le champ de bataille ne veut plus jouer avec les autres, sous prétexte qu’il est trop fort pour eux. Mais à Artheros, monde heroïc-fantasy de Lifespan, ce jeune gamer mal dans sa peau va rencontrer une joueuse hors pair qui lui fera quitter sa solitude…
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Quentin Dolmaire (Erwan), Gabrielle Varoquier (Emma) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


627 - Game Lover (1/3) : Léa, coup de foudre sur Calycé
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 1
Léa, une aide-soignante, vit dans une bourgade proche de Fontainebleau (77) quand elle se met à jouer compulsivement à Lifespan, le jeu vidéo que son copain lui a offert pour ses 20 ans. Dans la peau d’une punk hackeuse, elle navigue dans le monde galactique de Calycé, jusqu’au jour où un avatar hypersexualisé va éveiller ses désirs cachés...
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Clémence Boisnard (Léa), Annabelle Martella (Sarah), Raphaël Marriq (Gaëtan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


625 - Game Lover (1/3) : Léa, coup de foudre sur Calycé
Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 1
Léa, une aide-soignante, vit dans une bourgade proche de Fontainebleau (77) quand elle se met à jouer compulsivement à Lifespan, le jeu vidéo que son copain lui a offert pour ses 20 ans. Dans la peau d’une punk hackeuse, elle navigue dans le monde galactique de Calycé, jusqu’au jour où un avatar hypersexualisé va éveiller ses désirs cachés...
Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.
Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Clémence Boisnard (Léa), Annabelle Martella (Sarah), Raphaël Marriq (Gaëtan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné
- Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff


624 - Tout fout le camp (4/4) : Jeunes de toutes les époques, unissez-vous !
Comment lutter avec ses propres mots
Comment, à chaque époque, les jeunes se sont-ils emparés des mots pour se tailler une place dans le monde des adultes ? En nous confiant leur lien intime avec le langage, entre violence et aisance, les jeunes que l’on écoute nous montrent combien la bataille avec le langage est un enjeu intemporel. En entremêlant les voix des jeunes d’hier et d’aujourd’hui, il apparait plus clairement encore combien, plus que le temps, c’est surtout l’espace social qui détermine l’aisance avec laquelle on manie la langue. Saurez-vous dater les extraits qui composent ce dernier épisode ?
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Léana, Manel, Mourad, Sana, Toumany, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Nuits Magnétiques, Les Chemins de la connaissance, Mercredi Jeunesse, Inter Actualités
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier.Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


621 - Tout fout le camp (4/4) : Jeunes de toutes les époques, unissez-vous !
Comment lutter avec ses propres mots
Comment, à chaque époque, les jeunes se sont-ils emparés des mots pour se tailler une place dans le monde des adultes ? En nous confiant leur lien intime avec le langage, entre violence et aisance, les jeunes que l’on écoute nous montrent combien la bataille avec le langage est un enjeu intemporel. En entremêlant les voix des jeunes d’hier et d’aujourd’hui, il apparait plus clairement encore combien, plus que le temps, c’est surtout l’espace social qui détermine l’aisance avec laquelle on manie la langue. Saurez-vous dater les extraits qui composent ce dernier épisode ?
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Léana, Manel, Mourad, Sana, Toumany, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Nuits Magnétiques, Les Chemins de la connaissance, Mercredi Jeunesse, Inter Actualités
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier.Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


623 - Tout fout le camp (3/4) : OK Boomer !
Manuel de survie en milieu jeune
Qu’est-ce qui aujourd’hui façonne « le langage des jeunes » ? Quels sont les mots nouveaux, quels sont les usages ? Dans ce troisième épisode, treize jeunes nous prennent par la main pour nous expliquer leur rapport avec ce langage. Leur plaisir et leur déplaisir à manier les mots qui circulent parfois à une vitesse vertigineuse, laissant les boomers sur le carreau. Et leurs stratégies à chacun et chacune pour se singulariser, ou passer incognito.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Amélie, Ben Mohammed, Héloïse, Léana, Léonore, Manel, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Bien entendu, Radioscopie, Tribune de Paris, Le Chemin des écoliers, Le Masque et la Plume.
Musique additionnelle (archive INA) : Damia, Tout fout l'camp
Musiques additionnelles : - Jul, BDG- Nicki Minaj, Did It On'em- Extraits YouTube : OhPlai, Rayton
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


620 - Tout fout le camp (3/4) : OK Boomer !
Manuel de survie en milieu jeune
Qu’est-ce qui aujourd’hui façonne « le langage des jeunes » ? Quels sont les mots nouveaux, quels sont les usages ? Dans ce troisième épisode, treize jeunes nous prennent par la main pour nous expliquer leur rapport avec ce langage. Leur plaisir et leur déplaisir à manier les mots qui circulent parfois à une vitesse vertigineuse, laissant les boomers sur le carreau. Et leurs stratégies à chacun et chacune pour se singulariser, ou passer incognito.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Amélie, Ben Mohammed, Héloïse, Léana, Léonore, Manel, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Bien entendu, Radioscopie, Tribune de Paris, Le Chemin des écoliers, Le Masque et la Plume.
Musique additionnelle (archive INA) : Damia, Tout fout l'camp
Musiques additionnelles : - Jul, BDG- Nicki Minaj, Did It On'em- Extraits YouTube : OhPlai, Rayton
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Lila Loupias, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


622 - Tout fout le camp (2/4) : L’âge d’or, c’était mieux avant
De l’argot des blousons noirs aux accents de banlieue
Pourquoi associe-ton toujours la jeunesse à la prétendue détérioration de la langue ? Comment est-on passé de l’expression « parler jeune » à « parler de banlieue » ? Quel dette ce langage doit-il à la gouaille populaire ?Dans ce deuxième épisode, les linguistes nous éclairent sur les évolutions naturelles de la langue. En se référant à l’histoire du cinéma, du théâtre ou de la radio, ils nous montrent comment la croyance en un « âge d’or de la langue » oriente notre regard sur le langage des jeunes.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec :- Michael Abecassis, linguiste et enseignant de langue française à Oxford - Philippe Boula de Mareüil, phonolinguiste et chercheur au CNRS - Maria Candea, sociolinguiste et directrice du département Langue et littérature françaises et latines – Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 - Cyril Trimaille, sociolinguiste et responsable du Master Sciences du langage – Université Grenoble Alpes - Héloise, Mourad, Nathan, Yanis et Léonore.
Et les voix de (archives INA) : Renaud, Coluche, JoeyStarr, Arletty, André Malraux, des jeunes de Trouville et du Métropolis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Dimanche dans un fauteuil, Nuits Magnétiques, Le Masque et la Plume, Les Pieds sur Terre.
Musiques additionnelles (archives INA) :- Damia, Tout fout l’camp- Extraits de films : Marcel Carné, Hôtel du Nord ; Edgar Morin & Jean Rouch, Chroniques d’un été
Remerciements : Jean-Julien Aucouturier, Henri Boyer, Nathalie Chouchan, Marc Jacquin, Jean Lebrun, Agathe Maire, Irène Omelianenko, Edwige Roncière, Jacqueline Schaeffer, Mathias Théry, Jack Vidal, Elsa Vettier.
Pour aller plus loin :- Michael Abecassis, Gudrun Ledegen, Les Voix des Français Volumes 1 & 2, Peter Lang, 2010- Michael Abecassis, The Representation of Parisian Speech in the Cinema of the 1930s, Peter Lang, 2005- Philippe Boula de Mareüil, D’où viennent les accents régionaux ?, éd. Le Pommier 2010- Maria Candea, Le français est à nous ! Petit manuel d’émancipation linguistique, La Découverte, 2019- Maria Candea, L’Académie contre la langue française. Le dossier « féminisation », éd. Ixe, 2016- Michel Chion, Le complexe de Cyrano, la langue parlée dans les films français, Cahiers du cinéma — Essais, 2008- Cyril Trimaille, Études de parlers de jeunes urbains en France. Éléments pour un état des lieux, Presses Universitaires de Rennes, 2004
Enregistrements : janvier, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


619 - Tout fout le camp (2/4) : L’âge d’or, c’était mieux avant
De l’argot des blousons noirs aux accents de banlieue
Pourquoi associe-ton toujours la jeunesse à la prétendue détérioration de la langue ? Comment est-on passé de l’expression « parler jeune » à « parler de banlieue » ? Quel dette ce langage doit-il à la gouaille populaire ?Dans ce deuxième épisode, les linguistes nous éclairent sur les évolutions naturelles de la langue. En se référant à l’histoire du cinéma, du théâtre ou de la radio, ils nous montrent comment la croyance en un « âge d’or de la langue » oriente notre regard sur le langage des jeunes.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec :- Michael Abecassis, linguiste et enseignant de langue française à Oxford - Philippe Boula de Mareüil, phonolinguiste et chercheur au CNRS - Maria Candea, sociolinguiste et directrice du département Langue et littérature françaises et latines – Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 - Cyril Trimaille, sociolinguiste et responsable du Master Sciences du langage – Université Grenoble Alpes - Héloise, Mourad, Nathan, Yanis et Léonore.
Et les voix de (archives INA) : Renaud, Coluche, JoeyStarr, Arletty, André Malraux, des jeunes de Trouville et du Métropolis.
Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Dimanche dans un fauteuil, Nuits Magnétiques, Le Masque et la Plume, Les Pieds sur Terre.
Musiques additionnelles (archives INA) :- Damia, Tout fout l’camp- Extraits de films : Marcel Carné, Hôtel du Nord ; Edgar Morin & Jean Rouch, Chroniques d’un été
Remerciements : Jean-Julien Aucouturier, Henri Boyer, Nathalie Chouchan, Marc Jacquin, Jean Lebrun, Agathe Maire, Irène Omelianenko, Edwige Roncière, Jacqueline Schaeffer, Mathias Théry, Jack Vidal, Elsa Vettier.
Pour aller plus loin :- Michael Abecassis, Gudrun Ledegen, Les Voix des Français Volumes 1 & 2, Peter Lang, 2010- Michael Abecassis, The Representation of Parisian Speech in the Cinema of the 1930s, Peter Lang, 2005- Philippe Boula de Mareüil, D’où viennent les accents régionaux ?, éd. Le Pommier 2010- Maria Candea, Le français est à nous ! Petit manuel d’émancipation linguistique, La Découverte, 2019- Maria Candea, L’Académie contre la langue française. Le dossier « féminisation », éd. Ixe, 2016- Michel Chion, Le complexe de Cyrano, la langue parlée dans les films français, Cahiers du cinéma — Essais, 2008- Cyril Trimaille, Études de parlers de jeunes urbains en France. Éléments pour un état des lieux, Presses Universitaires de Rennes, 2004
Enregistrements : janvier, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


621 - Tout fout le camp (1/4) : On est toujours le jeune de quelqu'un
Les jeunes d'aujourd’hui écoutent ceux d’hier
Un groupe d’adolescents de 15 à 18 ans découvre avec stupéfaction et humour, les pépites des archives de l’INA sur les jeunes. Que produit cette rencontre avec leurs alter-egos des années 60, 70, 80 ?Dans ce premier épisode, en s’amusant, s’émouvant, se questionnant, ils en viennent à comprendre comment chaque époque imprime sur le langage une marque particulière.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Héloïse, Léonore, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Qu’en pense la jeunesse, Radioscopie, Le Chemin des Ecoliers, Le Cahier à Spirales, Nuits Magnétiques.
Musique additionnelle (archive INA) : Daniel Teruggi, concert du 12/12/1998
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


618 - Tout fout le camp (1/4) : On est toujours le jeune de quelqu'un
Les jeunes d'aujourd’hui écoutent ceux d’hier
Un groupe d’adolescents de 15 à 18 ans découvre avec stupéfaction et humour, les pépites des archives de l’INA sur les jeunes. Que produit cette rencontre avec leurs alter-egos des années 60, 70, 80 ?Dans ce premier épisode, en s’amusant, s’émouvant, se questionnant, ils en viennent à comprendre comment chaque époque imprime sur le langage une marque particulière.
Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Héloïse, Léonore, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Qu’en pense la jeunesse, Radioscopie, Le Chemin des Ecoliers, Le Cahier à Spirales, Nuits Magnétiques.
Musique additionnelle (archive INA) : Daniel Teruggi, concert du 12/12/1998
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).
Enregistrements : février, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA


620 - Suprême NBA (3/3) : La communauté de l'anneau
Le bitume chaud des playgrounds
Comme les concerts mythiques, il y a ceux qui y étaient et ceux qui n’y étaient pas. Durant les années 90, les playgrounds (terrains urbains) de basket étendent leur toile en France. Dans toute la région parisienne, le bitume est chaud, le verbe haut et le hip-hop coule à flot. La culture street se développe et les marques emblématiques prennent la balle au bond à travers un marketing sportif de masse.École de la vie et rite de passage entre deux crossovers, tout est concentré sur un terrain où il faut assumer son jeu, se faire sa place et « prendre les coups comme tout le monde », comme le résume l’ancienne internationale Diana Gandega. Les matchs sont aussi rugueux que la créativité débridée, et une communauté se fédère autour du culte de la balle orange. Du un contre un sur demi-terrain au « tous pour un » lors des contrôle de police serrés à Stalingrad, la génération « Dream-Team » passe à l’âge adulte.
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- Diana Gandega : ancienne joueuse professionnelle, elle a grandi dans le 18e arrondissement de Paris et a participé aux JO 2008 de Pékin dans l’équipe du Mali.- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- William Sambin : joueur de club et de playground de l'est parisien (Val-de-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec Arte Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : septembre 2017-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements : Ahmed Doumbia, Karla Mbende, Florent Boni, Tiemoko - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


616 - Suprême NBA (3/3) : La communauté de l'anneau
Le bitume chaud des playgrounds
Comme les concerts mythiques, il y a ceux qui y étaient et ceux qui n’y étaient pas. Durant les années 90, les playgrounds (terrains urbains) de basket étendent leur toile en France. Dans toute la région parisienne, le bitume est chaud, le verbe haut et le hip-hop coule à flot. La culture street se développe et les marques emblématiques prennent la balle au bond à travers un marketing sportif de masse.École de la vie et rite de passage entre deux crossovers, tout est concentré sur un terrain où il faut assumer son jeu, se faire sa place et « prendre les coups comme tout le monde », comme le résume l’ancienne internationale Diana Gandega. Les matchs sont aussi rugueux que la créativité débridée, et une communauté se fédère autour du culte de la balle orange. Du un contre un sur demi-terrain au « tous pour un » lors des contrôle de police serrés à Stalingrad, la génération « Dream-Team » passe à l’âge adulte.
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- Diana Gandega : ancienne joueuse professionnelle, elle a grandi dans le 18e arrondissement de Paris et a participé aux JO 2008 de Pékin dans l’équipe du Mali.- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- William Sambin : joueur de club et de playground de l'est parisien (Val-de-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec Arte Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : septembre 2017-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements : Ahmed Doumbia, Karla Mbende, Florent Boni, Tiemoko - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


619 - Suprême NBA (2/3) : Saint Michael est parmi nous
Le Dieu du basket s'appelle Jordan
La Jordan-mania est à son comble au niveau mondial. En France, le rêve NBA poursuit sa déflagration dans l’imaginaire des ados. Face aux écrans, sur les terrains, la passion orange rythme les journées et la fascination tourne à l’obsession. Maillot Barkley, Kemp ou Robinson sur le dos, chacun s’invente une autre identité. Certains se la créent vraiment, comme Samuel Nadeau. Avant même le lever du jour, il travaille ses fondamentaux à Sarcelles sur le terrain situé en bas de son immeuble. À l’autre bout de la banlieue, Julien Müller se fait tirer dessus à la carabine à plombs par des voisins pas très fans de son tir à la manière de Scottie Pippen. Si chacun s’imagine faire 2 mètres 05, Paris se fait tout petit quand un jour de septembre 1990, Jordan vient taper la balle dans la salle Géo André. Un moment unique « difficile à partager, tellement c’était particulier » se rappelle Clarisse Mercier qui a la chance de côtoyer ce jour-là le « dieu du basket ».
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 2018-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Batterie : Mathias Pontevia - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements :Emmanuelle Ripoche, Lelo Jimmy Batista, Yann Mbaye, Julien Pérez, Natalia Gómez-Carvaja - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


615 - Suprême NBA (2/3) : Saint Michael est parmi nous
Le Dieu du basket s'appelle Jordan
La Jordan-mania est à son comble au niveau mondial. En France, le rêve NBA poursuit sa déflagration dans l’imaginaire des ados. Face aux écrans, sur les terrains, la passion orange rythme les journées et la fascination tourne à l’obsession. Maillot Barkley, Kemp ou Robinson sur le dos, chacun s’invente une autre identité. Certains se la créent vraiment, comme Samuel Nadeau. Avant même le lever du jour, il travaille ses fondamentaux à Sarcelles sur le terrain situé en bas de son immeuble. À l’autre bout de la banlieue, Julien Müller se fait tirer dessus à la carabine à plombs par des voisins pas très fans de son tir à la manière de Scottie Pippen. Si chacun s’imagine faire 2 mètres 05, Paris se fait tout petit quand un jour de septembre 1990, Jordan vient taper la balle dans la salle Géo André. Un moment unique « difficile à partager, tellement c’était particulier » se rappelle Clarisse Mercier qui a la chance de côtoyer ce jour-là le « dieu du basket ».
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 2018-septembre 2020 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Batterie : Mathias Pontevia - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Remerciements :Emmanuelle Ripoche, Lelo Jimmy Batista, Yann Mbaye, Julien Pérez, Natalia Gómez-Carvaja - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


618 - Suprême NBA (1/3) : Ce que George a dit
Comment la France a chopé la fièvre du basket : stars XXL sur petit écran
Au milieu des années 80, le sport US arrive à la télé en même temps que la nouvelle chaîne Canal+. Et la Dream Team enfonce le clou aux J.O. de Barcelone 92 avec ses stars XXL : Jordan, Magic, Ewing, Bird, Barkley écrasent la concurrence et marquent les esprits. Du jour au lendemain, tout le monde veut être l’Américain, « celui qui fait la magie dans ta tête » comme le dit Samuel Nadeau qui lance sa carrière en lycée aux Etats-Unis avant de rejoindre le Real Madrid.Une génération découvre alors le frisson de se lever en pleine nuit pour suivre les play-offs en direct sur Canal +, un bol de céréales à la main. On rêve d’avoir des Reebok Pump, un survêt à bouton-pression et d’épater tout le monde en jouant en tirant la langue. Ce sport-spectacle a un prophète : George Eddy, le commentateur des matchs NBA sur Canal+, et ses expressions badaboumesques ! C’est lui qui donne le top départ de ce podcast-fantasme : une conversation entre des amateurs et des pros, des joueurs de la bouillonnante Île-de-France et d’autres perdus dans « le trou du cul du monde de la campagne mosellane », à l’instar du chanteur de rock-psyché Guillaume Marietta. Un jeu de miroir entre des anciens ados fascinés par le même objet et qui ont repeint leur chambre avec les mêmes posters format géant NBA. Archives et jingles a gogo, il est temps de replonger !
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Tex Lacroix : spécialiste de la street culture, consultant marketing et DJ.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Odile Méndez-Bonito : documentariste, co-directrice du Créadoc- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Musiques originales : Alexandre Duval, Samuel Hirsch et Jehanne Cretin-Maitenaz - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Source archives : Bballchannel - Remerciements : Gaëtan Conte, Kevin Couliau, Gwenaël Pestel, Pierre Poireau - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


614 - Suprême NBA (1/3) : Ce que George a dit
Comment la France a chopé la fièvre du basket : stars XXL sur petit écran
Au milieu des années 80, le sport US arrive à la télé en même temps que la nouvelle chaîne Canal+. Et la Dream Team enfonce le clou aux J.O. de Barcelone 92 avec ses stars XXL : Jordan, Magic, Ewing, Bird, Barkley écrasent la concurrence et marquent les esprits. Du jour au lendemain, tout le monde veut être l’Américain, « celui qui fait la magie dans ta tête » comme le dit Samuel Nadeau qui lance sa carrière en lycée aux Etats-Unis avant de rejoindre le Real Madrid.Une génération découvre alors le frisson de se lever en pleine nuit pour suivre les play-offs en direct sur Canal +, un bol de céréales à la main. On rêve d’avoir des Reebok Pump, un survêt à bouton-pression et d’épater tout le monde en jouant en tirant la langue. Ce sport-spectacle a un prophète : George Eddy, le commentateur des matchs NBA sur Canal+, et ses expressions badaboumesques ! C’est lui qui donne le top départ de ce podcast-fantasme : une conversation entre des amateurs et des pros, des joueurs de la bouillonnante Île-de-France et d’autres perdus dans « le trou du cul du monde de la campagne mosellane », à l’instar du chanteur de rock-psyché Guillaume Marietta. Un jeu de miroir entre des anciens ados fascinés par le même objet et qui ont repeint leur chambre avec les mêmes posters format géant NBA. Archives et jingles a gogo, il est temps de replonger !
Avec la participation de :- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985. - Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.- Tex Lacroix : spécialiste de la street culture, consultant marketing et DJ.- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)- Odile Méndez-Bonito : documentariste, co-directrice du Créadoc- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Musiques originales : Alexandre Duval, Samuel Hirsch et Jehanne Cretin-Maitenaz - Mix : Samuel Hirsch - Voix : Camille Juzeau - Source archives : Bballchannel - Remerciements : Gaëtan Conte, Kevin Couliau, Gwenaël Pestel, Pierre Poireau - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio
617 - Bande-annonce Suprême NBA
La fièvre du basket en podcast
Dans les années 1990, la France succombe à la passion du basket américain. Souvenirs persos et parcours de pros, entrecoupés d'archives bondissantes et commentés par George Eddy, le speaker mythique des matches NBA sur Canal+.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : George Eddy - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio
617 - Bande-annonce Suprême NBA
La fièvre du basket en podcast
Dans les années 1990, la France succombe à la passion du basket américain. Souvenirs persos et parcours de pros, entrecoupés d'archives bondissantes et commentés par George Eddy, le speaker mythique des matches NBA sur Canal+.
Enregistrements : mai 18-septembre 20 - Réalisation et musiques originales : Alexandre Duval et Samuel Hirsch - Mix : Samuel Hirsch - Voix : George Eddy - Illustrations : Lucie Albrecht - Production : ARTE Radio


616 - Technopolis (9/9) : Lendemain de fête
La vraie vie des DJ : jusqu'au bout de la nuit
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
9. Lendemain de fête Des années de carrière, ça laisse des traces.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- DJ Deep - Porte- Sergie Rezza - Envolé- D'Julz - Yo momo- DJ Deep - Porte- Prassay - Krusin
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


613 - Technopolis (9/9) : Lendemain de fête
La vraie vie des DJ : jusqu'au bout de la nuit
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
9. Lendemain de fête Des années de carrière, ça laisse des traces.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- DJ Deep - Porte- Sergie Rezza - Envolé- D'Julz - Yo momo- DJ Deep - Porte- Prassay - Krusin
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


615 - Technopolis (8/9) : Et la semaine vous faites quoi ?
La vraie vie des DJ : entre famille et studio
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
8. Et la semaine vous faites quoi ? Studio, famille, dodo, chaque minute est comptée.
Musiques :- D'Julz - Da madness- D'Julz - Silent Drum II- Soha - Les enfants du bled- D'Julz - Serendipity- Deep contest - Sexual behaviour- Sergie Rezza - Max
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


612 - Technopolis (8/9) : Et la semaine vous faites quoi ?
La vraie vie des DJ : entre famille et studio
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
8. Et la semaine vous faites quoi ? Studio, famille, dodo, chaque minute est comptée.
Musiques :- D'Julz - Da madness- D'Julz - Silent Drum II- Soha - Les enfants du bled- D'Julz - Serendipity- Deep contest - Sexual behaviour- Sergie Rezza - Max
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


614 - Technopolis (7/9) : Voyages, voyages...
La vraie vie des DJ : aux quatre coins du monde
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
7. Voyages, voyages...Japon, Miami, Moscou... le tour du monde en musique.
Musiques :- D'Julz - Da madness- D'Julz - Silent drums III- D'Julz - At the end of the day- D'Julz - Silent drums I- DJ Gregory & Gregor Salto - Canoa
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


611 - Technopolis (7/9) : Voyages, voyages...
La vraie vie des DJ : aux quatre coins du monde
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
7. Voyages, voyages...Japon, Miami, Moscou... le tour du monde en musique.
Musiques :- D'Julz - Da madness- D'Julz - Silent drums III- D'Julz - At the end of the day- D'Julz - Silent drums I- DJ Gregory & Gregor Salto - Canoa
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


613 - Technopolis (6/9) : Demande à mon agent
La vraie vie des DJ : bien accompagnés vers les sommets
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
6. Demande à mon agentLe rôle et pouvoir de l'agent sur la carrière du DJ.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- D'Julz - Silent drums VI- D'Julz - Just so you know- D'Julz - Houdini- Sergie Rezza - Decal
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


610 - Technopolis (6/9) : Demande à mon agent
La vraie vie des DJ : bien accompagnés vers les sommets
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
6. Demande à mon agentLe rôle et pouvoir de l'agent sur la carrière du DJ.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- D'Julz - Silent drums VI- D'Julz - Just so you know- D'Julz - Houdini- Sergie Rezza - Decal
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


612 - Technopolis (5/9) : Riches et célèbres ?
La vraie vie des DJ : argent, gloire et succès
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
5. Riches et célèbresGérer son succès et rester dans le coup.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- DJ Gregory - Elle- DJ Gregory - Venus (Sunshine people venus)- D'Julz - Silent drums X- DJ Deep - Stressed- D'Julz - Silent Drums VII
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


609 - Technopolis (5/9) : Riches et célèbres ?
La vraie vie des DJ : argent, gloire et succès
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
5. Riches et célèbresGérer son succès et rester dans le coup.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- DJ Gregory - Elle- DJ Gregory - Venus (Sunshine people venus)- D'Julz - Silent drums X- DJ Deep - Stressed- D'Julz - Silent Drums VII
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


611 - Technopolis (3/9) : Sacrées soirées, soirées foirées
La vraie vie des DJ : galères et bons moments
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
3. Sacrées soirées, soirées foirées Quand les soirées ne se passent pas comme prévu.
Musiques :- D'Julz - Da madness- Point G - Braka- Point G - Underwater- DJ Deep - Happy people- Sergie Rezza - Treehouse
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


607 - Technopolis (3/9) : Sacrées soirées, soirées foirées
La vraie vie des DJ : galères et bons moments
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
3. Sacrées soirées, soirées foirées Quand les soirées ne se passent pas comme prévu.
Musiques :- D'Julz - Da madness- Point G - Braka- Point G - Underwater- DJ Deep - Happy people- Sergie Rezza - Treehouse
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


610 - Technopolis (4/9) : Le clubbing nuit à la santé
La vraie vie des DJ : nuits blanches et dos en compote
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
4. Le clubbing nuit à la santéJet-lag, dos cassé, drogues diverses et petits tracas.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- D'Julz - Silent drums V- Sergie Rezza - Le réveil- Point G - Baléa
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


608 - Technopolis (4/9) : Le clubbing nuit à la santé
La vraie vie des DJ : nuits blanches et dos en compote
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
4. Le clubbing nuit à la santéJet-lag, dos cassé, drogues diverses et petits tracas.
Musiques :- D'Julz - Waiting for visa- D'Julz - Silent drums V- Sergie Rezza - Le réveil- Point G - Baléa
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


609 - Technopolis (2/9) : Tombé dans la nuit
La vraie vie des DJ : les débuts
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
2. Tombé dans la nuit Comment on devient DJ.
Musiques :- D’Julz - Da madness- D’Julz - Silent drums IX- Siler - Saint eustache
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


606 - Technopolis (2/9) : Tombé dans la nuit
La vraie vie des DJ : les débuts
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
2. Tombé dans la nuit Comment on devient DJ.
Musiques :- D’Julz - Da madness- D’Julz - Silent drums IX- Siler - Saint eustache
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


608 - Technopolis (1/9) : DJ c'est un métier
La vraie vie des DJ
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
1. DJ c’est un métier Mais il faut d'abord en convaincre ses parents...
Musiques :- D’Julz - Da madness- DJ Gregory - Tropical soundclash- Sergie Rezza - Eclipse- Point G - Braka- D’Julz - Acid trix- D’Julz - Silent drums IV- DJ Deep - Swinging with the P- D’Julz - Nuage
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


605 - Technopolis (1/9) : DJ c'est un métier
La vraie vie des DJ
Vinyles, fiestas et gueules de bois : 3 grands DJs racontent leur drôle de métier. Une vision inédite et articulée d’un mode de vie exigeant au service d’une cause sacrée : faire danser les corps et ouvrir les oreilles.
Cyril, Julien et Grégory sont inconnus du grand public, mais ils vous ont sûrement déjà fait danser sous d’autres noms. DJ Deep, D’Julz et DJ Gregory sont parmi les pionniers de la musique électro en France. Ils sont abonnés aux platines des clubs les plus côtés du monde entier, de Berlin à Ibiza en passant par Moscou ou Miami. DJs professionnels depuis 25 ans, ils parcourent le monde avec une mission : faire danser sur de la house ou de la techno, mais aussi faire découvrir ces musiques et cette culture. Pour eux, passer des disques est une forme d’art. Derrière les clichés du DJ de mariage ou du DJ star, il y a un vrai métier, une exigence, une passion. Décalages horaires, vies de familles sacrifiées, solitudes, doutes et excès... Ce podcast raconte tout, mais il est surtout l’occasion de découvrir la flamme et les valeurs qui animent le disc-jockey. Technopolis est une immersion dans l’ordinaire de la vie extraordinaire de ces garçons, une entrée VIP dans le monde underground et méconnu d’artistes qui font danser la planète depuis leur cabine.
1. DJ c’est un métier Mais il faut d'abord en convaincre ses parents...
Musiques :- D’Julz - Da madness- DJ Gregory - Tropical soundclash- Sergie Rezza - Eclipse- Point G - Braka- D’Julz - Acid trix- D’Julz - Silent drums IV- DJ Deep - Swinging with the P- D’Julz - Nuage
Les intervenants :- DJ Deep : de son vrai nom Cyril Étienne des Rosaies, DJ Deep est considéré comme l’un des pionniers de la musique électronique en France. Producteur, DJ résident du Rex Club à Paris, il est également à la tête du label Deeply Rooted.- DJ Gregory : de son vrai nom Gregory Darsa et aussi connu sous l’alias de Point G, Gregory est une figure emblématique de la french touch dès la fin des années 1990. Il dirige le label Faya Combo.- D’Julz : DJ et producteur, D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis deux décennies.
Les auteurs / le réalisateur :- Antoine Molkhou : DJ, programmateur du Rex Club mais aussi auteur pour la télévision et animateur sur Rinse France, Antoine est à la tête du label house Popcorn Records. - Julien Veniel : DJ et producteur, Julien alias D’Julz tourne à travers le monde depuis 30 ans. A la tête du label Bass Culture, il est aussi DJ résident du célèbre Rex Club depuis 2 décennies. - Arnaud Forest : DJ à ses heures tardives et membre du trio électro « Bécane », Arnaud est l’un des deux réalisateurs permanents d’ARTE Radio.
Enregistrements : février 20 - Entretiens et montage : Antoine Molkhou et Julien Veniel - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Capucine Mattiussi - Production : ARTE Radio


607 - Les histoires de 28' : « Miedka », moitié humaine, moitié ourse
Le fauve en moi
Anthropologue spécialiste des populations arctiques, Nastassja Martin vit loin des villes, près des montagnes. Depuis plusieurs années, elle travaille et vit auprès d’une communauté évène, en plein Kamchatcka. Si près qu’elle se fond dans celle-ci. Et quand, le 25 août 2015, alors qu’elle arpente le massif du Klioutchevskoï, elle croise la route d’un ours, ça n’est peut-être pas un hasard... L’ours ne l’a pas tuée ce jour-là, et ça non plus, ça n’est peut-être pas un hasard...
Liens :- « Croire aux fauves », Collection Verticales, Gallimard.- Nastassja Martin dans 28 Minutes sur ARTE et YouTube
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 9 janvier 2020 - Interview & montage : Tom van Eersel et Farah Keram - Mixage : Benjamin Dubret - Fichiste : Lucas Andréac - Programmation : Pauline Muyl - Responsable éditorial : Tom van Eersel


604 - Les histoires de 28' : « Miedka », moitié humaine, moitié ourse
Le fauve en moi
Anthropologue spécialiste des populations arctiques, Nastassja Martin vit loin des villes, près des montagnes. Depuis plusieurs années, elle travaille et vit auprès d’une communauté évène, en plein Kamchatcka. Si près qu’elle se fond dans celle-ci. Et quand, le 25 août 2015, alors qu’elle arpente le massif du Klioutchevskoï, elle croise la route d’un ours, ça n’est peut-être pas un hasard... L’ours ne l’a pas tuée ce jour-là, et ça non plus, ça n’est peut-être pas un hasard...
Liens :- « Croire aux fauves », Collection Verticales, Gallimard.- Nastassja Martin dans 28 Minutes sur ARTE et YouTube
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 9 janvier 2020 - Interview & montage : Tom van Eersel et Farah Keram - Mixage : Benjamin Dubret - Fichiste : Lucas Andréac - Programmation : Pauline Muyl - Responsable éditorial : Tom van Eersel


606 - Le tonton flingueur (4/4) : Les voix de la sagesse
Mariages, cinoche et grosses fiestas : une vie de braqueur
De belles rencontres et c’est la vie qui bascule du bon côté. Au sortir de prison, Jean-Pierre découvre une société nouvelle, rencontre l’amour sous toutes ses formes, le cinéma, mais surtout la sagesse. Aujourd’hui, à l’âge de 72 ans, le braqueur fait le bilan d’une vie sans regrets. De la cavale à la prison, du flingue au biberon. Et si c’était à refaire ?
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Il a aussi raconté sa vie à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007)
Enregistrements : octobre-novembre 2019 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


603 - Le tonton flingueur (4/4) : Les voix de la sagesse
Mariages, cinoche et grosses fiestas : une vie de braqueur
De belles rencontres et c’est la vie qui bascule du bon côté. Au sortir de prison, Jean-Pierre découvre une société nouvelle, rencontre l’amour sous toutes ses formes, le cinéma, mais surtout la sagesse. Aujourd’hui, à l’âge de 72 ans, le braqueur fait le bilan d’une vie sans regrets. De la cavale à la prison, du flingue au biberon. Et si c’était à refaire ?
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Il a aussi raconté sa vie à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007)
Enregistrements : octobre-novembre 2019 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


605 - Le tonton flingueur (3/4) : Du plomb, des barreaux et des planches
Le braqueur s'évade en prison
Les talents de braqueur de Jean-Pierre s’exportent à l’étranger. Mais dans certains pays, les sommations de la police sont parfois très sommaires. Retour en France à la case prison après 6 mois de coma. L’ordonnance est sévère : quinze piges au placard ! A la Centrale de Poissy, Jean-Pierre découvre le théâtre, le jeux et l’écriture. C’est une révélation, l’évasion est permanente…
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Il a aussi raconté sa vie à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007)
Enregistrements : octobre-novembre 2019 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


602 - Le tonton flingueur (3/4) : Du plomb, des barreaux et des planches
Le braqueur s'évade en prison
Les talents de braqueur de Jean-Pierre s’exportent à l’étranger. Mais dans certains pays, les sommations de la police sont parfois très sommaires. Retour en France à la case prison après 6 mois de coma. L’ordonnance est sévère : quinze piges au placard ! A la Centrale de Poissy, Jean-Pierre découvre le théâtre, le jeux et l’écriture. C’est une révélation, l’évasion est permanente…
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Il a aussi raconté sa vie à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007)
Enregistrements : octobre-novembre 2019 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio
604 - C'est confiné
Drôles ou inquiets, vos messages vocaux racontent le confinement
La récolte fut difficile mais intense : de fin mars à mi-avril, on a reçu 229 messages vocaux venus de 61 contributeurs, soit 3 heures et 54 minutes de rushes qui racontent les vies confinées de la plupart d’entre nous. Mais aussi celles de soignants, caissière et factrice qui continuent à travailler sur le terrain. L'éloignement, la peur, mais aussi les joies imprévues et l'humour intact... Ces voix pleines d'émotions passent entre les ciseaux de Mathilde Guermonprez, autrice de podcasts sur le même principe ("C'est maman", etc), pour donner « C'est confiné » : un concentré de 10 minutes sur nos vies altérées pendant la pandémie.
Enregistrements : mars-avril 20 - Mix : Samuel Hirsch - Collectage, sélection et montage : Mathilde Guermonprez - Merci : aux 61 contributeurs - Production : ARTE Radio


603 - Le tonton flingueur (2/4) : La fête au village
Un braqueur à l'ancienne déballe tout
Années 70 : passage à la vitesse supérieure. Dans une France prospère, l’argent se prend facilement. Les braquages s’enchaînent, banques, fourgons, kidnapping ; l’argent coule à flots. C’est le plein emploi ! Le braqueur est prudent, ne travaille que sur tuyaux. C’est le temps de la fête, de la flambe et des copains. Jusqu’à quand ? Premières arrestations, premiers pas dans les palais de justice, règlement de compte entre voyous. On n'enfreint pas les règles du milieu. Il y a la mort qui rode…
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Sa vie est aussi racontée à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007).
Enregistrements : octobre-novembre 19 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


601 - Le tonton flingueur (2/4) : La fête au village
Un braqueur à l'ancienne déballe tout
Années 70 : passage à la vitesse supérieure. Dans une France prospère, l’argent se prend facilement. Les braquages s’enchaînent, banques, fourgons, kidnapping ; l’argent coule à flots. C’est le plein emploi ! Le braqueur est prudent, ne travaille que sur tuyaux. C’est le temps de la fête, de la flambe et des copains. Jusqu’à quand ? Premières arrestations, premiers pas dans les palais de justice, règlement de compte entre voyous. On n'enfreint pas les règles du milieu. Il y a la mort qui rode…
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Sa vie est aussi racontée à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007).
Enregistrements : octobre-novembre 19 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


602 - Le tonton flingueur (1/4) : Premiers dérapages
Une vie de braqueur à l'ancienne
Comment entre-t’on dans le grand banditisme ? Jean-Pierre débute sa carrière au sortir de l’enfance. Dans le Paris des années 60, le garçon fait très vite ses premiers pas de travers. Le blouson noir comme uniforme, l’adolescent fréquente les bars et les mauvais garçons. Fascination des aînés, attrait de l’action, de l’adrénaline et de l’argent, il ne lui en faut pas plus pour plonger dans le grand bain. La vocation lui vient très vite, le jeune homme est doué. Mais à l’école du banditisme, on ne badine pas sur la méthode…
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Sa vie est racontée à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007)
Enregistrements : octobre-novembre 19 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


600 - Le tonton flingueur (1/4) : Premiers dérapages
Une vie de braqueur à l'ancienne
Comment entre-t’on dans le grand banditisme ? Jean-Pierre débute sa carrière au sortir de l’enfance. Dans le Paris des années 60, le garçon fait très vite ses premiers pas de travers. Le blouson noir comme uniforme, l’adolescent fréquente les bars et les mauvais garçons. Fascination des aînés, attrait de l’action, de l’adrénaline et de l’argent, il ne lui en faut pas plus pour plonger dans le grand bain. La vocation lui vient très vite, le jeune homme est doué. Mais à l’école du banditisme, on ne badine pas sur la méthode…
Jean-Pierre Tagliafferi est un ancien braqueur. Un titi de Paris 13e, un voyou à l’ancienne avec la gouaille d’Audiard qui raconte sa vie, les braquages et les kidnappings, les règlements de comptes et la prison, jusqu’à son mariage avec une femme trans… Un personnage étonnant et délicieux. Sa vie est racontée à sa femme dans « Je n’ai jamais tué quelqu’un qui ne le méritait pas » de Kristina Dariosecq, éditions Pascal Petiot (2007)
Enregistrements : octobre-novembre 19 - Interview et montage : Éric Robin - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Guitare : Clément Simounet - Production : ARTE Radio


601 - Les histoires de 28' : Confinés à vingt mille lieues sous les mers
Colocation marine
Dilués dans les profondeurs des océans, ils ignorent peut-être tout du coronavirus ou des mesures de confinement… Car ils sont eux-mêmes déjà confinés ! Coupés du monde pendant 70 jours, sans aucun contact avec la terre ferme et ses humains, 111 hommes de la marine nationale française ont une mission : naviguer le plus loin possible à bord de leur sous-marin nucléaire lanceur d’engins pour dissuader l’ennemi, sans jamais être vus, ni entendus. Après plus de vingt ans passés en mer, ces patrouilles n’ont plus de secret pour l’amiral François Dupont. Aux commandes du Triomphant, il a guidé son équipage à travers ces parties de cache-cache sous-marines et appris la colocation à 111, dans cette deuxième maison pas comme les autres.Écoutez donc à quoi ressemble le quotidien confiné de ces marins - menaces invisibles à bord d’un mastodonte d’acier.
Liens :- « Commandant de sous-marins, Du Terrible au Triomphant, la vie secrète des sous-marins » , aux Éditions Autrement.- François Dupont dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 28 novembre 2019 - Interview & montage : Marie-Hélène Gallay - Mixage : Mathieu Deron - Fichiste : Lucas Andreac - Programmation : Julie Joffres - Responsable éditorial : Tom van Eersel


599 - Les histoires de 28' : Confinés à vingt mille lieues sous les mers
Colocation marine
Dilués dans les profondeurs des océans, ils ignorent peut-être tout du coronavirus ou des mesures de confinement… Car ils sont eux-mêmes déjà confinés ! Coupés du monde pendant 70 jours, sans aucun contact avec la terre ferme et ses humains, 111 hommes de la marine nationale française ont une mission : naviguer le plus loin possible à bord de leur sous-marin nucléaire lanceur d’engins pour dissuader l’ennemi, sans jamais être vus, ni entendus. Après plus de vingt ans passés en mer, ces patrouilles n’ont plus de secret pour l’amiral François Dupont. Aux commandes du Triomphant, il a guidé son équipage à travers ces parties de cache-cache sous-marines et appris la colocation à 111, dans cette deuxième maison pas comme les autres.Écoutez donc à quoi ressemble le quotidien confiné de ces marins - menaces invisibles à bord d’un mastodonte d’acier.
Liens :- « Commandant de sous-marins, Du Terrible au Triomphant, la vie secrète des sous-marins » , aux Éditions Autrement.- François Dupont dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 28 novembre 2019 - Interview & montage : Marie-Hélène Gallay - Mixage : Mathieu Deron - Fichiste : Lucas Andreac - Programmation : Julie Joffres - Responsable éditorial : Tom van Eersel


600 - Les histoires de 28' : Les soins palliatifs, lieu de vie
Faire face à la mort
Xavier est infirmier dans une unité de soins palliatifs à l’hôpital de Metz. Un lieu singulier, souvent la dernière demeure de ceux qui y sont hospitalisés. Mais Xavier souhaite sublimer le quotidien de ses patients. Dessert sur-mesure servi chaque jour, musique, complicité : pour les patients sur qui il veille, les attentions de cet homme, tatoué des pieds à la tête, ne manquent pas. Xavier témoigne de son quotidien à travers des dessins, regroupés et publiés dans sa BD « À la vie ! ».
Liens :- « À la vie ! » chez Calmann Levy Graphic- Xavier dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 16 janvier 2020 - Interview & montage : Farah Keram - Mixage : Benjamin Dubret - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Julie Joffres


598 - Les histoires de 28' : Les soins palliatifs, lieu de vie
Faire face à la mort
Xavier est infirmier dans une unité de soins palliatifs à l’hôpital de Metz. Un lieu singulier, souvent la dernière demeure de ceux qui y sont hospitalisés. Mais Xavier souhaite sublimer le quotidien de ses patients. Dessert sur-mesure servi chaque jour, musique, complicité : pour les patients sur qui il veille, les attentions de cet homme, tatoué des pieds à la tête, ne manquent pas. Xavier témoigne de son quotidien à travers des dessins, regroupés et publiés dans sa BD « À la vie ! ».
Liens :- « À la vie ! » chez Calmann Levy Graphic- Xavier dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 16 janvier 2020 - Interview & montage : Farah Keram - Mixage : Benjamin Dubret - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Julie Joffres


599 - Les histoires de 28' : Risquer sa vie pour sauver les dauphins
Elle sauve les dauphins du massacre
Sea Shepherd est une organisation qui défend l’océan et toutes les formes de vie qui s'y trouvent. Pendant longtemps - c’est ainsi que l’ONG fondée en 1977 par Paul Watson s’est faite connaître - sa principale mission était de poursuivre les chasseurs de baleines en Antarctique et d’empêcher les massacres. Quitte à prendre de gros risques, quitte à se mettre en danger... L’étendard de Sea Shepherd flotte aujourd’hui sur toutes les mers du globe, et notamment près des côtes françaises où des pêches accidentelles déciment les populations de dauphins. Lamya Essemlali est présidente de Sea Shepherd France. C’est elle qui mène ces opérations. Activiste auprès de Paul Watson depuis longtemps, elle a surtout mené plusieurs campagnes aux Iles Féroés, au nord de l’Europe, où chaque année les habitants organisent des massacres de centaines de dauphins globicéphales.
Retrouvez "Les histoires de 28'" un mardi sur deux sur ARTE Radio.
Interview & montage : Tom van Eersel - Mixage : Mathieu Deron - Fichiste : Camille Humbert - Programmation : Julie Joffres - Production : ARTE Radio


597 - Les histoires de 28' : Risquer sa vie pour sauver les dauphins
Elle sauve les dauphins du massacre
Sea Shepherd est une organisation qui défend l’océan et toutes les formes de vie qui s'y trouvent. Pendant longtemps - c’est ainsi que l’ONG fondée en 1977 par Paul Watson s’est faite connaître - sa principale mission était de poursuivre les chasseurs de baleines en Antarctique et d’empêcher les massacres. Quitte à prendre de gros risques, quitte à se mettre en danger... L’étendard de Sea Shepherd flotte aujourd’hui sur toutes les mers du globe, et notamment près des côtes françaises où des pêches accidentelles déciment les populations de dauphins. Lamya Essemlali est présidente de Sea Shepherd France. C’est elle qui mène ces opérations. Activiste auprès de Paul Watson depuis longtemps, elle a surtout mené plusieurs campagnes aux Iles Féroés, au nord de l’Europe, où chaque année les habitants organisent des massacres de centaines de dauphins globicéphales.
Retrouvez "Les histoires de 28'" un mardi sur deux sur ARTE Radio.
Interview & montage : Tom van Eersel - Mixage : Mathieu Deron - Fichiste : Camille Humbert - Programmation : Julie Joffres - Production : ARTE Radio
598 - Troll 50 (5/5) : Michel
Klaire fait Grr en duo avec Michel Sardou : ça tue
Klaire fait Grr squatte « Je vais t’aimer », le tube de Michel Sardou qui débarque chez elle sans prévenir, alors que franchement, qui fait ça ? Trop d’hommes. Encore trop. Beaucoup trop.
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
596 - Troll 50 (5/5) : Michel
Klaire fait Grr en duo avec Michel Sardou : ça tue
Klaire fait Grr squatte « Je vais t’aimer », le tube de Michel Sardou qui débarque chez elle sans prévenir, alors que franchement, qui fait ça ? Trop d’hommes. Encore trop. Beaucoup trop.
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
597 - Troll 50 (4/5) : Barbara
Klaire fait Grr en duo avec Barbara (et sa mère)
Klaire fait Grr squatte le tube de Barbara « Dis, quand reviendras-tu ? » et répond fermement : Noël. Elle reviendra à Noël. Dans quinze dodos. Pour les tartines, le cimetière, et les autocars macronistes.
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
595 - Troll 50 (4/5) : Barbara
Klaire fait Grr en duo avec Barbara (et sa mère)
Klaire fait Grr squatte le tube de Barbara « Dis, quand reviendras-tu ? » et répond fermement : Noël. Elle reviendra à Noël. Dans quinze dodos. Pour les tartines, le cimetière, et les autocars macronistes.
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
596 - Troll 50 (3/5) : Pascal
Klaire fait Grr en duo avec Pascal Obispo (comme poète)
Klaire fait Grr squatte le tube de Pascal Obispo « Lucie », et lâche même deux-trois conseils de séduction, gratos, ce qui fait que vous ne serez pas venus pour rien. Contrairement à Lucie qui elle n’est pas venue du tout.
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
594 - Troll 50 (3/5) : Pascal
Klaire fait Grr en duo avec Pascal Obispo (comme poète)
Klaire fait Grr squatte le tube de Pascal Obispo « Lucie », et lâche même deux-trois conseils de séduction, gratos, ce qui fait que vous ne serez pas venus pour rien. Contrairement à Lucie qui elle n’est pas venue du tout.
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
595 - Troll 50 (2/5) : Niska
Klaire fait Grr en duo avec Niska (pololo)
Klaire fait Grr squatte le tube de Niska « Réseaux », et tente (pololo) de se défaire d’une conversation qui (pololo) ne l’enchante pas trop, surtout quand elle part en chasse aux sangliers (pololo toi-même).
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
593 - Troll 50 (2/5) : Niska
Klaire fait Grr en duo avec Niska (pololo)
Klaire fait Grr squatte le tube de Niska « Réseaux », et tente (pololo) de se défaire d’une conversation qui (pololo) ne l’enchante pas trop, surtout quand elle part en chasse aux sangliers (pololo toi-même).
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
594 - Troll 50 (1/5) : Patrick
Klaire fait Grr en duo avec Patrick Bruel : ça casse
Klaire fait Grr squatte le tube de Patrick Bruel « J'te l'dis quand même », le tout au café d’en bas, ce qui n’est pas forcément une bonne idée pour larguer quelqu’un. A moins que… si ?
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio
592 - Troll 50 (1/5) : Patrick
Klaire fait Grr en duo avec Patrick Bruel : ça casse
Klaire fait Grr squatte le tube de Patrick Bruel « J'te l'dis quand même », le tout au café d’en bas, ce qui n’est pas forcément une bonne idée pour larguer quelqu’un. A moins que… si ?
Klaire fait Grr entend des voix. Mais pas n’importe lesquelles : des tubes de la chanson française. Alors, elle se la joue Jeanne d’Arc des bandes FM et répond, coupe et remet le son comme une chanson populaire.Et c’est drôle. Enfin sauf quand ça ne l’est plus du tout.
Enregistrements : septembre 19 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte et voix : Klaire fait Grr - Illustration : Stéphane Trapier - Production : ARTE Radio


593 - Les histoires de 28' : Une alpiniste aux cimes de l'enfer
Danger au sommet
Arpenter les plus hauts sommets du monde sans laisser aucune trace de son passage… C’est la philosophie de l’alpiniste Elisabeth Revol. Une passion dévorante pour les expéditions extrêmes qu'elle partageait avec son compagnon de cordée, le polonais Tomasz Mackiewicz, alias Tomek. Le 25 janvier 2018, après plusieurs tentatives, ils se sont lancés à la conquête du Nanga Parbat - le neuvième plus haut sommet du monde et l'un des plus ardus, situé au Pakistan.Mais après l’euphorie de l’ascension jusqu'à 8 125 mètres d'altitude, le cauchemar commence pour les deux alpinistes : Tomek est frappé de cécité au sommet, son état se dégrade brusquement. Dans l’espoir de lui porter secours, Elisabeth Revol entame une interminable descente au péril de sa vie.
Liens :- Vivre, un livre d'Élisabeth Revol en collaboration avec Éliane Patriarca, paru le 16 octobre 2019 aux éditions Arthaud.- Élisabeth Revol dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 17 octobre 2019 - Interview & montage : Marie-Hélène Gallay - Responsable éditorial : Tom van Eersel - Mixage : Vincent Périer - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Julie Joffres


591 - Les histoires de 28' : Une alpiniste aux cimes de l'enfer
Danger au sommet
Arpenter les plus hauts sommets du monde sans laisser aucune trace de son passage… C’est la philosophie de l’alpiniste Elisabeth Revol. Une passion dévorante pour les expéditions extrêmes qu'elle partageait avec son compagnon de cordée, le polonais Tomasz Mackiewicz, alias Tomek. Le 25 janvier 2018, après plusieurs tentatives, ils se sont lancés à la conquête du Nanga Parbat - le neuvième plus haut sommet du monde et l'un des plus ardus, situé au Pakistan.Mais après l’euphorie de l’ascension jusqu'à 8 125 mètres d'altitude, le cauchemar commence pour les deux alpinistes : Tomek est frappé de cécité au sommet, son état se dégrade brusquement. Dans l’espoir de lui porter secours, Elisabeth Revol entame une interminable descente au péril de sa vie.
Liens :- Vivre, un livre d'Élisabeth Revol en collaboration avec Éliane Patriarca, paru le 16 octobre 2019 aux éditions Arthaud.- Élisabeth Revol dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 17 octobre 2019 - Interview & montage : Marie-Hélène Gallay - Responsable éditorial : Tom van Eersel - Mixage : Vincent Périer - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Julie Joffres


592 - Le livreur de cocaïne (2/2) : Les clients
Une ascension sociale grâce à la déchéance des riches
Pour que les livraisons de cocaïne soient fluides, la relation au client est centrale. Elie reçoit de la « cabine » des adresses à livrer dans tout Paris. Une fois devant le client, tout va très vite, Elie échange des grammes contre des euros.Dans ce deuxième épisode, Elie analyse son rapport au risque et à sa clientèle très particulière.
Selon le rapport de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT) d’avril 2019, la cocaïne est le deuxième produit illicite le plus consommé par les Français. Sa consommation a doublé en 20 ans et quadruplé chez les jeunes. Traditionnellement vue comme une drogue des élites urbaines, on trouve désormais la coke à la campagne comme dans les milieux populaires. Plus d’informations sur drogues-info-service.fr
Entretien et montage : Merry Royer - Réalisation, musique originale et mix : Arnaud Forest - Contrebasse : Guillaume Leroy - Illustrations : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio


590 - Le livreur de cocaïne (2/2) : Les clients
Une ascension sociale grâce à la déchéance des riches
Pour que les livraisons de cocaïne soient fluides, la relation au client est centrale. Elie reçoit de la « cabine » des adresses à livrer dans tout Paris. Une fois devant le client, tout va très vite, Elie échange des grammes contre des euros.Dans ce deuxième épisode, Elie analyse son rapport au risque et à sa clientèle très particulière.
Selon le rapport de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT) d’avril 2019, la cocaïne est le deuxième produit illicite le plus consommé par les Français. Sa consommation a doublé en 20 ans et quadruplé chez les jeunes. Traditionnellement vue comme une drogue des élites urbaines, on trouve désormais la coke à la campagne comme dans les milieux populaires. Plus d’informations sur drogues-info-service.fr
Entretien et montage : Merry Royer - Réalisation, musique originale et mix : Arnaud Forest - Contrebasse : Guillaume Leroy - Illustrations : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio


591 - Le livreur de cocaïne (1/2) : Aux ordres de la cabine
Elie sillonne Paris en scooter pour livrer des grammes de coke.
Elie parcourt Paris la nuit en scooter pour livrer de la cocaïne. Toutes les commandes passent par la « cabine », un genre de standard qui trie les demandes et dirige Elie vers les clients. Employé modèle d’un réseau très particulier, travailleur précaire affecté aux livraisons, Elie est le dernier maillon d’un dangereux trafic qui augmente au rythme de la demande en « C ». Dans ce premier épisode, il raconte le fonctionnement de ce service très particulier.
Selon le rapport de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT) d’avril 2019, la cocaïne est le deuxième produit illicite le plus consommé par les Français. Sa consommation a doublé en 20 ans et quadruplé chez les jeunes. Traditionnellement vue comme une drogue des élites urbaines, on trouve désormais la coke à la campagne comme dans les milieux populaires. Plus d’informations sur drogues-info-service.fr
Entretien et montage : Merry Royer - Réalisation, musique originale et mix : Arnaud Forest - Contrebasse : Guillaume Leroy - Illustrations : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio


589 - Le livreur de cocaïne (1/2) : Aux ordres de la cabine
Elie sillonne Paris en scooter pour livrer des grammes de coke.
Elie parcourt Paris la nuit en scooter pour livrer de la cocaïne. Toutes les commandes passent par la « cabine », un genre de standard qui trie les demandes et dirige Elie vers les clients. Employé modèle d’un réseau très particulier, travailleur précaire affecté aux livraisons, Elie est le dernier maillon d’un dangereux trafic qui augmente au rythme de la demande en « C ». Dans ce premier épisode, il raconte le fonctionnement de ce service très particulier.
Selon le rapport de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT) d’avril 2019, la cocaïne est le deuxième produit illicite le plus consommé par les Français. Sa consommation a doublé en 20 ans et quadruplé chez les jeunes. Traditionnellement vue comme une drogue des élites urbaines, on trouve désormais la coke à la campagne comme dans les milieux populaires. Plus d’informations sur drogues-info-service.fr
Entretien et montage : Merry Royer - Réalisation, musique originale et mix : Arnaud Forest - Contrebasse : Guillaume Leroy - Illustrations : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio


590 - Les histoires de 28' : Bo Van Spilbeeck, journaliste transgenre
Boudewijn devient Bo
Elle s’appelle Bo Van Spilbeeck. Mais avant janvier 2018, elle était plus connue sous le nom de Boudewijn (Baudouin), grand reporter sur la chaîne flamande VTM depuis plus de 30 ans. Pendant des années, Boudewijn est femme à temps partiel, et son épouse, Marianne, est au courant. En 2015, c’est le déclic avec la médiatisation de la transition de Caitlyn Jenner, ancien athlète américain né William Bruce, à l’âge de 65 ans. Boudewijn se muera petit à petit, opérations après opérations, en Bo.
Liens :- Comment je suis devenue BO, Bo Van Spilbeeck chez Les Arènes- Bo Van Spillbeck dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 8 octobre 19 - Interview & montage : Elise Pouettre-Schwabedissen - Responsable éditorial : Tom van Eersel - Mixage : Mathieu Deron - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Pascale Assor


588 - Les histoires de 28' : Bo Van Spilbeeck, journaliste transgenre
Boudewijn devient Bo
Elle s’appelle Bo Van Spilbeeck. Mais avant janvier 2018, elle était plus connue sous le nom de Boudewijn (Baudouin), grand reporter sur la chaîne flamande VTM depuis plus de 30 ans. Pendant des années, Boudewijn est femme à temps partiel, et son épouse, Marianne, est au courant. En 2015, c’est le déclic avec la médiatisation de la transition de Caitlyn Jenner, ancien athlète américain né William Bruce, à l’âge de 65 ans. Boudewijn se muera petit à petit, opérations après opérations, en Bo.
Liens :- Comment je suis devenue BO, Bo Van Spilbeeck chez Les Arènes- Bo Van Spillbeck dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 8 octobre 19 - Interview & montage : Elise Pouettre-Schwabedissen - Responsable éditorial : Tom van Eersel - Mixage : Mathieu Deron - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Pascale Assor


589 - L'avocat des terreurs (6/6) : Le terrorisme à la barre
L'heure du jugement
Après plusieurs années d’enquête, c’est l’heure de l’audience. Alexandre, dans sa robe d’avocat, ses notes à la main, s’apprête à rentrer dans la salle. Il raconte la position des juges, les réactions des prévenus et la fabrique de la défense dans les affaires de terrorisme.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


587 - L'avocat des terreurs (6/6) : Le terrorisme à la barre
L'heure du jugement
Après plusieurs années d’enquête, c’est l’heure de l’audience. Alexandre, dans sa robe d’avocat, ses notes à la main, s’apprête à rentrer dans la salle. Il raconte la position des juges, les réactions des prévenus et la fabrique de la défense dans les affaires de terrorisme.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


588 - L'avocat des terreurs (5/6) : La part des femmes
Procès d'une terreur.e
Quand des attentats ont été préparés ou menés par des femmes, la justice les poursuit désormais de la même manière que les hommes. Nous voici au procès de Farida qui a envoyé de l’argent à son frère parti combattre « sur zone ». Elle raconte la prison, le procès, les autres femmes radicalisées, et revient sur son rapport à Daesh.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


586 - L'avocat des terreurs (5/6) : La part des femmes
Procès d'une terreur.e
Quand des attentats ont été préparés ou menés par des femmes, la justice les poursuit désormais de la même manière que les hommes. Nous voici au procès de Farida qui a envoyé de l’argent à son frère parti combattre « sur zone ». Elle raconte la prison, le procès, les autres femmes radicalisées, et revient sur son rapport à Daesh.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


587 - L'avocat des terreurs (4/6) : La prison des radicalisés
Les prisons des terreurs
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
En attendant le procès, c’est en prison que l’avocat doit construire la défense d’un client inculpé de terrorisme. Alexandre, comme ces confrères, se rend en RER jusqu’à Fresnes, Fleury-Mérogis, Nanterre, Villepinte, Osny... Dans les grandes maisons d’arrêt de l'Ile de France, un régime carcéral spécifique se met en place...
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


585 - L'avocat des terreurs (4/6) : La prison des radicalisés
Les prisons des terreurs
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
En attendant le procès, c’est en prison que l’avocat doit construire la défense d’un client inculpé de terrorisme. Alexandre, comme ces confrères, se rend en RER jusqu’à Fresnes, Fleury-Mérogis, Nanterre, Villepinte, Osny... Dans les grandes maisons d’arrêt de l'Ile de France, un régime carcéral spécifique se met en place...
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


586 - L'avocat des terreurs (3/6) : Gardé à vue
La justice française face aux terroristes
Siège de la DGSI à Levallois-Perret. C’est là qu’Alexandre rencontre ses clients pour la première fois, au moment de la garde à vue. Loin du cliché du commissariat de quartier, les conditions sont rudes, les entretiens très codifiés. Point de vue privilégié sur le traitement policier du terrorisme, avant l’ouverture des dossiers judiciaires.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


584 - L'avocat des terreurs (3/6) : Gardé à vue
La justice française face aux terroristes
Siège de la DGSI à Levallois-Perret. C’est là qu’Alexandre rencontre ses clients pour la première fois, au moment de la garde à vue. Loin du cliché du commissariat de quartier, les conditions sont rudes, les entretiens très codifiés. Point de vue privilégié sur le traitement policier du terrorisme, avant l’ouverture des dossiers judiciaires.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


585 - L'avocat des terreurs (2/6) : Les attentats
La justice française face aux terroristes
Paris, Nice, Magnanville, Strasbourg… La liste des attentats s’allonge. Alexandre défend un client dans un dossier d’attentat déjoué contre des militaires. Les prévenus sont tous des radicalisés durs. Les procès à venir qu’on appelle déjà “les procès du siècle”, celui du massacre à Charlie Hebdo jugé en 2020 et celui du Bataclan l’année suivante, seront extraordinaires dans leur ampleur et en raison du nombre de victimes. Comment défendre les prévenus dans des dossiers aussi sensibles ?
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


583 - L'avocat des terreurs (2/6) : Les attentats
La justice française face aux terroristes
Paris, Nice, Magnanville, Strasbourg… La liste des attentats s’allonge. Alexandre défend un client dans un dossier d’attentat déjoué contre des militaires. Les prévenus sont tous des radicalisés durs. Les procès à venir qu’on appelle déjà “les procès du siècle”, celui du massacre à Charlie Hebdo jugé en 2020 et celui du Bataclan l’année suivante, seront extraordinaires dans leur ampleur et en raison du nombre de victimes. Comment défendre les prévenus dans des dossiers aussi sensibles ?
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


584 - L'avocat des terreurs (1/6) : Au commencement, Charlie
La justice française face aux terroristes
Début 2015, Alexandre et ses confrères sont fraîchement diplômés de la conférence du barreau de Paris. Lui et d’autres jeunes avocats sont dans l’attente d’être appelés en qualité de commis d’office dans des « gros dossiers » criminels. Avec l’attaque contre Charlie-Hebdo le 7 janvier, ils sont tout de suite confrontés au caractère inédit des affaires de terrorisme.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


582 - L'avocat des terreurs (1/6) : Au commencement, Charlie
La justice française face aux terroristes
Début 2015, Alexandre et ses confrères sont fraîchement diplômés de la conférence du barreau de Paris. Lui et d’autres jeunes avocats sont dans l’attente d’être appelés en qualité de commis d’office dans des « gros dossiers » criminels. Avec l’attaque contre Charlie-Hebdo le 7 janvier, ils sont tout de suite confrontés au caractère inédit des affaires de terrorisme.
Quand les attentats djihadistes frappent Paris en 2015, le jeune avocat Alexandre Luc-Walton est très vite commis d’office. Impliqué depuis dans de nombreux dossiers de terrorisme, ses régulières visites en prison, sa proximité avec les familles, la préparation de la défense des mis en cause lui donnent une connaissance rare du terrorisme « né en France ». 5 ans après les massacres de Charlie et du Bataclan, ce podcast propose un regard neuf sur l’aspect judiciaire de la terreur.
Enregistrement : 2019 - Entretiens et montage : Camille Juzeau - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Yann Kebbi - Production : ARTE Radio


583 - Les histoires de 28' : Il vole au secours des migrants
Une traversée des airs héroïque
José Benavente est pilote professionnel. Avec un ami, il a un jour décidé d’investir toutes ses économies dans l’achat du Colibri, un avion monomoteur. Ainsi naissait son ONG “Pilotes volontaires”. Son but : sauver des migrants.Depuis le début de l’année 2018, ils survolent la Méditerranée, en indiquant à des bateaux, là-bas en bas, où se trouvent les embarcations de fortune dans lesquelles des migrants risquent de se noyer. Au mois de septembre 2019, José Benavente évaluait à 6000 le nombre d'hommes, de femmes et d'enfants que “Pilotes volontaires” a contribué à sauver de la noyade.Mais, entre interdiction de voler et pressions politiques, la vie du Colibri est loin d’être un long fleuve tranquille…
Liens :- Pilotes volontaires- José Benavente dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 2019 - Interview & montage : Farah Keram - Mixage : Matthieu Deron - Responsable éditorial : Tom Van Eersel - Programmation : Julie Joffres - Fichiste : Candice Bergeron


581 - Les histoires de 28' : Il vole au secours des migrants
Une traversée des airs héroïque
José Benavente est pilote professionnel. Avec un ami, il a un jour décidé d’investir toutes ses économies dans l’achat du Colibri, un avion monomoteur. Ainsi naissait son ONG “Pilotes volontaires”. Son but : sauver des migrants.Depuis le début de l’année 2018, ils survolent la Méditerranée, en indiquant à des bateaux, là-bas en bas, où se trouvent les embarcations de fortune dans lesquelles des migrants risquent de se noyer. Au mois de septembre 2019, José Benavente évaluait à 6000 le nombre d'hommes, de femmes et d'enfants que “Pilotes volontaires” a contribué à sauver de la noyade.Mais, entre interdiction de voler et pressions politiques, la vie du Colibri est loin d’être un long fleuve tranquille…
Liens :- Pilotes volontaires- José Benavente dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 2019 - Interview & montage : Farah Keram - Mixage : Matthieu Deron - Responsable éditorial : Tom Van Eersel - Programmation : Julie Joffres - Fichiste : Candice Bergeron


582 - Per comme personne (6/6) : Per, mon père
Deuil et réconciliation
Je pars au Danemark pour tenter d'en savoir plus sur mon père, ses amis et sa famille. C’est l’histoire d’un deuil et d’une réconciliation.
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer. Tout est vrai, et du coup j'en ai fait une fiction.
Enregistrement : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Adrien Michaux, Ylan Nguyen-Gündüz, Anne Loiret, Raphaël Almosni - Merci : Karin Feit Almberg, Kai Matthiesen - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


580 - Per comme personne (6/6) : Per, mon père
Deuil et réconciliation
Je pars au Danemark pour tenter d'en savoir plus sur mon père, ses amis et sa famille. C’est l’histoire d’un deuil et d’une réconciliation.
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer. Tout est vrai, et du coup j'en ai fait une fiction.
Enregistrement : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Adrien Michaux, Ylan Nguyen-Gündüz, Anne Loiret, Raphaël Almosni - Merci : Karin Feit Almberg, Kai Matthiesen - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


581 - Per comme personne (5/6) : Amour perdu
Un nouveau départ pour Per
Je comprends que ma mère ignore tout des anciennes activités de Per, le trafic de drogue et ses anciens amis. Avec elle, il a tenté un nouveau départ, mais tout a basculé quand ils sont partis en Indonésie en 1994. Les fantômes du passé de Per sont revenus le hanter.
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer. Tout est vrai et du coup, j'en ai fait une fiction.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Anne Loiret, Adrien Michaux - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


579 - Per comme personne (5/6) : Amour perdu
Un nouveau départ pour Per
Je comprends que ma mère ignore tout des anciennes activités de Per, le trafic de drogue et ses anciens amis. Avec elle, il a tenté un nouveau départ, mais tout a basculé quand ils sont partis en Indonésie en 1994. Les fantômes du passé de Per sont revenus le hanter.
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer. Tout est vrai et du coup, j'en ai fait une fiction.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Anne Loiret, Adrien Michaux - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


580 - Per comme personne (4/6) : Allo maman coco
Ma mère va peut-être me raconter la vérité
OK, donc mon père disparu quand j'avais six ans était un trafiquant et une balance. Je décide de questionner ma mère, mais trouver un moment pour lui parler s'avère plus difficile que prévu.
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer. Tout est vrai, alors j'en ai fait une fiction.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Raphaël Almosni, Nanou Garcia, Anne Loiret, Samuel Hirsch - Merci : Meena Hawle - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


578 - Per comme personne (4/6) : Allo maman coco
Ma mère va peut-être me raconter la vérité
OK, donc mon père disparu quand j'avais six ans était un trafiquant et une balance. Je décide de questionner ma mère, mais trouver un moment pour lui parler s'avère plus difficile que prévu.
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer. Tout est vrai, alors j'en ai fait une fiction.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Raphaël Almosni, Nanou Garcia, Anne Loiret, Samuel Hirsch - Merci : Meena Hawle - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


579 - Per comme personne (3/6) : Per in the sky
Martina, l'amie de mon papa, le trafiquant international
Martina, une autre ancienne connaissance de Per, fait irruption dans ma vie. Ils ont vécu ensemble pendant plus d’un an à Katmandou à la fin des années 1970. Leurs activités illicites étaient plus importantes que je ne le pensais. Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer.
Enregistrements : 2019 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Raphaël Almosni, Nanou Garcia, François Pérache - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


577 - Per comme personne (3/6) : Per in the sky
Martina, l'amie de mon papa, le trafiquant international
Martina, une autre ancienne connaissance de Per, fait irruption dans ma vie. Ils ont vécu ensemble pendant plus d’un an à Katmandou à la fin des années 1970. Leurs activités illicites étaient plus importantes que je ne le pensais. Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer.
Enregistrements : 2019 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Raphaël Almosni, Nanou Garcia, François Pérache - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


578 - Per comme personne (2/6) : L'ami de mon Per
Rock, haschich et Katmandou : bienvenue dans les 70's
Je passe mes journées à correspondre avec Ole, ornithologue et meilleur ami de jeunesse de Per. Dans les années 1960 et 1970, portés par la mouvance hippie, ils ont voyagé ensemble dans toute l’Asie. Ole ignore tout des derniers moments de Per, porté disparu il y a 25 ans alors qu’il voyageait en Angleterre. Pourquoi ont-ils perdu contact ?Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Raphaël Almosni, Valentine Joubin, Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Olivier Minot - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


576 - Per comme personne (2/6) : L'ami de mon Per
Rock, haschich et Katmandou : bienvenue dans les 70's
Je passe mes journées à correspondre avec Ole, ornithologue et meilleur ami de jeunesse de Per. Dans les années 1960 et 1970, portés par la mouvance hippie, ils ont voyagé ensemble dans toute l’Asie. Ole ignore tout des derniers moments de Per, porté disparu il y a 25 ans alors qu’il voyageait en Angleterre. Pourquoi ont-ils perdu contact ?Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Raphaël Almosni, Valentine Joubin, Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Olivier Minot - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


577 - Per comme personne (1/6) : L'oiseau va sortir
De vieilles photos de mon père disparu quand j'avais six ans
L’un de mes premiers souvenirs : j’ai six ans et ma mère m’annonce que mon père est décédé. Mon père était danois et il s’appelait Per. Ca s'invente pas. 25 ans plus tard, et juste après la naissance de notre fils, mon copain et moi regardons une vieille photo d'un ami de mon père. Derrière la photo, le nom d'un ornithologue, Ole. Peut-être qu'il sait quelque chose ?
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Prises de son, texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Arthur Alt, Raphaël Almosni, Sabine Zovighian, Olivier Minot - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio


574 - Per comme personne (1/6) : L'oiseau va sortir
De vieilles photos de mon père disparu quand j'avais six ans
L’un de mes premiers souvenirs : j’ai six ans et ma mère m’annonce que mon père est décédé. Mon père était danois et il s’appelait Per. Ca s'invente pas. 25 ans plus tard, et juste après la naissance de notre fils, mon copain et moi regardons une vieille photo d'un ami de mon père. Derrière la photo, le nom d'un ornithologue, Ole. Peut-être qu'il sait quelque chose ?
Mon père fait partie de la génération du baby-boom. Celle qui a eu 20 ans au début des années 1970. Celle qui voulait faire la révolution. On m'a toujours dit qu'il a eu une vie incroyable : il a voyagé aux quatre coins de la Terre, il a vécu à Katmandou, il a fait de l''import-export d'habits ethniques, de tapis, et même du trafic de drogue. J'ai grandi avec toutes ces histoires fabuleuses, sans vraiment les connaître : Per, mon père danois au nom prédestiné, a été porté disparu quand j'avais six ans. Sa mort est toujours restée inexpliquée. Peu après la naissance de mon fils, je suis partie à sa recherche. Ce que j'ai trouvé dépasse en rocambolesque tout ce que j'aurais pu imaginer.
Enregistrements : juin-juillet 19 - Prises de son, texte et montage : Nina Almberg - Dramaturgie et direction d'acteurs : Sabine Zovighian - Voix : Nina Almberg, Arthur Alt, Raphaël Almosni, Sabine Zovighian, Olivier Minot - Réalisation : Sabine Zovighian, Samuel Hirsch, Nina Almberg - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Laure Guillebon - Production : ARTE Radio
576 - C'est Noël
Les meilleurs messages de Noël
C'est Noël ! La famille et les proches se laissent plein de messages touchants pour négocier les cadeaux, préciser la couleur des baskets et bien sûr préparer les festivités. Avec parfois des tensions sans lesquelles Noël ne serait pas Noël !
Qui laisse encore des messages vocaux sur nos répondeurs ? Après le succès de ses podcasts "C'est maman", "C'est papa", "C'est papy-mamie", "C'est ton anniversaire", "C'est (encore) maman" et "C'est ton enfant", Mathilde Guermonprez propose le meilleur des messages reçus à l'approche de Noël. Un podcast de 4 minutes composé à partir de 71 messages collectés grâce aux réseaux sociaux. Merci aux 20 contributeurs et -trices et joyeuses fêtes !
Enregistrements : décembre 18 - Mix : Arnaud Forest - Réalisation : Mathilde Guermonprez


575 - Les histoires de 28' : Les mille et un costumes de Simon Abkarian
L'homme aux mille visages
Du Liban à la France en passant par les États-Unis, de ses débuts au Théâtre du Soleil jusqu’au cinéma : l’histoire de Simon Abkarian s’est écrite au fil des voyages, des rencontres et des expériences. À l’image des mille et un personnages qu’il a incarnés, ce comédien caméléon revendique lui-même diverses identités : petit-fils d’un rescapé du génocide arménien, Français d’origine libanaise, ancien exilé, acteur passionné, dramaturge… Jamais une entité ne prend le pas sur l’autre. C’est cette pluralité, cette ouverture d’esprit que Simon Abkarian s’efforce de mettre en lumière sur les planches, afin d’honorer la mission qui lui incombe : représenter l’être humain.
Liens :- “Électre des bas-fonds”, une pièce de théâtre de Simon Abkarian, parue aux Éditions Actes Sud en septembre 2019 et représentée à la Cartoucherie de Vincennes.- Simon Abkarian dans 28 Minutes sur ARTE ou Youtube
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 21 septembre 2019 - Interview & montage : Marie-Hélène Gallay - Mixage : Benjamin Dubret - Responsable éditorial : Tom Van Eersel - Programmation : Claire Mayot - Fichiste : Copélia Mainardi


575 - Les histoires de 28' : Les mille et un costumes de Simon Abkarian
L'homme aux mille visages
Du Liban à la France en passant par les États-Unis, de ses débuts au Théâtre du Soleil jusqu’au cinéma : l’histoire de Simon Abkarian s’est écrite au fil des voyages, des rencontres et des expériences. À l’image des mille et un personnages qu’il a incarnés, ce comédien caméléon revendique lui-même diverses identités : petit-fils d’un rescapé du génocide arménien, Français d’origine libanaise, ancien exilé, acteur passionné, dramaturge… Jamais une entité ne prend le pas sur l’autre. C’est cette pluralité, cette ouverture d’esprit que Simon Abkarian s’efforce de mettre en lumière sur les planches, afin d’honorer la mission qui lui incombe : représenter l’être humain.
Liens :- “Électre des bas-fonds”, une pièce de théâtre de Simon Abkarian, parue aux Éditions Actes Sud en septembre 2019 et représentée à la Cartoucherie de Vincennes.- Simon Abkarian dans 28 Minutes sur ARTE ou Youtube
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 21 septembre 2019 - Interview & montage : Marie-Hélène Gallay - Mixage : Benjamin Dubret - Responsable éditorial : Tom Van Eersel - Programmation : Claire Mayot - Fichiste : Copélia Mainardi
574 - C'est ton enfant
Les meilleurs messages des enfants
Les mères nous appellent. Les pères aussi. Mais qu'en est-il des enfants ? Eux aussi téléphonent et quand on n'est pas là, ils laissent un message. En chantant, en riant, en posant des questions... En voici un bref montage drôle et touchant.
Qui laisse encore des messages vocaux sur nos répondeurs ? Après le succès de ses podcasts "C'est maman", "C'est papa", "C'est papy-mamie", "C'est (encore) maman" et "C'est ton anniversaire", Mathilde Guermonprez propose le meilleur des messages laissés par nos enfants ! Un podcast de 4 minutes composé à partir de 77 messages collectés grâce aux réseaux sociaux. Merci aux 23 contributeurs et -trices.
Enregistrements : 2019 - Mix : Arnaud Forest - Réalisation : Mathilde Guermonprez


573 - Les histoires de 28' : Marguerite Barankitse : l’ange du Burundi
Apprendre à pardonner
Marguerite Barankitse est burundaise. Elle a vécu la guerre et les terribles affrontements entre Hutus et Tutsis dans son pays, et vu de ses propres yeux des enfants se faire massacrer. Depuis 1993, elle mène le combat du pardon avec son ONG, la Maison Shalom : éduquer, guérir les blessures et cultiver l’espoir.En exil depuis 2015 après avoir critiqué le président Pierre Nkurunziza, elle poursuit son œuvre depuis le Rwanda pour construire une nouvelle génération de Burundais, libérés de la vengeance, parce que comme le dit ce proverbe burundais : “Si tu poursuis la vengeance, creuse deux tombes, une pour ton ennemi et une pour toi.”
Liens :- Maison Shalom- Marguerite Barankitse dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 28 août 2019 - Interview & montage : Elise Pouettre-Schwabedissen - Mixage : Damien Tesseraud - Responsable éditorial : Tom Van Eersel - Programmation : Pascale Assor - Fichiste : Clara Delente


573 - Les histoires de 28' : Marguerite Barankitse : l’ange du Burundi
Apprendre à pardonner
Marguerite Barankitse est burundaise. Elle a vécu la guerre et les terribles affrontements entre Hutus et Tutsis dans son pays, et vu de ses propres yeux des enfants se faire massacrer. Depuis 1993, elle mène le combat du pardon avec son ONG, la Maison Shalom : éduquer, guérir les blessures et cultiver l’espoir.En exil depuis 2015 après avoir critiqué le président Pierre Nkurunziza, elle poursuit son œuvre depuis le Rwanda pour construire une nouvelle génération de Burundais, libérés de la vengeance, parce que comme le dit ce proverbe burundais : “Si tu poursuis la vengeance, creuse deux tombes, une pour ton ennemi et une pour toi.”
Liens :- Maison Shalom- Marguerite Barankitse dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 28 août 2019 - Interview & montage : Elise Pouettre-Schwabedissen - Mixage : Damien Tesseraud - Responsable éditorial : Tom Van Eersel - Programmation : Pascale Assor - Fichiste : Clara Delente


572 - Dalida et moi (5/5): Il venait d’avoir 18 en philo
Dalida et la philosophie, une rencontre
Jean-Luc Nancy est l’un des plus grands philosophes français vivants, traduit dans le monde entier, auteur, entre autres, de « La communauté désœuvrée ». Admiratrice de son œuvre, Léa découvre avec joie qu’il s’avoue aussi, et sans réserve, fan de Dalida ! Au milieu d’un échange sur les paroles de « Il venait d’avoir 18 ans », il lui parle de la sculpture qui se trouve sur la tombe de Dalida. Léa se rend au cimetière Montmartre, où elle découvre une étrange boîte aux lettres. C’est le début de l’été et ça fait un an que Dalida est entrée dans sa vie.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrements : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


571 - Dalida et moi (5/5): Il venait d’avoir 18 en philo
Dalida et la philosophie, une rencontre
Jean-Luc Nancy est l’un des plus grands philosophes français vivants, traduit dans le monde entier, auteur, entre autres, de « La communauté désœuvrée ». Admiratrice de son œuvre, Léa découvre avec joie qu’il s’avoue aussi, et sans réserve, fan de Dalida ! Au milieu d’un échange sur les paroles de « Il venait d’avoir 18 ans », il lui parle de la sculpture qui se trouve sur la tombe de Dalida. Léa se rend au cimetière Montmartre, où elle découvre une étrange boîte aux lettres. C’est le début de l’été et ça fait un an que Dalida est entrée dans sa vie.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrements : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


571 - Dalida et moi (4/5) : Intérieur queer
Une histoire de transgenre
Alors que l’obsession Dalida ne la quitte pas, Léa se rend à la mairie du 18ème arrondissement de Paris où se tient chaque année la réunion du fan-club officiel de Dalida. Au milieu des mugs, des coussins et des posters géants, elle rencontre Lulu qui incarne Dalida chaque soir en travesti au célèbre cabaret de Michou. Retour au cabaret pour Léa, mais cette fois derrière le rideau, là où l’on assiste à la métamorphose...
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrements : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


570 - Dalida et moi (4/5) : Intérieur queer
Une histoire de transgenre
Alors que l’obsession Dalida ne la quitte pas, Léa se rend à la mairie du 18ème arrondissement de Paris où se tient chaque année la réunion du fan-club officiel de Dalida. Au milieu des mugs, des coussins et des posters géants, elle rencontre Lulu qui incarne Dalida chaque soir en travesti au célèbre cabaret de Michou. Retour au cabaret pour Léa, mais cette fois derrière le rideau, là où l’on assiste à la métamorphose...
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrements : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


570 - Dalida et moi (3/5) : Une mélancolie arabe
Dalida, symbole de l'exil et l'immigration ?
Après avoir beaucoup pleuré sur les vidéos de Dalida sur YouTube, Léa rencontre l’écrivain marocain Abdellah Taia, fan de la chanteuse. L’auteur du livre « Une mélancolie arabe » voit en Dalida un symbole de l’exil et de l’immigration. C’est ainsi qu’il se reconnaît en elle : Dalida est une femme arabe qui, comme lui, a pris le large.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


569 - Dalida et moi (3/5) : Une mélancolie arabe
Dalida, symbole de l'exil et l'immigration ?
Après avoir beaucoup pleuré sur les vidéos de Dalida sur YouTube, Léa rencontre l’écrivain marocain Abdellah Taia, fan de la chanteuse. L’auteur du livre « Une mélancolie arabe » voit en Dalida un symbole de l’exil et de l’immigration. C’est ainsi qu’il se reconnaît en elle : Dalida est une femme arabe qui, comme lui, a pris le large.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


569 - Dalida et moi (2/5) : Dalida chez le psy
Strass, paillettes et mélancolie
Même son compagnon doit se rendre à l’évidence, Léa est en train de devenir fan de Dalida. Du coup il lui offre un livre : « Dalida sur le divan ». La psychanalyse peut-elle aider à comprendre la mélancolie de Dalida ? Et le nombre élevé de ses amants qui ont, comme elle, choisi le suicide ? Léa rencontre l’auteur, Joseph Agostini, un psychanalyste passionné par la vie et l’œuvre de Dalida.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


568 - Dalida et moi (2/5) : Dalida chez le psy
Strass, paillettes et mélancolie
Même son compagnon doit se rendre à l’évidence, Léa est en train de devenir fan de Dalida. Du coup il lui offre un livre : « Dalida sur le divan ». La psychanalyse peut-elle aider à comprendre la mélancolie de Dalida ? Et le nombre élevé de ses amants qui ont, comme elle, choisi le suicide ? Léa rencontre l’auteur, Joseph Agostini, un psychanalyste passionné par la vie et l’œuvre de Dalida.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


568 - Dalida et moi (1/5) : Comment Dalida est entrée dans ma vie
Quand Léa l'intello rencontre Dalida la disco
Intello revendiquée, Léa Veinstein ne s’intéresse guère à Dalida. Mais voici que la chanteuse mythique, décédée l’année de sa naissance, cherche à entrer dans sa vie. Ça commence par une soirée dans un cabaret de Pigalle, à Paris, et des frissons en entendant « Je suis malade ». Ça s’aggrave avec la tentative de suicide d’une amie. Puis ça se confirme avec une robe au mariage de sa sœur. Cet été-là, Dalida arrive dans la vie de Léa et y prend vite beaucoup de place...
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


567 - Dalida et moi (1/5) : Comment Dalida est entrée dans ma vie
Quand Léa l'intello rencontre Dalida la disco
Intello revendiquée, Léa Veinstein ne s’intéresse guère à Dalida. Mais voici que la chanteuse mythique, décédée l’année de sa naissance, cherche à entrer dans sa vie. Ça commence par une soirée dans un cabaret de Pigalle, à Paris, et des frissons en entendant « Je suis malade ». Ça s’aggrave avec la tentative de suicide d’une amie. Puis ça se confirme avec une robe au mariage de sa sœur. Cet été-là, Dalida arrive dans la vie de Léa et y prend vite beaucoup de place...
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio


572 - Bande-annonce Dalida et moi
Une année avec Dalida
Intello revendiquée, Léa Veinstein ne s’intéresse guère à dalida. Mais voici que la chanteuse mythique, décédée l’année de sa naissance, cherche à entrer dans sa vie. Ça commence par une soirée dans un cabaret de Pigalle, à Paris, et des frissons en entendant « Je suis malade ». Ça s’aggrave avec la tentative de suicide d’une amie, puis ça se confirme avec une robe au mariage de sa sœur. Cet été-là, Dalida arrive dans la vie de Léa et y prend vite beaucoup de place...
Rien ne prédestinait Léa Veinstein, intello revendiquée, à se prendre de passion pour Dalida. C’est à peine si, en fin de soirée, elle chantait sur « Laissez-moi danser ». Morte l’année de sa naissance, elle la considérait comme une icône disco dépassée. Mais un été, plusieurs événements intimes la conduisent jusqu'à Dalida. Léa se met à vouloir tout savoir. Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. Son podcast raconte en cinq épisodes son année avec Dalida.
Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 2018, 2019 - Texte, voix, et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustration : Julien Pacaud


567 - Bande-annonce Dalida et moi
Une année avec Dalida
Intello revendiquée, Léa Veinstein ne s’intéresse guère à dalida. Mais voici que la chanteuse mythique, décédée l’année de sa naissance, cherche à entrer dans sa vie. Ça commence par une soirée dans un cabaret de Pigalle, à Paris, et des frissons en entendant « Je suis malade ». Ça s’aggrave avec la tentative de suicide d’une amie, puis ça se confirme avec une robe au mariage de sa sœur. Cet été-là, Dalida arrive dans la vie de Léa et y prend vite beaucoup de place...
Rien ne prédestinait Léa Veinstein, intello revendiquée, à se prendre de passion pour Dalida. C’est à peine si, en fin de soirée, elle chantait sur « Laissez-moi danser ». Morte l’année de sa naissance, elle la considérait comme une icône disco dépassée. Mais un été, plusieurs événements intimes la conduisent jusqu'à Dalida. Léa se met à vouloir tout savoir. Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. Son podcast raconte en cinq épisodes son année avec Dalida.
Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 2018, 2019 - Texte, voix, et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustration : Julien Pacaud


566 - Les histoires de 28' : Olivier Roellinger, breton étoilé et rescapé
Cuisine locale et épices mondiales
Il émane d’Olivier Roellinger une sagesse bienveillante, une tranquillité parfois déconcertante, presque mystique. Le chef étoilé né à Cancale, et qui n'a jamais quitté sa Bretagne, a eu de nombreuses vies. Ou plutôt de nombreux “chapitres de vie” comme il se plaît à le dire. Un soir de sa vingt et unième année, il croise la route d’une bande de jeunes qui rejoue une scène d'« Orange mécanique » sur lui. C’est cette tentative d’homicide qui va lui ouvrir la voie de la cuisine, puis celle des épices venues du monde entier. Mais l’histoire des vies d’Olivier Roellinger ne s’arrête pas là…
Liens- Pour une révolution délicieuse, d’Olivier Roellinger chez Fayard.- Les Maisons de Bricourt- Olivier Roellinger dans l'émission 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 05 septembre 19 - Interview : Farah Keram - Montage : Farah Keram - Mixage : Benjamin Dubret - Coordination éditoriale : Tom van Eersel - Programmation : Pauline Muyl - Fichiste : Léa Deschateaux


566 - Les histoires de 28' : Olivier Roellinger, breton étoilé et rescapé
Cuisine locale et épices mondiales
Il émane d’Olivier Roellinger une sagesse bienveillante, une tranquillité parfois déconcertante, presque mystique. Le chef étoilé né à Cancale, et qui n'a jamais quitté sa Bretagne, a eu de nombreuses vies. Ou plutôt de nombreux “chapitres de vie” comme il se plaît à le dire. Un soir de sa vingt et unième année, il croise la route d’une bande de jeunes qui rejoue une scène d'« Orange mécanique » sur lui. C’est cette tentative d’homicide qui va lui ouvrir la voie de la cuisine, puis celle des épices venues du monde entier. Mais l’histoire des vies d’Olivier Roellinger ne s’arrête pas là…
Liens- Pour une révolution délicieuse, d’Olivier Roellinger chez Fayard.- Les Maisons de Bricourt- Olivier Roellinger dans l'émission 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast !28 Minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 05 septembre 19 - Interview : Farah Keram - Montage : Farah Keram - Mixage : Benjamin Dubret - Coordination éditoriale : Tom van Eersel - Programmation : Pauline Muyl - Fichiste : Léa Deschateaux


565 - Les histoires de 28' : Le gang des postiches, son magot et Michel Fourniret
Histoire de braqueurs braqués
Patricia Tourancheau est journaliste. Jusqu’à ses révélations à la une de Libération le 24 juillet 2004, personne, ni la police, ni le gang des Postiches, ni même Michel Fourniret, ne savait que le butin volé par le “l’ogre des Ardennes” était celui du fameux gang des postiches, qui s’était fait connaître au début des années 1980 pour ses braquages de banques.
Liens :- Le magot, de Patricia Tourancheau au Seuil- Patricia Tourancheau dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 11 juillet 19 - Interview & montage : Elise Pouettre-Schwabedissen - Mixage : Vincent Périer - Coordination éditoriale : Tom van Eersel - Programmation : Pauline Muyl - Fichiste : Candice Bergeron


565 - Les histoires de 28' : Le gang des postiches, son magot et Michel Fourniret
Histoire de braqueurs braqués
Patricia Tourancheau est journaliste. Jusqu’à ses révélations à la une de Libération le 24 juillet 2004, personne, ni la police, ni le gang des Postiches, ni même Michel Fourniret, ne savait que le butin volé par le “l’ogre des Ardennes” était celui du fameux gang des postiches, qui s’était fait connaître au début des années 1980 pour ses braquages de banques.
Liens :- Le magot, de Patricia Tourancheau au Seuil- Patricia Tourancheau dans 28 Minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 11 juillet 19 - Interview & montage : Elise Pouettre-Schwabedissen - Mixage : Vincent Périer - Coordination éditoriale : Tom van Eersel - Programmation : Pauline Muyl - Fichiste : Candice Bergeron


564 - Les histoires de 28' : Ma mère, mon père, mon donneur
Histoire de gamètes
Dans la famille d’Arthur, les 3 enfants sont issus de dons de gamètes par un donneur anonyme. Ses deux soeurs et lui, ont donc une mère, un père et un géniteur et tout le monde est au courant, les parents ayant toujours été totalement transparents avec leurs enfants. Mais cela n’a jamais empêché Arthur d’être curieux, titillé et même embêté par cette histoire de géniteur inconnu. Et après l’avoir attendu pendant toutes ces années d’enfance, il a decidé à l’âge adulte, de partir à sa recherche…
Liens :- Le fils, un livre d'Arthur Kermalvezen avec Charlotte Rotman- Arthur Kermalvezen dans 28 minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 15 juillet 19 - Interview : Elise Pouettre-Schwabedissen, Farah Keram - Montage : Louis-Fernand Cloutier - Mixage : Benjamin Dubret - Coordination éditoriale : Tom van Eersel - Programmation : Pascale Assor - Fichiste : Léa Deschateaux


564 - Les histoires de 28' : Ma mère, mon père, mon donneur
Histoire de gamètes
Dans la famille d’Arthur, les 3 enfants sont issus de dons de gamètes par un donneur anonyme. Ses deux soeurs et lui, ont donc une mère, un père et un géniteur et tout le monde est au courant, les parents ayant toujours été totalement transparents avec leurs enfants. Mais cela n’a jamais empêché Arthur d’être curieux, titillé et même embêté par cette histoire de géniteur inconnu. Et après l’avoir attendu pendant toutes ces années d’enfance, il a decidé à l’âge adulte, de partir à sa recherche…
Liens :- Le fils, un livre d'Arthur Kermalvezen avec Charlotte Rotman- Arthur Kermalvezen dans 28 minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 15 juillet 19 - Interview : Elise Pouettre-Schwabedissen, Farah Keram - Montage : Louis-Fernand Cloutier - Mixage : Benjamin Dubret - Coordination éditoriale : Tom van Eersel - Programmation : Pascale Assor - Fichiste : Léa Deschateaux


563 - Les histoires de 28' : Ma fille ne peut plus aller à l’école
Histoire d'une phobie scolaire
Que se passe-t-il lorsqu’un enfant décide d’arrêter d’aller à l’école ? Le fait-il exprès ou est-ce plus fort que lui ? C’est grave docteur ? Quand faut-il s’en inquiéter ? Et au fond, les parents n’ont-ils pas leur part de responsabilité ?L’histoire que vous vous apprêtez à écouter est celle de François Cuel, père d’une jeune fille de 14 ans, Louise. Elle fait partie du 1% d’élèves français qui souffre de « refus scolaire anxieux ». Mais avant de pouvoir poser un tel diagnostic, Louise et ses parents ont beaucoup enduré, cherché, échoué… François Cuel a longtemps observé sa fille avant de tout poser sur papier dans « T’es vraiment nul et vieux, lettre à ma fille qui ne va plus à l’école » (éditions HarperCollins). Aujourd’hui, nous vous invitons à plonger dans la vie de cet homme, dont, selon ses mots, le seul métier qu’il exerce depuis plus de dix ans est celui de père, de père de Louise.
Crédits :- T’es vraiment nul et vieux, lettre à ma fille qui ne va plus à l’école, paru le 3 avril dernier chez HarperCollins.- François Cuel dans 28 minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 1er juillet 19 - Réalisation : Farah Keram - Montage : Farah Keram & Tom Van Eersel - Mixage : Benjamin Dubret - Production : Tom van Eersel - Fichiste : Justine Puybasset - Programmation : Pascale Assor


563 - Les histoires de 28' : Ma fille ne peut plus aller à l’école
Histoire d'une phobie scolaire
Que se passe-t-il lorsqu’un enfant décide d’arrêter d’aller à l’école ? Le fait-il exprès ou est-ce plus fort que lui ? C’est grave docteur ? Quand faut-il s’en inquiéter ? Et au fond, les parents n’ont-ils pas leur part de responsabilité ?L’histoire que vous vous apprêtez à écouter est celle de François Cuel, père d’une jeune fille de 14 ans, Louise. Elle fait partie du 1% d’élèves français qui souffre de « refus scolaire anxieux ». Mais avant de pouvoir poser un tel diagnostic, Louise et ses parents ont beaucoup enduré, cherché, échoué… François Cuel a longtemps observé sa fille avant de tout poser sur papier dans « T’es vraiment nul et vieux, lettre à ma fille qui ne va plus à l’école » (éditions HarperCollins). Aujourd’hui, nous vous invitons à plonger dans la vie de cet homme, dont, selon ses mots, le seul métier qu’il exerce depuis plus de dix ans est celui de père, de père de Louise.
Crédits :- T’es vraiment nul et vieux, lettre à ma fille qui ne va plus à l’école, paru le 3 avril dernier chez HarperCollins.- François Cuel dans 28 minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 1er juillet 19 - Réalisation : Farah Keram - Montage : Farah Keram & Tom Van Eersel - Mixage : Benjamin Dubret - Production : Tom van Eersel - Fichiste : Justine Puybasset - Programmation : Pascale Assor


562 - Les histoires de 28' : Claudette Colvin, une héroïne dans l’ombre de Rosa Parks
Histoire d'une lutte ségrégationniste aux Etats-Unis
Le 2 mars 1955 était une journée banale pour Claudette Colvin. Après les cours, cette lycéenne de 15 ans prit le bus de Montgomery, en Alabama, pour rentrer chez elle. Habituée aux règles de la ségrégation, elle se dirige vers les sièges du fond, réservés aux Noirs. Mais, alors que le bus se remplit, Claudette refuse de céder sa place à un Blanc, malgré les menaces. Ce geste courageux et déterminant a peut-être inspiré celui de Rosa Parks. Neuf mois plus tard, cette élégante couturière, très investie dans la lutte pour les droits civiques, s’oppose à son tour à la ségrégation dans les transports. Le même geste. Mais les conséquences sont tout autres...Qu’est devenue Claudette Colvin ? Âgée de 80 ans aujourd’hui, elle n’a jamais cessé de se battre pour ses convictions, “dans l’ombre” de Rosa Parks. Que lui est-il arrivé après son arrestation dans le bus de Montgomery ? Pourquoi n’a-t-on (presque) jamais entendu parler d’elle ? Plus de 60 ans après, l’auteure Tania de Montaigne donne enfin une voix à Claudette Colvin et nous raconte le combat contre la ségrégation d’une oubliée de l’histoire.
Liens :- Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin, une bande dessinée sortie le 18 janvier 2019 chez Dargaud, d’après un livre éponyme publié en 2015 chez Grasset- Tania de Montaigne dans 28 minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 8 juin 19 - Réalisation & montage : Marie-Hélène Gallay - Mixage : Benjamin Dubret - Production : Tom van Eersel - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Pascale Assor - Musique : “We shall overcome” interpreté par Paul Van Eersel


562 - Les histoires de 28' : Claudette Colvin, une héroïne dans l’ombre de Rosa Parks
Histoire d'une lutte ségrégationniste aux Etats-Unis
Le 2 mars 1955 était une journée banale pour Claudette Colvin. Après les cours, cette lycéenne de 15 ans prit le bus de Montgomery, en Alabama, pour rentrer chez elle. Habituée aux règles de la ségrégation, elle se dirige vers les sièges du fond, réservés aux Noirs. Mais, alors que le bus se remplit, Claudette refuse de céder sa place à un Blanc, malgré les menaces. Ce geste courageux et déterminant a peut-être inspiré celui de Rosa Parks. Neuf mois plus tard, cette élégante couturière, très investie dans la lutte pour les droits civiques, s’oppose à son tour à la ségrégation dans les transports. Le même geste. Mais les conséquences sont tout autres...Qu’est devenue Claudette Colvin ? Âgée de 80 ans aujourd’hui, elle n’a jamais cessé de se battre pour ses convictions, “dans l’ombre” de Rosa Parks. Que lui est-il arrivé après son arrestation dans le bus de Montgomery ? Pourquoi n’a-t-on (presque) jamais entendu parler d’elle ? Plus de 60 ans après, l’auteure Tania de Montaigne donne enfin une voix à Claudette Colvin et nous raconte le combat contre la ségrégation d’une oubliée de l’histoire.
Liens :- Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin, une bande dessinée sortie le 18 janvier 2019 chez Dargaud, d’après un livre éponyme publié en 2015 chez Grasset- Tania de Montaigne dans 28 minutes
Comment le serial killer Michel Fourniret a dépouillé le gang des Postiches... Comment j’ai aidé mon enfant harcelée à l’école... Qu’ils soient journalistes, écrivains ou grands témoins, les invité.e.s de l’émission 28 minutes d'ARTE ont des histoires formidables à raconter. Voici leur podcast ! 28 minutes est le magazine d’actualité d’ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi."Les histoires de 28’" est un podcast coproduit par KM et ARTE Radio.
Enregistrement : 8 juin 19 - Réalisation & montage : Marie-Hélène Gallay - Mixage : Benjamin Dubret - Production : Tom van Eersel - Fichiste : Candice Bergeron - Programmation : Pascale Assor - Musique : “We shall overcome” interpreté par Paul Van Eersel


561 - Beatmakers S2 (10/10) : Don Nodey pour 25G et Seth Gueko
Don Nodey « Cabochard » par 25G et Seth Gueko
Dans sa petite chambre du 13 ème arrondissement de Paris, le producteur franco-vietnamien Don Nodey a produit le beat du fracassant « Cabochard » par 25G et Seth Gecko. S’il existe une version française du rap white trash (ayant consacré Eminem aux États-Unis par exemple), aucun titre ne la définirait mieux que ce classique underground. C'est le rap des camps de gitans, avec des détonations de flingues en guise de rythmique. Ou comment créer un son crasseux et assourdissant en superposant des samples de « Voodoou Child » de Hendrix, des guitares de Rage Against The Machine et des instruments de musique traditionnelle vietnamienne. Don Nodey explique aussi comment la guerre du Vietnam a permis l’émergence d'un rock vietnamien faisant parti de son héritage, mais l’ayant pourtant moins influencé que les sub-bass de Lil' Jon, ou le son de DJ Medhi en France.
Le SoundCloud de Don Nodey.
Autres extraits de l’épisode :- Carol Kim : « Cai Tram Em Cai »- Julie Quang : « Ngay Xua Hoang Thi »- Lil' Jon feat E-40 & Youngbloodz : « Snap your fingers »- 113 : « Tonton du Bled »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


561 - Beatmakers S2 (10/10) : Don Nodey pour 25G et Seth Gueko
Don Nodey « Cabochard » par 25G et Seth Gueko
Dans sa petite chambre du 13 ème arrondissement de Paris, le producteur franco-vietnamien Don Nodey a produit le beat du fracassant « Cabochard » par 25G et Seth Gecko. S’il existe une version française du rap white trash (ayant consacré Eminem aux États-Unis par exemple), aucun titre ne la définirait mieux que ce classique underground. C'est le rap des camps de gitans, avec des détonations de flingues en guise de rythmique. Ou comment créer un son crasseux et assourdissant en superposant des samples de « Voodoou Child » de Hendrix, des guitares de Rage Against The Machine et des instruments de musique traditionnelle vietnamienne. Don Nodey explique aussi comment la guerre du Vietnam a permis l’émergence d'un rock vietnamien faisant parti de son héritage, mais l’ayant pourtant moins influencé que les sub-bass de Lil' Jon, ou le son de DJ Medhi en France.
Le SoundCloud de Don Nodey.
Autres extraits de l’épisode :- Carol Kim : « Cai Tram Em Cai »- Julie Quang : « Ngay Xua Hoang Thi »- Lil' Jon feat E-40 & Youngbloodz : « Snap your fingers »- 113 : « Tonton du Bled »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


560 - Beatmakers S2 (9/10) : Breakbot
Breakbot « Mystery »
Les chapeaux à paillettes de Bootsy Collins et les boules à facette de Shalamar peuvent-ils être numérisés dans nos enceintes digitales ? Depuis 2007, Breakbot balance des productions plus funky les unes que les autres. Signé sur Ed Banger grâce à ses copains de Justice, il est vite devenu l’une des figures internationales du label de Pedro Winter. Ses machines filtrent des lignes de moog et des riffs de guitares disco. Dans son studio des quartiers huppés de l’ouest parisien, le producteur aux cheveux longs confie ses secrets pour faire chanter les filles, et particulièrement sa fiancée Capucine sur son tube « Mystery ».
Le SoundCloud de Breakbot.
Autres extraits de l’épisode :- Michael Jackson : « Thriller »- Justice : « D.A.N.C.E. »- Space : « Magic Fly »- DJ Medhi : « Signatune »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


560 - Beatmakers S2 (9/10) : Breakbot
Breakbot « Mystery »
Les chapeaux à paillettes de Bootsy Collins et les boules à facette de Shalamar peuvent-ils être numérisés dans nos enceintes digitales ? Depuis 2007, Breakbot balance des productions plus funky les unes que les autres. Signé sur Ed Banger grâce à ses copains de Justice, il est vite devenu l’une des figures internationales du label de Pedro Winter. Ses machines filtrent des lignes de moog et des riffs de guitares disco. Dans son studio des quartiers huppés de l’ouest parisien, le producteur aux cheveux longs confie ses secrets pour faire chanter les filles, et particulièrement sa fiancée Capucine sur son tube « Mystery ».
Le SoundCloud de Breakbot.
Autres extraits de l’épisode :- Michael Jackson : « Thriller »- Justice : « D.A.N.C.E. »- Space : « Magic Fly »- DJ Medhi : « Signatune »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


559 - Beatmakers S2 (8/10) : Myth Syzer
Myth Syzer « Le Code » feat. Bonnie Banane, Ichon, Muddy Monk
Le rap est devenu la nouvelle pop music, Myth Syzer élabore des beats acidulés et synthétiques comme des bonbons Haribo. Pour la série Beatmakers, il fait d’abord l'inventaire de ses influences 90’s, du R&B de R.Kelly au boom-bap de J. Dilla qui lui a inspiré son nom. Il décompose les pistes de son fameux single « Le Code », le premier track ou il assume pleinement de chanter au micro, mais aussi celui où il démontre vraiment que son rap est soluble dans une pop « à la Etienne Daho ». Muddy Monk, le rappeur Ichon et l’excentrique Bonnie Banane le rejoignent sur ce tube aussi doux qu'imparable. Du rap qui chante l’amour, avec glamour.
La chaîne YouTube et le SoundCloud Myth Syzer.
Autres extraits de l’épisode :- Aaliyah : « At your best (You are love) »- Joke : « Kyoto »- Sade : « War of the Hearts »- Etienne Daho et Françoise Hardy: « Et si je m’en vais avant toi »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


559 - Beatmakers S2 (8/10) : Myth Syzer
Myth Syzer « Le Code » feat. Bonnie Banane, Ichon, Muddy Monk
Le rap est devenu la nouvelle pop music, Myth Syzer élabore des beats acidulés et synthétiques comme des bonbons Haribo. Pour la série Beatmakers, il fait d’abord l'inventaire de ses influences 90’s, du R&B de R.Kelly au boom-bap de J. Dilla qui lui a inspiré son nom. Il décompose les pistes de son fameux single « Le Code », le premier track ou il assume pleinement de chanter au micro, mais aussi celui où il démontre vraiment que son rap est soluble dans une pop « à la Etienne Daho ». Muddy Monk, le rappeur Ichon et l’excentrique Bonnie Banane le rejoignent sur ce tube aussi doux qu'imparable. Du rap qui chante l’amour, avec glamour.
La chaîne YouTube et le SoundCloud Myth Syzer.
Autres extraits de l’épisode :- Aaliyah : « At your best (You are love) »- Joke : « Kyoto »- Sade : « War of the Hearts »- Etienne Daho et Françoise Hardy: « Et si je m’en vais avant toi »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


558 - Beatmakers S2 (7/10) : Evil Grimace
Evil Grimace « 3 Litres »
Désormais, tout est permis : on peut être fan du label néerlandais de techno hardcore Thunderdome et apprécier l’énergie du rap le plus provoquant, celui de LIM par exemple. En mélangeant le gabber (une forme particulièrement tapageuse de techno batave) et des a cappella rap français, Evil Grimace a créé un genre baptisé « Frapcore » : des punchlines scandées a tue-tête, des basses d’une violence foudroyante, et l’acharnement des drums comme des claques dans la gueule à répétition… Il dissèque ici son hymne des free partys, le morceau emblématique et générationnel « 3 Litres ».
La chaîne YouTube et le SoundCloud d'Evil Grimace.Le SoundCloud de Casual Gabberz.
Autres extraits dans l’épisode :- Jebroer (Prod. by Paul Elstak & Dr.Phunk) : « Kind Van De Duivel »- Wu-Tang Clan : « Protect Your Neck »- Evil Grimace : « Pour mes gens » (remix de « That's my people » de NTM, avec un sample du Préludes op.28 N.4 de Chopin)- Goth Von Core : « Helplessness »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch, Arnaud Forest - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


558 - Beatmakers S2 (7/10) : Evil Grimace
Evil Grimace « 3 Litres »
Désormais, tout est permis : on peut être fan du label néerlandais de techno hardcore Thunderdome et apprécier l’énergie du rap le plus provoquant, celui de LIM par exemple. En mélangeant le gabber (une forme particulièrement tapageuse de techno batave) et des a cappella rap français, Evil Grimace a créé un genre baptisé « Frapcore » : des punchlines scandées a tue-tête, des basses d’une violence foudroyante, et l’acharnement des drums comme des claques dans la gueule à répétition… Il dissèque ici son hymne des free partys, le morceau emblématique et générationnel « 3 Litres ».
La chaîne YouTube et le SoundCloud d'Evil Grimace.Le SoundCloud de Casual Gabberz.
Autres extraits dans l’épisode :- Jebroer (Prod. by Paul Elstak & Dr.Phunk) : « Kind Van De Duivel »- Wu-Tang Clan : « Protect Your Neck »- Evil Grimace : « Pour mes gens » (remix de « That's my people » de NTM, avec un sample du Préludes op.28 N.4 de Chopin)- Goth Von Core : « Helplessness »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch, Arnaud Forest - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


557 - Beatmakers S2 (6/10) : Isaac Delusion
Isaac Delusion « Midnight sun »
Un demi-siècle après la naissance des Beatles, ça ressemble à quoi un groupe de pop ? Isaac Delusion assume leur démarche de beatmakers, avec un process de production qui tourne essentiellement autour des machines, Les Parisiens rejouent ici le scénario de leur premier succès, « Midnight sun », un titre inspiré par « Soul kitchen » des Doors, avec des chœurs mystiques façon chants grégoriens, et une mélodie de clavier Rhodes qui ouvre le morceau vers les étoiles.
Autres extraits dans l’épisode :- Neil Young : « Old man »- Gang Starr : « Full clip »- Supertramp : « Goodbye stranger »- Tame impala : « Solitude is bliss »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


557 - Beatmakers S2 (6/10) : Isaac Delusion
Isaac Delusion « Midnight sun »
Un demi-siècle après la naissance des Beatles, ça ressemble à quoi un groupe de pop ? Isaac Delusion assume leur démarche de beatmakers, avec un process de production qui tourne essentiellement autour des machines, Les Parisiens rejouent ici le scénario de leur premier succès, « Midnight sun », un titre inspiré par « Soul kitchen » des Doors, avec des chœurs mystiques façon chants grégoriens, et une mélodie de clavier Rhodes qui ouvre le morceau vers les étoiles.
Autres extraits dans l’épisode :- Neil Young : « Old man »- Gang Starr : « Full clip »- Supertramp : « Goodbye stranger »- Tame impala : « Solitude is bliss »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


556 - Beatmakers S2 (5/10) : Chloé
Chloé « Because it’s There »
Dans l’espace, les réverbes des claviers de DJ Chloé résonnent à l’infini. Composé en son binaural 360°, avec des delays et échos abyssaux, « Because it’s there » renvoie au rock de Suicide autant qu’au Boléro de Ravel, et même aux exploits de l’alpiniste George Mallory ayant inspiré le titre du morceau. Toujours aussi indépendante dans sa démarche depuis plus de vingt ans, Chloé Thévenin a su sortir des clubs nocturnes pour entrer dans la lumière. Sa musique électronique raffinée n’a rien perdu de son mystère et de son élégance dans le processus.
Autres extraits de l’épisode :- Rae Sremmurd : « Swang » (Chopped and Screwed) par DJ Purpberry- Beatles : « Revolution 9 »- Maurice Ravel : « Boléro » par Boston Symphony Orchestar & Seiji Ozawa- Nina Kraviz : « Pain in the ass »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch, Arnaud Forest - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


556 - Beatmakers S2 (5/10) : Chloé
Chloé « Because it’s There »
Dans l’espace, les réverbes des claviers de DJ Chloé résonnent à l’infini. Composé en son binaural 360°, avec des delays et échos abyssaux, « Because it’s there » renvoie au rock de Suicide autant qu’au Boléro de Ravel, et même aux exploits de l’alpiniste George Mallory ayant inspiré le titre du morceau. Toujours aussi indépendante dans sa démarche depuis plus de vingt ans, Chloé Thévenin a su sortir des clubs nocturnes pour entrer dans la lumière. Sa musique électronique raffinée n’a rien perdu de son mystère et de son élégance dans le processus.
Autres extraits de l’épisode :- Rae Sremmurd : « Swang » (Chopped and Screwed) par DJ Purpberry- Beatles : « Revolution 9 »- Maurice Ravel : « Boléro » par Boston Symphony Orchestar & Seiji Ozawa- Nina Kraviz : « Pain in the ass »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch, Arnaud Forest - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


555 - Beatmakers S2 (4/10) : Guillaume Brière pour OrelSan
Guillaume Brière « Paradis » d'OrelSan
Quand OrelSan lui envoie un refrain a cappella, Guillaume Brière l’habille d’une orchestration rappelant fortement « Pastime paradise » de Stevie Wonder. En 2019, a-t-on encore le droit de reprendre ce genre de classiques déjà samplés et rejoués mille fois par les rappeurs depuis les années 90 ? Le producteur plaide non coupable et assume sa passion pour la soul music. Dans son studio de Reims, il explique aussi l’importance de sa rencontre avec le pionnier de la french touch Philippe Zdar (Cassius), pas encore disparu lors de cette interview, et son amitié avec Orelsan, le rappeur ayant patienté pendant un an afin qu’il sorte de l’hôpital pour finir « Paradis » avec lui.
Discographie de Guillaume Brière.
Autres extraits dans l’épisode :- Primal Scream : « Movie’ On Up »- Kendrick Lamar : « Element »- Phoenix : « 1901 »- Coolio : « Gangsta's Paradise »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


555 - Beatmakers S2 (4/10) : Guillaume Brière pour OrelSan
Guillaume Brière « Paradis » d'OrelSan
Quand OrelSan lui envoie un refrain a cappella, Guillaume Brière l’habille d’une orchestration rappelant fortement « Pastime paradise » de Stevie Wonder. En 2019, a-t-on encore le droit de reprendre ce genre de classiques déjà samplés et rejoués mille fois par les rappeurs depuis les années 90 ? Le producteur plaide non coupable et assume sa passion pour la soul music. Dans son studio de Reims, il explique aussi l’importance de sa rencontre avec le pionnier de la french touch Philippe Zdar (Cassius), pas encore disparu lors de cette interview, et son amitié avec Orelsan, le rappeur ayant patienté pendant un an afin qu’il sorte de l’hôpital pour finir « Paradis » avec lui.
Discographie de Guillaume Brière.
Autres extraits dans l’épisode :- Primal Scream : « Movie’ On Up »- Kendrick Lamar : « Element »- Phoenix : « 1901 »- Coolio : « Gangsta's Paradise »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


554 - Beatmakers S2 (3/10) : TrackBastardz pour Damso
TrackBastardz "Julien" de Damso
D’abord, un orgue B3 à la Deep Purple. Ensuite, des skanks reggae et une flûte digne des musiques de westerns d’Ennio Morricone. Enfin, un gimmick sonore ayant fait le succès du "Clandestino" de Manu Chao. Fidèles à leur réputation, les TrackBastardz agencent un spectre très large d’influences pour concocter un instrumental d’une richesse rare. Leur son digital sonne presque acoustique, et le rap de Damso se transforme en chant urbain sur le très sulfureux "Julien". D’ailleurs, question subsidiaire : accepteriez-vous de signer la musique d’un titre dont les paroles racontent la vie d'un pédophile ? Les TrackBastardz répondent pour "Beatmakers"…
SoundCloud et Instagram des TrackBastardz.
Autres extraits dans l’épisode :- Manu Chao : « Je ne t’aime plus »- Jok’air : « La mélodie des quartiers pauvres »- Migos : « Stir fy »- Deep Purple : « Child in time »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


552 - Beatmakers S2 (3/10) : TrackBastardz pour Damso
TrackBastardz "Julien" de Damso
D’abord, un orgue B3 à la Deep Purple. Ensuite, des skanks reggae et une flûte digne des musiques de westerns d’Ennio Morricone. Enfin, un gimmick sonore ayant fait le succès du "Clandestino" de Manu Chao. Fidèles à leur réputation, les TrackBastardz agencent un spectre très large d’influences pour concocter un instrumental d’une richesse rare. Leur son digital sonne presque acoustique, et le rap de Damso se transforme en chant urbain sur le très sulfureux "Julien". D’ailleurs, question subsidiaire : accepteriez-vous de signer la musique d’un titre dont les paroles racontent la vie d'un pédophile ? Les TrackBastardz répondent pour "Beatmakers"…
SoundCloud et Instagram des TrackBastardz.
Autres extraits dans l’épisode :- Manu Chao : « Je ne t’aime plus »- Jok’air : « La mélodie des quartiers pauvres »- Migos : « Stir fy »- Deep Purple : « Child in time »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


553 - Beatmakers S2 (2/10) : Laurent Garnier
Laurent Garnier « Jacques In The Box » feat. LBS crew
Entre transe et amertume, euphorie et désespoir, Laurent Garnier nourrit ses machines de sentiments humains intenses. Le DJ français est aussi généreux aux platines que lorsqu’il s’agit de parler musique, et pas seulement celle de Carl Graig ou du label Transmat par exemple. Pionnier de l’electro en France, icone des clubs internationaux, l’adolescent qui rêvait de faire danser les gens est toujours dans le coup après 30 ans de carrière, comme le prouve ce single, « Jacques In The Box ». Avec son complice Scan X du LBS crew, ils décomposent ensemble chaque ingrédient de leur recette avec la précision des grands chefs.
Le site et le SoundCloud de Laurent Garnier.
Autres extraits dans l’épisode :- Carl Craig : « Goodbye World »- Dream Frequency featuring Debbie Sharp : « Feel So Real »- Laurent Garnier « First reaction »- DJ Medhi : « Tunisia Bambata »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


553 - Beatmakers S2 (2/10) : Laurent Garnier
Laurent Garnier « Jacques In The Box » feat. LBS crew
Entre transe et amertume, euphorie et désespoir, Laurent Garnier nourrit ses machines de sentiments humains intenses. Le DJ français est aussi généreux aux platines que lorsqu’il s’agit de parler musique, et pas seulement celle de Carl Graig ou du label Transmat par exemple. Pionnier de l’electro en France, icone des clubs internationaux, l’adolescent qui rêvait de faire danser les gens est toujours dans le coup après 30 ans de carrière, comme le prouve ce single, « Jacques In The Box ». Avec son complice Scan X du LBS crew, ils décomposent ensemble chaque ingrédient de leur recette avec la précision des grands chefs.
Le site et le SoundCloud de Laurent Garnier.
Autres extraits dans l’épisode :- Carl Craig : « Goodbye World »- Dream Frequency featuring Debbie Sharp : « Feel So Real »- Laurent Garnier « First reaction »- DJ Medhi : « Tunisia Bambata »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


554 - Beatmakers S2 (1/10) : King Doudou pour PNL
King Doudou « Oh Lala » de PNL
Et si le style de PNL n’était finalement qu’une version ghetto de la sensibilité de Francis Cabrel ? Dans son petit home studio à Lyon, le producteur King Doudou dévoile les ficelles de l'énorme tube qu’il a composé en 2015 pour l’énorme duo star du rap français : « Oh Lala », avec plus d’une centaine de millions de streams sur les plateformes. Une déclinaison de ce que les Américains surnomment le « cloud rap ». Mais le producteur n’est pas seulement un esthète du trap moderne, il s’inspire aussi de la cumbia péruvienne, du ragga jamaïquain, du rap sudiste de Lex Luger, ou des B.O. de films apocalyptiques comme « La Route » de John Hillcoat. Question subsidiaire : comment fait-on, quand on ne l'a jamais rencontré, pour proposer un beat au groupe le plus mystérieux et le plus clanique du rap français ?
Le site et le SoundCloud de King Doudou.
Autres extraits dans l’épisode :- Omulu & King Doudou : « Bonde da pantera »- Francis Cabrel : « Octobre »- PNL : « Luz de la luna »- 2 Live Crew : « Me so horny »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


552 - Beatmakers S2 (1/10) : King Doudou pour PNL
King Doudou « Oh Lala » de PNL
Et si le style de PNL n’était finalement qu’une version ghetto de la sensibilité de Francis Cabrel ? Dans son petit home studio à Lyon, le producteur King Doudou dévoile les ficelles de l'énorme tube qu’il a composé en 2015 pour l’énorme duo star du rap français : « Oh Lala », avec plus d’une centaine de millions de streams sur les plateformes. Une déclinaison de ce que les Américains surnomment le « cloud rap ». Mais le producteur n’est pas seulement un esthète du trap moderne, il s’inspire aussi de la cumbia péruvienne, du ragga jamaïquain, du rap sudiste de Lex Luger, ou des B.O. de films apocalyptiques comme « La Route » de John Hillcoat. Question subsidiaire : comment fait-on, quand on ne l'a jamais rencontré, pour proposer un beat au groupe le plus mystérieux et le plus clanique du rap français ?
Le site et le SoundCloud de King Doudou.
Autres extraits dans l’épisode :- Omulu & King Doudou : « Bonde da pantera »- Francis Cabrel : « Octobre »- PNL : « Luz de la luna »- 2 Live Crew : « Me so horny »
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.En partenariat avec Clique.tv
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio
551 - Bande-annonce Beatmakers, saison 2
Les génies de l'ombre désossent leur musique
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio
551 - Bande-annonce Beatmakers
Les génies de l'ombre désossent leur musique
Dans cette deuxième saison, dix nouveaux producteurs français (King Doudou, Laurent Garnier, Trackbastardz, Don Nodey...) racontent le « making of » de leur plus grand tube.
Enregistrements : 2018 - Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Marine Stéphan - Production : ARTE Radio


550 - La route du bled (3/3) : Gibraltar et l’odeur des grillades
Récits croisés des vacances des Français d'origine maghrébine
La route du bled (3/3) : Gibraltar et l’odeur des grilladesLe détroit de Gibraltar et ses gigantesques bateaux-ferrys, dans lesquels on se sent parfois entassés comme du bétail, réservent quelques épreuves mais le soulagement se fait sentir avec l’odeur de la mer. C’est la grande traversée ! Enfin, ça y est, on met le pied sur le sol du pays d'origine. Un poids tombe des épaules des parents et les enfants commencent à imaginer la fin de ce voyage sans fin. Même s’il reste encore beaucoup de route pour certains avant la destination finale, le but est presque atteint et ce sera peut-être le premier restaurant, les premières grillades tant attendues. On les dégustera comme jamais.
La route du bled, c’est le rituel du retour au pays d'origine pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.
Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine.
Enregistrements : novembre-décembre 2018 - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Assistante recherche: Safia Elkhatabi - Illustrations : Rachid Sguini - Réalisation & montage : Halima Elkhatabi - Production : ARTE Radio


550 - La route du bled (3/3) : Gibraltar et l’odeur des grillades
Récits croisés des vacances des Français d'origine maghrébine
La route du bled (3/3) : Gibraltar et l’odeur des grilladesLe détroit de Gibraltar et ses gigantesques bateaux-ferrys, dans lesquels on se sent parfois entassés comme du bétail, réservent quelques épreuves mais le soulagement se fait sentir avec l’odeur de la mer. C’est la grande traversée ! Enfin, ça y est, on met le pied sur le sol du pays d'origine. Un poids tombe des épaules des parents et les enfants commencent à imaginer la fin de ce voyage sans fin. Même s’il reste encore beaucoup de route pour certains avant la destination finale, le but est presque atteint et ce sera peut-être le premier restaurant, les premières grillades tant attendues. On les dégustera comme jamais.
La route du bled, c’est le rituel du retour au pays d'origine pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.
Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine.
Enregistrements : novembre-décembre 2018 - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Assistante recherche: Safia Elkhatabi - Illustrations : Rachid Sguini - Réalisation & montage : Halima Elkhatabi - Production : ARTE Radio


549 - La route du bled (2/3) : L’Espagne ou la route de l’extrême
Récit à mille voix d'une épopée familiale
La route du bled (2/3) : L’Espagne, la route de l’extrêmeQuand on pense à la route du bled, c'est la traversée de l'Espagne qui surgit dans nos mémoires comme la partie la plus longue, la plus ardue, la plus fatigante. Chacun la vit (et y survit) à sa manière. La langue, le rapport avec les Espagnols, les pannes sur les routes de campagne, la chaleur pesante... Puis, enfin, l’arrivée à Algesiras où l'attente avant d'embarquer est interminable sous le soleil plombant. La fin approche mais ressemble à un mirage. On est exténué, déshydraté et on a surtout besoin d’un vrai répit.
La route du bled, c’est le rituel du retour au pays d'origine pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.
Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine.
Enregistrements : novembre-décembre 2018 - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Assistante recherche: Safia Elkhatabi - Illustrations : Rachid Sguini - Réalisation & montage : Halima Elkhatabi - Production : ARTE Radio


549 - La route du bled (2/3) : L’Espagne ou la route de l’extrême
Récit à mille voix d'une épopée familiale
La route du bled (2/3) : L’Espagne, la route de l’extrêmeQuand on pense à la route du bled, c'est la traversée de l'Espagne qui surgit dans nos mémoires comme la partie la plus longue, la plus ardue, la plus fatigante. Chacun la vit (et y survit) à sa manière. La langue, le rapport avec les Espagnols, les pannes sur les routes de campagne, la chaleur pesante... Puis, enfin, l’arrivée à Algesiras où l'attente avant d'embarquer est interminable sous le soleil plombant. La fin approche mais ressemble à un mirage. On est exténué, déshydraté et on a surtout besoin d’un vrai répit.
La route du bled, c’est le rituel du retour au pays d'origine pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.
Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine.
Enregistrements : novembre-décembre 2018 - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Assistante recherche: Safia Elkhatabi - Illustrations : Rachid Sguini - Réalisation & montage : Halima Elkhatabi - Production : ARTE Radio


548 - La route du bled (1/3) : Rêve d’or sur le porte-bagages
Début du voyage, des bagages et cadeaux plein le toit
La route du bled (1/3) : Rêve d’or sur le porte-bagagesQuand on peut partir pour les vacances d'été au pays d'origine, au Maghreb, les préparatifs débutent plusieurs semaines à l'avance. On accumule de nombreux bagages. Chacun a son avis sur leur contenu, leur nombre, leur poids, mais ce qui compte avant tout, ce sont les cadeaux pour la famille ! Le grand départ se fait tôt le matin ou au coucher du soleil pour éviter les bouchons et passer inaperçus avec la montagne de bagages sur le toit couverts de la légendaire bâche bleue. La traversée de la France est l'étape la moins pénible du voyage. La fatigue n'est pas encore installée, les routes sont belles et plutôt clémentes. Pour les enfants, c'est quand même le début de la galère, on ne sait pas où mettre les pieds, avec la glacière qui prend toute la place et les sacs enfouis un peu partout. Péage de St-Arnoult, Bordeaux, Hendaye, plusieurs étapes importantes et déjà quelques (més)aventures alors qu’on n’a pas encore atteint la première frontière.
La route du bled, c’est le rituel du retour au pays pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.
Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine.
Enregistrements : novembre-décembre 18 - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Assistante recherche: Safia Elkhatabi - Illustrations : Rachid Sguini - Réalisation & montage : Halima Elkhatabi - Production : ARTE Radio


548 - La route du bled (1/3) : Rêve d’or sur le porte-bagages
Début du voyage, des bagages et cadeaux plein le toit
La route du bled (1/3) : Rêve d’or sur le porte-bagagesQuand on peut partir pour les vacances d'été au pays d'origine, au Maghreb, les préparatifs débutent plusieurs semaines à l'avance. On accumule de nombreux bagages. Chacun a son avis sur leur contenu, leur nombre, leur poids, mais ce qui compte avant tout, ce sont les cadeaux pour la famille ! Le grand départ se fait tôt le matin ou au coucher du soleil pour éviter les bouchons et passer inaperçus avec la montagne de bagages sur le toit couverts de la légendaire bâche bleue. La traversée de la France est l'étape la moins pénible du voyage. La fatigue n'est pas encore installée, les routes sont belles et plutôt clémentes. Pour les enfants, c'est quand même le début de la galère, on ne sait pas où mettre les pieds, avec la glacière qui prend toute la place et les sacs enfouis un peu partout. Péage de St-Arnoult, Bordeaux, Hendaye, plusieurs étapes importantes et déjà quelques (més)aventures alors qu’on n’a pas encore atteint la première frontière.
La route du bled, c’est le rituel du retour au pays pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.
Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine.
Enregistrements : novembre-décembre 18 - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Assistante recherche: Safia Elkhatabi - Illustrations : Rachid Sguini - Réalisation & montage : Halima Elkhatabi - Production : ARTE Radio
547 - C'est ton anniversaire
Les meilleurs messages pour te faire ta fête
Bon anniversaire ! Ta famille, tes amis, te laissent plein de messages sympas ou ridicules sur ta boîte vocale. Voici la compile du best of.
Qui laisse encore des messages vocaux sur nos répondeurs ? Après le succès de ses podcasts "C'est maman", "C'est papa", "C'est papy-mamie" et "C'est (encore) maman", Mathilde Guermonprez a demandé aux auditeurs et -trices de lui envoyer les plus beaux messages reçus pour leur anniversaire. Parmi 41 contributions et 61 messages reçus, voici son montage des meilleurs. Happy b-day !
Enregistrements : novembre 18-mars 19 - Mix : Arnaud Forest - Réalisation : Mathilde Guermonprez
546 - C'est (encore) maman
Les meilleurs messages de ta mère
Nos mères appellent. Elles laissent des messages, parfois plusieurs. Parce qu'elles ont une galère ou une question ou un cadeau en cours. Qu'elles ont envie d'entendre ta voix ou juste envie de parler.
Qui laisse encore des messages vocaux sur nos répondeurs ? Après le succès de ses podcasts "C'est maman", "C'est papa" et "C'est papy-mamie", Mathilde Guermonprez a demandé aux auditeurs et -trices de lui envoyer les plus beaux (drôles, émouvants, bizarres) messages de leur maman. Parmi 44 contributeurs et 128 messages reçus, voici son montage des meilleurs. Rappelle ta mère !
Enregistrements : novembre 18-mars 19 - Mix : Arnaud Forest - Réalisation : Mathilde Guermonprez


547 - Plaisir d'offrir (5/5) : On ne fait pas d'omelette
Klaire stimule ses oeufs pour son don d'ovocyte
Plaisir d'offrir (5/5) : On ne fait pas d'omeletteKlaire commence le processus de stimulation hormonale à base de piqûres quotidiennes. Elle cumule les effets secondaires, les examens et les coups de blues : est-ce que ça va marcher ? Ou est-ce que tout va foirer, et qu’une anonyme sera privée de bébé à cause d’une sombre histoire d’injection dans les WC ?
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


545 - Plaisir d'offrir (5/5) : On ne fait pas d'omelette
Klaire stimule ses oeufs pour son don d'ovocyte
Plaisir d'offrir (5/5) : On ne fait pas d'omeletteKlaire commence le processus de stimulation hormonale à base de piqûres quotidiennes. Elle cumule les effets secondaires, les examens et les coups de blues : est-ce que ça va marcher ? Ou est-ce que tout va foirer, et qu’une anonyme sera privée de bébé à cause d’une sombre histoire d’injection dans les WC ?
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


546 - Plaisir d'offrir (4/5) : Marcher sur mes oeufs
Klaire découvre les avantages givrés du don d'ovocytes
Plaisir d'offrir (4/5) : Marcher sur mes oeufsLiberté, égalité, ovules congelés ? Que dalle. En France, faire vitrifier ses ovocytes pour soi-même est interdit. Sauf dans quelques cas et notamment… pour les donneuses, qui peuvent désormais garder une partie de leurs œufs au congélo. Comme ça, ça parait youpi, mais en fait, ça pue le chantage et l’hypocrisie. Merci mais non merci.
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


544 - Plaisir d'offrir (4/5) : Marcher sur mes oeufs
Klaire découvre les avantages givrés du don d'ovocytes
Plaisir d'offrir (4/5) : Marcher sur mes oeufsLiberté, égalité, ovules congelés ? Que dalle. En France, faire vitrifier ses ovocytes pour soi-même est interdit. Sauf dans quelques cas et notamment… pour les donneuses, qui peuvent désormais garder une partie de leurs œufs au congélo. Comme ça, ça parait youpi, mais en fait, ça pue le chantage et l’hypocrisie. Merci mais non merci.
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


545 - Plaisir d'offrir (3/5) : Minute, cocotte
Klaire veut donner ses ovocytes et ça prend du temps
Plaisir d'offrir (3/5) : Minute, cocotteProcessus oblige, Klaire est bien obligée de se confronter à ce qu’en pense sa mère, à ce qu’en pense son mec, à ce qu’en pense la psy. Et puis, il y a l’administration qui rend maboule. Et encore, ça, c’est quand tu es du bon côté de la poule. Parce que si déjà pour donner tes ovocytes, c’est long et fastidieux, alors quand tu attends pour en recevoir…
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


543 - Plaisir d'offrir (3/5) : Minute, cocotte
Klaire veut donner ses ovocytes et ça prend du temps
Plaisir d'offrir (3/5) : Minute, cocotteProcessus oblige, Klaire est bien obligée de se confronter à ce qu’en pense sa mère, à ce qu’en pense son mec, à ce qu’en pense la psy. Et puis, il y a l’administration qui rend maboule. Et encore, ça, c’est quand tu es du bon côté de la poule. Parce que si déjà pour donner tes ovocytes, c’est long et fastidieux, alors quand tu attends pour en recevoir…
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


544 - Plaisir d'offrir (2/5) : Roule ma poule
Je veux donner mes ovocytes : le parcours d'une combattante
Plaisir d'offrir (2/5) : Mes oeufs dans un autre panierKlaire décide de prendre un premier rendez-vous médical et un menu enfant au McDo pour s’en remettre. En fait, entre les campagnes de recrutement de donneuses et la réalité, il y a une petite marge où se faufilent les doutes, la parano et le numéro de l’hôpital. Ne quittez pas, nous allons prendre vos gamètes. Enfin, peut-être.
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


542 - Plaisir d'offrir (2/5) : Roule ma poule
Je veux donner mes ovocytes : le parcours d'une combattante
Plaisir d'offrir (2/5) : Mes oeufs dans un autre panierKlaire décide de prendre un premier rendez-vous médical et un menu enfant au McDo pour s’en remettre. En fait, entre les campagnes de recrutement de donneuses et la réalité, il y a une petite marge où se faufilent les doutes, la parano et le numéro de l’hôpital. Ne quittez pas, nous allons prendre vos gamètes. Enfin, peut-être.
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


543 - Plaisir d'offrir (1/5) : Mes oeufs dans un autre panier
Je veux donner mes ovocytes : une comédie documentaire de Klaire fait Grr
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Plaisir d'offrir (1/5) : Mes oeufs dans un autre panier :Klaire entend parler de la démarche du don d’ovocytes, et confie à ses tartines ses interrogations et les raisons qui pourraient la pousser à les donner, elle, ses œufs. Et pendant qu’elle se regarde le nombril pépère, on réalise que des milliers de couples ont le coquetier en galère.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio


541 - Plaisir d'offrir (1/5) : Mes oeufs dans un autre panier
Je veux donner mes ovocytes : une comédie documentaire de Klaire fait Grr
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Plaisir d'offrir (1/5) : Mes oeufs dans un autre panier :Klaire entend parler de la démarche du don d’ovocytes, et confie à ses tartines ses interrogations et les raisons qui pourraient la pousser à les donner, elle, ses œufs. Et pendant qu’elle se regarde le nombril pépère, on réalise que des milliers de couples ont le coquetier en galère.
Enregistrement : 2018-19 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
540 - C'est papy-mamie
Les meilleurs messages des grand-parents
Ils préparent des petits plats, elles galèrent sur l'ordi, ils se font voler leur sac... mais surtout, papy et mamie t'aiment et savent te le rappeler. A ton tour de jouer.
Qui laisse encore des messages vocaux sur nos répondeurs ? Après le succès de ses podcasts "C'est maman" et "C'est papa", Mathilde Guermonprez a demandé aux auditeurs et -trices de lui envoyer les plus beaux (drôles, émouvants) messages reçus. Parmi 32 contributeurs et 73 messages sur ce premier thème, voici le meilleur de nos grand-parents.
Enregistrements : novembre 18-mars 19 - Mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Mathilde Guermonprez
542 - Bande-annonce – Plaisir d'offrir
Une comédie documentaire de Klaire fait Grr
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrements : septembre - décembre 18 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch
539 - Bande-annonce – Plaisir d'offrir
Une comédie documentaire de Klaire fait Grr
Un beau jour, l’auteure radio Klaire fait Grr (prix Italia et prix du Podcast 2018 pour sa fiction « Mon prince viendra ») décide de donner ses ovocytes. Pour crâner à la cantine, et parce que des milliers de femmes attendent ce don dans l’espoir d’un enfant. Commence alors un parcours de la combattante, entre consultations à l’hôpital, effroi de sa mère et doutes dans son couple. Une enquête aux pays des gamètes, un podcast hilarant et touchant, enlevé comme un cartoon sonore.
Enregistrements : septembre - décembre 18 - Texte, voix, réalisation : Klaire fait Grr - Prises de son additionnelles : Elodie Font - Réalisation & mix : Samuel Hirsch


541 - Les chemins de désir (6/6) : Gone Wild Audio
Fantasmes auditifs
Épisode 6 : Gone Wild AudioComme souvent, la solution va venir de façon totalement inattendue : un nouvel embranchement, le porno sonore et ses communautés, le merveilleux site Gone Wild Audio et la jouissance de l’écoute…
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrement : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Rebecca Finet, Ariane Brousse, Clemence Faure, Jeanne Piponnier, Damien Zanoly, Loïc Riewer, Emma Broughton, Blaise Pettebone, Mathilde Ortscheidt - Production : ARTE Radio


538 - Les chemins de désir (6/6) : Gone Wild Audio
Fantasmes auditifs
Épisode 6 : Gone Wild AudioComme souvent, la solution va venir de façon totalement inattendue : un nouvel embranchement, le porno sonore et ses communautés, le merveilleux site Gone Wild Audio et la jouissance de l’écoute…
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrement : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Rebecca Finet, Ariane Brousse, Clemence Faure, Jeanne Piponnier, Damien Zanoly, Loïc Riewer, Emma Broughton, Blaise Pettebone, Mathilde Ortscheidt - Production : ARTE Radio


540 - Les chemins de désir (5/6) : Le hentai et les sorties de piste
Les tentacules du plaisir
Épisode 5 : Le hentai et les sorties de pistesLe porno peut nous montrer des facettes de nous-mêmes qu'on ignorait. C'est ce que se dit la narratrice quand elle se découvre attirée par des vidéos de hentai, des dessins animés érotiques japonais très excessifs...
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrements : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix d'Emma Broughton, Damien Zanoly, Loïc Riewer, Clemence Faure - Production : ARTE Radio


537 - Les chemins de désir (5/6) : Le hentai et les sorties de piste
Les tentacules du plaisir
Épisode 5 : Le hentai et les sorties de pistesLe porno peut nous montrer des facettes de nous-mêmes qu'on ignorait. C'est ce que se dit la narratrice quand elle se découvre attirée par des vidéos de hentai, des dessins animés érotiques japonais très excessifs...
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrements : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix d'Emma Broughton, Damien Zanoly, Loïc Riewer, Clemence Faure - Production : ARTE Radio


539 - Les chemins de désir (4/6) : Le Big Bang
Avec l'arrivée de YouPorn le champ des fantasmes s'agrandit
Épisode 4 : Le Big Bang"Quand YouPorn arrive, c'est le sirocco dans les villages. Les vents de Santa Ana. Ca fait tout voler en éclats". Des tags de plus en plus fous, des vidéos de plus en plus extrêmes : la narratrice s'abandonne au tourbillon des plateformes X. Mais la contradiction entre sa vie pornographique et sa vie réelle devient difficile à cacher.
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrements : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Martin Nikonoff, Damien Zanoly, Loïc Riewer, Emma Broughton, Ariane Brousse, Rebecca Finet - Production : ARTE Radio


536 - Les chemins de désir (4/6) : Le Big Bang
Avec l'arrivée de YouPorn le champ des fantasmes s'agrandit
Épisode 4 : Le Big Bang"Quand YouPorn arrive, c'est le sirocco dans les villages. Les vents de Santa Ana. Ca fait tout voler en éclats". Des tags de plus en plus fous, des vidéos de plus en plus extrêmes : la narratrice s'abandonne au tourbillon des plateformes X. Mais la contradiction entre sa vie pornographique et sa vie réelle devient difficile à cacher.
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrements : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Martin Nikonoff, Damien Zanoly, Loïc Riewer, Emma Broughton, Ariane Brousse, Rebecca Finet - Production : ARTE Radio


538 - Les chemins de désir (3/6) : Revebebe et les féministes
Enfin seule et connectée
Épisode 3 : Revebebe et les féministesPour fantasmer comme pour écrire, il faut une chambre à soi. Au début des années 2000 la narratrice a enfin une connexion internet privée. Elle découvre le porno en ligne avec le site Revebebe, où des inconnu-es écrivent et postent des histoires érotiques. Mais à mesure que son fantasme se déploie, sa découverte du féminisme l'expose à de nouvelles contradictions.
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrement : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Sabine Zovighian, Ariane Brousse, Rebecca Finet, Clemence Faure, Damien Zanoly, Jeanne Piponnier, François Pérache, Eddy Letexier, Loïc Riewer - Production : ARTE Radio


535 - Les chemins de désir (3/6) : Revebebe et les féministes
Enfin seule et connectée
Épisode 3 : Revebebe et les féministesPour fantasmer comme pour écrire, il faut une chambre à soi. Au début des années 2000 la narratrice a enfin une connexion internet privée. Elle découvre le porno en ligne avec le site Revebebe, où des inconnu-es écrivent et postent des histoires érotiques. Mais à mesure que son fantasme se déploie, sa découverte du féminisme l'expose à de nouvelles contradictions.
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrement : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Sabine Zovighian, Ariane Brousse, Rebecca Finet, Clemence Faure, Damien Zanoly, Jeanne Piponnier, François Pérache, Eddy Letexier, Loïc Riewer - Production : ARTE Radio


537 - Les chemins de désir (2/6) : La blonde innocente et la brune incendiaire
Premières découvertes de l'adolescence
Épisode 2 : La blonde innocente et la brune incendiaireA l'adolescence, l'image oubliée refait surface. C'est le début des années 1990 : la jeune fille découvre pêle-mêle la masturbation et le porno regardé à la volée, sur la télé familiale, quand tout le monde est couché.
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrement : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Jeanne Piponnier, Adèle Bachet, Dan Kostenbaum, Clemence Faure, Ariane Brousse, Rebecca Finet, Benjamin Abitan - Production : ARTE Radio


534 - Les chemins de désir (2/6) : La blonde innocente et la brune incendiaire
Premières découvertes de l'adolescence
Épisode 2 : La blonde innocente et la brune incendiaireA l'adolescence, l'image oubliée refait surface. C'est le début des années 1990 : la jeune fille découvre pêle-mêle la masturbation et le porno regardé à la volée, sur la télé familiale, quand tout le monde est couché.
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Enregistrement : décembre 18-janvier 19 - Adaptation et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Jeanne Piponnier, Adèle Bachet, Dan Kostenbaum, Clemence Faure, Ariane Brousse, Rebecca Finet, Benjamin Abitan - Production : ARTE Radio


536 - Les chemins de désir (1/6) : La première fois
Longtemps je me suis touchée de bonheur
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Épisode 1/6: La première foisUn dimanche après-midi, chez sa grand-mère, la narratrice tombe sur une BD pour adultes cachée en haut de la bibliothèque. Elle a huit ans, elle s'ennuie ferme et ces images vont la suivre toute sa vie.
Enregistrements : décembre 18-janvier 19 - Dramaturgie et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Dans Kostenbaum, Madeleine Kostenbaum, Rebecca Finet, Ariane Brousse, Damien Zanoly, Clemence Faure - Production : ARTE Radio


533 - Les chemins de désir (1/6) : La première fois
Longtemps je me suis touchée de bonheur
Comment l’imaginaire érotique se construit parfois loin de la vie amoureuse réelle et peut s’appuyer sur les nouvelles technologies, se nourrir de BD, de films, de vidéos, de podcasts sonores. Dans cette fiction, Claire Richard parcourt les chemins du désir féminin, ses contre-allées déroutantes, ses ruelles cachées, ses zones de liberté. "Les chemins de désir" a remporté le prix du podcast de fiction SACD, le prix Sacem de la musique originale, le prix Italia, le prix Europa et le prix Nova (argent) de la meilleure fiction radio 2019. Le texte du podcast a été publié aux éditions du Seuil.
Épisode 1/6: La première foisUn dimanche après-midi, chez sa grand-mère, la narratrice tombe sur une BD pour adultes cachée en haut de la bibliothèque. Elle a huit ans, elle s'ennuie ferme et ces images vont la suivre toute sa vie.
Enregistrements : décembre 18-janvier 19 - Dramaturgie et réalisation : Sabine Zovighian - Réalisation et musique originale : Arnaud Forest - Électroacoustique : Anton Mobin - Guitare : Clément Simounet - Illustration : Maïc Batmane - Avec : Claire Richard (narration) et les voix de Dans Kostenbaum, Madeleine Kostenbaum, Rebecca Finet, Ariane Brousse, Damien Zanoly, Clemence Faure - Production : ARTE Radio


534 - Écouter le cinéma (5/5) : Shebam, blop, wizz !
Un autre monde est possible avec le design sonore
Déjà 4 épisodes sur le son au cinéma et ce podcast n’a toujours pas parlé de Star Wars ! Cet ultime épisode revient sur la révolution qu’a été le design sonore de Ben Burtt pour le film de George Lucas (1977), et élargit le champ sur le rôle du sound design dans le cinéma fantastique et S-F contemporain.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur. Ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : Terminator 2, Avengers, Valérian, Star Wars, Planète interdite, Matrix.
Anecdote : Le monteur Pascal Villard décortique le sound design révolutionnaire de Ben Burtt pour le film Star Wars. Par exemple, le son des chasseurs TIE fait d'un mélange de moteur et de barrissement d’éléphant.
Avec : Guillaume Bouchateau, Pascal Villard, Grégory Vincent, Jean-Stéphane Guitton
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


532 - Écouter le cinéma (5/5) : Shebam, blop, wizz !
Un autre monde est possible avec le design sonore
Déjà 4 épisodes sur le son au cinéma et ce podcast n’a toujours pas parlé de Star Wars ! Cet ultime épisode revient sur la révolution qu’a été le design sonore de Ben Burtt pour le film de George Lucas (1977), et élargit le champ sur le rôle du sound design dans le cinéma fantastique et S-F contemporain.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur. Ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : Terminator 2, Avengers, Valérian, Star Wars, Planète interdite, Matrix.
Anecdote : Le monteur Pascal Villard décortique le sound design révolutionnaire de Ben Burtt pour le film Star Wars. Par exemple, le son des chasseurs TIE fait d'un mélange de moteur et de barrissement d’éléphant.
Avec : Guillaume Bouchateau, Pascal Villard, Grégory Vincent, Jean-Stéphane Guitton
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


533 - Écouter le cinéma (4/5) : Un frisson dans la nuit
Comment donner la chair de poule
Épisode 4/5: Un frisson dans la nuitSusciter la peur du spectateur est une entreprise aussi vieille que le cinéma lui-même. Les ingénieurs du son révèlent leurs trucs pour donner le frisson, et décodent les classiques du film d’épouvante, un genre extrêmement sonore.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur. Ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : King Kong, M le Maudit, La Féline, Silent Hill, Martyre(s), Les Rivières pourpres 2, The Shining, Frankenstein
Anecdote :Le son de la pluie sur un toit rassure, parce que c’est un son régulier, alors que si le son comporte des ruptures, il crée un malaise. Guillaume Bouchateau donne en exemple le petit Danny sur son tricycle dans les couloirs de l’Hôtel Overlook : le son discontinu des roues passant des tapis au plancher rend la scène oppressante pour le spectateur de Shining.
Avec : Jean-Stéphane Guitton, Guillaume Bouchateau, Pascal Villard, Nicolas Becker, Nicolas Dubois, Judith Guittier
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


531 - Écouter le cinéma (4/5) : Un frisson dans la nuit
Comment donner la chair de poule
Épisode 4/5: Un frisson dans la nuitSusciter la peur du spectateur est une entreprise aussi vieille que le cinéma lui-même. Les ingénieurs du son révèlent leurs trucs pour donner le frisson, et décodent les classiques du film d’épouvante, un genre extrêmement sonore.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur. Ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : King Kong, M le Maudit, La Féline, Silent Hill, Martyre(s), Les Rivières pourpres 2, The Shining, Frankenstein
Anecdote :Le son de la pluie sur un toit rassure, parce que c’est un son régulier, alors que si le son comporte des ruptures, il crée un malaise. Guillaume Bouchateau donne en exemple le petit Danny sur son tricycle dans les couloirs de l’Hôtel Overlook : le son discontinu des roues passant des tapis au plancher rend la scène oppressante pour le spectateur de Shining.
Avec : Jean-Stéphane Guitton, Guillaume Bouchateau, Pascal Villard, Nicolas Becker, Nicolas Dubois, Judith Guittier
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


532 - Écouter le cinéma (3/5) : Marcher sur des os
L’art du bruitage et le bel effet gore
Épisode 3/5: Marcher sur des osPoireaux, pâtes et cuir : les bruiteurs du cinéma font parler les matières. Gros plan sur un métier encore artisanal qui est au cœur du travail de la bande son des films de genre.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur, ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : Le labyrinthe de Pan, Alien, Le loup-garou de Londres, Total Western, 127 heures, Revenge.
Anecdotes :Nicolas Dubois fait pousser un poil de loup-garou en épluchant un pamplemousse...Au tout début de sa carrière, Judith Guittier travaille sur le film Total Western pour lequel elle doit bruiter une scène de torture... avec des endives ! Le son qu’elle obtient est si réaliste et si écoeurant qu’elle doit sortir du studio.
Avec :Grégory Vincent, bruiteur (Premier contact, Revenge, Au revoir là-haut, L’écume des jours...)Judith Guittier, bruiteuse (Le transporteur, Taxi 3, La Princesse de Montpensier...)Nicolas Dubois, bruiteur, créateur et responsable de la société SoundfishingNicolas Becker, Pascal Villard
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


530 - Écouter le cinéma (3/5) : Marcher sur des os
L’art du bruitage et le bel effet gore
Épisode 3/5: Marcher sur des osPoireaux, pâtes et cuir : les bruiteurs du cinéma font parler les matières. Gros plan sur un métier encore artisanal qui est au cœur du travail de la bande son des films de genre.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur, ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : Le labyrinthe de Pan, Alien, Le loup-garou de Londres, Total Western, 127 heures, Revenge.
Anecdotes :Nicolas Dubois fait pousser un poil de loup-garou en épluchant un pamplemousse...Au tout début de sa carrière, Judith Guittier travaille sur le film Total Western pour lequel elle doit bruiter une scène de torture... avec des endives ! Le son qu’elle obtient est si réaliste et si écoeurant qu’elle doit sortir du studio.
Avec :Grégory Vincent, bruiteur (Premier contact, Revenge, Au revoir là-haut, L’écume des jours...)Judith Guittier, bruiteuse (Le transporteur, Taxi 3, La Princesse de Montpensier...)Nicolas Dubois, bruiteur, créateur et responsable de la société SoundfishingNicolas Becker, Pascal Villard
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


531 - Écouter le cinéma (2/5) : Le cri des monstres
Donner une voix aux créatures de E.T. à Godzilla
Épisode 2/5 : Le cri des monstres Pascal, Guillaume et Nicolas travaillent le son pour les plus grands réalisateurs. De King Kong à Premier contact, de Jurassic Park à Godzilla, ils décryptent les cris des créatures fantastiques les plus célèbres et dévoilent leurs astuces pour donnent vie aux monstres.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur, ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : Godzilla, King Kong, Premier contact (Arrival), Valérian, E.T, Jurassic Park, Silent Hill, Them (Des monstres attaquent la ville).
Anecdotes :Le cri inventé pour le monstre japonais Godzilla a été fabriqué à partir d’un gant de crin frotté contre une contrebasse. Ce son si reconnaissable est encore utilisé dans les remakes d’aujourd’hui.Pour créer le langage des octopodes du film Premier contact (Arrival), le bruiteur Nicolas Becker a utilisé comme base le chant des baleines.
Avec : Pascal Villard, Guillaume Bouchateau, Nicolas Becker
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


529 - Écouter le cinéma (2/5) : Le cri des monstres
Donner une voix aux créatures de E.T. à Godzilla
Épisode 2/5 : Le cri des monstres Pascal, Guillaume et Nicolas travaillent le son pour les plus grands réalisateurs. De King Kong à Premier contact, de Jurassic Park à Godzilla, ils décryptent les cris des créatures fantastiques les plus célèbres et dévoilent leurs astuces pour donnent vie aux monstres.
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur, ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio.
Films cités dans l’épisode : Godzilla, King Kong, Premier contact (Arrival), Valérian, E.T, Jurassic Park, Silent Hill, Them (Des monstres attaquent la ville).
Anecdotes :Le cri inventé pour le monstre japonais Godzilla a été fabriqué à partir d’un gant de crin frotté contre une contrebasse. Ce son si reconnaissable est encore utilisé dans les remakes d’aujourd’hui.Pour créer le langage des octopodes du film Premier contact (Arrival), le bruiteur Nicolas Becker a utilisé comme base le chant des baleines.
Avec : Pascal Villard, Guillaume Bouchateau, Nicolas Becker
Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsh et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsh - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


535 - Écouter le cinéma (1/5) : Du vent dans la plaine
Du western à Blade Runner et La Haine, les secrets des ambiances réussies
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur, ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio. Episode 1/5 : Du vent dans la plaine Dans ce premier épisode, les ingénieurs du son de La haine, Gravity et Sur mes lèvres dévoilent les bases de la mise en scène sonore. Ils racontent le rôle de l’ambiance au cinéma, expliquent comment le son des films peut raconter une histoire, donner des indices et entrer dans l’inconscient du spectateur pour influencer ses émotions.
Films cités dans l’épisode : La Môme, Sur mes lèvres, Blade Runner, La Haine, Gravity, Rencontres du troisième type.
Anecdote : Dans La Haine, toutes les séquences à Paris sont en son mono, et tout ce qui se passe en banlieue est en stéréo. Ce qui donne à la capitale l’effet d’une ville inconnue, confuse et dangereuse pour les banlieusards, quand au contraire leur cité trouve avec un son large et riche une forme de grâce et de profondeur.
Avec : Pascal Villard, monteur son et sound designer (Santa & Cie, De rouille et d’os, De battre mon cœur s’est arrêté). César du meilleur son pour La Môme et Sur mes lèvres.Guillaume Bouchateau, monteur son et sound designer (Valérian, Les Combattants, Jack et la mécanique du cœur).Jean-Stéphane Guitton, compositeur et professeur de musique de film au conservatoire de Paris.Anne Le Campion, mixeuse (La jeune fille et la mort, Miss Sloane, Léon...) César du meilleur son pour Tous les matins du monde.Nicolas Becker, bruiteur, sound designer et compositeur (Gravity, 127 heures, La Haine, Premier contact...)
Enregistrements : juin-septembre 18 - Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsch et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


528 - Écouter le cinéma (1/5) : Du vent dans la plaine
Du western à Blade Runner et La Haine, les secrets des ambiances réussies
Un podcast sur le son au cinéma, comment on le fabrique et à quoi il sert. Effets, trucages et astuces, les oreilles d’or du cinéma révèlent comment ils créent la bande sonore d’un film. Ils sont bruiteurs, monteurs ou compositeurs, ils travaillent sur des blockbusters de science-fiction ou des films d’auteur, ils adorent leur métier et racontent tout depuis leur studio. Episode 1/5 : Du vent dans la plaine Dans ce premier épisode, les ingénieurs du son de La haine, Gravity et Sur mes lèvres dévoilent les bases de la mise en scène sonore. Ils racontent le rôle de l’ambiance au cinéma, expliquent comment le son des films peut raconter une histoire, donner des indices et entrer dans l’inconscient du spectateur pour influencer ses émotions.
Films cités dans l’épisode : La Môme, Sur mes lèvres, Blade Runner, La Haine, Gravity, Rencontres du troisième type.
Anecdote : Dans La Haine, toutes les séquences à Paris sont en son mono, et tout ce qui se passe en banlieue est en stéréo. Ce qui donne à la capitale l’effet d’une ville inconnue, confuse et dangereuse pour les banlieusards, quand au contraire leur cité trouve avec un son large et riche une forme de grâce et de profondeur.
Avec : Pascal Villard, monteur son et sound designer (Santa & Cie, De rouille et d’os, De battre mon cœur s’est arrêté). César du meilleur son pour La Môme et Sur mes lèvres.Guillaume Bouchateau, monteur son et sound designer (Valérian, Les Combattants, Jack et la mécanique du cœur).Jean-Stéphane Guitton, compositeur et professeur de musique de film au conservatoire de Paris.Anne Le Campion, mixeuse (La jeune fille et la mort, Miss Sloane, Léon...) César du meilleur son pour Tous les matins du monde.Nicolas Becker, bruiteur, sound designer et compositeur (Gravity, 127 heures, La Haine, Premier contact...)
Enregistrements : juin-septembre 18 - Entretiens, montage, textes et voix : Laetitia Druart - Réalisation : Samuel Hirsch et Laetitia Druart - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


530 - Première loge (4/4) : La belle et le clochard
L'autofiction d'une rappeuse qui cherche sa voie
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (4/4) : La belle et le clochardA force de portes déverrouillées et de toilettes récurées, et par le truchement du podcast, Merry fait une grande rencontre.
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Eddy Letexier (Jacques), Catherine Hirsch (la mère), Teresa Ovidio (Fortuna) - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu


527 - Première loge (4/4) : La belle et le clochard
L'autofiction d'une rappeuse qui cherche sa voie
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (4/4) : La belle et le clochardA force de portes déverrouillées et de toilettes récurées, et par le truchement du podcast, Merry fait une grande rencontre.
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Eddy Letexier (Jacques), Catherine Hirsch (la mère), Teresa Ovidio (Fortuna) - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu


529 - Première loge (3/4) : Entre quatre murs
L'autofiction d'une rappeuse qui sort les poubelles
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (3/4) : Entre quatre mursDans la solitude de la loge, entre la relève du courrier, la visite des propriétaires et le tri des poubelles, Merry revisite ses souvenirs et rappe sa vie.
Rap (9'10) : Lago 2 Feu "LAGOFA$T"
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Catherine Hirsch (la mère), Teresa Ovidio (Fortuna), Samuel Glaumé (le voisin), Joseph Hirsch (l’enfant) - Chant lyrique : Mathilde Ortscheidt - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu


526 - Première loge (3/4) : Entre quatre murs
L'autofiction d'une rappeuse qui sort les poubelles
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (3/4) : Entre quatre mursDans la solitude de la loge, entre la relève du courrier, la visite des propriétaires et le tri des poubelles, Merry revisite ses souvenirs et rappe sa vie.
Rap (9'10) : Lago 2 Feu "LAGOFA$T"
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Catherine Hirsch (la mère), Teresa Ovidio (Fortuna), Samuel Glaumé (le voisin), Joseph Hirsch (l’enfant) - Chant lyrique : Mathilde Ortscheidt - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu


528 - Première loge (2/4) : Fortuna
L'autofiction d'une rappeuse dans une loge de gardienne
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (2/4) : FortunaMerry rencontre Fortuna, la gardienne qu’elle remplace tout le mois d’aôut, et qui doit partir au Portugal pour enterrer son mari. D’une cage d’escalier à l’autre, cette perte résonne de façon particulière chez Merry.
Rap (13'10) : Lago 2 Feu "LE TAF"
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Catherine Hirsch (la mère) et Teresa Ovidio (Fortuna) - Chant lyrique : Mathilde Ortscheidt - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu


525 - Première loge (2/4) : Fortuna
L'autofiction d'une rappeuse dans une loge de gardienne
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (2/4) : FortunaMerry rencontre Fortuna, la gardienne qu’elle remplace tout le mois d’aôut, et qui doit partir au Portugal pour enterrer son mari. D’une cage d’escalier à l’autre, cette perte résonne de façon particulière chez Merry.
Rap (13'10) : Lago 2 Feu "LE TAF"
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Catherine Hirsch (la mère) et Teresa Ovidio (Fortuna) - Chant lyrique : Mathilde Ortscheidt - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu


527 - Première loge (1/4) : Fille de
L'autofiction d'une rappeuse entre ghetto et gâteau
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (1/4) : Fille de.Il n’y a pas de sots métiers. Merry le sait, elle en a beaucoup essayés. Un été, pendant qu’elle prépare la sortie de son premier single de rap, elle accepte un remplacement dans une loge de gardienne.
Rap (9'25) : Lago 2 Feu "LAGOGESA"
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Catherine Hirsch (la mère) et Teresa Ovidio (Maria) - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu - Production : ARTE Radio


524 - Première loge (1/4) : Fille de
L'autofiction d'une rappeuse entre ghetto et gâteau
Merry Royer grandit à Paris dans un bel immeuble de la rive gauche, entre une mère rédactrice en chef d’un magazine de mode et une gardienne d’immeuble portugaise. Devenue adulte, elle rompt avec un héritage familial compliqué pour devenir rappeuse. En guise de job d’été, elle remplace une gardienne d’immeuble dans le sixième arrondissement qui l’a vue grandir, et se met à faire le ménage chez les bourgeois. De la loge à la scène, itinéraire d’une enfant déchaînée.
Première loge (1/4) : Fille de.Il n’y a pas de sots métiers. Merry le sait, elle en a beaucoup essayés. Un été, pendant qu’elle prépare la sortie de son premier single de rap, elle accepte un remplacement dans une loge de gardienne.
Rap (9'25) : Lago 2 Feu "LAGOGESA"
Texte et voix : Merry Royer - Adaptation radiophonique et réalisation : Sabine Zovighian - Bruitages : Elodie Fiat - Musique et réalisation : Samuel Hirsch - Avec : Catherine Hirsch (la mère) et Teresa Ovidio (Maria) - Illustration : Valerian7000 - Rap : Lago 2 Feu - Production : ARTE Radio


526 - Héroïnes
Mon musée des femmes artistes
Quelle est la place des femmes dans l’histoire de l'art ? Malgré les appels à davantage d’égalité, l’art reste un domaine résolument masculin. « Je voulais le monde et le monde alors appartenait aux hommes », disait Niki de Saint Phalle. Où sont les femmes dans les musées ? Je pars à leur recherche dans le Centre Pompidou. Je traverse un pan de l’histoire de l’art, du début du 20e siècle à nos jours, en plongeant dans les univers de Natalia Gontcharova, Niki de Saint Phalle, Annette Messager et Sadie Benning. Elles sont mes héroïnes. Leur audace, leur génie et leur volonté leur ont permis de s’imposer dans un monde qui ne leur était pas destiné. « Les minorités deviennent fortes quand elles se servent de leurs propres atouts sans essayer d’imiter ceux de la majorité» (Annette Messager).
Cette "Museum Fiction" coproduite avec le Centre Pompidou est librement inspirée de ses collections. Elle a été adaptée en version animée. Cliquez ici pour la visionner.
Enregistrements : octobre 18 - Interprètes : Laure Chatrefou, Chloé Assous-Plunian, Samuel Hirsch, Tatiana Zelenina, Sabine Zovighian, Lou Ciantar, Emma Broughton - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte et voix : Laure Chatrefou - Coproduction : Centre Pompidou


523 - Héroïnes
Mon musée des femmes artistes
Quelle est la place des femmes dans l’histoire de l'art ? Malgré les appels à davantage d’égalité, l’art reste un domaine résolument masculin. « Je voulais le monde et le monde alors appartenait aux hommes », disait Niki de Saint Phalle. Où sont les femmes dans les musées ? Je pars à leur recherche dans le Centre Pompidou. Je traverse un pan de l’histoire de l’art, du début du 20e siècle à nos jours, en plongeant dans les univers de Natalia Gontcharova, Niki de Saint Phalle, Annette Messager et Sadie Benning. Elles sont mes héroïnes. Leur audace, leur génie et leur volonté leur ont permis de s’imposer dans un monde qui ne leur était pas destiné. « Les minorités deviennent fortes quand elles se servent de leurs propres atouts sans essayer d’imiter ceux de la majorité» (Annette Messager).
Cette "Museum Fiction" coproduite avec le Centre Pompidou est librement inspirée de ses collections. Elle a été adaptée en version animée. Cliquez ici pour la visionner.
Enregistrements : octobre 18 - Interprètes : Laure Chatrefou, Chloé Assous-Plunian, Samuel Hirsch, Tatiana Zelenina, Sabine Zovighian, Lou Ciantar, Emma Broughton - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte et voix : Laure Chatrefou - Coproduction : Centre Pompidou


525 - In Bed
L'art, l'amour et la révolte
Une soirée. Une femme rencontre un homme. Ils partagent un intérieur. Des lignes, des à-plats et des couleurs. L’artiste américain Philip Guston était l’un des pionniers de l’expressionnisme abstrait. En 1970, alors qu’il est porté aux nues par la critique, il crée le scandale : il présente In Bed, un tableau qui signe son retour à la figuration, à la Malborough Gallery de New York. Il veut pouvoir peindre la violence sociale, « raconter des histoires » et surtout rester libre. Ici, une jeune femme (Sabine Zovighian) tombe amoureuse de l’artiste (Benjamin Abitan). Il se glisse sous ses draps et l’embarque dans des nuit sans sommeil. Impossible de se coucher et de faire abstraction du monde, des objets et des gens. Cette "Museum Fiction" a été imaginée d’après l’œuvre de Philip Guston, en partenariat avec le Centre Pompidou.
Enregistrements : septembre 18 - Réalisation : Samuel Hirsch - Interprètes : Sabine Zovighian, Benjamin Abitan - Texte et voix : Sabine Zovighian


522 - In Bed
L'art, l'amour et la révolte
Une soirée. Une femme rencontre un homme. Ils partagent un intérieur. Des lignes, des à-plats et des couleurs. L’artiste américain Philip Guston était l’un des pionniers de l’expressionnisme abstrait. En 1970, alors qu’il est porté aux nues par la critique, il crée le scandale : il présente In Bed, un tableau qui signe son retour à la figuration, à la Malborough Gallery de New York. Il veut pouvoir peindre la violence sociale, « raconter des histoires » et surtout rester libre. Ici, une jeune femme (Sabine Zovighian) tombe amoureuse de l’artiste (Benjamin Abitan). Il se glisse sous ses draps et l’embarque dans des nuit sans sommeil. Impossible de se coucher et de faire abstraction du monde, des objets et des gens. Cette "Museum Fiction" a été imaginée d’après l’œuvre de Philip Guston, en partenariat avec le Centre Pompidou.
Enregistrements : septembre 18 - Réalisation : Samuel Hirsch - Interprètes : Sabine Zovighian, Benjamin Abitan - Texte et voix : Sabine Zovighian


524 - Vous êtes bien chez Sophie (3/3)
20 ans après, la voix de l'amour est intacte
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des dizaines de cassettes audio accumulées, des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 3En 1993, Sophie débarque à la Maison de la Radio comme Alice au pays des merveilles. Une année charnière, où l’amour du son s’entremêle avec l’amour tout court. Un premier stage, une rencontre explosive et décisive avec l’homme idéal, qui, dans les années 90 à Paris et en tout cas pour Sophie, se devait forcément d’être brun, latino ou breton, avec des pattes et délicieusement torturé…
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio


521 - Vous êtes bien chez Sophie (3/3)
20 ans après, la voix de l'amour est intacte
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des dizaines de cassettes audio accumulées, des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 3En 1993, Sophie débarque à la Maison de la Radio comme Alice au pays des merveilles. Une année charnière, où l’amour du son s’entremêle avec l’amour tout court. Un premier stage, une rencontre explosive et décisive avec l’homme idéal, qui, dans les années 90 à Paris et en tout cas pour Sophie, se devait forcément d’être brun, latino ou breton, avec des pattes et délicieusement torturé…
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio


523 - Vous êtes bien chez Sophie (2/3)
Mes amies, mes amants, le répondeur de mes vingt ans
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 2Installée dans son studio de Bastille, Sophie, grâce à son répondeur, découvre la liberté. Après trois ans d‘amour fou avec Stéphane qu’elle a connu au lycée, la jeune femme - pour qui l’indépendance est la valeur suprême - multiplie les aventures : Antony, Serge et Michel, fan de l’émission « Là-bas si j’y suis », et qui lui offre son premier enregistreur. Peu à peu, les K7 de son petit Sony viennent grossir la pile déjà grande des K7 du répondeur : Sophie découvre la radio...
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré


520 - Vous êtes bien chez Sophie (2/3)
Mes amies, mes amants, le répondeur de mes vingt ans
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 2Installée dans son studio de Bastille, Sophie, grâce à son répondeur, découvre la liberté. Après trois ans d‘amour fou avec Stéphane qu’elle a connu au lycée, la jeune femme - pour qui l’indépendance est la valeur suprême - multiplie les aventures : Antony, Serge et Michel, fan de l’émission « Là-bas si j’y suis », et qui lui offre son premier enregistreur. Peu à peu, les K7 de son petit Sony viennent grossir la pile déjà grande des K7 du répondeur : Sophie découvre la radio...
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré


522 - Vous êtes bien chez Sophie (1/3)
J'ai gardé les messages du répondeur de mes 20 ans
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des dizaines de cassettes audio accumulées, des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique des voix de son passé. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 1 Le répondeur téléphonique fait partie de ces inventions, comme le minitel ou le bi-bop, qui ont révolutionné la façon de vivre d’une génération. C’est d’ailleurs le tout premier objet acheté par Sophie pour meubler son tout premier studio, dans le quartier de la Bastille, à Paris, en 1989. Pour elle et pour sa bande de copains, cette machine est vite devenue la pierre angulaire de leur vie sociale. Mais pour Sophie, atteinte du "syndrome du sablier" qui ne veut pas que le temps s’écoule ni que les bons moment disparaissent, le répondeur a vite représenté beaucoup plus que tout ça…
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré


519 - Vous êtes bien chez Sophie (1/3)
J'ai gardé les messages du répondeur de mes 20 ans
Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des dizaines de cassettes audio accumulées, des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique des voix de son passé. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.
Episode 1 Le répondeur téléphonique fait partie de ces inventions, comme le minitel ou le bi-bop, qui ont révolutionné la façon de vivre d’une génération. C’est d’ailleurs le tout premier objet acheté par Sophie pour meubler son tout premier studio, dans le quartier de la Bastille, à Paris, en 1989. Pour elle et pour sa bande de copains, cette machine est vite devenue la pierre angulaire de leur vie sociale. Mais pour Sophie, atteinte du "syndrome du sablier" qui ne veut pas que le temps s’écoule ni que les bons moment disparaissent, le répondeur a vite représenté beaucoup plus que tout ça…
Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré
521 - Mon prince à la mer (5/5) : Emoji burger
Coup de foudre en vacances : voiture 12, place 16
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (5/5) : Emoji burgerVacances, fin. On rentre. Klaire chope le hoquet dans le train du retour, remarquez, elle aura au moins chopé quelque chose. Heureusement, il y a les débriefs entre copains pour papoter aubergine. Ça sert à ça, non ?
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Damien Zanoly, François Pérache, Sabine Zovighian, Chloé Assous-Plunian - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
518 - Mon prince à la mer (5/5) : Emoji burger
Coup de foudre en vacances : voiture 12, place 16
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (5/5) : Emoji burgerVacances, fin. On rentre. Klaire chope le hoquet dans le train du retour, remarquez, elle aura au moins chopé quelque chose. Heureusement, il y a les débriefs entre copains pour papoter aubergine. Ça sert à ça, non ?
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Damien Zanoly, François Pérache, Sabine Zovighian, Chloé Assous-Plunian - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
520 - Mon prince à la mer (4/5) : Mon petit poney
Amours de vacances : des bigorneaux et des hommes
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (4/5) : Mon petit poneyVacances, suite. Klaire fait des rencontres à la soirée disco du village vacances, et l’ambiance serait torride si un petit grain de sable ne venait pas toujours se glisser dans la culotte de nos soirées d’été.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Damien Zanoly, François Pérache - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
517 - Mon prince à la mer (4/5) : Mon petit poney
Amours de vacances : des bigorneaux et des hommes
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (4/5) : Mon petit poneyVacances, suite. Klaire fait des rencontres à la soirée disco du village vacances, et l’ambiance serait torride si un petit grain de sable ne venait pas toujours se glisser dans la culotte de nos soirées d’été.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Damien Zanoly, François Pérache - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
519 - Mon prince à la mer (3/5) : Cyrano de Trouville
Le mystère de l'amour : grosse quiche en 8 lettres
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (3/5) : Cyrano de TrouvilleVacances, jour 12. Klaire se demande si ça marche de dire à un mec que son père a pris toutes les étoiles du ciel pour les mettre dans une chanson de Cabrel. Heureusement, quand on ne sait pas, il reste un joker : l’appel à un ami.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Damien Zanoly, François Pérache - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
516 - Mon prince à la mer (3/5) : Cyrano de Trouville
Le mystère de l'amour : grosse quiche en 8 lettres
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (3/5) : Cyrano de TrouvilleVacances, jour 12. Klaire se demande si ça marche de dire à un mec que son père a pris toutes les étoiles du ciel pour les mettre dans une chanson de Cabrel. Heureusement, quand on ne sait pas, il reste un joker : l’appel à un ami.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Damien Zanoly, François Pérache - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
518 - Mon prince à la mer (2/5) : Alerte à Malibu-coco
Vacances et coups de chaud : paie ta maladie d’amour
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (2/5) : Alerte à Malibu-cocoVacances, jour 5. Klaire découvre les joies de la piscine découverte et craque sur un mec qui porte une gourmette. C’est le problème avec le soleil, ça vous monte à la tête jusqu’au bonnet de bain en latex moche.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Sabine Zovighian, Damien Zanoly, Armelle Ritter - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
515 - Mon prince à la mer (2/5) : Alerte à Malibu-coco
Vacances et coups de chaud : paie ta maladie d’amour
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (2/5) : Alerte à Malibu-cocoVacances, jour 5. Klaire découvre les joies de la piscine découverte et craque sur un mec qui porte une gourmette. C’est le problème avec le soleil, ça vous monte à la tête jusqu’au bonnet de bain en latex moche.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Sabine Zovighian, Damien Zanoly, Armelle Ritter - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
517 - Mon prince à la mer (1/5) : Partir un jour
Le feuilleton de l'été : Klaire cherche l'amour au soleil
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (1/5) : Partir un jour Vacances, J-7. Klaire décide fermement de ne pas partir avec les marmots des copains, parce qu’on n’a jamais vu une histoire d’amour démarrer avec une couche dans le sable et des miettes de figolu dans le rosé.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Sabine Zovighian, Estelle Clément-Bealem - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
514 - Mon prince à la mer (1/5) : Partir un jour
Le feuilleton de l'été : Klaire cherche l'amour au soleil
Klaire part en vacances et cette fois, c’est sûr, elle va rencontrer le Prince charmant. Idéalement, il cache des binouzes dans la glacière à Mister Freeze, bronze en étoile pour planquer sa serviette de plage motif drapeau breton, et partage ses mots fléchés niveau quiche. Mais bon, il sera peut-être un peu dragueur, un peu crâneur, ou pire : maître-nageur.
Mon prince à la mer (1/5) : Partir un jour Vacances, J-7. Klaire décide fermement de ne pas partir avec les marmots des copains, parce qu’on n’a jamais vu une histoire d’amour démarrer avec une couche dans le sable et des miettes de figolu dans le rosé.
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : juin 18 - Texte et voix : Klaire fait Grr - Avec : Sabine Zovighian, Estelle Clément-Bealem - Réalisation et musique : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Production : ARTE Radio
513 - C'est papa
Ton père sur le répondeur
Après « C’est maman », parité oblige, voici le tour de « C’est papa ». Un bref montage de 4 min composé à partir des 214 messages vocaux de vos pères collectés grâce aux réseaux sociaux. Merci à tous les contributeurs. Et rappelez votre papa !
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Enregistrements : 2018 - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Mathilde Guermonprez


516 - Que sont-ils devenus ? (4/4) : Assa
12 ans après, je retrouve ma meilleure élève
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
4. AssaAssa, c’était la bonne élève, celle qui faisait parfois régner l’ordre à ma place. Issue d’une famille nombreuse et polygame, elle m’a permis de la suivre pendant plusieurs mois et de découvrir la cité à travers elle. 12 ans plus tard, Assa accomplit en toute discrétion une étonnante ascension sociale.
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


512 - Que sont-ils devenus ? (4/4) : Assa
12 ans après, je retrouve ma meilleure élève
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
4. AssaAssa, c’était la bonne élève, celle qui faisait parfois régner l’ordre à ma place. Issue d’une famille nombreuse et polygame, elle m’a permis de la suivre pendant plusieurs mois et de découvrir la cité à travers elle. 12 ans plus tard, Assa accomplit en toute discrétion une étonnante ascension sociale.
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


515 - Que sont-ils devenus ? (3/4) : Hélène
12 ans après, je retrouve une élève en difficulté
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
3. HélèneHélène était une élève difficile, perdue, timide. Je la voyais chaque semaine en tutorat [https://www.arteradio.com/son/1368/prof_6]. Je la retrouve 12 ans après, mère célibataire et sans emploi. L’écoute des sons enregistrés à l’époque crée un profond malaise, tant Hélène semble toujours prisonnière de ses difficultés et de son attitude de « victime ». Du coup, je m'interroge sur le rôle de l'école et sur le mien : qu'est-ce qu'on a raté ? Un destin est-il tout tracé ?
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


511 - Que sont-ils devenus ? (3/4) : Hélène
12 ans après, je retrouve une élève en difficulté
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
3. HélèneHélène était une élève difficile, perdue, timide. Je la voyais chaque semaine en tutorat [https://www.arteradio.com/son/1368/prof_6]. Je la retrouve 12 ans après, mère célibataire et sans emploi. L’écoute des sons enregistrés à l’époque crée un profond malaise, tant Hélène semble toujours prisonnière de ses difficultés et de son attitude de « victime ». Du coup, je m'interroge sur le rôle de l'école et sur le mien : qu'est-ce qu'on a raté ? Un destin est-il tout tracé ?
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


514 - Que sont-ils devenus ? (2/4) : Ange
12 ans après, je retrouve la terreur du collège
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ou 15 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
2. AngeDans mes souvenirs de prof débutante, Ange, c’était la terreur. L’élève que je redoutais de croiser dans le couloir. Un grand gaillard imposant, et un perturbateur qui sabotait mes cours sur le complément d’objet direct. Il a d'ailleurs fini par se faire exclure du collège . Quand je le retrouve, il a 25 ans et un profil de gendre idéal, en CDI et propre sur lui. Comment ça marche, une telle métamorphose ?
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


510 - Que sont-ils devenus ? (2/4) : Ange
12 ans après, je retrouve la terreur du collège
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ou 15 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
2. AngeDans mes souvenirs de prof débutante, Ange, c’était la terreur. L’élève que je redoutais de croiser dans le couloir. Un grand gaillard imposant, et un perturbateur qui sabotait mes cours sur le complément d’objet direct. Il a d'ailleurs fini par se faire exclure du collège . Quand je le retrouve, il a 25 ans et un profil de gendre idéal, en CDI et propre sur lui. Comment ça marche, une telle métamorphose ?
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


513 - Que sont-ils devenus ? (1/4) : Abdelkader
12 ans après, je retrouve le cancre de ma classe
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
1. AbdelkaderA 14 ans, Abdelkader, cancre ingérable mais attachant, était abonné aux conseils de discipline et massacrait Rimbaud. Il rêvait de quitter le collège au plus vite, d’aller en BEP, d’entrer enfin dans la vraie vie. Quand je le retrouve 10 ans plus tard, il habite encore chez sa mère et ne manque pas d’aplomb pour raconter les turbulences de sa vie au quartier.
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


509 - Que sont-ils devenus ? (1/4) : Abdelkader
12 ans après, je retrouve le cancre de ma classe
Ancienne prof dans une banlieue difficile, Delphine Saltel retrouve les élèves qu’elle avait enregistrés au collège et confronte leur voix d’enfant à leur parcours d’adulte. 12 ans après leur troisième, que sont devenus les petits caïds et les premières de la classe ? Inattendu, drôle et parfois dérangeant, un podcast documentaire sensible sur l’école, la banlieue et la diversité des destins. En partenariat avec L’Obs.
1. AbdelkaderA 14 ans, Abdelkader, cancre ingérable mais attachant, était abonné aux conseils de discipline et massacrait Rimbaud. Il rêvait de quitter le collège au plus vite, d’aller en BEP, d’entrer enfin dans la vraie vie. Quand je le retrouve 10 ans plus tard, il habite encore chez sa mère et ne manque pas d’aplomb pour raconter les turbulences de sa vie au quartier.
Enregistrements : septembre 17 - Mise en ondes, musique et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Pauline Aubry - Prises de son, voix, réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio
508 - Dans les mains
Le torball, un sport de ballon en aveugle
Kevin, 21 ans, est déficient visuel depuis sa naissance. Il pratique le torball, un sport collectif qui se joue "à l'aveugle" avec un ballon à clochettes. Un sport fondé sur une qualité d’écoute particulièrement précise et sur un repérage de l’espace extrêmement méticuleux. Un sport collectif qui favorise rencontres, autonomie, esprit de compète et divertissement.A déguster au casque pour l’effet binaural en 3D audio.
Enregistrements : 12 avril 17 - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Kévin Girard & Samuel Hirsch
473 - Dans les mains
Le torball, un sport de ballon en aveugle
Kevin, 21 ans, est déficient visuel depuis sa naissance. Il pratique le torball, un sport collectif qui se joue "à l'aveugle" avec un ballon à clochettes. Un sport fondé sur une qualité d’écoute particulièrement précise et sur un repérage de l’espace extrêmement méticuleux. Un sport collectif qui favorise rencontres, autonomie, esprit de compète et divertissement.A déguster au casque pour l’effet binaural en 3D audio.
Enregistrements : 12 avril 17 - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Kévin Girard & Samuel Hirsch
512 - Mon prince viendra
Chercher l'amour en ligne - Prix Italia et Prix SACD du podcast fiction 2018
Klaire cherche l'amour, l’homme de sa vie et le numéro de la pizzeria. Il parait qu’il faut pas chercher, et que ça te tombe dessus quand tu t’y attends le moins. M’enfin, si c’est comme ça que vous vous faites livrer des pizzas, bon courage.
Une autofiction sentimentalo-rigolote dans laquelle Klaire fait Grr (Mycose The Night, Casser la Voix) écume les sites des rencontres. C’est pas parce qu’on écume que ça devrait être la mer à boire. Et pourtant...Prix Italia de la meilleure fiction radio 2018 - Prix SACD du podcast de fiction 2018 au Paris Podcast Festival A retrouver aussi sur la chaîne Youtube ARTE Radio.
Enregistrements : février 18 - Réalisation : Arnaud Forest - La copine : Sarah-Jane Sauvegrain - Texte & voix : Klaire fait Grr - Illustration : Pauline Aubry
507 - Mon prince viendra
Chercher l'amour en ligne - Prix Italia et Prix SACD du podcast fiction 2018
Klaire cherche l'amour, l’homme de sa vie et le numéro de la pizzeria. Il parait qu’il faut pas chercher, et que ça te tombe dessus quand tu t’y attends le moins. M’enfin, si c’est comme ça que vous vous faites livrer des pizzas, bon courage.
Une autofiction sentimentalo-rigolote dans laquelle Klaire fait Grr (Mycose The Night, Casser la Voix) écume les sites des rencontres. C’est pas parce qu’on écume que ça devrait être la mer à boire. Et pourtant...Prix Italia de la meilleure fiction radio 2018 - Prix SACD du podcast de fiction 2018 au Paris Podcast Festival A retrouver aussi sur la chaîne Youtube ARTE Radio.
Enregistrements : février 18 - Réalisation : Arnaud Forest - La copine : Sarah-Jane Sauvegrain - Texte & voix : Klaire fait Grr - Illustration : Pauline Aubry
511 - Romanesque (8/8) : Le cirque est en ville
Alexandre Romanès fait son cirque
Au début des années 90, Alexandre et Délia créent le cirque Romanès à proximité de la Place de Clichy, à Paris. L’accueil des habitants est plutôt glacial : « On a déjà les Noirs, les Arabes, les travestis, les toxicos, les prostituées, les loubards, et maintenant les Gitans »… Mais la troupe tient bon.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
506 - Romanesque (8/8) : Le cirque est en ville
Alexandre Romanès fait son cirque
Au début des années 90, Alexandre et Délia créent le cirque Romanès à proximité de la Place de Clichy, à Paris. L’accueil des habitants est plutôt glacial : « On a déjà les Noirs, les Arabes, les travestis, les toxicos, les prostituées, les loubards, et maintenant les Gitans »… Mais la troupe tient bon.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
510 - Romanesque (7/8) : On m'a volé ma fille !
Alexandre Romanès sauve sa fille
Avant de faire la rencontre de Délia, chanteuse hongroise qui deviendra sa femme, Alexandre Romanès a vécu une vingtaine d’années avec la poétesse Lydie Dattas et eu une fille avec l’une de ses cousines, une belle gitane espagnole. On vous le dit, la vie d’Alexandre est un vrai cirque !
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
505 - Romanesque (7/8) : On m'a volé ma fille !
Alexandre Romanès sauve sa fille
Avant de faire la rencontre de Délia, chanteuse hongroise qui deviendra sa femme, Alexandre Romanès a vécu une vingtaine d’années avec la poétesse Lydie Dattas et eu une fille avec l’une de ses cousines, une belle gitane espagnole. On vous le dit, la vie d’Alexandre est un vrai cirque !
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
509 - Romanesque (6/8) : Viva l'Algérie
Alexandre Romanès en prison
Alors qu’il se produit comme équilibriste sur échelles à Saint-Germain-des-Prés, Alexandre se voit proposer une tournée en Algérie. « Quand on a vingt ans, on n’est pas très malin, c’était évident que j’allais me faire arrêter… ». Mais la poésie peut parfois vous sortir de prison.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
504 - Romanesque (6/8) : Viva l'Algérie
Alexandre Romanès en prison
Alors qu’il se produit comme équilibriste sur échelles à Saint-Germain-des-Prés, Alexandre se voit proposer une tournée en Algérie. « Quand on a vingt ans, on n’est pas très malin, c’était évident que j’allais me faire arrêter… ». Mais la poésie peut parfois vous sortir de prison.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
508 - Romanesque (5/8) : Bluette et ronchon
Alexandre Romanès encaisse les coups
Une amourette lors d’une tournée en Suisse suivie d’une bagarre dans un restaurant. Décidément, le jeune Alexandre a le sang chaud.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
503 - Romanesque (5/8) : Bluette et ronchon
Alexandre Romanès encaisse les coups
Une amourette lors d’une tournée en Suisse suivie d’une bagarre dans un restaurant. Décidément, le jeune Alexandre a le sang chaud.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
507 - Romanesque (4/8) : Le bébé éléphant
Alexandre Romanès, nounou d'éléphants
Deux adolescents, un bébé éléphant qui fait du ski nautique, un promoteur immobilier véreux, encore une tournée baroque en compagnie du jeune Alexandre Romanès et de sa cousine dans le Sud de la France.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
502 - Romanesque (4/8) : Le bébé éléphant
Alexandre Romanès, nounou d'éléphants
Deux adolescents, un bébé éléphant qui fait du ski nautique, un promoteur immobilier véreux, encore une tournée baroque en compagnie du jeune Alexandre Romanès et de sa cousine dans le Sud de la France.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
506 - Romanesque (3/8) : Dans la gueule du lion
Alexandre Romanès dompte les fauves
En s’adressant à son petit chien Piki comme s’il était face à un lion, Alexandre Romanès fait un joli pied de nez à son passé de dompteur de fauves auprès de son père, Firmin Bouglione. « Les gens connaissent pas les fauves, c’est des tueurs ! Et mon père m’a dit : vas-y, rentre ! »
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
501 - Romanesque (3/8) : Dans la gueule du lion
Alexandre Romanès dompte les fauves
En s’adressant à son petit chien Piki comme s’il était face à un lion, Alexandre Romanès fait un joli pied de nez à son passé de dompteur de fauves auprès de son père, Firmin Bouglione. « Les gens connaissent pas les fauves, c’est des tueurs ! Et mon père m’a dit : vas-y, rentre ! »
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l'histoire de sa vie.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
505 - Romanesque (2/8) : Mes deux mères
Alexandre Romanès et ses deux mamans
Bien avant de choisir Romanès comme nom d'artiste, Alexandre faisait partie du clan Bouglione, l’une des grandes familles du cirque. Alors que ses parents, Firmin et Violette, sont en tournée à Nice, ils croisent une gitane calabraise et lui proposent un drôle de marché : « La proposition a dû lui plaire puisqu’elle est montée dans la voiture avec eux ». Retour aux origines d'une vie d'aventures.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès raconte sa vie comme un conte d'amour et d'aventures.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
500 - Romanesque (2/8) : Mes deux mères
Alexandre Romanès et ses deux mamans
Bien avant de choisir Romanès comme nom d'artiste, Alexandre faisait partie du clan Bouglione, l’une des grandes familles du cirque. Alors que ses parents, Firmin et Violette, sont en tournée à Nice, ils croisent une gitane calabraise et lui proposent un drôle de marché : « La proposition a dû lui plaire puisqu’elle est montée dans la voiture avec eux ». Retour aux origines d'une vie d'aventures.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès raconte sa vie comme un conte d'amour et d'aventures.A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
504 - Romanesque (1/8) : La chanteuse
Alexandre Romanès cherche chanteuse tzigane
Après avoir été dompteur de lions dans le cirque de son père, puis équilibriste dans les rues de Paris, Alexandre Romanès fait la rencontre de Délia, une tzigane hongroise et chanteuse au tempérament bien trempé. « Un soir dans la petite caravane, elle a placé une énorme croix contre sa poitrine nue, et moi j’ai pensé : il faut absolument que je lui fasse un enfant. » Ensemble, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’aventures.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès raconte sa vie comme un conte d'amour et d'aventures. A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
499 - Romanesque (1/8) : La chanteuse
Alexandre Romanès cherche chanteuse tzigane
Après avoir été dompteur de lions dans le cirque de son père, puis équilibriste dans les rues de Paris, Alexandre Romanès fait la rencontre de Délia, une tzigane hongroise et chanteuse au tempérament bien trempé. « Un soir dans la petite caravane, elle a placé une énorme croix contre sa poitrine nue, et moi j’ai pensé : il faut absolument que je lui fasse un enfant. » Ensemble, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’aventures.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès raconte sa vie comme un conte d'amour et d'aventures. A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Entretien, prises de son et montage : Jérôme Sandlarz - Musiques : Cezame - Mise en ondes et mix : Samuel Hirsch - Illustrations : Miroslav Sekulic-Struja
503 - A fleur de peau (9/9) : Sauvée par le son
Happy end ou pas ?
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
(9/9) Sauvée par le sonUn nouveau magnétiseur, monsieur H, dégage tant de choses qu’il fait pleurer Fabienne. Elle décide de partir en vacances.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
498 - A fleur de peau (9/9) : Sauvée par le son
Happy end ou pas ?
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
(9/9) Sauvée par le sonUn nouveau magnétiseur, monsieur H, dégage tant de choses qu’il fait pleurer Fabienne. Elle décide de partir en vacances.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
502 - A fleur de peau (8/9) : Madame M. et les vies antérieures
Une visite aux ancêtres
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
(8/9) Madame M. et les vies antérieures L’année est largement écoulée et Fabienne est envahie de plaques rouges. A bout de ressources, elle part consulter ses ancêtres.
Enregistrements : mars 15 – septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
497 - A fleur de peau (8/9) : Madame M. et les vies antérieures
Une visite aux ancêtres
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
(8/9) Madame M. et les vies antérieures L’année est largement écoulée et Fabienne est envahie de plaques rouges. A bout de ressources, elle part consulter ses ancêtres.
Enregistrements : mars 15 – septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
501 - A fleur de peau (7/9) : Pourquoi pas l'ayahuasca
Venin de grenouille et transe hallucinogène
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
7. Pourquoi pas l'ayahuascaPuisque le psoriasis a une dimension psychosomatique, pourquoi ne pas se purifier l’esprit? L’ayahuasca, plante hallucinogène d’Amérique du Sud, est à la mode. Fabienne participe à une cérémonie shamanique dans les Flandres belges.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
496 - A fleur de peau (7/9) : Pourquoi pas l'ayahuasca
Venin de grenouille et transe hallucinogène
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
7. Pourquoi pas l'ayahuascaPuisque le psoriasis a une dimension psychosomatique, pourquoi ne pas se purifier l’esprit? L’ayahuasca, plante hallucinogène d’Amérique du Sud, est à la mode. Fabienne participe à une cérémonie shamanique dans les Flandres belges.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
500 - A fleur de peau (6/9) : La poupée vaudou
Un sort à la voisine
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
6. La poupée vaudou Fabienne fabrique une poupée vaudou pour jeter un sort à sa voisine de Bruxelles. A Paris, le remède à base de fugo est arrivé d’Afrique.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
495 - A fleur de peau (6/9) : La poupée vaudou
Un sort à la voisine
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
6. La poupée vaudou Fabienne fabrique une poupée vaudou pour jeter un sort à sa voisine de Bruxelles. A Paris, le remède à base de fugo est arrivé d’Afrique.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
499 - A fleur de peau (5/9) : Attaque de la voisine
Conflit et magie noire
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
5. Attaque de la voisineA Bruxelles, un conflit de voisinage accentue les crises de psoriasis. Fabienne décide de se défendre. Et la meilleure défense, c’est bien connu, c’est l’attaque…
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
494 - A fleur de peau (5/9) : Attaque de la voisine
Conflit et magie noire
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
5. Attaque de la voisineA Bruxelles, un conflit de voisinage accentue les crises de psoriasis. Fabienne décide de se défendre. Et la meilleure défense, c’est bien connu, c’est l’attaque…
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
498 - A fleur de peau (4/9) : Le marabout
Divination et pommade africaines
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
4. Le maraboutAprès un rendez-vous manqué, Fabienne rencontre Doudou, un sympathique marabout Africain.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
493 - A fleur de peau (4/9) : Le marabout
Divination et pommade africaines
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
4. Le maraboutAprès un rendez-vous manqué, Fabienne rencontre Doudou, un sympathique marabout Africain.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
497 - A fleur de peau (3/9) : L'exorciste
La prière et le toucheur
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
3. L'exorciste Retour en Normandie, cette fois pour une tentative de soin par la puissance de la pensée et les prières catholiques.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
492 - A fleur de peau (3/9) : L'exorciste
La prière et le toucheur
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
3. L'exorciste Retour en Normandie, cette fois pour une tentative de soin par la puissance de la pensée et les prières catholiques.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
496 - A fleur de peau (2/9) : La bave d'escargot n'atteint pas le magnétiseur
Des remèdes de sorciers
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
2. La bave d'escargot n'atteint pas le magnétiseurSur les conseils d’un paysan vendéen, Fabienne traite ses plaques rouges à la bave d’escargot. Elle rencontre ensuite un magnétiseur qui lui pose des questions troublantes.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
491 - A fleur de peau (2/9) : La bave d'escargot n'atteint pas le magnétiseur
Des remèdes de sorciers
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
2. La bave d'escargot n'atteint pas le magnétiseurSur les conseils d’un paysan vendéen, Fabienne traite ses plaques rouges à la bave d’escargot. Elle rencontre ensuite un magnétiseur qui lui pose des questions troublantes.
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré


495 - A fleur de peau (1/9) : Les fleurs rouges et l'homme du Caire
Comment j'ai eu des fleurs
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
1. Les fleurs rouges et l’homme du Caire Depuis une dizaine d’années, Fabienne a du psoriasis. Des plaques rouges apparaissent sur sa peau, ses bras, ses jambes. Elle n’ose plus se déshabiller à la plage. La médecine classique, remboursée, ne la guérit pas. Fabienne décide de suivre pendant un an tous les traitements alternatifs qu’on lui conseille. Première rencontre, au Caire, un homme l’aborde et l’entraîne pour acheter une pommade miraculeuse…
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré


490 - A fleur de peau (1/9) : Les fleurs rouges et l'homme du Caire
Comment j'ai eu des fleurs
Pour soigner son psoriasis, Fabienne décide de tester tous les remèdes de sorciers, guérisseurs et autres marabouts. Pendant plusieurs mois, elle enregistre ses traitements (magnétisme, bave d’escargot, ayahuasca…), ses rencontres et ses crises de foi. Une comédie vraie dans l’univers des médecines parallèles.Cette série documentaire a bénéficié d’une bourse SCAM "Brouillon d’un rêve".
1. Les fleurs rouges et l’homme du Caire Depuis une dizaine d’années, Fabienne a du psoriasis. Des plaques rouges apparaissent sur sa peau, ses bras, ses jambes. Elle n’ose plus se déshabiller à la plage. La médecine classique, remboursée, ne la guérit pas. Fabienne décide de suivre pendant un an tous les traitements alternatifs qu’on lui conseille. Première rencontre, au Caire, un homme l’aborde et l’entraîne pour acheter une pommade miraculeuse…
Enregistrements : mars 15-septembre 17 - Musique originale, mise en onde & mix : Samuel Hirsch - Texte, voix, réalisation : Fabienne Laumonier - Illustration : Alice Retorré
493 - Sans titre
Les coulisses de Beaubourg
Sans Titre est une oeuvre d'art stockée dans les réserves du Centre Pompidou. Pour la première fois, Sans Titre va quitter le musée, et rejoindre une exposition au Turkménistan.Monte-charge, hayon-élévateur, rayons x, champagne et odeur de souffre, Sans Titre est le récit poétique du convoiement d'une oeuvre d'art sous haute protection.Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : juin, septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Voix : Anaïs Thomas - Prises de son et texte : Jeanne Robet
489 - Sans titre
Les coulisses de Beaubourg
Sans Titre est une oeuvre d'art stockée dans les réserves du Centre Pompidou. Pour la première fois, Sans Titre va quitter le musée, et rejoindre une exposition au Turkménistan.Monte-charge, hayon-élévateur, rayons x, champagne et odeur de souffre, Sans Titre est le récit poétique du convoiement d'une oeuvre d'art sous haute protection.Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : juin, septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Voix : Anaïs Thomas - Prises de son et texte : Jeanne Robet
492 - PomPomPidou
Beaubourg est un jeu d'enfants
C’est une histoire avec des nuages, des cochons, New York et des toupies. Une déambulation sens dessus dessous à travers 5 œuvres du centre Pompidou. Chacune convoque un univers onirique et décalé illustré par un thème musical particulier qui rythme la narration.
Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : 12 juin, 18 septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Prises de son, texte et voix : Laure Chatrefou
488 - PomPomPidou
Beaubourg est un jeu d'enfants
C’est une histoire avec des nuages, des cochons, New York et des toupies. Une déambulation sens dessus dessous à travers 5 œuvres du centre Pompidou. Chacune convoque un univers onirique et décalé illustré par un thème musical particulier qui rythme la narration.
Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : 12 juin, 18 septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Prises de son, texte et voix : Laure Chatrefou
491 - Le parvis de mon père
Ma vie loin du Centre Pompidou
Dans les années 70, le chantier de Beaubourg au centre de Paris était emblématique des grands travaux de l’époque. Mon père, « chauffeur-livreur en électricité », y avait livré du matériel. A chacun de nos passages aux abords du futur centre Pompidou, il s'arrêtait pour me raconter le chantier. Moi, je ne savais même pas que c’était un musée. J'ai appris la vie en traînant sur le parvis.
Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : juin, septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Prises de son, texte et voix : Mehdi Ahoudig
487 - Le parvis de mon père
Ma vie loin du Centre Pompidou
Dans les années 70, le chantier de Beaubourg au centre de Paris était emblématique des grands travaux de l’époque. Mon père, « chauffeur-livreur en électricité », y avait livré du matériel. A chacun de nos passages aux abords du futur centre Pompidou, il s'arrêtait pour me raconter le chantier. Moi, je ne savais même pas que c’était un musée. J'ai appris la vie en traînant sur le parvis.
Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : juin, septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Prises de son, texte et voix : Mehdi Ahoudig
494 - Jeune fille endormie
À quoi rêve Beaubourg la nuit ?
Dans un cadre très carré, la jeune fille est endormie. Elle est tombée dans les dédales du sommeil au détour d'un chant et s'est mise à rêver.Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : juin 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Chant lyrique : Mathilde Ortscheidt - Prises de son, texte et voix : Sabine Zovighian
486 - Jeune fille endormie
À quoi rêve Beaubourg la nuit ?
Dans un cadre très carré, la jeune fille est endormie. Elle est tombée dans les dédales du sommeil au détour d'un chant et s'est mise à rêver.Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou.
Enregistrements : juin 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Chant lyrique : Mathilde Ortscheidt - Prises de son, texte et voix : Sabine Zovighian
490 - La configuration idéale
Les amours de Zoé (12/12) : happy end ?
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (12/12) : La configuration idéale. Zoé aimerait vivre auprès d’un couple en gardant sa totale liberté sexuelle. Mais, en secret, elle rêve de tomber amoureuse…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
485 - La configuration idéale
Les amours de Zoé (12/12) : happy end ?
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (12/12) : La configuration idéale. Zoé aimerait vivre auprès d’un couple en gardant sa totale liberté sexuelle. Mais, en secret, elle rêve de tomber amoureuse…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
489 - L'effet tiroir-caisse
Les amours de Zoé (11/12) : L'éjaculation féminine à la portée de toutes
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (11/12) : L'effet tiroir-caisse. Zoé a découvert que toutes les femmes peuvent devenir des femmes fontaines…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
484 - L'effet tiroir-caisse
Les amours de Zoé (11/12) : L'éjaculation féminine à la portée de toutes
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (11/12) : L'effet tiroir-caisse. Zoé a découvert que toutes les femmes peuvent devenir des femmes fontaines…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
488 - Savoir dire non
Les amours de Zoé (10/12) : coucher bourrée
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (10/12) : savoir dire non. Zoé a arrêté de boire et elle a appris à dire non.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
483 - Savoir dire non
Les amours de Zoé (10/12) : coucher bourrée
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (10/12) : savoir dire non. Zoé a arrêté de boire et elle a appris à dire non.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
487 - L’appétit vient en mangeant
Les amours de Zoé (9/12) : du désir au plaisir
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (8/12) : l'appétit vient en mangeant. Pour Zoé, le sexe donne envie de sexe et le plaisir s’apprend.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
482 - L’appétit vient en mangeant
Les amours de Zoé (9/12) : du désir au plaisir
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (8/12) : l'appétit vient en mangeant. Pour Zoé, le sexe donne envie de sexe et le plaisir s’apprend.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
486 - Pied d'égalité
Les amours de Zoé (8/12) : comme un homme ?
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (8/12) : Zoé veut pouvoir baiser comme un homme. Et être sur un même pied d’égalité, sans être jugée.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
481 - Pied d'égalité
Les amours de Zoé (8/12) : comme un homme ?
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (8/12) : Zoé veut pouvoir baiser comme un homme. Et être sur un même pied d’égalité, sans être jugée.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
485 - Séduction
Les amours de Zoé (7/12) : naissance du désir
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (7/12) : SéductionZoé est attirée par les hommes et les femmes. Elle distingue dans sa vie sexuelle le sexe-amour du cul récréatif.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
480 - Séduction
Les amours de Zoé (7/12) : naissance du désir
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (7/12) : SéductionZoé est attirée par les hommes et les femmes. Elle distingue dans sa vie sexuelle le sexe-amour du cul récréatif.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
484 - L'aspirateur
Les amours de Zoé (6/12) : un joujou extra
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (6/12) : L'aspirateurZoé ne se sépare jamais de sa petite mallette à jouets. Depuis, elle lit beaucoup moins le soir.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
479 - L'aspirateur
Les amours de Zoé (6/12) : un joujou extra
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (6/12) : L'aspirateurZoé ne se sépare jamais de sa petite mallette à jouets. Depuis, elle lit beaucoup moins le soir.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
483 - Collection privée
Les amours de Zoé (5/12) : leçon d'anatomie
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (5/12) : collection privée D’irrumation à "jeez-up", la sexualité, c’est aussi une culture. De la théorie à la pratique, Zoé dresse un petit inventaire des formes de sexes et des différents types d’éjaculation…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
478 - Collection privée
Les amours de Zoé (5/12) : leçon d'anatomie
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (5/12) : collection privée D’irrumation à "jeez-up", la sexualité, c’est aussi une culture. De la théorie à la pratique, Zoé dresse un petit inventaire des formes de sexes et des différents types d’éjaculation…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
482 - Transports amoureux
Les amours de Zoé (4/12) : gérer la diversité
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (4/12) : transports amoureuxZoé ne s’est jamais inscrite sur Tinder. Elle rencontre ses amants dans des soirées ou les transports en commun. Pour jongler avec ses plans culs et ses sex-friends, elle s’est s’organisée…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
477 - Transports amoureux
Les amours de Zoé (4/12) : gérer la diversité
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (4/12) : transports amoureuxZoé ne s’est jamais inscrite sur Tinder. Elle rencontre ses amants dans des soirées ou les transports en commun. Pour jongler avec ses plans culs et ses sex-friends, elle s’est s’organisée…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
481 - Apprentissages
Les amours de Zoé (3/12) : premières fois
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (3/12) : Apprentissages Arrivée au collège, Zoé a dû sortir de son monde imaginaire. Elle s’est entraînée avant sa première fois qu’elle voulait tout sauf romantique…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
476 - Apprentissages
Les amours de Zoé (3/12) : premières fois
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (3/12) : Apprentissages Arrivée au collège, Zoé a dû sortir de son monde imaginaire. Elle s’est entraînée avant sa première fois qu’elle voulait tout sauf romantique…
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
480 - Le clitoris de Proust
Les amours de Zoé (2/12) : jeux d'enfants
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (2/12) : Le clitoris de Proust Zoé se souvient de ses premières découvertes sexuelles avec ses voisines et ses cousines, Marion, Jenifer et Mélanie. Grosses peluches et premiers cunnis.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
475 - Le clitoris de Proust
Les amours de Zoé (2/12) : jeux d'enfants
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (2/12) : Le clitoris de Proust Zoé se souvient de ses premières découvertes sexuelles avec ses voisines et ses cousines, Marion, Jenifer et Mélanie. Grosses peluches et premiers cunnis.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
479 - L'enfance de l'art
Les amours de Zoé (1/12) : une éducation libre
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (1/12) : L’enfance de l’artFille unique éduquée sans tabou, Zoé parle de sexe librement avec ses parents.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
474 - L'enfance de l'art
Les amours de Zoé (1/12) : une éducation libre
Zoé, 30 ans, aime parler de sexe et le pratiquer. Elle enchaîne les histoires de cul en tous genres, avec des garçons et plus rarement des filles. De ses émois enfantins à ses plannings de baise, elle fait de ses désirs un terrain de jeu et d’exploration. Les amours de Zoé (1/12) : L’enfance de l’artFille unique éduquée sans tabou, Zoé parle de sexe librement avec ses parents.
Enregistrements : janvier 17 - Entretien & montage : Clément Baudet - Voix beatbox : Lexie T - Réalisation & musique : Arnaud Forest - Illustration : Agathe Bruguière / Kiblind
478 - Peau d'orange is the new black
Cellul'hit machine
Klaire fait Grr fête l'été en chanson, avec un hymne aux corps imparfaits (et à la voix aussi, du coup). Seins maigrelets, cuisses grassouillettes, on vous exploite, on vous spolie ! Aux vendeurs de complexes, levez le doigt bien haut. Oui, même avec des poils sous les bras. Klaire fait Grr revient en septembre avec un nouveau podcast.
Enregistrements : 29 juin 17 - Musique & réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
473 - Peau d'orange is the new black
Cellul'hit machine
Klaire fait Grr fête l'été en chanson, avec un hymne aux corps imparfaits (et à la voix aussi, du coup). Seins maigrelets, cuisses grassouillettes, on vous exploite, on vous spolie ! Aux vendeurs de complexes, levez le doigt bien haut. Oui, même avec des poils sous les bras. Klaire fait Grr revient en septembre avec un nouveau podcast.
Enregistrements : 29 juin 17 - Musique & réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
477 - Noir is the new black (juin 17) : le Noir meurt en premier
Get Out ou le cinéma vu d'un oeil noir
Ce mois-ci, le podcast afropop parle cinéma avec, en invitée spéciale, la critique et universitaire Fanta Sylla (@littleglissant). Avec son avis éclairé, la team NITNB revient sur les ingénieux mécanismes du film d'horreur sociale sorti récemment, "Get Out" de Jordan Peele. Sont également évoqués "Je ne suis pas votre nègre" de Raoul Peck, mais aussi "La Nuit des morts-vivants", "Super 8" , "King Kong", "American Girls", "12 Years a Slave", "Chocolat", "Bande de filles"... dont les personnages ont marqué nos chroniqueurs. Au fait, pourquoi c'est toujours le Noir qui meurt en premier ?Noir is the new black revient sous un autre nom, retrouvez un jeudi sur deux Le Tchip !
Enregistrements : juin 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
472 - Noir is the new black (juin 17) : le Noir meurt en premier
Get Out ou le cinéma vu d'un oeil noir
Ce mois-ci, le podcast afropop parle cinéma avec, en invitée spéciale, la critique et universitaire Fanta Sylla (@littleglissant). Avec son avis éclairé, la team NITNB revient sur les ingénieux mécanismes du film d'horreur sociale sorti récemment, "Get Out" de Jordan Peele. Sont également évoqués "Je ne suis pas votre nègre" de Raoul Peck, mais aussi "La Nuit des morts-vivants", "Super 8" , "King Kong", "American Girls", "12 Years a Slave", "Chocolat", "Bande de filles"... dont les personnages ont marqué nos chroniqueurs. Au fait, pourquoi c'est toujours le Noir qui meurt en premier ?Noir is the new black revient sous un autre nom, retrouvez un jeudi sur deux Le Tchip !
Enregistrements : juin 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
476 - Camembert et fête des pères
Un édito gauchiste avec des blagues dedans
Entre la poire et le dessert, Klaire fait Grr ouvre sa boîte à camembert. Quand une élection tombe le jour de la fête des pères, tu peux être sûr que ça va fritter : qui a cramé le poulet ? t'as gardé le ticket de caisse ? les fourchettes, c'est à gauche ? Oui, comme toi, on a compris. Tous les 15 jours Klaire fait Grr casse sa voix pour faire plaisir.
Enregistrement : 15 juin 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
471 - Camembert et fête des pères
Un édito gauchiste avec des blagues dedans
Entre la poire et le dessert, Klaire fait Grr ouvre sa boîte à camembert. Quand une élection tombe le jour de la fête des pères, tu peux être sûr que ça va fritter : qui a cramé le poulet ? t'as gardé le ticket de caisse ? les fourchettes, c'est à gauche ? Oui, comme toi, on a compris. Tous les 15 jours Klaire fait Grr casse sa voix pour faire plaisir.
Enregistrement : 15 juin 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
475 - La marée (1/3)
Déviations (1/3) Paris noyé, Paris nettoyé
A travers trois mini-fictions immersives, enregistrées en binaural pour un effet 3D audio, Emma Broughton nous emmène à la découverte d’une ville invisible, rêvée, fantasmée... Apaisantes, liquides ou brûlantes, ces balades imaginaires nous font voir la ville autrement. Et si ces rêveries ouvraient nos oreilles sur toutes les possibilités cachées du quotidien ?Déviations (1/3) : La marée
Enregistrements : août 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte, voix et chant : Emma Broughton
470 - La marée (1/3)
Déviations (1/3) Paris noyé, Paris nettoyé
A travers trois mini-fictions immersives, enregistrées en binaural pour un effet 3D audio, Emma Broughton nous emmène à la découverte d’une ville invisible, rêvée, fantasmée... Apaisantes, liquides ou brûlantes, ces balades imaginaires nous font voir la ville autrement. Et si ces rêveries ouvraient nos oreilles sur toutes les possibilités cachées du quotidien ?Déviations (1/3) : La marée
Enregistrements : août 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte, voix et chant : Emma Broughton
471 - Beatmakers S1 (10/10) : DJ Oil
DJ Oil « Afrotress »
Depuis son studio dans la cave d'un vieil immeuble marseillais, DJ Oil explique comment piller les médiathèques, sampler Herbie Hancock et les Last Poets sans se faire pincer, découper des voix dans des discours improbables. C'est comme ça qu'il a créé le tube "Afrotress" de l'album Phantom, enregistré intégralement en live.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
469 - Beatmakers S1 (10/10) : DJ Oil
DJ Oil « Afrotress »
Depuis son studio dans la cave d'un vieil immeuble marseillais, DJ Oil explique comment piller les médiathèques, sampler Herbie Hancock et les Last Poets sans se faire pincer, découper des voix dans des discours improbables. C'est comme ça qu'il a créé le tube "Afrotress" de l'album Phantom, enregistré intégralement en live.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
470 - Beatmakers S1 (9/10) : Dany Synthé pour Maître Gims
Dany Synthé « Sapés comme jamais » de Maître Gims
Que faire quand il ne reste que 24 heures pour finir un album ? Dany Synthé mélange percussions d'orchestre et djembés africains pour créer un énorme tube. Il raconte l'ambiance survoltée de l'enregistrement de "Sapés comme Jamais" pour Maître Gims feat. Niska, un titre qui va engranger plusieurs centaines de millions de vues avant de détrôner Johnny aux Victoires de la Musique.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
468 - Beatmakers S1 (9/10) : Dany Synthé pour Maître Gims
Dany Synthé « Sapés comme jamais » de Maître Gims
Que faire quand il ne reste que 24 heures pour finir un album ? Dany Synthé mélange percussions d'orchestre et djembés africains pour créer un énorme tube. Il raconte l'ambiance survoltée de l'enregistrement de "Sapés comme Jamais" pour Maître Gims feat. Niska, un titre qui va engranger plusieurs centaines de millions de vues avant de détrôner Johnny aux Victoires de la Musique.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
474 - Leggings et panier de crabe
Pause-pipi et harcèlement de rue
Compliment ou harcèlement ? Décolleté ou col roulé ? La rue est-elle devenue le champ de bataille du rapport au corps féminin ? Klaire fait Grr s'épanche sur le bonheur (très relatif) d'être une femme dans l'espace public.La chronique "Casser la voix" revient tous les 15 jours.
Enregistrement : 1er juin 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
467 - Leggings et panier de crabe
Pause-pipi et harcèlement de rue
Compliment ou harcèlement ? Décolleté ou col roulé ? La rue est-elle devenue le champ de bataille du rapport au corps féminin ? Klaire fait Grr s'épanche sur le bonheur (très relatif) d'être une femme dans l'espace public.La chronique "Casser la voix" revient tous les 15 jours.
Enregistrement : 1er juin 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
469 - Beatmakers S1 (8/10) : Synapson
Synapson « All In You »
Les deux jeunes Parisiens de Synapson, l'un fan de hip-hop et l'autre de house, dévoilent les secrets de leur tube "All in you" interprété par Anna Kova. Et nous expliquent pourquoi ce morceau est celui qui a achevé de les réunir.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
466 - Beatmakers S1 (8/10) : Synapson
Synapson « All In You »
Les deux jeunes Parisiens de Synapson, l'un fan de hip-hop et l'autre de house, dévoilent les secrets de leur tube "All in you" interprété par Anna Kova. Et nous expliquent pourquoi ce morceau est celui qui a achevé de les réunir.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
468 - Beatmakers S1 (7/10) : Nicolas Repac
Nicolas Repac « All Ready »
Depuis son home-studio à Montmartre, Nicolas Repac explique comment les voix du passé peuvent nourrir le son d’aujourd’hui. Démonstration à partir d'un morceau aussi emblématique qu'hypnotique : "All ready", extrait de son album "Black Box".
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
465 - Beatmakers S1 (7/10) : Nicolas Repac
Nicolas Repac « All Ready »
Depuis son home-studio à Montmartre, Nicolas Repac explique comment les voix du passé peuvent nourrir le son d’aujourd’hui. Démonstration à partir d'un morceau aussi emblématique qu'hypnotique : "All ready", extrait de son album "Black Box".
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
467 - Beatmakers S1 (6/10) : Blundetto pour Hindi Zahra
Blundetto « Voices » de Hindi Zahra
Blundetto, bricoleur de boucles et de samples depuis 2005, nous explique la mécanique à l'oeuvre dans son morceau emblématique : le fameux « Voices » avec la chanteuse Hindi Zahra…
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
464 - Beatmakers S1 (6/10) : Blundetto pour Hindi Zahra
Blundetto « Voices » de Hindi Zahra
Blundetto, bricoleur de boucles et de samples depuis 2005, nous explique la mécanique à l'oeuvre dans son morceau emblématique : le fameux « Voices » avec la chanteuse Hindi Zahra…
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
466 - Beatmakers S1 (5/10) : Nikkfurie pour La Caution
Nikkfurie « Poltergheist » de La Caution
La Caution, c’est avant tout deux frères : Hi-Tekk et Nikkfurie, rappeurs et beatmaker, compositeurs de raps à tiroirs loin de tous les formats du genre. Nikkfurie raconte l'histoire d'un standard de leur répertoire, "Poltergheist", et comment on exporte sa musique de la banlieue à Hollywood...
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
463 - Beatmakers S1 (5/10) : Nikkfurie pour La Caution
Nikkfurie « Poltergheist » de La Caution
La Caution, c’est avant tout deux frères : Hi-Tekk et Nikkfurie, rappeurs et beatmaker, compositeurs de raps à tiroirs loin de tous les formats du genre. Nikkfurie raconte l'histoire d'un standard de leur répertoire, "Poltergheist", et comment on exporte sa musique de la banlieue à Hollywood...
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
472 - Gruyère et nucléaire
Le printemps selon Klaire fait Grr
Klaire fait Grr en déjà a marre du printemps, pour une raison tout à fait évidente à base de copinage transatlantique, de sandalettes et de spécialités helvétiques. On sait pas ce qu'elle prend mais on en veut bien. "Casser la voix" est une chronique bi-mensuelle de Klaire fait Grr entre l'intime, le politique et le bidouillage régressif.
Enregistrement : 18 mai 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
462 - Gruyère et nucléaire
Le printemps selon Klaire fait Grr
Klaire fait Grr en déjà a marre du printemps, pour une raison tout à fait évidente à base de copinage transatlantique, de sandalettes et de spécialités helvétiques. On sait pas ce qu'elle prend mais on en veut bien. "Casser la voix" est une chronique bi-mensuelle de Klaire fait Grr entre l'intime, le politique et le bidouillage régressif.
Enregistrement : 18 mai 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
465 - Beatmakers S1 (4/10) : Animalsons pour Booba
Animalsons « Numéro 10 » de Booba
Précurseur de l’importation en France d’un rap aux sons électroniques, Animalsons dévoile les dessous d’un de ses plus gros succès avec Booba : le fameux « Numéro 10 »…
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique.
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
461 - Beatmakers S1 (4/10) : Animalsons pour Booba
Animalsons « Numéro 10 » de Booba
Précurseur de l’importation en France d’un rap aux sons électroniques, Animalsons dévoile les dessous d’un de ses plus gros succès avec Booba : le fameux « Numéro 10 »…
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique.
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
464 - Beatmakers S1 (3/10) : Frenchie pour Raggasonic & NTM
Frenchie « Aiguisé comme une Lame » de Raggasonic & NTM
De Sean Paul à Beenie Man, Frenchie a travaillé avec les plus grands artistes jamaïcains. En France, il fait sa réputation en produisant les deux premiers albums de Raggasonic, devenus des classiques du genre. Lors d’un passage éclair en France il raconte le processus de création de l’énorme tube « Aiguisé Comme Une Lame » avec Suprême NTM…
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
460 - Beatmakers S1 (3/10) : Frenchie pour Raggasonic & NTM
Frenchie « Aiguisé comme une Lame » de Raggasonic & NTM
De Sean Paul à Beenie Man, Frenchie a travaillé avec les plus grands artistes jamaïcains. En France, il fait sa réputation en produisant les deux premiers albums de Raggasonic, devenus des classiques du genre. Lors d’un passage éclair en France il raconte le processus de création de l’énorme tube « Aiguisé Comme Une Lame » avec Suprême NTM…
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
463 - Beatmakers S1 (2/10) : Etienne de Crécy
Etienne de Crécy « Hashtag My Ass »
David Commeillas et Samuel Hirsch rencontrent Etienne De Crécy dans son studio à Paris. Il nous dévoile piste par piste les secrets du très vocodé « Hashtag My Ass ».
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
459 - Beatmakers S1 (2/10) : Etienne de Crécy
Etienne de Crécy « Hashtag My Ass »
David Commeillas et Samuel Hirsch rencontrent Etienne De Crécy dans son studio à Paris. Il nous dévoile piste par piste les secrets du très vocodé « Hashtag My Ass ».
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
462 - Beatmakers S1 (1/10) : Imhotep pour IAM
Imhotep « L’école du Micro d’Argent » de IAM
Depuis son studio à Marseille, Imhotep révèle les secrets d’un grand classique d’IAM : « L’École du Micro d’Argent ». Un titre extrait de l’album du même nom, vendu à plus d’un million et demi d’exemplaires depuis sa sortie en 1997.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
458 - Beatmakers S1 (1/10) : Imhotep pour IAM
Imhotep « L’école du Micro d’Argent » de IAM
Depuis son studio à Marseille, Imhotep révèle les secrets d’un grand classique d’IAM : « L’École du Micro d’Argent ». Un titre extrait de l’album du même nom, vendu à plus d’un million et demi d’exemplaires depuis sa sortie en 1997.
Sorciers discrets planqués derrière leurs machines, les beatmakers fabriquent le son d’aujourd’hui. Dix producteurs français sortent de l'ombre et racontent le « making of » de leurs plus grands tubes.En partenariat avec Clique
Auteurs : David Commeillas, Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch - Illustration : Mathieu Choinet - Production : ARTE Radio
461 - On vire facho
ARTE Radio retourne sa veste
Vous en avez marre des bobos, des Arabes et des gonzesses ? Le programme de Marine en chanson, ça passe tout de suite mieux.Une chanson troussée en 2/2 par Klaire fait Grr, mise en musique par Samuel Hirsch avec les choeurs du ARTE Web Hall Stars.
Enregistrement : 4 mai 17 - Guitare et musique : Samuel Hirsch - Choeurs : Chloé, Aliette, Florence, Morgane, Paul-Marie, Silvain - Texte et voix : Klaire fait Grr
457 - On vire facho
ARTE Radio retourne sa veste
Vous en avez marre des bobos, des Arabes et des gonzesses ? Le programme de Marine en chanson, ça passe tout de suite mieux.Une chanson troussée en 2/2 par Klaire fait Grr, mise en musique par Samuel Hirsch avec les choeurs du ARTE Web Hall Stars.
Enregistrement : 4 mai 17 - Guitare et musique : Samuel Hirsch - Choeurs : Chloé, Aliette, Florence, Morgane, Paul-Marie, Silvain - Texte et voix : Klaire fait Grr
460 - Obsession, piège à cons
Campagne partout muguet nulle part
Levez la main ceux qui n’en peuvent plus de cette campagne ? Non mais ne levez pas la main pour de vrai, on vous voit pas, c’est la radio... Allez ! Amis obsédés présidentiels, sondage-addicts, à tous ceux qui en ont plein les urnes, rassurez-vous, c’est la dernière ligne droite. Ou gauche ? Allez savoir.
Enregistrement : 20 avril 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
456 - Obsession, piège à cons
Campagne partout muguet nulle part
Levez la main ceux qui n’en peuvent plus de cette campagne ? Non mais ne levez pas la main pour de vrai, on vous voit pas, c’est la radio... Allez ! Amis obsédés présidentiels, sondage-addicts, à tous ceux qui en ont plein les urnes, rassurez-vous, c’est la dernière ligne droite. Ou gauche ? Allez savoir.
Enregistrement : 20 avril 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
459 - Noir is the new black (3) : 50 nuances de noir
Entre peaux claires et peaux foncées
Au Brésil, un dicton dit à peu près : "Tu couches plus foncé et tu épouses plus clair" ! Le colorisme impose une hiérarchie entre les teintes à l'intérieur des communautés noires. Le noir clair est socialement valorisé, le noir foncé plus sexy... Ce mois-ci, le podcast "Noir is the new black" parle de colorisme à travers des témoignages personnels et des réflexions sur les crèmes éclaircissantes, les Antilles, les coiffeurs et Beyoncé.
Enregistrement : 11 avril 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, Kévi Donat, François Oulac
455 - Noir is the new black (3) : 50 nuances de noir
Entre peaux claires et peaux foncées
Au Brésil, un dicton dit à peu près : "Tu couches plus foncé et tu épouses plus clair" ! Le colorisme impose une hiérarchie entre les teintes à l'intérieur des communautés noires. Le noir clair est socialement valorisé, le noir foncé plus sexy... Ce mois-ci, le podcast "Noir is the new black" parle de colorisme à travers des témoignages personnels et des réflexions sur les crèmes éclaircissantes, les Antilles, les coiffeurs et Beyoncé.
Enregistrement : 11 avril 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, Kévi Donat, François Oulac
458 - Abstention et des brouettes
Peut-on aller voter en salopette ?
Ca y est, elle est là. Elle nous fait de l’œil du haut de son pommier, la tentation de l’abstention. Est-ce que qu’il faut croquer la pomme ? Ou est ce qu’il faut se battre pour changer le verger ?C’est le problème avec la campagne, on voit vachement les arbres fruitiers. Klaire fait Grr chronique la politique tous les 15 jours et ça fait un bien fou.
Enregistrement : 6 avril 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
454 - Abstention et des brouettes
Peut-on aller voter en salopette ?
Ca y est, elle est là. Elle nous fait de l’œil du haut de son pommier, la tentation de l’abstention. Est-ce que qu’il faut croquer la pomme ? Ou est ce qu’il faut se battre pour changer le verger ?C’est le problème avec la campagne, on voit vachement les arbres fruitiers. Klaire fait Grr chronique la politique tous les 15 jours et ça fait un bien fou.
Enregistrement : 6 avril 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr
455 - Les braqueurs (11/11)
Tito (3/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Tito : épisode 3. Tito s’est rendu lui-même après 4 jours de cavale. Arrêté en 2005 pour avoir commis 11 braquages de banques en 5 mois, il prend 6 ans de prison. Aujourd’hui, il est éducateur à Bobigny et a écrit son histoire dans « Confession d’un braqueur suicidaire ». Il participe également à la préparation d’une série, « Standing ».En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
453 - Les braqueurs (11/11)
Tito (3/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Tito : épisode 3. Tito s’est rendu lui-même après 4 jours de cavale. Arrêté en 2005 pour avoir commis 11 braquages de banques en 5 mois, il prend 6 ans de prison. Aujourd’hui, il est éducateur à Bobigny et a écrit son histoire dans « Confession d’un braqueur suicidaire ». Il participe également à la préparation d’une série, « Standing ».En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
454 - Les braqueurs (10/11)
Tito (2/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Tito : épisode 2. Tito décide d’agir, à visage découvert, avec une arme en plastique. Au fur et à mesure, il parfait sa connaissance des systèmes de sécurité et apprend à éviter les pièges.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
452 - Les braqueurs (10/11)
Tito (2/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Tito : épisode 2. Tito décide d’agir, à visage découvert, avec une arme en plastique. Au fur et à mesure, il parfait sa connaissance des systèmes de sécurité et apprend à éviter les pièges.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
453 - Les braqueurs (9/11)
Tito (1/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Tito : épisode 1. Né en Haïti, grandi en banlieue parisienne avec un père abusif et brutal, Tito déteste la violence. A tel point que, atteint d’une grave dépression suite à la stérilité de sa femme policière, il n’envisage comme porte de sortie que de mourir sous les balles de la police…En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
451 - Les braqueurs (9/11)
Tito (1/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Tito : épisode 1. Né en Haïti, grandi en banlieue parisienne avec un père abusif et brutal, Tito déteste la violence. A tel point que, atteint d’une grave dépression suite à la stérilité de sa femme policière, il n’envisage comme porte de sortie que de mourir sous les balles de la police…En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
457 - Baisez utile
Jambons et belle alliance
Entre ceux qui se font payer des costards et ceux qui retournent leur veste, c'est plus une campagne, c'est un atelier couture. C'est bien ça, la couture, c'est utile. Comme le vote ?Klaire fait Grr partage ses questionnements existentiels sur l'élection qui vient : pourquoi c'est complètement fou, et pourquoi secrètement on s'en fout. Est-ce qu'il faut voter ou faire la révolution ? Est-ce qu'il faut saler les pâtes au début ou en fin de cuisson ? Vastes questions auxquelles le podcast "Casser la voix" répond comme il peut, quand il veut.
Enregistrement : 23 mars 17 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
450 - Baisez utile
Jambons et belle alliance
Entre ceux qui se font payer des costards et ceux qui retournent leur veste, c'est plus une campagne, c'est un atelier couture. C'est bien ça, la couture, c'est utile. Comme le vote ?Klaire fait Grr partage ses questionnements existentiels sur l'élection qui vient : pourquoi c'est complètement fou, et pourquoi secrètement on s'en fout. Est-ce qu'il faut voter ou faire la révolution ? Est-ce qu'il faut saler les pâtes au début ou en fin de cuisson ? Vastes questions auxquelles le podcast "Casser la voix" répond comme il peut, quand il veut.
Enregistrement : 23 mars 17 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
452 - Les braqueurs (8/11)
Miki (5/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Episode 5. Miki a passé près de 17 ans en prison. Il est libre depuis 3 ans, un record pour lui qui n’avait jamais été en liberté plus de 8 à 10 mois. Il a été condamné pour le braquage de deux bijouteries. La police estime qu’il en aurait commis une vingtaine.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
449 - Les braqueurs (8/11)
Miki (5/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Episode 5. Miki a passé près de 17 ans en prison. Il est libre depuis 3 ans, un record pour lui qui n’avait jamais été en liberté plus de 8 à 10 mois. Il a été condamné pour le braquage de deux bijouteries. La police estime qu’il en aurait commis une vingtaine.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
451 - Les braqueurs (7/11)
Miki (4/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Episode 4 . Miki intègre ceux que Scotland Yard a surnommé les « Pink Panthers ». Il explique comment est structurée cette organisation qui n’a pas de chef défini mais des receleurs en commun. Et décrit par le menu le braquage d’une bijouterie de luxe et ses suites inattendues…En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
448 - Les braqueurs (7/11)
Miki (4/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Episode 4 . Miki intègre ceux que Scotland Yard a surnommé les « Pink Panthers ». Il explique comment est structurée cette organisation qui n’a pas de chef défini mais des receleurs en commun. Et décrit par le menu le braquage d’une bijouterie de luxe et ses suites inattendues…En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
450 - Les braqueurs (6/11)
Miki (3/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier. Miki, épisode 3. Après 7 ans de prison, Miki est expulsé des Etats-Unis et rentre à Paris. Nous sommes au début des années 2000. Il a 34 ans. Il passe du braquage de banques à celui de bijouteries de luxe...En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
447 - Les braqueurs (6/11)
Miki (3/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier. Miki, épisode 3. Après 7 ans de prison, Miki est expulsé des Etats-Unis et rentre à Paris. Nous sommes au début des années 2000. Il a 34 ans. Il passe du braquage de banques à celui de bijouteries de luxe...En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
448 - Les braqueurs (5/11)
Miki (2/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Miki, épisode 2. En 1984, Miki a 18 ans et part aux Etats-Unis. Il commence une carrière de professeur de fitness. Mais, accro au casino, Miki intègre une équipe de braqueurs, le gang de la trotteuse ("the stopwatch gang") qui dévalise des banques en 3 minutes chrono.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
446 - Les braqueurs (5/11)
Miki (2/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Miki, épisode 2. En 1984, Miki a 18 ans et part aux Etats-Unis. Il commence une carrière de professeur de fitness. Mais, accro au casino, Miki intègre une équipe de braqueurs, le gang de la trotteuse ("the stopwatch gang") qui dévalise des banques en 3 minutes chrono.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
447 - Les braqueurs (4/11)
Miki (1/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Miki, épisode 1. Miki grandit en France. Son père, marbrier, est venu à Paris dans les années 60. La violence de son père le rapproche de son grand frère qui, après une carrière de boxeur interrompue, se reconvertit dans le banditisme. Faisant régulièrement la une des journaux au début des années 80, le frère de Miki et son complice sont alors surnommés les « gentlemen braqueurs », pour la non-violence avec laquelle ils opèrent. Alors que rien ne prédestinait Miki à suivre la voie de son frère, un événement va le faire basculer.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
445 - Les braqueurs (4/11)
Miki (1/5)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.Miki, épisode 1. Miki grandit en France. Son père, marbrier, est venu à Paris dans les années 60. La violence de son père le rapproche de son grand frère qui, après une carrière de boxeur interrompue, se reconvertit dans le banditisme. Faisant régulièrement la une des journaux au début des années 80, le frère de Miki et son complice sont alors surnommés les « gentlemen braqueurs », pour la non-violence avec laquelle ils opèrent. Alors que rien ne prédestinait Miki à suivre la voie de son frère, un événement va le faire basculer.En partenariat avec Slate
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
456 - Noir is the new black (2)
Le noir du service : être le (la) seul(e) Noir(e) au boulot
Qu'est-ce que ça fait d'être le (la) seul(e) Noir(e) au boulot ? En mêlant témoignages persos et pop culture, le trio de "Noir is the new black" dévoile une réalité longtemps ignorée.Trois trentenaires sympas d'origine antillaise et africaine partagent leur expérience. Un regard afropop sur le quotidien.
Enregistrement : 6 mars 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
444 - Noir is the new black (2)
Le noir du service : être le (la) seul(e) Noir(e) au boulot
Qu'est-ce que ça fait d'être le (la) seul(e) Noir(e) au boulot ? En mêlant témoignages persos et pop culture, le trio de "Noir is the new black" dévoile une réalité longtemps ignorée.Trois trentenaires sympas d'origine antillaise et africaine partagent leur expérience. Un regard afropop sur le quotidien.
Enregistrement : 6 mars 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
446 - Les braqueurs (3/11)
François (3/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.François, épisode 3 - En cavale, François travaille dans la culture sous de fausses identités. Alors que son petit garçon grandit, il doit faire un choix difficile... François est arrêté à Paris en 2004. Passionné par le cinéma, il reprend en prison des études de Lettres Modernes. A sa libération, il écrit des scénarios de BD et réalise des courts métrages. François Troukens a créé l’association Chrysalibre pour rendre accessibles l’instruction et la culture en prison.
En partenariat avec SlateA retrouver sur la chaîne Youtube ARTE Radio
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation: Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
443 - Les braqueurs (3/11)
François (3/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.François, épisode 3 - En cavale, François travaille dans la culture sous de fausses identités. Alors que son petit garçon grandit, il doit faire un choix difficile... François est arrêté à Paris en 2004. Passionné par le cinéma, il reprend en prison des études de Lettres Modernes. A sa libération, il écrit des scénarios de BD et réalise des courts métrages. François Troukens a créé l’association Chrysalibre pour rendre accessibles l’instruction et la culture en prison.
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Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation: Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
445 - Les braqueurs (2/11)
François (2/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.François, épisode 2. De 1993 à 2003, François fait partie d’un gang qui attaque les fourgons blindés en Belgique et dans le nord de la France. Une équipe dite « à tiroir » compte en moyenne 4 personnes : François occupe le poste de chauffeur ou de plastiqueur. Il détaille à quel point un braquage se prépare comme un tournage...
En partenariat avec SlateA retrouver sur la chaîne Youtube ARTE Radio
Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation: Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
442 - Les braqueurs (2/11)
François (2/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.François, épisode 2. De 1993 à 2003, François fait partie d’un gang qui attaque les fourgons blindés en Belgique et dans le nord de la France. Une équipe dite « à tiroir » compte en moyenne 4 personnes : François occupe le poste de chauffeur ou de plastiqueur. Il détaille à quel point un braquage se prépare comme un tournage...
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Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation: Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
444 - Les braqueurs (1/11)
François (1/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.François, épisode 1. François Troukens grandit en Belgique avec un père ingénieur agronome et une mère professeure, dont il déteste le mode de vie « écolo-hippie »… A 23 ans, il bascule et organise sa première attaque en se faisant enfermer dans la chambre forte…
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Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
441 - Les braqueurs (1/11)
François (1/3)
Braquer une banque, dévaliser une bijouterie, attaquer un fourgon blindé… Un casse se prépare comme le tournage d’un film. Trois grands braqueurs racontent leur dangereux métier.François, épisode 1. François Troukens grandit en Belgique avec un père ingénieur agronome et une mère professeure, dont il déteste le mode de vie « écolo-hippie »… A 23 ans, il bascule et organise sa première attaque en se faisant enfermer dans la chambre forte…
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Auteure : Pascale Pascariello - Réalisation : Sara Monimart - Illustration : Thierry Chavant - Musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
449 - Les culottes de Marianne
Féminisme et sangria
Youpi, le 8 mars, c'est la journée de la truite de mer ! Fêtons ça en comparant les programmes électoraux avec de la sangria. Et vive les droits des femmes (avec modération) ! Tous les quinze jours, Klaire fait Grr se casse la voix dans "Casser la voix".
Enregistrement : 8 mars 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
440 - Les culottes de Marianne
Féminisme et sangria
Youpi, le 8 mars, c'est la journée de la truite de mer ! Fêtons ça en comparant les programmes électoraux avec de la sangria. Et vive les droits des femmes (avec modération) ! Tous les quinze jours, Klaire fait Grr se casse la voix dans "Casser la voix".
Enregistrement : 8 mars 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
443 - Sardines de campagne
2017 c'est moi ou c'est n'importe quoi ?
Est-ce que ce serait pas la campagne présidentielle la plus n'importe-quoi-nouillasse-WTF qu'on ait jamais vu ? Y'a t-il quelqu'un pour changer le monde ou tout le monde est trop occupé à faire tourner les serviettes ? Tous les quinze jours, Klaire fait Grr chronique l'élection présidentielle depuis sa boîte à sons.
Enregistrements : 22 février 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
439 - Sardines de campagne
2017 c'est moi ou c'est n'importe quoi ?
Est-ce que ce serait pas la campagne présidentielle la plus n'importe-quoi-nouillasse-WTF qu'on ait jamais vu ? Y'a t-il quelqu'un pour changer le monde ou tout le monde est trop occupé à faire tourner les serviettes ? Tous les quinze jours, Klaire fait Grr chronique l'élection présidentielle depuis sa boîte à sons.
Enregistrements : 22 février 17 - Réalisation : Arnaud Forest - Texte & voix : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
442 - Noir is the new black (1)
Les relations interraciales pour les nuls
Trois trentenaires sympas d'origine antillaise et africaine partagent leur expérience. Un regard afropop sur le quotidien. A l'occasion de la Saint-Valentin, Mélanie raconte sa fascination, enfant, pour les couples de couleur dans les séries américaines. Kévi analyse la fétichisation étrange des couples mixtes dans la publicité, et François évoque sa relation compliquée avec les vidéos X dites "interraciales".
Enregistrements : 1er février 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
438 - Noir is the new black (1)
Les relations interraciales pour les nuls
Trois trentenaires sympas d'origine antillaise et africaine partagent leur expérience. Un regard afropop sur le quotidien. A l'occasion de la Saint-Valentin, Mélanie raconte sa fascination, enfant, pour les couples de couleur dans les séries américaines. Kévi analyse la fétichisation étrange des couples mixtes dans la publicité, et François évoque sa relation compliquée avec les vidéos X dites "interraciales".
Enregistrements : 1er février 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
441 - Les étagères de M. Macron
Propreté et bricolage
Emmanuel Macron, il est lisse et beau comme un catalogue Ikea.Sauf que dans la vraie vie, tu perds trois vis, tu te baises le dos, et tu te rends compte quand il te reste des chevilles de la mauvaise taille que t'as monté le meuble à l'envers. Tant pis, on verra bien si ça nous pète à la gueule. Klaire Fait Grr partage ses questionnements existentiels sur l'élection qui vient : pourquoi c'est complètement fou, et pourquoi secrètement on s'en fout. Est-ce qu'il faut voter ou faire la révolution ? Est-ce qu'il faut saler les pâtes au début ou en fin de cuisson ? Vastes questions auxquelles le podcast "Casser la voix" répond comme il peut, quand il veut.
Enregistrements : 9 février 17 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte, voix, sons : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
437 - Les étagères de M. Macron
Propreté et bricolage
Emmanuel Macron, il est lisse et beau comme un catalogue Ikea.Sauf que dans la vraie vie, tu perds trois vis, tu te baises le dos, et tu te rends compte quand il te reste des chevilles de la mauvaise taille que t'as monté le meuble à l'envers. Tant pis, on verra bien si ça nous pète à la gueule. Klaire Fait Grr partage ses questionnements existentiels sur l'élection qui vient : pourquoi c'est complètement fou, et pourquoi secrètement on s'en fout. Est-ce qu'il faut voter ou faire la révolution ? Est-ce qu'il faut saler les pâtes au début ou en fin de cuisson ? Vastes questions auxquelles le podcast "Casser la voix" répond comme il peut, quand il veut.
Enregistrements : 9 février 17 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte, voix, sons : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
440 - Cent façons de disparaître (5/5) : La Zone
Avoir le droit d'être invisible
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 5/5 : La Zone
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui), Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
436 - Cent façons de disparaître (5/5) : La Zone
Avoir le droit d'être invisible
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 5/5 : La Zone
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui), Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
439 - Cent façons de disparaître (4/5) : Séminaire de formation
Devenir quelconque
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 4/5 : Séminaire de formation
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui), Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
435 - Cent façons de disparaître (4/5) : Séminaire de formation
Devenir quelconque
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 4/5 : Séminaire de formation
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui), Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
438 - Cent façons de disparaître (3/5) : Listening to Prozac
Un signe de bonne santé
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 3/5 : Listening to Prozac
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui), Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Script : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
434 - Cent façons de disparaître (3/5) : Listening to Prozac
Un signe de bonne santé
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 3/5 : Listening to Prozac
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui), Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Script : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
437 - Cent façons de disparaître (2/5) : La fuite en avant
Fuite au coeur de la nuit
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 2/5 : La fuite en avant
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui),
Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
433 - Cent façons de disparaître (2/5) : La fuite en avant
Fuite au coeur de la nuit
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique.Episode 2/5 : La fuite en avant
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui),
Delphine Théodore (la formatrice), Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
436 - Cent façons de disparaître (1/5) : La nuit, tu sais, je vois les ondes
Rallumer son ordinateur
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique. Episode 1/5 : La nuit, tu sais, je vois les ondes
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui),
Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
432 - Cent façons de disparaître (1/5) : La nuit, tu sais, je vois les ondes
Rallumer son ordinateur
Cernée par les ondes, surveillée par les réseaux, une jeune femme rêve de disparaître. Mais il n’y a pas d’application pour ça...Une fiction rebelle tapie dans l'ombre numérique. Episode 1/5 : La nuit, tu sais, je vois les ondes
Texte : Claire Richard - Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (elle), Slimane Yefsah (lui),
Elisa Monteil (la disparition) - Musique originale : Arnaud Forest & Jean-Patrick Lecerf - Scripte : Sara Monimart - Réalisation : Arnaud Forest - Production : ARTE Radio
435 - Dans les plumes
La petite fille et les pigeons
Un roucoulement, un battement d’aile, la cage aux oiseaux est ouverte. Arina Poteaux ne fait pas de bêtises, elle laisse s’envoler les pigeons voyageurs pour l’entrainement. Cette jeune championne a seulement 10 ans et habite Denain, près de Valenciennes. Avec son père, elle passe son temps libre à entraîner ses pigeons pour des concours de vitesse. Dans le Nord, la colombophilie est un sport et une passion populaire. Les sons ont été enregistrés en binaural, écoutez-les au casque pour profiter de l'effet 3D.Dans la tête : une immersion en audio 3D dans un métier et une passion.
Enregistrements : avril-juin 16 - Mise en ondes et mixage : Samuel Hirsch - Réalisation : Jérôme Bailly
431 - Dans les plumes
La petite fille et les pigeons
Un roucoulement, un battement d’aile, la cage aux oiseaux est ouverte. Arina Poteaux ne fait pas de bêtises, elle laisse s’envoler les pigeons voyageurs pour l’entrainement. Cette jeune championne a seulement 10 ans et habite Denain, près de Valenciennes. Avec son père, elle passe son temps libre à entraîner ses pigeons pour des concours de vitesse. Dans le Nord, la colombophilie est un sport et une passion populaire. Les sons ont été enregistrés en binaural, écoutez-les au casque pour profiter de l'effet 3D.Dans la tête : une immersion en audio 3D dans un métier et une passion.
Enregistrements : avril-juin 16 - Mise en ondes et mixage : Samuel Hirsch - Réalisation : Jérôme Bailly
434 - Les poireaux de M. Fillon
Féminisme et légumes verts
Alors, il sent bon, l'air de la campagne ? Tu la sens, la grosse vague et sa petite odeur de pourri qui titille la narine ? Et en parlant de narine, est-ce qu'il faut s'épiler les poils du nez ?Klaire fait Grr partage ses questionnements existentiels sur l'élection qui vient : pourquoi c'est complètement fou, et pourquoi secrètement on s'en fout. Est-ce qu'il faut voter ou faire la révolution ? Est-ce qu'il faut saler les pâtes au début ou en fin de cuisson ? Vastes questions auxquelles le podcast "Casser la voix" répond comme il peut, quand il veut.
Enregistrements : 23 janvier 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Texte, voix, sons : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
430 - Les poireaux de M. Fillon
Féminisme et légumes verts
Alors, il sent bon, l'air de la campagne ? Tu la sens, la grosse vague et sa petite odeur de pourri qui titille la narine ? Et en parlant de narine, est-ce qu'il faut s'épiler les poils du nez ?Klaire fait Grr partage ses questionnements existentiels sur l'élection qui vient : pourquoi c'est complètement fou, et pourquoi secrètement on s'en fout. Est-ce qu'il faut voter ou faire la révolution ? Est-ce qu'il faut saler les pâtes au début ou en fin de cuisson ? Vastes questions auxquelles le podcast "Casser la voix" répond comme il peut, quand il veut.
Enregistrements : 23 janvier 17 - Réalisation : Charlie Marcelet - Texte, voix, sons : Klaire fait Grr - Photo : Pierrick Guidou
433 - Diamant sur canapé (4/4) : Le prince charmant
Faire le métier qui nous plait
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 4/4 : le prince charmant.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
429 - Diamant sur canapé (4/4) : Le prince charmant
Faire le métier qui nous plait
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 4/4 : le prince charmant.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
432 - Diamant sur canapé (3/4) : Toucher ses limites
L'importance du paraître
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 3/4 : toucher ses limites
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
428 - Diamant sur canapé (3/4) : Toucher ses limites
L'importance du paraître
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 3/4 : toucher ses limites
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
431 - Diamant sur canapé (2/4) : Le charme est une arme
Capricieuse, autoritaire, exigeante.
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 2/4 : Le charme est une arme.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
427 - Diamant sur canapé (2/4) : Le charme est une arme
Capricieuse, autoritaire, exigeante.
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 2/4 : Le charme est une arme.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
430 - Diamant sur canapé (1/4) : Le pouvoir de séduire
Se servir de ses atouts
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec Madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 1/4 : Le pouvoir de séduire.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
426 - Diamant sur canapé (1/4) : Le pouvoir de séduire
Se servir de ses atouts
De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec Madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Episode 1/4 : Le pouvoir de séduire.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & musique : Arnaud Forest - Réalisation : Laetitia Druart - Production : ARTE Radio
429 - Guillemette (7/7) : La naissance de Guillemette
Une histoire et deux chansons
Découvrez enfin comment Guillemette est venue au monde... avant que le monde vienne à elle.Guillemette est une petite fille distraite et rigolote. Julie Bonnie a raconté ses aventures à la plage, à l'école, au match de foot... Voici maintenant le récit de sa naissance, avec deux belles chansons inédites (Guillemette 7/7). Julie Bonnie a gagné le prix du roman FNAC 2013 avec son roman "Chambre 2" (Belfond). Elle a publié depuis "Mon amour," et "Alice et les orties" chez Grasset, ainsi que deux livres jeunesse aux éditions du Rouergue. Avant cela, elle a joué du violon punk et chanté dans les groupes Forguette Mi Note et Cornu, comme elle le raconte dans "P... de violon" sur ARTE Radio.
Enregistrements : 1-4 novembre 16 - Musique additionnelle & réalisation : Samuel Hirsch - Texte, musique & voix : Julie Bonnie - Production : ARTE Radio
425 - Guillemette (7/7) : La naissance de Guillemette
Une histoire et deux chansons
Découvrez enfin comment Guillemette est venue au monde... avant que le monde vienne à elle.Guillemette est une petite fille distraite et rigolote. Julie Bonnie a raconté ses aventures à la plage, à l'école, au match de foot... Voici maintenant le récit de sa naissance, avec deux belles chansons inédites (Guillemette 7/7). Julie Bonnie a gagné le prix du roman FNAC 2013 avec son roman "Chambre 2" (Belfond). Elle a publié depuis "Mon amour," et "Alice et les orties" chez Grasset, ainsi que deux livres jeunesse aux éditions du Rouergue. Avant cela, elle a joué du violon punk et chanté dans les groupes Forguette Mi Note et Cornu, comme elle le raconte dans "P... de violon" sur ARTE Radio.
Enregistrements : 1-4 novembre 16 - Musique additionnelle & réalisation : Samuel Hirsch - Texte, musique & voix : Julie Bonnie - Production : ARTE Radio
428 - Guillemette (6/7) : La chanson de Guillemette
Le tube qui colle bien (à partir de 4 ans)
Guillemette est une petite fille distraite et rigolote. Julie Bonnie raconte ses aventures à la plage, à l'école, au match de foot...Guillemette (6/7) : voici une nouvelle version de la chanson de Guillemette, écrite, jouée et chantée par Julie Bonnie.Julie Bonnie a gagné le prix du roman FNAC 2013 avec son roman "Chambre 2" (Belfond). Elle a publié depuis "Mon amour," et "Alice et les orties" chez Grasset, ainsi que deux livres jeunesse aux éditions du Rouergue. Avant cela, elle a joué du violon punk et chanté dans les groupes Forguette Mi Note et Cornu, comme elle le raconte dans "P... de violon" sur ARTE Radio.
Enregistrements : 1-4 novembre 16 - Musique additionnelle & réalisation : Samuel Hirsch - Texte, musique & voix : Julie Bonnie - Production : ARTE Radio
424 - Guillemette (6/7) : La chanson de Guillemette
Le tube qui colle bien (à partir de 4 ans)
Guillemette est une petite fille distraite et rigolote. Julie Bonnie raconte ses aventures à la plage, à l'école, au match de foot...Guillemette (6/7) : voici une nouvelle version de la chanson de Guillemette, écrite, jouée et chantée par Julie Bonnie.Julie Bonnie a gagné le prix du roman FNAC 2013 avec son roman "Chambre 2" (Belfond). Elle a publié depuis "Mon amour," et "Alice et les orties" chez Grasset, ainsi que deux livres jeunesse aux éditions du Rouergue. Avant cela, elle a joué du violon punk et chanté dans les groupes Forguette Mi Note et Cornu, comme elle le raconte dans "P... de violon" sur ARTE Radio.
Enregistrements : 1-4 novembre 16 - Musique additionnelle & réalisation : Samuel Hirsch - Texte, musique & voix : Julie Bonnie - Production : ARTE Radio


427 - De guerre en fils (6/6) : Les fins maux de l'histoire
En finir avec son travail de mémoire
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cent Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
6/6 : les fins maux de l'histoire. François cherche le fin mot de l'histoire.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Sylvie Thénault, Valentine Joubin, Médine - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


423 - De guerre en fils (6/6) : Les fins maux de l'histoire
En finir avec son travail de mémoire
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cent Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
6/6 : les fins maux de l'histoire. François cherche le fin mot de l'histoire.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Sylvie Thénault, Valentine Joubin, Médine - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


426 - De guerre en fils (5/6) : Le téléphone arabe
Héro ou salaud ?
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cent Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
5/6 : le téléphone arabe. D'un interlocuteur à l'autre, le portrait de Georges Pérache se trouble. Héro ou salaud ?Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Stéphanie Daniel, Médine, Marc Barbé, Franck Chevallay, l'abbé Pierre, Sylvie Thénault, archives INA - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


422 - De guerre en fils (5/6) : Le téléphone arabe
Héro ou salaud ?
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cent Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
5/6 : le téléphone arabe. D'un interlocuteur à l'autre, le portrait de Georges Pérache se trouble. Héro ou salaud ?Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Stéphanie Daniel, Médine, Marc Barbé, Franck Chevallay, l'abbé Pierre, Sylvie Thénault, archives INA - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


425 - De guerre en fils (4/6) : 17 octobre sans rendez-vous
Manifester contre le couvre-feu
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
4/6 : 17 octobre sans rendez-vous.Le rapper Médine et le journaliste Patrick Pesnot ("Rendez-vous avec X") s'invitent dans l'histoire.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Médine, Patrick Pesnot, Jacques Bonnaffé, archives INA - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


421 - De guerre en fils (4/6) : 17 octobre sans rendez-vous
Manifester contre le couvre-feu
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
4/6 : 17 octobre sans rendez-vous.Le rapper Médine et le journaliste Patrick Pesnot ("Rendez-vous avec X") s'invitent dans l'histoire.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Médine, Patrick Pesnot, Jacques Bonnaffé, archives INA - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


424 - De guerre en fils (3/6) : J’ai la mémoire qui planche
La France en état d'urgence
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
3/6 : j’ai la mémoire qui planche. Le rapport d'enquête sur la mort de son grand-père renvoie François Pérache en automne 1961: il découvre une France en état d'urgence.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Antoine Sastre, Jean-Christophe Freche, Franck Chevallay, Patrick Pesnot, Sabine Zovighian, archive "Octobre à Paris" de Jacques Panijel - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


420 - De guerre en fils (3/6) : J’ai la mémoire qui planche
La France en état d'urgence
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
3/6 : j’ai la mémoire qui planche. Le rapport d'enquête sur la mort de son grand-père renvoie François Pérache en automne 1961: il découvre une France en état d'urgence.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophonePrix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Antoine Sastre, Jean-Christophe Freche, Franck Chevallay, Patrick Pesnot, Sabine Zovighian, archive "Octobre à Paris" de Jacques Panijel - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


423 - De guerre en fils (2/6) : Parlez avec le bip
Reprendre l'enquête
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
2/6 : parlez avec le bip.François se réveille avec la gueule de bois et l'envie de reprendre l'enquête sur son grand-père.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophone Prix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Jacques Bonnaffé, Stéphanie Daniel, Marc Barbé, Antoine Sastre, Franck Chevallay, Jean-Christophe Freche, archives INA - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


419 - De guerre en fils (2/6) : Parlez avec le bip
Reprendre l'enquête
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
2/6 : parlez avec le bip.François se réveille avec la gueule de bois et l'envie de reprendre l'enquête sur son grand-père.Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophone Prix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Jacques Bonnaffé, Stéphanie Daniel, Marc Barbé, Antoine Sastre, Franck Chevallay, Jean-Christophe Freche, archives INA - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


422 - De guerre en fils (1/6) : Sur les pavés le sang
Raconter par les oreilles
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
1/6 : Sur les pavés le sang. Le soir du 13 novembre 2015, François veut manger un bobun au restaurant Le Petit Cambodge (Paris X). Les coups de feu des massacres réveillent un souvenir tragique lié à son histoire familiale et à celle de la guerre d'Algérie. Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophone Prix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Médine, l'aimable participation de Marie-Sophie Ferdane, archives INA, rap de Médine - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio


418 - De guerre en fils (1/6) : Sur les pavés le sang
Raconter par les oreilles
Le 2 octobre 1961, en pleine guerre d'Algérie, le policier Georges Pérache est abattu à Paris par le FLN. Le 17 octobre, la police réprime une manifestation pacifique et tue près de deux cents Algériens. Le 13 novembre 2015, François Pérache, petit-fils du policier tué, veut aller manger un bobun au Petit Cambodge... A la fois enquête intime, fiction documentée et tragi-comédie, "De guerre en fils" joue du feuilleton radio pour ouvrir la boîte aux secrets. Ceux de l’Histoire comme ceux d’une famille.
1/6 : Sur les pavés le sang. Le soir du 13 novembre 2015, François veut manger un bobun au restaurant Le Petit Cambodge (Paris X). Les coups de feu des massacres réveillent un souvenir tragique lié à son histoire familiale et à celle de la guerre d'Algérie. Prix Phonurgia 2017 de la fiction radio francophone Prix Italia 2017 de la meilleure fiction radiophoniquePrix Premio Ondas international de radio 2017
Ce podcast est disponible en allemand (production : WDR) .
Texte : François Pérache et Sabine Zovighian - Avec : François Pérache, Médine, l'aimable participation de Marie-Sophie Ferdane, archives INA, rap de Médine - Musique : Samuel Hirsch - Réalisation : Samuel Hirsch et Sabine Zovighian - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio
420 - La surprise
Pelles et râteaux (10) : pelles-party
Une danse du tapis et un baiser à l’aveugle.Pelles et râteaux (10/10) : la surprise.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
417 - La surprise
Pelles et râteaux (10) : pelles-party
Une danse du tapis et un baiser à l’aveugle.Pelles et râteaux (10/10) : la surprise.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
419 - Le cinéma
Pelles et râteaux (9) : baiser (pas) hollywoodien
Une pelle de comptoir et une blessure de collège. Parfois, c'est comme au cinéma.Pelles et râteaux (9/10) : le cinéma.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
416 - Le cinéma
Pelles et râteaux (9) : baiser (pas) hollywoodien
Une pelle de comptoir et une blessure de collège. Parfois, c'est comme au cinéma.Pelles et râteaux (9/10) : le cinéma.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
421 - La radio est une femme
Et en plus elle est pauvre
A ARTE Radio, les auteurs sont des auteurEs. Les auditeurs surtout des audiTRICES. Pourquoi ? Est-ce que l'utérus est relié directement au micro ? Le patron s'interroge à voix haute. Chaque semaine, le chef suprême d'ARTE Radio raconte sa vie et la vôtre tout en présentant les nouveautés.
Enregistrement : 21 septembre 16 - Réalisation : Charlie Marcelet - Texte & voix : Silvain Gire
415 - La radio est une femme
Et en plus elle est pauvre
A ARTE Radio, les auteurs sont des auteurEs. Les auditeurs surtout des audiTRICES. Pourquoi ? Est-ce que l'utérus est relié directement au micro ? Le patron s'interroge à voix haute. Chaque semaine, le chef suprême d'ARTE Radio raconte sa vie et la vôtre tout en présentant les nouveautés.
Enregistrement : 21 septembre 16 - Réalisation : Charlie Marcelet - Texte & voix : Silvain Gire
418 - L'étranger
Pelles et râteaux (8) : conquête au soleil
Souvenirs de vacances et conquêtes de jeunesse.Pelles et râteaux (8/10) : l'étranger.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
414 - L'étranger
Pelles et râteaux (8) : conquête au soleil
Souvenirs de vacances et conquêtes de jeunesse.Pelles et râteaux (8/10) : l'étranger.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
417 - Les garçons
Pelles et râteaux (7) : copains comme cochons
Drôles d’histoires entre mecs.Pelles et râteaux (7/10) : les garçons.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
413 - Les garçons
Pelles et râteaux (7) : copains comme cochons
Drôles d’histoires entre mecs.Pelles et râteaux (7/10) : les garçons.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
416 - Le bus
Pelles et râteaux (6) : baisers à l'arrêt
Le bus arrive et avec lui les premiers baisers.Pelles et râteaux (6/10) : le bus.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
412 - Le bus
Pelles et râteaux (6) : baisers à l'arrêt
Le bus arrive et avec lui les premiers baisers.Pelles et râteaux (6/10) : le bus.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
415 - La voiture
Pelles et râteaux (5) : instant passager
Dans la voiture, une femme invente un stratagème imparable, une autre se découvre amoureuse.Pelles et râteaux (5/10) : la voiture« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
411 - La voiture
Pelles et râteaux (5) : instant passager
Dans la voiture, une femme invente un stratagème imparable, une autre se découvre amoureuse.Pelles et râteaux (5/10) : la voiture« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
414 - La fête
Pelles et râteaux (4) : tonight iz ze night
Sur la piste de danse, une jeune femme se venge, un homme profite de la mésaventure.Pelles et râteaux (4/10) : la fête.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
410 - La fête
Pelles et râteaux (4) : tonight iz ze night
Sur la piste de danse, une jeune femme se venge, un homme profite de la mésaventure.Pelles et râteaux (4/10) : la fête.« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
413 - L'ascenseur
Pelles & râteaux (3) : baiser imprévu et vent violent
Moment d'élévation ou chute vertigineuse, c'est dans l'ascenseur que les jeux sont faits.Pelles et râteaux (3/10) : l'ascenseur« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
409 - L'ascenseur
Pelles & râteaux (3) : baiser imprévu et vent violent
Moment d'élévation ou chute vertigineuse, c'est dans l'ascenseur que les jeux sont faits.Pelles et râteaux (3/10) : l'ascenseur« Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
412 - Le lendemain
Pelles & râteaux (2) : le jour d'après
Au réveil, le lendemain, tout est beaucoup plus clair. Pelles et râteaux (2/10) : le lendemain. « Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
408 - Le lendemain
Pelles & râteaux (2) : le jour d'après
Au réveil, le lendemain, tout est beaucoup plus clair. Pelles et râteaux (2/10) : le lendemain. « Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
411 - L'escalier
Pelles & râteaux (1) : avec la langue... ou sans
Dans la cage d’escalier, une femme embrasse son amant et un clown tente sa chance.Pelles et râteaux (1/10) : l'escalier. « Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet
407 - L'escalier
Pelles & râteaux (1) : avec la langue... ou sans
Dans la cage d’escalier, une femme embrasse son amant et un clown tente sa chance.Pelles et râteaux (1/10) : l'escalier. « Pelles et râteaux » n’est pas un concept-store d’outils de jardins. La nouvelle série de Jeanne Robet (Crackopolis) est une collection de témoignages intimes autour du délicat moment du passage à l’acte. Allez-vous embrasser ou tourner la tête ? Et des années plus tard, revivre votre meilleure pelle ou votre pire râteau ? Dix épisodes de 2 à 4 minutes comprenant chacun deux récits en miroir. Soit vingt moments décisifs à partager.
Enregistrements : juin 16 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jeanne Robet


410 - Flicopolis (8/8) : Le monde est gris
La vie par les yeux d'un flic
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Le monde est gris (8/8) : voir la vie par les yeux d'un flicUn policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


406 - Flicopolis (8/8) : Le monde est gris
La vie par les yeux d'un flic
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Le monde est gris (8/8) : voir la vie par les yeux d'un flicUn policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


409 - Flicopolis (7/8) : La ligne jaune
Impossible de ne pas craquer
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.La ligne jaune (7/8) : Insultes, corruption, violences... qui franchit la ligne jaune ? Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


405 - Flicopolis (7/8) : La ligne jaune
Impossible de ne pas craquer
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.La ligne jaune (7/8) : Insultes, corruption, violences... qui franchit la ligne jaune ? Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


408 - Flicopolis (6/8) : Garde à vue
Règles de savoir-vivre en garde à vue
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Grade à vue (6/8) : code de savoir-vivre en GAV. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


404 - Flicopolis (6/8) : Garde à vue
Règles de savoir-vivre en garde à vue
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Grade à vue (6/8) : code de savoir-vivre en GAV. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


407 - Flicopolis (5/8) : Les indics
Ça balance pas mal
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Les indics (5/8) : dans la vraie vie, les "balances" ne sont pas comme au cinéma ou dans le rap. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


403 - Flicopolis (5/8) : Les indics
Ça balance pas mal
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Les indics (5/8) : dans la vraie vie, les "balances" ne sont pas comme au cinéma ou dans le rap. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


406 - Flicopolis (4/8) : Justice nulle part
Injustices de la justice et politique du chiffre
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Justice nulle part (4/8) : des injustices de la justice à la politique du chiffre. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


402 - Flicopolis (4/8) : Justice nulle part
Injustices de la justice et politique du chiffre
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Justice nulle part (4/8) : des injustices de la justice à la politique du chiffre. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
405 - Flicopolis (3/8) : Stupéfiants
Les dessous du trafic
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Stupéfiants (3/8) : moeurs et coutumes du trafic de drogues. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
401 - Flicopolis (3/8) : Stupéfiants
Les dessous du trafic
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Stupéfiants (3/8) : moeurs et coutumes du trafic de drogues. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


404 - Flicopolis (2/8) : Mécanique du terrain
Le territoire du deal
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Mécanique du terrain (2/8) : balade en voiture sur le territoire du deal et ses lieux de pouvoir.Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


400 - Flicopolis (2/8) : Mécanique du terrain
Le territoire du deal
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Mécanique du terrain (2/8) : balade en voiture sur le territoire du deal et ses lieux de pouvoir.Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


403 - Flicopolis (1/8) : Premiers pas
Premier jour et première embrouille
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Premiers pas (1/8) : pour son premier jour, le jeune flic se retrouve face à un début d'émeute dans une cité. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio


399 - Flicopolis (1/8) : Premiers pas
Premier jour et première embrouille
Enquêtes, indics, interpellations… Un officier des stups raconte son quotidien dans l’univers du trafic de drogue en banlieue parisienne. Propos rarissimes et sans tabou sur la police française vue de l’intérieur.Premiers pas (1/8) : pour son premier jour, le jeune flic se retrouve face à un début d'émeute dans une cité. Un policier a accepté de raconter son quotidien à Merry Royer. Officier des Stups dans le 93, il enquête sur les trafics de stupéfiants. Surtout, il se confie avec sensibilité sur son métier, ses relations avec ses collègues et ses "clients". Après « Crackopolis », la série culte de Jeanne Robet consacrée au quotidien d’un dealer et toxico parisien (plus de 300 000 écoutes), « Flicopolis » renverse la perspective. Même franchise, même absence de tabous, même énergie rares.
Enregistrements : mars-avril 16 - Entretien & prises de son : Merry Royer - Musique originale : Jordan Boisse & Samuel Hirsch - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio
402 - Je le vaux bien
Un audioguide imaginaire de Hervé Le Tellier (1)
Hervé Le Tellier (1) : "Je le vaux bien" de Grégoire Dujardin, un artiste qui se paye comptant. ARTE Radio a demandé à des auteurs d'écrire l'audioguide d'une expo imaginaire. Des œuvres d'art inexistantes, décrites sur un ton pince-sans-rire par Hervé Le Tellier, MASA, Silvain Gire. En coproduction avec le Centre Pompidou - d'autres créations disponibles dans leur appli gratuite sous l'onglet "Museum Fictions". Membre de l'OuLiPo et figure de l'émission "Les Papous dans la tête" le dimanche sur France Culture, Hervé Le Tellier est un écrivain aussi habile que franchement rigolo ("Joconde jusqu'à cent", "Assez parlé d'amour", "Moi et François Mitterrand").
Enregistrements : mars 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Hervé Le Tellier
398 - Je le vaux bien
Un audioguide imaginaire de Hervé Le Tellier (1)
Hervé Le Tellier (1) : "Je le vaux bien" de Grégoire Dujardin, un artiste qui se paye comptant. ARTE Radio a demandé à des auteurs d'écrire l'audioguide d'une expo imaginaire. Des œuvres d'art inexistantes, décrites sur un ton pince-sans-rire par Hervé Le Tellier, MASA, Silvain Gire. En coproduction avec le Centre Pompidou - d'autres créations disponibles dans leur appli gratuite sous l'onglet "Museum Fictions". Membre de l'OuLiPo et figure de l'émission "Les Papous dans la tête" le dimanche sur France Culture, Hervé Le Tellier est un écrivain aussi habile que franchement rigolo ("Joconde jusqu'à cent", "Assez parlé d'amour", "Moi et François Mitterrand").
Enregistrements : mars 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Hervé Le Tellier
401 - Rest in powder blush
L'audioguide de l'art imaginaire
L'audioguide qui se moque des audioguides. ARTE Radio a demandé à des auteurs d'écrire l'audioguide d'une expo imaginaire. Des œuvres d'art inexistantes, décrites sur un ton pince-sans-rire par Hervé Le Tellier, MASA, Silvain Gire. En coproduction avec le Centre Pompidou - d'autres créations disponibles dans leur appli gratuite sous l'onglet "Museum Fictions".
Enregistrements : mars 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Voix : Delphine Théodore - Texte : Marie-Andrée de St-André
397 - Rest in powder blush
L'audioguide de l'art imaginaire
L'audioguide qui se moque des audioguides. ARTE Radio a demandé à des auteurs d'écrire l'audioguide d'une expo imaginaire. Des œuvres d'art inexistantes, décrites sur un ton pince-sans-rire par Hervé Le Tellier, MASA, Silvain Gire. En coproduction avec le Centre Pompidou - d'autres créations disponibles dans leur appli gratuite sous l'onglet "Museum Fictions".
Enregistrements : mars 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Voix : Delphine Théodore - Texte : Marie-Andrée de St-André
400 - L'oeuvre de toute une vie
L'audioguide imaginaire de Silvain Gire
Le guide pour (re)visiter sa propre vie...ARTE Radio a demandé à des auteurs d'écrire l'audioguide d'une expo imaginaire. Des œuvres d'art inexistantes, décrites sur un ton pince-sans-rire par Hervé Le Tellier, MASA, Silvain Gire. En coproduction avec le Centre Pompidou - d'autres créations disponibles dans leur appli gratuite sous l'onglet "Museum Fictions".
Enregistrements : mars 216 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Silvain Gire
396 - L'oeuvre de toute une vie
L'audioguide imaginaire de Silvain Gire
Le guide pour (re)visiter sa propre vie...ARTE Radio a demandé à des auteurs d'écrire l'audioguide d'une expo imaginaire. Des œuvres d'art inexistantes, décrites sur un ton pince-sans-rire par Hervé Le Tellier, MASA, Silvain Gire. En coproduction avec le Centre Pompidou - d'autres créations disponibles dans leur appli gratuite sous l'onglet "Museum Fictions".
Enregistrements : mars 216 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Silvain Gire
399 - I am here
Museum fiction in Centre Pompidou
Beset by worried thoughts, Emma walks into the Centre Pompidou in Paris, France. On her way up to the famous rooftop, her anxieties disappear so as she rises over the city. A stroll in zero gravity with a sonic depth through the galleries of the museum.This program has been recorded with a binaural mike for a 3D effect : listen to it with headphones.Co-produced with the Centre Pompidou – find it among other creations on the Centre Pompidou’s free App, under “Museum fiction” tab.
Recordings : january 16 - Direction : Samuel Hirsch - Text & voice : Emma Broughton
395 - I am here
Museum fiction in Centre Pompidou
Beset by worried thoughts, Emma walks into the Centre Pompidou in Paris, France. On her way up to the famous rooftop, her anxieties disappear so as she rises over the city. A stroll in zero gravity with a sonic depth through the galleries of the museum.This program has been recorded with a binaural mike for a 3D effect : listen to it with headphones.Co-produced with the Centre Pompidou – find it among other creations on the Centre Pompidou’s free App, under “Museum fiction” tab.
Recordings : january 16 - Direction : Samuel Hirsch - Text & voice : Emma Broughton
398 - Estoy aquí
Museum fiction en el Centro Pompidou
Afectada por pensamientos negativos, Emma se pierde en el Centro Pompidou. A lo largo de un camino que la conduce hasta el último piso, sus preocupaciones se desvanecen a medida que ella asciende por encima de la ciudad. Un paseo en gravedad cero y en relieve sonoro por las galerías del museo.Este programa se beneficia de un sonido binaural por un efecto de relieve en 3D : escuche con auriculares !En coproducción con el Centro Pompidou - revisar la pestaña museum fictions de la aplicación gratuita del Centro Pompidou para encontrar otras creaciones.
Grabaciónes : enero de 2016 - Realización : Samuel Hirsch - Texto : Emma Broughton - Voz : Claire Rappin
394 - Estoy aquí
Museum fiction en el Centro Pompidou
Afectada por pensamientos negativos, Emma se pierde en el Centro Pompidou. A lo largo de un camino que la conduce hasta el último piso, sus preocupaciones se desvanecen a medida que ella asciende por encima de la ciudad. Un paseo en gravedad cero y en relieve sonoro por las galerías del museo.Este programa se beneficia de un sonido binaural por un efecto de relieve en 3D : escuche con auriculares !En coproducción con el Centro Pompidou - revisar la pestaña museum fictions de la aplicación gratuita del Centro Pompidou para encontrar otras creaciones.
Grabaciónes : enero de 2016 - Realización : Samuel Hirsch - Texto : Emma Broughton - Voz : Claire Rappin
397 - Je suis ici
Museum fiction au Centre Pompidou
Emma se perd dans le Centre Pompidou. Au fil d'un parcours qui la conduit jusqu'à la terrasse, ses inquiétudes s'évaporent alors qu'elle s'élève au-dessus de la ville. Une promenade en relief sonore dans les galeries du musée. Ce programme bénéficie d'un son binaural pour un effet de relief en 3D : à écouter au casque !Une coproduction avec le Centre Pompidou - à retrouver avec d'autres créations dans l'onglet "Museum Fiction" sur l'appli gratuite du Centre Pompidou.
Enregistrements : janvier 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Emma Broughton
393 - Je suis ici
Museum fiction au Centre Pompidou
Emma se perd dans le Centre Pompidou. Au fil d'un parcours qui la conduit jusqu'à la terrasse, ses inquiétudes s'évaporent alors qu'elle s'élève au-dessus de la ville. Une promenade en relief sonore dans les galeries du musée. Ce programme bénéficie d'un son binaural pour un effet de relief en 3D : à écouter au casque !Une coproduction avec le Centre Pompidou - à retrouver avec d'autres créations dans l'onglet "Museum Fiction" sur l'appli gratuite du Centre Pompidou.
Enregistrements : janvier 16 - Réalisation : Samuel Hirsch - Texte & voix : Emma Broughton
396 - Après Robert
En vie (9 et fin) : l'héritage de mon père
Marine, 25 ans, range les photos de son père dans son studio. Robert est décédé il y a quelques mois. Elle évoque leur relation, la photo comme transmission, les mots qu’ils ne se sont jamais dits.Robert, 73 ans, était atteint d'un cancer du poumon de stade IV. Depuis cette nouvelle il portait un regard neuf sur son existence. Souvenirs, espoirs et combats : d'un épisode à l'autre de la série En vie, chronique du cancer Robert nous a appris ce qu'être vivant veut dire.
Enregistrements : octobre 15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Elise Andrieu
392 - Après Robert
En vie (9 et fin) : l'héritage de mon père
Marine, 25 ans, range les photos de son père dans son studio. Robert est décédé il y a quelques mois. Elle évoque leur relation, la photo comme transmission, les mots qu’ils ne se sont jamais dits.Robert, 73 ans, était atteint d'un cancer du poumon de stade IV. Depuis cette nouvelle il portait un regard neuf sur son existence. Souvenirs, espoirs et combats : d'un épisode à l'autre de la série En vie, chronique du cancer Robert nous a appris ce qu'être vivant veut dire.
Enregistrements : octobre 15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Elise Andrieu
391 - Radio Fantazio en Inde
Bollywood style feat. Indus Bandits
<p>Radio Fantazio accueille les Indus bandits (Paul Jacob, guitare, et Kavitha Gopi, chant), un duo venu de Madras en Inde. Sur ce fleuve sonore plein d'ultraviolence et de douceur, vous entendrez comment les brahmanes sont les rois du software, et comment la Bhagavad Gita, joyau métaphysique disponible en livre de poche, balaye l'illusion cosmique et nous lave de toute responsabilité mal placée. Vous entendrez aussi comme nous parlons mal l'anglais.</p>
Enregistrements : juin, septembre 14 - Textes & musiques : Fantazio & Julien Boudart - Guitare : Paul Jacob - Chant : Kavitha Gopi - Réalisation : Julien Boudart & Arnaud Forest
339 - Radio Fantazio en Inde
Bollywood style feat. Indus Bandits
Radio Fantazio accueille les Indus bandits (Paul Jacob, guitare, et Kavitha Gopi, chant), un duo venu de Madras en Inde. Sur ce fleuve sonore plein d'ultraviolence et de douceur, vous entendrez comment les brahmanes sont les rois du software, et comment la Bhagavad Gita, joyau métaphysique disponible en livre de poche, balaye l'illusion cosmique et nous lave de toute responsabilité mal placée. Vous entendrez aussi comme nous parlons mal l'anglais.
Enregistrements : juin, septembre 14 - Textes & musiques : Fantazio & Julien Boudart - Guitare : Paul Jacob - Chant : Kavitha Gopi - Réalisation : Julien Boudart & Arnaud Forest
395 - Allons z'enfants (5) : l'autre François
Le petit François a confiance
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (5) : l'autre François Voeux radiotélévisés aux Français de François Hollande le 31 décembre 2014, dits par Joseph, 8 ans.
Enregistrements : juin 15 - Voix : Joseph - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
390 - Allons z'enfants (5) : l'autre François
Le petit François a confiance
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (5) : l'autre François Voeux radiotélévisés aux Français de François Hollande le 31 décembre 2014, dits par Joseph, 8 ans.
Enregistrements : juin 15 - Voix : Joseph - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
389 - Allons z'enfants (4) : Nicolas
Le petit Nicolas aime le travail
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (4) : NicolasVoeux radiotélévisés aux Français de Nicolas Sarkozy le 31 décembre 2008, dits par Béline (6 ans)
Enregistrements : juin 15 - Voix : Béline - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
389 - Allons z'enfants (4) : Nicolas
Le petit Nicolas aime le travail
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (4) : NicolasVoeux radiotélévisés aux Français de Nicolas Sarkozy le 31 décembre 2008, dits par Béline (6 ans)
Enregistrements : juin 15 - Voix : Béline - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
394 - Allons z'enfants (3) : Jacques
Le petit Jacques a peur de l'overdose
Les enfants disent les discours des présidents, de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (3) : JacquesDiscours de Jacques Chirac prononcé le 19 juin 1991 à Orléans à l’occasion d’un dîner-débat du RPR, par la voix de Mehdi (10 ans).
Enregistrements : Automne 15 - Voix : Mehdi (10 ans) - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
388 - Allons z'enfants (3) : Jacques
Le petit Jacques a peur de l'overdose
Les enfants disent les discours des présidents, de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (3) : JacquesDiscours de Jacques Chirac prononcé le 19 juin 1991 à Orléans à l’occasion d’un dîner-débat du RPR, par la voix de Mehdi (10 ans).
Enregistrements : Automne 15 - Voix : Mehdi (10 ans) - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno


392 - Y'a deux écoles (4) : l'autre rive
Delphine va-t-elle résister à la tentation du privé ? - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Chaque matin, Delphine Saltel emprunte avec ses filles le chemin de l’école. Mais à un moment le flot des familles se divise en deux. Beaucoup de parents, y compris d’origine étrangère et de milieu populaire, ont fait pour leurs enfants le choix du privé. Delphine a choisi l’école publique où ses filles sont parmi les rares « blanches » de leur classe. Pourquoi choisit-on une école plutôt que l’autre ? Que dit la sociologie ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants, des spécialistes et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant. Delphine Saltel est documentariste sonore (Journal d’une jeune prof, Une amie de trente ans sur ARTE Radio). Elle a reçu le prix des radios francophones pour le Journal de Mohammed et Yi sur France Culture. Y'a deux écoles (4 et fin) : Où la mère laïque et obligatoire est tentée par le privé.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


387 - Y'a deux écoles (4) : l'autre rive
Delphine va-t-elle résister à la tentation du privé ? - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Chaque matin, Delphine Saltel emprunte avec ses filles le chemin de l’école. Mais à un moment le flot des familles se divise en deux. Beaucoup de parents, y compris d’origine étrangère et de milieu populaire, ont fait pour leurs enfants le choix du privé. Delphine a choisi l’école publique où ses filles sont parmi les rares « blanches » de leur classe. Pourquoi choisit-on une école plutôt que l’autre ? Que dit la sociologie ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants, des spécialistes et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant. Delphine Saltel est documentariste sonore (Journal d’une jeune prof, Une amie de trente ans sur ARTE Radio). Elle a reçu le prix des radios francophones pour le Journal de Mohammed et Yi sur France Culture. Y'a deux écoles (4 et fin) : Où la mère laïque et obligatoire est tentée par le privé.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio
393 - Allons z'enfants (2) : François
Le petit François va partir
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (2) : FrançoisDerniers voeux aux Français de M. François Mitterrand le 31 décembre 1994, dits par Béline (6 ans).
Enregistrements : juillet 15 - Voix : Béline - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
386 - Allons z'enfants (2) : François
Le petit François va partir
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (2) : FrançoisDerniers voeux aux Français de M. François Mitterrand le 31 décembre 1994, dits par Béline (6 ans).
Enregistrements : juillet 15 - Voix : Béline - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
391 - Y'a deux écoles (3) : les vases communicants
Parents rebeus, parents bobos - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Une mère immigrée qui se prive pour mettre ses enfants dans le privé. Des bobos qui insistent pour garder leurs ados dans le public. La vie est surprenante quand on lui tend une perche. Pourquoi les Blancs ont-ils déserté l'école publique du quartier ? Pourquoi les parents immigrés se sacrifient pour mettre leurs enfants dans le privé ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant.Delphine Saltel est documentariste sonore (Journal d’une jeune prof, Une amie de trente ans sur ARTE Radio). Elle a reçu le prix des radios francophones pour le Journal de Mohammed et Yi sur France Culture.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio
385 - Y'a deux écoles (3) : les vases communicants
Parents rebeus, parents bobos - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Une mère immigrée qui se prive pour mettre ses enfants dans le privé. Des bobos qui insistent pour garder leurs ados dans le public. La vie est surprenante quand on lui tend une perche. Pourquoi les Blancs ont-ils déserté l'école publique du quartier ? Pourquoi les parents immigrés se sacrifient pour mettre leurs enfants dans le privé ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant.Delphine Saltel est documentariste sonore (Journal d’une jeune prof, Une amie de trente ans sur ARTE Radio). Elle a reçu le prix des radios francophones pour le Journal de Mohammed et Yi sur France Culture.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio
390 - Allons z'enfants (1) : Valéry
Le petit Valéry fait ses adieux
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (1) : ValéryAllocution télévisée de désinvestiture de M. Valéry Giscard d’Estaing le 19 mai 1981, dite par Joseph (8 ans).
Enregistrements : juillet 15 - Voix : Joseph - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
384 - Allons z'enfants (1) : Valéry
Le petit Valéry fait ses adieux
Les enfants disent les discours des présidents : de Valéry à François en passant par François, Jacques et Nicolas. Une autre façon d'entendre la parole politique, ses effets de style, ses formules et ses redites. Allons z'enfants (1) : ValéryAllocution télévisée de désinvestiture de M. Valéry Giscard d’Estaing le 19 mai 1981, dite par Joseph (8 ans).
Enregistrements : juillet 15 - Voix : Joseph - Réalisation & mix : Nicolas Guadagno
388 - Y'a deux écoles (2) : le passage à niveau
Ecole publique ou école privée ? Enquête intime - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Y'a deux écoles (2) : le passage à niveau. Où la mère inquiète cherche le réconfort chez les parents d'élèves et la sociologie. Beaucoup de parents, y compris d’origine étrangère et de milieu populaire, ont fait pour leurs enfants le choix du privé. Delphine a choisi l’école publique où ses filles sont parmi les rares « blanches » de leur classe. Pourquoi choisit-on une école plutôt que l’autre ? Que dit la sociologie ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants, des spécialistes et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation & voix : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio
383 - Y'a deux écoles (2) : le passage à niveau
Ecole publique ou école privée ? Enquête intime - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Y'a deux écoles (2) : le passage à niveau. Où la mère inquiète cherche le réconfort chez les parents d'élèves et la sociologie. Beaucoup de parents, y compris d’origine étrangère et de milieu populaire, ont fait pour leurs enfants le choix du privé. Delphine a choisi l’école publique où ses filles sont parmi les rares « blanches » de leur classe. Pourquoi choisit-on une école plutôt que l’autre ? Que dit la sociologie ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants, des spécialistes et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation & voix : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


387 - Y'a deux écoles (1) : les deux fleuves
Le choix de l'école raconté à la première personne - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Chaque matin, Delphine Saltel emprunte avec ses filles le chemin de l’école. Mais à un moment le flot des familles se divise en deux. Beaucoup de parents, y compris d’origine étrangère et de milieu populaire, ont fait pour leurs enfants le choix du privé. Delphine a choisi l’école publique où ses filles sont parmi les rares « blanches » de leur classe. Pourquoi choisit-on une école plutôt que l’autre ? Que dit la sociologie ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants, des spécialistes et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant. Delphine Saltel est documentariste sonore (Journal d’une jeune prof, Une amie de trente ans sur ARTE Radio). Elle a reçu le prix des radios francophones pour le Journal de Mohammed et Yi sur France Culture. Y'a deux écoles (1) : les deux fleuves. Où le flot des enfants se sépare en deux, et où la mère distingue la couleur des eaux.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio


382 - Y'a deux écoles (1) : les deux fleuves
Le choix de l'école raconté à la première personne - Prix Longueur d’ondes de la création documentaire 2017
Chaque matin, Delphine Saltel emprunte avec ses filles le chemin de l’école. Mais à un moment le flot des familles se divise en deux. Beaucoup de parents, y compris d’origine étrangère et de milieu populaire, ont fait pour leurs enfants le choix du privé. Delphine a choisi l’école publique où ses filles sont parmi les rares « blanches » de leur classe. Pourquoi choisit-on une école plutôt que l’autre ? Que dit la sociologie ? Et que valent mes convictions face au réel ? En interrogeant des parents, des enfants, des spécialistes et ses propres angoisses, Delphine Saltel pose à la première personne les enjeux d’un débat brûlant. Delphine Saltel est documentariste sonore (Journal d’une jeune prof, Une amie de trente ans sur ARTE Radio). Elle a reçu le prix des radios francophones pour le Journal de Mohammed et Yi sur France Culture. Y'a deux écoles (1) : les deux fleuves. Où le flot des enfants se sépare en deux, et où la mère distingue la couleur des eaux.
Enregistrements : 14-15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio