

292 - Kenneth Koo — Co-fondateur d’ORRIS — Transformer le savon en objet de luxe
Présentation de l’invité :
Faire d’un pain de savon solide, un objet de luxe désirable : c’est la mission que se sont lancés Kenneth Koo et Lani Le Berre, fondateurs de la marque parisienne ORRIS. Déçu par le manque de sensorialité et d’efficacité des produits du commerce que Kenneth utilisait pour soigner ses problèmes de peau, il décide un jour de fabriquer ses propres savons. Réalisés artisanalement dans le Sud de la France à partir de produits végétaux d'exception, les savons ORRIS perpétuent des savoir-faire ancestraux et s’inspirent de pratiques holistiques comme l’herboristerie, l’ayurveda et les rituels de purification japonais. Découvrez dans ce nouvel épisode, le parcours de Kenneth Koo et comment il est parvenu à faire de ce side project, une marque désirable qui réinvente notre rapport à cet objet pourtant si quotidien, si banal qu’est le savon.
« Lorsque j’ai débuté mes recherches, je savais à peine ce qu’était un savon, car contrairement à la France, le Canada n’a pas cette culture du savon solide. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation de Kenneth Koo
Son stage dans une galerie d’art puis chez Bird Production
Ses débuts de free-lance
Son poste à la production d’image et à l’achat d’art aux Galeries Lafayette
Le parcours de Lani Le Berre, la co-fondatrice
Pourquoi ils ont créé ORRIS
L’importance de créer un univers visuel fort
La structuration de leur business model
Leur ADN, leur vision
Leur modèle de distribution
L’importance de former les équipes de vente
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« Même avant notre lancement, on faisait en sorte de poster de belles images sur Instagram pour construire un univers visuel fort autour de la marque. Les gens étaient curieux et nous suivaient sans vraiment savoir ce que nous allions proposer. »
« Les graphistes auxquels nous avons fait appel, travaillaient uniquement pour des galeries et des musées, pas du tout dans le packaging et le e-commerce, mais c’est ça qui nous a plu, car ils étaient comme nous, inspirés par le monde de l’art. »
« Il faut vraiment former les personnes qui vendront ton produit pour qu’ils se sentent investis : s' ils ne comprennent pas pourquoi ton produit est spécial, ça restera un savon sur une étagère. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références :
Orris : https://orrisparis.com/fr
Carton Magazine : http://cartonmagazine.com/
Bird Production : https://bird-production.com/news/
Barnabé Fillion : https://barnabefillion.com/


292 - [EXTRAIT] Kenneth Koo sur la construction d’un univers visuel fort
Présentation de l’invité :
Faire d’un pain de savon solide, un objet de luxe désirable : c’est la mission que se sont lancés Kenneth Koo et Lani Le Berre, fondateurs de la marque parisienne ORRIS. Déçu par le manque de sensorialité et d’efficacité des produits du commerce que Kenneth utilisait pour soigner ses problèmes de peau, il décide un jour de fabriquer ses propres savons.
Réalisés artisanalement dans le Sud de la France à partir de produits végétaux d'exception, les savons ORRIS perpétuent des savoir-faire ancestraux et s’inspirent de pratiques holistiques comme l’herboristerie, l’ayurveda et les rituels de purification japonais.
Découvrez dans ce nouvel épisode, le parcours de Kenneth Koo et comment il est parvenu à faire de ce side project, une marque désirable qui réinvente notre rapport à cet objet pourtant si quotidien, si banal qu’est le savon.
« Lorsque j’ai débuté mes recherches, je savais à peine ce qu’était un savon, car contrairement à la France, le Canada n’a pas cette culture du savon solide. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation de Kenneth Koo
Son stage dans une galerie d’art puis chez Bird Production
Ses débuts de free-lance
Son poste à la production d’image et à l’achat d’art aux Galeries Lafayette
Le parcours de Lani Le Berre, la co-fondatrice
Pourquoi ils ont créé ORRIS
L’importance de créer un univers visuel fort
La structuration de leur business model
Leur ADN, leur vision
Leur modèle de distribution
L’importance de former les équipes de vente
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« Même avant notre lancement, on faisait en sorte de poster de belles images sur Instagram pour construire un univers visuel fort autour de la marque. Les gens étaient curieux et nous suivaient sans vraiment savoir ce que nous allions proposer. »
« Les graphistes auxquels nous avons fait appel, travaillaient uniquement pour des galeries et des musées, pas du tout dans le packaging et le e-commerce, mais c’est ça qui nous a plu, car ils étaient comme nous, inspirés par le monde de l’art. »
« Il faut vraiment former les personnes qui vendront ton produit pour qu’ils se sentent investis : s' ils ne comprennent pas pourquoi ton produit est spécial, ça restera un savon sur une étagère. »
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Références :
Orris : https://orrisparis.com/fr
Carton Magazine : http://cartonmagazine.com/
Bird Production : https://bird-production.com/news/
Barnabé Fillion : https://barnabefillion.com/


291 - Elena Feit et Alexia Hanemian — Fondatrices de The Ethiquette — Faire renaître l’élégance française et le rêve parisien.
Présentation des invitées :
Excellence, éco-responsabilité, rareté et féminité, telles sont les valeurs de la maison de couture parisienne The Ethiquette. Fondée par Elena Feit et Alexia Hanemian, The Ethiquette transforme des chutes de tissu et des fins de rouleau de maison de haute-couture, en pièces uniques ou en éditions limitées fabriquées à Paris pour des femmes élégantes et cosmopolites qui cherchent à concilier mode et préservation de l’environnement.Découvrez dans cet épisode le parcours de ces deux entrepreneures et comment elles sont parvenues à concilier luxe et durabilité dans un monde qui aurait plutôt tendance à les dissocier.
« Ethiquette est un jeu de mot entre éthique et étiquette : c’est ce nouvel art de vivre à la française qui se doit d’être plus responsable tout en restant sexy, élégant et parisien. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours d’Elena, puis d’Alexia
Leur premier business model
Comment gérer les débuts d’une marque malgré le Covid
Leur principe du “prêt-à-couture”
Comment réussir à convaincre lorsque l’on vend sur internet
L'évolution de leur stratégie
Leur ouverture à l’international
Ce qu’elles auraient voulu savoir avant de se lancer dans le wholesale
Leur plateforme de marque
Leurs différents canaux d’acquisition
Leurs ateliers de confection parisiens
Leurs projets futurs
Qui elles souhaiteraient entendre dans ce podcast
« L’image de la femme The Ethiquette, c’est une femme qui entre dans un évènement et tout le monde s’arrête et la regarde. »
« À partir du moment où les clientes ont vu la pièce en vrai, elles connaissent notre qualité et vont naturellement sur notre site pour continuer d'acheter d'autres pièces. »
« On veut vraiment rester sur une production parisienne, car d’un côté, il y a le local, le savoir-faire français et de l’autre, une certaine flexibilité où pour chaque production lancée, on peut facilement aller checker l’intégralité des pièces. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références :
L’ESSCA : https://www.essca.fr/
L’Atelier de Sèvres : https://www.atelierdesevres.com/
L’IFM (anciennement l’École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne) : https://www.ifmparis.fr/fr/opinion/decouvrez-l-ecole-de-la-chambre-syndicale-et-ses-programmes
UAL (University of the Arts London) : https://www.arts.ac.uk/colleges/central-saint-martins
Fashion Revolution : https://www.fashionrevolution.org/europe/france/
Première Classe : https://whosnext.com/fr/premiere-classe
La Caserne : https://www.lacaserneparis.com/
Modemonline : https://www.modemonline.com/


291 - [EXTRAIT] Elena Feit et Alexia Hanemian à propos de leur sourcing auprès des maisons de haute-couture.
Présentation des invitées :
Excellence, éco-responsabilité, rareté et féminité, telles sont les valeurs de la maison de couture parisienne The Ethiquette.
Fondée par Elena Feit et Alexia Hanemian, The Ethiquette transforme des chutes de tissu et des fins de rouleau de maison de haute-couture, en pièces uniques ou en éditions limitées fabriquées à Paris pour des femmes élégantes et cosmopolites qui cherchent à concilier mode et préservation de l’environnement.
Découvrez dans cet épisode le parcours de ces deux entrepreneures et comment elles sont parvenues à concilier luxe et durabilité dans un monde qui aurait plutôt tendance à les dissocier.
« Ethiquette est un jeu de mot entre éthique et étiquette : c’est ce nouvel art de vivre à la française qui se doit d’être plus responsable tout en restant sexy, élégant et parisien. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours d’Elena, puis d’Alexia
Leur premier business model
Comment gérer les débuts d’une marque malgré le Covid
Leur principe du “prêt-à-couture”
Comment réussir à convaincre lorsque l’on vend sur internet
L'évolution de leur stratégie
Leur ouverture à l’international
Ce qu’elles auraient voulu savoir avant de se lancer dans le wholesale
Leur plateforme de marque
Leurs différents canaux d’acquisition
Leurs ateliers de confection parisiens
Leurs projets futurs
Qui elles souhaiteraient entendre dans ce podcast
« L’image de la femme The Ethiquette, c’est une femme qui entre dans un évènement et tout le monde s’arrête et la regarde. »
« À partir du moment où les clientes ont vu la pièce en vrai, elles connaissent notre qualité et vont naturellement sur notre site pour continuer d'acheter d'autres pièces. »
« On veut vraiment rester sur une production parisienne, car d’un côté, il y a le local, le savoir-faire français et de l’autre, une certaine flexibilité où pour chaque production lancée, on peut facilement aller checker l’intégralité des pièces. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !
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Références :
L’ESSCA : https://www.essca.fr/
L’Atelier de Sèvres : https://www.atelierdesevres.com/
L’IFM (anciennement l’École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne) : https://www.ifmparis.fr/fr/opinion/decouvrez-l-ecole-de-la-chambre-syndicale-et-ses-programmes
UAL (University of the Arts London) : https://www.arts.ac.uk/colleges/central-saint-martins
Fashion Revolution : https://www.fashionrevolution.org/europe/france/
Première Classe : https://whosnext.com/fr/premiere-classe
La Caserne : https://www.lacaserneparis.com/
Modemonline : https://www.modemonline.com/


290 - [EXTRAIT] Alice Roca — Fondatrice d’Alice in Food — Comment se construire une légitimité dans la food lorsque l’on ne vient pas de ce milieu.
>>>>>>>>>> À l’occasion de la sortie de ma formation “Le Nouveau Modèle™ : Le guide pour créer et lancer sa marque en partant de zéro”, Vous bénéficiez de 200,00 euros offerts jusqu’au 17 novembre 2022 :) <<<<<<<<<<<<<<
Cuisinière, styliste, directrice artistique et auteure culinaire : c’est en véritable passionnée de cuisine, d’écologie, d’art et de mode qu’Alice Roca (plus connue sous le nom d’Alice in Food) nous plonge à travers son blog et son compte Instagram dans un univers champêtre, gourmand et chaleureux où il fait bon vivre.
Après avoir travaillé en tant que styliste pour Comptoir des Cotonniers ou encore Paul Ka, Alice s’en va à la campagne et se lance dès 2014 dans la création d’un blog culinaire où elle y partage des recettes inspirées de ses souvenirs d’enfance et des multiples végétaux qui peuplent son potager.
C’est donc tout naturellement qu’elle crée en 2016 son compte Instagram @aliceinfood et poursuit sa quête du beau et du bon à travers de multiples projets et collaborations.
« De la même manière que j’assemble un tee-shirt avec un gilet, ou bien telle couleur avec telle paire de chaussures, j’ai l’impression que c’est la même chose lorsque je compose une assiette ou que je pense un plat. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation d’Alice Roca
Devenir styliste, un rêve d’enfant
Ses études à Duperré
Son premier job en tant qu’assistante rédactrice au ELLE
Son travail chez Comptoir des cotonniers puis Paul KA
Son arrivée à la campagne et ses débuts en tant que free-lance
Ses collaborations avec Guillaume Henry
Le lancement de son blog en 2014 puis de son compte Instagram en 2016
Comment construire sa légitimité lorsqu’on ne vient pas de la food
Son livre “À ma table”
Les codes de sa cuisine
Ce qui fait une bonne recette
Ses collaborations avec les marques
Comment trouver son équilibre entre vie pro et vie perso
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Je pense que c’est en faisant les choses qu’on lutte contre la comparaison et que l’on reste créatif, ce qui ne veut pas dire qu’il faut s’empêcher de regarder ce que font les autres. »
« J’ai toujours pensé un produit en me projetant dedans. »
« Le travail que je fais avec les marques, c’est de la création de contenu. On vient me chercher pour mon univers et ça, ça change tout : quand j’étais styliste, je travaillais pour une marque et on me choisissait pour ma personnalité et ma créativité, mais je devais me plier à l’univers de la marque, aujourd’hui, c’est l’inverse. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode
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Références :
Instagram: https://www.instagram.com/aliceinfood/?hl=fr
Son blog : https://www.aliceroca.com/blog
Son livre “À ma table” : https://merci-merci.com/products/livre-alice-in-food
Duperré : https://duperre.org/
Comptoir des cotonniers : https://www.comptoirdescotonniers.com/
Paul Ka : https://www.pauleka.com/fr_fr
SO/Paris : https://soparis.com/
Cheval blanc : https://www.chevalblanc.com
Milk magazine : https://www.milkmagazine.net/food-chez-alice-roca/
The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com/familles/verneuil-sur-avre/normandie-chez-alice-roca-styliste-fondatrice-alice-in-food/
Laila Gohar : https://www.instagram.com/lailacooks/?hl=fr
Agence La relève : https://www.agence-lareleve.com/
Miss Maggie’s kitchen : https://www.missmaggieskitchen.com/


290 - Alice Roca — Fondatrice d’Alice in Food — Faire dialoguer mode et cuisine.
>>>>>>>>>> À l’occasion de la sortie de ma formation “Le Nouveau Modèle™ : Le guide pour créer et lancer sa marque en partant de zéro”, Vous bénéficiez de 200,00 euros offerts jusqu’au 17 novembre 2022 :) <<<<<<<<<<<<<<
Cuisinière, styliste, directrice artistique et auteure culinaire : c’est en véritable passionnée de cuisine, d’écologie, d’art et de mode qu’Alice Roca (plus connue sous le nom d’Alice in Food) nous plonge à travers son blog et son compte Instagram dans un univers champêtre, gourmand et chaleureux où il fait bon vivre.
Après avoir travaillé en tant que styliste pour Comptoir des Cotonniers ou encore Paul Ka, Alice s’en va à la campagne et se lance dès 2014 dans la création d’un blog culinaire où elle y partage des recettes inspirées de ses souvenirs d’enfance et des multiples végétaux qui peuplent son potager.
C’est donc tout naturellement qu’elle crée en 2016 son compte Instagram @aliceinfood et poursuit sa quête du beau et du bon à travers de multiples projets et collaborations.
« De la même manière que j’assemble un tee-shirt avec un gilet, ou bien telle couleur avec telle paire de chaussures, j’ai l’impression que c’est la même chose lorsque je compose une assiette ou que je pense un plat. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation d’Alice Roca
Devenir styliste, un rêve d’enfant
Ses études à Duperré
Son premier job en tant qu’assistante rédactrice au ELLE
Son travail chez Comptoir des cotonniers puis Paul KA
Son arrivée à la campagne et ses débuts en tant que free-lance
Ses collaborations avec Guillaume Henry
Le lancement de son blog en 2014 puis de son compte Instagram en 2016
Comment construire sa légitimité lorsqu’on ne vient pas de la food
Son livre “À ma table”
Les codes de sa cuisine
Ce qui fait une bonne recette
Ses collaborations avec les marques
Comment trouver son équilibre entre vie pro et vie perso
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Je pense que c’est en faisant les choses qu’on lutte contre la comparaison et que l’on reste créatif, ce qui ne veut pas dire qu’il faut s’empêcher de regarder ce que font les autres. »
« J’ai toujours pensé un produit en me projetant dedans. »
« Le travail que je fais avec les marques, c’est de la création de contenu. On vient me chercher pour mon univers et ça, ça change tout : quand j’étais styliste, je travaillais pour une marque et on me choisissait pour ma personnalité et ma créativité, mais je devais me plier à l’univers de la marque, aujourd’hui, c’est l’inverse. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références :
Instagram: https://www.instagram.com/aliceinfood/?hl=fr
Son blog : https://www.aliceroca.com/blog
Son livre “À ma table” : https://merci-merci.com/products/livre-alice-in-food
Duperré : https://duperre.org/
Comptoir des cotonniers : https://www.comptoirdescotonniers.com/
Paul Ka : https://www.pauleka.com/fr_fr
SO/Paris : https://soparis.com/
Cheval blanc : https://www.chevalblanc.com
Milk magazine : https://www.milkmagazine.net/food-chez-alice-roca/
The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com/familles/verneuil-sur-avre/normandie-chez-alice-roca-styliste-fondatrice-alice-in-food/
Laila Gohar : https://www.instagram.com/lailacooks/?hl=fr
Agence La relève : https://www.agence-lareleve.com/
Miss Maggie’s kitchen : https://www.missmaggieskitchen.com/


294 - Jérôme Sans — Directeur artistique et créateur d’institutions — Une approche pionnière et transversale de la culture et de l’exposition.
Du rythme, de l’âme, une vibration, un discours : tels sont les ingrédients nécessaires pour une exposition réussie selon Jérôme Sans, curateur, directeur artistique et directeur d’institutions.
Reconnu pour avoir co-fondé le Palais de Tokyo, dirigé l’Ullens Center for Contemporary Art (UCCA) à Pékin ou encore le magazine l’Officiel Art, Jérôme Sans est un véritable outsider que rien ne prédestinait à ce milieu. C’est grâce à son approche innovante de l’art et de ses espaces d’exposition qu’il a su réinventer à de multiples reprises, la façon dont le public et les institutions appréhendent les œuvres d’art.
« Une bonne exposition, c’est une exposition qui a du rythme, une âme, une vibration et un discours. S’il y a juste un discours, c’est un peu plat, s’il y a juste une vibration, c’est sympathique. Une bonne exposition, ça doit vous secouer un petit peu. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation de Jérôme Sans
Son parcours scolaire
Son entrée dans le monde de l’art
Pourquoi il n’est pas devenu artiste
Ses voyages aux États-Unis, à Londres et en Asie
Comment lui et Nicolas Bourriaud ont cofondé le Palais de Tokyo
La particularité de ce centre d’art
Comment les artistes sont sélectionnés
Comment faire sa place dans la monde de l’art
Pas de succès sans catastrophe
Qu’est-ce qu’une bonne exposition
Comment préparer une bonne interview
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« En général, les programmations des institutions sont faites 3 à 5 ans à l’avance : en fonctionnant ainsi, vous ne pouvez pas être un miroir de ce qui se passe en direct. [Avec le Palais de Tokyo] nous voulions avoir cette réactivité, cette proximité avec l’actualité, comme un quotidien. »
« Ce qui m’intéresse, c'est de créer des outils qui seront ensuite utilisables par d’autres. »
« On mélangeait en permanence des choses que l’on avait pas prévu avec des choses que l’on avait prévu : notre programmation n’était pas rigide, mais flexible. Il y avait toujours une place pour autre chose. »
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Références:
Jérôme Sans : https://www.jeromesans.com/
Palais de Tokyo : https://palaisdetokyo.com/
7-Eleven : https://www.sej.co.jp/in/en.html
L’installation “Au cours des Mondes” par Alicja Kwade : https://www.milkdecoration.com/linstallation-au-cours-des-mondes-par-alicja-kwade-a-paris/
Purple : https://purple.fr/
Exposition Les immatériaux - Centre Pompidou : https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/cRyd8q
exposition HUMPTY\DUMPTY - Cyprien Gaillard : https://palaisdetokyo.com/exposition/humpty-dumpty/


294 - [EXTRAIT] Jérôme Sans à propos d'un monde de l'art pas si fermé
Du rythme, de l’âme, une vibration, un discours : tels sont les ingrédients nécessaires pour une exposition réussie selon Jérôme Sans, curateur, directeur artistique et directeur d’institutions.
Reconnu pour avoir co-fondé le Palais de Tokyo, dirigé l’Ullens Center for Contemporary Art (UCCA) à Pékin ou encore le magazine l’Officiel Art, Jérôme Sans est un véritable outsider que rien ne prédestinait à ce milieu. C’est grâce à son approche innovante de l’art et de ses espaces d’exposition qu’il a su réinventer à de multiples reprises, la façon dont le public et les institutions appréhendent les œuvres d’art.
« Une bonne exposition, c’est une exposition qui a du rythme, une âme, une vibration et un discours. S’il y a juste un discours, c’est un peu plat, s’il y a juste une vibration, c’est sympathique. Une bonne exposition, ça doit vous secouer un petit peu. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation de Jérôme Sans
Son parcours scolaire
Son entrée dans le monde de l’art
Pourquoi il n’est pas devenu artiste
Ses voyages aux États-Unis, à Londres et en Asie
Comment lui et Nicolas Bourriaud ont cofondé le Palais de Tokyo
La particularité de ce centre d’art
Comment les artistes sont sélectionnés
Comment faire sa place dans la monde de l’art
Pas de succès sans catastrophe
Qu’est-ce qu’une bonne exposition
Comment préparer une bonne interview
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« En général, les programmations des institutions sont faites 3 à 5 ans à l’avance : en fonctionnant ainsi, vous ne pouvez pas être un miroir de ce qui se passe en direct. [Avec le Palais de Tokyo] nous voulions avoir cette réactivité, cette proximité avec l’actualité, comme un quotidien. »
« Ce qui m’intéresse, c'est de créer des outils qui seront ensuite utilisables par d’autres. »
« On mélangeait en permanence des choses que l’on avait pas prévu avec des choses que l’on avait prévu : notre programmation n’était pas rigide, mais flexible. Il y avait toujours une place pour autre chose. »
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Références:
Jérôme Sans : https://www.jeromesans.com/
Palais de Tokyo : https://palaisdetokyo.com/
7-Eleven : https://www.sej.co.jp/in/en.html
L’installation “Au cours des Mondes” par Alicja Kwade : https://www.milkdecoration.com/linstallation-au-cours-des-mondes-par-alicja-kwade-a-paris/
Purple : https://purple.fr/
Exposition Les immatériaux - Centre Pompidou : https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/cRyd8q
exposition HUMPTY\DUMPTY - Cyprien Gaillard : https://palaisdetokyo.com/exposition/humpty-dumpty/


289 - [EXTRAIT] Marie Dewet à propos de sa stratégie de dotation produit
Créée en 2016, MaisonCléo est une marque de mode « made in Pas-de-Calais » qui propose des pièces aussi audacieuses que singulières. Adoubée dès ses débuts par la blogueuse Leandra Medine et le mannequin Emily Ratajkowski, MaisonCléo a réussi le pari de proposer, en quelques années seulement, une mode désirable et engagée, réalisée à partir de chutes de tissus provenant de Maisons de Couture et d’usines françaises.
Pas de collections, pas de stocks : seules les envies et les inspirations de Marie Dewet dictent la création de ses pièces réalisées sur commande et sur mesure dans ses propres ateliers, situés dans le quartier du Vieux-Lille.
« Mon engouement pour la mode a commencé vers mes 13/14 ans : j’étais en vacances et ma mère m’a acheté sans que je le demande le Vogue US et c’est vraiment à partir de ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser à la mode. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Présentation de Marie Dewet
La couture, une histoire familiale
Ses études d’anglais, puis de communication
Ses premiers stages à Paris chez Emmanuelle Lebas, puis Mode Trotter
Son premier post chez Vestiaire Collective
Les débuts fulgurants de MaisonCléo
La commande de Leandra Medine
L’article dans le Vogue US
Emily Ratajkowski et la blouse Agnès
Le principe de son ticket de caisse
L’arrivée de Ludivine (d’abord mannequin puis bras droit)
Son système de production et de sourcing
Sa collection pour Opening Ceremony
Ses collections exclusives pour NET-A-PORTER
Sa collaboration avec Printemps
Ses deux collections capsules pour Selfridges
L’orchestration d’un défilé
Son engagement contre la fast-fashion
Son processus créatif
Son amour pour le sur-mesure
Pourquoi elle offre des pièces à des influenceuses de fast fashion
Les marques qui l’inspirent
« En 2016, je postais sur Instagram les vêtements que ma mère me faisait et petit à petit les gens me demandaient s’ils pouvaient avoir la même pièce. »
« C’est ma mère qui est allée à l’hôtel place Vendôme déposer la blouse Agnès à Emily Ratajkowski. »
« J’ai envie de rendre le Made in France accessible aux plus grand nombres, pour faire découvrir un savoir-faire. »
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Références:
MaisonCléo : https://maisoncleo.com/
L’ISTC : https://www.istc.fr
Emmanuelle Lebas : https://www.emmanuellelebas.com/fr
Mode trotter : https://modetrotter.com/
Vestiaire collective : https://fr.vestiairecollective.com/
Son principe de ticket de caisse : https://www.instagram.com/p/CN2fnCNgfu1/?hl=fr
L’article de Leandra Medine : https://repeller.com/shopping-on-instagram/
L’article du Vogue US : https://www.vogue.com/article/maisoncleo-french-mother-daughter-clothing-emily-ratajkowski-leandra-medine
Leur collaboration avec Opening Ceremony : https://www.femmesmagazine.lu/maisoncleo-pour-opening-ceremony-exclusive-lobjet-de-desir-du-jour/
NET-A-PORTER : https://www.net-a-porter.com/
Selfridges : https://www.selfridges.com/GB/en/
L’espace Niemeyer : https://espace-niemeyer.fr/
Le défilé « Première fois » : https://fr.fashionnetwork.com/galeries/photos/Maison-Cleo,37987.html
Pavot studio : https://www.instagram.com/pavotstudio/?hl=fr
Novelty : https://www.novelty-group.com/


289 - Marie Dewet — Fondatrice de MaisonCléo — Des pièces made in France réalisées sur commande et sur mesure
Créée en 2016, MaisonCléo est une marque de mode « made in Pas-de-Calais » qui propose des pièces aussi audacieuses que singulières. Adoubée dès ses débuts par la blogueuse Leandra Medine et le mannequin Emily Ratajkowski, MaisonCléo a réussi le pari de proposer, en quelques années seulement, une mode désirable et engagée, réalisée à partir de chutes de tissus provenant de Maisons de Couture et d’usines françaises.
Pas de collections, pas de stocks : seules les envies et les inspirations de Marie Dewet dictent la création de ses pièces réalisées sur commande et sur mesure dans ses propres ateliers, situés dans le quartier du Vieux-Lille.
« Mon engouement pour la mode a commencé vers mes 13/14 ans : j’étais en vacances et ma mère m’a acheté sans que je le demande le Vogue US et c’est vraiment à partir de ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser à la mode. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Présentation de Marie Dewet
La couture, une histoire familiale
Ses études d’anglais, puis de communication
Ses premiers stages à Paris chez Emmanuelle Lebas, puis Mode Trotter
Son premier post chez Vestiaire Collective
Les débuts fulgurants de MaisonCléo
La commande de Leandra Medine
L’article dans le Vogue US
Emily Ratajkowski et la blouse Agnès
Le principe de son ticket de caisse
L’arrivée de Ludivine (d’abord mannequin puis bras droit)
Son système de production et de sourcing
Sa collection pour Opening Ceremony
Ses collections exclusives pour NET-A-PORTER
Sa collaboration avec Printemps
Ses deux collections capsules pour Selfridges
L’orchestration d’un défilé
Son engagement contre la fast-fashion
Son processus créatif
Son amour pour le sur-mesure
Pourquoi elle offre des pièces à des influenceuses de fast fashion
Les marques qui l’inspirent
« En 2016, je postais sur Instagram les vêtements que ma mère me faisait et petit à petit les gens me demandaient s’ils pouvaient avoir la même pièce. »
« C’est ma mère qui est allée à l’hôtel place Vendôme déposer la blouse Agnès à Emily Ratajkowski. »
« J’ai envie de rendre le Made in France accessible aux plus grand nombres, pour faire découvrir un savoir-faire. »
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Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode
Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !
Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références:
MaisonCléo : https://maisoncleo.com/
L’ISTC : https://www.istc.fr
Emmanuelle Lebas : https://www.emmanuellelebas.com/fr
Mode trotter : https://modetrotter.com/
Vestiaire collective : https://fr.vestiairecollective.com/
Son principe de ticket de caisse : https://www.instagram.com/p/CN2fnCNgfu1/?hl=fr
L’article de Leandra Medine : https://repeller.com/shopping-on-instagram/
L’article du Vogue US : https://www.vogue.com/article/maisoncleo-french-mother-daughter-clothing-emily-ratajkowski-leandra-medine
Leur collaboration avec Opening Ceremony : https://www.femmesmagazine.lu/maisoncleo-pour-opening-ceremony-exclusive-lobjet-de-desir-du-jour/
NET-A-PORTER : https://www.net-a-porter.com/
Selfridges : https://www.selfridges.com/GB/en/
L’espace Niemeyer : https://espace-niemeyer.fr/
Le défilé « Première fois » : https://fr.fashionnetwork.com/galeries/photos/Maison-Cleo,37987.html
Pavot studio : https://www.instagram.com/pavotstudio/?hl=fr
Novelty : https://www.novelty-group.com/


287 - Rami Mekdachi - Fondateur de Lola James Harper - Raconter une histoire à travers une expérience olfactive
Photographe, musicien, réalisateur et fondateur du projet Lola James Harper, Rami Mekdachi est ce que l’on pourrait appeler un touche-à-tout. Parcourant le monde depuis plusieurs décennies avec sa famille, il accumule images, vidéos et odeurs des lieux qu’il traverse. Ce qui pourrait rester de simples souvenirs, Rami Mekdachi le transforme en véritables expériences sensorielles : bougies, parfums d’ambiance, photographies ou encore films, chacun raconte de manière singulière l’histoire d’un lieu, d’une rencontre ou d'un simple moment de vie.
Directeur artistique pour des marques prestigieuses (Costes, Inès de la Fressange, Roger Vivier, Chloé etc.), Rami Mekdachi ne tarde pas à révolutionner le monde de l’hôtellerie en proposant dès les années 2000, des expériences olfactives uniques, pour des lieux de prestige comme l’hôtel Costes à Paris avec qui il travaille depuis plus de vingt ans.
« Quand les gens rentrent chez nous, ils comprennent tout de suite que finalement, le produit n’est pas le centre, mais que c'est plutôt la sensation qu’il procure »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Présentation de Rami Mekdachi
Sa rencontre avec Pierre Bourdon et Benoist Lapouza
Une brève histoire de la parfumerie
Sa rencontre avec Colette et Jean-Louis Costes
Le concept de parfumerie privée
L’importance du voyage dans sa vie et son travail
Son rapport à la culture libanaise
Être ado à Paris dans les 80’s
La théorie du « avec »
L’équilibre à trouver entre conscience et insouciance
Sa carrière musicale en Angleterre
Ses projets pour Lacoste, Chloé ou encore Inès de la Fressange
Comment créer une expérience olfactive pour un lieu
Les codes Lola James Harper
Le processus créatif de son film "With"
Ses piliers d’acquisition
Comment il travaille en famille
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« Un parfum d’ambiance, c’est l’odeur du lieu et ce lieu est composé d’objets : tu ne peux pas avoir une dissonance entre les objets qui composent le lieu et l’odeur qui est générée »
« L’histoire est tout aussi importante que l’odeur »
« Que ce soit la photo, la musique ou l’odeur, tout cela ne sert à rien, mais on n'est pas humain sans ça. Tous ces éléments sans intérêts sont la base de l’humanité. Être humain, c’est avoir la nécessité d’être dans le superflu, le touchant et le poétique. »
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Référence
Lola James Harper : https://www.lolajamesharper.com/fr
Colette : https://www.colettemonamour.com/
L’hôtel Costes : https://www.hotelcostes.com/fr
Le film "With" : https://www.lolajamesharper.com/fr/pages/with-the-movie
Le Bon Marché : https://www.lebonmarche.com
Pierre Bourdon : https://www.cosmopolitan.fr/,pierre-bourdon,1899610.asp
Benoist Lapouza : https://www.fragrancefoundation.org.uk/meet-the-team?category=Meet%20the%20Perfumers&name=Benoist%20Lapouza&id=38
Olivia Giacobetti : https://auparfum.bynez.com/olivia-giacobetti-parfumeur-0209


287 - [EXTRAIT] Rami Mekdachi sur les liens étroits entre musique et parfumerie
Photographe, musicien, réalisateur et fondateur du projet Lola James Harper, Rami Mekdachi est ce que l’on pourrait appeler un touche-à-tout. Parcourant le monde depuis plusieurs décennies avec sa famille, il accumule images, vidéos et odeurs des lieux qu’il traverse. Ce qui pourrait rester de simples souvenirs, Rami Mekdachi le transforme en véritables expériences sensorielles : bougies, parfums d’ambiance, photographies ou encore films, chacun raconte de manière singulière l’histoire d’un lieu, d’une rencontre ou d'un simple moment de vie.
Directeur artistique pour des marques prestigieuses (Costes, Inès de la Fressange, Roger Vivier, Chloé etc.), Rami Mekdachi ne tarde pas à révolutionner le monde de l’hôtellerie en proposant dès les années 2000, des expériences olfactives uniques, pour des lieux de prestige comme l’hôtel Costes à Paris avec qui il travaille depuis plus de vingt ans.
« Quand les gens rentrent chez nous, ils comprennent tout de suite que finalement, le produit n’est pas le centre, mais que c'est plutôt la sensation qu’il procure »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Présentation de Rami Mekdachi
Sa rencontre avec Pierre Bourdon et Benoist Lapouza
Une brève histoire de la parfumerie
Sa rencontre avec Colette et Jean-Louis Costes
Le concept de parfumerie privée
L’importance du voyage dans sa vie et son travail
Son rapport à la culture libanaise
Être ado à Paris dans les 80’s
La théorie du « avec »
L’équilibre à trouver entre conscience et insouciance
Sa carrière musicale en Angleterre
Ses projets pour Lacoste, Chloé ou encore Inès de la Fressange
Comment créer une expérience olfactive pour un lieu
Les codes Lola James Harper
Le processus créatif de son film "With"
Ses piliers d’acquisition
Comment il travaille en famille
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« Un parfum d’ambiance, c’est l’odeur du lieu et ce lieu est composé d’objets : tu ne peux pas avoir une dissonance entre les objets qui composent le lieu et l’odeur qui est générée »
« L’histoire est tout aussi importante que l’odeur »
« Que ce soit la photo, la musique ou l’odeur, tout cela ne sert à rien, mais on n'est pas humain sans ça. Tous ces éléments sans intérêts sont la base de l’humanité. Être humain, c’est avoir la nécessité d’être dans le superflu, le touchant et le poétique. »
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Référence
Lola James Harper : https://www.lolajamesharper.com/fr
Colette : https://www.colettemonamour.com/
L’hôtel Costes : https://www.hotelcostes.com/fr
Le film "With" : https://www.lolajamesharper.com/fr/pages/with-the-movie
Le Bon Marché : https://www.lebonmarche.com
Pierre Bourdon : https://www.cosmopolitan.fr/,pierre-bourdon,1899610.asp
Benoist Lapouza : https://www.fragrancefoundation.org.uk/meet-the-team?category=Meet%20the%20Perfumers&name=Benoist%20Lapouza&id=38
Olivia Giacobetti : https://auparfum.bynez.com/olivia-giacobetti-parfumeur-0209


288 - Lucie Marquand-Gairard et Léa Coussy - Fondatrices de Maestria - Une galerie d’art d’un genre nouveau
Repenser la galerie d’art : c’est le défi que se sont lancé il y a un an Lucie Marquand Gairard et Léa Coussy. Ces deux passionnées d’art, de design et de curation sont les deux fondatrices de Maestria, une galerie d’art pas comme les autres : bien loin des clichés, cette dernière va à contre-courant du sempiternel white cube en proposant au sein d’un appartement-galerie, un espace chaleureux, pensé et conçu pour accueillir et vendre le travail de jeunes artistes auprès de collectionneurs.
Grâce à une approche globale et immersive, ces deux jeunes entrepreneures proposent des collections d'œuvres d'art pensées et mises en scène autour de thématiques évoluant tous les quatre mois. Solaire, sensuel, féminin et enveloppant, voici l’ADN du projet Maestria, qui fait déjà bouger les lignes du marché de l’art contemporain.
« Parmi toutes les galeries d’art en ligne qui existent, il n’y en avait aucune qui nous parlait en tant que jeunes collectionneuses […] cela ne correspondait pas à nos goûts »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation de Lucie Marquand-Gairard
Sa découverte (par hasard) de l’ICART
Ses stages de fin d’études chez Selency et The Socialite Family
Ses débuts chez Atelier 27
Sa rencontre avec Léa Coussy
Présentation de Léa Coussy
Son stage au sein de la maison de vente Coutau-Bégarie
Son stage chez Denise René
Son départ pour l’Espagne
Son stage chez de Gournay
Présentation et fonctionnement de Maestria
L’ADN du projet
La construction d’une identité visuelle forte
Leur manière de choisir les artistes et de travailler avec eux
Comment le prix d’une oeuvre est fixé
Leurs piliers d’acquisition
D’où vient le nom Maestria
Leurs projets futurs
Les marques de luxe qui les inspirent
Qui elles aimeraient entendre dans ce podcast
« À travers le digital, il y a une transparence au niveau des prix qui n’est pas forcément voulu par tout le monde »
« Le point de départ de Maestria était de s’inspirer des codes des maisons de luxe pour les adapter au monde du marché de l’art en passant par l’expérience client, en développant un véritable univers et garder à travers l'appartement ce côté intimiste et chaleureux. »
« Maestria, c’est la maîtrise en italien. C’est l'idée d’exercer quelque chose à la perfection »
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Références :
Maestria : https://www.maestriacollection.com/
L’ICART: https://www.icart.fr/
La galerie Denise Ré : https://www.deniserene.fr/
Selency: https://www.selency.fr/
The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com/
Atelier27 : http://www.atelier27paris.com/
La maison de vente Coutau-Bégarie : https://www.coutaubegarie.com
Les papiers peints de Gournay : https://degournay.com/
Beau Gabriel : https://www.beaugabriel.net/
Atelier Deux-Cé : https://deux-ce.com/
Jacques Merle : https://www.maestriacollection.com/jacques-merleMa
Marguerite Piard : https://www.maestriacollection.com/marguerite-piard


288 - [EXTRAIT] Lucie Marquand et Gairard et L éa Coussy - S’inspirer des codes des maisons de luxe pour les adapter au monde du marché de l’art
Repenser la galerie d’art : c’est le défi que se sont lancé il y a un an Lucie Marquand Gairard et Léa Coussy. Ces deux passionnées d’art, de design et de curation sont les deux fondatrices de Maestria, une galerie d’art pas comme les autres : bien loin des clichés, cette dernière va à contre-courant du sempiternel white cube en proposant au sein d’un appartement-galerie, un espace chaleureux, pensé et conçu pour accueillir et vendre le travail de jeunes artistes auprès de collectionneurs.
Grâce à une approche globale et immersive, ces deux jeunes entrepreneures proposent des collections d'œuvres d'art pensées et mises en scène autour de thématiques évoluant tous les quatre mois. Solaire, sensuel, féminin et enveloppant, voici l’ADN du projet Maestria, qui fait déjà bouger les lignes du marché de l’art contemporain.
« Parmi toutes les galeries d’art en ligne qui existent, il n’y en avait aucune qui nous parlait en tant que jeunes collectionneuses […] cela ne correspondait pas à nos goûts »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Présentation de Lucie Marquand-Gairard
Sa découverte (par hasard) de l’ICART
Ses stages de fin d’études chez Selency et The Socialite Family
Ses débuts chez Atelier 27
Sa rencontre avec Léa Coussy
Présentation de Léa Coussy
Son stage au sein de la maison de vente Coutau-Bégarie
Son stage chez Denise René
Son départ pour l’Espagne
Son stage chez de Gournay
Présentation et fonctionnement de Maestria
L’ADN du projet
La construction d’une identité visuelle forte
Leur manière de choisir les artistes et de travailler avec eux
Comment le prix d’une oeuvre est fixé
Leurs piliers d’acquisition
D’où vient le nom Maestria
Leurs projets futurs
Les marques de luxe qui les inspirent
Qui elles aimeraient entendre dans ce podcast
« À travers le digital, il y a une transparence au niveau des prix qui n’est pas forcément voulu par tout le monde »
« Le point de départ de Maestria était de s’inspirer des codes des maisons de luxe pour les adapter au monde du marché de l’art en passant par l’expérience client, en développant un véritable univers et garder à travers l'appartement ce côté intimiste et chaleureux. »
« Maestria, c’est la maîtrise en italien. C’est l'idée d’exercer quelque chose à la perfection »
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Références :
Maestria : https://www.maestriacollection.com/
L’ICART: https://www.icart.fr/
La galerie Denise Ré : https://www.deniserene.fr/
Selency: https://www.selency.fr/
The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com/
Atelier27 : http://www.atelier27paris.com/
La maison de vente Coutau-Bégarie : https://www.coutaubegarie.com
Les papiers peints de Gournay : https://degournay.com/
Beau Gabriel : https://www.beaugabriel.net/
Atelier Deux-Cé : https://deux-ce.com/
Jacques Merle : https://www.maestriacollection.com/jacques-merleMa
Marguerite Piard : https://www.maestriacollection.com/marguerite-piard


286 - Carla Sozzani — Galeriste italienne et créatrice du 10 Corso Como à Milan — Comment Azzedine est devenu Alaïa, l’histoire d’un couturier hors-norme racontée par sa plus fidèle amie.
C’est en amie fidèle et de longue date que la galeriste italienne Carla Sozzani revient sur le parcours hors-norme du couturier Azzedine Alaïa, arrivé en 1956 à Paris pour devenir à force de persévérance, l’une des figures majeures de la mode française.
Artiste autodidacte, d'origines modestes, il a su dès ses débuts et tout au long de sa carrière s’entourer de femmes de la haute société qui lui ont donné la liberté de créer une mode exigeante et sensuelle dans laquelle elles se sentaient fortes et jamais objetisées.
Malgré sa disparition en novembre 2017, la fondation Azzedine Alaïa, co-fondée en 2007 avec Carla Sozzani pour transmettre ses connaissances et inspirer les générations futures, ne cesse de perpétuer son oeuvre et sa mémoire grâce à des conférences, cours, bourses, mais aussi de multiples expositions présentant son travail et celui des autres qu'il n'a jamais cessé de collectionner (Vionnet, Balenciaga, Schiaparelli, Patou, Chanel, etc.).
« Il avait des yeux, un sourire, une façon de s’exprimer qui était touchante (…) tout le monde aimait Azzedine »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
L’enfance d’Azzedine Alaïa
Son arrivée à Paris
Sa formation express chez Dior
Les femmes de la haute société qui l’ont aidé à se lancer
Sa rencontre avec Arletty et l’influence du cinéma dans son travail
Son admiration pour Schiaparelli
La découverte de Balenciaga
Son déménagement vers la rue Bellechasse
Son goût pour la collection et la conservation
Sa rencontre avec Greta Garbo
Sa vision du féminin
Ses débuts dans le prêt-à-porter
Sa rencontre avec Thierry Mugler
Son travail pour le Crazy Horse
Sa première collection en cuir refusée puis adoubée
Son premier défilé à New-York
Sa rencontre avec Carla Sozzani
Ses 26 ans d’apprentissage avant d’atteindre le succès
Ses 2 oscars de la mode
Sa sortie du calendrier de la mode
Son départ de la rue Bellechasse vers la rue du parc Royal
Son rapport privilégié à la cuisine
Le vocabulaire Alaïa
Son rapport au travail et son processus de création
Le rachat de sa société par Prada puis Richemont
Sa disparition en 2017
L’après Alaïa
Son projet de fondation et sa particularité
« Azzedine avait une culture instinctive très forte, il n’avait pas besoin de livre, il avait un oeil, un instinct, un sens de la beauté qui l’a accompagné toute sa vie et qui n’appartenait qu’à lui. »
«Dans le travail d’Azzedine, il y a toujours cette féminité très forte, mais il détestait le mot « sexy » il ne voulait pas que les femmes soit sexy, mais qu’elle soit féminine avant tout. »
« La collection printemps 1992 était sa collection la plus grande, la plus importante, il y avait comme un vocabulaire Alaïa là-dedans, il y avait tout »
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Références :
La fondation Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/fondation/lafondation/
Le livre L’alchimie secrète d’une collection: https://fondationazzedinealaia.org/shop/lalchimie-secrete-dune-collection/
Le prix Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/education/prix-azzedine-alaia/
L’anecdote des meubles Jean Prouvé: https://fondationazzedinealaia.org/collection/patrimoine/
L’amitié entre Thierry Mugler et Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/en/evenements/thierry-mugler-azzedine-alaia/
Alaïa et la cuisine: https://fondationazzedinealaia.org/cuisine/


286 - [EXTRAIT] Carla Sozzani à propos de la lente ascension d'Azzedine Alaïa
C’est en amie fidèle et de longue date que la galeriste italienne Carla Sozzani revient sur le parcours hors-norme du couturier Azzedine Alaïa, arrivé en 1956 à Paris pour devenir à force de persévérance, l’une des figures majeures de la mode française.
Artiste autodidacte, d'origines modestes, il a su dès ses débuts et tout au long de sa carrière s’entourer de femmes de la haute société qui lui ont donné la liberté de créer une mode exigeante et sensuelle dans laquelle elles se sentaient fortes et jamais objetisées.
Malgré sa disparition en novembre 2017, la fondation Azzedine Alaïa, co-fondée en 2007 avec Carla Sozzani pour transmettre ses connaissances et inspirer les générations futures, ne cesse de perpétuer son oeuvre et sa mémoire grâce à des conférences, cours, bourses, mais aussi de multiples expositions présentant son travail et celui des autres qu'il n'a jamais cessé de collectionner (Vionnet, Balenciaga, Schiaparelli, Patou, Chanel, etc.).
« Il avait des yeux, un sourire, une façon de s’exprimer qui était touchante (…) tout le monde aimait Azzedine »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
L’enfance d’Azzedine Alaïa
Son arrivée à Paris
Sa formation express chez Dior
Les femmes de la haute société qui l’ont aidé à se lancer
Sa rencontre avec Arletty et l’influence du cinéma dans son travail
Son admiration pour Schiaparelli
La découverte de Balenciaga
Son déménagement vers la rue Bellechasse
Son goût pour la collection et la conservation
Sa rencontre avec Greta Garbo
Sa vision du féminin
Ses débuts dans le prêt-à-porter
Sa rencontre avec Thierry Mugler
Son travail pour le Crazy Horse
Sa première collection en cuir refusée puis adoubée
Son premier défilé à New-York
Sa rencontre avec Carla Sozzani
Ses 26 ans d’apprentissage avant d’atteindre le succès
Ses 2 oscars de la mode
Sa sortie du calendrier de la mode
Son départ de la rue Bellechasse vers la rue du parc Royal
Son rapport privilégié à la cuisine
Le vocabulaire Alaïa
Son rapport au travail et son processus de création
Le rachat de sa société par Prada puis Richemont
Sa disparition en 2017
L’après Alaïa
Son projet de fondation et sa particularité
« Azzedine avait une culture instinctive très forte, il n’avait pas besoin de livre, il avait un oeil, un instinct, un sens de la beauté qui l’a accompagné toute sa vie et qui n’appartenait qu’à lui. »
«Dans le travail d’Azzedine, il y a toujours cette féminité très forte, mais il détestait le mot « sexy » il ne voulait pas que les femmes soit sexy, mais qu’elle soit féminine avant tout. »
« La collection printemps 1992 était sa collection la plus grande, la plus importante, il y avait comme un vocabulaire Alaïa là-dedans, il y avait tout »
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La fondation Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/fondation/lafondation/
Le livre L’alchimie secrète d’une collection: https://fondationazzedinealaia.org/shop/lalchimie-secrete-dune-collection/
Le prix Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/education/prix-azzedine-alaia/
L’anecdote des meubles Jean Prouvé: https://fondationazzedinealaia.org/collection/patrimoine/
L’amitié entre Thierry Mugler et Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/en/evenements/thierry-mugler-azzedine-alaia/
Alaïa et la cuisine: https://fondationazzedinealaia.org/cuisine/


282 - Vincent Dupuy et Timothée Richard— Co-Fondateurs de Choose App — La plateforme de marques à la frontière du média d’influence
“Curateurs de marques”, c’est ainsi qu’ils définissent leur métier. Ingénieurs de formation, Vincent Dupuy, Timothée Richard et Thibaut Gensollen se sont réunis au carrefour de la tech, du lifestyle et de l’e-commerce pour fonder l’application Choose.
À trois, ils ont imaginé leur modèle de plateforme de marques dans son entièreté avec comme objectif de faire découvrir de nouvelles marques quotidiennement avec une dose de cool. De la mode, la beauté en passant par la décoration et le lifestyle, leur casting se base sur l’histoire, l’identité et les valeurs de chaque entité pour en tirer la meilleure proposition d’offre.
Ils ont inscrit dans leur ADN une sensibilité média et influence loin d’être négligeable de nos jours. Bien plus qu’un outil, ils développent une communauté et accompagnent les marques dans leurs stratégies. À travers l'expérience d’un concept store digital inédit, ils offrent une vitrine attractive qui a su capter les codes de notre temps.
Aujourd’hui, Timothée et Vincent sont venus partager au micro d’Entreprendre Dans La Mode leur bon sens marketing, leur résilience à toute épreuve et leurs ambitions.
« Le but était de construire un usage de réseau social car c’est l’usage qui prédomine aujourd’hui. » Vincent Dupuy
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Vincent et Timothée se présentent
L’École des Arts et Métiers
Leurs stages
Les débuts de Choose App
Les milestones
La concurrence
Le modèle de marketplace
Le branding
Leurs marchés
Les critères de sélection de marque
L’intérêt pour les marques
Les quantités de vente
Le financement
Les commissions qu’ils prennent
Les facteurs clés d’un lancement
L’acquisition
Le parrainage
Optimiser l’usage de la plateforme de marque
L’internationalisation
La répartition des responsabilités entre les 3 co-fondateurs
La culture d’entreprise
Inventer son business model et sa culture d’entreprise
La rentabilité
Le recrutement en interne
Qui ils souhaiteraient entendre dans ce podcast
Leurs conseils pour Réuni
« On ne veut pas que Choose soit juste une plateforme ou un outil technologique, on veut le penser comme une marque. C’est à ce moment qu'on se demande quelles sont les marques qui tuent le marché et quels sont leurs codes ? »
Timothée Richard
«Si tu veux faire de l’acquisition et faire découvrir tes produits, l’objectif est de les inscrire dans la meilleure saisonnalité. » Vincent Dupuy
« Notre métier est de sélectionner le meilleur des marques dans l’univers lifestyle et de les présenter sous forme d’évènement à notre utilisateur. »
Timothée Richard
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Choose App : https://www.appchoose.io
@choose_app : https://www.instagram.com/choose_app/
Arts et Métiers : https://www.artsetmetiers.fr/fr
Berluti : https://www.berluti.com/fr-mc/homepage/
The Bradery sur EDLM : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-196-timothee-linyer-edouard-caraco-co-fondateurs-de-the-bradery-revaloriser-les-invendus-dans-une-logique-vertueuse-043d0a9d46ff
Dream Team, Ludovic Girodon : https://www.ludovic-girodon.com/a-propos/
Fashion Jobs : https://fr.fashionjobs.com
Welcome to the Jungle : https://www.welcometothejungle.com/fr
Sarah Andelman sur EDLM : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-88-sarah-andelman-colette-just-an-idea--12a2b9f488ae


282 - [EXTRAIT] Vincent Dupuy et Timothée Richardà propos de l'optimisation des usages de la plateforme de marques
“Curateurs de marques”, c’est ainsi qu’ils définissent leur métier. Ingénieurs de formation, Vincent Dupuy, Timothée Richard et Thibaut Gensollen se sont réunis au carrefour de la tech, du lifestyle et de l’e-commerce pour fonder l’application Choose.
À trois, ils ont imaginé leur modèle de plateforme de marques dans son entièreté avec comme objectif de faire découvrir de nouvelles marques quotidiennement avec une dose de cool. De la mode, la beauté en passant par la décoration et le lifestyle, leur casting se base sur l’histoire, l’identité et les valeurs de chaque entité pour en tirer la meilleure proposition d’offre.
Ils ont inscrit dans leur ADN une sensibilité média et influence loin d’être négligeable de nos jours. Bien plus qu’un outil, ils développent une communauté et accompagnent les marques dans leurs stratégies. À travers l'expérience d’un concept store digital inédit, ils offrent une vitrine attractive qui a su capter les codes de notre temps.
Aujourd’hui, Timothée et Vincent sont venus partager au micro d’Entreprendre Dans La Mode leur bon sens marketing, leur résilience à toute épreuve et leurs ambitions.
« Le but était de construire un usage de réseau social car c’est l’usage qui prédomine aujourd’hui. » Vincent Dupuy
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Vincent et Timothée se présentent
L’École des Arts et Métiers
Leurs stages
Les débuts de Choose App
Les milestones
La concurrence
Le modèle de marketplace
Le branding
Leurs marchés
Les critères de sélection de marque
L’intérêt pour les marques
Les quantités de vente
Le financement
Les commissions qu’ils prennent
Les facteurs clés d’un lancement
L’acquisition
Le parrainage
Optimiser l’usage de la plateforme de marque
L’internationalisation
La répartition des responsabilités entre les 3 co-fondateurs
La culture d’entreprise
Inventer son business model et sa culture d’entreprise
La rentabilité
Le recrutement en interne
Qui ils souhaiteraient entendre dans ce podcast
Leurs conseils pour Réuni
« On ne veut pas que Choose soit juste une plateforme ou un outil technologique, on veut le penser comme une marque. C’est à ce moment qu'on se demande quelles sont les marques qui tuent le marché et quels sont leurs codes ? »
Timothée Richard
«Si tu veux faire de l’acquisition et faire découvrir tes produits, l’objectif est de les inscrire dans la meilleure saisonnalité. » Vincent Dupuy
« Notre métier est de sélectionner le meilleur des marques dans l’univers lifestyle et de les présenter sous forme d’évènement à notre utilisateur. »
Timothée Richard
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Références :
Choose App : https://www.appchoose.io
@choose_app : https://www.instagram.com/choose_app/
Arts et Métiers : https://www.artsetmetiers.fr/fr
Berluti : https://www.berluti.com/fr-mc/homepage/
The Bradery sur EDLM : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-196-timothee-linyer-edouard-caraco-co-fondateurs-de-the-bradery-revaloriser-les-invendus-dans-une-logique-vertueuse-043d0a9d46ff
Dream Team, Ludovic Girodon : https://www.ludovic-girodon.com/a-propos/
Fashion Jobs : https://fr.fashionjobs.com
Welcome to the Jungle : https://www.welcometothejungle.com/fr
Sarah Andelman sur EDLM : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-88-sarah-andelman-colette-just-an-idea--12a2b9f488ae


284 - Caroline Petit — Fondatrice de Three Seven Paris — Aller à contretemps : l’histoire d’un succès pas commun
Alors que la rapidité de production et de consommation semblent inévitables à adopter au sein des modèles économiques actuels, il existe néanmoins d’autres manières de faire prospérer un rythme à contretemps de notre époque.
Elle ne savait ni dessiner, ni faire de la céramique, et pourtant l’artisanat est devenu la voie royale de Caroline Petit. Suite à un début de carrière en agence de publicité, Caroline décide de tout plaquer avec son mari pour partir à l’aventure aux États-Unis en quête de trésors mobiliers, qu’elle retravaille pour ensuite les vendre lors de pop-ups à Paris. Déjà à l’époque, elle avait une sensibilité pour le travail manuel qu’elle mettait au service de ce carnet de voyage vivant. Et puis, au détour d’un heureux hasard, la céramique vient à sa rencontre et la pousse à créer tout un modèle entrepreneurial en l’espace de quelques mois.
Avec Three Seven Paris, elle développe alors une identité autour de la vaisselle ornée de motifs dessinés à la main, le tout 100% made in France. Après quatre ans de recherches où elle a dû s’affranchir d’obstacles sans jamais baisser les bras, elle trouve à son rythme un modèle qui lui est propre et qu’elle connaît désormais du bout des doigts.
Loin d’un système de production effréné, qui par essence de l’artisanat ne peut être réalisable, Caroline nous partage dans cet épisode toute une philosophie de vie et de travail qui l’a menée à un développement de marque à son image.
« Tout est possible. Chaque jour, si tu n’es pas heureuse, il n’en tient qu’à toi de changer ta vie. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Caroline se présente
Three Seven US : le carnet de voyage vivant
La philosophie de travail dans laquelle elle grandit
Maison & Objet : le déclic vers Three Seven Paris
Les milestones de Three Seven Paris
Les problèmes rencontrés dans son parcours entrepreneurial
S’adapter face aux contraintes de production
L’artisanat ou l’art d’aller à contretemps avec conviction
La boutique atelier
Le website et ses évolutions
L’acquisition
Ses ambitions pour la marque
La résilience en tant que femme entrepreneure
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Il faut accepter qu’une marque prenne du temps à se construire. »
« Dans l’artisanat, il y a quelque chose qui pousse à une consommation raisonnée et raisonnable. »
« Le problème qu’il y a dans nos générations, c’est qu’on a l’habitude de courir après la vague. Alors qu’en ne faisant rien, l'imaginaire se développe et c’est là où on trouve les projets qui nous correspondent. »
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@carolinepetitmason : https://www.instagram.com/carolinepetitmason/
Épisode EDLM Alix Petit #80: https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-80-alix-petit-heimstone--d950fb7d90b5
Heimstone : https://heimstone.com
@alix.petit.kece : https://www.instagram.com/alix.petit.kece/?hl=fr
TBWA : https://www.tbwa-paris.com/fr
Claire Lecreux : http://www.clairelecreux.com
Le Bon Marché Paris : https://www.lebonmarche.com
BHV : https://www.bhv.fr
Shopify : https://www.shopify.com
Catherine Miran : https://catherinemiran.com


284 - [EXTRAIT] Caroline Petit à propos de l’artisanat ou l’art d’aller à contretemps avec conviction.
Alors que la rapidité de production et de consommation semblent inévitables à adopter au sein des modèles économiques actuels, il existe néanmoins d’autres manières de faire prospérer un rythme à contretemps de notre époque.
Elle ne savait ni dessiner, ni faire de la céramique, et pourtant l’artisanat est devenu la voie royale de Caroline Petit. Suite à un début de carrière en agence de publicité, Caroline décide de tout plaquer avec son mari pour partir à l’aventure aux États-Unis en quête de trésors mobiliers, qu’elle retravaille pour ensuite les vendre lors de pop-ups à Paris. Déjà à l’époque, elle avait une sensibilité pour le travail manuel qu’elle mettait au service de ce carnet de voyage vivant. Et puis, au détour d’un heureux hasard, la céramique vient à sa rencontre et la pousse à créer tout un modèle entrepreneurial en l’espace de quelques mois.
Avec Three Seven Paris, elle développe alors une identité autour de la vaisselle ornée de motifs dessinés à la main, le tout 100% made in France. Après quatre ans de recherches où elle a dû s’affranchir d’obstacles sans jamais baisser les bras, elle trouve à son rythme un modèle qui lui est propre et qu’elle connaît désormais du bout des doigts.
Loin d’un système de production effréné, qui par essence de l’artisanat ne peut être réalisable, Caroline nous partage dans cet épisode toute une philosophie de vie et de travail qui l’a menée à un développement de marque à son image.
« Tout est possible. Chaque jour, si tu n’es pas heureuse, il n’en tient qu’à toi de changer ta vie. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Caroline se présente
Three Seven US : le carnet de voyage vivant
La philosophie de travail dans laquelle elle grandit
Maison & Objet : le déclic vers Three Seven Paris
Les milestones de Three Seven Paris
Les problèmes rencontrés dans son parcours entrepreneurial
S’adapter face aux contraintes de production
L’artisanat ou l’art d’aller à contretemps avec conviction
La boutique atelier
Le website et ses évolutions
L’acquisition
Ses ambitions pour la marque
La résilience en tant que femme entrepreneure
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Il faut accepter qu’une marque prenne du temps à se construire. »
« Dans l’artisanat, il y a quelque chose qui pousse à une consommation raisonnée et raisonnable. »
« Le problème qu’il y a dans nos générations, c’est qu’on a l’habitude de courir après la vague. Alors qu’en ne faisant rien, l'imaginaire se développe et c’est là où on trouve les projets qui nous correspondent. »
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Claire Lecreux : http://www.clairelecreux.com
Le Bon Marché Paris : https://www.lebonmarche.com
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285 - Jordan Henrion — Directeur Communication et Image chez Zadig & Voltaire — Comprendre l’essentiel d’une stratégie digitale en se fiant aux codes de sa marque
Si le marketing digital et la stratégie d’influence étaient loin d’être ancrés dans les esprits il y a quelques années, aujourd’hui, les marques doivent prouver leur expertise à ce sujet si elles veulent rester à la page.
La nomination récente de Jordan Henrion à la Direction Communication et Image chez Zadig & Voltaire en est la preuve. Depuis ses débuts dans le mannequinat, en passant par l’agence d’influence Ykone où il dirige le studio de création de contenu, Jordan comprend très vite le digital et ses enjeux à l’échelle de l’industrie de la mode. Chez Saint Laurent, il sculpte d’une autre façon son regard sur le luxe, en captant les codes d’une grande maison et ses rouages, tout en insufflant un vent d’air frais sur l’influence.
Il incarne cette nouvelle figure de l’expert digital qui a la soif d'analyser, de transformer et de dépasser les challenges. Son nouveau chapitre professionnel lui offre un champ des possibles large au sein de la marque qui a fait de ses campagnes et ses égéries une signature phare. À lui d’écrire la suite de l’histoire…
De l’influence, aux médias, relations presse et à l’évènementiel, Jordan nous livre l’essentiel d’une stratégie digitale où l’ADN de marque en est le leitmotiv inhérent. Rencontre avec le Boy Next Door qui a capté les codes de son temps.
« Tu peux rester dans un cercle où tu es toujours la personne qui a les meilleures idées, ou tu peux décider d’aller dans un cercle au-dessus et apprendre. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Zadig & Voltaire en quelques chiffres
Le parcours de Jordan
Comment il construit sa carrière de mannequin
Sa première opportunité professionnelle
Le pouvoir de l’ambition
Ce qu’il apprend au sein de l’agence Ykone
D’où lui est venu sa confiance
Les milestones d’Ykone
Ce qu’il en retient
Ce qui attire son œil aujourd’hui
Ses nouvelles opportunités après Ykone
Son processus de recrutement pour Saint Laurent
Ce qu’il apprend chez Saint Laurent
Comment changer les préceptes des grandes maisons
La structure de la maison
Son mindset post-Saint Laurent
Ce qu’il a initié chez Saint Laurent
Le sens de l’influence
Le recrutement chez Zadig & Voltaire
Son mode de travail
Comment créer une ADN de marque
La stratégie de planification en quelques mots
Son premier show chez Zadig
Le travail avec des agences quand on est une marque
Sa vision pour la suite
Comment rester dans l’ère du temps
Son organisation
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« Lorsque tu as une esthétique de marque, tu la tiens de A à Z. »
« Mon travail, c’est de toujours ramener à l’essentiel et de maintenir le cap de tout le monde. »
« On travaille dans une industrie qui, certes, rapporte beaucoup d’argent mais on ne sauve pas de vie, donc il n’y a rien de très urgent. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
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Références :
@jordanhenrion : https://www.instagram.com/jordanhenrion/?hl=fr
Zadig & Voltaire : https://zadig-et-voltaire.com/eu/fr/
Podcast EDLM Olivier Billon, Ykone : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-18-olivier-billon-ykone-le-leader-europeen-de-l-influenceur-marketing-pour-les-marques-premium-f4316366bf05
Tedx Talk Jordan et Yannis Henrion : https://www.youtube.com/watch?v=tAffDtd3aPk
Ykone : https://ykone.com
@yannishenrion : https://www.instagram.com/yannishenrion/?hl=fr
Elite Paris : https://www.elitemodel.fr/fr/web.app
EFAP : https://www.efap.com
Farfetch : https://www.farfetch.com/fr/shopping/women/items.aspx
Rimowa : https://www.rimowa.com/fr/fr/home
Saint Laurent : https://www.ysl.com/fr-fr
Lucien Pagès : https://www.lucienpages.com
WWD : https://wwd.com
Business of Fashion : https://www.businessoffashion.com
Regina Demina : https://www.instagram.com/regina_demina/?hl=fr
FW Zadig & Voltaire 2022/2023 : https://www.youtube.com/watch?v=NtZkIZWwRto


286 - [EXTRAIT] Jordan Henrion — Directeur Communication et Image chez Zadig & Voltaire à propos de la stratégie de planification en quelques mots
Si le marketing digital et la stratégie d’influence étaient loin d’être ancrés dans les esprits il y a quelques années, aujourd’hui, les marques doivent prouver leur expertise à ce sujet si elles veulent rester à la page.
La nomination récente de Jordan Henrion à la Direction Communication et Image chez Zadig & Voltaire en est la preuve. Depuis ses débuts dans le mannequinat, en passant par l’agence d’influence Ykone où il dirige le studio de création de contenu, Jordan comprend très vite le digital et ses enjeux à l’échelle de l’industrie de la mode. Chez Saint Laurent, il sculpte d’une autre façon son regard sur le luxe, en captant les codes d’une grande maison et ses rouages, tout en insufflant un vent d’air frais sur l’influence.
Il incarne cette nouvelle figure de l’expert digital qui a la soif d'analyser, de transformer et de dépasser les challenges. Son nouveau chapitre professionnel lui offre un champ des possibles large au sein de la marque qui a fait de ses campagnes et ses égéries une signature phare. À lui d’écrire la suite de l’histoire…
De l’influence, aux médias, relations presse et à l’évènementiel, Jordan nous livre l’essentiel d’une stratégie digitale où l’ADN de marque en est le leitmotiv inhérent. Rencontre avec le Boy Next Door qui a capté les codes de son temps.
« Tu peux rester dans un cercle où tu es toujours la personne qui a les meilleures idées, ou tu peux décider d’aller dans un cercle au-dessus et apprendre. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Zadig & Voltaire en quelques chiffres
Le parcours de Jordan
Comment il construit sa carrière de mannequin
Sa première opportunité professionnelle
Le pouvoir de l’ambition
Ce qu’il apprend au sein de l’agence Ykone
D’où lui est venu sa confiance
Les milestones d’Ykone
Ce qu’il en retient
Ce qui attire son œil aujourd’hui
Ses nouvelles opportunités après Ykone
Son processus de recrutement pour Saint Laurent
Ce qu’il apprend chez Saint Laurent
Comment changer les préceptes des grandes maisons
La structure de la maison
Son mindset post-Saint Laurent
Ce qu’il a initié chez Saint Laurent
Le sens de l’influence
Le recrutement chez Zadig & Voltaire
Son mode de travail
Comment créer une ADN de marque
La stratégie de planification en quelques mots
Son premier show chez Zadig
Le travail avec des agences quand on est une marque
Sa vision pour la suite
Comment rester dans l’ère du temps
Son organisation
Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast
« Lorsque tu as une esthétique de marque, tu la tiens de A à Z. »
« Mon travail, c’est de toujours ramener à l’essentiel et de maintenir le cap de tout le monde. »
« On travaille dans une industrie qui, certes, rapporte beaucoup d’argent mais on ne sauve pas de vie, donc il n’y a rien de très urgent. »
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Références :
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Zadig & Voltaire : https://zadig-et-voltaire.com/eu/fr/
Podcast EDLM Olivier Billon, Ykone : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-18-olivier-billon-ykone-le-leader-europeen-de-l-influenceur-marketing-pour-les-marques-premium-f4316366bf05
Tedx Talk Jordan et Yannis Henrion : https://www.youtube.com/watch?v=tAffDtd3aPk
Ykone : https://ykone.com
@yannishenrion : https://www.instagram.com/yannishenrion/?hl=fr
Elite Paris : https://www.elitemodel.fr/fr/web.app
EFAP : https://www.efap.com
Farfetch : https://www.farfetch.com/fr/shopping/women/items.aspx
Rimowa : https://www.rimowa.com/fr/fr/home
Saint Laurent : https://www.ysl.com/fr-fr
Lucien Pagès : https://www.lucienpages.com
WWD : https://wwd.com
Business of Fashion : https://www.businessoffashion.com
Regina Demina : https://www.instagram.com/regina_demina/?hl=fr
FW Zadig & Voltaire 2022/2023 : https://www.youtube.com/watch?v=NtZkIZWwRto


281 - Céline Phung — Fondatrice de Bao Family — Développer des lieux, des univers et des moments autour de la food
À chaque restaurant, son univers, ses saveurs, son identité culinaire et visuelle. Derrière le nom de Bao Family se cache Céline Phung, une entrepreneuse dans l’âme qui a révolutionné la cuisine chinoise à Paris en l’espace de quelques années. C’est lors d’un voyage à Shanghai qu’elle apprend toute la complexité des techniques, des saveurs et des textures. De là, elle développe un palais qui l’amène à revisiter avec des codes contemporains la cuisine de ses origines. En résulte une cuisine savoureuse, loin des clichés et de grande qualité qui met à l’honneur les différentes régions de la Chine.
Avec aujourd’hui trois restaurants, mais aussi un concept de livraison et d’épicerie, chaque adresse amène à une expérience de restauration singulière où la carte, le service, le design d’intérieur, les identités graphiques s’harmonisent pour instaurer des moments de plaisir.
Depuis le laboratoire de développement à la recherche de nouveaux goûts, jusqu’à la direction de ses concepts, Céline invite le “cool” à ses tables où cuisine et image font bon ménage.
Dans cet épisode, elle nous raconte son expérience personnelle de l’entrepreneuriat qui l’a amenée à construire une résilience et une créativité sans limite.
« Ce qui me plaît, c’est de créer des lieux qui conviennent à des moments de vie différents.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Céline se présente
Ses premières expériences
Son éducation
Entreprendre en France quand on vient de l’étranger
Repousser les limites de son éducation familiale
Son plan à la genèse du projet
Ce qu’elle apprend chez PNY
Son expérience à Shanghai
Les classiques de la cuisine chinoise
Son associé
La structure
Par quoi commencer pour monter un restaurant
Les milestones
Le modèle de restauration
Se faire accompagner par des chefs
Développer une identité culinaire
Ses équipes
Comment elle explique le succès immédiat
La stratégie de presse et de communication
Diversifier les expériences culinaires
Le branding
La période Covid
Les projets à venir
Ce qu’elle ferait différemment
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Lors de mes expériences, j’ai appris que lorsque tu es alignée avec toi-même, tu fais les bonnes rencontres. »
« Le bouche-à-oreille est le meilleur marketing. »
« Je rêvais d’un lieu qui soit atypique, inspiré de Berlin et Hong Kong. Je trouve qu’il faut bousculer la scène parisienne et créer de nouveaux lieux. »
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Bao Family : https://www.baofamily.co
@bao.family : https://www.instagram.com/bao.family/
PNY : https://pnyburger.com
BPI : https://bpifrance-creation.fr
@choquelegoff : https://www.instagram.com/choquelegoff/
@septem_paris : https://www.instagram.com/septem_paris/?hl=fr


283 - [EXTRAIT] Céline Phung — À propos de la diversification de l'expérience culinaire
À chaque restaurant, son univers, ses saveurs, son identité culinaire et visuelle. Derrière le nom de Bao Family se cache Céline Phung, une entrepreneuse dans l’âme qui a révolutionné la cuisine chinoise à Paris en l’espace de quelques années. C’est lors d’un voyage à Shanghai qu’elle apprend toute la complexité des techniques, des saveurs et des textures. De là, elle développe un palais qui l’amène à revisiter avec des codes contemporains la cuisine de ses origines. En résulte une cuisine savoureuse, loin des clichés et de grande qualité qui met à l’honneur les différentes régions de la Chine.
Avec aujourd’hui trois restaurants, mais aussi un concept de livraison et d’épicerie, chaque adresse amène à une expérience de restauration singulière où la carte, le service, le design d’intérieur, les identités graphiques s’harmonisent pour instaurer des moments de plaisir.
Depuis le laboratoire de développement à la recherche de nouveaux goûts, jusqu’à la direction de ses concepts, Céline invite le “cool” à ses tables où cuisine et image font bon ménage.
Dans cet épisode, elle nous raconte son expérience personnelle de l’entrepreneuriat qui l’a amenée à construire une résilience et une créativité sans limite.
« Ce qui me plaît, c’est de créer des lieux qui conviennent à des moments de vie différents.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Céline se présente
Ses premières expériences
Son éducation
Entreprendre en France quand on vient de l’étranger
Repousser les limites de son éducation familiale
Son plan à la genèse du projet
Ce qu’elle apprend chez PNY
Son expérience à Shanghai
Les classiques de la cuisine chinoise
Son associé
La structure
Par quoi commencer pour monter un restaurant
Les milestones
Le modèle de restauration
Se faire accompagner par des chefs
Développer une identité culinaire
Ses équipes
Comment elle explique le succès immédiat
La stratégie de presse et de communication
Diversifier les expériences culinaires
Le branding
La période Covid
Les projets à venir
Ce qu’elle ferait différemment
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Lors de mes expériences, j’ai appris que lorsque tu es alignée avec toi-même, tu fais les bonnes rencontres. »
« Le bouche-à-oreille est le meilleur marketing. »
« Je rêvais d’un lieu qui soit atypique, inspiré de Berlin et Hong Kong. Je trouve qu’il faut bousculer la scène parisienne et créer de nouveaux lieux. »
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PNY : https://pnyburger.com
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280 - Rubi Pigeon — Fondatrice de Rusmin et Consultante en marketing digitale — Le pouvoir d’inspirer
Déconstruire pour reconstruire. Utiliser de la matière existante pour créer de la nouveauté. En l’espace de quelques années l’upcycling est devenu une opportunité créative dans un contexte où les enjeux environnementaux ne sont plus à négliger.
C’est justement avec beaucoup de créativité et de bon sens que Rubi Pigeon a commencé à confectionner avec sa sœur dès son adolescence des pièces à partir de vêtements et de tissus existants. Elle a depuis fondé sa marque Rusmin, à partir de rien, ou du moins de tout ce qui était déjà là autour d’elle. En grandissant avec l’émergence des réseaux sociaux, elle comprend très vite qu’elle peut écrire des histoires en images. De son quotidien, aux coulisses de sa marque, elle partage son univers singulier et versatile, adoptant tantôt une allure de skateuse à celle du super héros. Un succès qu’on ne peut expliquer par une stratégie longuement étudiée en amont car Rubi fait partie des ces personnalités où être soi-même, sans filtre, s’étend de sa vie personnelle à sa vie professionnelle.
Une self-made woman, qui à seulement 25 ans, partage son temps entre la direction artistique de sa marque, l’activité d’influenceuse sur les réseaux et le consulting en marketing digital. Dans cet épisode, elle nous partage en toute spontanéité sa vision de l’influence, elle nous explique comment elle jongle entre ses activités, mais aussi comment chacune d’entre elle se sert mutuellement.
« Je me suis mise dans l’upcycling parce que ça me donnait de l’espoir. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Rubi se présente
Son adolescence à Londres
Ce qu’elle apprend à Casa 93
Qu’est-ce que l’upcycling ?
Sa marque de vêtements Rusmin
Sa chaîne YouTube
Son activité de consultante
Comment elle gère son activité d’influenceuse
Ses revenus
Sa vision sur le long terme
Ses intérêts, au-delà du monde de la mode et du luxe
Son rôle chez Rusmin
Ses réseaux sociaux
La fabrication de ses vêtements
Son univers de marque
Les leaders dans la mode upcyclée
Les challenges de Rusmin
Son rêve d’entrepreneuse
La répartition des tâches
L’impact de l’influence
YouTube comme canal d’acquisition
La ligne éditoriale de sa chaîne
Ses lectures de développement personnel
Son matériel
Travailler avec un agent
Son audience
Le futur de l’upcycling
Ce qui fait qu’elle aura réussi sa vie
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Être infleunceuse, ça ne veut rien dire. Je n’ai pas l’impression que tu es influenceuse parce que tu influences. Tu influences, parce que tu fais des choses qui inspirent.»
« Même si on fait de l’upcycling et de la fabrication locale en click and collect, il y a toujours des manières d’être plus intelligent.»
« Je pense qu’être créatif, c’est ce qui va nous sauver.»
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode
Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !
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Références :
@rubipigeon : https://www.instagram.com/rubipigeon/
Rusmin : https://rusmin.fr
@rusmin.fr : https://www.instagram.com/rusmin.fr/
Youtube Rubi Pigon : https://www.youtube.com/channel/UCDpIZqnHbod8_5edfEthhDA
Casa 93 : https://www.casa93.org
@adcrew_agency : https://www.instagram.com/adcrew_agency/
Marine Serre : https://www.marineserre.com/fr
Justine Clenquet : https://www.justineclenquet.com
Maison Cléo : https://maisoncleo.com/fr/
@kitesymartin : https://www.instagram.com/kitesy_martin/?hl=fr
Claudia Sulewski : https://www.youtube.com/channel/UCsopuR4Uw3TSA1VPY0MyAfQ
Samantha Maria : https://www.youtube.com/c/SamanthaMaria
Big Magic, Elizabeth Gilbert
Atomic habits, James Clear
Canon Gx7
Coolpix Nikon
Orso Media : https://orsomedia.io


280 - [EXTRAIT] Rubi Pigeon à propos de l'impact de l'influence dans nos modes de vie
Déconstruire pour reconstruire. Utiliser de la matière existante pour créer de la nouveauté. En l’espace de quelques années l’upcycling est devenu une opportunité créative dans un contexte où les enjeux environnementaux ne sont plus à négliger.
C’est justement avec beaucoup de créativité et de bon sens que Rubi Pigeon a commencé à confectionner avec sa sœur dès son adolescence des pièces à partir de vêtements et de tissus existants. Elle a depuis fondé sa marque Rusmin, à partir de rien, ou du moins de tout ce qui était déjà là autour d’elle. En grandissant avec l’émergence des réseaux sociaux, elle comprend très vite qu’elle peut écrire des histoires en images. De son quotidien, aux coulisses de sa marque, elle partage son univers singulier et versatile, adoptant tantôt une allure de skateuse à celle du super héros. Un succès qu’on ne peut expliquer par une stratégie longuement étudiée en amont car Rubi fait partie des ces personnalités où être soi-même, sans filtre, s’étend de sa vie personnelle à sa vie professionnelle.
Une self-made woman, qui à seulement 25 ans, partage son temps entre la direction artistique de sa marque, l’activité d’influenceuse sur les réseaux et le consulting en marketing digital. Dans cet épisode, elle nous partage en toute spontanéité sa vision de l’influence, elle nous explique comment elle jongle entre ses activités, mais aussi comment chacune d’entre elle se sert mutuellement.
« Je me suis mise dans l’upcycling parce que ça me donnait de l’espoir. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Rubi se présente
Son adolescence à Londres
Ce qu’elle apprend à Casa 93
Qu’est-ce que l’upcycling ?
Sa marque de vêtements Rusmin
Sa chaîne YouTube
Son activité de consultante
Comment elle gère son activité d’influenceuse
Ses revenus
Sa vision sur le long terme
Ses intérêts, au-delà du monde de la mode et du luxe
Son rôle chez Rusmin
Ses réseaux sociaux
La fabrication de ses vêtements
Son univers de marque
Les leaders dans la mode upcyclée
Les challenges de Rusmin
Son rêve d’entrepreneuse
La répartition des tâches
L’impact de l’influence
YouTube comme canal d’acquisition
La ligne éditoriale de sa chaîne
Ses lectures de développement personnel
Son matériel
Travailler avec un agent
Son audience
Le futur de l’upcycling
Ce qui fait qu’elle aura réussi sa vie
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
« Être infleunceuse, ça ne veut rien dire. Je n’ai pas l’impression que tu es influenceuse parce que tu influences. Tu influences, parce que tu fais des choses qui inspirent.»
« Même si on fait de l’upcycling et de la fabrication locale en click and collect, il y a toujours des manières d’être plus intelligent.»
« Je pense qu’être créatif, c’est ce qui va nous sauver.»
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Références :
@rubipigeon : https://www.instagram.com/rubipigeon/
Rusmin : https://rusmin.fr
@rusmin.fr : https://www.instagram.com/rusmin.fr/
Youtube Rubi Pigon : https://www.youtube.com/channel/UCDpIZqnHbod8_5edfEthhDA
Casa 93 : https://www.casa93.org
@adcrew_agency : https://www.instagram.com/adcrew_agency/
Marine Serre : https://www.marineserre.com/fr
Justine Clenquet : https://www.justineclenquet.com
Maison Cléo : https://maisoncleo.com/fr/
@kitesymartin : https://www.instagram.com/kitesy_martin/?hl=fr
Claudia Sulewski : https://www.youtube.com/channel/UCsopuR4Uw3TSA1VPY0MyAfQ
Samantha Maria : https://www.youtube.com/c/SamanthaMaria
Big Magic, Elizabeth Gilbert
Atomic habits, James Clear
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276 - Kitesy Martin — Entrepreneuse — Ramener l’humain au sein de sa marque
D’abord styliste dans de grandes maisons de luxe puis freelance, Kitesy Martin a forgé son parcours par amour de la créativité. Entrepreneuse dans l’âme, la jeune designer s’est rapprochée de ses envies de liberté artistique et professionnelle en imaginant sa marque de bijoux upcyclés. Fini les intermédiaires entre créateurs, fournisseurs et clients, Kitesy a repensé son modèle vers un rapport de proximité entre son discours de marque et sa clientèle. Succès immédiat pour la jeune créatrice qui, grâce au système de drop, vend toute une série de bijoux fabriqués à la main en l’espace de quelques minutes sur son site.
Une petite structure qui ne l’a pas empêché de faire grandir une communauté en se saisissant des outils de diffusion inévitables de nos jours. A l’instar d’Instagram, Youtube a l’avantage de fidéliser et de promouvoir un contenu de marque quand la stratégie s’y prête. De l’intérêt de Kitesy pour le contenu digital est né l’idée de diffuser à son tour les coulisses de sa marque sur ce canal.
Dans cet épisode, Kitesy nous partage le cheminement de ses aventures entrepreneuriales et le pouvoir de rayonnement de sa marque via son contenu Youtube.
« J’avais fait chemin vers une consommation beaucoup plus responsable donc pour moi c’était impensable de créer une marque qui parte de rien. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Kitesy se présente
Son retour sur ses études
Son job chez Balmain
Ses autres expériences dans la mode
Son intérêt pour le yoga
La gestion de sa première marque
Les limites de la liberté en freelance
Se remettre en question
Le modèle de Humble Warrior
La next step pour son business
L’essentiel pour bien penser sa stratégie de marque
Les débuts de Kitesy Martin
Pourquoi l’upcycling ?
Les milestones
Le fonctionnement des drops
Son chiffre d'affaire
La genèse de sa chaîne Youtube
La structuration
Optimiser le contenu
Architecturer sa chaîne Youtube
Qui il souhaiterait entendre
Les best practices pour commencer sur Youtube
Ralentir son aventure entrepreneuriale
Ses revenus
Ce qu’elle souhaite développer en parallèle
La Caserne
Les apprentissages de ses expériences
La parentalité dans le vlog
Vivre aux côtés d’un athlète
Ses conseils pour bien mener sa stratégie d’influence
« Quand on lance une marque, je pense qu’il est important que sa propre cliente, ce soit soi-même.»
« A chaque drop, l’objectif était de faire un sold out rapidement et donc une communication avec une nouvelle histoire à chaque fois. »
« C'était important d’avoir une page de marque séparée parce que sur mon compte personnel je montre un peu ma vie et je voulais que quand on clique sur l’Instagram de la marque, on comprenne tout de suite l’identité. »
« Je ne grossis pas mon chiffre d'affaires mais je grossis ma créativité. »
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Références :
lecoindelodie sur Youtube : https://www.youtube.com/c/lecoindelodie
Kitesy Martin : https://kitesymartin.com/
@kitesymartin : https://www.instagram.com/kitesy_martin/?hl=fr
Kitesy Martin sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCK_132NG_gC_6dKH_Fm9jBQ
Humble Warrior : https://www.instagram.com/wearehumblewarriors/?hl=fr
Ensaama : https://www.ensaama.net/site/
ENSAD : https://www.ensad.fr/
@felipeoliveirabaptista : https://www.instagram.com/felipeoliveirabaptista/?hl=fr
Square Space : https://fr.squarespace.com/creer-des-sites-web/?channel=pbr&subchannel=go&campaign=pbr-go-fr-fr-core_squarespacealone-e&subcampaign=(squarespacealone_squarespace_e)&&cid=17376889593&aid=138061468235&tid=kwd-1988643730&mt=e&eid=&loc_p_ms=9110004&loc_i_ms=&nw=g&d=c&adid=602138467645&channel2=pbr&subchannel2=go&gclid=Cj0KCQjwxveXBhDDARIsAI0Q0x0lfmwofSfb8sSAqjgRVj2Og9sKh-Z4hc_byFIsIEVv_OKwhYnu9vAaAk5LEALw_wcB&gclsrc=aw.ds
La Caserne Paris : https://www.lacaserneparis.com/
@rubi.pigeon : https://www.instagram.com/rubipigeon/?hl=fr
Christophe Lemaire : https://eu.lemaire.fr/fr
Léna Situations : https://www.youtube.com/c/LénaSituations1
Loïc ¨Prigent : https://www.youtube.com/c/LoicPrigent


277 - [EXTRAIT] Kitesy Martin — L'essentiel pour bien penser sa stratégie de marque
D’abord styliste dans de grandes maisons de luxe puis freelance, Kitesy Martin a forgé son parcours par amour de la créativité. Entrepreneuse dans l’âme, la jeune designer s’est rapprochée de ses envies de liberté artistique et professionnelle en imaginant sa marque de bijoux upcyclés. Fini les intermédiaires entre créateurs, fournisseurs et clients, Kitesy a repensé son modèle vers un rapport de proximité entre son discours de marque et sa clientèle. Succès immédiat pour la jeune créatrice qui, grâce au système de drop, vend toute une série de bijoux fabriqués à la main en l’espace de quelques minutes sur son site. Une petite structure qui ne l’a pas empêché de faire grandir une communauté en se saisissant des outils de diffusion inévitables de nos jours. A l’instar d’Instagram, Youtube a l’avantage de fidéliser et de promouvoir un contenu de marque quand la stratégie s’y prête. De l’intérêt de Kitesy pour le contenu digital est né l’idée de diffuser à son tour les coulisses de sa marque sur ce canal. Dans cet épisode, Kitesy nous partage le cheminement de ses aventures entrepreneuriales et le pouvoir de rayonnement de sa marque via son contenu Youtube.« J’avais fait chemin vers une consommation beaucoup plus responsable donc pour moi c’était impensable de créer une marque qui parte de rien. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Kitesy se présente
Son retour sur ses études
Son job chez Balmain
Ses autres expériences dans la mode
Son intérêt pour le yoga
La gestion de sa première marque
Les limites de la liberté en freelance
Se remettre en question
Le modèle de Humble Warrior
La next step pour son business
L’essentiel pour bien penser sa stratégie de marque
Les débuts de Kitesy Martin
Pourquoi l’upcycling ?
Les milestones
Le fonctionnement des drops
Son chiffre d'affaire
La genèse de sa chaîne Youtube
La structuration
Optimiser le contenu
Architecturer sa chaîne Youtube
Qui il souhaiterait entendre
Les best practices pour commencer sur Youtube
Ralentir son aventure entrepreneuriale
Ses revenus
Ce qu’elle souhaite développer en parallèle
La Caserne
Les apprentissages de ses expériences
La parentalité dans le vlog
Vivre aux côtés d’un athlète
Ses conseils pour bien mener sa stratégie d’influence
« Quand on lance une marque, je pense qu’il est important que sa propre cliente, ce soit soi-même.» « A chaque drop, l’objectif était de faire un sold out rapidement et donc une communication avec une nouvelle histoire à chaque fois. »« C'était important d’avoir une page de marque séparée parce que sur mon compte personnel je montre un peu ma vie et je voulais que quand on clique sur l’Instagram de la marque, on comprenne tout de suite l’identité. »« Je ne grossis pas mon chiffre d'affaires mais je grossis ma créativité. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références : lecoindelodie sur Youtube : https://www.youtube.com/c/lecoindelodie Kitesy Martin : https://kitesymartin.com/ @kitesymartin : https://www.instagram.com/kitesy_martin/?hl=fr Kitesy Martin sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCK_132NG_gC_6dKH_Fm9jBQ Humble Warrior : https://www.instagram.com/wearehumblewarriors/?hl=frEnsaama : https://www.ensaama.net/site/ ENSAD : https://www.ensad.fr/ @felipeoliveirabaptista : https://www.instagram.com/felipeoliveirabaptista/?hl=fr Square Space : https://fr.squarespace.com/creer-des-sites-web/?channel=pbr&subchannel=go&campaign=pbr-go-fr-fr-core_squarespacealone-e&subcampaign=(squarespacealone_squarespace_e)&&cid=17376889593&aid=138061468235&tid=kwd-1988643730&mt=e&eid=&loc_p_ms=9110004&loc_i_ms=&nw=g&d=c&adid=602138467645&channel2=pbr&subchannel2=go&gclid=Cj0KCQjwxveXBhDDARIsAI0Q0x0lfmwofSfb8sSAqjgRVj2Og9sKh-Z4hc_byFIsIEVv_OKwhYnu9vAaAk5LEALw_wcB&gclsrc=aw.ds La Caserne Paris : https://www.lacaserneparis.com/ @rubi.pigeon : https://www.instagram.com/rubipigeon/?hl=fr Christophe Lemaire : https://eu.lemaire.fr/fr Léna Situations : https://www.youtube.com/c/LénaSituations1 Loïc ¨Prigent : https://www.youtube.com/c/LoicPrigent


249 - Pierre-Yves Roussel — CEO de Tory Burch (ex-directeur du LVMH Fashion Group) — Coordonner des métiers de passion et de raison [REDIFFUSION]
Riccardo Tisci chez Givenchy, Phoebe Philo chez Céline, Jonathan Anderson chez Loewe : derrière ces stratégies de recrutement de talents créatifs au succès incontestable se trouve Pierre-Yves Roussel.
À la tête du LVMH Fashion Group et du comité exécutif pendant plusieurs années, Pierre-Yves a supervisé le développement des marques du groupe leader du luxe en définissant le positionnement de chacune, mais surtout en constituant les équipes créatives et business.
C’est en s’intéressant au processus du travail créatif qu’il a brillamment projeté sa vision où le dialogue entre chaque partie est primordial. La connaissance 360 du secteur a permis à l’ex-conseiller financier de chez McKinsey de résoudre des problèmes avec agilité.
Aujourd’hui, c’est aux côtés de Tory Burch qu’il continue d’écrire l’histoire d’une aventure humaine, créative et entrepreneuriale.
Dans cet épisode, Pierre-Yves nous livre ses clés pour coordonner des métiers de passion et de raison, écrire l’histoire d’une marque pérenne et comprendre les objectifs d’un bon management d’entreprise.
« À chaque fois qu’il y a une crise, il y a des opportunités.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Pierre-Yves se présente
Ce qu’il a gardé de sa carrière dans la finance
Comprendre les problématiques d’une entreprise d’un point de vue extérieur
Ses débuts chez LVMH
Son rôle et l’évolution de ses missions
Ses apprentissages auprès de Bernard Arnault
La vision qui l’a menée au succès
Le recrutement dans la direction artistique
Mesurer le succès d’un recrutement artistique
Comment recruter un bon CEO compatible avec le DA ?
Ses débuts chez Tory Burch
Son recrutement chez Condé Nast
L’ambition de la marque
Comment se renouveler ?
Préserver son business et son couple
Comment rester passionné par son business ?
Sa vision sur la réussite d’une entreprise
Comment faire durer une marque ?
Ses conseils pour Réuni
« Je crois qu’on apprend toute sa vie. Le jour où on n’apprend plus, ça veut dire qu’il faut changer d’activité.»
« Une marque, c’est comme un livre : vous écrivez différents chapitres et il faut que l’histoire soit raccord. Si vous répétez la même chose, on s'embête.»
« Je regarde toujours le succès des entreprises à travers le succès des individus. »
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Références:
Wharton : https://www.wharton.upenn.edu
HSBC : https://www.hsbc.fr
McKinsey : https://www.mckinsey.com
LVMH : https://www.lvmh.com
Andam : https://andam.fr
CFDA : https://cfda.com
Tory Burch Foundation : https://www.toryburchfoundation.org
Tory Burch : https://www.toryburch.com


172 - [REDIFFUSION] Alexandre Thumerelle — Co-fondateur de la librairie et galerie Ofr. Paris — La plus grande des richesses créatives se trouve dans l’indépendance
Dans ce nouvel épisode, Alexandre Thumerelle nous ouvre les portes de sa librairie. Il est le co-fondateur avec sa sœur Marie de cet espace inédit en plein cœur du Marais. Véritable lieu de rencontres artistiques, Ofr. Paris ne se limite pas qu’à une librairie, c’est aussi une galerie, un studio d’édition et depuis peu, une production de films. C’est entre la boutique au charme singulier et leur grand studio que naissent les projets autour desquels ils fédèrent les talents de la scène contemporaine.
Connue des habitués du quartier et les amateurs d’art, cette librairie pas si secrète est une mine d’or pourvue de magazines et de livres sur le design et la mode. Une sélection pointue qu’il n’a pas hésité à exporter dans certaines capitales étrangères.
Avec Alexandre, on a parlé des rencontres d’artistes, des modèles économiques des magazines, du digital et de la liberté d’expression dans les médias. Il a fait de son indépendance sa plus grande richesse au quotidien.
À l’heure où la place des librairies est questionnée, Alexandre nous livre un discours honnête sur la diffusion de l’art et la culture.
« Les objets restent, ils se relisent, ils se consomment d’une autre manière. J’aime bien le moment de lecture. Ce que je préfère, c’est de voir un magazine sur papier, de le lire à mon rythme et de le regarder comme je veux. Il n’y a pas la déconcentration que l’on peut avoir quand on lit depuis un écran. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Alexandre se présente
La genèse d’Ofr.
Le studio d’édition Ofr. et ses activités
Sa ligne éditoriale
Ses premiers pas dans l’édition
Qu’est-ce qui fait un bon magazine
Le modèle économique d’un magazine
La diffusion
L’équilibre entre digital et imprimé
Son avis sur la mode
Être un libraire indépendant
Ses futurs projets
« On est les plus riches et les plus libres. On a très peu d’argent mais on a tout l’espace que l’on veut et on fait ce que l’on veut. C’est une liberté qui est rare. »
« Une ville sans mode, c’est une ville sans libido et sans personnalité. La mode permet de s’affirmer dans un style et dans une sexualité. C’est un geste qui est poétique. On pourrait juste être sapé comme on en a envie et ça suffirait. »
« Tu peux aller loin dans tes envies et dans tes voyages. Tu peux rêver beaucoup plus loin quand tu sais que tout est possible. »
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Références:
L’actualité d’Ofr. Paris sur Instagram : https://www.instagram.com/ofrparis/
Julien Colombier : https://www.instagram.com/juliencolombier/
Ilk : https://www.instagram.com/ilkflottante/
Plethora Magazine : http://www.plethoramag.com
Apartamento Magazine : https://www.apartamentomagazine.com
Self Service Magazine : https://selfservicemagazine.com
Marie Chaix : https://www.instagram.com/_mariechaix_/


274 - Elodie Rencker — Créatrice de contenu @lecoindelodie et Fondatrice de Ecke — Documentation d’une vie créative et entrepreneuriale
Si le terme de créateur de contenu est aujourd’hui bien courant dans l’imaginaire collectif, il y a une dizaine d’années, personne ne se doutait que cette activité aurait un tel pouvoir sur nos rapports sociaux et économiques.
Élodie Rencker, aussi connue sous le nom Le Coin d’Élodie, s’est emparée très tôt des outils digitaux et a développé une communauté sur sa chaîne Youtube autour de ses passions évolutives allant de la mode à la culture. Depuis le lycée jusqu’à sa vie active, Élodie a créé son métier de toutes pièces à travers ses vlogs et a su acquérir une reconnaissance venant des acteurs des industries créatives.
Même si les réseaux de l'instantanéité surgis il y a peu de temps semblent attirer l’attention sur des formats de plus en plus courts, les vlogs relatant le quotidien n’ont pas pour autant perdu en intérêt pour le public comme pour les marques…
En abordant des sujets tels que le design, l’artisanat, l’architecture, le lifestyle et la culture, Élodie a dernièrement concrétisé son univers en éditant des objets en séries limitées sous le label Ecke.
Dans cet épisode, on parle de l’usage des différents canaux médiatiques, de l’engagement de sa communauté, de monétisation mais aussi des limites entre incarnation médiatique et vie privée.
«Quand tu lances une marque, il faut le faire à 3000%. Il ne faut pas avoir peur de passer à l’action en premier puis d'aviser et d'améliorer dans un second temps.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Élodie se présente
Les milestones de sa chaîne youtube
Ce qu’elle comprend de sa communauté
Créer de l’engagement via Youtube
La monétisation
La rentabilité de ses activités
Comment elle anime ses réseaux
Comment faire une vidéo
Les limites de la diffusion de sa vie personnelle
Ses ambitions de content creator
La charge mentale des réseaux sociaux
Ce qu’elle ferait si elle n’avait pas choisi cette activité
Les outils nécessaires à la production médiatique
Le choix des titres et de miniatures
Sa marque Ecke
L’équilibre entre le contenu court et long
Sa vision pour Ecke
Sa stratégie d’acquisition
Sa communauté
Qui il souhaiterait entendre
« Ma ligne éditoriale, c’est de partager tout ce qui me nourrit au quotidien et ce que je trouve beau. Ça passe par des choses très routinières mais aussi d’autres qui nécessitent plus de recherches.»
«Je pense qu’il est plus simple d’établir un lien avec les gens en vidéo. »
«Je n’ai pas l’impression de devoir me mettre dans un personnage pour ma marque pour viser une cible particulière. Je fais les choses que j’aime assez naturellement et je me rends compte que les gens qui ont les mêmes inspirations sont finalement assez sensibles à ce qu’on fait.»
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode
Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !
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Références :
lecoindelodie sur Youtube : https://www.youtube.com/c/lecoindelodie
@lecoindelodie : https://www.instagram.com/lecoindelodie/
@ecke.co : https://www.instagram.com/ecke.co/
Ecke : https://www.ecke.co
Agence Share Fraîche : https://sharefraiche.com
Palais de Tokyo : https://palaisdetokyo.com
Bourse du Commerce : https://www.pinaultcollection.com/fr/
Lafayette Anticipations : http://lafayetteanticipations.com/fr
Biennale d’art contemporain Rennes : http://www.lesateliersderennes.fr
Studio Double Clique : https://ladoubleclique.com
House Plant : https://www.instagram.com/houseplant/
Kitesy Martin : https://kitesymartin.com
Kitesy Martin sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCK_132NG_gC_6dKH_Fm9jBQ?app=desktop
Boo Family - Céline Chung : https://www.instagram.com/bao.family/
Créatrices de contenu citées :
Zoella
Léna Situations
Brittany Bathgate
Outils cités :
Sony ZV1
Canon G7X
Notion : nhttps://www.notion.so/
Suite Adobe : https://www.adobe.com/fr/


275 - [EXTRAIT] Elodie Rencker — Quel canal médiatique utiliser pour créer de l’engagement
Si le terme de créateur de contenu est aujourd’hui bien courant dans l’imaginaire collectif, il y a une dizaine d’années, personne ne se doutait que cette activité aurait un tel pouvoir sur nos rapports sociaux et économiques.
Élodie Rencker, aussi connue sous le nom Le Coin d’Élodie, s’est emparée très tôt des outils digitaux et a développé une communauté sur sa chaîne Youtube autour de ses passions évolutives allant de la mode à la culture. Depuis le lycée jusqu’à sa vie active, Élodie a créé son métier de toutes pièces à travers ses vlogs et a su acquérir une reconnaissance venant des acteurs des industries créatives.
Même si les réseaux de l'instantanéité surgis il y a peu de temps semblent attirer l’attention sur des formats de plus en plus courts, les vlogs relatant le quotidien n’ont pas pour autant perdu en intérêt pour le public comme pour les marques…
En abordant des sujets tels que le design, l’artisanat, l’architecture, le lifestyle et la culture, Élodie a dernièrement concrétisé son univers en éditant des objets en séries limitées sous le label Ecke.
Dans cet épisode, on parle de l’usage des différents canaux médiatiques, de l’engagement de sa communauté, de monétisation mais aussi des limites entre incarnation médiatique et vie privée.
«Quand tu lances une marque, il faut le faire à 3000%. Il ne faut pas avoir peur de passer à l’action en premier puis d'aviser et d'améliorer dans un second temps.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Élodie se présente
Les milestones de sa chaîne youtube
Ce qu’elle comprend de sa communauté
Créer de l’engagement via Youtube
La monétisation
La rentabilité de ses activités
Comment elle anime ses réseaux
Comment faire une vidéo
Les limites de la diffusion de sa vie personnelle
Ses ambitions de content creator
La charge mentale des réseaux sociaux
Ce qu’elle ferait si elle n’avait pas choisi cette activité
Les outils nécessaires à la production médiatique
Le choix des titres et de miniatures
Sa marque Ecke
L’équilibre entre le contenu court et long
Sa vision pour Ecke
Sa stratégie d’acquisition
Sa communauté
Qui il souhaiterait entendre
« Ma ligne éditoriale, c’est de partager tout ce qui me nourrit au quotidien et ce que je trouve beau. Ça passe par des choses très routinières mais aussi d’autres qui nécessitent plus de recherches.»
«Je pense qu’il est plus simple d’établir un lien avec les gens en vidéo. »
«Je n’ai pas l’impression de devoir me mettre dans un personnage pour ma marque pour viser une cible particulière. Je fais les choses que j’aime assez naturellement et je me rends compte que les gens qui ont les mêmes inspirations sont finalement assez sensibles à ce qu’on fait.»
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Références :
lecoindelodie sur Youtube : https://www.youtube.com/c/lecoindelodie
@lecoindelodie : https://www.instagram.com/lecoindelodie/
@ecke.co : https://www.instagram.com/ecke.co/
Ecke : https://www.ecke.co
Agence Share Fraîche : https://sharefraiche.com
Palais de Tokyo : https://palaisdetokyo.com
Bourse du Commerce : https://www.pinaultcollection.com/fr/
Lafayette Anticipations : http://lafayetteanticipations.com/fr
Biennale d’art contemporain Rennes : http://www.lesateliersderennes.fr
Studio Double Clique : https://ladoubleclique.com
House Plant : https://www.instagram.com/houseplant/
Kitesy Martin : https://kitesymartin.com
Kitesy Martin sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCK_132NG_gC_6dKH_Fm9jBQ?app=desktop
Boo Family - Céline Chung : https://www.instagram.com/bao.family/
Créatrices de contenu citées :
Zoella
Léna Situations
Brittany Bathgate
Outils cités :
Sony ZV1
Canon G7X
Notion : nhttps://www.notion.so/
Suite Adobe : https://www.adobe.com/fr/


273 - Paul Mouginot — Artiste, ingénieur, data expert… — La technologie au service des industries créatives et de ses nouveaux enjeux
Impossible de le définir en un seul mot. Paul Mouginot correspond au type de personnalité qui ne rentre pas dans une case de par ses multiples activités.
Il était déjà venu parler de sa première expérience entrepreneuriale dans Entreprendre dans La Mode. Avec Daco.io, un outil d’analyse de données, il offre aux marques de mode la possibilité d’étudier intelligemment la data dans leur environnement concurrentiel. Un business qui portera grandement ses fruits et sera revendu seulement quelques années plus tard au géant de l’e-commerce Veepee. Mais rien n’arrête pour autant ce féru de technologies, qui, parallèlement à cette activité, lance trois autres projets à la croisée de la tech, des industries créatives et du marketing.
Artiste, ingénieur, chercheur, data expert… en alliant plusieurs domaines à ses expertises, il crée des ponts et cultive le rapport entre outils technologiques, mode et art. Fondateur du collectif d’artistes Aurèce Vettier, co-fondateur de l’outil de création de métaverse Bem Builders mais aussi de l’extracteur de données Stabler.tech, la soif d’entreprendre et d’apprendre semble presque inépuisable chez Paul !
Dans cet épisode, il nous explique le rôle de la métaverse, des NFT et de l’intelligence artificielle au sein des industries créatives. D’un point de vue image tout comme business, il nous partage sa vision sur la valeur inestimable de ces nouvelles technologies comme opportunité pour réinventer nos manières de vivre, mais aussi de travailler, concevoir de nouvelles formes et créer.
« Le meilleur moyen de savoir si c’est une bonne idée, c’est de la construire en petit et de la faire grandir. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Paul se présente
Les apprentissages de sa première expérience entrepreneuriale Daco
Ses projets développés en parallèle
La répartition de son temps
La rentabilité de ses activités
Comment il se présente
Comment il explique son profil hybride
Son activité d’artiste
Être accepté dans le monde de l’art
Être artiste de nos jours : vivre avec son époque entre physique et digital
Bem Builders : la technologie Web 3 en détail
Quelles applications utilisent les marques de mode
La vision derrière Bem Builders
L’intérêt d’aller sur le métaverse pour les marques
À propos de Stableur.tech
La méthodologie pour acquérir de l’expérience
Les autres acteurs sur le marché
L’exploitation de la data dans la mode
Les outils qu’ils utilisent pour s’organiser
Qui il souhaiterait entendre
« Une de mes grandes préoccupations, c’est de ne pas réinventer ce qui existe déjà. Pour moi, l’art est une forme de recherche. Dans la recherche, il faut connaître ce qui a été fait. »
« Dans le futur, je pense que les modalités d’interactions avec les machines vont radicalement changer. On n’ira pas chercher l’information de la même manière et on ne travaillera pas de la même manière tout simplement parce qu’on en a marre d’avoir un écran en face des yeux. »
« Quand on crée un nouveau produit, on ne doit pas évangéliser le marché. Il faut que ça réponde à un besoin tellement fort que ça doit être évident. »
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Références :
Paul Mouginot sur Instagram : https://www.instagram.com/paulmouginot/?hl=fr
Épisode EDLM #17 avec Paul Mouginot : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/id1300541489?i=1000403061727
Aurèce Vettier : https://aurecevettier.com
Bem Builders : https://www.bem.builders
Stabler.tech : https://www.stabler.tech
Daco.io : https://www.instagram.com/daco_io/?hl=fr
Veepee : https://www.veepee.fr/gr/home/default
L’Ikigai : https://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Methodes/Articles-et-Dossiers/3-exercices-pour-trouver-son-ikigai
Umso : https://www.umso.com
A Magazine Curated by : https://amagazinecuratedby.com
Notion.so : https://www.notion.so/fr-fr
Robinwood : https://fr.ulule.com/robinwood-gel-douche/
Artistes cités :
François Morellet
Agnès Martin
Donald Judd
David Hockney
Baltus
Jeff Koons
Victoire de Pourtalès
Frédéric Arnaud


272 - [EXTRAIT] Paul Mouginot — Artiste, ingénieur, data expert… — La technologie au service des industries créatives et de ses nouveaux enjeux
Impossible de le définir en un seul mot. Paul Mouginot correspond au type de personnalité qui ne rentre pas dans une case de par ses multiples activités.
Il était déjà venu parler de sa première expérience entrepreneuriale dans Entreprendre dans La Mode. Avec Daco.io, un outil d’analyse de données, il offre aux marques de mode la possibilité d’étudier intelligemment la data dans leur environnement concurrentiel. Un business qui portera grandement ses fruits et sera revendu seulement quelques années plus tard au géant de l’e-commerce Veepee. Mais rien n’arrête pour autant ce féru de technologies, qui, parallèlement à cette activité, lance trois autres projets à la croisée de la tech, des industries créatives et du marketing.
Artiste, ingénieur, chercheur, data expert… en alliant plusieurs domaines à ses expertises, il crée des ponts et cultive le rapport entre outils technologiques, mode et art. Fondateur du collectif d’artistes Aurèce Vettier, co-fondateur de l’outil de création de métaverse Bem Builders mais aussi de l’extracteur de données Stabler.tech, la soif d’entreprendre et d’apprendre semble presque inépuisable chez Paul !
Dans cet épisode, il nous explique le rôle de la métaverse, des NFT et de l’intelligence artificielle au sein des industries créatives. D’un point de vue image tout comme business, il nous partage sa vision sur la valeur inestimable de ces nouvelles technologies comme opportunité pour réinventer nos manières de vivre, mais aussi de travailler, concevoir de nouvelles formes et créer.
« Le meilleur moyen de savoir si c’est une bonne idée, c’est de la construire en petit et de la faire grandir. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Paul se présente
Les apprentissages de sa première expérience entrepreneuriale Daco
Ses projets développés en parallèle
La répartition de son temps
La rentabilité de ses activités
Comment il se présente
Comment il explique son profil hybride
Son activité d’artiste
Être accepté dans le monde de l’art
Être artiste de nos jours : vivre avec son époque entre physique et digital
Bem Builders : la technologie Web 3 en détail
Quelles applications utilisent les marques de mode
La vision derrière Bem Builders
L’intérêt d’aller sur le métaverse pour les marques
À propos de Stableur.tech
La méthodologie pour acquérir de l’expérience
Les autres acteurs sur le marché
L’exploitation de la data dans la mode
Les outils qu’ils utilisent pour s’organiser
Qui il souhaiterait entendre
« Une de mes grandes préoccupations, c’est de ne pas réinventer ce qui existe déjà. Pour moi, l’art est une forme de recherche. Dans la recherche, il faut connaître ce qui a été fait. »
« Dans le futur, je pense que les modalités d’interactions avec les machines vont radicalement changer. On n’ira pas chercher l’information de la même manière et on ne travaillera pas de la même manière tout simplement parce qu’on en a marre d’avoir un écran en face des yeux. »
« Quand on crée un nouveau produit, on ne doit pas évangéliser le marché. Il faut que ça réponde à un besoin tellement fort que ça doit être évident. »
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Références :
Paul Mouginot sur Instagram : https://www.instagram.com/paulmouginot/?hl=fr
Épisode EDLM #17 avec Paul Mouginot : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/id1300541489?i=1000403061727
Aurèce Vettier : https://aurecevettier.com
Bem Builders : https://www.bem.builders
Stabler.tech : https://www.stabler.tech
Daco.io : https://www.instagram.com/daco_io/?hl=fr
Veepee : https://www.veepee.fr/gr/home/default
L’Ikigai : https://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Methodes/Articles-et-Dossiers/3-exercices-pour-trouver-son-ikigai
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Notion.so : https://www.notion.so/fr-fr
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Artistes cités :
François Morellet
Agnès Martin
Donald Judd
David Hockney
Baltus
Jeff Koons
Victoire de Pourtalès
Frédéric Arnaud


196 - {REDIFFUSION} Timothée Linyer & Edouard Caraco Co-fondateurs de The Bradery — Revaloriser les invendus dans une logique vertueuse
Dans cet épisode sortie initialement en juin 2021, nous partons à la rencontre de Timothée Linyer et Edouard Caraco, les co-fondateurs de The Bradery.
Duo d’entrepreneurs depuis les bancs de l’école, leurs expériences dans la logistique et le e-commerce leur a permis d’identifier le problème relatif aux ventes privées.
Avec The Bradery ils souhaitent pallier au stockage des invendus des marques premiums par des ventes éphémères en ligne. Dotés d’une connaissance fine du marché, d’un sens analytique et d’une stratégie de communication solide, c’est sûrement ce qui justifie la croissance notable de la plateforme auprès de la tranche des 20-35 ans.
En effet, tout le challenge réside dans la communication : savoir redonner de la valeur à des produits existants grâce au contenu tout en conservant l’image de la marque.
Guidés par leur liberté d’entreprendre, ils n’oublient pas pour autant la responsabilité sociale et environnementale. En interne comme à l’extérieur, leurs actions traduisent une volonté de bien faire.
Dans cet épisode, ils nous partagent tous leurs outils de gestion et d’optimisation, les coulisses de la logistique et leur stratégie médiatique.
« Je pense que la croissance s'inscrit dans un cercle vertueux. »
Edouard Caraco
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Timothée et Edouard se présentent
Leur début dans l’entrepreneuriat
Le concept de The Bradery
Le modèle économique
La logistique
Convaincre les premières marques
L’acquisition
La structure des coûts
Les taux de retours
Le branding
Les stratégies médiatiques (Instagram, Facebook)
Faire une campagne avec une influenceuse
S’associer à un bureau de presse
Le service client
L’application et le mailing
La responsabilité sociale et environnementale
La structure interne
La levée de fond
Les perspectives pour The Bradery
Les outils essentiels pour gérer son business
« On a compris que pour créer une marque forte de notre génération, il ne faut pas être trop commercial ou trop froid. Il faut être émotionnel et partager les mêmes valeurs que sa communauté pour l’intéresser. »
Timothée Linyer
« On essaie de travailler main dans la main avec les marques et de comprendre leurs problématiques pour créer des relations à long terme avec elle. »
Edouard Caraco
« Pour protéger l’image de la marque, lui donner un aspect cool et redonner vie au produit, le contenu est primordial. »
Timothée Linyer
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Références:
The Bradery : https://thebradery.com
@thebradery : https://www.instagram.com/thebradery/
Dresscode Press : https://www.dresscodepress.com
Wing : https://www.wing.eu
Les outils conseillés par Timothée et Edouard :
Shopify : https://www.shopify.fr
Gorgias : https://www.gorgias.com
Klaviyo (CRM B2C) : https://www.klaviyo.com
Ubu (community management) : https://fr.getubu.com
Snowflake (data) : https://www.snowflake.com data
Stripe (paiement) : https://stripe.com/fr
Alma (paiement en 3x) : https://getalma.eu
Ship up : https://www.shipup.co/fr-fr/
Partenaire logistique Dispeo: https://dispeo.com
Built With : https://builtwith.com/fr/


269 - Luca Pronzato — Fondateur de We Are Ona — Itinéraire d’une expérience nouvelle de la gastronomie
On parle souvent de l’importance du renouvellement de l'expérience dans le monde de la mode, de l’art et du design. Cette fois-ci, c’est au tour de la gastronomie de composer de nouvelles histoires.
Amoureux de la cuisine, du vin et du voyage, Luca Pronzato a imaginé le concept de restaurants pop-ups qui réinventent l’expérience culinaire. Pensé comme une hybridation entre la gastronomie et l'événementiel, We Are Ona créé une communauté de talents de la food et du vin au service des convives, et ce, en France comme à l’international. De Mexico, à Venise en passant par Arles, We Are Ona inspire une vision contemporaine de la gastronomie où l’excellence du produit, le respect de l’environnement local et la créativité convergent vers un seul et même objectif : créer un souvenir mémorable à table.
Un modèle tout à fait innovant pour ce secteur, où il n’y a pas un seul chef, mais où plusieurs interprétations culinaires se suivent durant la période de pop-up au sein d’une même adresse.
À l’heure où l’art de vivre fait vibrer le tissu social de nos mondes professionnels et personnels, Luca entend bien cultiver le plaisir du voyage culinaire et ainsi, le souvenir qu’il en émane.
«La gastronomie est un réel vecteur d’expériences.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Luca se présente
Ses premières envies entrepreneuriales nourries par son expérience
Comment devient-on le plus grand restaurant au monde
La qualité du service
Son expérience chez Noma
Le renouvellement de l’expérience gastronomique
Les débuts de son activité entrepreneuriale
Ses apprentissages
L’organisation de We Are Ona
Le modèle économique
Comment il structure ses équipes
Le recrutement dans la restauration
La vision du projet
Ouvrir un restaurant
La genèse du nom
Son side project entrepreneurial
Comment il s’organise
Sa journée type
Comment il explique son succès
La fabrication liée à leur activité
Le prix d’un repas
Qui il souhaiterait entendre
«On a voulu créer une communauté de jeunes talents qui puissent s’exprimer, se réinventer, challenger leur créativité et donc faire vivre un moment exceptionnel aux guests.»
« Notre mission est d’accueillir les convives dans un lieu qui a été réfléchi, qui mérite d’être créatif, qui a pensé au détail près de l'architecture, au design, à la food, au vin et au service dans sa plus grande globalité.»
« On souhaite avoir un certain sens du détail afin de réellement créer une expérience pour la personne qui la vit. Cela se rejoint avec l’exigence, l’ambition et la passion liées aux métiers créatifs.»
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We Are Ona : https://weareona.co/fr/
@we.are.ona : https://www.instagram.com/we.are.ona/
Luca Pronzato sur Instagram : https://www.instagram.com/papillespronzi/?hl=fr
L’OIV : https://www.oiv.int/fr/organisation-internationale-de-la-vigne-et-du-vin
Noma Copenhague : https://noma.dk
Older Studio : https://olderstudio.com/en/
@clarecornet : https://www.instagram.com/claracornet/
@drinkcanetta : https://www.instagram.com/drinkcanetta/
canetta : https://canetta.net
Lucien Pagès : https://www.lucienpages.com


270 - [EXTRAIT] Luca Pronzato — Fondateur de We Are Ona — À propos de la renommée du restaurant, la qualité du service et de l'expérience.
On parle souvent de l’importance du renouvellement de l'expérience dans le monde de la mode, de l’art et du design. Cette fois-ci, c’est au tour de la gastronomie de composer de nouvelles histoires.
Amoureux de la cuisine, du vin et du voyage, Luca Pronzato a imaginé le concept de restaurants pop-ups qui réinventent l’expérience culinaire. Pensé comme une hybridation entre la gastronomie et l'événementiel, We Are Ona créé une communauté de talents de la food et du vin au service des convives, et ce, en France comme à l’international. De Mexico, à Venise en passant par Arles, We Are Ona inspire une vision contemporaine de la gastronomie où l’excellence du produit, le respect de l’environnement local et la créativité convergent vers un seul et même objectif : créer un souvenir mémorable à table.
Un modèle tout à fait innovant pour ce secteur, où il n’y a pas un seul chef, mais où plusieurs interprétations culinaires se suivent durant la période de pop-up au sein d’une même adresse.
À l’heure où l’art de vivre fait vibrer le tissu social de nos mondes professionnels et personnels, Luca entend bien cultiver le plaisir du voyage culinaire et ainsi, le souvenir qu’il en émane.
«La gastronomie est un réel vecteur d’expériences.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Luca se présente
Ses premières envies entrepreneuriales nourries par son expérience
Comment devient-on le plus grand restaurant au monde
La qualité du service
Son expérience chez Noma
Le renouvellement de l’expérience gastronomique
Les débuts de son activité entrepreneuriale
Ses apprentissages
L’organisation de We Are Ona
Le modèle économique
Comment il structure ses équipes
Le recrutement dans la restauration
La vision du projet
Ouvrir un restaurant
La genèse du nom
Son side project entrepreneurial
Comment il s’organise
Sa journée type
Comment il explique son succès
La fabrication liée à leur activité
Le prix d’un repas
Qui il souhaiterait entendre
«On a voulu créer une communauté de jeunes talents qui puissent s’exprimer, se réinventer, challenger leur créativité et donc faire vivre un moment exceptionnel aux guests.»
« Notre mission est d’accueillir les convives dans un lieu qui a été réfléchi, qui mérite d’être créatif, qui a pensé au détail près de l'architecture, au design, à la food, au vin et au service dans sa plus grande globalité.»
« On souhaite avoir un certain sens du détail afin de réellement créer une expérience pour la personne qui la vit. Cela se rejoint avec l’exigence, l’ambition et la passion liées aux métiers créatifs.»
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Luca Pronzato sur Instagram : https://www.instagram.com/papillespronzi/?hl=fr
L’OIV : https://www.oiv.int/fr/organisation-internationale-de-la-vigne-et-du-vin
Noma Copenhague : https://noma.dk
Older Studio : https://olderstudio.com/en/
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Lucien Pagès : https://www.lucienpages.com


265 - Sandra Mielenhausen et Nicolas Rozier-Chabert — Fondateurs de PLAQ — Le parcours du goût où la simplicité est synonyme d’excellence
L'entrepreneuriat est devenu une évidence pour eux. Après une première vie professionnelle, Sandra Mielenhausen et Nicolas Rozier-Chabert ont tout plaqué pour entreprendre dans la food.
Avec Plaq, tout tourne autour d’un simple produit qui nous suit de l’enfance à l’âge adulte.
Le chocolat peut paraître simple, et pourtant on pourrait en oublier la complexité des arômes que recèle une fève de cacao. C’est tout le challenge que le couple d’entrepreneurs s’est lancé : partir d’un produit brut et le travailler à la source pour en révéler le meilleur. Inspirés par la culture de la fève de cacao en Amérique, ils se sont imprégnés du modèle artisanal et haut de gamme du ‘bean to bar’.
Avec une dose de passion, et surtout l’amour du bien manger, le goût se cultive et se décline à travers tout un univers chez Plaq. Dans leur boutique au cœur du Sentier à Paris, de la manufacture à la vente, tout l’art du chocolat se joue dans la transparence sous les yeux des clients.
Amateurs de chocolat, ou gourmands curieux, l’excellence de la simplicité prend tout son sens dans cet épisode !
« On se dit toujours que nous ne sommes pas des militants, nous sommes des hédonistes.» Nicolas Rozier-Chabert
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Sandra et Nicolas se présentent
La genèse du business autour du chocolat
Le marché des chocolatiers français
Construire un business autour de la fève de cacao
La révolution du goût
Les milestones de Plaq
Le label Plaq et son univers
La valeur ajoutée de Plaq
Les étapes de fabrication du chocolat
Les labels, quelle utilité ?
L’ouverture de leur boutique
La distribution
La structure interne de l’entreprise
Les investisseurs
Démarrer une seconde vie professionnelle après 40 ans
Qui ils souhaiteraient entendre
« En réalité, les vrais fans de chocolat aiment le chocolat noir en plaque et de moins en moins sucré. Il y a une passion française pour une certaine approche puriste, une puissance de goût et une intensité.» Sandra Mielenhausen
« Notre vraie boussole, c’est le goût. » Nicolas Rozier-Chabert
«Notre grand challenge, c’est comment raconter Plaq et comment faire vivre une expérience. On l’a fait pour l’amour du bien manger, le rapport à la nourriture et à l’univers de chefs.» Sandra Mielenhausen
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Références :
Boutique Plaq, 4 rue du Nil, Paris 75002
Plaq : https://plaqchocolat.com
@plaqchocolat : https://www.instagram.com/plaqchocolat/?hl=fr
Chloé Doutre-Roussel : https://plaqchocolat.com/blogs/news/qui-est-chloe-doutre-roussel
Lindt : https://www.lindt.fr
Pierre Hermé : http://www.pierreherme.com
Jean-Paul Hévin : https://www.jeanpaulhevin.com/fr/
Patrick Roger : https://www.patrickroger.com
Alain Ducasse : https://www.lechocolat-alainducasse.com/fr/
Valrhona : https://www.valrhona.com/fr-FR
Livre Cuisine Inspirée, Ingrid Astier


399 - [EXTRAIT] Sandra Mielenhausen et Nicolas Rozier-Chabert — Fondateurs de PLAQ — À propos de la révolution du goût
L'entrepreneuriat est devenu une évidence pour eux. Après une première vie professionnelle, Sandra Mielenhausen et Nicolas Rozier-Chabert ont tout plaqué pour entreprendre dans la food.
Avec Plaq, tout tourne autour d’un simple produit qui nous suit de l’enfance à l’âge adulte.
Le chocolat peut paraître simple, et pourtant on pourrait en oublier la complexité des arômes que recèle une fève de cacao. C’est tout le challenge que le couple d’entrepreneurs s’est lancé : partir d’un produit brut et le travailler à la source pour en révéler le meilleur. Inspirés par la culture de la fève de cacao en Amérique, ils se sont imprégnés du modèle artisanal et haut de gamme du ‘bean to bar’.
Avec une dose de passion, et surtout l’amour du bien manger, le goût se cultive et se décline à travers tout un univers chez Plaq. Dans leur boutique au cœur du Sentier à Paris, de la manufacture à la vente, tout l’art du chocolat se joue dans la transparence sous les yeux des clients.
Amateurs de chocolat, ou gourmands curieux, l’excellence de la simplicité prend tout son sens dans cet épisode !
« On se dit toujours que nous ne sommes pas des militants, nous sommes des hédonistes.» Nicolas Rozier-Chabert
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Sandra et Nicolas se présentent
La genèse du business autour du chocolat
Le marché des chocolatiers français
Construire un business autour de la fève de cacao
La révolution du goût
Les milestones de Plaq
Le label Plaq et son univers
La valeur ajoutée de Plaq
Les étapes de fabrication du chocolat
Les labels, quelle utilité ?
L’ouverture de leur boutique
La distribution
La structure interne de l’entreprise
Les investisseurs
Démarrer une seconde vie professionnelle après 40 ans
Qui ils souhaiteraient entendre
« En réalité, les vrais fans de chocolat aiment le chocolat noir en plaque et de moins en moins sucré. Il y a une passion française pour une certaine approche puriste, une puissance de goût et une intensité.» Sandra Mielenhausen
« Notre vraie boussole, c’est le goût. » Nicolas Rozier-Chabert
«Notre grand challenge, c’est comment raconter Plaq et comment faire vivre une expérience. On l’a fait pour l’amour du bien manger, le rapport à la nourriture et à l’univers de chefs.» Sandra Mielenhausen
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
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Références :
Boutique Plaq, 4 rue du Nil, Paris 75002
Plaq : https://plaqchocolat.com
@plaqchocolat : https://www.instagram.com/plaqchocolat/?hl=fr
Chloé Doutre-Roussel : https://plaqchocolat.com/blogs/news/qui-est-chloe-doutre-roussel
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Pierre Hermé : http://www.pierreherme.com
Jean-Paul Hévin : https://www.jeanpaulhevin.com/fr/
Patrick Roger : https://www.patrickroger.com
Alain Ducasse : https://www.lechocolat-alainducasse.com/fr/
Valrhona : https://www.valrhona.com/fr-FR
Livre Cuisine Inspirée, Ingrid Astier


266 - Amélie du Chalard — Fondatrice D’Amélie Maison d’Art — Comment repenser l’expérience de l’art ?
Dans le marché très opaque du monde de l’art contemporain, où les codes d’exposition, de diffusion et d'interaction ont peu été remis en question, Amélie du Chalard a voulu bousculer les règles.
Fini le white cube où sont exposées des œuvres pour une durée plus ou moins longue, la fondatrice d’Amélie Maison d’Art a souhaité repenser l’expérience de l’art à travers le digital et des lieux d’exposition physiques.
À la frontière entre l’appartement et la galerie, ses adresses viennent créer une constellation de liens entre artistes, collectionneurs, amateurs d’art et curateurs. Ce n’est plus le galeriste qui décide pleinement de ce qui est exposé, mais aussi au particulier d’entrer en jeu dans la curation en échangeant sur sa sensibilité artistique. Sous forme de rendez-vous individuel, chaque jour l’accrochage change au gré des envies des particuliers. Artistes émergents comme confirmés, Amélie met en avant une scène nouvelle de l’art où tout médium et talent trouvent sa place.
Entrepreneure dans l’âme, Amélie ne cesse de déployer et définir sa passion pour l’art contemporain à travers de multiples activités. Un modèle à succès qui ne cesse d’étonner et d’inspirer de multiples marchés, de l’art et au-delà.
« Ma mission est de proposer une autre expérience de l’art et d’accompagner le mieux possible les gens dans leur compréhension de leur sensibilité.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Amélie se présente
Son parcours dans la finance
Ce qu’elle comprend des entrepreneurs
Son intérêt artistique
Le déclic qui l’a fait changé de métier
Comment bousculer les codes de l’art contemporain
Les 4 branches de son activité
Les débuts de son activité
Le contrat avec les artistes
Le partage de la valeur
Les commissions
Développer une relation avec ses clients pour mieux les comprendrev
Comment elle a obtenu un taux de conversion de 100%
Sa vision de la galerie d’art
Comment elle est perçue dans le marché ?
L’expansion d’Amélie Maison d’Art
Comment elle organise son temps
L’acquisition
La structuration de ses équipes
L’incarnation de sa marque
Son contenu sur les réseaux sociaux
Les apprentissages des marques de mode sur le modèle de l’art
La fréquentation quotidienne
Comment elle forme ses vendeurs
Le management
Le chiffre d’affaire
Ses inspirations
Son approche aux foires d’art contemporain
Qui elle souhaiterait entendre
« Pour être entrepreneur, il faut avoir une dose d’inconscience et être ancré.»
« Le retail va sans doute se transformer de la manière suivante : plutôt que d’avoir 150 points de vente, il devrait y en avoir moins mais plus expérientiels, plus grands, avec un service client beaucoup plus soigné.»
« Aujourd’hui, si vous voulez aller chercher de jeunes collectionneurs, il faut s’y prendre autrement.»
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Références :
Amélie Maison D’Art : https://www.amelie-paris.com/fr
Galerie Kamel Mennour : https://kamelmennour.com
Galerie Thaddaeus-Ropac : https://ropac.net
Galerie Perrotin : https://www.perrotin.com
Bernard Vidal : http://bernardvidal.fr
Pierre Soulages
Art Basel : https://www.artbasel.com
Art Brussels : https://www.artbrussels.com/en/
Tappan Collective : https://www.tappancollective.com
Singulart : https://www.singulart.com/fr
Isabel Marant : https://www.isabelmarant.com/fr
École du Louvre : https://www.ecoledulouvre.fr


269 - [EXTRAIT] Amélie du Chalard — Fondatrice D’Amélie Maison d’Art à propos de comment repenser l’expérience de l’art ?
Dans le marché très opaque du monde de l’art contemporain, où les codes d’exposition, de diffusion et d'interaction ont peu été remis en question, Amélie du Chalard a voulu bousculer les règles.
Fini le white cube où sont exposées des œuvres pour une durée plus ou moins longue, la fondatrice d’Amélie Maison d’Art a souhaité repenser l’expérience de l’art à travers le digital et des lieux d’exposition physiques.
À la frontière entre l’appartement et la galerie, ses adresses viennent créer une constellation de liens entre artistes, collectionneurs, amateurs d’art et curateurs. Ce n’est plus le galeriste qui décide pleinement de ce qui est exposé, mais aussi au particulier d’entrer en jeu dans la curation en échangeant sur sa sensibilité artistique. Sous forme de rendez-vous individuel, chaque jour l’accrochage change au gré des envies des particuliers. Artistes émergents comme confirmés, Amélie met en avant une scène nouvelle de l’art où tout médium et talent trouvent sa place.
Entrepreneure dans l’âme, Amélie ne cesse de déployer et définir sa passion pour l’art contemporain à travers de multiples activités. Un modèle à succès qui ne cesse d’étonner et d’inspirer de multiples marchés, de l’art et au-delà.
« Ma mission est de proposer une autre expérience de l’art et d’accompagner le mieux possible les gens dans leur compréhension de leur sensibilité.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Amélie se présente
Son parcours dans la finance
Ce qu’elle comprend des entrepreneurs
Son intérêt artistique
Le déclic qui l’a fait changé de métier
Comment bousculer les codes de l’art contemporain
Les 4 branches de son activité
Les débuts de son activité
Le contrat avec les artistes
Le partage de la valeur
Les commissions
Développer une relation avec ses clients pour mieux les comprendrev
Comment elle a obtenu un taux de conversion de 100%
Sa vision de la galerie d’art
Comment elle est perçue dans le marché ?
L’expansion d’Amélie Maison d’Art
Comment elle organise son temps
L’acquisition
La structuration de ses équipes
L’incarnation de sa marque
Son contenu sur les réseaux sociaux
Les apprentissages des marques de mode sur le modèle de l’art
La fréquentation quotidienne
Comment elle forme ses vendeurs
Le management
Le chiffre d’affaire
Ses inspirations
Son approche aux foires d’art contemporain
Qui elle souhaiterait entendre
« Pour être entrepreneur, il faut avoir une dose d’inconscience et être ancré.»
« Le retail va sans doute se transformer de la manière suivante : plutôt que d’avoir 150 points de vente, il devrait y en avoir moins mais plus expérientiels, plus grands, avec un service client beaucoup plus soigné.»
« Aujourd’hui, si vous voulez aller chercher de jeunes collectionneurs, il faut s’y prendre autrement.»
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Galerie Thaddaeus-Ropac : https://ropac.net
Galerie Perrotin : https://www.perrotin.com
Bernard Vidal : http://bernardvidal.fr
Pierre Soulages
Art Basel : https://www.artbasel.com
Art Brussels : https://www.artbrussels.com/en/
Tappan Collective : https://www.tappancollective.com
Singulart : https://www.singulart.com/fr
Isabel Marant : https://www.isabelmarant.com/fr
École du Louvre : https://www.ecoledulouvre.fr


268 - Déborah Neuberg — Fondatrice De Bonne Facture — L’équilibre entre le style, la qualité et la durabilité
À chaque marque, la notion de durabilité trouve son champ d’expression.
Pour Déborah Neuberg, la fondatrice de la marque De Bonne Facture, les contours de sa marque se sont tout d’abord esquissés en partant à la rencontre des ateliers de fabrication locaux. À l’antipode d’un système de production industrialisé, elle ancre ses critères sur le style, la fonction du vêtement, sa qualité et ainsi sa capacité à durer dans le temps. De ce fait, le vestiaire masculin est apparu comme une évidence pour élaborer toute une collection qui se conjugue entre l’intemporel et le contemporain.
Du tweed, des draps de laine, du lin : les matières choisies chez De Bonne Facture sont sourcées au sein de filières spécialisées dans ces savoir-faire. Au-delà des tissus d’origine naturelle, Déborah a compris que l’éthique d’une production n’était pas limitée par un cercle géographique ou autrement dit par un certain label “made in”. Au contraire, favoriser la culture artisanale de certaines régions du monde est selon elle une forme de valorisation des savoir-faire anciens qui se veut comme une définition de la durabilité.
Dans cet épisode, elle nous parle de comment elle a su affirmer la crédibilité de sa marque tout en développant un réseau de partenaires qui lui vaut aujourd’hui le positionnement d’un luxe durable.
«Toutes ces transformations de notre industrie avec l'industrialisation et les productions à grande échelle ont déconnecté les régions du monde entier de leurs savoir-faire ancestraux. Moi, c’est ça qui m’intéresse. Ce n’est pas forcément le made in.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Déborah se présente
Sa définition du savoir-faire
Ses premières expériences dans la mode
La genèse de sa marque
Les milestones
Le nom et la valeur ajoutée
Qu’est-ce qui fait un vêtement durable ?
La durabilité à travers la préservation des savoir-faire locaux
La distribution
Son premier salon
Acquérir une crédibilité de marque
Les collections
Comment dire non aux collaborations
L’acquisition
Le financement
Ses apprentissages
Ce qu’elle ferait différemment
Qui elle souhaiterait entendre
Ses conseils pour Réuni
«De Bonne Facture est une volonté de retrouver de la qualité et du produit dans une industrie où on a perdu beaucoup le produit au profit de l'image et du storytelling.»
«Pour faire partie d’un groupe de marque et avoir sa légitimité, il faut convaincre par son produit, sa promesse et convaincre les acheteurs. »
«Tout le paradoxe, c’est que la fast fashion a imposé ce rythme même aux marques de slow fashion, DNVB et de précommande qui ont cette fréquence de nouveauté tous les mois. Maintenant, on doit présenter et animer nos collections mais autrement, avec nos propres ADN, convictions et moyens.»
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De Bonne Facture : https://debonnefacture.fr/fr
@debonnefacture : https://www.instagram.com/debonnefacture/
Merci Paris : https://merci-merci.com
Pitti Uomo : https://uomo.pittimmagine.com/en
Ateliers de Paris : https://www.bdmma.paris
Le DEFI : https://www.defimode.org
Matches : https://www.matchesfashion.com/fr/
Mr Porter : https://www.mrporter.com/en-fr/
SEH Kelly : https://www.sehkelly.com
Heschung : https://www.heschung.com/fr/
Union Made : https://blog.unionmadegoods.com
Ssense : https://www.ssense.com/en-fr
Margaret Howell : https://www.margarethowell.fr
Agence de conseil Omendo : https://omendo.com


269 - [EXTRAIT] Déborah Neuberg — Fondatrice De Bonne Facture — à propos de la durabilité à travers la préservation des savoir-faire locaux
Déborah Neuberg — Fondatrice De Bonne Facture — L’équilibre entre le style, la qualité et la durabilité
À chaque marque, la notion de durabilité trouve son champ d’expression.
Pour Déborah Neuberg, la fondatrice de la marque De Bonne Facture, les contours de sa marque se sont tout d’abord esquissés en partant à la rencontre des ateliers de fabrication locaux. À l’antipode d’un système de production industrialisé, elle ancre ses critères sur le style, la fonction du vêtement, sa qualité et ainsi sa capacité à durer dans le temps. De ce fait, le vestiaire masculin est apparu comme une évidence pour élaborer toute une collection qui se conjugue entre l’intemporel et le contemporain.
Du tweed, des draps de laine, du lin : les matières choisies chez De Bonne Facture sont sourcées au sein de filières spécialisées dans ces savoir-faire. Au-delà des tissus d’origine naturelle, Déborah a compris que l’éthique d’une production n’était pas limitée par un cercle géographique ou autrement dit par un certain label “made in”. Au contraire, favoriser la culture artisanale de certaines régions du monde est selon elle une forme de valorisation des savoir-faire anciens qui se veut comme une définition de la durabilité.
Dans cet épisode, elle nous parle de comment elle a su affirmer la crédibilité de sa marque tout en développant un réseau de partenaires qui lui vaut aujourd’hui le positionnement d’un luxe durable.
«Toutes ces transformations de notre industrie avec l'industrialisation et les productions à grande échelle ont déconnecté les régions du monde entier de leurs savoir-faire ancestraux. Moi, c’est ça qui m’intéresse. Ce n’est pas forcément le made in.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Déborah se présente
Sa définition du savoir-faire
Ses premières expériences dans la mode
La genèse de sa marque
Les milestones
Le nom et la valeur ajoutée
Qu’est-ce qui fait un vêtement durable ?
La durabilité à travers la préservation des savoir-faire locaux
La distribution
Son premier salon
Acquérir une crédibilité de marque
Les collections
Comment dire non aux collaborations
L’acquisition
Le financement
Ses apprentissages
Ce qu’elle ferait différemment
Qui elle souhaiterait entendre
Ses conseils pour Réuni
«De Bonne Facture est une volonté de retrouver de la qualité et du produit dans une industrie où on a perdu beaucoup le produit au profit de l'image et du storytelling.»
«Pour faire partie d’un groupe de marque et avoir sa légitimité, il faut convaincre par son produit, sa promesse et convaincre les acheteurs. »
«Tout le paradoxe, c’est que la fast fashion a imposé ce rythme même aux marques de slow fashion, DNVB et de précommande qui ont cette fréquence de nouveauté tous les mois. Maintenant, on doit présenter et animer nos collections mais autrement, avec nos propres ADN, convictions et moyens.»
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Margaret Howell : https://www.margarethowell.fr
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400 - Jérôme Dreyfuss [REDIFFUSION]
Dans cet épisode sorti initialement en janvier 2019, nous allons à la rencontre de Jérôme Dreyfuss, fondateur de la marque de maroquinerie et de chaussures Jérôme Dreyfuss. Dans cet épisode, il revient sur son parcours, sur la genèse de sa marque, il nous parle de ses milestones, il nous donne sa vision de la mode d’aujourd’hui, de notre époque, de l’entreprise et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Jérôme, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.
POUR SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE
01:05 Jérôme se présente et revient sur son parcours.
09:30 Ses premières ventes de sacs, sa relation aux acheteurs.
13:00 À quel moment son business a explosé ?
15:00 Les milestones, le whole sale, les ouvertures de boutiques, les campagnes avec Jean-Paul Goude.
16:15 Qu’est-ce qu’il ferait différemment s’il avait 20 ans aujourd’hui ?
25:20 Qui l’impressionne dans la mode ?
27:30 Sa vision pour Jérôme Dreyfuss dans ce monde qui va mal.
37:46 A quoi ressemble ses journées, comment il s’organise, son ambition pour sa boîte ?
42:25 Son plus bel échec. Qui souhaiterait-il entendre dans le podcast ?


263 - Laure Babin — Fondatrice de Zèta Shoes — Construire une résilience à travers son projet entrepreneurial
Qui pensait que la basket zéro déchet, recyclée, recyclable et vegan était irréalisable ?
Avec Zeta, Laure Babin a accompli le challenge. Il y a tout juste deux ans, elle lançait son projet entrepreneurial sur la plateforme de financement participatif Ulule, une campagne qui a dépassé toutes ses attentes.
L’aventure Zeta commence par l’envie de combiner créativité et entrepreneuriat. Alors étudiante, Laure déconstruit la chaussure pour mieux la comprendre, elle trouve les cuirs végétaux et part à la recherche des meilleures usines artisanales au Portugal.
L’innovation du produit a su séduire clients B2C comme B2B, et c’est notamment avec une collaboration inattendue avec Nespresso que l’entrepreneure continue de marquer les esprits.
Au-delà du concept technologique identifiable, Laure n’oublie pas pour autant l’image. Elle a su affirmer son discours avec honnêteté, où le style du produit est tout aussi important.
Dans cet épisode, Laure parle de la construction de son modèle de marque de A à Z: de la structuration interne, la communication, la R&D, la résilience entrepreneuriale, mais aussi de la stratégie infaillible du personal branding.
« Le discours de ta marque, tu l’affines avec le temps. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Laure se présente
Ses recherches d’usines
Comment faire une chaussure recyclable
Les milestones de la marque
Le déroulé de la campagne Ulule
Sa clientèle
Comment elle explique son succès
La limite du greenwashing
La communication
Les retours clients
Le stock
Le recrutement
La collaboration avec Nespresso
Les apprentissages personnels de l'entrepreneuriat
La structuration de la boîte
La logistique
Le packaging
La stratégie d’acquisition
Le pitch de marque
Comment acquérir une street crédibilité
L’influence
La communication sur LinkedIn
Sa journée type
La spontanéité dans la communication
Les leviers
Le website
Comment apprendre au quotidien
Faut-il revaloriser ses marges ?
Grandir avec son équipe
« J'ai appris à aller au bout d’un projet et à saisir le moment. »
« Quand l’équipe s’agrandit et que chacun trouve sa place, tout est fluide et tu réussis à déléguer. »
« En tant que manager, je ne sais jamais si je vais dans la bonne direction. Ce n’est pas quelque chose qu’on apprend à l’école. »
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Références :
Zeta : https://www.zeta-shoes.com
@zeta_shoes : https://www.instagram.com/zeta_shoes/
Change Now Summit : https://www.changenow.world
Ben&Vic agence d’acquisition : https://www.benandvic.com
Ulule : https://fr.ulule.com
Canva : https://www.canva.com/fr_fr/
Shopify : https://www.shopify.com
Zeta x Nespresso : https://www.zeta-shoes.com/pages/zeta-x-nespresso
Big Blue : https://fr.bigblue.co
@lejeuneengage : https://www.instagram.com/lejeuneengage/
Loom : https://www.loom.fr
Hopaal : https://hopaal.com
Veja : https://www.veja-store.com/fr_fr/


262 - Miren Arzalluz— Directrice du Palais Galliera — La mode comme langage culturel
Paris, capitale de la mode. Et pour cause, on parle souvent du vivier créatif que cette ville représente où de nombreuses marques y dédient leur cœur d’activité. Mais n’oublions pas la richesse historique et culturelle que ce domaine représente.
Pour Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera depuis 2018, la mode est avant tout un phénomène culturel, politique et social qu’elle ne cesse d’étudier.
Avec ses collections notables, l’institution publique où repose une grande partie de l’histoire de la mode marque les esprits avec ses grandes expositions thématiques.
Au-delà de sa pratique de recherche, l’historienne de formation façonne la matière à penser de demain. Elle cultive un rapport temporel où le passé, le présent et le futur se conjuguent en symbiose, et c’est sûrement là où réside en effet tout le challenge de la culture : tenir compte des reliques de la mode pour mieux s’atteler aux questions d’identité et de société. Pédagogique tout comme divertissante, la mode au musée recèle de sujets illimités encore à creuser…
Dans cet épisode, Miren partage sa brillante vision de la mode à travers le multiculturel relatif à ses origines, mais aussi les coulisses de projets d’exposition.
« Ce qui me fascine de la mode, ce sont toutes ses dimensions en tant que phénomène culturel comme manifestations politique, social, un outil de dé-construction d’identité, une expression artistique et aussi une industrie puissante d’un point de vue économique.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Miren se présente
Ses premières expériences dans la culture
Ce qu’elle apprend en Histoire de la Mode
La culture Basque et son histoire
Le paysage de la mode au Pays Basque
Les minestrones de sa carrière
Son expérience à Londres
Faire un musée sur Balenciaga
Son double statut d’historienne et de curatrice
Sa nomination à la direction du Palais Galliera
L’histoire du Palais Galliera
Le rôle d’une musée de la mode
Attirer un public large dans une exposition
Les expositions au Palais Galliera
Les thématiques à aborder
Les enjeux du musée face aux crises sociétales
Son opinion sur la prise de conscience de l’industrie
Sa consommation de mode
Comment elle est habillée
Sa vision pour les prochaines années
« Je suis convaincue de la place centrale de la mode dans notre société. »
« Quand on analyse l’histoire, ce n’est pas que pour être nostalgique, il faut essayer d’identifier les clés pour comprendre l’avenir, c’est pour ça qu'on est historien aujourd’hui.»
« Toutes ces crises ne font qu’accélérer des changements déjà en cours; je veux croire qu’on va vers une mode plus engagée et militante. L’avenir de cette planète est de notre responsabilité. Si ce n’est pas l’industrie, ce sont les consommateurs et la société qui vont l’exiger. »
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Références :
Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr
Victoria & Albert Museum, Londres : https://www.vam.ac.uk
London School of Economics : https://www.lse.ac.uk
Musée Cristóbal Balenciaga : https://www.cristobalbalenciagamuseoa.com/fr/
Musée Guggenheim, Bilbao : https://www.guggenheim-bilbao.eus/fr
Kensington Royal Palace : https://www.hrp.org.uk/kensington-palace/
Musée de la Mode, Anvers : https://www.momu.be/fr/informations-visiteurs
Institut Culturel Basque : institut culturel basque
MET Museum, New York : https://www.metmuseum.org
Musée Carnavalet : https://www.carnavalet.paris.fr
Musée d’Art Moderne de Paris : https://www.mam.paris.fr
Olivier Saillard : https://www.radiofrance.fr/personnes/olivier-saillard
Musée Bourdel : https://www.bourdelle.paris.fr
Exposition Backside, Dos à la mode, 2019 : https://www.bourdelle.paris.fr/fr/exposition/back-side/dos-la-mode
FIT Institute, New York : https://www.fitnyc.edu


258 - Pierre-François Le Louët — Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin — 6 ans pour faire changer l’industrie de la mode
Le monde change et la mode suit le rythme. Le lien entre la politique et l’industrie n’a jamais été aussi important dans une période où les crises nationales, géopolitiques et environnementales s’accumulent. Pour accompagner ces dynamiques, la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin rassemble et représente les marques indépendantes dans une logique de développement raisonné en accord avec leur temps.
À sa présidence durant ces six dernières années, Pierre-François Le Louët a été le porte-parole de ces voix auprès des administrations publiques. En d’autres termes, c’était un peu lui le dirigeant de la mode française. Sa politique s’est déployée autour des grands axes que sont la digitalisation, l’international, l’éducation mais surtout, la RSE. Si ces enjeux se complexifient avec le temps, Pierre-François adopte une posture tout à fait optimiste au regard de la créativité inhérente au secteur et de sa capacité à se réinventer.
Dans cet épisode, il vient faire le bilan des mesures fortes prises au cours de ses mandats, et il nous prépare aussi aux changements législatifs majeurs à venir dans l’industrie. Accompagné d’acteurs clés du secteur, nous lui avons posé des questions au plus près de l’actualité : métavers, art contemporain, création et politique… de quoi être à la page !
«Je suis très positif sur l’avenir de notre secteur parce que la mode, c’est la réinvention permanente. L’humanité, c’est la création et l’innovation. Il y aura toujours de nouvelles marques, perceptions, esthétiques et de nouveaux acteurs.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le rôle de la fédération et de son Président
Le programme de Pierre-François Le Louët
Les grands axes développés durant ses mandats
Que serait son avatar dans un métavers ?
Comment comprendre les enjeux du métavers ?
Les clés pour se démarquer parmi l’ensemble des marques
Ses découvertes artistiques
Son lien avec l’art
Sa rencontre marquante au cours des dernières années
Le projet dont il est le plus fier
Son rapport aux personnalités politiques
Sa première décision s’il était élu Président de la République
S’il devait recommencer son mandat dans le métavers
Comment inscrire l’inclusivité au cœur de la mode
L'événement qui l’a le plus marqué
Les changements auxquels s’attendre dans les prochaines années
Son avis sur la politique
Comment il va mettre à profit le temps dans son agenda
Les pistes pour réussir en tant qu’entrepreneur
«Avant, la mode n’avait pas de tribune. Maintenant que nous en avons une soutenue par le Ministère de la Culture et les Ministères de Bercy, on peut dire haut et fort ce qui va et ce qui ne va pas.»
«Je pense que l’on sous-estime toutes les transformations qui vont être appliquées par les législations qui vont arriver aux niveaux français et européen et surtout, le changement des comportements de consommation qui va être brutal mais pour le meilleur.»
«Pour construire les pépites de demain, il faut tout donner.»
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Références :
Fédération du Prêt à Porter Féminin : https://pretaporter.com
Salon Traffic : https://whosnext.com/traffic
DEFI : https://www.defimode.org
Nelly Rodi : https://nellyrodi.com
Maison Château Rouge : https://www.maisonchateaurouge.com
Patine : https://www.patine.fr
Loom : https://www.loom.fr
Martin Martin : https://martinmartin-paris.com
Salut Beauté : https://www.salut-beaute.com
Avnier (Orelsan) : https://avnier.com
IFM : https://www.ifmparis.fr
Anastasia Bey : https://www.galeriederouillon.com/ARTISTS/ANASTASIA-BAY
Aurèce Vettier : https://www.darmoart.com/aurece-vettier?lang=fr
Make My Lemonade : https://www.makemylemonade.com
Loi AGEC : https://www.ecologie.gouv.fr/mise-en-oeuvre-des-lois-anti-gaspillage-economie-circulaire-et-climat-et-resilience-plusieurs-textes
Contributeurs de l’épisode :
Clarisse Reille, Directrice Générale du DÉFI Mode
Alix Morabito, Special Projects & Trade Marketing Director, Galeries Lafayette
Paul Mouginot, Entrepreneur, Aurèce Vettier
Régis Pennel, Fondateur L’Exception
Marie Dupin, Pôle Conseil Nelly Rodi
Nicolas Parpex, Directeur Investissement dans les Industries Créatives, BPI
Eléonore Baudry, Présidente de Figaret
Yann Rivoallan, The Other Store
Claudine Berthemin, Assistante de direction à la FFPAPF
Paul Alexis, fils de Pierre-François
Mathias Déon, Directeur de Communication à la FFPAPF


400 - [Rediffusion] Charlotte de Fayet, Molli
[REDIFFUSION] Épisode initialement sortie en avril 2019.
Avez-vous déjà songé à reprendre et relancer une vieille marque de luxe, une belle endormie, chargée d’histoire et de savoir-faire ? Charlotte de Fayet l’a fait en rachetant Molli, une marque de maille suisse spécialisée dans la bonneterie puis dans le trousseau de naissance, qui a fêté en 2016 ses 130 ans.Pourquoi et comment racheter une belle endormie, qu’est-ce que ça coûte, comment on la repositionne pour trouver sa niche, son public, comment on fait le tri dans l’histoire et les archives de la marque pour la remettre au goût du jour. Quelle histoire on raconte à ses clients, à la presse, à ses investisseurs, de qui on s’entoure quand on n’est pas forcément du sérail ? Ce sont une partie des questions auxquelles nous allons tenter de répondre dans l’interview qui suit avec Charlotte de Fayet.
SE RETROUVER DANS L'ÉPISODE
01:09 Retour sur le parcours de Charlotte, sa rencontre avec la marque Molli et l’histoire de cette marque
09:38 Pourquoi Molli, comment se passe le rachat d'une marque
17:47 Qu’est ce que Molli vend en dehors du produit, qui est la femme Molli, comment traduire cette femme dans l’image des campagnes, sur les réseaux sociaux
28:55 De qui s’est-elle entourée, comment elle dessine une collection et comment elle fait produire, le sourcing des matières
41:32 Est-ce que les clients sont en demande de transparence, de comprendre comment le produit est fabriqué, qu’est-ce qu’elle avait prévu lors du relancement de la marque
54:10 Comment a-t-elle décidé de faire que du direct et pas du wholesale, comment être cohérent entre l’e-shop et la boutique physique.
01:01:04 Est-ce qu’elle va développer d’autres produits, est ce qu’elle a fait appel à des fonds pour financer le rachat de la marque, qu’est ce qui la motive et sa vision pour Molli
01:09:00 Qu’est-ce qu’elle ferait différemment dans l’aventure Molli, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast
399 - Vanessa Seward - Eloge de la timidité et de l'humilité [Rediffusion]
[Rediffusion - Épisode sorti initialement en 2017]. Pour ce 20ème épisode, nous accueillons Vanessa Seward, après 9 ans chez Chanel, 2 ans chez Yves Saint Laurent, 9 ans à la direction artistique de Azzaro, et 6 collections capsules pour A.P.C., elle lance en 2014 sa marque éponyme Vanessa Seward. Dans cet épisode Vanessa revient sur son parcours et la génèse de sa marque, elle nous parle de ses collaborateurs, de ses collaborations artistiques et de son secret entre autres pour vaincre les périodes de doutes . C’est un épisode passionnant, j’ai adoré interviewer Vanessa, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.


398 - [REDIFFUSION] Gilles Lasbordes, Directeur général de Première Vision
[REDIFFUSION] Épisode initialement sorti en février 2019.
Dans ce nouvel épisode nous allons à la rencontre de Gilles Lasbordes, il est depuis 2012 le directeur général de Première Vision. Première vision est un des acteurs historiques qui opère plusieurs salons professionnels dans l’industrie de la mode pour le sourcing des fils et des tissus. Dans cette épisode Gilles revient sur son parcours, il remet en perspective l’histoire de Première vison au travers des évolutions de l’industrie. On parle de digitalisation du salon, de comment le salon anticipe les tendances pour chaque nouvelle saison, d’accompagnement de la filière sur les sujet de RSE et on parle de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Gilles, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter. Pour suivre Gilles sur Linkedin https://www.linkedin.com/in/gilles-lasbordes-64a899b/Pour visiter Première Vision https://www.premierevision.com/fr/
POUR SE RETROUVER DANS L’EPISODE
01:20 Gilles se présente et reprend son parcours
15:10 Comment on gère les acquisitions en série
19:40 Comment on survie dans une industrie en crise
21:45 Pourquoi grossir et racheter autant de salons
24:20 Comment aborder et gérer l’avènement du e-commerce et la modification du calendrier de la mode
30:00 Comment on amène une filière à se digitaliser
42:00 Comment sont organisés les différents services de Première Vision en interne (logistique, service commercial, pôle mode)
53:00 Comment on reste un des leaders du marché des salons
59:00 L’offre sustainable de Première Vision, comment accélérer la transition 01:06:00 Comment accompagner la filière sur les sujets de la fourrure, de la tendance vegan


396 - Marque et Incarnation : quelle stratégie adopter ? — Table Ronde avec Priscilla Jokhoo de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin, Elise Chalmin, Claire Teixeira (Rosaé Paris), Margaux Lonnberg et Warren Guetta
Construire une marque, c’est élaborer les contours d’une personnalité et poser les fondements d’une identité souvent proche de son créateur. Si la marque vit sur les réseaux sociaux à travers ses produits, la mise en avant d’un contenu plus personnel et spontané apparaît chez certains comme un levier inévitable dans notre société où l’image prône. C’est justement ce double aspect sur lequel une stratégie peut s’écrire. Alors, faut-il lever le voile de ses écrans pour incarner sa marque ?
Ils sont nombreux à avoir fondé leur entreprise de cette manière, de blogueur, influenceur à entrepreneur, incarner sa marque s’avère efficace pour mieux projeter son univers, attirer sa communauté et ainsi sa clientèle.
Ce n’est pas un, mais cinq invités qui se sont passés le micro dans cet épisode pour parler du modèle d’incarnation au sein de leurs marques respectives. Accompagné de Priscilla Jokhoo, directrice du service entreprise de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin, nous avons échangé sur leur parcours personnel, les avantages mais aussi les limites de l’incarnation. Elise Chalmin, Claire Teixeira (Rosaé Paris), Margaux Lonnberg et Warren Guetta expriment chacun leur rapport à leur image où l’envie de durer est un enjeu à ne pas négliger.
Cet épisode bénéficie du soutien du DEFI mode, dirigé par Clarisse Reille.
« Je trouve que la meilleure mise en avant de soi et incarnation c’est de faire parler ta marque sans forcément qu’on sache qui tu es. »
Elise Chalmin, Fondatrice d’Elise Chalmin
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Priscilla Jokhoo se présente
Elise Chalmin se présente
Claire Teixeira se présente
Leurs marques, CA et milestones
La boutique est-elle un levier pour son business ?
Margaux Lonnberg et Warren Guetta se présentent
Choisir son nom de marque
La valeur ajoutée
Les limites de l’incarnation
Comment elles gèrent l’incarnation
Leurs best practice
Les contre-exemples de l’incarnation
L’incarnation comme stratégie marketing
Le modèle de co-création, un levier pour générer de l’engagement ?
L’équilibre entre business et création
Leurs objectifs
« On aime bien reposter les looks de nos clientes car c’est aussi une façon de proposer comment mille filles vont s’approprier de mille façons une pièce. »
Claire Teixeira, Fondatrice de Rosaé
« Quand on a monté la marque, je ne me suis plus du tout mise en avant par rapport à mon blog. C’est comme si une page du livre se tournait. »
Margaux Lonnberg, Co-Fondatrice de Margaux Lonnberg
« Je trouve ça tellement fort d’avoir une boîte, de se mettre en avant, de se prendre en photo et de montrer ton quotidien qui n’est pas toujours cool. Je pense que ça fait rêver les gens parce qu'ils sont curieux, mais il ne faut pas forcer les choses. »
Warren Guetta, Co-Fondateur de Margaux Lonnberg
« Une marque a pour objectif de durer dans le temps. C’est important de construire quelque chose de plus solide et corporate qui dépasse la personne. Au-delà de ça, c’est une entreprise avec des équipes où chacun apporte sa pierre à l’édifice, ce n’est pas juste le succès de quelqu’un. »
Priscilla Jokhoo
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Intervenants :
Priscilla Jokhoo, Directrice Service Entreprise FFPAPF
Elise Chalmin, fondatrice d’Elise Chalmin
https://www.instagram.com/elisechalmin/
https://elisechalmin.com
Claire Teixeira, fondatrice de Rosaé
https://www.instagram.com/claireteixeira/
https://www.instagram.com/rosaeparisofficial/
https://www.rosaeparis.com
Margaux Lonnberg et Warren Guetta, co-fondateurs de Margaux Lonnberg
https://www.instagram.com/margauxlonnberg/
http://www.margauxlonnberg.com
Références :
Fédération Française du Prêt à Porter Féminin : https://pretaporter.com
Programme TALENTS : https://pretaporter.com/expertises/service-entreprise/talents-3-2-2/
DEFI mode : https://www.defimode.org
Garance Doré : https://www.instagram.com/garancedore/
The Sartorialist : https://www.instagram.com/thesartorialist/
@Holybelly : https://www.instagram.com/holybellycafe/
Jean Touitou, APC : https://www.apc.fr/
Sézane : https://www.sezane.com/us
Morgane Sézalory : https://www.instagram.com/morganesezalory/
Le Slip Français : https://www.leslipfrancais.fr
Guillaume Gibault : https://www.instagram.com/ggibault/
Atlein, Antonin Tron : https://www.atlein.com
Simon Porte Jacquemus : https://www.instagram.com/jacquemus/
Atelier Unes : https://atelier-unes.com


4 - Louis Solanet — Co-Fondateur d’Orso Hôtel et Directeur de Solanet Hôtels — De la management company à la marque hôtelière indépendante : paysage d’un business hôtelier
Si vous voulez connaître la recette d’un hôtel réussi, c’est bien à lui qu’il faut s’adresser.
Louis Solanet fait ses débuts dans la société de gestion hôtelière familiale Solanet Hôtels où il accompagne une panoplie d'hôtels franchisés et indépendants en France de gammes différentes. Du groupe Accor à Campanile, il en retient principalement l’importance du lien humain que génèrent ces instants de vie.
Cette gestion lui a inspiré en parallèle un nouveau projet issu du même amour pour le secteur. Avec sa femme Anouk, ils insufflent une simplicité et un retour à l’essentiel en créant la marque d’hôtels indépendants Orso. Sept hôtels parisiens, sept personnalités différentes, mais tous tournés autour des valeurs chères à Louis et Anouk où le goût du bon et du beau existent, sans artifice. À chaque lieu, l’architecture intérieure donne le ton d’une atmosphère chaleureuse, le service n’omet pas l’importance de l'hospitalité et surtout, la localisation est le critère primordial pour une expérience réussie.
Dans cet épisode, Louis nous partage tout le spectre de son expertise de gestion hôtelière, des finances à la création d’identité de marque.
«Souvent, tu crées un souvenir mémorable avec des choses très simples.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Louis se présente
Ses premières expériences
L’historique de l'hôtellerie en France
La management company vs la marque
La structure d’un hôtel
Un bon hôtelier
La différence avec un fond d’investissement
La création d’Orso
Innover dans l'hôtellerie
Comment acheter un hôtel ?
Créer de l’engouement autour d’un hôtel
Sa vision sur le management de l'hôtellerie
L’accueil et le service
Les automatismes de contrôle de qualité
Surmonter la crise du Covid
L’innovation technologique dans le secteur
Comment faire d’un hôtel une institution ?
L’avenir d’Orso
La viabilité d’un hôtel
S’il devait refaire sa vie professionnelle
«On a toujours essayé d’avoir une dynamique de communication un peu décalée et amusante parce qu'on n'avait pas les moyens, mais on avait les idées.»
«Tu peux avoir le meilleur hôtel du monde, si tu n’es pas au bon endroit tu performeras toujours en dessous de l’autre.»
«On voit nos hôtels comme une famille où chaque membre a sa personnalité.»
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Références :
Orso Hotel : https://www.orsohotels.com/fr/
Solanet Hotels : https://www.solanethotels.com
Mérimée, Colomba : https://www.babelio.com/livres/Merimee-Colomba/3512
ESCP : https://escp.eu/fr
Rosewood Hotels : https://www.rosewoodhotels.com/en/default
Hôtel de Crillon : https://www.rosewoodhotels.com/fr/hotel-de-crillon
Campanile : https://www.campanile.com/fr-fr/


267 - [EXTRAIT] Louis Solanet — Co-Fondateur d’Orso Hôtel à propos de l'hospitalité en toute simplicité
Si vous voulez connaître la recette d’un hôtel réussi, c’est bien à lui qu’il faut s’adresser.
Louis Solanet fait ses débuts dans la société de gestion hôtelière familiale Solanet Hôtels où il accompagne une panoplie d'hôtels franchisés et indépendants en France de gammes différentes. Du groupe Accor à Campanile, il en retient principalement l’importance du lien humain que génèrent ces instants de vie.
Cette gestion lui a inspiré en parallèle un nouveau projet issu du même amour pour le secteur. Avec sa femme Anouk, ils insufflent une simplicité et un retour à l’essentiel en créant la marque d’hôtels indépendants Orso. Sept hôtels parisiens, sept personnalités différentes, mais tous tournés autour des valeurs chères à Louis et Anouk où le goût du bon et du beau existent, sans artifice. À chaque lieu, l’architecture intérieure donne le ton d’une atmosphère chaleureuse, le service n’omet pas l’importance de l'hospitalité et surtout, la localisation est le critère primordial pour une expérience réussie.
Dans cet épisode, Louis nous partage tout le spectre de son expertise de gestion hôtelière, des finances à la création d’identité de marque.
«Souvent, tu crées un souvenir mémorable avec des choses très simples.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Louis se présente
Ses premières expériences
L’historique de l'hôtellerie en France
La management company vs la marque
La structure d’un hôtel
Un bon hôtelier
La différence avec un fond d’investissement
La création d’Orso
Innover dans l'hôtellerie
Comment acheter un hôtel ?
Créer de l’engouement autour d’un hôtel
Sa vision sur le management de l'hôtellerie
L’accueil et le service
Les automatismes de contrôle de qualité
Surmonter la crise du Covid
L’innovation technologique dans le secteur
Comment faire d’un hôtel une institution ?
L’avenir d’Orso
La viabilité d’un hôtel
S’il devait refaire sa vie professionnelle
«On a toujours essayé d’avoir une dynamique de communication un peu décalée et amusante parce qu'on n'avait pas les moyens, mais on avait les idées.»
«Tu peux avoir le meilleur hôtel du monde, si tu n’es pas au bon endroit tu performeras toujours en dessous de l’autre.»
«On voit nos hôtels comme une famille où chaque membre a sa personnalité.»
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Solanet Hotels : https://www.solanethotels.com
Mérimée, Colomba : https://www.babelio.com/livres/Merimee-Colomba/3512
ESCP : https://escp.eu/fr
Rosewood Hotels : https://www.rosewoodhotels.com/en/default
Hôtel de Crillon : https://www.rosewoodhotels.com/fr/hotel-de-crillon
Campanile : https://www.campanile.com/fr-fr/


264 - Camille Gabbi — Co-Fondatrice de Imparfaite Paris — Avoir un impact sociétal positif en alignant ses valeurs citoyennes à son business
Acheter, c’est un peu comme aller voter. Alors que la question du sens se pose de plus en plus à travers nos gestes du quotidien, certaines ont fait de leur démarche entrepreneuriale un modèle aligné avec leurs valeurs citoyennes.
Fondée en 2017 par Ariane de Béchade et Camille Gabbi, Imparfaite est la plateforme digitale vintage qui sélectionne des vêtements où la qualité du passé prime sur la production de nouveautés. Car même si aujourd'hui, le marché de la seconde-main intègre une offre surabondante de pièces de fast-fashion, on en vient à se demander quels sont les fondements éthiques de cette démarche.
Camille Gabbi revient une seconde fois sur Entreprendre Dans La Mode pour nous parler de l’évolution de son entreprise depuis sa création. Si à ses débuts, Imparfaite était un moyen d’allier style et seconde-main, le paradigme a changé depuis et s’appuie principalement sur l’acte militant et engagé que connote l’achat. Pour faire face aux discours marketing promouvant le greenwashing des grands acteurs du marché, elle lance un appel à s’engager de manière responsable pour redynamiser le secteur vintage.
Dans cet épisode, Camille nous parle de la croissance de sa plateforme, d’éthique alliée au marketing et à la finance, et de la démocratisation du vintage.
De quoi réenchanter le pouvoir du vintage !
«On a suffisamment de vêtements vintage pour être capables d’habiller des générations entières.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Camille revient sur son parcours
La différence avec les autres plateformes vintage
L’évolution du discours d’Imparfaite
Le marché du vintage est-il opportuniste ?
Comment construire un discours responsable ?
Comment diffuser ce discours ?
Son message aux acteurs du secteur
Générer un modèle viable sur la seconde main en tant que créateur
Comment convaincre à travers un discours écologique
Les leviers d’acquisition
Les KPI’s qu’elle regarde
Le rapport aux vendeurs
Qu’est-ce qui démarque les vendeurs
Comment elle structure l’organisation interne
La responsabilité business et citoyenne
Ses conseils pour Réuni
«Il est de notre responsabilité d’être une voix en contradiction avec les gros acteurs qui ont un budget marketing important.»
«On essaie de penser la mode en stock et non plus en flux afin de créer cette nouvelle ère du circulaire où vivent ces pièces vintage qui ont prouvé leur durabilité grâce à leur style et à leur matière.»
«Il n’y a pas de contradiction entre un business sain, un business qui grandit et être contributeur positif dans notre monde. Il faut juste être aligné avec ses valeurs.»
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Références :
Écouter le premier épisode avec Camille Gabbi: https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-51-camille-gabbi-imparfaite-paris--d9efd6dc0250
@imparfaiteparis : https://www.instagram.com/imparfaiteparis/
Kima : https://www.kimaventures.com
Épisode avec Julia Faure : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/etude-de-cas-loom-1-julia-faure-comment-developper-les-vetements-les-plus-resistants-du-marche--bad946d2f340
Loi anti gaspillage : https://www.ecologie.gouv.fr/loi-anti-gaspillage-economie-circulaire
Re/faire documentaire : https://www.france.tv/france-3/la-ligne-bleue/2363373-re-faire-des-masques-une-filiere-une-industrie.html
Les épisodes du podcast Nouveau Modèle sur l’inclusivité :
https://www.nouveaumodelepodcast.com/galle-prudencio
https://www.nouveaumodelepodcast.com/barbara-blanchard
Maison Cléo :
https://maisoncleo.com/fr/
Ethiwork :
https://ethiwork.com


392 - Bastien Daguzan — Directeur Général de Paco Rabanne —[Rediffusion]
{Épisode sorti initialement en septembre 2018}.Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Bastien Daguzan, Directeur général de Paco Rabanne. Dans cet episode, Bastien revient sur son parcours, depuis ses études supérieures en Droit et à l'IFM, jusqu'à aujourd'hui. Il nous parle de son expérience chez Kris Van Ashe, de sa rencontre avec Christophe Lemaire, de sa méthode qu'il applique à chaque fois qu'il accompagne une marque ; il évoque sa collaboration avec Jacquemus, et sa mission chez Paco Rabanne. J'ai adoré interviewer Bastien, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter.
SE RETROUVER DANS L’EPISODE
01:10 Bastien se présente rapidement et revient sur son parcours
03:00 Son passage chez Kris Van Assche
05:13 Sa rencontre avec Christophe Lemaire, ce qu’il a fait chez Lemaire
09:15 On commence par quoi, quand on prend les rennes d’une maison, comment ça se passe concrètement, le produit, le marketing, le pricing
14:30 Comment ça se traduit dans la communication, les outils qu’il utilise, comment ça se traduit avec les acheteurs
18:00 Comment ça se passe humainement quand il arrive dans une marque, ce mindset vient d’où, qu’est ce qu’il ferait différemment chez Lemaire, ses résultats chez Lemaire
23:40 Comment ça s’est passé au début de sa collaboration avec Fast Retailing (Uniqlo), sa rencontre avec Tadashi Yanai, le patron d’Uniqlo
28:00 Par qui il se fait accompagner sur des sujets techniques
29:30 Après Lemaire, pourquoi il a quitté Lemaire, son arrivée chez Paco Rabanne
32:50 Quels étaient les challenges de Paco Rabanne
34:20 Pourquoi relancer le prêt-à-porter, le chantier Paco Rabanne, le produit, comment retravailler le propos pour l’aligner avec le consommateur final, comment modifier la communication pour toucher la cliente finale
38:40 Comment on devient directeur général d’une marque, être merchandiser, communicant et savoir mener une équipe
40:20 En quoi l’écosystème de la mode a changé depuis 10 ans
45:00 Les réflexes qu’il faut avoir quand on s’attelle à la production
46:00 C’est quoi les points communs des gens qui arrivent à rester longtemps sur le haut de la vague
47:00 Comment il se nourrit, à quoi ressemblent ses journées, son moteur, conseils aux entrepreneurs
53:00 Qui il aimerait entendre dans ce podcast
KEY LEARNINGS
"J’ai commencé en faisant des cartons, et c’est comme ça qu’on apprend. C’est en offrant qu’on peut recevoir."
"L’idée chez Lemaire était très simple, on avait un super propos de marque, un très bel ADN, il fallait juste ouvrir le propos et le rendre plus intuitif pour à la fois le client whole sale et pour le client final. Du coup c’est comme ça que l’on a traité toute cette partie-là, en étant ouvert, en disant « on a un trésor mais montrons-le ». Le propos c’était de faire un vêtement du quotidien, évolutif pour un homme et une femme et qui permettait aux gens d’appréhender la réalité en étant beau."
"Lemaire c’est une marque épistolaire, donc j’ai écrit des courriers, où j’expliquais le propos de la marque, qui on était, pourquoi. »
"Humainement le plus important c’est l’adhésion, tout ce qui compte c est que le projet soit suffisamment viable et compréhensible pour que l’ensemble des équipes puissent l’intégrer et le mener à leur échelle pour qu’il existe."
"Il faut faire en sorte que des gens aient envie de travailler ensemble et dans une direction claire. ""Le ciment d'une boîte c'est donner envie."
"Finalement, la marque c’est qu’on est une boîte de création, oui mais on est ouvert sur l’extérieur. C’est le point central de ma réflexion, quand j’anime une marque, c’est de faire en sorte qu’elle s’ouvre et qu’elle donne envie"
"Ce qu’il faut, c'est de donner envie d'être dans la team/ la crew de la marque"
"Finalement que l’on soit dans un groupe ou seul, on doit juste convaincre des gens, ce n’est que ça notre métier."
"Le parfum sans mode ne peut pas vivre, il est essentiel pour le parfum d’avoir une impulsion de la mode et notamment de son directeur artistique."
« Paco Rabanne c'est une marque éclectique, jeune, qui a envie d’être differente et qui s’adresse à une cliente qui a envie d’être différente et qui, elle aussi, peut être éclectique et avoir différentes personnalités. C’est pour ça que l’objet ici, c’était de concilier un ADN très fort de marque avec une réalité de vie qui est forcément pas en adéquation avec l’époque où Paco Rabanne a fait ses 12 robes importables. Le motto c’est « dare to be different. »
"Avant, une marque de mode c’était une proposition créative, avec des boutiques et on inondait le marché, et si on avait de la maroquinerie pour aider c’était super. Aujourd’hui, la marque doit communiquer, avoir une empreinte forte, un message clair, être authentique et dans ses produits et dans sa com."
"Aujourd’hui le train de croissance vient de la population de 18 à 40 ans. Elle n’a pas forcément le pouvoir d’achat d’une génération plus mature mais néanmoins, c’est elle qui tire la croissance si on lui donne des produits à acheter. "
"Il y a un gros phénomène de zapping. Avant, une marque on pouvait la construire sur des années, il y avait une logique, un développement à la Dries Van Noten sur 25 ans, etc. Aujourd’hui ça devient extrêmement difficile."
"C’est ça qu’il faut aujourd’hui c’est de donner envie d’être dans la crew de la marque, parce qu’elle dit vraiment quelque chose auquel on adhère."
"Le claim de Jacquemus c’est partager un univers créatif et le faire d’une manière la plus ouverte possible, par des produits ultra bien pensés et avec une vraie logique de partage et de générosité, solaire, marseille, etc, etc. "
"Pour rester relevant, pour développer suffisamment de résilience dans le secteur, il faut être d’une curiosité à toute épreuve, il faut sans arrêt avoir envie de découvrir, changer, modifier, et être une sorte de hub d’informations et d’avoir envie de placer la marque dans son écosystème en prenant en compte tout ce qui se passe autour de soi."
"C’est dans l’échange et la construction qu’on arrive à créer de la valeur et du coup, un entrepreneur doit créer de la valeur même dans les problèmes. »
"Le rêve ça ne s’achète pas, le rêve ça se construit et chacun peut avoir un rêve différent."


391 - Nelly Rodi (NellyRodi) - Une vie au service de la mode et de la couleur [REDIFFUSION]
Pour recevoir les épisodes de Entreprendre dans la mode directement dans votre boîte email c'est par ici http://eepurl.com/ggK0A1Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Nelly Rodi, elle est la fondatrice de son agence éponyme. Dans cet épisode, elle nous parle de son parcours, de l’apparition des bureaux de styles, de l'importance de suivre son instinct, et de beaucoup d'autres sujets. J’ai adoré interviewer Nelly, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.SE RETROUVER DANS L’EPISODE00:59 Nelly Rodi se présente et revient sur son parcours.41:03 Comment prédire les futures tendances les milestones de Nelly Rodi.51:29 Être une femme entrepreneur, les périodes qu’elle préfère dans sa carrière, comment on apprend les couleurs.01:03:30 Ses différents mandat, ce qu’elle ferait différemment, comment fédérer les personnes autour de la sustainability, les conseils qu’elle donnerait à un jeune qui veut se lancer dans la mode, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGSPersonnellement, je pense qu’il y a un inconscient collectif et en fait ce qu’il faut, c’est le faire ressortir cet inconscient collectif. Chacun d’entre nous, sommes une part de ce monde en mouvement.On arrive à canaliser de la créativité si c’est bien fait, et en tous les cas, un cahier de tendances ne remplace pas un créateur, il peut donner une impulsion mais cela ne fait pas tout.Dans les années 85, 90, 95, j’avais travaillé avec des sociologues, je pensais qu’il y avait un travail à croiser entre le créatif et le sociologue. Le sociologue qui voit comment la société évolue, et le créatif qui a des impulsions dans ses tripes, ça part du bide, ça ne part pas forcément de l’analyse du cerveau. Et je pensais qu’il y avait des croisements à faire.J’ai adoré lorsque nous n’avons pas dépassé 10 collaborateurs, à partir du moment où on a dépassé 10 collaborateurs, ce n’est plus du tout le même état d’esprit, on devient une grosse boîte.C’est ça qui est difficile quand on grossit, le côté relations humaines.Je pense personnellement que, ce n’est pas parce que des parents n’ont pas d’argent qu’on ne peut pas y arriver, ce n’est pas parce qu’on n’a pas fait d’études qu’on ne peut pas y arriver, ce n’est pas parce qu’on n’a pas la connaissance etc. Il faut aller jusqu’au bout de ce que l’on a dans son bide qui nous dit, qui nous aspire.Ecouter son instinct profond et oser y aller, oser le faire même quand c’est compliqué.REFERENCESNelly Rodi https://www.nellyrodi.com/Lee Edelkoort https://www.edelkoort.com/MAFIA https://agencemafia.fr/Woolmark https://www.woolmark.fr/Pierre François Le Louët https://www.linkedin.com/in/pierre-fran%C3%A7ois-le-lou%C3%ABt-4668764?originalSubdomain=frPremière vision https://www.premierevision.com/fr/Ecole de la fabrique https://www.lafabrique-ecole.fr/R3I Lab https://r3ilab.fr/
See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


257 - Jean-Jacques Picart — Attaché de Presse et Consultant — Le génie qui se cache derrière les grands noms de la mode
On se demande comment aurait le paysage de la mode sans lui.
Durant toute sa carrière, Jean-Jacques Picart a trouvé le goût pour flairer les talents et révéler les grands directeurs artistiques de demain. Il a d’abord mis son intuition et son honnêteté au service de son bureau de presse indépendant lancé dans les années 70, un bureau au succès frappant qui fermera quelques années plus tard au profit d’une nouvelle activité.
Visionnaire, le génie de la communication au carnet d’adresse abondant s’est ainsi laissé porter par le conseil, notamment auprès de Bernard Arnault chez LVMH, ou dans un autre registre, auprès d’Uniqlo. Tel un caméléon qui s’adapte avec aisance à ses environnements du luxe à la grande distribution, l’œil de la mode, c’est bien lui. Car si au fil des décennies, il a vu toute une industrie changer dans ses codes et ses stratégies, lui-même n’a pas pour autant perdu la page.
De ses apprentissages d’une vie, ses anecdotes frôlant la confidence, sa curiosité quant aux méthodes de communication, Jean-Jacques Picart nous offre avec générosité son regard sur le milieu qu’il chérit tant.
Paroles d’un sage qui n’est pas resté enfermé dans son époque…
«Je ne suis jamais plus heureux quand j’assiste au succès de quelqu'un, succès que j’avais pressenti quelques années avant.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Jean-Jacques se présente
Sa fascination pour le milieu de la mode
D’où vient son audace
Son admiration pour Pierre Bergé
Son intuition pour révéler des talents
Comment il préparait ses rendez-vous
Ses premiers clients
Son opinion sur l’élégance
Sa méthodologie pour apprendre le sens de la mode
Comment on suscite de l’intérêt
Sa capacité à être un caméléon dans les milieux
La méthode du succès
La fermeture de son bureau
Comment il utiliserait les réseaux sociaux aujourd’hui
Comment il reste connecté
Ne pas rester enfermé
Sa rencontre avec Bernard Arnault
Ce qu’il a appris auprès de lui
Son rôle chez LVMH
Ses clients de la grande distribution
Comment on fait un succès d’une marque de mode
Le talent révélé d’Hedi Slimane
Qu’est-ce qui fait un bon Directeur Artistique
Son enfance
Ce dont il est le plus fier dans sa vie professionnel
Son secret pour réussir
Comment il appréhendait son travail
Son plus grand échec
Ses apprentissages qui sont toujours applicables de nos jours
Sa position face au conflit
Comprendre les codes de la mode
Son regarde sur la jeune création
Son livre Des vies et des modes
Qui il souhaiterait entendre dans EDLM
Ses conseils pour Réuni
Sa nouvelle vie
«La vie, ce n’est pas le travail. J’ai réussi ma carrière j’aurais pu peut-être mieux réussir ma vie.»
«La presse papier doit analyser, séduire, prendre le lecteur par la main et l’emmener un peu plus loin.»
«Ce qui peut être un problème cache sûrement un cadeau du siècle.»
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Références :
Des vies et des modes, Jean-Jacques Picart : https://fr.fashionnetwork.com/news/Des-vies-et-des-modes-le-carnet-de-route-de-jean-jacques-picart,237599.html
EFAP : https://www.efap.com
Lucien Pagès : https://www.lucienpages.com
Daniel Aron : http://www.danielaron.co/index.php
Camille Miceli DA de Pucci : https://www.elle.fr/Mode/Les-news-mode/Camille-Miceli-nouvelle-directrice-artistique-d-Emilio-Pucci-3944333
LVMH : https://www.lvmhprize.com
Hermès : https://www.hermes.com/fr/fr/story/235001-hermes-artisan-contemporain-depuis-1837/
Christian Lacroix : https://www.christian-lacroix.com
Ami : https://www.amiparis.com/fr/
Coperni : https://us.coperniparis.com
Eugénie Trochu, Head of Editorial Content Vogue France : https://www.vogue.fr/mode/article/eugenie-trochu-head-of-editorial-content-vogue-paris-conde-nast


389 - Régis Pennel — Fondateur de L'Exception (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode nous allons à la rencontre de Regis Pennel, il le président fondateur de l'Exception un concept store créé il y a 6 ans de créateur français et internationaux. Dans cet épisode on revient sur son parcours de polytechnicien passé par la case ministère du budget, on parle de son switch vers le luxe via LVMH, de son blog et de comment Pierre Yves Roussel (Président-directeur général de LVMH Fashion Group) lui a donné l'opportunitée de monter L'Exception alors qu'il était encore en poste chez CELINE, bien sur on parle de ses six années au manette de L'Exception et de beaucoup d'autres sujets. J'ai adoré interviewer Régis, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter. Pour suivre Régis sur Instagram et sur Linkedin
SE RETROUVER DANS L’EPISODE
01:20 Régis se présente et reprend son parcours depuis Polytechnique jusqu’à CELINE
05:30 Son entrée chez CELINE, comment il s’est formé à la mode, on parle de Phoebe Philo et Johnny Coca
12:30 Il nous parle de son blog qu‘il a lancé en parallèle de CELINE pour comprendre le milieu
16:00 L’émergence de l’idée de créer L’Exception 17:35 Comment LVMH a déclenché son envie d’entreprendre et comment ils l’ont accompagné
22:30 La POC (Prove Of Concept) de L’Exception, le départ de LVMH, la première levée de fonds Friends & Familly, passer de 40 marques à 100 marques sur le site
25:00 Le "business model" d'origine , son quotidien à l’époque, les différents "milestones", les premières levées de fond, pivotage du modèle économique32:00 Sa relation avec ses investisseurs, la vision qu il vend sur ses roads show
36:30 Qu’est ce qui a changé dans l’écosystème depuis qu’ils ont démarré
40:00 Pourquoi ils sont leaders sur l’homme aujourd’hui en France, qui est le client L’Exception
42:00 L’acquisition de ses clients, la communauté L’Exception, le bouche à oreille, le lancement de la marque en propre
47:30 Les erreurs de L’Exception
48:40 les différences entre le e-commerce et le retail, ce qu’il a appris en ouvrant sa première boutique, qui il a regardé pour se nourrir, s’inspirer
52:00 L’accompagnement de la jeune création55:30 Comment il s’y prendrait aujourd’hui pour lancer une marque
59:00 Les créateurs qu’il rêverait d’avoir, les pré-requis pour rentrer chez L’Exception, comment il découvre de nouvelles marques01:03:00 Ca ressemble à quoi ses journées, comment il fait pour couper, son moteur, ses outils de productivité
KEY LEARNINGS
Le POC de l’exception c’était entrer 40 marques et faire 100K€ en 4 mois et en combien de temps nous ferions le premier million. Se fixer des objectif chiffré et à court terme. D’après Régis, le bon ratios de lever de fond c’est une fois le CA. On a des investisseurs extrêmement bien veillants, qui sont là sur le long terme et qui ne sont pas uniquement là avec des ratios en tête et une sortie a 3 ans et ça ça change tout.Le truc qui est terrible dans l’e-commerce de mode c’est que tu es en road show perpétuel. Le jour où tu as finis ta levée tu est quasiment en train de préparer ton road show suivant.Ça nous met un an à lever des fonds.On est leader sur l’homme car on est quasiment les derniers. On a gagné par abandon. Nous on fait doucement mais surement, on a jamais fait de grosse levée de fonds, on a fait les choses à notre rythme, on a pas fait des croissances à 100% car on avait pas forcement l’argent pour faire ces croissances là. Mais c’est ce qui fait qu aujourd’hui je n’ai pas cramé l’argent que d’autres boîtes ont pu cramer. L’histoire montre que c’est la bonne stratégie.Nous on a pas hacké quoi que ce soit, on a pris les rames et on a ramé à contre courant et on rame tous les jours.On a un service qui est top, on cherche de nouvel marques, on fait de l’acquisition de client, on fidélise et on re-fidélise. On a pas fait de gros coup médiatiques.On est bon en exécutions. On vit pas sur un coup de buzz. Pour l’acquisition on a les piliers, on a la presse pour la notoriété, on a Adwords pour la conversion immédiate, Facebook pour l’acquisition de nouvelle clientèle et le branding, Instragram et le re-targetting, on a le guifting, un peu d’influence, on prends tous ces piliers la et on essaye de les optimiser au maximum,On a un gros projet sur l’hiver qui est de sortir notre marque en propre. On a un vrai effet boule de neige sur l’homme.Il y a eu un virage qu’on a eu du mal a faire qui était le fait qu'on soit uniquement marque française, on s’était mis nous même dans une niche, il fallait absolument en sortir et on a mis beaucoup de temps a en sortir. C’était sur notre signature, sur notre logo « sélecteur de créateur français » , en 2017 on a rentré des marques étrangères car on n’arrivait plus a sourcer sur le marcher français et on arrivait pas à proposer au client ce qu’il avait envie d’acheter.Dans le retail on va dépendre du trafique, de l’offre et surtout on va dépendre du personnel de vente. On est sur un business qui est très difficile, 80% des marques avec qui on avait commencé n’existent plus. Les marques quand elles démarrent, elles sont petites, elle arrivent très rapidement a faire un premier chiffre d’affaire, à rentrer 10, 20 boutiques. Puis elle arrivent a un seuil qu’elles ont du mal à dépasser. Il y a une double problématique: le financement des productions, des collections de plus en plus large , des salons à financer et une problématique simplement humaine, au bout de 2 ou 3 ans d’existence, la personne a besoin de vivre, de se payer, et au bout de 2 ans elles se demande comment elle va arriver a se payer et si ça va être comme ça à vie.Passer des 20 point de vente à 100/ 200 c’est ce qui est le plus difficile. Les clés pour passer de 20 à 100 comme AMI. Il y a 3 choses qui sont déterminante, nous on l’a vu chez AMI c’est le bon produit, au bon prix, qui permet de trouver le bon client. Ensuite savoir se renouveler suffisamment, AMI arrive à introduire de nouvelles choses à chaque collection. Et la troisième chose c’est le financement, AMI a réussi a faire tout de suite une grosse levée de fond et a réussi tout de suite a faire une production très grosse, ouvrir des boutiques.Faire des salons avec ses "samples" c’est un modèle qui ne marche plus. Il faut y retourner à un moment. Il faut démarrer digital car c’est là que il y a les plus grosses croissances.Une marque comme Coralie Marabelle qui est une marque très image, mais qui utilise les technique des marques digital natives pour s’adresser directement au client finale plutôt que de s’adresser à des revendeurs.On y revient au whole sale, car en fait les marques se rendent compte que ouvrir que des boutiques ça suffit pas car il faut aussi être sur des point de vente image et faire du volume pour faire diminuer les coûts de production.L’idéal ça serait un mixte digitale et de wholesale. Hors la valeur ajouter d’une marque digitale c’est qu’elle casse les prix mais la structure de prix ne correspond plus au modèle whole sale. En fait il faudrait l’intégrer dès le début à la réflexion.Je fais tous les salons, je vais de la première allée à la dernière allée. Si il y a une marque que je connais pas je me dis que c’est pas normale. Tous les showrooms, je demande à voir toutes les marques puis beaucoup de veille sur la presse, sur Instagram.Ce qui me drive c’est d’amener L’Exception le plus loin possible, que ce soit le concept store de créateur de reference dans le monde.
RÉFÉRENCES DANS L’EPISODE
Impala - Jacques Veyrat Le slip Français Coralie Marabelle See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


259 - [EXTRAIT] Ruddy Aboab — Directeur de FIP radio — Le média d’une vie, loin des algorithmes
La musique a bercé son adolescence, elle l’a accompagné dans les moments marquants de sa vie, jusqu’à en devenir l'histoire de sa vie. Ruddy Aboab n’était que stagiaire quand il a franchi avec audace la porte de Radio Nova. Quelques années plus tard, c’est lui qui se retrouve à la direction artistique et fait rayonner à son tour la contre-culture, le jour à la radio et la nuit en soirée. Dans la même optique, il a récemment été nommé directeur de la radio publique FIP connue pour ses voix iconiques et sa programmation musicale tout aussi éclectique.
Créatrice de souvenirs, lien inévitable entre la culture et la vie, Ruddy envisage ce média comme l’exploration de nouveaux territoires musicaux, littéraires et festifs. Loin des algorithmes des plateformes musicales qui anticipent nos goûts, il voit la radio comme une alternative où la gestion humaine n’enlèvera jamais la surprise d’une joyeuse découverte musicale.
Dans cet épisode, il nous partage les coulisses d’un média historique, l’évolution de son modèle économique, son rôle dans l’industrie musicale et sa narration.
On parle aussi de contre-culture et aussi, de l’événementialisation du média.
«La contre-culture se trouve partout aujourd’hui : à la fois dans les clubs, les fêtes secrètes le weekend, sur les réseaux cachés du grand public, dans une manière d’être, une culture et une réflexion personnelle.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Rudy se présente
Son rapport à la radio dans sa jeunesse
Radio Nova
La contre-culture a-t-elle disparu ?
Son parcours
Son évolution chez Radio Nova
Le rôle de programmateur
L’économie de la radio
Un bon concept d’émission
La différence avec les plateformes musicales
L’ambiance de la radio
Programmer un festival
Son départ de chez Nova pour Fip
L’histoire de FIP
Monter une Radio Web
Composer une histoire à travers la radio, loin des algorithmes
Pourquoi la musique est-elle importante ?
Ses cent premiers jours chez FIP
La structure interne
La publicité
Les locaux
Qu’est-ce qu’il changerait dans sa carrière ?
Le rôle d’une radio dans la carrière d’un artiste
Est-ce qu’il se sent heureux dans notre époque ?
L’économie de l’industrie musicale
Ce qu’il conseillerait
Le Pulp
Qui il souhaiterait entendre ?
«Il est important pour une radio de sortir de là où elle émet. La vie d’une radio se passe à 90% du temps dans ses studios et ses couloirs. Les 10% restants, c’est très important d’être à l’extérieur, de faire la fête avec ses auditeurs, de créer un contact entre les artistes et les auditeurs.»
«On rappelle à tout le monde le luxe de travailler dans des radios dont le format est unique et libre. »
«La musique c’est ce qui accompagne nos vies. c’est ce qui ouvre les horizons. Le champ des possibles stimule la créativité.»
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Références :
FIP radio : https://www.radiofrance.fr/fip
Nova : https://www.nova.fr
Les Nuits Zébrées : https://www.nova.fr/podcasts/les-nuits-zebrees-de-radio-nova/
Kiliwatch : https://kiliwatch-paris.com
La Samaritaine : https://www.dfs.com/fr/samaritaine
Society Magazine : https://www.society-magazine.fr
Les Inrocks : https://www.lesinrocks.com
Festival Rock en Seine : https://www.rockenseine.com
À propos du Pulp : https://www.traxmag.com/le-pulp-10-ans-de-club-libre-et-feministe-mythique-racontes-par-christine-physionomiste-attitree/


255 - Ruddy Aboab — Directeur de FIP radio — Le média d’une vie, loin des algorithmes
La musique a bercé son adolescence, elle l’a accompagné dans les moments marquants de sa vie, jusqu’à en devenir l'histoire de sa vie. Ruddy Aboab n’était que stagiaire quand il a franchi avec audace la porte de Radio Nova. Quelques années plus tard, c’est lui qui se retrouve à la direction artistique et fait rayonner à son tour la contre-culture, le jour à la radio et la nuit en soirée. Dans la même optique, il a récemment été nommé directeur de la radio publique FIP connue pour ses voix iconiques et sa programmation musicale tout aussi éclectique.
Créatrice de souvenirs, lien inévitable entre la culture et la vie, Ruddy envisage ce média comme l’exploration de nouveaux territoires musicaux, littéraires et festifs. Loin des algorithmes des plateformes musicales qui anticipent nos goûts, il voit la radio comme une alternative où la gestion humaine n’enlèvera jamais la surprise d’une joyeuse découverte musicale.
Dans cet épisode, il nous partage les coulisses d’un média historique, l’évolution de son modèle économique, son rôle dans l’industrie musicale et sa narration.
On parle aussi de contre-culture et aussi, de l’événementialisation du média.
«La contre-culture se trouve partout aujourd’hui : à la fois dans les clubs, les fêtes secrètes le weekend, sur les réseaux cachés du grand public, dans une manière d’être, une culture et une réflexion personnelle.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Rudy se présente
Son rapport à la radio dans sa jeunesse
Radio Nova
La contre-culture a-t-elle disparu ?
Son parcours
Son évolution chez Radio Nova
Le rôle de programmateur
L’économie de la radio
Un bon concept d’émission
La différence avec les plateformes musicales
L’ambiance de la radio
Programmer un festival
Son départ de chez Nova pour Fip
L’histoire de FIP
Monter une Radio Web
Composer une histoire à travers la radio, loin des algorithmes
Pourquoi la musique est-elle importante ?
Ses cent premiers jours chez FIP
La structure interne
La publicité
Les locaux
Qu’est-ce qu’il changerait dans sa carrière ?
Le rôle d’une radio dans la carrière d’un artiste
Est-ce qu’il se sent heureux dans notre époque ?
L’économie de l’industrie musicale
Ce qu’il conseillerait
Le Pulp
Qui il souhaiterait entendre ?
«Il est important pour une radio de sortir de là où elle émet. La vie d’une radio se passe à 90% du temps dans ses studios et ses couloirs. Les 10% restants, c’est très important d’être à l’extérieur, de faire la fête avec ses auditeurs, de créer un contact entre les artistes et les auditeurs.»
«On rappelle à tout le monde le luxe de travailler dans des radios dont le format est unique et libre. »
«La musique c’est ce qui accompagne nos vies. c’est ce qui ouvre les horizons. Le champ des possibles stimule la créativité.»
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FIP radio : https://www.radiofrance.fr/fip
Nova : https://www.nova.fr
Les Nuits Zébrées : https://www.nova.fr/podcasts/les-nuits-zebrees-de-radio-nova/
Kiliwatch : https://kiliwatch-paris.com
La Samaritaine : https://www.dfs.com/fr/samaritaine
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194 - Nicolas Santi-Weil — Directeur Général de AMI Paris et Business Angel — Une vie entrepreneuriale sous le signe de l’audace (Rediffusion)
Cette semaine nous partons à la rencontre de Nicolas Santi-Weil, directeur général de AMI Paris et business angel. J’avais eu l’opportunité d’interviewer Alexandre Mattiussi, le fondateur de AMI, mais c’est sous une autre perspective que nous abordons le succès de la marque. Après avoir pleinement contribué au développement de The Kooples, Nicolas a mis son expertise entrepreneuriale au service de la marque de prêt-à-porter AMI. Sa carrière riche en apprentissages lui a permis de saisir les opportunités au bon moment et surtout d’avoir une vision managériale remarquable. La difficulté de trouver un terrain d’entente entre création et business est sûrement ce qu’il y a de plus courant dans cette industrie, mais Nicolas sait justement concilier les deux grâce à un sens incontestable de la communication et de l’esprit d’équipe. Dans cet épisode, il nous donne une leçon entrepreneuriale saisissante marquée par l’audace et la résilience. Vous saurez tout de sa stratégie globale pour mener un projet en toute cohérence. « Je pense qu’on peut mêler de belles valeurs, un beau business et une belle croissance. Ce n’est pas du tout incompatible. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de NicolasLe développement de The KooplesLa clé de la réussite entrepreneurialeLa rencontre avec Alexandre MattiussiComment ils ont développé la stratégie de AMISavoir concilier business et créativitéLe recrutement des équipesComment structurer un business existantLe logo AMI et la définition de l’identité de marqueLa compatibilité entre le développement durable et la croissanceSon activité de business angelLes erreurs qui l’ont fait avancerSes projections pour la suiteL’importance de savoir bien s’entourer « Essayez de vous entourer. C’est tellement plus fort de vivre une aventure entrepreneuriale en équipe. » « L’échec fait partie du chemin vers le succès. Il faut se donner les moyens de ses ambitions. » « Aujourd’hui le champ des possibles est très fort parce que les gens sont en quête de sens. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: AMI : https://www.amiparis.com


256 - [EXTRAIT] - Catherine Newey sur la dualité entre opérationnel et créativité dans son métier
Nombreux étaient ceux qui redoutaient le retour en magasin en sortie de crise sanitaire. Avec comme enjeu majeur le renouvellement de l’expérience de vente, Le Bon Marché fait partie de ces lieux de vie où la vente ne s’arrête pas qu’aux simples portants. Prêt-à-porter, épicerie fine, librairie, mobilier, mais aussi expositions, ateliers et concerts, le grand magasin parisien iconique de la rive gauche engage une activité plurielle qui redéfinit l’expérientiel. Tel un mini-village où le beau et le bon sont mis en œuvre avec excellence, le culturel vient agrémenter le retail pour proposer plus qu’une consommation matérielle. À la tête de la direction commerciale, Catherine Newey est chargée de l’offre, l’achat, du service et de la vente. Cette passionnée du produit et du luxe conçoit ce lieu comme un laboratoire expérimental où les jeunes marques émergentes ont tout autant leur place que les marques de luxe au patrimoine conséquent. Entre physique et digital, créativité et marketing, elle a trouvé le juste ton pour orchestrer avec justesse l’organisation de cette grande institution.Dans cet épisode, elle nous partage ses clés pour engager une relation avec sa clientèle et penser l’espace de vente à travers la dimension culturelle.«La passion ne se transmet pas, en revanche la connaissance peut se transmettre.»Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Catherine se présente
Son parcours dans le retail et l’achat
Ce qu’elle retient de son expérience dans le luxe
La dimension artisanale VS marketing
De Louis Vuitton au Bon Marché
Comment elle s’est préparée à ce poste ?
Comment elle tisse le lien avec sa clientèle ?
Sa vision du retail
Les départements au sein de l’achat
La grande épicerie
La cliente Le Bon Marché
Pourquoi ils sélectionnent de jeunes marques ?
L’organisation de l’offre
Le choix d’une marque
Qu’est-ce qui fait qu’un produit fonctionne ?
Faire la différence entre ses goûts et ceux des clients
La durée d’une marque au Bon Marché
Les plus grandes réussites
Comment animer une équipe de vente ?
Qu’est-ce qui fait un bon vendeur ?
Sa préférence entre la mission d’acheteuse et de vendeuse
Les leviers d’acquisition
La part de digital
La sustainability
Les KPI’s qu’elle regarde
Les visites de Bernard Arnault
Le digital VS l’expérience IRL
Ses attentes post-covid
L’importance des défilés
Le calendrier des temps forts du Bon Marché
La structure interne
Comment elle s’organise
Le test & learn d’une marque
Les spécificités du Bon Marché
Son management
La politique d’établissement
Les différences générationnelles des clients et collaborateurs
Le recrutement
Ce qu’elle aurait fait différemment
Qui elle souhaiterait entendre
Ses conseils pour Réuni
«L’exposition est un laboratoire. On s’aperçoit qu’il y a une vraie rencontre entre la marque, son positionnement et sa dimension créative.»«Il faut avoir autant de passion et d’amour pour le produit que le client et tout ce qu’il y a autour.»«Le grand magasin évolue non-stop. Nos équipes restent assez longtemps car elles peuvent évoluer. Elles se nourrissent en permanence et je pense que tant qu’on se nourrit, c’est un pur bonheur.»N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références : Le Bon Marché : https://www.lebonmarche.com/fr/ 24s : https://www.24s.com Dauphine : https://dauphine.psl.eu ESCP : https://escp.eu/fr Lululemon : https://www.lululemon.frDestree : https://destree.com/frCall it by your name : https://www.callitbyyourname.fr


254 - Catherine Newey — Directrice Commerciale Le Bon Marché — Orchestrer l’expérience de vente autour du culturel : le renouveau du grand magasin
Nombreux étaient ceux qui redoutaient le retour en magasin en sortie de crise sanitaire. Avec comme enjeu majeur le renouvellement de l’expérience de vente, Le Bon Marché fait partie de ces lieux de vie où la vente ne s’arrête pas qu’aux simples portants. Prêt-à-porter, épicerie fine, librairie, mobilier, mais aussi expositions, ateliers et concerts, le grand magasin parisien iconique de la rive gauche engage une activité plurielle qui redéfinit l’expérientiel. Tel un mini-village où le beau et le bon sont mis en œuvre avec excellence, le culturel vient agrémenter le retail pour proposer plus qu’une consommation matérielle.
À la tête de la direction commerciale, Catherine Newey est chargée de l’offre, l’achat, du service et de la vente. Cette passionnée du produit et du luxe conçoit ce lieu comme un laboratoire expérimental où les jeunes marques émergentes ont tout autant leur place que les marques de luxe au patrimoine conséquent. Entre physique et digital, créativité et marketing, elle a trouvé le juste ton pour orchestrer avec justesse l’organisation de cette grande institution.
Dans cet épisode, elle nous partage ses clés pour engager une relation avec sa clientèle et penser l’espace de vente à travers la dimension culturelle.
«La passion ne se transmet pas, en revanche la connaissance peut se transmettre.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Catherine se présente
Son parcours dans le retail et l’achat
Ce qu’elle retient de son expérience dans le luxe
La dimension artisanale VS marketing
De Louis Vuitton au Bon Marché
Comment elle s’est préparée à ce poste ?
Comment elle tisse le lien avec sa clientèle ?
Sa vision du retail
Les départements au sein de l’achat
La grande épicerie
La cliente Le Bon Marché
Pourquoi ils sélectionnent de jeunes marques ?
L’organisation de l’offre
Le choix d’une marque
Qu’est-ce qui fait qu’un produit fonctionne ?
Faire la différence entre ses goûts et ceux des clients
La durée d’une marque au Bon Marché
Les plus grandes réussites
Comment animer une équipe de vente ?
Qu’est-ce qui fait un bon vendeur ?
Sa préférence entre la mission d’acheteuse et de vendeuse
Les leviers d’acquisition
La part de digital
La sustainability
Les KPI’s qu’elle regarde
Les visites de Bernard Arnault
Le digital VS l’expérience IRL
Ses attentes post-covid
L’importance des défilés
Le calendrier des temps forts du Bon Marché
La structure interne
Comment elle s’organise
Le test & learn d’une marque
Les spécificités du Bon Marché
Son management
La politique d’établissement
Les différences générationnelles des clients et collaborateurs
Le recrutement
Ce qu’elle aurait fait différemment
Qui elle souhaiterait entendre
Ses conseils pour Réuni
«L’exposition est un laboratoire. On s’aperçoit qu’il y a une vraie rencontre entre la marque, son positionnement et sa dimension créative.»
«Il faut avoir autant de passion et d’amour pour le produit que le client et tout ce qu’il y a autour.»
«Le grand magasin évolue non-stop. Nos équipes restent assez longtemps car elles peuvent évoluer. Elles se nourrissent en permanence et je pense que tant qu’on se nourrit, c’est un pur bonheur.»
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Le Bon Marché : https://www.lebonmarche.com/fr/
24s : https://www.24s.com
Dauphine : https://dauphine.psl.eu
ESCP : https://escp.eu/fr
Lululemon : https://www.lululemon.fr
Destree : https://destree.com/fr
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383 - Dan Arrouas (Groupe Vog) - Epopée d'un self made man (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Dan Arrouas, il est le fondateur du Groupe Vog, business angel et accélérateur de start up, Dan et son équipe accompagnent aujourd’hui simultanément six marques. Il est l'actionnaire historique de ba&sh et Eleven Paris, mais il est aussi présent au capital de Modetrotter, Livy, Make My Lemonade et Rosenanna. Dans cet épisode, il nous parle de son épopée depuis son enfance d’élève médiocre à Créteil, jusqu’à sa formidable réussite en passant par l’école du Sentier. J’ai adoré interviewer Dan, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE00:58 Dan se présente et revient sur son parcours.17:44 La fin du sentier, la rencontre avec les fondatrices de ba&sh, Eleven Paris.41:12 Avoir plusieurs projets en même temps, les débuts de ba&sh, le wholesale, l’ADN de ba&sh.01:13:45 Comment se retrouver dans les marges, l’anticipation, les best practices, comment il voit le futur, comment rester inspirer et dans l’air du temps.01:32:06 A quoi ressemble ses journées, la vie personnelle dans la vie d’un entrepreneur, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast.KEY LEARNINGSCe qui dure dans le temps c’est le produit. Ne pas croire que la com peut venir remplacer le produit, si t’as le produit, tu peux pousser la com bien sûr, mais si tu pousses la com et que tu n’as pas le produit, à un moment donné, il y aura un sujet.Quand tu commences par un échec, si ça avait été le cas, tout le monde doit l’entendre : il n’y a rien de grave, le succès c’est la suite d’échec, c’est la pièce qui s’est retournée de l’autre côté et ça fonctionne. Je ne crois pas à des BP qu’on écrit avec des tableaux Excel, il faut confronter le produit, il faut y avoir une équipe RH qui tient la route, il faut embarquer des gens avec vous dans l’aventure.Les best practices de 0 à 10 millions : Il faut trouver son public, sa clientèle, à qui on s’adresse, le pricing, combien elle a d’argent, qu’est ce qu’on peut lui vendre, quel message on lui envoie à travers les réseaux sociaux, est ce qu’on doit avoir une attitude responsable, est ce qu’on doit être écoresponsable, le sujet RSE, tu ne peux pas imaginer aujourd’hui une marque qui n’est pas RSE. Il n’y en a encore plein, je suis toujours dans des réunions où les mecs sont entrain de me dire « c’est du bullshit ces trucs de RSE, le mec et la fille va toujours préférer acheter son jeans 50€ versus 70 et qu’elle va bruler après » et je lui dit « mais non, je pense que tu te trompes », les gamines qui arrivent sur le marché, qui ont aujourd’hui 10 ans, elles sont piquées au RSE.Le wholesale, c’est un sujet qu’on avait chez ba&sh, est ce qu’on doit le couper, c’est vrai que ça peut avoir du sens de couper le wholesale, tu arrêtes de dessiner tes collections en septembre pour les vendre au mois de janvier et pour les livrer au moins de juin. C’est vrai, ça peut avoir du sens, ça coute de l’énergie, des sous, on est beaucoup moins proche de la réalité puisqu’on est beaucoup plus loin des défilés, c’est beaucoup plus simple de faire quand on voit les défilés. A côté de ça, je pense que pour ba&sh, ça a été une chance pour deux raisons. La première raison : cash, quand tu fais 10 millions de wholesale, tu en gagnes 5, il n’y a pas de sujet en termes de trésorerie, on n’avait pas les moyens de s’en passer. Mais même si on avait eu l’argent pour s’en passer, je pense que ça donne une force à la marque, de devoir 9 mois à l’avance, avant même que les créateurs sortent les collections, devoir réfléchir à une collection, c’est un vrai travail, c’est un travail énorme.Il faut que les marques soient authentiques, on ne peut pas ressembler à quelqu’un, ça ne sert à rien. L’originale sera toujours meilleur que toi.Structurer l’équipe en interne : les achats, la production, le service RH, la gestion informatique, on n’en parle pas beaucoup de l’IT, de la logistique mais sans ça, il ne faut même pas essayer d’être une boîte à 50 millions. Si on n’a pas un dépôt qui fonctionne, un service informatique au niveau, ça ne sert à rien d’imager d’aller à 50 millions. Je pense que c’est : RH, logistique informatique et après structure en interne, structure les équipes, toute la chaîne de valeur, les mettre à niveaux et on passe à 50 millions. Bien sûr, il y a les ouvertures de boutiques, mais elles se font facilement si vous avez de bonnes équipes en face.J’aime bien ce mot « test & learn ». Je dis ça aux jeunes, vous testez, vous essayez, si ça ne fonctionne pas, vous revenez, il n’y a rien qui est immuable, tu essayes, tu tests. Il y aura toujours quelqu’un qui va dire « oh lala ton image quelle catastrophe ». On s’en fout sincèrement, s’il y a 1000 personnes qui ont vu, ce n’est pas la fin du monde, ce n’est pas grave. Tac tac, tu reviens, tu tests, à 100 150 200 millions, tu dois être une Ferrari qui roule à la perfection, tu ne peux pas avoir la moindre erreur.Les planètes s’alignent quand tu te lèves à 8h du matin et quand tu te couches à 10h du soir et que tu as bossé 15 heures, là les planètes s’alignent. Les planètes ne s’alignent pas si tu es détente à 9h30 du matin et que tu pars en trainant des pieds au boulot, là, elles ne s’aligneront jamais. Mais parfois, il y a des gens qui font 8h du matin et 10h et les pauvres, elles ne s’alignent jamais, c’est comme ça donc je crois aussi à la règle des trois tiers : rencontre, travail et chance. REFERENCESGroupe Vog Mode trotter Make my lemonade Livy TINAH See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


253 - Meryl Chiche — Fondatrice de Sessei — Le bon produit au juste prix
S’adapter face aux imprévus, rebondir d’une situation complexe : être entrepreneur au quotidien, c’est aussi se confronter à un marché en perpétuel mouvement.
Pour autant, ce n’est pas ce qui a freiné Meryl Chiche à s’adapter et même à se réinventer.
Depuis sa première aventure entrepreneuriale Les Merveilleuses, un site dédié à la création personnalisée de robes de mariée, elle a compris le pouvoir de la personnalisation du produit, mais aussi les pistes exploitées avec moins de fluidité au cours de son business. C’est à l'approche du Covid qu’elle clôt cette première aventure pour en redémarrer une nouvelle quelques mois plus tard. Avec Sessei, elle promeut la sobriété intemporelle de la chemise pour femme, les belles matières assemblées au Portugal et parfois même une broderie en guise de détail singulier.
Le bon produit, associé à une vision marketing juste et une stratégie digitale en béton : voilà ce qui a permis à la marque de se démarquer en peu de temps.
Dans cet épisode, Meryl nous partage ses best practices pour saisir les opportunités, fixer le juste prix sur le bon produit, mais aussi gérer un business avec spontanéité et humanité.
«Tout réside autour du rapport qualité-prix : tu peux avoir le plus beau produit du monde, si tu n’as pas le juste prix, ce n’est pas bon.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Meryl se présente
Ses premiers projets entrepreneuriaux
La fin de sa marque Les Merveilleuses
Ce qu’elle a appris
Ce qu’elle aurait fait différemment
Le déclic de son nouveau business
Le concept de Sessei
Pourquoi elle a choisi ce marché
Les détails du packaging
Les marges
Le pricing
Pourquoi elle a connu un succès immédiat
Les coulisses de production
Le coût d’un shooting
La valeur ajoutée
Incarner son business dans le réel et non sur le digital
Le lancement
Les influenceuses
Sa vision sur sa croissance financière
La structure interne
Les outils qu’elle utilise
Les KPI’s qu’elle regarde
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast
«Aujourd’hui, je dis beaucoup plus non que oui et je m’en sors mieux.»
«Quand tu arrives sur un secteur où tout a été fait, il faut avoir une exécution exceptionnelle.»
«Instagram c’est génial, mais jusqu’à quand ? L’investissement se fait autant sur l'acquisition de prospects que sur la vente directe. Il faut réussir à avoir un dialogue avec son client et ne plus dépendre de cette plateforme.»
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Références :
Sessei : https://shopsessei.com
@shopsessei : https://www.instagram.com/shopsessei/
Le Bon Marché : https://www.24s.com/fr-fr/
TagWalk : https://www.tag-walk.com/fr/
Drop Box : https://www.dropbox.com
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381 - Barbara Boccara & Sharon Krief — Co-fondatrices de ba&sh® (Rediffusion)
Suivez les aventures de RÉUNI sur Instagram I Twitter I Linkedin I Facebook Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Barbara et Sharon, elles sont les fondatrices de BA&SH. Dans cet épisode, elles nous parlent de leur rencontre, de leur relation de travail avec leur associé, des différents milestones, de leur optimisme, de la bienveillance au travail, de leur secret de complicité après 30 ans d’amitié, et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Barbara et Sharon, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à les écouter.SE RETROUVER DANS L’EPISODE01:00 Sharon et Barbara se présentent et reviennent sur leurs parcours, leur rencontre et leurs débuts.23:38 Leur relation de travail avec leur associé, Dan Arrouas, le sentier.33:20 Les différents milestones.49:26 Ce qu’elles auraient fait différemment.59:33 Le futur de BA&SH, l’accessoire BA&SH, comment feraient-elles si elles devaient lancer BA&SH aujourd’hui, la sustainability.1:10:04 Leurs processus créatifs, à quoi ressemble leurs journées, qui souhaiterait-t-elles entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGSIl n’y a rien qui ne sert à rien dans la vie, tout sert à quelque chose.Une des clés du succès de notre boîte, c’est d’avoir eu toutes ces petites expériences qu’on a pu avoir avant, c’est d’avoir mûri, c’est d’avoir grandi. Parce qu’on se dit toujours, dommage, pourquoi on n’a pas monté cette boîte quand on était plus jeune, quand on avait 20 ans, mais en vrai, si on avait eu 20 ans quand on a monté notre boite, on n’était pas assez mure et on n’aurait, je pense, pas réussi comme on a réussi aujourd’hui.Il ne faut pas avoir peur, il faut tout essayer, il faut se planter puisque c’est de ces expériences qu’on apprend et souvent, celles où on fait des erreurs, au moins, on ne les refait pas deux fois et je dis qu’il faut tout essayer et qu’il n’y a pas de problèmes à se scratcher, ce qu’il ne faut pas, c’est ne rien faire.Quoi que vous y fassiez, mettez-y tout votre cœur ! Il faut y croire, il ne faut écouter personne, si on avait écouté les gens à l’époque, on n’aurait jamais monté cette boîte.REFERENCES :Jean Marc Felous https://www.jeanmarcfellous.com/Eduardo Velasco https://www.linkedin.com/in/eduardo-velasco-3984512?originalSubdomain=frL capital http://www.lcattertoneurope.com/
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251 - Daphné Hézard — Fondatrice et Rédactrice en Chef de Regain et Correspondante France de Monocle — De la vie trépidante de journaliste au média indépendant qui cultive la beauté de l’essentiel
Alors que l’exode de la capitale vers des terres rurales ne se fait plus rare depuis quelque temps, elle avait déjà pressenti un besoin de retour aux choses plus simples.
Au gré des saisons, la rédactrice en chef du magazine Regain Daphné Hézard met en lumière la vie à la campagne sous toutes ses formes depuis 2018. En terres rurales ou près de la mer, elle offre à travers ce journal un regard sans filtre sur ce que génère la nature. Des savoir-faire agricoles anciens, des engagements politiques et citoyens aux métiers de la terre, Regain célèbre avec poésie un rapport à la nature sain et fécond.
Pourtant, rien ne prédestinait la journaliste autodidacte à cette voie. Rédactrice en chef de L’Officiel, présentatrice de l’émission activiste et écologiste Global Résistance et plus récemment editor at large pour le magazine Monocle, Daphné est ce genre de personnalité insatiable qui a eu mille vies en un laps de temps.
Dans cet épisode, elle nous parle de sa carrière dans la presse féminine, de sa vision éditoriale et entrepreneuriale du média.
Rendez-vous avec Daphné en terre rurale, où la beauté de la nature n’a jamais fini de vous époustoufler…
«Pourquoi aller s’entasser dans les villes où la qualité de vie est vraiment dure et très chère alors qu’il y a plein de choses à faire dans les villages ?»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Daphné se présente
Ses premières expériences et ce qu’elle en retient
Sa carrière entre la presse et l’audiovisuel
Son expérience chez Jalouse Magazine
Son expérience chez L’Officiel Magazine et L’Officiel Voyage
Son expérience de productrice télé
Ses débuts chez Monocle avec Tyler Brûlé
Ses missions et les codes du média
Comment elle reste informée ?
La genèse de Regain
La distribution et le modèle économique
Ses apprentissages autour de ce projet
La ligne éditoriale du magazine
Son agence de création
Sa vision pour Regain
L’impact que génère Regain
Comment elle briefe ses journalistes ?
Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast ?
Ses conseils pour Réuni
«Arrêter le support papier dans la presse reviendrait à arrêter toute une industrie et toutes les valeurs que Regain véhicule.»
«Notre mission est de réduire la distance avec le monde paysan et de rappeler ce qui se faisait à l’époque.»
«La fermeture d’un bistrot, c’est la mort d’un village. Des restaurants ou des auberges fermées qui ne demandent qu'à renaître, il y en a dans toute la France.»
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Références :
Regain Magazine : https://www.regain-magazine.com
@regainmagazine : https://www.instagram.com/regainmagazine/
Façonnable : https://www.faconnable.com/fr_eu/home
Wallpaper : https://www.wallpaper.com
@jalousemag : https://www.instagram.com/jalousemag/?hl=fr
L’Officiel : https://www.lofficiel.com
Monocle : https://monocle.com
Monocle Radio : https://monocle.com/radio/
Winkreative : https://www.winkreative.com
Konfekt Magazine : https://konfektmagazine.com
Rustica : https://www.rustica.fr
Modern Farmer : https://modernfarmer.com
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Terre et Fils : https://terreetfils.org
Jean Giono, Regain : https://www.babelio.com/livres/Giono-La-triologie-de-Pan-tome-3--Regain/1101794


379 - Romain Blanquet-Ferrero (Kitten Production) La clé, c’est la sérénité que tu transmets aux gens. (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Romain Blanquet Ferrero, il est le cofondateur de Kitten Production.SE RETROUVER DANS L’EPISODE1:04 Romain se présente et revient sur son parcours.11:45 Le parcours de son associé Jonathan, Cats & Dogs.16:36 Qu’est ce que la production aujourd’hui.24:28 Les demandes des clients et ce qu’ils font, comment il arrive à séduire les plus grandes marques.35:45 Les plus grosses complications qu’il peut y avoir, la fidélité et loyauté au travail, les objectifs qu’ils donnent des employés, leur business modèle.49:47 Les structures en dehors de Kitten, comment ils répartissent les tâches, un de ses pires souvenirs de production.1:18:26 Ce qu’il dirait à Romain 20 ans, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGSD’une manière générale, je pense que la clé, c’est la relation humaine. Même si vous avez en face de vous quelqu’un qui est timide, ou qui ne veut pas faire forcément d’effort, il y a toujours un moyen de parler à quelqu’un, de mieux le connaître. Je pense que ce qui fait notre réussite, c’est notre implication, notre intégrité et notre savoir-faire.La clé de tout, c’est de rester calme. Le stress fait prendre de mauvaises décisions. Je ne suis pas tout à fait d’accord avec les gens qui disent qu’il faut stresser pour être performant, qu’il y a des moments où on a besoin d’être stressé. Je pense que ce qui te permet de désamorcer une situation, c’est la connaissance de ton métier, je pense qu’il faut être très ferme sur tes appuis, c’est-à-dire que si tu es capable d’assumer ton rôle et si tu as toutes les réponses à toutes les problématiques qu’il peut y avoir, il ne peut pas t’arriver grand-chose.La clé, c’est la sérénité que tu transmets aux gens.Je pense que le roulement, le fait qu’il y ait des gens qui rentrent et qui partent, c’est ce qu’il y a de pire dans une boîte. Ta vraie valeur ajoutée, c’est les gens aujourd’hui qui constituent Kitten, c’est tes équipes. C’est pour ça qu’on s’attache à leur donner les meilleures conditions de travail.Être artiste aujourd’hui, c’est devenu un combat de tous les jours.Il faut être ultra exigeant avec ce qu’on shoot, ce qu’on va shooter, ce qu’on va montrer, les gens avec qui on va travailler. Après, il y a une espèce de parcours, il faut travailler avec les bonnes personnes au bon moment. Il faut travailler avec les bons stylistes, avec les bons magazines. Il ne faut pas signer dans la mauvaise agence, il faut travailler avec les bons agents. Une fois que vous faites ces choix-là et si vous les réussissez, généralement, il y a des chances que vous fassiez carrière dans ce métier-là.Quelqu’un qui a du talent, il va vite être repéré par certaines personnes mais après, il y a aussi les gens qui ont du talent et qui n’ont pas fait forcément les bons choix, et c’est là où il faut être bien accompagné dès le départ. Aujourd’hui, on en voit plein, il y a tellement de jeunes artistes talentueux et qui ne font pas forcément les bons choix après derrière. C’est très compliqué, une fois que vous n’avez pas shooté les bonnes personnes ou les bons magazines ou que vous n’avez pas fait les bonnes photos au bon moment, vous perdez 6 mois, 1 an ou 2 ans facilement. REFERENCES :KittenPublicis ChanelHermèsDiorBalenciagaLacosteSMCPAmiVuittonVogueI-DDazedPurpleStudio Upper EastSheriff Oliver Hadlee Pearch IFMAlessandro Michele See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


250 - Côme Mellerio — Secrétaire Général de Mellerio — Raconter le précieux héritage d’une maison de luxe à l’ère du digital
Il s’agit de la plus ancienne maison de joaillerie au monde. Depuis sa création en 1613, Mellerio a été le fournisseur officiel de la cour de France et marque aujourd’hui les instants significatifs d’une vie.
L’entreprise familiale a récemment laissé place à sa quinzième génération. Avec Côme Mellerio au poste de secrétaire général, la richesse considérable du patrimoine est loin d’être un fardeau. Au contraire, l’histoire continue de s’écrire grâce aux archives utilisées comme des ressources créatives, repensées sous le prisme de l’ère du temps, de ses sensibilités esthétiques jusqu’aux enjeux marketing actuels.
Si le re-branding a permis de faire coïncider la dimension historique avec le digital, la maison indépendante souhaite bien faire perdurer son héritage, et ainsi, une vision du luxe qui s’appuie sur un principe de durabilité.
Dans cet épisode, Côme nous partage son amour pour la joaillerie et l'entrepreneuriat.
Il nous emmène au sein de la mythique Place Vendôme, là où les archives, studios de création et de fabrication de Mellerio donnent naissance aux précieux bijoux.
«Une marque peut mettre 400 ans à se créer mais 5 minutes à se détruire donc il faut faire attention à ce que l’on crée.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Côme se présente
Son parcours
L’histoire de Mellerio
Les archives de la maison
Les pièces historiques
L’évolution de la maison
Les responsabilités familiales
La fabrication
Le symbole de la place Vendôme
La structure de la société
Le re-branding
Créer sa place dans un marché saturé
Le positionnement
Les leviers de croissance
La relation client dans le luxe
L’acquisition
Les actionnaires
La clientèle
Le sourcing et les enjeux de RSE dans la joaillerie
Pourquoi la joaillerie fascine-t-elle ?
Son approche aux investisseurs
Ce qu’il ferait s’il n’avait pas ce poste
Se différencier
Comment il reste à la page
Ses conseils pour Réuni
«Les archives sont très importantes car ce sont vraiment les codes de la maison. Si on veut rester Mellerio, il faut qu’on se réfère aux pièces historiques imaginées de manière contemporaine.»
«Dans le luxe, il est important de ne pas se précipiter et de construire les choses avec une réflexion à 20 ou 50 ans. »
«Il y a assez de diamants sur terre. On recherche une économie circulaire plutôt que d’essayer de mettre la main de l’homme dans la création de nouveaux diamants.»
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Références :
Mellerio : https://www.mellerio.fr
@melleriojoaillier : https://www.instagram.com/melleriojoaillier/
Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com
DLX : https://www.dlx.co
Le Wagon : https://www.lewagon.com/fr
Label RJC : https://www.responsiblejewellery.com/wp-content/uploads/Les-Bijoutier-JANUARY-FEBRUARY-2014-–-N°-807-RJC-Article.pdf


166 - Services Généraux (Bureau de Création) —Comment Antoine et Valentin ont inventé un business au service de leur liberté créative (Rediffusion)
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Valentin et Antoine, co-fondateurs et directeurs artistiques de Services Généraux, un studio créatif à la croisée des domaines artistiques. C’est à la sortie de l’école et à l’issu de leurs stages que ce duo de choc est né. Ensemble, ils produisent des images, des objets, des espaces et bien plus encore. Ces services créatifs destinés à créer une narration et un univers de marque les amènent aujourd’hui à travailler pour les grands de la mode et du design. Avec leur expertise technique et créative, ils proposent une vision innovante qui leur vaut un modèle entrepreneurial très personnel et adapté à leurs envies. En toute transparence, ils nous parlent de leurs premiers projets, de la démarche des clients, d’image de marque et des budgets.Un échange d’une très grande richesse qui j’espère vous inspirera autant que moi !« Ce que j’aime dans la mode, c’est qu’elle fait intervenir de très nombreux talents dans plein de domaines: des scénographes, des graphistes, des set designers, des stylistes. En fait tout ça est un prétexte qui dépasse la qualité formelle du vêtement où sa qualité narrative. Et c’est une des industries qui met le plus de ressources intellectuelles, créatives et financières pour les arts visuels. À ce titre-là, je suis extrêmement heureux d’évoluer dans cette industrie. »AntoineCe que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’Antoine et ValentinComment ils définissent Services GénérauxLa création de Services GénérauxLeurs premiers projetsL’importance de l’image dans la modeComment ils choisissent leurs projetsComment ils qualifient leur esthétiqueLeur processus de création et de productionSavoir gérer les relations avec ses clientsLeur stratégie d’acquisitionL’accompagnement entrepreneurialLeur vision pour Services GénérauxComment ils font face à l’incertitudeLa rémunération, leurs tarifs et leur avis sur la valeur du travail Leur rythme de travailLe projet Oasis« Si on montre exactement ce qu’on aime faire, les clients nous appelleront exactement pour ça. » Valentin« Le fait qu’on soit polymorphe, bizarre et difficile à vendre, tout ça c’est au détriment d’une activité commerciale. Mais les bénéfices c’est que nos journées avec Valentin sont très variées. On peut sauter d’une image à un film, d’un film à un petit objet, d’un objet à un espace. C’est confortable et on fait les choses qu’on aime. » Antoine« On n’a pas du tout peur d’investir et de dépenser de l’argent. Je pense même qu’on a beaucoup de frais et de charges pour une entreprise de notre taille. C’est à la fois pour un développement rapide, pour un confort personnel qui se répercutent sur la productivité, la capacité à être créatif. » Antoine « Il n’y a rien de méritocrate là-dedans. Tout ça c’est 1% de talent, 9% de travail et 90% de chance. » AntoineSi vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Pour en savoir plus sur Services Généraux : https://generaux.services Leur instagram : https://www.instagram.com/servicesgeneraux/ Willo Perron : https://www.willoperron.com Bildung : https://www.bildung.fr David Giroire : http://www.davidgiroire.com


249 - Pierre-Yves Roussel — CEO de Tory Burch (ex-directeur du LVMH Fashion Group) — Coordonner des métiers de passion et de raison
Riccardo Tisci chez Givenchy, Phoebe Philo chez Céline, Jonathan Anderson chez Loewe : derrière ces stratégies de recrutement de talents créatifs au succès incontestable se trouve Pierre-Yves Roussel.
À la tête du LVMH Fashion Group et du comité exécutif pendant plusieurs années, Pierre-Yves a supervisé le développement des marques du groupe leader du luxe en définissant le positionnement de chacune, mais surtout en constituant les équipes créatives et business.
C’est en s’intéressant au processus du travail créatif qu’il a brillamment projeté sa vision où le dialogue entre chaque partie est primordial. La connaissance 360 du secteur a permis à l’ex-conseiller financier de chez McKinsey de résoudre des problèmes avec agilité.
Aujourd’hui, c’est aux côtés de Tory Burch qu’il continue d’écrire l’histoire d’une aventure humaine, créative et entrepreneuriale.
Dans cet épisode, Pierre-Yves nous livre ses clés pour coordonner des métiers de passion et de raison, écrire l’histoire d’une marque pérenne et comprendre les objectifs d’un bon management d’entreprise.
« À chaque fois qu’il y a une crise, il y a des opportunités.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Pierre-Yves se présente
Ce qu’il a gardé de sa carrière dans la finance
Comprendre les problématiques d’une entreprise d’un point de vue extérieur
Ses débuts chez LVMH
Son rôle et l’évolution de ses missions
Ses apprentissages auprès de Bernard Arnault
La vision qui l’a menée au succès
Le recrutement dans la direction artistique
Mesurer le succès d’un recrutement artistique
Comment recruter un bon CEO compatible avec le DA ?
Ses débuts chez Tory Burch
Son recrutement chez Condé Nast
L’ambition de la marque
Comment se renouveler ?
Préserver son business et son couple
Comment rester passionné par son business ?
Sa vision sur la réussite d’une entreprise
Comment faire durer une marque ?
Ses conseils pour Réuni
« Je crois qu’on apprend toute sa vie. Le jour où on n’apprend plus, ça veut dire qu’il faut changer d’activité.»
« Une marque, c’est comme un livre : vous écrivez différents chapitres et il faut que l’histoire soit raccord. Si vous répétez la même chose, on s'embête.»
« Je regarde toujours le succès des entreprises à travers le succès des individus. »
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Références:
Wharton : https://www.wharton.upenn.edu
HSBC : https://www.hsbc.fr
McKinsey : https://www.mckinsey.com
LVMH : https://www.lvmh.com
Andam : https://andam.fr
CFDA : https://cfda.com
Tory Burch Foundation : https://www.toryburchfoundation.org
Tory Burch : https://www.toryburch.com


375 - Aurelien Arbet — Co-fondateur de Etudes (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre d’Aurélien Arbet, il est d’un des cofondateurs d’Etudes. Dans cet épisode, il nous parle de son parcours, des différents milestones d'Etudes et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Aurélien, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.SE RETROUVER DANS L’EPISODE00:53 Aurélien se présente et revient sur son parcours14:05 Les débuts d’Etudes Studios, les milestones, leur collaboration avec Rizzoli pour leur livre27:55 Les apports de leur livre, comment ils se positionnent, le processus créatif41:50 Comment gérer le fait d’être plusieurs directeurs artistiques pour une même marque, ce que l’on achète en plus du produit Etudes52:36 Comment réussir à allier le business et le créatif, à quoi ressemble ses journées, les pires moments d’Etudes, est-ce qu’il ferait les choses différemment, comment il voit le futur de l’industrie, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGS On a eu la naïveté de se dire, « on est créatifs, il y a ce que l’on sait faire et il y a des gens qui seront business et qui seront faire » bah non. En fait, si tu veux aller où tu veux aller, il faut toi, mettre les mains dans ces choses-là. On l’a fait un peu par défaut au début, et assez vite on y a pris goût parce qu’on se rend compte que c’est comme ça que l’on maîtrise son projet, c’est comme ça que l’on est au courant de ce qu’il se passe, qu’on comprend, qu’on peut être actif dessus.REFERENCESHixsept HomecoreJérémie EgryJosé LamaliAntoine BélékianMarc BothorelJe suis une bande de jeunes Comme des garçonsDover street marketAgnès b.BlessAlifeSupremeLivre « When Etudes Become Form » RizzoliLuca MarchettiSacai Pedro WinterWoodkidOrelsanAdidasThe NY TimesKarl KaniHenry TaylorMirwais Strass, Taxi girl See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


374 - Charlotte Chesnais — fondatrice de sa marque de bijoux éponyme (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Charlotte Chesnais, elle est la fondatrice de sa marque de bijoux éponyme. Dans cet épisode, elle nous parle de son parcours, de l’apprentissage dans une grande maison, de son processus créatif pour sa marque de bijoux, de l’industrie de la mode et de beaucoup d'autres sujets. J’ai adoré interviewer Charlotte, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE 00:55 Charlotte se présente et revient sur son parcours.21:36 Le lancement de sa marque et l’importance de l’ADN d’une marque.44:19 L’ADN Charlotte Chesnais, son travail de freelance.59:57 A quoi ressemble ses journées, son processus créatif, sa collaboration avec Byredo.01:06:57 Comment elle voit l’industrie de la mode évoluer, ce qu’on peut faire à notre échelle.01:17:28 Ce qu’elle dirait à Charlotte, 20 ans, ce qui l’impressionne dans la mode, ce qu’elle ferait si elle arrêtait sa marque de bijoux, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast.
KEYLEARNINGS
Je n’ai jamais fait, et d’ailleurs je ne conseille pas aux gens de faire ça, mais je n’ai jamais fait de brand book ou par exemple, si demain il faut présenter la marque à un investisseur, on a rien, on n’a pas de document ou même, avant même de présenter à un investisseur, si on veut allez chercher tel acheteur aux Etats-Unis et qu’on veut lui présenter la marque, jusqu’à il n’y a pas très longtemps, on n’avait pas de document, c’était genre « regardes le site », parce que je me disais, les bijoux se suffisent à eux-mêmes, sauf qu’en fait non.Je suis un peu, ce n’est peut-être pas très politiquement correcte, mais je suis un peu dégoûtée comme beaucoup je pense aujourd’hui de toutes les collections en pagaille. On a pas besoin d’autant de vêtements, on sait que c’est une industrie qui pollue énormément et malgré ça on ne fait rien ou alors on fait des conseils avec des bonnes intentions mais en vrai, la bonne intention c’est de faire moins mais de faire mieux, de faire en édition plus limitée, de faire moins de collections, on n’a pas besoin d’avoir 6 collections par an.Le problème, c’est que, si tu ne joues pas le jeu, tu peux te faire bouffer, parce que ce qui se passe c’est que si toi tu dis « bah moi je vais faire que deux collections par an », donc tu vas livrer le Bon Marché, tu fais que deux collections par an, à côté, il y a quelqu’un qui lui en fait 4, parce qu’il a accepté le jeu d’en faire 4, ce qui commence à être beaucoup, je ne te parle même pas des maisons qui en font 6, eux ils vont livrer plus souvent donc toi ton rack, il a l’air pourrit parce que toi t’as livré en décembre et puis ensuite t’as prévu de relivrer qu'en juin donc entre décembre et juin, il ne se passe rien, donc soit on te remplace par quelqu’un d’autre, soit ton rack a l’air pourrit. Ce que je veux dire, c’est qu’il y a quand même une réalité, où je ne jette pas la pierre aux maisons qui le font mais c’est aussi un espèce de moyen d’exister, je pense juste qu’il faut qu’il y ait un truc beaucoup plus global qui doit être fait.Il y a des acteurs dans la mode qui pourraient agir et qui auraient une influence sur tous les autres.Des groupes comme Kering ou LVMH, ils ont tellement de moyens financiers, qu’ils peuvent aussi se permettre de faire des choses sans trop se stresser si ça va fonctionner ou pas, parce que c’est vrai qu’ils ont les reins solides. Ne serait-ce que quand tu es une petite maison, tu n’as pas ce choix, cette richesse, donc tu dois plus être straight to the point, tu ne peux pas faire tant de références, tu ne peux pas faire 30 références et voir lesquelles vont marcher parce que tu n’as les moyens d’en développer que 5, donc t’en fait 5, donc tu édites. Et en fait, toutes ces maisons presque, elles subissent maintenant le fait qu’elles ont trop de moyens parce que quand tu as des moyens, quand tu n’as pas besoin de choisir, tu commandes tout le menu.Le seul conseil que je pourrais donner à quelqu’un qui veut entreprendre dans la mode, c’est d’aller vraiment faire ses armes dans une maison parce que c’est fou ce que c’est formateur, et de gens que l’on va rencontrer. Ce n’est pas que la formation, c’est aussi le réseau que l’on va se construire.Cela n’a pas de prix : le jour où on veut se lancer, d’être bien entourée, c’est génial.REFERENCES Charlotte Chesnais https://www.charlottechesnais.fr/fr/Studio Berçot https://www.studio-bercot.com/Vincent Darré https://www.maisondarre.com/Balenciaga https://www.balenciaga.com/frNicolas Ghesquière https://www.instagram.com/p/Bwq8wgPAX8z/Bouchra Jarrar https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouchra_JarrarNatasha Ramsey https://www.instagram.com/p/Bxb6fpWiZFl/Alexander Wang https://www.alexanderwang.com/fr-en/women?gclid=CjwKCAiA8ejuBRAaEiwAn-iJ3iYGmoCG9AwyK9sOzlvM425skvyz6sKikSQbKKsnw74kV1a2xEacbRoCqOAQAvD_BwEJulien Dossena https://www.instagram.com/p/B2TtGF4iqek/Episode Lucien Pagès https://podcasts.apple.com/fr/podcast/62-lucien-pag%C3%A8s-lucien-pag%C3%A8s/id1300541489?i=1000426015412Episode Sarah Andelman https://podcasts.apple.com/fr/podcast/88-sarah-andelman-colette-just-an-idea/id1300541489?i=1000437384314L’ANDAM https://andam.fr/A.P.C https://www.apc.fr/frfr/M/M https://www.mmparis.com/Byredo https://www.byredo.com Ben Gorham https://www.instagram.com/p/BwTxwoTAytQ/ See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


168 - Sophie Hersan— Co-fondatrice et Directrice de la mode responsable de Vestiaire Collective — La plus grande garde-robe du monde (Rediffusion)
Cette semaine, je reçois Sophie Hersan. Elle est la co-fondatrice et directrice de la mode de Vestiaire Collective, la plateforme incontournable de la seconde main dans la mode et le luxe. Sophie fait ses débuts dans la mode entre la presse et la création mais c’est avec ses amis et un constat alarmant qu’elle décide de lancer son entreprise.Ils sont six amis, six passionnés et avec leur expertise, ils fédèrent une communauté devenue aujourd’hui internationale. Avec eux, Sophie a inventé un nouveau modèle économique circulaire et a instauré un changement profond dans l’industrie de la mode.Pionnière sur le marché, elle contribue aussi à la transformation du secteur en échangeant avec les marques et les institutions. Dans cet épisode, elle nous parle de sa vision de la communauté, de l’alliance entre mode et technologie mais surtout, elle soulève de nombreux questionnements autour du style et des habitudes de consommation.« On a toujours été un peu anti-tendances puisque c’est le style versus la mode. On ne suit pas les tendances mais on redonne vie à des articles qui étaient oubliés. C’est ce que cherche le consommateur : à personnifier son style plutôt que de suivre une mode. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de SophieSes premières expériences dans la modeLes rencontres qui mènent au déclicLes débuts de Vestiaire CollectiveL’installation des locaux et la gestion du stockageLes valeurs fondatricesLa question du style et la ligne éditorialeLa recherche d’investisseursComment fédérer une communauté Le rôle de Sophie et ses évolutionsComment elle a changé l’offre dans l’industrie de la modeSes engagements pour faire évoluer la modeLa structure interneCe qu’elle ferait différemment Le modèle de circularité et ses enjeuxLe brandingL’équilibre entre sa vie professionnelle et personnelleSes références culturelles« La transmission c’est important, je l’ai appris de la mode. Quand tu vois la création depuis 60 ans, tout est une histoire de transmission. Je pense que c’est important de continuer et pour moi, transmettre, ça m’enrichit. »« On était convaincus qu’on allait changer le monde. On est tous nés de cette même réflexion : c’était la fin d’une ère et il fallait dire stop au gaspillage. Quand on consomme même pas 40% de sa garde-robe, ça veut dire que 60% c’est du gaspillage. Il fallait que ça s’arrête. » « Rejoindre un mouvement responsable aujourd’hui, c’est rejoindre une communauté d’activistes. Quand on achète et qu’on vend de la seconde main, on adhère à des valeurs en étant soucieux des impacts environnementaux et sociaux. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Vestiaire Collective : https://fr.vestiairecollective.com Paris Good Fashion - Convention citoyenne pour une mode plus responsable: https://parisgoodfashion.fr/fr/ Re-fashion (campagne #RRR) : https://refashion.fr/citoyen/fr? On The Wild Side Cosmetics : https://onthewildsidecosmetics.com


171 - Clémentine Larroumet & Antoine Ricardou cofondateurs des studios Be-Poles— Comprendre l’art du storytelling (Rediffusion)
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Clémentine Larroumet et Antoine Ricardou les cofondateurs des studios Be-Poles. Ces deux passionnés de l’art et du design se retrouvent à la sortie de leurs études pour créer ce qu’ils appellent un « laboratoire créatif ». Pour eux, la création se définit au pluriel : de l’édition, au design, en passant par l’architecture et au branding, ils sont de réels scénaristes du quotidien. Une maîtrise de l’identité visuelle et un dévouement pour leur travail qui leur permettent de travailler sur une grande diversité de projets. Parmi leurs clients, ils comptent La Maison Plisson, NoMad Hotel, Merci et Cyril Lignac. Ils sont guidés par l’envie de créer et aujourd’hui ils partagent cette énergie entre Paris et New York. Dans cet épisode, Clémentine et Antoine s’expriment sur leur vision de l’identité de marque, sur leur approche au business et sur les projections pour le futur de Be-Poles.« Je crois profondément qu’il faut faire ce que l’on aime. Il faut avoir une envie de délivrer ce que tu veux revendiquer. » Antoine Ricardou Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Clémentine et Antoine se présententLe studio Be-PolesLes milestones de l’entrepriseLeur rencontre avec Pierre BergéLa vision du studio à l’époqueComment garder l’équilibre en grandissantLeurs projets et comment ils se différencientLeur définition d’une marqueComment ils travaillent avec les marquesLeurs projectionsLeur role modelsLa création comme source de plaisirLa gestion de projetL’ADN du studioLe travail de l’archiveLeurs bureaux à New YorkLeur position face au contexte actuelLes projets remarquablesQu’est-ce qu’il se diraient à 20ans« Ce qui est génial, c’est que les clients qui nous suivent sont très exigeants. On s’allie ensemble pour faire des projets très forts. » Clémentine Larroumet « À quoi ça sert de se réunir ? Si c’est pour bosser derrière ton Mac, tu peux le faire à distance. Se réunir, c’est pour créer cet état de workshop qui est vraiment important pour nous. » Antoine Ricardou« Aujourd’hui tout le monde regarde dans une même direction à cause des réseaux sociaux. C’est dangereux parce qu’on s’inspire de la même chose. Nous, à travers un voyage ou un weekend, on dessine, on ramasse des choses et on se nourrit de références différentes. » Clémentine LarroumetN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Be-Poles : https://be-poles.com @bepoles : https://www.instagram.com/bepoles/ Le Barn Hotel : https://lebarnhotel.com The Family Coppola : https://www.thefamilycoppola.com https://www.thefamilycoppolahideaways.com NoMad Hotel : https://www.thenomadhotel.com Stefan Sagmeister : https://sagmeisterwalsh.com


248 - Hors-série : Acquisition — Romain Tardy — De Instagram à Tik Tok, quelles stratégies gagnantes adopter ?
Alors que notre temps de concentration est happé par les réseaux, le terrain digital apparaît comme une aubaine pour les marques en quête de croissance. Pour ce deuxième épisode spécial acquisition, on s’interroge avec Romain Tardy sur les codes du digital, le lien qu’il engage et donc de sa puissance inévitable.
Plus besoin de produire des campagnes aux budgets déraisonnables pour convertir son audience en client, aujourd’hui tout se trouve à portée de main. Le fondateur du bureau stratégique et créatif partage une analyse pointue sur les deux canaux d’acquisition majeurs du digital, aussi concurrents que complémentaires : Instagram et Tik Tok.
Identifier le réseau adapté à son ADN, mais aussi produire un contenu au récit fort, finalement même si l’on croit connaître ces codes, la stratégie digitale de marque est un apprentissage quotidien.
Comment se démarquer dans l’algorithme ? Quels contenus produire ? Quel ton employer ? Entre les deux réseaux, si les cibles et les temps sont sensiblement marqués d’un écart, la compréhension de ces enjeux ne peut qu’entraîner un usage efficace et fructueux pour sa marque.
«Instagram, c’est des codes, une culture, c’est aussi un algorithme. Si on ne connaît pas ces éléments, on ne peut pas maximiser son potentiel d’acquisition.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours de Romain
Sa définition de l’acquisition
Comprendre les réseaux sociaux
Organic VS paid
Comment convertir son audience en client
Construire une stratégie d’acquisition gagnante
Quels sont les codes des réseaux sociaux ?
Le cas de Tik Tok
Sur quoi investir son temps et son argent ?
Comment commencer sur Tik Tok ? Les exemples à suivre
Les typologies de contenu
Créer du contenu pédagogique
«On ne capte pas l’attention en faisant comme tout le monde. Il faut avoir un récit fort, distinctif, lui donner corps avec des typologies de contenus qui soient marquées avec de vrais partis pris.»
«Les réseaux sociaux sont une occasion très simple pour les marques de créer un lien quotidien de proximité avec leurs audiences et donc leurs clients. »
«Il ne faut pas avoir peur de produire homemade tout en étant exigeant sur la qualité du contenu.»
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Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références :
Bureau Tardy : https://www.bureautardy.com
BWGH : https://www.instagram.com/bwgh/?hl=fr
IFM : https://www.ifmparis.fr
L’épisode avec David Obadia (Harmony) : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-74-david-obadia-harmony--9da7a4f03653
Veja : https://www.veja-store.com/fr_fr/
Husbands: https://husbands-paris.com/#boutiquehome1
Marcia : https://www.marciawear.com
Caudalie sur Tik Tok : https://www.tiktok.com/@caudalie
@balenciaga : https://www.instagram.com/balenciaga/
Salomon sur Tik Tok: https://www.tiktok.com/@salomon?lang=fr


247 - Hors-série : Acquisition — Paul Albou — Co-Fondateur de Ubu — Comment engager sa communauté sur Instagram ?
Exit le community management où les actions standardisées n’ont plus vraiment d’impact pour différencier sa marque dans le paysage médiatique. Paul Albou a imaginé Ubu, une plateforme de management des réseaux sociaux permettant une gestion plus organisée et efficace sous la forme d’une messagerie sociale Direct To Consumer.
Alors qu’Instagram ne permet plus vraiment de sortir du lot, tout l’enjeu se trouve dans l'interaction avec ses abonnés. Selon Paul, engager sa communauté, c’est avant tout identifier les profils pour mieux cibler et développer ses stratégies de marketing d’influence. Un mix idéal de tech et data qui vise à faire reprendre le contrôle sur sa communauté et ses ambitions de croissance.
Dans cet épisode, Paul nous raconte comment Ubu souhaite transformer le community management en community engagement. Il nous partage ses best practices pour une croissance viable et organique sur les réseaux grâce aux partenariats, mais aussi, ses outils de gestion interne pour sa jeune entreprise déjà bien rodée.
«En se basant sur une approche de l’ordre de la conversation plutôt que de la transaction, ça te permet d’identifier les vrais amoureux de la marque.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Paul se présente
Ses premiers jobs
Le concept de Ubu
Les liens d’affiliation
Les milestones
L’origine du nom
La gestion interne
L’outil Discord
Les best practices de recrutement
Les rendez-vous d’équipe
Son rôle
Se démarquer dans un la jungle médiatique
Ses objectifs pour le futur
Ses conseils pour Réuni
«Si tu fais une entreprise qui répond aux problématiques autour de toi, c'est à ce moment-là que tu vas être aligné avec tes valeurs et que tu vas créer beaucoup plus de sens.»
«Il faut avoir une approche plus communautaire que médiatique. Rien que le nom ‘community management’ est très froid alors que ça devrait être plutôt du ‘community engagement’.»
«L’enjeu est toujours de trouver des personnes qui sont alignées avec ta proposition de valeur et qui vont pouvoir s’engager de manière authentique.»
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Références :
Ubu : https://fr.getubu.com
Garçons Infidèles : https://www.garconsinfideles.com
Shopify : https://www.shopify.fr
Discord : https://discord.com
One Pilot : https://onepilot.co
Deel : https://www.letsdeel.com/about
Vaer : https://www.vaerwatches.com
Ré-écouter l’épisode EDLM de The Bradery : https://podcasts.audiomeans.fr/entreprendre-dans-la-mode-21ce90d45098/-196-timothee-linyer-edouard-caraco-co-fondateurs-de-the-bradery-revaloriser-les-invendus-dans-une-logique-vertueuse-043d0a9d46ff Paul Albou — Co-Fondateur de Ubu — Comment engager sa communauté sur Instagram ?
Exit le community management où les actions standardisées n’ont plus vraiment d’impact pour différencier sa marque dans le paysage médiatique. Paul Albou a imaginé Ubu, une plateforme de management des réseaux sociaux permettant une gestion plus organisée et efficace sous la forme d’une messagerie sociale Direct To Consumer.
Alors qu’Instagram ne permet plus vraiment de sortir du lot, tout l’enjeu se trouve dans l'interaction avec ses abonnés. Selon Paul, engager sa communauté, c’est avant tout identifier les profils pour mieux cibler et développer ses stratégies de marketing d’influence. Un mix idéal de tech et data qui vise à faire reprendre le contrôle sur sa communauté et ses ambitions de croissance.
Dans cet épisode, Paul nous raconte comment Ubu souhaite transformer le community management en community engagement. Il nous partage ses best practices pour une croissance viable et organique sur les réseaux grâce aux partenariats, mais aussi, ses outils de gestion interne pour sa jeune entreprise déjà bien rodée.
«En se basant sur une approche de l’ordre de la conversation plutôt que de la transaction, ça te permet d’identifier les vrais amoureux de la marque.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Paul se présente
Ses premiers jobs
Le concept de Ubu
Les liens d’affiliation
Les milestones
L’origine du nom
La gestion interne
L’outil Discord
Les best practices de recrutement
Les rendez-vous d’équipe
Son rôle
Se démarquer dans un la jungle médiatique
Ses objectifs pour le futur
Ses conseils pour Réuni
«Si tu fais une entreprise qui répond aux problématiques autour de toi, c'est à ce moment-là que tu vas être aligné avec tes valeurs et que tu vas créer beaucoup plus de sens.»
«Il faut avoir une approche plus communautaire que médiatique. Rien que le nom ‘community management’ est très froid alors que ça devrait être plutôt du ‘community engagement’.»
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369 - Sébastien Kopp - Fondateur de Veja & Centre Commercial (Rediffusion)
Je partage chaque vendredi dans ma newsletter des actus, des outils, des process et des stratégies pour vous aider à monter votre marque. Inscrivez-vous sur www.entreprendredanslamode.comPour soutenir le podcast:1. S'inscrire sur Entreprendre dans la mode pour ne rater aucun épisode.2. Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast pour aider d'autres entrepreneurs et acteurs de la mode à découvrir le podcast.3. Vous pouvez aussi me soutenir en participant au financement de ce projet sur https://www.patreon.com/entreprendredanslamodeMusiques : Théo DarcelCette semaine je reçois Sébastien Kopp, le co-fondateur de Veja et de Centre Commercial. C’est un épisode qui est enregistré en public lors de l’Open Studio de Veja dans le cadre de la Fashion Revolution Week et a pour objectif de contribuer au mouvement global Fashion Revolution et honorer la mémoire des victimes du Rana Plaza. Bonne écoute!POUR SE RETROUVER DANS L’EPISODE01:30 Sebastien se présente et revient sur la génèse de Veja puis sur les différents miles stones de la marque25:28 Le financement au démarrage33:00 Tout ceux qui parlent d’urgence je m'en méfie comme de la peste, l’urgence est une mauvaise conseillère.38:30 Comment on grandit sans encombre et qu’est ce qui a fait que ça a prit?40:00 Pas de publicité. Pourquoi? Les collaborations, pourquoi et comment on fait pour que les partenaires ne fasse pas ça pour faire du green washing48:30 la certification B-Corps. Pourquoi et comment? La gouvernance d’entreprise?52:00 Upcycling, Circularité, Transparence? Qu’est ce qu’il ferait différemment? Qu’est ce qu’il regarde pour s’inspirer? Qui il souhaiterais entendre dans le podcast?58:00 Question du public : Pourquoi Veja? La complémentarité avec son co-fondateur Ghislain? L’évolution de la vision de Veja par le public? Le sourcing des matières premières plus proches des marchés?KEYLEARNINGS On s’est dit: si nous on essaye pas de faire quelque chose de différent qui aura le loisir d’essayer?On préfère 1000 Veja plutôt qu’un gros.Nous c’est toute la chaine de production qu’on souhaite faire évoluer.Nous chez Veja notre projet c’est que ce soit une situation "win win" des matières premières jusqu’à la boutique qui les vends.Je suis assez confiant parce que je crois que chacune / chacun se rend compte aujourd’hui que sa voix peut porter, que des combats peuvent porter très vitre très loin très fort et qu’on a la chance de vivre à une époque ou l'information va beaucoup plus vite donc on se rend compte qu'on peu avoir beaucoup d’impact même en restant petit. Faire grandir ses projets tranquillement plutôt que d'essayer tout de suite d’avoir un impact énorme. Tout le monde nous parle de scalability, c’est un mot si quelqu’un le dit dans une salle je sors, je m’en vais, ça me saoule, le truc de vouloir grandir, mais pourquoi vouloir grandir? pourquoi vouloir être gros? pourquoi ne pas essayer de faire les choses bien step by step.On ne communique jamais sur les chose qu’on n'a pas encore fait.10 à 15% de nos clients connaissent le projet de Veja le reste achète parce que le produit leur plaît et ça me va comme ça ! Cela veut dire qu’on a réussi.REFERENCES DANS L’EPISODESebastien Kopp VejaCentre CommercialMichael Moor Tristan Lecomte Alter ecoSpring CourtSupergaBernard Stiegler Avnier
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246 - Hors-série : Acquisition — Viviane Lipskier — Définir sa stratégie d’acquisition grâce au digital
Cette semaine, on parle d’acquisition dans le cadre de ce hors-série où interviendront plusieurs experts. Et qui de mieux placé que Viviane Lipskier pour nous introduire cette notion indispensable à toute entreprise ?
Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’experte DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».
Difficile de se démarquer dans le paysage actuel où regorge pléthore de marques et de discours. Alors que la production de contenu digital semble essentielle de nos jours, comment se démarquer et attirer la juste cible ? À travers divers formats et médias, il est possible d’imaginer une stratégie d’acquisition pertinente et efficace. Car si l’on est soumis aux algorithmes des réseaux sociaux, comprendre leurs mécanismes et la logique de référencement est en effet un moyen d’optimiser
Viviane nous partage ses best practices avec comme toujours, exemples concrets à l’appui. Facebook lead Ads, annonces Instagram, live streaming…vous saurez tout sur ces outils !
«Avant de se préoccuper de l'acquisition, il faut déjà se préoccuper d’avoir construit une marque et d’avoir conquis la confiance.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
L’acquisition, définition et objectifs
Rappel sur le modèle du dropshipping
Comment concevoir sa stratégie d’acquisition
Facebook Lead Ads
Les annonces Instagram
Le choix du réseau pour toucher justement sa cible
L’usage des hashtags, un outil toujours utile ?
Le livestreaming
Les podcasts
«Une stratégie d’acquisition est un pilier dans une stratégie marketing solide.»
«Aucune agence ne te développera ta communauté.»
«La question de la confiance se joue sur des marques qui descendent de leur pied d’estale. Elles sont plus crédibles si elles se mettent au niveau des consommateurs.»
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
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Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !
Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références :
Brand Alchimy : https://www.brandalchimy.com
@donuthumans.yt : https://www.instagram.com/donuthumans.yt/
Chaîne Youtube Donut Humans : https://www.youtube.com/channel/UCMy6DOPGrl3AY5tqrCoQctw
Facebook Lead Ads: https://www.facebook.com/business/ads/lead-ads
Make my Lemonade : http://makemylemonade.com
Ads Spotify : https://ads.spotify.com/fr-FR/news-et-insights/lancement-spotify-ad-studio-en-france/


367 - René Celestin (OBO + Ubi Bene) - Organisateur des plus gros défilés de mode du monde (Rediffusion)
Découvrez RÉUNI, mon nouveau projetEcoutez le podcast Building RÉUNI sur Apple Podcast I Spotify I SoundcloudSuivez les aventures de RÉUNI sur InstagramJe partage chaque vendredi dans ma newsletter des actus, des outils, des process et des stratégies pour vous aider à monter votre marque. Inscrivez-vous sur www.entreprendredanslamode.comPour soutenir le podcast:1. S'inscrire sur Entreprendre dans la mode pour ne rater aucun épisode.2. Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast pour aider d'autres entrepreneurs et acteurs de la mode à découvrir le podcast.3. Vous pouvez aussi me soutenir en participant au financement de ce projet sur https://www.patreon.com/entreprendredanslamodeMusiques : Théo DarcelDans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de René Célestin, il est le fondateur de OBO et actionnaire d'Ubi Bene. Dans cet épisode, René nous parle de son parcours, des grands milestones de sa carrière et d’OBO, son rapport aux regards des autres et on parle de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer René, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.SE RETROUVER DANS L’EPISODE00:54 René Célestin se présente et revient sur son parcours.17:22 Les grands milestones de sa carrière.26:19 Comment il organise un show, son rapport à la mode, les milestones d’OBO, la création d’un défilé.50:02 Ce qu’il retient de ces milestones.1:01:47 Ses souvenirs marquants, comment gérer le stress, l’acquisition de l’agence Ubi Bene, la relation avec le designer.1:16:44 La façon dont les maisons communiquent sur les défilés, est-ce qu’ils travaillent sur différents supports médias, l’arrivée du sport dans la mode, le sustainability.1:32:26 Qu’est ce qu’il se dirait à lui, 20 ans, est-ce qu’il ferait des choses différemment, les gens qui l’inspirent.1:40:10 Comment il gère le regard des autres, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGSQuand tu es un ultra intuitif, tu peux pas négliger que le process ça aide les autres à venir avec toi.Je n’ai jamais vécu le challenge comme une chose désespérante, ça me fait marrer de pas savoir faire un truc.Il y a toujours un quotient de douleur dans notre apprentissage.Un des trucs que je regarde beaucoup et qui me touche presque autant voire plus, ce sont les gens que j’ai laissé dernière moi à qui j’ai eu l’opportunité soit d’amener de l’aide, soit de leur apprendre quelque chose ou de leur permettre de gagner en connaissance ou en assurance ou ce genre de choses. Le temps passant, le côté humain joue un rôle de plus en plus important pour moi.REFERENCES :OBO https://oboglobal.eu/Ubi Bene http://ubi-bene.fr/Institut Savignac https://www.ecole-de-savignac.com/Relais & château https://www.relaischateaux.com/fr/Potel & chabot https://poteletchabot.com/Victoria Secret https://ww.victoriassecret.com/fr/?cm_mmc=SEM-_-Google-FR-_-vsint_brand_FR_FR_Brand_HighVis-_-ST_Exact_victoriasecret&gclid=Cj0KCQjwl6LoBRDqARIsABllMSYjyrSGwFf6ARHG7KGcURtb0n4mJMJxzf8MlY3qee5ag6JCfYLXjI0aAqyZEALw_wcB&gclsrc=aw.dsMET Gala https://fr.wikipedia.org/wiki/Met_GalaJohn Galiano https://www.johngalliano.com/LVMH https://www.lvmh.fr/Vogue US https://www.vogue.com/magazineMusée Rodin http://www.musee-rodin.fr/Bureau Betak http://www.bureaubetak.comKCD https://www.kcdworldwide.com/Stella McCartney https://www.stellamccartney.com/frGucci https://www.gucci.com/fr/fr/Nina Ricci https://www.ninaricci.com/fr-FR/Eva Herzigova https://fr.wikipedia.org/wiki/Eva_Herzigov%C3%A1Made Fashion Week http://ma.de/Joseph Altuzarra https://www.altuzarra.com/en-fr/Alexander Wang https://www.alexanderwang.com/fr-en/Episode Alexandre Mattiussi https://soundcloud.com/entreprendre-dans-la-mode/79-alexandre-mattiussi-amiL’ANDAM https://andam.fr/Antonin Tron https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonin_TronAtlein http://www.atlein.com/L’Oréal Paris https://www.loreal-paris.fr/Giorgio Armani https://www.armani.com/fr/armanicom/unisexe/giorgio-armani/cross_sectionBalenciaga https://www.balenciaga.com/frLouis Vuitton https://fr.louisvuitton.com/fra-fr/homepageVêtements https://fr.wikipedia.org/wiki/VetementsTom Ford https://fr.wikipedia.org/wiki/Tom_FordBernard Arnault https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Arnault
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245 - Beverly Sonego — Fondatrice de Monogram Paris — Luxe et seconde main : la promesse d’un modèle vertueux et authentique
Du petit espace de 9m² dédié à son activité d’auto-entrepreneure au prestigieux showroom du 8 ͤ arrondissement, Beverly Sonego a créé son modèle d’entreprise idéale de toutes pièces. La fondatrice de MONOGRAM Paris, plateforme de seconde main dédiée au luxe, a fait grandir en une dizaine d'années une communauté à son image, de passionnées du luxe en quête d'authenticité et de sens.
Tout a commencé quand elle vidait ses placards et ceux de ses amis puis sélectionnait et revendait les vêtements via des plateformes de vente en ligne. Alors que la seconde main n’était pas encore un sujet d'actualité, elle a combiné ses meilleurs atouts, soit la connaissance du produit et des stratégies digitales. En plus du bouche-à-oreille, sa croissance s’appuie également sur son expertise de conseil qu’elle applique au sein de son showroom physique, mais aussi en live sur Instagram.
Conquérante, l'entrepreneure autodidacte a bien pour objectif de disrupter ce marché en plein essor. Dans cet épisode, Beverly nous parle du développement de son entreprise, du pricing dans la seconde main et de l’importance du service client.
«Quand tu es passionnée, tu ne ressens pas la charge de travail.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Beverly se présente
Son parcours dans la musique
Ses débuts dans l'entrepreneuriat
Le développement de son business
La rentabilité
Le re-branding
Le concept de Monogram
Les corners
Le contrôle fiscal
Son ambition
La logistique
Le service client
Le recrutement
Comment expliquer le boom de la seconde main
Préparer un live instagram
Comment elle nourrit sa créativité
Les réseaux sociaux
L’influence
Organiser sa vie
Les ressources humaines
«J’ai très vite compris que le luxe et la seconde main avaient besoin de créer un lien fort.»
«On est à l’écoute du marché. On se doit de bouger et d’être là où les gens vont.»
«Paris est un vivier de trésors de seconde main.»
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Références :
Monogram Paris : https://www.monogramparis.com/fr/
@monogramofficiel : https://www.instagram.com/monogramofficiel/
Art Curial : https://www.artcurial.com
Kiliwatch : http://kiliwatch.paris
2C finance : https://www.2cfinance.net
Blue Lemon : https://bluelemon.io/fr/
Dress Code press : https://www.dresscodepress.com
La Clinique des Champs Elysées : https://www.crpce.com
Messika : https://www.messika.com/fr


156 - Peggy Frey — Journaliste (@peggfrey) — Oser réinventer le métier de journaliste à l’ère d’Instagram (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, on part à la rencontre de Peggy Frey. Après avoir travaillé dans la presse écrite, notamment chez Madame Figaro, elle décide de changer de voie. Aujourd’hui, elle se décrit comme « Social journalist » et transmet sa passion des rencontres sur son compte Instagram. Elle a construit une communauté fidèle grâce à ses interviews sans filtre de personnalités de l’industrie de la mode. Peggy nous raconte comment elle a eu le déclic de réinventer son métier à l’ère d’Instagram.« Je savais juste que je voulais interviewer et rencontrer des gens. Je me suis rendue compte que j’adorais poser des questions, peu importe à qui et peu importe la thématique. »Ce que vous apprendrez dans cet épisode :Le parcours de PeggySon métier de journaliste et ses précédentes missions dans la presse féminineLe déclic qui lui a fait changé de vieSa méthodologieLA question à poser en interviewConcilier son travail loin de ParisComment communiquer quand on est une jeune marqueLes enjeux de la presse face au digitalSa transition de la presse féminine à InstagramSa ligne éditoriale sur son compte InstagramSon business model et comment elle s’organise quotidiennement entre Paris et ReimsLa crise sanitaire et ses répercussions sur la mode Comment elle a construit son réseau Savoir bien utiliser les réseaux sociauxQuel avenir pour le métier de journaliste « Il faut redonner aux gens l’envie de lire. Il faut aller rechercher les lecteurs avec de la nouveauté. »« Ce que je fais sur Instagram, l’inspiration que j’arrive à puiser chez les uns je voudrais la donner aux autres pour qu’ils deviennent inspirés et acteurs de leur choix et de leur vie. »« Ce n’est pas évident de se regarder, de s’aimer, de se mettre en scène. Il faut apprendre à s’aimer. Plus tu t’aimes, plus tu as confiance en toi et plus cette confiance va te porter. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:https://www.instagram.com/peggfrey/ Lettre de motivation de Lucie Faucher https://www.instagram.com/p/CBJkBovIX6l/


244 - Pierre Alexandre M’Pelé (PAM Boy) — Head of Editorial Content GQ France — Incarner le renouveau de la presse à travers ses convictions
On le connaît sous le nom de Pam Boy. Pierre Alexandre M’Pelé est devenu à 28 ans Head of Editorial Content du magazine GQ France. Avec cette nomination qui s’inscrit dans la nouvelle stratégie du groupe américain d’édition, Condé Nast entend bien repenser la presse à l’ère du digital et des enjeux socio, culturel et politique.
Après avoir fait ses études de journalisme dans la célèbre école Central Saint Martins à Londres, Pierre Alexandre commence alors à écrire pour ODDA, i-D ou encore le WWD. Nourri par l’émergence des réseaux sociaux, il s’est imprégné des codes du digital pour en faire son identité journalistique. Pour autant, il n’en oublie pas l’importance du print et est convaincu que l’évolution de la presse s’orientera vers la complémentarité des supports. Si le magazine de mode témoigne de notre société et de ses avancées, il doit aussi s’adapter et incarner en coulisses comme sur papier la vision d’une société plus représentative.
Pierre Alexandre engage ainsi un nouveau chapitre dans l’histoire de la presse où le sens de la communauté, la transparence et la diversité résonnent comme les valeurs fondamentales du magazine.
Visionnaire dans le fond comme dans la forme, Pierre Alexandre partage dans cet épisode la conception de l’éditorial de son premier numéro GQ, mais aussi son avis sur les médias et la mode face aux nouveaux défis.
« Un bon magazine transmet des valeurs à travers du texte et de l’image et cet ensemble reflète la société d'aujourd'hui.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Pierre Alexandre se présente
Son cursus à la Central Saint Martins
Ses premiers jobs dans le journalisme
Sa critique sur la presse
Se démarquer avec son contenu Instagram
Son expérience aux côtés de Loïc Prigent
La force du magazine
Qu’est-ce qui fait un bon magazine
Son expérience au magazine LOVE
La diversité dans la presse
Sa définition de la mode
Son recrutement chez Condé Nast
Intégrer la diversité dans son contenu
Son premier jour chez GQ
Comment se construit un magazine GQ
Ses ambitions pour le magazine
Sa relation avec les réseaux sociaux
Créer du lien avec l’industrie de la mode
Son rapport à la créativité
La digital VS le print
Les relations annonceurs / rédaction
La stratégie d’acquisition
Ses conseils pour Réuni
L’écologie et la presse
« Je considère que les rédacteurs et les journalistes devraient aussi être des influenceurs.»
« Les magazines doivent évoluer. Je pense que le print n’est pas mort. Le digital grandit mais il faut absolument préserver le print.»
« Pour moi, la diversité est synonyme de normalité.»
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Références:
Pam Boy : https://www.instagram.com/pam_boy/
Condé Nast : https://www.condenast.com
GQ Magazine : https://www.gqmagazine.fr
Emoji Index : https://www.instagram.com/stories/highlights/18121788205193135/
Vogue : https://www.vogue.fr
WWD : https://wwd.com
The Face : https://theface.com
ODDA : https://oddamagazine.com
Dansk : https://www.instagram.com/danskmagazine/?hl=fr
i-D Magazine : https://i-d.vice.com/fr
Dazed : https://www.dazeddigital.com
Fantastic Man : https://www.fantasticman.com/magazine
LOVE : https://www.thelovemagazine.co.uk/author/pam-boy
Katie Grand : https://katiegrand.com
Arena Homme : https://www.instagram.com/thehommeplusmag/?hl=fr
Loïc Prigent : https://www.instagram.com/loicprigent/ https://www.youtube.com/channel/UCU5Z-qPL8Terv_te68esHOw
L’épisode EDLM avec Spencer Phipps : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/id1300541489?i=1000465914858
Telfar : https://www.instagram.com/telfarglobal/


176 - Bildung — Indépendance, revalorisation des indépendants, intelligence économique et entrepreneuriat dans les industries créatives (Rediffusion)
Cette semaine, nous partons à la rencontre d’Isabelle Moisy-Cobti, Simon Descamps, fondateurs de Bildung et leur associé Antoine Soubrier. Dans un contexte de transformation des modes de travail, Bildung répond avec pertinence aux besoins des indépendants. Ils ont créé un modèle novateur qui accompagne et valorise les talents créatifs mais aussi les marques. Leur vision se résume à un kaléidoscope d’activités : des missions de conseils artistiques, en stratégie, communication, finance et entrepreneuriat, sans compter leur organisme de formation Bildung Learning & Development. Déterminés à réinventer l’approche de l’accompagnement des créatifs, leur expertise dans leurs domaines respectifs en graphisme, publicité et médias a aujourd’hui fait ses preuves.Isabelle, Simon et Antoine parlent de leur philosophie de travail, leurs stratégies d’acquisition et de prix et de leurs multiples projets créatifs.Un épisode riche en conseils et en clés essentielles de développement et d’autonomie. En somme, une véritable école de la vie (professionnelle).« On est obligés d’avoir une démarche entrepreneuriale pour être reconnu. Il faut communiquer, se développer, aller rencontrer des gens, prospecter et penser qu’on doit faire tout un panel d’activités autour de la création pour lesquelles on n’a pas forcément été formés. On pense qu’en se formant, on peut se développer. » Simon DescampsCe que vous allez apprendre dans cet épisode: Isabelle, Simon et Antoine se présententLa genèse de BildungL’accompagnement des artistesLes best practices pour bien mener sa carrière d’indépendantLa culture artistique en FranceLeurs activités principalesLeurs clientsLeur stratégie d’acquisitionLa stratégie tarifaireCe qu’ils aiment le plus faireLa structuration de la stratégie d’acquisitionLa vision de Bildung au long termeComment déterminer le prix de sa création ?Les KPI’s qu’ils regardentComment le monde des industries créatives a évolué L’optimisme dans un contexte de criseL’organisation interneAllier vie privée et vie professionnelleLes prochains projets éditoriauxCe qu’ils feraient différemment « Il y a une évolution sociétale forte, de toute façon il va y avoir de plus en plus de freelance. Il y a une déliquescence du marché de l’emploi, donc autant se former pour s’en sortir. Une démarche entrepreneuriale même pour un profil indépendant de la création, elle est importante. » Simon Descamps« Les marques de mode vont être obligées de ramener du sens dans ce qu’elles font. On travaille aussi avec des grands groupes et ils sont tous en train de réfléchir à leur raison d’être. C’est phénoménal, que ce soit de façon cynique ou de façon pragmatique, ça les oblige à réfléchir et à être engagés. Tout le monde va être obligé de donner du sens à sa marque. » Antoine Soubrier« On a longtemps pensé que les écoles étaient un haut lieu de recherche et d’expérimentation de la création et pas plus. Les étudiants sortent de là, ils sont les meilleurs de leur pratique créative et ils vont sur le marché. Mais qu’est-ce qu’il se passe après ? Il faut bien qu’ils soient préparés à pouvoir être professionnels sur le marché. » Isabelle Moisy-Cobti« La mission qu’on s’est donnée, c’est de valoriser la création indépendante. Quand on a une vision et qu’on se donne une mission, après, tout ce qu’on fait stratégiquement doit répondre à ce filtre et ça devient beaucoup plus simple. » Simon Descamps N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Bildung : https://www.bildung.fr Leur instagram : https://www.instagram.com/b_i_l_d_u_n_g/ Antoine Roux : https://www.instagram.com/_antoineroux/ Tristan Bagot : https://www.instagram.com/tristan.jpeg/ Objection Magazine : https://www.instagram.com/objectionmagazine/ Tools Magazine : http://www.tools-magazine.org Usage Magazine : https://usagemagazine.bigcartel.com


243 - Laura Vidrequin — Fondatrice de Kids O’clock — Lier l’émotion à la raison pour bien vendre son produit
De Paris à Londres en passant par New York, Laura Vidrequin a fait de ses rencontres des opportunités professionnelles dans les capitales phares de la mode. Au fil de ses expériences dans le wholesale, cette acheteuse est devenue experte pour repérer les bons produits et comprendre la temporalité de cette industrie.
Après quelque temps à Londres à travailler chez Net a Porter, Harvey Nichols et un nouveau-né plus tard, elle décide de faire la synthèse de sa vie personnelle et professionnelle pour lancer son propre projet. Qui a dit que le responsable ne concernait que les grands ? Avec Kids O’clock, une marketplace à l’économie circulaire dédiée aux enfants, Laura entend bien démystifier la seconde-main. Jusqu’alors intégrée au système de grands groupes, Kids O’clock lui a permis de repenser la temporalité du vêtement, d’écrire son storytelling, de créer son branding et d’offrir le service idéal à ses yeux.
De la sélection des produits, la logistique, la recherche d’investisseurs aux stratégies digitales, Laura nous raconte ses apprentissages d'entrepreneure qu’elle a combinés avec ses solides connaissances dans l’achat.
«Un bon produit, c’est un produit qui crée de l’émotion et qui a le bon prix. Il est déraisonnable dans l’émotion qu’il provoque, mais il te fait garder les pieds sur terre dans son financement.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Laura se présente
Pourquoi elle a choisi d’habiter à Londres
Son parcours d’acheteuse
Qu’est-ce qui fait qu’un produit fonctionne
Les marges dans le retail
Fixer le bon prix
Le début de son aventure à Londres
Le business model de Kids O’clock
La logistique
Ses premiers investissements
La sélection
Le branding
La production de contenu
L’acquisition
Sa north star metric
Les prochaines étapes pour Kids O’clock
Le positionnement international
Son épisode EDLM préféré
Ses conseils pour Réuni
« J’ai compris que je n’aurai plus jamais l’impression de travailler si je faisais ce que j’aime.»
«Toutes les marques devraient être concernées par la seconde-main.»
«Plus tu vois de produits, plus tu pourras simplifier ta stratégie d’achat.»
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Références:
Kids O’clock : https://www.kidsoclock.co.uk
@kids_oclock : https://www.instagram.com/kids_oclock/?hl=fr
Moda Operandi : https://www.modaoperandi.com
Kith : https://kith.com
Jacquemus : https://www.jacquemus.com/fr
Club Monaco : https://www.clubmonaco.com
Net-à-porter : https://www.net-a-porter.com/fr-fr/
Harvey Nichols : https://www.harveynichols.com


242 - Arnaud Bruillon — Directeur Général de Finsbury — Ouvrir le champ des possibles pour se réaliser
Avoir l’envie inépuisable d’apprendre, ne jamais abandonner face au refus, persévérer alors que rien ne prédestinait le succès, voilà les leitmotivs qui ont fait de Arnaud Bruillon le directeur général de Finsbury.
À l’origine vendeur le samedi, il se passionne pour le produit, les clients et l’histoire de la marque de chaussures britannique reconnue pour son savoir-faire et sa qualité. Avec une grande sincérité et une force de travail, il projette la marque vers d’autres ambitions. C’est comme ça qu’en l’espace d’une dizaine d'années, ce self-made man s’empare d’un modèle entrepreneurial et des codes du retail en multipliant la taille de l’entreprise de manière considérable.
Aujourd’hui, il nous partage sa vision sur la croissance, ses stratégies de développement étape par étape, du développement des franchises, l’accompagnement financier, au rachat total de l’entreprise. Parti de rien, il illustre parfaitement l’exemple de résilience entrepreneuriale. Un épisode pour vous donner une belle dose de motivation et d’optimisme !
«Vous pouvez avoir de bons produits et avoir du succès commercial, si vous ne gérez pas votre business de manière intelligente ça ne fonctionne pas.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Arnaud se présente
L’histoire de Finsbury
Sa rencontre avec la marque
Apprendre le sens du commerce
Sa première franchise
Sa stratégie de développement
Le succès par la soif d’apprendre
La proposition de rachat
Gérer ses marges
Le business plan
La croissance de Finsbury
Ne pas avoir peur du succès en tant qu’entrepreneur
Le digital et la stratégie omnicanale
Ses ambitions
L’impact de la crise sur le retail
Le secret de la réussite
Ses conseils pour Réuni
«Tous ces détails qui ne sont pas négligés, je suis convaincu que c’est ce qui fait la différence et ce qui fait votre réussite là où les autres échouent.»
«Nos clients viennent parce qu’ils ont envie d’acheter juste et de donner du sens à leur achat.»
«Dès l’instant où j’ai été entrepreneur, je suis sorti de ma zone de confort et je suis allé beaucoup plus loin.»
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Références:
Finsbury : https://www.finsbury-shoes.com
BPI : https://www.bpifrance.fr


360 - Nathalie Dufour — Fondatrice de l'ANDAM (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Nathalie Dufour, fondatrice de l’ANDAM, l’Association Nationale pour le Développement des Arts de la Mode. Une association qu’elle a fondée en 1989 sous l’égide de Pierre Bergé. L’ANDAM a consacré un bon nombre de créateurs qui ont marqué leur époque. Parmi eux, Martin Margiela, Christophe Lemaire, Jean Touitou, Anthony Vaccarello, Alexandre Matuisi, et plus récemment Glenn Martens de Y/ project et Antonin tron de Atlein. Dans cet épisode, Nathalie me demande de me présenter, puis elle revient sur son parcours et la création du prix de l’ANDAM. On parle aussi de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Nathalie, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter. Pour suivre Nathalie sur Instagram et Linkedin.Pour en savoir plus sur l'ANDAM.
SE RETROUVER DANS L'EPISODE
01:30 Une fois n’est pas coutume, c’est moi qui me présente, qui décrit rapidement mon parcours et le pourquoi de ce podcast.
07:50 Je reprends la main, Nathalie se présente, expose son parcours et comment elle a créé l’ANDAM.
12:10 Qu’est ce qu'on dit quand on va rentrer dans le bureau de Pierre Berger avec un projet comme l’ANDAM ?
14:00 Comment émergeait-on avant la création de l’ANDAM ? Quels arguments donne-t-elle pour convaincre les institutions ?
18:00 Après les institutions, quelles ont été les étapes pour lancer le prix ? Les dessous du premier Jury.
22:20 Les grands moments de l’ANDAM depuis 30 ans.
26:30 Comment se matérialise l’accompagnement du Jury ? Qu’est-ce qu’il faut pour être sélectionné ?
30:10 Dans quelle mesure l’ANDAM a impacté la vie de ses vainqueurs ?
32:50 D’où vient cet amour pour la mode chez Nathalie ? N’a-t-elle pas eu envie de faire autre chose dans sa vie ? Imaginait-elle que ça deviendrait si gros ?
37:50 Qu’est-ce qui l'a marqué chez Pierre Bergé ? Son pronostic pour la mode. Des DNVB pourront-elles gagner l’ANDAM demain ? Qu’avaient en communs les gagnants de l’ANDAM ?
43:30 Comment voit-elle l’émergence des autres concours ? Les personnalités qui l’impressionnent beaucoup en ce moment.
49:20 Faut-il être connu avant de se lancer ?
KEYLEARNING
Ce qui a été un réel aboutissement, c’est quand tous les groupes de luxe ont fini par se joindre à l’ANDAM. Cela a mis beaucoup de temps, car il a fallu qu’ils acquièrent une certaine maturité pour avoir conscience que c’était important de s’engager dans une action vertueuse pour soutenir le futur de leur industrie. Moi, mon challenge, c’était de réunir et de coordonner toute cette concurrence qui s’est mise en place de façon très forte et concurrentielle depuis ces 20 dernières années.
La maison Hermès a été la dernière à entrer dans notre groupe de mécènes. Ça, c’était vraiment l'aboutissement, car tous les groupes de luxe qui sont basés en France se retrouvent autour de la table dans une même optique, qui est d’accompagner la jeune création.
Pour être sélectionné, il faut qu'une marque soit créative, sinon ça n’a pas de sens. Puis, parallèlement à ça, il faut qu’il y ait un potentiel en matière de développement global qui soit intéressant. Il y a aussi cette dimension importante qui est de s’implanter en France, pas juste par opportunité pour défiler, mais pour devenir une marque française, avec tout ce que ça implique en termes d’impôt, de création d’emplois et de maintien d’une réelle industrie en France. C’est vrai que nous avons beaucoup d’atouts concernant ce savoir-faire très haut de gamme. Toutes les marques rêvent de ce potentiel.
J’ai inventé ce boulot, il n’y a pas de distance, la curiosité est intacte.
Les plus beaux moments de l’ANDAM ce sont les créateurs, les rencontres, mais c’est aussi d’avoir réussi a réunir tous ces gens et de les avoir embarqué dans cette mission. À un moment donné, on ne peut pas se dire qu’on s’est trompé ou que l’on a fait quelque chose de mal. Donc, on ne pense pas à faire autre chose. Ce qui importe, c’est que ce soit quelque chose d’utile. En effet, je me rends compte que ça leur donne un espace, ça leur permet d’exister.
C’est passionnant de voir que les groupes de luxe, qui, en termes de budget, de défilé prennent beaucoup de place, ont cette intelligence de dire : "avec l'ANDAM, on donne généreusement, on fait de la place à la relève". C’est un projet qui est très épanouissant à tous les niveaux et aussi pour les partenaires. On n’a pas envie de faire autre chose, on a juste envie que ça continue, qu’il y ait de plus en plus de gens qui soient impliqués, qu’il y ait de plus en plus de talents, que ça change la vie de tous ces gens, que les succès soient fulgurants et qu’ils soient compétitifs internationalement.
La personnalité de Pierre Bergé, qui m’accompagnait, faisait qu’on avançait. C’est quelqu’un qui n'a jamais douté du bien-fondé de cette affaire. Avec quelqu’un d’aussi sûr et déterminé, il n’y a pas la possibilité que ça ne marche pas.
RÉFÉRENCES DANS L’ÉPISODE
École du Louvre ICARTPierre BergéLaurence Benaïm Didier Grumbach Martin MargielaIris Van HerpenStéphane AshpoolLe prix LVMHLe festival de HyèresGlenn Martens de Y/projectAntonin Tron de Atlein See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.


241 - Laurence, Gil et Pia — Co-fondatrices de Laurence Bras — Une aventure entrepreneuriale de famille nourrit par la confiance et l’envie de bien faire
Bercée depuis ses débuts par l’univers de la mode et de l'entrepreneuriat, Laurence Bras a imaginé il y a six ans un modèle de marque propre à son histoire et à sa famille.
Avec sa marque éponyme, elle a su concilier ses envies créatives à son succès commercial. À l’image de ses moments inspirants ponctués de chic et d’élégance à Paris, ses idées prennent vie en Inde où elle passe une autre partie de son temps à créer ses collections.
Si la proximité avec ses fabricants lui permet de contrôler la qualité des produits, le respect de la main-d’œuvre et de rester dans une dynamique créative, elle sait qu’un peu plus loin à Paris, le développement de la marque est entre de bonnes mains.
Car derrière Laurence Bras se cache avant tout l’histoire d’une aventure familiale.
Accompagnée par ses filles Gil Bonnaud, directrice générale France et Pia Doligé, responsable du digital et de l’influence, à trois elles concilient leurs regards issus de différentes générations pour faire grandir la marque.
Dans cet épisode, on parle de contrat d’association, de stratégies retail, de création de contenu pour sa marque et d’influence.
« Je préfère payer plus cher mais avoir de la qualité, savoir d’où viennent mes produits et qui les fabriquent.»
Laurence Bras
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours de Laurence
Ses premières expériences dans le textile
Savoir bien s’associer dans un business
Le parcours de Gil
Ses expériences à New York
Son expérience chez Chanel
Les 3 premières années de Laurence Bras
L’univers Laurence Bras
Les chiffres de la marque
Les enjeux du retail
La construction du e-shop
Gérer une entreprise en Inde
Le système de production
La cliente Laurence Bras
Les équipes
La fabrication
La gestion du contenu digital
L’accompagnement sur le digital et la finance
Travailler en famille
La suite pour Laurence Bras
Leurs conseils pour Réuni
« J’estime que les agences avec qui on travaille devraient avoir la même taille que nous pour qu'elles puissent comprendre nos enjeux.»
Gil Bonnaud
« Avec le temps, on s’est rendu compte que la micro-influence avait plus d’impact.»
Pia Doligé
« Je pense qu’une boutique va devenir un club, c’est-à-dire un endroit où on entretient des relations avec notre communauté.»
Laurence Bras
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Références:
Laurence Bras : https://laurencebras.com
@laurencebras : https://www.instagram.com/laurencebras/?hl=fr
PR Consulting : https://prconsulting.net
CR Fashion Book : https://www.crfashionbook.com
Magna Presse : https://magnapresse.fr
Lefty : https://www.lefty.io
Accélérateur BPI Mode & Luxe : https://evenements.bpifrance.fr/presentation-de-l-accelerateur-mode-luxe/


153 - Vanessa Bruno — « Je fais des vêtements pour sublimer le quotidien des femmes » (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Vanessa Bruno, elle est la fondatrice de sa marque éponyme. Dans cet épisode, Vanessa nous parle de son parcours, de ses débuts, de son processus créatif, des moments forts de la marque, de l’importance de la mode et du rêve et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Vanessa, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Le plus important c’est le rêve puisque chaque saison, tu dois séduire cette femme : c’est ça la mode. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :L’enfance de Vanessa BrunoSes débuts en tant que mannequin puis créatrice chez MonoprixL’environnement de la mode dans les années 90Les débuts de Vanessa Bruno, le sac CabasL’ouverture de la première boutique, l’univers et le style de la marque Les moments forts de la marqueComment faire un vêtement qui aime les femmesEn quoi la mode est importanteLa ligne bis Athé Son entourage et la culture d’entreprise Vanessa Bruno Le moment où la mode est passée à la vitesse supérieureComment ne pas se lasser de ce métier après 25 ansLe processus créatif Le développement du digital Le sujet de l’écoresponsabilitéComment trouver l'équilibre vie privée et personnelle « Il faut considérer qu’aujourd’hui développer le digital c’est comme si tu avais ton propre magazine en ligne. Tu dois raconter ton histoire, avoir ta ligne éditoriale avec tes moments forts et montrer tes produits le mieux possible. » « La mode est un langage créatif incroyable parce qu’on part d’un croquis, d’un bout de tissus et à la fin, on est habillé et on arrive à se créer et s’incarner à travers ça et on arrive à se transformer et avoir son style. Bien sûr, il n’y a pas que le vêtement qui fait qu’on est quelqu’un mais ça aide à porter sa personnalité. » Références :Vanessa Bruno https://www.vanessabruno.frHenri Sebaoun https://www.linkedin.com/in/henri-sebaoun-a1353a72/?originalSubdomain=frCarven https://www.carven.com/fr_fr/Isabel Marant https://www.instagram.com/p/B4MqhnWI3yB/Episode Aurélien Arbet (Etudes) https://podcloud.fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/episode/numero-103-aurelien-arbet-etudes-1Episode Marie France Cohen (Merci) https://podcasts.apple.com/ie/podcast/13-marie-france-cohen-bonpoint-merci-démodé-aux-innocents/id1300541489?i=1000399960937Episode Ramdane Touhami (Bully) https://podcloud.fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/episode/numero-50-ramdane-touhami-officine-universelle-buly-1


240 - Gaëlle Lebrat Personnaz — Fondatrice de Manucurist — La clean beauty à portée de main
À ses débuts dans le monde du luxe, Gaëlle Lebrat Personnaz s’est d’abord passionnée par le visual merchandising. Chez Louis Vuitton, Prada ou encore Yves Saint Laurent, elle
apprend la rigueur, le souci pour le détail propres à ce secteur, mais elle se rend aussi compte de certaines incohérences liées à ce milieu. Dans sa seconde vie, commencée une dizaine d'années plus tard aux côtés de sa mère, elle crée Manucurist, un concept qui se définit à l’origine par des instituts de manucure et qui deviendra un peu plus tard une des marques leader de la beauté green.
Avec ses formulations de vernis clean, imaginées pour prendre soin de ses ongles comme de la planète, Gaëlle a révolutionné ce secteur autant au niveau B2B que B2C. Une beauté responsable qui change aussi les habitudes des addictes de la manucure en un geste simple, rapide et en un geste depuis chez soi comme en institut.
Dans cet épisode, Gaëlle nous partage comment elle a développé un modèle entrepreneurial solide et innovant dans la clean beauty.
« On met beaucoup d’énergie dans la communication, mais le début de n’importe quelle belle histoire qui va durer dans le temps, c’est le produit.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours de Gaëlle
Ses premières expériences dans le luxe
Ce qu’elle retient de ses expériences
La genèse de Manucurist
Trouver le produit révolutionnaire
Les milestones
Le rebranding
Les éléments clés de son succès
Comment se structurer pendant la crise
B2B vs B2C
Le développement financier
L’acquisition en B2C
La future boutique
Concilier l’entrepreneuriat et la famille
L’avenir de Manucurist
Ses conseils pour Réuni
«L’influence est le meilleur levier pour grandir. »
«La notoriété auprès du grand public ouvre des portes au monde professionnel. »
« On a un rôle pour faire bouger les lignes auprès des professionnels.»
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Références:
Manucurist : https://www.manucurist.com
@manucurist : https://www.instagram.com/manucurist/
@gaelle_lebratpersonnaz : https://www.instagram.com/gaelle_lebratpersonnaz/
L’Institut Français de la Mode : https://www.ifmparis.fr
Shopify : https://www.shopify.fr


356 - Alexandre Mattiussi — Fondateur de AMI Paris (Rediffusion)
Rediffusion - Épisode sorti la première fois en Avril 2019
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Alexandre Mattiussi, le fondateur et directeur artistique de AMI. Alexandre revient sur son parcours, sur toute l’épopée de AMI, il nous parle de comment il a scénarisé le projet, il explique les raisons de son succès et que le talent c’est bien souvent d’avoir envie, il nous raconte sa rencontre avec Nicolas Santi-Weil, il nous parle de l’importance de se remettre en question et on parle de beaucoup d’autres sujet. J’ai adoré interviewer Alexandre, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.
SE RETROUVER DANS L’EPISODE
01:35 Alexandre se présente et revient sur son parcours
13:10 Alexandre nous parle du moment où il a compris qu’il était prêt pour lancer sa marque, est-ce qu’il ferait sa formation différemment, par quoi il commence, le postulat d’AMI, la première présentation
24:00 Comment il finance AMI, les milestones d’AMI, la valorisation de l’entreprise, sa rencontre avec Nicolas Santi-Weil, le directeur général d’AMI
35:05 Son processus créatif, comment se renouveler sur des bons basics, l’arrivée de la ligne féminine, la place du direct to customer, comment il ferait s’il devait recommencer aujourd’hui
42:30 Son rapport au sustainability, sa façon de créer, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast
KEYLEARNINGS
Tu commences par réfléchir à ce que tu vas dire. J’ai imaginé qu’AMI devait s'écrire comme un scénario de film avec un début, un milieu et avec une fin aussi. Je pense que c'est important d'imaginer la fin qu'on choisit, ou la fin qu'on choisi pas, prévoir le meilleur et le pire. Donc dans ce scénario imaginé que tout est possible, avoir cette ambition là, l'ambition de la réussite, avoir l'humilité de l'échec, c'est pas un gros mot. Il y a des échecs qui sont vraiment nécessaires, qui sont constructifs, et j'en ai vécu moi même dans mon expériences passée, et j'en vie encore aujourd’hui, ça ne marche pas toujours comme on l'a imaginé. Construire AMI c’est construire un scénario avec des personnages, avec un décor, avec un propos, avec un fil conducteur.
Le talent c’est d'avoir eu envie de le faire. #Jacques Brel
Toute parole est singulière. Je ne crée pas la marque tant que toutes les pièces du puzzle ne sont pas réunies, ça c’est une règle de base je pense. Moi, j’avais besoin d’être certain que tout était là, pour mettre toutes les chances de son côté. Il fallait que j’ai le directeur commercial, il fallait que j’ai la bonne usine. J’ai des potes qui ont créé leurs marques, ils n’avaient pas de directeur commercial, leurs marques n’existent plus. A un moment donné, il faut se donner les moyens, il y a des outils. Il faut avoir un bureau de presse, il faut avoir quelqu’un qui va s’occuper de vendre ta collection, il faut un bon fabriquant, il faut être sûr que quelqu’un va pouvoir t’aider à bien livrer ton truc, quelqu’un qui va bien facturer.
Je savais par expérience, quand on se présente au monde en disant « je crée ma marque », ils ont vu les acheteurs, la presse, ils ont vu tellement de monde, tellement de créateurs, il y a tellement de gens qui essayent de créer leur marque, que finalement peut être parfois plus que le talent, il y a un manque d’organisation derrière qui devient handicapant et puis du coup, les gens zappent ou se disent je ne vais pas investir dans cette histoire, elle n’a pas l’air solide.
REFERENCES
AMI
Duperré
Dior Video de Jacques Brel sur l’envie et le talent (⚠︎ disclaimer on ne cautionne pas la deuxième partie hyper misogyne 😱 à partir de 02:00)
Givenchy
Riccardo Tisci
Marc Jacobs
Joe McKenna
Nicolas Santi-Weil
Virgil Abloh
Heidi Slimane


239 - News & Analysis avec Viviane Lipskier de BrandAlchimy — Du streetwear au streetcare
Aujourd’hui avec Viviane Lipskier, on s’intéresse au streetcare.
Viviane est la fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».
C’est peut-être un des points qui revient le plus souvent dernièrement dans les News & Analysis : aujourd’hui être une marque de mode pour vendre des produits ne suffit plus. Les changements sociétaux engagent un intérêt croissant chez les consommateurs à devenir acteurs dans leur quotidien. On le sait, nombre de marques ont commencé à s’impliquer pour le climat mais qu’en est-il de l’aspect social ? Dans une optique d’inclusion et de conscience des injustices sociales, une nouvelle notion émerge pour répondre à ces sujets : le streetcare.
Entre initiatives sociales pour des communautés, aux médias qui mettent en lumière certaines causes en marge de la société, les actions de ces nouvelles plateformes se veulent comme une représentation plus importante de la diversité.
À la frontière du militantisme, de la politique, des cultures et de la mode, Viviane expose divers exemples de plateformes à travers le monde qui ont réussi à faire de leurs voix des exercices de liberté d’expression.
« Avoir une marque, c’est aussi avoir un média et être un porte-voix. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
La notion de streetcare
Kids of Immigrants
Adapt Climate Club
Free the Youth
Kultrab
La notion d’anti-publication
The Fat Zine
Club Sandwich
Another Lane
Re:sole
Made in Chinatown
« Le streetwear était plutôt exclusif alors qu’aujourd’hui on parle plutôt d’inclusion et de construction de travail communautaire. »
« Les anti-publications fonctionnent comme des exercices de liberté d’expression. »
« Les consommateurs solidaires ont besoin que les marques les représentent et fassent le travail en profondeur pour améliorer la marge du monde. »
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Références:
Viviane Lipskier sur Instagram : https://www.instagram.com/vilipsky/
Hypebeast streetwear report : https://strategyand.hypebeast.com/streetwear-report
Kids of Immigrants : https://kidsofimmigrants.us
@gengesports : https://www.instagram.com/gengesports/
Adapt Climate Club : https://www.adapt-climate.world
@adapt_______ : https://www.instagram.com/adapt_____/
Free The Youth : https://freetheyouth.net
DEPAfrica : https://www.depafrica.org/
Kultrab : https://kultrab.com/en/
Riot days : https://www.instagram.com/p/CAVS0Banh5v/
The Fat Zine : https://www.instagram.com/thefatzine/
Christopher Kane Platform : https://www.instagram.com/explore/tags/christopherkaneplatform/
Club Sandwich : https://www.instagram.com/clubsandwichmagazine/
Podcast France Inter, L’instant M, Disparition : https://www.franceinter.fr/emissions/l-instant-m/l-instant-m-du-mardi-28-decembre-2021
Another Lane : https://anotherlane.com
@resolecic : https://www.instagram.com/resolecic/?hl=fr
Made In Chinatown : https://madeinchinatownny.com


354 - Sarah Andelman — Fondatrice de Just An Idea & ex-cofondatrice de Colette (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Sarah Andelman, elle est la co-fondatrice de Colette et la fondatrice de l’agence Just an idea. Dans cet épisode, Sarah revient sur sa vie avant, pendant et après Colette, elle nous explique ce qui fait qu’un produit a de l’intérêt, comment elle travaille, son processus, on parle de communication de mode, du futur des multimarques, d’online shopping, de sustainability et on parle de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Sarah, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.
SE RETROUVER DANS L’EPISODE
01:16 Sarah se présente et revient sur son parcours
5:27 Les débuts, les différents milestones de Colette et sa curiosité, qu’est ce qui fait qu’un produit a de l’intérêt, qu’est ce qui fait qu’il y en a qui reste et d’autres non
13:08 Just an idea et son processus, comment définir son travail actuel, la voix royale pour faire ce travail, la communication dans la mode.
22:05 Son rapport avec le retail, l’online, son rapport au sustainability
30:28 Comment choisit-elle ses projets, ses outils pour ses projets, qu’est ce qui fait qu’une collaboration fonctionne
38:32 Qu’est-ce qu’elle ferait différemment, qu’est ce la motive chaque jour, comment voit-elle le futur de la mode, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast
KEYLEARNINGS
On se remettait en question en permanence, ce n’est pas parce que ça marchait, qu’on se disait « ça va marcher tout seul ». C’est sans arrêt des remises en question sur l’offre mais aussi sur le magasin lui-même, une réorganisation, un endroit où présenter les produits, une lumière, c’était sans arrêt revu et corrigé.
Tout va beaucoup trop vite, on est submergé d’informations, tout va trop vite et c’est arrivé aussi bien dans le retail, le besoin de renouveler l’offre et évidemment dans la communication avec des supports comme Instagram où on scroll etc. Pour le futur, on n’a pas besoin de toutes ces informations, de tous ces produits, à un moment, on va se focaliser sur ce qui compte vraiment, ce qui a de la valeur pour soi, pour chacun.
Je pense qu’évidemment pour les jeunes marques, les jeunes créateurs qui n’ont pas encore les moyens d’avoir leurs magasins physiques, c’est intéressant d’avoir cette proposition dans un multimarque mais j’ai envie de lui dire quand même de pousser son propre online, e-commerce, parce que dès qu’il va se faire connaître via les réseaux sociaux, les gens viennent à lui.
Les projets authentiques, sincères, qui apportent quelque chose, et qui sont légitimes seront ceux qui resteront. C’est compliqué, il y a de la place pour tout, et heureusement qu’il n’y a pas non plus une uniformité dans les goûts, dans les désirs d’achats, il faut qu’on garde une grande diversité mais effectivement un frein à la consommation ça serait bien, entrepris par les acteurs eux-mêmes de ce développement. Tout ne peut pas passer que ce soit en information, en produit, il ne faut pas qu’il y ait de gâchis. Je pense qu’il va y avoir un épurement, un affinement de l’offre dans toutes ses expressions mais cela ne veut pas dire une uniformité, cela ne veut pas dire une offre unique.
REFERENCES
Sarah Andelman Instagram
Just an idea
SacaiPop-up Sacai24 sèvres
LVMH PrizePalace x Ralph Lauren
Virgil Ablog x Nike
Maroussia Rebecq d’Andrea Crews


238 - News & Analysis avec Viviane Lipskier de BrandAlchimy — Les tendances à venir pour accueillir 2022 à bras ouverts
Pour commencer cette nouvelle année, quoi de mieux qu’un épisode avec Viviane Lipskier !
Viviane est la fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».
Aujourd’hui, on la retrouve pour parler des tendances de la nouvelle année. Après avoir passé des mois chez soi en tenue d’intérieur et pour la plupart en télétravail, que nous annonce 2022 ? Entre micro et macro tendances, identifier et analyser ces signaux de société s’avèrent plus que nécessaire si on veut ancrer sa marque dans l’air du temps.
On s’intéresse plus particulièrement dans cet épisode aux micro tendances.
Au programme, un décryptage complet sur les sujets qui animent notre quotidien : mode, beauté, digital, retail, carrières, food, bien-être et design.
Une année qui se veut sous le signe de la nostalgie avec notamment le retour des années 90 dans la mode, l'expérience dans le retail et sur le plan de l’innovation, de nouvelles façons d’éduquer son public et de médiatiser son contenu.
Viviane nous donne les clés pour comprendre ces tendances et ainsi les adapter pour faire évoluer l’activité de son entreprise, innover et élargir sa cible.
«Il y a une convergence des marques, des médias, des créateurs de contenus où finalement le contenu de marque devient multisensoriel et dépasse le côté promotionnel.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Pourquoi suivre les tendances 2022 ?
La définition d’une tendance et sa gestion
Mégatendances et micro tendances
Les tendances mode et beauté
Les tendances retail
Les réseaux sociaux comme plateformes de narration
Quels signaux pour la carrière et l’éducation
Les tendances food
Les tendances bien-être
Les tendances design
«Suivre les tendances permet à ta marque d’évoluer dans le temps.»
«71% des jeunes adultes sont prêts à changer de job et gagner moins d’argent s’ils trouvent plus de sens dans une nouvelle vie professionnelle.»
«Les réseaux sociaux ont gagné du terrain en tant qu’outil éducatif et on en est qu’au début.»
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Références:
Les tendances selon BlackRock
L’innovation technologique : https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/themes/mega-tendances/innovations-technologiques
Évolutions démographiques et sociales : https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/themes/mega-tendances/evolutions-demographiques-et-sociales
L’urbanisation rapide :
https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/themes/mega-tendances/urbanisation
Changement climatique et pénurie de ressources :
https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/themes/mega-tendances/changement-climatique-et-rarete-des-ressources
Richesse des pays émergents : https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/themes/mega-tendances/un-nouveau-rapport-de-force-economique
Factfulness Hans Rosling
Lauren Elyse@laur_elyse : https://www.pinterest.fr/laur_elyse/_created/?utm_source=PBS_Predicts2022_OhMyGoth&utm_campaign=PinterestPredicts2022&utm_medium=PBS&utm_pai=Advertiser
Pinterest trends report : https://business.pinterest.com/fr/pinterest-predicts/
Billie Eilish Perfume : https://www.glossy.co/beauty/billie-eilish-is-launching-a-celebrity-perfume-people-will-actually-care-about/
Nail art @tathsrodrigues : https://www.pinterest.fr/tathsrodrigues/_created/?utm_source=PBS_Predicts2022_Nailscapes&utm_campaign=PinterestPredicts2022&utm_medium=PBS&utm_pai=Advertiser
Hairecare #56 : https://www.wundermanthompson.com/insight/trend-check-best-of-our-2021-predictions-brands-marketing-food-drink-beauty-and-retail?j=75100&sfmc_sub=45072414&l=65_HTML&u=4957986&mid=110005021&jb=10013
Deciem - The Ordinary : https://deciem.com/en-fr/theordinary
Pacifica Beauty : https://www.pacificabeauty.com
We are social : https://thinkforward.wearesocial.com/in-feed-syllabuses.html
Funk : https://www.funk.net
@spainsays : https://www.instagram.com/spainsays/?hl=fr


157 - Paul Szczerba — Fondateur de Balibaris — Entreprendre avec ambition et bon sens, les maître-mots de Paul (Rediffusion)
Cette semaine, Paul Szczerba, le fondateur de Balibaris se joint à moi en terrasse de café. Il nous explique comment il a fondé sa marque avec ambition et pragmatisme. En commençant avec quelques modèles de cravates, il propose aujourd’hui l’armoire idéale du prêt-à-porter masculin. La marque compte une soixantaine de points de vente où l’expérience client se veut singulière et authentique.Dans cet épisode, Paul nous parle de son parcours entrepreneurial, de ses débuts dans le retail et de sa soif de grandir.« J’avais envie de faire. Ça faisait partie de la grille de sélection pour mon projet entrepreneurial. Je voulais directement être amené à faire du concret et d’être jugé sur du concret. »Le parcours de PaulComment il a fondé BalibarisL’élément déclencheur du succès de sa marqueLe modèle économique Sa vision aux débuts de la marqueLes premières boutiquesComment il a trouvé de bons vendeursLes KPIs qu’il regarde Comment il a structuré en interne l’entrepriseComment il a accéléré son businessSa rencontre avec Frédérique Biousse et son entrée chez Experienced CapitalSa concurrenceComment il a trouvé un équilibre entre le business et la créationL’image de BalibarisLes canaux d’acquisition L’organisation de la logistiqueSon engagement sociétal et environnementalComment il a vécu la crise sanitaireSon organisation au quotidien« Dès le début, je veux que l’univers de marque soit suffisamment large et ne s’arrête pas au vêtement. Pour moi, l’écueil dans lequel une jeune marque peut tomber, c’est l’absence d’histoire et que ce soit juste du produit pour du produit. »« Pour moi la boutique c’était l’expérience client ultime et j’en reste persuadé. »« Il fallait qu’on soit capable de justifier le prix des articles, donc pour moi il a fallu qu’on soit transparent dès le démarrage. Ça impliquait beaucoup d’action et de promesses au client. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: https://www.balibaris.com/fr/


237 - Juliette Levy Cohen — Fondatrice d’Oh My Cream — Les ingrédients du succès : un bon produit, de bons investissements et de la passion avant tout
Qui aurait pensé qu’il était possible de convaincre des investisseurs avec un simple Business Plan sur Powerpoint ? Juliette Levy Cohen l’a fait avec brio, et cela a sûrement marqué la genèse du succès d’Oh My Cream.
Cette grande passionnée de beauté a lancé il y a à peine une dizaine d'années un concept qui a complètement bouleversé le secteur. En proposant une beauté alternative, clean, inspirante et d’expertes, elle a su faire adhérer clientes, employés comme investisseurs à se joindre au projet. Convaincue qu’un bon produit est à l’origine d’un business réussi, elle a emmené sa croissance sur un autre niveau en s’épaulant d’investisseurs. La passion a guidé ses décisions budgétaires…quitte à frôler le goût risque.
Cet épisode est une belle dose de best practices qui nous rappelle que l’entrepreneuriat est aussi une question d’audace, d’intuition et de s’autoriser à penser en dehors des cadres.
Juliette nous partage ses apprentissages dans chaque domaine qui l’ont aidé à fonder une croissance pérenne : du retail, à la communication, la distribution et l’opérationnel, presque tout y passe.
Une vraie crème de l’entrepreneuriat (et de la beauté) !
« Comme on ne fait pas le métier comme tout le monde et qu’on ose tout réinventer en se faisant confiance, ça marche.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours de Juliette
Le déclic pour monter sa boîte
L’évolution du nom
Convaincre les investisseurs avec un PowerPoint
Les premiers pas de Oh My Cream
Gérer la levée de fonds et la croissance
La plateforme de marque
La première boutique et les coûts
Un bon produit de beauté
Les milestones d’Oh My Cream
Le recrutement
La customer journey
Son best practice stratégique
Responsabilité dans la beauté
Gérer sa vie professionnelle et personnelle
La vision d’Oh My Cream pour le futur
Les chiffres qu’elle regarde au quotidien
Recruter un directeur administratif
La culture d’entreprise
Ses changements de croyances
L’explication du succès Oh My Cream
Se remettre les pieds sur terre quand on frôle le burnout
Ses conseils pour Réuni
Faut-il networker ?
Optimiser son temps en tant qu’entrepreneure
« La beauté crée du lien. »
« Beaucoup de boîtes sous-estiment la puissance de se différencier en déployant un univers et une expérience à travers le retail. »
« J’ai compris que mon métier n’était pas de réinventer l’e-commerce, mais de réinventer la façon de sélectionner et conseiller des produits de beauté.»
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Références:
Oh My Cream : https://www.ohmycream.com
@ohmycream : https://www.instagram.com/ohmycream
@juliettelevycohen : https://www.instagram.com/juliettelevycohen/
Shopify : https://www.shopify.fr/
Eutopia VC : https://eutopia.vc
Experienced Capitals : https://fr.excp.com
Studio Tu Seras Beau : https://www.tuserasbeau.com


140 - Ditte & Nicolaj Reffstrup - (Founders of GANNI) How to become one of the most exciting brand of the moment ? (Rediffusion)
POUR TELECHARGER LE FASHION WEEK REPORT DE HEURITECH C'EST PAR ICI : www.heuritech.com/edlm« I think we are a lot smaller that a lot of people think we actually are financially. » Before starting GANNI, Ditte held different position from sales representative to buyers which give her a very good insight of what customers want. Nicolas held technical positions and co-founded several companies, including Oryx Invest and Spleak Media Network Ltd. The high-end brand wants to break the overly minimalist codes of the Scandinavian spirit and wants to seduce fashionable women with strong pieces. The brand represents a strong woman who has confidence in herself, offers everyday pieces, easy to wear, chic and comfortable.The brand has always been very picky at choosing at the retailers they work with. « We have an accessible product price range (The prices are between 150 and 300$) but with a luxury distribution strategy. » Nicolaj obsession for sustainability coupled gave GANNI a real desire to be environmentally friendly and minimize its energy consumption, chemicals and CO2 emissions in its manufacturing process. However, the brand does not wish to claim or present itself as an "eco responsible brand" but as a brand that does the best it can. « Sometime the problem is that the topic is so complex that there is no right or wrong answer. » In 2017, a 51% stake in Ganni was sold to L Catterton, the consumer-focused private equity firm whose shareholders include LVMH. In that year, GANNI had sales of approximately $50 million. The following year, Nicolaj resigned as CEO and was replaced by Andrea Baldo de Coccinelle. Nicolaj will now be able to focus on long-term brand strategy.In this episode we are covering a lot of topics, we come back on their pathway before GANNI, how did everything started at GANNI and what they take from their previous experiences in tech. « We have a very flat hierarchy, its less about authority and title, it is more about the best skills, the smartest guy on the block, it is also about bringing on board talent when you come across it. We have scrub meetings (10/15 min meeting, 1 min to tell what you did yesterday and what you do today) and so on... » We also cover distribution and communication strategies and they come back on the 2 or 3 things that gave GANNI global awareness. Of course we talk a lot about sustainability, we cover topics such as how to manage the contradiction of being in the fashion business when you are such aware of the climate change issue, how to be a responsible brand, how they use the carbon compensation as a tool to monitor and improve the results of their sustainable strategy, how to aligned design and sustainability when it comes to fabric choices, how to absorbe the extra cost of sustainable fabric. « We compensate our carbon foot print, but we are very careful not to think of that as a way to kind of paying indulgence, just paying to do bad, we always thought of it as a tax you put on yourself like the carbon tax no politician had the guts to impose on us. To make it tangible, you can navigate toward that, and try to reduce it. » We also talk about their daily organisation, how they see the future of GANNI and we talk about how do they balance their personal and professional life as a couple in charge of such a big organization.This episode full of tips, tricks and the experience of the two fashion entrepreneurs ! I strongly thanks Nicolaj & Ditte Reffstrup for their transparency and generosity, and I invite you to do the same on their social networks, because it is a great gift they are giving us today.I thank Mehrie and Guillaume from DLX who make this episode possible. If you're looking for the episode notes with all the references, it's simple: go to the podcast blog, www.entreprendredanslamode.com. Also, if you wish to contact me or suggest new guests, you can do so on Instagram under the nickname @entreprendredanslamodeLast but not least: leave me a review on Apple Podcast or iTunes, preferably 5 stars; it helps me to spread the word about the podcast to more people and encourages me to do better interviews!Thank you for supporting this podcast and see you soon for a new episode!Références :GANNI website Higg Index


236 - Eléonore Baudry — Présidente de Figaret — Comment cette pionnière du e-commerce a bouleversé le retail
Pionnière du e-commerce, Eléonore Baudry a construit une carrière remarquable tournée sur le retail. Chez Kering où elle dirige le pôle projet en stratégie, elle a bouleversé ce secteur en œuvrant pour la création de sites e-commerce des marques du groupe.
Véritable manager dans l’âme, sa grande compréhension du marché, sa vision complète du retail et son leadership lui ont permis de fédérer des équipes déterminées à résoudre des problèmes. Si certains repoussent la prise de décision, elle a au contraire cette envie d’agir en toute confiance.
Une confiance qu’elle a octroyé un peu plus tard à Experienced Capital, le fonds d’investissement du luxe abordable. Parmi les acquisitions du fonds, Eléonore préside la marque française de prêt-à-porter Figaret connue pour ses chemises premium. Elle insuffle une fois de plus son expertise marketing en appliquant de nombreuses stratégies, de l’influence, à la communication, en passant par la distribution et le développement de gammes.
Dans cet épisode, elle revient sur son parcours riche en expériences à hauts postes et sur ses apprentissages auprès des plus grands du secteur.
« Décider, c’est se planter. Au moins on avance et c’est comme ça qu’on a de l’impact.»
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours d’Eléonore
Sa carrière dans le retail
Ce qu’elle retient de ces expériences
Comment elle recrute ses équipes
Son opportunité chez Gucci
L’acquisition online à l’époque
Son expérience chez Sarenza
L’aventure Experienced Capitals
Sa vision pour Figaret
L’ADN Figaret
Le branding et la DA
Le développement de gamme
La distribution et le digital
La sustainability
La clientèle type
Fidéliser la clientèle
La vision
La stratégie d’influence
S’organiser avec ses équipes
Être une femme dans ce business
« Ce que j’aime dans le retail, c’est le concret. »
« Quand tu as des équipes, ton rôle est de partager ta vision et de faire en sorte qu’elles carburent. »
« Le retail, c’est de la séduction. Il faut créer des produits et des environnements désirables.»
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Références:
Figaret : https://www.figaret.com/fr/
Experienced Capital : https://fr.excp.com
Procter & Gamble : https://fr.pg.com
AT Kerneay : https://www.kearney.com
Kering : https://www.kering.com/fr/
Sarenza : https://www.sarenza.com
Madame Rêve Hotel : https://madamereve.com


348 - Dans l'univers de Smallable : le Family concept store de Cécile Roederer ! (Rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Cécile Roederer, elle est la fondatrice de Smallable. Dans cet épisode, elle nous parle de l’importance des valeurs et des feedbacks en entreprise, de l’éditorial, de la relation entre le créateur et le distributeur et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Cécile, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !
SE RETROUVER DANS L’EPISODE
01:04 Qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast, Cécile se présente et revient sur son parcours.
42:20 Son déclic et le lancement de Smallable.
01:03:44 Les différents milestones de Smallable.
01:30:10 Comment s’y est-elle prit pour faire de l’acquisition clients, la cliente Smallable, la partie éditoriale et la direction artisitque.
01:42:31 La relation entre le créateur et le distributeur et les conditions de paiements.
01:56:24 Son action en termes de sustainability, la création de leur deux propres marque.
02:09:38 Les gens et les citations qui l’inspire, le futur de Smallable.
KEYLEARNINGS
Je vois plein de gens dépenser énormément pour acquérir le client mais parce qu’ils ont besoin de faire venir les clients parce que leur offre n’est pas suffisamment distinctive, leur proposition client n’est pas suffisamment différenciante pour que les gens adhèrent.
Evidemment, il faut acquérir des nouveaux clients mais c’est surtout : il faut satisfaire tes clients pour les fidéliser et ce sont tes premiers ambassadeurs parce que s’ils sont contents, ils vont revenir et en parler autour d’eux.
L’éditorial participe à faire venir du trafic gratuit mais l’éditorial participe aussi à vendre puisqu’en mettant en scène, tu aides à faire convertir donc les photos portées, des associations, des produits associés, de mettre en scène dans un shooting, dans ton magazine, de parler de la marque.
Les gens veulent se faciliter la vie donc aujourd’hui, le multimarque on line trouve sa pleine expression parce que justement il rassemble, il facilite la vie.
C’est important que les marques aient leur site web parce que tu as complètement l’univers, tu exprimes, tu peux vraiment parler de toi uniquement en solo et ça s’est hyper important mais tu n’auras jamais la même croissance avec juste ton site web, ce sont les retours que les marques me font. Elles n’auront jamais autant de croissance que justement un multimarque peut avoir, ce n’est pas pour tout, j’en fait peut être une généralité mais c’est ce que je constate et pas juste avec ma propre opinion, c’est aussi en partageant avec eux, donc en fait : il faut vraiment avoir les deux, il faut avoir son propre retail pour les aficionados s’ils veulent vraiment trouver l’exhaustivité de ton offre, ils ont besoin d’aller chez toi et voir tout, se plonger dans ton univers de marque, et il faut aussi être présent sur des plateformes, des univers qui sont inspirants, et qui drive de la visibilité et qui te font rencontrer de nouveaux clients et tes nouveaux clients acquis par un Smallable vont après aller chez toi sur ton site et vice versa.
REFERENCES
Smallable https://fr.smallable.com/
Fanny Moizant https://www.linkedin.com/in/fanny-moizant-40665322/?originalSubdomain=frHundred pieces https://fr.smallable.com/marques/hundred-pieces
Communauté de biens https://fr.smallable.com/search?q=communaut%C3%A9+de+biens


235 - Olivier Bon — Co-fondateur d’Experimental Group — Le souci du détail est gage d’une expérience client réussie
Paris, Londres, New York, Ibiza, Venise… autant de grandes villes que de lieux singuliers créés par l’Experimental Group.
Tout commence par la culture du cocktail repérée à l’étranger par ces trois amis d’enfance passionnés de gastronomie et d’expériences. Olivier Bon, Pierre-Charles Cros et Romée De Goriainoff ont, dès leurs débuts dans l'entrepreneuriat, eu pour projet d’inscrire l’expérience de l’hospitalité dans une dynamique plus contemporaine.
Du premier bar à cocktails à Paris aux hôtels, bars à vin et restaurants dans le monde entier, le groupe a su bâtir un empire de l’anti-standardisation. Une synthèse du beau et du bon qui passe par un souci du détail irréprochable. De la sélection de produits de qualité, locaux au service prestigieux mais pas pompeux, il s’agit bien de redéfinir le secteur du service avec un vent de fraîcheur.
Dans cet épisode, Olivier Bon, un des co-fondateurs, nous partage son dévouement pour son métier, de l’acquisition à la rénovation en passant par le recrutement du personnel. Un échange porté par son optimisme quant à l’avenir de son secteur et son envie inépuisable d’ouvrir des lieux d’expériences uniques.
« Je considère que les métiers du service sont l’avenir de la France. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours d’Olivier
Les débuts du projet entrepreneurial
La vision du groupe hôtelier
Les milestones d'Experimental Club
La méthode d’apprentissage
L’ouverture des premiers lieux
La vision à dix ans
Les levées de fonds
Le développement durable dans l'hôtellerie
L’acquisition
Leurs clients
L’attractivité des métiers de l'hôtellerie en crise
La répartition du travail
Ce qui l’anime au quotidien
Son quotidien
Les prises de décisions en groupe
« Dès qu’on sent qu’il y a une baisse de régime, on est prêts à repenser un lieu et apporter un vent de fraîcheur. »
« L'hôtellerie, c’est 50% de ton temps sur le terrain et 50% en back office. »
« Ce qui nous fait vibrer, c’est d'ouvrir des lieux. »
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Références:
Experimental Group : https://fr.experimentalgroup.com
Label Clef verte : https://www.laclefverte.org
Adrien Gloaguen dans Entreprendre dans la Mode : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/180-adrien-gloaguen-fondateur-du-groupe-hôtelier-touriste/id1300541489?i=1000506587400


234 - Lisa Gachet — Fondatrice de Make My Lemonade (Rediffusion)
Offre de CEO – Directeur(trice) Général(e) H/F chez Make My Lemonade
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Lisa Gachet, elle est la fondatrice de Make My Lemonade. Dans cet épisode, elle nous parle de ses expériences, du lancement de Make My Lemonade, des différents milestones, de ses shootings, du futur de Make My Lemonade et de beaucoup d’autre sujet. J’ai adoré interviewer Lisa, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !
SE RETROUVER DANS L'ÉPISODE
00:58 Lisa se présente et revient sur son parcours.
17:54 Le lancement de son site Make My Lemonade.
25:52 Le lancement de sa marque de mode.
34:58 Comment elle a créé son 1er vêtement.
49:24 Comment organise-t-elle ses shootings, le sizing.
01:03:20 Les différents milestones.
01:36:05 Le prix d’un produit bien fait, le futur de Make My Lemonade.
01:50:28 Sa news letter Boss with me, son service de location Frida, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast.
KEYLEARNINGS
Si tu veux te lancer, le premier truc c’est : à qui tu t’adresses ? Si tu as un message qui est limpide, c’est quoi ton prix de vente et à partir de là, tu décortiques dans l’autre sens. Est-ce que tu veux faire du wholesale ou est-ce que tu veux être ton seul distributeur, est-ce que tu veux avoir une boutique, c’est quoi la stratégie derrière ? Tu ne peux pas lancer un truc aujourd’hui la fleur au fusil, ce n’est plus possible.A partir du moment où tu sais là tu es bon, il faut juste ne pas avoir peur de s’entourer quitte à dépenser un peu plus mais de se sentir en confiance et le temps que tu gagnes et l’énergie que tu économises pour mettre ton temps et ta créativité là où tu es bon, c’est tout bénéf !Il y a plein de petites choses qu’il faut prendre en compte, je dirais : ton prix de vente, c’est hyper important et tu décomposes derrière, et quand tu décomposes, il faut que tu te dises : il me faut une modéliste parce que maintenant, le produit, il y en a tellement, c’est saturé et il faut qu’il ait une vraie valeur ajoutée, il faut qu’il soit sublime, qu’il réponde à une fonction et qu’il soit adapté à la vraie vite aussi.Ce n’est pas un argument marketing de bien faire, ça devrait être la base de tout.
REFERENCES
Make My Lemonade https://www.makemylemonade.com/
Ecole Duperré https://duperre.org/Salon Playtime https://www.iloveplaytime.com/fr/paris
Episode Marie-France Cohen https://podcasts.apple.com/fr/podcast/13-marie-france-cohen-bonpoint-merci-d%C3%A9mod%C3%A9-aux-innocents/id1300541489?i=1000399960937Episode
Dan Arrouas https://podcasts.apple.com/us/podcast/117-dan-arrouas-groupe-vog-epop%C3%A9e-dun-self-made-man/id1300541489?i=1000450990059
Episode Régis Pennel https://podcasts.apple.com/fr/podcast/47-r%C3%A9gis-pennel-lexception/id1300541489?i=1000419514316
Sébastien Lucas


233 - Frédérique Picard — PDG de Carel — Faire renaître l’héritage d’une marque
Pilier de l’évolution du vestiaire féminin, la marque Carel a certainement contribué à une forme d’émancipation sociale au cours de la moitié du XXe siècle. Avec ses chaussures légères à petits talons garantissant aisance, ergonomie et élégance, la marque a par la suite conquis l’effervescence des catwalks de Jean-Paul Gaultier ou encore de Thierry Mugler dans les années 80.
Alors que l’héritage de cette marque dans le paysage tant historique que mode ne fait pas de doute, il en faut bien plus de nos jours pour permettre d’exister et de perdurer avec la même fougue. Et c’est bien tout le pari réussi de la PDG Frédérique Picard. Avec un parcours riche en expériences à la direction de marques de luxe, elle a su réveiller Carel en repensant la gestion de l’entreprise : de la réinterprétation des modèles sous un regard contemporain aux stratégies d’acquisition. S’il y a bien un combo gagnant qui justifie la croissance, c’est celui du digital et de l’international.
Frédérique Picard nous partage sa vision 360 de la renaissance de l’héritage d’une marque entre tradition et modernité.
« Je voudrais continuer à polir ce diamant et raconter des histoires où nos clientes et mes équipes s'amusent. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :
Le parcours de Frédérique
Ses apprentissages chez L’Oréal
Ses premières expériences professionnelles
La direction générale chez Annick Goutal
Le rachat de Carel
Les milestones de Carel
Le financement
La stratégie de relance
Le branding
La femme Carel
L’acquisition
Le positionnement
Sa vision
« Il faut lancer le bon produit, au bon moment avec la bonne communication. »
« C’est très important d’avoir la fraîcheur et le renouvellement, et en même temps la tradition et l’artisanat.»
« Le côté simple, accessible et le renouvellement de petites séries pour la marque : tout ça fait que c’est dans l’air du temps. »
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Références:
Carel: https://www.carel.fr
@carelparis : https://www.instagram.com/carelparis/?hl=fr
L’histoire de Carel : https://www.carel.fr/fr/pages/la-saga-carel
Goutal : https://www.goutalparis.com


232 - Ornella Abouaf & Deborah Reyner Sebag (@thedailydeb) — Co-fondatrices de Maison Vessel — Quand le style s’invite à table
Si vous aimez vous réunir autour d’une belle table, alors cet épisode est fait pour vous.Deborah Reyner Sebag (@thedailydeb) et Ornella Abouaf ont fait de leur mode de vie un projet entrepreneurial commun. Ces deux amies sont depuis toujours intéressées par la question du style. Pour l’une il s’agit du style vestimentaire, pour l’autre du style d’intérieur. À deux, elles ont fait la synthèse de leurs sensibilités pour créer Maison Vessel, une marque de produits pensée pour l’art de la table avec un fort attachement pour l’artisanat. Leur signature se caractérise par de doux accords de couleurs, de motifs et de textures, le tout fabriqué au Portugal par un artisan céramiste. Si la genèse du projet tient sans doute à leur habitude de réunir leurs proches avec style, c’est sans oublier leurs influences issues de leurs professions respectives. En effet, la jeune marque a fondé sa communauté sur Instagram, outil bien connu des jeunes entrepreneuses. Au croisement du business lifestyle et mode, elles nous racontent comment elles ont acquis un positionnement pleinement en accord avec leur volonté première. « Aujourd’hui, tout le monde est influenceur dans son domaine. Chacun influence une communauté.»Deborah Reyner Sebag Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de DeborahSes premiers stages dans la modeDe la rédaction mode au blog sur instagramLe parcours d’OrnellaLa construction de son réseauLa genèse de Maison VesselLe brandingLa valeur ajoutéeLe pricingLe modèle de vente et la responsabilitéLa logistiqueLes milestonesLes objectifsLa vision pour Maison VesselL’équipe interneLancer un business avec son amieLes collaborations B2CLes futurs produits « Tout démarrage d’une marque se fait à moindre coût.» Ornella Abouaf « En termes d’image, on a réussi à être là où il faut être.»Deborah Reyner Sebag « Je préfère recevoir que d’aller au restaurant. J’aime que l’on soit bien chez moi.»Ornella Abouaf N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: @maisonvessel : https://www.instagram.com/maisonvessel/ @thedailydeb : https://www.instagram.com/thedailydeb/ @ornellaabouaf : https://www.instagram.com/ornellaabouaf/ Dresscode Press : https://www.dresscodepress.com @lespetitesbouchesdejess : https://www.instagram.com/lespetitesboucheesdejess/ École Boulle : https://ecole-boulle.orgMimosa par Jean-François Piège : https://mimosa-rueroyale.com


231 - Sur les pas de la bottine idéale : Les Chelsea Boots - Cas pratique RÉUNI [HORS-SÉRIE]
L’hiver arrive à grand pas. Vous avez peut-être déjà eu ce réflexe de ressortir votre vestiaire de saison : gros pulls, pantalons épais et veste en laine sans oublier les bottines ! Pour Réuni, il s’agit de notre toute première paire. Notre directrice artistique Alice ayant précédemment travaillé dans ce secteur se confronte chaque année à la même problématique : comment trouver LA paire de bottines idéale ? Celle qui ne s’use pas trop vite, celle qui ira avec un pantalon ajusté comme avec un jean droit, celle qui ne fait pas mal au pied après une journée de travail ou une soirée entre amies...Alors on s’est lancé le défi de répondre à cette question, et la réponse se trouve dans les Chelsea Boots.On a décidé de vous faire rencontrer ceux qui nous ont aidés à concevoir la paire qui, nous l’espérons, vous tiendra dans le temps et qui habillera avec élégance et confort vos tenues du quotidien.Camille Laupin a travaillé en tant que designer chaussures pour de grandes maisons. Aujourd’hui elle a sa propre entreprise : Numéro Studio et c’est avec elle que nous avons pensé le design de la bottine. Pour la fabrication, elle nous a emmenés voir les meilleurs sur le marché du luxe. Direction le Portugal où Nicolas Frenot, commercial dans l’usine Vitorino nous a longuement conseillés et accompagnés sur la fabrication de ce modèle.Bonne écoute !Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Les problématiques rencontrées avec la bottine Le brief de la directrice artistiqueLe parcours de Camille Laupin, designer chaussureLa conception des Chelsea BootsLes étapes du processus de créationLe twist RéuniLe rôle de Nicolas Frenot chez VitorinoL’histoire de VitorinoLa fabrication en Italie VS au PortugalLa fabrication des Chelsea BootsUne bonne chaussure selon NicolasLes matièresLes certifications «Quand on décide de travailler avec quelqu’un, c’est surtout pour l’aspect humain et l'approche qu’il a du produit.» Nicolas Frenot, Développeur et Commercial chez Vitorino« Généralement, la bottine est toujours un sujet parce qu’on passe beaucoup de temps à la chercher. On n'arrive pas à trouver la paire idéale. » Alice Bailly Garcia, Directrice artistique de RÉUNI«On voulait de la transparence, un côté pédagogique apporté par les fabricants et voulait aussi comprendre les problèmes liés à l’inconfort et à l’usure. » Camille Laupin, Designer Chaussure«On essaie de livrer un très bon service, une proximité et une communication permanente avec les clients. » Nicolas Frenot, Développeur et Commercial chez VitorinoN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références : Les Chelsea Boots RÉUNI en précommande le 23 novembre à 8h00 :Numero Studio par Camille Laupin : https://www.instagram.com/numero.studio/ Vitorino : http://www.vitorinocoelho.com/fr/ L’article reportage en intégralité :


230 - Barbara Quaranta — Directrice Générale de Roseanna — Être convaincue de son produit pour accompagner sereinement sa stratégie de croissance
Guidée par la curiosité tout au long de son parcours, Barbara Quaranta est passée du marché de l’art à la direction générale de la marque Roseanna. Sa sensibilité pour le beau, son goût pour le challenge et son envie de partager une expérience humaine l’ont mené à exceller dans son domaine. À la direction retail chez Ba&sh, elle forme pendant plusieurs années les équipes internes et se passionne pour la vision 360 de son poste. Très vite, elle comprend que le succès d’une marque est avant tout le fruit d’un travail collaboratif avec tous les services. C’est justement ce qu’elle va mettre en place en rejoignant Roseanna où elle pense les stratégies de distribution, les techniques commerciales et la réécriture de l’histoire de marque. Soucieuse de la qualité et de l’engagement créatif des produits, la marque au positionnement premium engage un taux de fidélité et un engouement certains. Dans cet épisode, Barbara nous partage son mindset où la croissance s’appuie avant tout sur la conviction du projet pour embarquer ses clients, mais aussi ses équipes dans un projet et une histoire. « Tu peux être très exigeant, avoir des ambitions fortes et croire en la force de ton projet tout en restant humain. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de BarbaraSes premières expériences dans le retail Comment garder de l’humanité dans une boîte en pleine croissance ?Son expérience chez Ba&shSes débuts chez RoseannaComment structurer une marque ?Le positionnementLa gamme de prixLa valeur ajoutéeL’esprit de croissanceComment se fixer des objectifs ?L’acquisitionLes campagnesLa marque et le média, un projet à venir ?L'organisation de la communication interneL’entreprise post-covidSon organisation personnelleComment s’approprier un projet ?L’ambition de la marqueSes ambitionsLa RSESes conseils pour Réuni « Notre enjeu, c’est notre capacité à faire essayer le produit une fois pour que les clientes reviennent et deviennent fidèles à la marque. » « En boutique, il faut une expertise humaine et proposer l’expérience par une approche sensorielle. » « Pousser un produit pour pousser un produit n’a pas d’intérêt, il faut qu’on donne du sens à ce que l’on fait. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Roseanna : https://roseanna.fr/fr/ L’épisode de la fondatrice de Roseanna Anne-Fleur Broudehoux : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/125b0628-b34a-43fb-aaa2-939e7192966d L’épisode précédent avec Barbara : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/bbe62a09-442e-442c-9948-28a37cab915a L’épisode de Dan Arrouas : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/7547ba60-eede-4925-b407-69d2ad4fad8f L’épisode avec les fondatrices de Ba&sh : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/d8e8f1d8-e352-4c73-bb29-521686c188fa Art Curial : https://www.artcurial.com Fratteli Rossetti : https://www.fratellirossetti.com Ba&sh : https://ba-sh.com/fr/fr/


229 - Mathilde Lacombe— Co-fondatrice de Aime Skincare (ex fondatrice de BirchBox) —Une deuxième aventure entrepreneuriale à succès
Dans cet épisode sorti initialement en décembre 2020, je reçois Mathilde Lacombe, elle est la co-fondatrice de Aime, une marque de cosmétique qui propose une nouvelle approche de la beauté. Cette nouvelle aventure, elle la mène avec son associé François Morrier. Tous deux ont contribué pendant 8 ans à la réussite BirchBox France. Ils en retiennent une adrénaline entrepreneuriale qui les a conduit à se renouveler. Avec l’envie de revenir à l’essentiel et à une vision plus globale de la beauté, Aime Skincare répond avant tout à un besoin personnel de se recentrer sur son bien-être par le biais de compléments alimentaires. Un produit qui révolutionne le marché et que le duo d’entrepreneurs accompagnent d’une expérience totale : exercices holistiques, rituels et soins font partie intégrante du storytelling de la marque. Mathilde partage sa sérénité et son approche optimiste de la vie. Elle nous parle de ses débuts de pigiste au magazine Elle, de son parcours entrepreneurial et de l’équilibre entre la création et le marketing.« Cette marque, je l’ai tellement rêvée que lorsque je l’ai eue devant les yeux je me suis dit : c’est une évidence. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de MathildeSon obsession pour le milieu de la beautéComment elle trouve du temps pour s’inspirer Comment ne pas devenir esclave de sa boîteTrouver un équilibre entre l’entreprise familiale et les ambitions Son expérience de pigiste au ElleSa volonté d’entreprendreComment elle garde sa sérénité au quotidienLes milestones de BirchBox/JoliBoxLe juste milieu entre un profil créatif et marketing Le déclic qui l’a faite quitter BirchBox Les débuts de AimeLa plus value de sa marqueLe storytelling et la pédagogie autour du produitComment elle a organisé le lancementLe modèle économique, l’acquisitionLa structure interne et le recrutementLe retail et l’expérience clientLa dimension médical, un sujet sensible en France Comment elle s’organise dans sa vie professionnelle et personnelleSa vision pour Aime « Les créatifs ont quelque chose en plus qu’un fond d’investissement ou que quelqu’un qui sort d’une école de commerce n’ont pas. C’est ce pouvoir d’intuition et de créativité qui donne de la valeur à une marque. » « Je pense qu’au fond de moi, j’ai toujours été quelqu’un de volontaire et déterminée, avec ce besoin de me fixer des objectifs. J’ai toujours eu envie d’avoir une vie heureuse et de me faire plaisir »« La force des marques qui réussissent, ça reste l’intuition des personnes qui sont derrière pour en faire des bons produits. Le fait de mettre une grosse équipe et beaucoup d’argent ce n’est pas forcément ça qui va faire un succès. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:Aime : https://aime.co/fr/ @mathildelacombe : https://www.instagram.com/mathildelacombe/ @aimeskincare : https://www.instagram.com/aimeskincare/


228 - Quentin Couturier, Xavier Aguera et Charles Brun — Co-fondateurs de IZIPIZI — Trouver l’équilibre entre croissance, liberté et ambition
Des modèles pour les grands, les petits, les sportifs…Izipizi est la marque qui a su s’imposer sur de nombreux territoires avec un pari étonnant : proposer des lunettes de correction au design reconnaissable mais surtout abordable. Dix ans plus tôt, Charles Brun, Quentin Couturier et Xavier Aguera, les co-fondateurs d’Izipizi démarchaient les banques, les hôtels et tout type d’établissement recevant du public afin d’y apporter une solution à portée de main. Au-delà de la fonction, leurs lunettes sont devenues un accessoire de prêt-à-porter qui ont su séduire les grands du wholesale, de Colette au Bon Marché. Si ce positionnement leur a permis d’acquérir une grande visibilité, c’est sans oublier la complémentarité du retail et du e-commerce. Un modèle de croissance qui s’explique en effet par la diversité des canaux de distribution, un produit attractif mais surtout, un esprit entrepreneurial fort. Dans cet épisode, ce trio de choc nous partage leurs premiers échecs qui ont mené à leur réussite internationale et à la gestion d’une entreprise comblée de bonheur. On parle aussi d’auto-financement, de l’importance de bien choisir ses revendeurs et par extension, son image de marque. « Il faut déjà essayer de maîtriser et stabiliser son business avant de recruter et de passer à l’étape au-dessus. »Xavier Aguera Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de Quentin, Charles et XavierPourquoi ils ont lancé leur business à ParisLeurs expériences professionnellesLa genèse du projetLe démarchage auprès des établissementsLes milestones qui ont construit leur succèsLa valeur ajoutéeLes margesComment ils fixent leurs prixLa structuration du réseau wholesale à l’internationalLes débuts du retailComment ils expliquent leur succèsLe changement de noms de la marqueLeur avis sur les fonds d’investissements et l’indépendanceLeurs projections personnellesLa culture d’entrepriseLa vision d’IzipiziL’internationalLa responsabilité environnementaleL’évolution de leurs relationsComment ils accueillent les employés dans leur structureL’organisation personnelle L’importance de définir la gouvernance en interneLes conseils pour Réuni « Le retail a permis d’installer la marque, d’exprimer notre offre et de gagner en notoriété. »Quentin Couturier « Un produit qui se vend bien, ça change tout à la façon dont tu vas structurer ton business. » Xavier Aguera « On a cette obsession depuis toujours d’être indépendant. C’est ce que notre rentabilité et notre auto-financement nous ont permis de construire petit à petit. »Charles Brun N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: @izipizi : https://www.instagram.com/izipizi/ Izipizi : https://www.izipizi.com/fr/ Le plan d’action Izipizi : https://www.izipizi.com/fr/nos-engagements?page=1 BPI : https://www.bpifrance.fr Havas : https://www.havas.fr Pop & Partners : http://popandpartners.com Maison & Objet : https://www.maison-objet.com Groupe Costes : https://beaumarly.com/fr/


227 - Géraldine Dormoy — Journaliste indépendante — Prendre le temps de s’écouter et de vivre le moment présent: le nouveau chapitre de vie en freelance de Géraldine (rediffusion)
Dans cet épisode initialement sorti en septembre 2020, nous allons à la rencontre de Géraldine Dormoy, elle a travaillé à la rédaction digitale de l’Express et aujourd’hui elle est journaliste indépendante. À l’aube du digital, elle a créé son blog Café Mode qui lui révèle le goût pour le journalisme et fédère une communauté qui suit ses pas sur Instagram. Après plusieurs expériences en entreprise et une épreuve de santé, elle a le déclic de se lancer en freelance. Avec Géraldine, on a parlé de la presse, de ses journées en freelance et de l’importance d’être connecté à l’instant présent.« Je ne fais que des choses que j’adore et c’est une chance incroyable. J’ai réussi à trouver des personnes qui me demandent des missions que j’adore faire. En même temps je pense que ça s’auto-génère parce que j’y mets un tel enthousiasme. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de GéraldineSon ressenti sur l’IFMLe déclic qui l’a fait passer au freelance Son blog Café ModeSa définition du métier de journalisteLe futur de la presseLes bénéfices du yogaÀ quoi ressemble ses journéesSon rapport à l’industrie de la modeLe rôle de la mode sur les questions de société (inclusivité, sustainability)Sa relation à la communauté Comment mettre une valeur sur son travailSon approche journalistiqueSes interviews marquantesUn conseil qu’elle se donnerait plus jeune« C’est ça qui est difficile dans la presse aujourd’hui: c’est qu’on nous demande d’avoir toujours plus d’idées. Sauf que si on est toujours en train de pisser de la copie on n’a pas le temps de réfléchir et le cerveau est accaparé par l’exécution. C’est le même problème que dans la mode. »« J’ai juste compris qu’en étant en freelance, il faut que je reste en mouvement, il faut que je continue d’être ouverte à des choses que je n’ai pas encore faites et d’être ouverte à des personnes. Je suis vraiment très attentive à tout ce qui se passe et je me fie à ce que je ressens. » « Internet pour moi c’est ça: c’est un endroit où tu trouves des solutions, où tu trouves des gens qui vivent la même chose que toi même si t’as l’impression qu’autour de toi personne ne vit la même chose. »« En fait Instagram c’est un outil de développement personnel. Ça permet de savoir où tu en es avec toi-même, c’est un miroir qui te renvoie plein de choses et ça en dit très long sur la personnalité. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Pour suivre Géraldine: https://www.instagram.com/geraldinedormoy/?hl=frPour s’inscrire à la newsletter de Géraldine: https://mailchi.mp/b015d060c621/newsletter Ses articles: https://www.geraldinedormoy.com https://www.ifmparis.fr https://www.wgsn.com/en/


226 - Serge Carreira — Responsable de l’Initiative Marques Émergentes à la FHCM — Comprendre l’industrie du luxe et de la mode pour mieux s’y intégrer
Nombreux sont ceux qui vantent son expertise au regard de l’industrie de la mode et du luxe. Et pour cause, après avoir évolué dans le retail et le merchandising, Serge Carreira est devenu responsable de l’initiative marques émergentes à la Fédération de la Haute Couture et de la Mode. Son rôle est d’accompagner les créateurs dans leur développement de marque pour ainsi mieux s’intégrer au vaste écosystème de la mode. Que ce soit au niveau commercial, technologique, médiatique ou institutionnel, il établit une synergie significative entre ces acteurs. Bien plus qu’une question de sensibilité, la mode est aussi un sujet d’étude qu’il décrypte, analyse et s’attache à transmettre lors de ses conférences à Sciences Po Paris. Une présence sur le champ théorique qui lui permet d’équilibrer et de raisonner avec justesse sur son approche de terrain. Dans cet épisode, il nous livre son regard analytique sur le système de la mode et sur les modèles de distribution. Il nous partage également des clés essentielles pour intégrer le calendrier de la FHCM. « Il n’a jamais été aussi facile de créer une marque mais paradoxalement, durer n’a jamais été aussi difficile. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de SergeLes apprentissages de ses expériencesSes enseignements à Sciences PoL’évolution de la mode et du luxePourquoi il a dédié sa vie à ce secteurLa Fédération de la Haute Couture et de la ModeLes critères pour rentrer à la FHCMLes marques émergentes L’accompagnement La structure interne Vers la fin du modèle wholesale ?Le showroom Sphere de la FHCMComment exister dans un paysage saturé de marquesLes points communs de ceux qui réussissentLes projets qui ne connaissent pas de croissance Ce qui lui plaît dans ses activitésCe qu’il ferait différemmentSes conseils pour Réuni « Enseigner est une occasion de prendre du recul et de s’extraire complètement du quotidien. » « Ce que j’aime dans la mode, c’est cette création qui permet à chaque individu de construire son identité dans un contexte social et historique donnés. » « Cette nouvelle génération est à la fois idéaliste, très engagée et très pragmatique. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: La Fédération de la Haute Couture et de la Mode : https://fhcm.paris/fr/ Les marques émergentes : https://fhcm.paris/fr/les-marques-emergentes/ Le showroom Sphere : https://fhcm.paris/fr/les-marques-emergentes/sphere/ Comité Colbert : http://comitecolbert.com Mary Katrantzou : https://www.marykatrantzou.com/about/ Le Festival International de Mode, Photographie et Accessoires de Hyères : https://villanoailles.com/festivals/36e-festival-international-de-mode-de-photographie-et-daccessoires-de-mode-hyeres LVMH Prize : http://lvmhprize.com Andam : https://andam.fr @kennethize : https://www.instagram.com/kennethize/ @thebemagugu : https://www.instagram.com/thebemagugu/ @christophe_rumpf : https://www.instagram.com/christoph_rumpf/ @ludovicdesaintsernin : https://www.instagram.com/ludovicdesaintsernin/ @bode : https://www.instagram.com/bode/ Plateforme de logistique Stellae : http://www.stellae.us.com My Theresa : https://www.mytheresa.com SSENSE : https://www.ssense.com 24S : https://www.24s.com/fr-fr/ Net-a-porter : https://www.net-a-porter.com


225 - Sophie Hersan— Co-fondatrice et Directrice de la mode responsable de Vestiaire Collective — La plus grande garde-robe du monde
Dans cet épisode initialement sorti en Octobre 2020, je reçois Sophie Hersan. Elle est la co-fondatrice et directrice de la mode de Vestiaire Collective, la plateforme incontournable de la seconde main dans la mode et le luxe. Sophie fait ses débuts dans la mode entre la presse et la création mais c’est avec ses amis et un constat alarmant qu’elle décide de lancer son entreprise.Ils sont six amis, six passionnés et avec leur expertise, ils fédèrent une communauté devenue aujourd’hui internationale. Avec eux, Sophie a inventé un nouveau modèle économique circulaire et a instauré un changement profond dans l’industrie de la mode.Pionnière sur le marché, elle contribue aussi à la transformation du secteur en échangeant avec les marques et les institutions. Dans cet épisode, elle nous parle de sa vision de la communauté, de l’alliance entre mode et technologie mais surtout, elle soulève de nombreux questionnements autour du style et des habitudes de consommation.« On a toujours été un peu anti-tendances puisque c’est le style versus la mode. On ne suit pas les tendances mais on redonne vie à des articles qui étaient oubliés. C’est ce que cherche le consommateur : à personnifier son style plutôt que de suivre une mode. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de SophieSes premières expériences dans la modeLes rencontres qui mènent au déclicLes débuts de Vestiaire CollectiveL’installation des locaux et la gestion du stockageLes valeurs fondatricesLa question du style et la ligne éditorialeLa recherche d’investisseursComment fédérer une communauté Le rôle de Sophie et ses évolutionsComment elle a changé l’offre dans l’industrie de la modeSes engagements pour faire évoluer la modeLa structure interneCe qu’elle ferait différemment Le modèle de circularité et ses enjeuxLe brandingL’équilibre entre sa vie professionnelle et personnelleSes références culturelles« La transmission c’est important, je l’ai appris de la mode. Quand tu vois la création depuis 60 ans, tout est une histoire de transmission. Je pense que c’est important de continuer et pour moi, transmettre, ça m’enrichit. »« On était convaincus qu’on allait changer le monde. On est tous nés de cette même réflexion : c’était la fin d’une ère et il fallait dire stop au gaspillage. Quand on consomme même pas 40% de sa garde-robe, ça veut dire que 60% c’est du gaspillage. Il fallait que ça s’arrête. » « Rejoindre un mouvement responsable aujourd’hui, c’est rejoindre une communauté d’activistes. Quand on achète et qu’on vend de la seconde main, on adhère à des valeurs en étant soucieux des impacts environnementaux et sociaux. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Vestiaire Collective : https://fr.vestiairecollective.com Paris Good Fashion - Convention citoyenne pour une mode plus responsable: https://parisgoodfashion.fr/fr/ Re-fashion (campagne #RRR) : https://refashion.fr/citoyen/fr? On The Wild Side Cosmetics : https://onthewildsidecosmetics.com


224 - Eliana Di Modica — Directrice Générale de Maison Matisse — Quand l’art est source de dialogues au croisement de l’objet, de l’intérieur et du design
Nous avons tous déjà vu un de ses tableaux, ses formes figuratives découpées, ses couleurs éclatantes au détour d’un livre, d’une exposition ou peut-être même à l’école. Henri Matisse fait partie de ces artistes au langage universel qui a marqué les esprits. Alors comment faire vivre l’œuvre d’un artiste autrement, presque un siècle après ? C’est justement ce questionnement qui a amené Eliana Di Modica à rejoindre les héritiers du peintre au sein du projet de Maison Matisse. La maison d’édition déploie l’univers de Matisse autour de l’art de la table, la décoration, le mobilier ou encore le textile dans le respect de l’œuvre et de l’artisanat. Designers et créatifs sont invités à repenser son vocabulaire plastique et engagent ainsi un dialogue artistique entre différentes époques. Ces nouvelles formes s’inscrivent dans une volonté de transmettre un héritage et une histoire symboles de célébration de vie et de beauté intemporelle. Dans cet épisode, la directrice générale Eliana Di Modica nous parle des enjeux derrière la transmission de l’œuvre d’art et du modèle économique de Maison Matisse. « On observe de plus en plus de perméabilité entre l’art, le design et la mode. Ces barrières s’estompent. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d’ElianaSes expériences de la grande distribution à LacosteLe retour sur les bancs de l’écoleLe projet Maison Matisse Connaître MatissePourquoi elle a choisi ce projetLes valeurs de Maison MatisseLes débuts de Maison MatisseComment ne pas abîmer l’image de l’artisteLes médiateursLes premières collaborationsComment les artistes reçoivent la propositionDécliner des produits dans l’art de vivreLe développement produitL’acquisitionÀ quoi ressemble ses journéesLa vision du projetLa durabilitéSes conseils « C’était important de partir des valeurs propres à Matisse pour définir l’ADN de la marque. » « Dans la création, l’audace est importante. » « Matisse était un grand collectionneur d’objets qu’ils mettaient en scène dans ses tableaux. Ils disaient que les objets étaient comme des acteurs qui jouaient des partitions différentes en fonction de comment ils étaient associés entre eux. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Maison Matisse : https://www.maison-matisse.com @maison_matisse :https://www.instagram.com/maison_matisse/ Perludi : https://www.perludi.com


223 - Constance Gennari — Fondatrice et Directrice Artistique de The Socialite Family — Du média à la marque de design d’intérieur (rediffusion)
Dans cet épisode initialement sortie en Juin 2020, nous partons à la rencontre de Constance Gennari, elle est la fondatrice et directrice artistique du média et de la marque The Socialite Family. Le concept ? The Socialite Family est né de l’envie de partager les espaces de vie des familles d’aujourd’hui. À l’origine, Constance propose du contenu éditorial autour de la décoration d’intérieur et de l’art de vivre contemporain sur son site. Elle développe par la suite sa propre marque de mobilier au gré de ses inspirations. De son poste de journaliste chez Milk Magazine, en passant par acheteuse d’art, Constance nous raconte comment elle a trouvé sa passion à travers l’univers du design d’intérieur mais surtout, dans sa quête permanente des nouveaux styles de vie familiale. Dans cet épisode, elle nous parle de ses inspirations, du sourcing dans l’industrie du mobilier et des valeurs de l’entreprise.« Quand on veut avoir sa boîte, il faut aller chercher les bonnes personnes, creuser, être sur le terrain. Je passe ma vie à chiner, à parler et aller consulter parce que j’ai besoin d’apprendre tout le temps et de comprendre. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de ConstancePourquoi elle a créé The Socialite FamilySa ligne éditoriale et ses inspirationsComment elle finance ses débutsLa rencontre avec son associéeDu blog à l’édition de mobilierLes premiers objets et la recherche de fabricantsLes labels dans le mobilierLa cliente The Socialite FamilyLe recrutement de son équipeSes ambitionsLes valeurs de l’entrepriseLes KPI’s qu’elle regardeL’expérience en boutiqueÀ quoi ressemblent ses journées« J’ai eu envie de parler de la famille moderne. J’avais eu mon premier enfant donc j’étais en plein dedans. »« J’aime bien demander à notre communauté leur avis quand on fait des lancements. J’adore les faire participer en story comme si je demandais à des amies ce qu’elles pensent d’une tenue. C’est intéressant pour affiner la production. »« Je suis obsédée par la quête de la jolie pièce, en mode comme en objet. Je passe mon temps à faire les vide greniers, les puces. J’ai beaucoup d’amis marchands qui m’apprennent énormément. En fait, j’ai une soif de comprendre, d’apprendre autant sur un vêtement que sur un meuble. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre dans la mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: The Socialite Family (Média) : https://www.thesocialitefamily.com/#The Socialite Family (E-Shop) : https://shop.thesocialitefamily.com/fr/ Leur instagram: https://www.instagram.com/thesocialitefamily/ The Selby : https://theselby.comGarance Doré : http://www.garancedore.fr The Sartorialist : https://www.thesartorialist.com World Of Interiors : https://www.worldofinteriors.co.ukVogue Intérieurs : https://www.vogue.com/living/homes


222 - Iris de La Villardière & Thomas Montier Leboucher — Co-Fondateurs de Viltier — Écrire l’histoire d’un univers pour faire rayonner son produit
Solaire, estivale, chaleureuse, la jeune marque de joaillerie Viltier a pris à contrepied les codes de la joaillerie de luxe telle qu’on la connaît. Et c’est tout à son avantage quand on voit son rayonnement actuel. Ses fondateurs Iris de La Villardière et Thomas Montier Leboucher ont justement construit leur parcours respectif dans ce domaine sur le plan créatif comme business. Amis d’enfance, ils ont voulu écrire à deux l’histoire d’un univers porté par la joie, la couleur, et particulièrement le jaune devenue leur identité phare. C’est grâce à leur storytelling qu’ils apportent un vent de fraîcheur ou plutôt un rayon de soleil qui réchauffe le cœur des amoureux de la joaillerie. Loin du modèle froid et distant, Iris et Thomas ont compris qu’il fallait cultiver la proximité dans l’image comme dans le parcours client sans pour autant en oublier la qualité du produit. Des bijoux fabriqués à Paris qui connaissent un succès international de New York à Séoul. Dans cet épisode, ils nous partagent de nombreuses clés marketing propres à ce secteur, de la distribution à la communication. Découvrez la première pierre (précieuse) d’un édifice voué à grandir sur d’autres territoires… « Ce n’est pas parce qu’on est jeune qu’on ne peut pas faire de joaillerie dans les règles de l’art. »Thomas Montier Leboucher Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d’Iris et de ThomasLa genèse du projetDémissionner pour entreprendreL’univers ViltierLe storytellingLa responsabilité dans la joaillerieLes origines du nomLa signature ViltierLe financementLes margesLe showroom La gestion des finances d’une marque de joaillerieEntreprendre en duo La distributionLeur réseau wholesaleLa différenciation Leur stratégie d’influence et de RPLes canaux d’acquisition via la communicationCréer un parcours client pérenneLes outils qu’ils utilisentLa gestion en interneLa vision de la marqueL’importance de l’expérienceLeurs conseils pour Réuni « On avait envie d’une marque qui dépasse le produit en lui-même et qui soit un univers. »Iris de La Villardière « On se rend compte qu’on attire beaucoup plus de followers quand la communication est faite de manière authentique, naturelle et qu’il y a une vraie affection envers nos bijoux. » Thomas Montier Leboucher « J’avais l’impression qu’il fallait beaucoup d’années d’expériences pour se lancer alors qu’une expérience de deux ans peut déjà t’apporter beaucoup. »Iris de La Villardière N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: @viltier_paris : https://www.instagram.com/viltier_paris/ Viltier : https://www.viltier.com Imaï : https://www.imai.fr Marie-Hélène de Taillac : https://mariehelenedetaillac.com Penninghen : http://www.penninghen.fr Stone Paris : https://www.stoneparis.com BETC : https://betc.com/fr/ Experienced Capital : https://fr.excp.com Fernado Jorge : https://www.fernandojorge.co.uk Naive Water Seoul : https://nw1423.com/page/about/index.html Agence Dlx : https://www.dlx.co


221 - Gauthier Borsarello — Ce client, il faut l’éduquer, vers « moins consommer, mais mieux » (rediffusion)
Dans cet épisode sorti initialement en octobre 2018, nous allons à la rencontre de Gauthier Borsarello, le fondateur de Gauthier Borsarello Showroom, une collection de vêtements vintage créée depuis de nombreuses années à destination des professionnels de la mode. Il est également le Style Director de Holiday Boileau, la marque de vêtements du projet HOLIDAY, du directeur artistique entrepreneur Franck Durand, il est Creative Director de la marque de vêtements Kidur, et il est le co fondateur avec Marc Beaugé du magazine lancé le 18 octobre dernier, L'Etiquette. Dans cet épisode, on revient sur son parcours atypique, on parle de chacun de ses projets, de sa vision de la mode, de comment il jongle entre toutes ses activités et de beaucoup d'autres sujets. J'ai adoré interviewer Gauthier, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter. Pour suivre Gauthier sur InstagramSes projets : Gauthier Borsarello Showroom, Holiday Boileau, Kidur, L'Etiquette Magazine POUR SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE 01:30 Gauthier se présente et reprend son parcours 06:30 Les années Ralph Lauren et Double RL en tant que Vintage Spécialiste 13:00 Sa rencontre avec Ramdane Touhami 15:45 Sa rencontre avec Franck Durand, cette idée de développer le quartier 22:00 Sa facilité avec les gens, d’ou vient elle 24:00 Comment il choisit ses projets 26:40 Pourquoi il a suivi Franck Durand, pourquoi il ne se dit pas designer 30:30 Avec qui il travaille aujourd’hui sur la partie vintage, comment les vêtements vintage sont utilisés dans les studios, comment il se source en vintage, comment il choisit ses pièces, combien coute une pièce très rare 39:00 Comment il voit le marché de l’industrie de la mode évoluer 44:00 Son avis sur le reportage de Cash Investigation sur le luxe 48:00 Comment il gère son quotidien, Holiday, la vision de Franck Durand pour Holiday, comment décliner sa vision globale lifestyle dans une ligne de vêtements 51:20 Kidur 55:30 Magazine L’Etiquette, le cycle de la mode 01:03:00 Comment il fait pour gérer autant de projets de fronts, à quoi ressemblent ses journées, sa vision pour son futurKEYLEARNING Même si je suis impressionné au fond de moi, mes parents m’ont appris à parler de la même façon à tout le monde. Ma concierge m’apprécie autant qu’un Franck Durand peut m’aimer, je ne mets pas de filtre. Par contre, si je n’aime pas quelqu’un, je ne mets pas de filtre non plus. Je suis extrêmement entier, j’ai besoin d’admirer les gens. J’admire les gens pour leur gentillesse, pour leur talent, pour leur vision ou pour leur capacité à travailler, j’ai besoin de voir que des personnes ont quelque chose que les autres n’ont pas. Quand je vois des grands DA qui sont aujourd’hui dans des maisons de luxes qui sont finalement comme moi ; des gens qui aiment le vêtement et qui se disent : « je vais prendre ce vintage et je vais le refaire », sauf que moi j’assume pleinement cela, je l’embrasse complètement. Pour moi, un vrai designer est quelqu’un qui prend son ordinateur ou un crayon et qui vous fait une fiche technique, qui est capable de faire une gradation, de faire un développement sur mannequin, faire du flou… quelque chose que je ne sais pas faire du tout. Moi, je suis un synthétiseur de savoir-faire, je fédère peut-être des gens, mais ce serait mépriser le travail d’un vrai designer de dire que j’en suis un. Je pense que le whole sale va souffrir, les marques vont se structurer avec un flagship vraiment représentatif d’images avec une très belle architecture, un service de qualité, etc. Un e-shop très compétitif où tu peux recevoir rapidement ta marchandise. En réalité, le fait d’être distribué dans le monde entier dans des gros multi-store qui font des marges et des soldes colossales, tout ce principe va s’écrémer car on se rend compte que les clients veulent payer le vrai prix, à part les clientèles émergentes qui sont prêtent à payer n’importe quoi à n’importe quel prix, pour avoir le truc et pour avoir un marqueur social. Je pense que petit à petit les marges vont diminuer, que le wholsale va disparaitre, que les marques vont structurer leurs ventes en direct, que du coup cette double marge – qui est un minimum de 5 entre le coût de fabrication et le prix de revente – doit être coupée… Ce client, il faut l’éduquer, vers « moins consommer, mais mieux ». Le luxe, c’est le temps nécessaire et incompressible à l’élaboration d’un produit dans la matière et la fabrication. J’ai l’impression que les groupes de luxe font tout pour qu’on oublie ce qu’est le luxe. Pour moi, le luxe absolu, c’est quand un DA va voir un artisan, quand quelqu’un qui a le goût de faire un produit qui va plaire, choisit de le faire avec un artisan. Là, pour moi, on est tout en haut. Une fois que t’es DA chez Vuitton, t’es plus underground au même titre que le punk lorsqu’il est mort. C’est qu’il était trop visible quand il était chez Vivienne Westwood, chez Jean Paul Gautier, dans les années 80, le punk était mort et ce n’est pas grave, c’était juste la fin d’une esthétique, la fin d’un monde et c’est bien qu’on passe à autre chose. RÉFÉRENCES DANS L’ÉPISODE ICARTTAJAN https://www.tajan.com/ Ralph Lauren https://www.ralphlauren.fr/ Double RL https://www.ralphlauren.fr/fr/marques/double-rl/hommes/70201 VINTED https://www.vinted.fr/ Doug Bilheimer Acheteur Vintage de Ralph Lauren Vintage Showroom http://www.thevintageshowroom.com/ Cassie Mercantile http://www.cassiemercantile.com/ Ramdane Touhami https://fr.wikipedia.org/wiki/Ramdane_Touhami Franck Durand www.franckdurand.com/ Holiday Café https://www.holiday-paris.fr/cafe.php Beige habilleur https://www.beige-habilleur.com/en/ Super Stitch https://www.instagram.com/superstitchparis/?hl=fr Kdpresse https://www.instagram.com/kdpresse/?hl=fr Camber https://www.camberusa.com/ Hense https://www.hanes.com/shop/hanes/hanes-beefy-t-short-sleeve-t-shirt-6307?redirectLoop=true&originalReferrer=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F Cash Investigation https://www.youtube.com/watch?v=1IRtRnV92AM Julien Hamon http://jthamon.tumblr.com/ Nicolas Gabar de Husband http://www.husbands-paris.com/ Feedly https://feedly.com/ Photographe http://www.henryleutwyler.com/Pierre Maheo Officine Générale Les tumblrs : http://melancholiceuphoria.tumblr.com / http://kitty-n-classe.tumblr.com / http://gersaintbeaupre.tumblr.com / http://joeinct.tumblr.com


220 - Jérôme Tourbier — Fondateur du groupe Les Sources — L’économie de l’art de vivre : une opportunité pour redéfinir les liens humains ?
C’est au milieu des vignes que Jérôme Tourbier a fondé le groupe Les Sources, une aventure avant tout familiale qu’il partage aux côtés de sa femme Alice depuis une vingtaine d’années. Avec deux adresses étoilées au cœur de la nature : Les Sources de Caudalie et de Cheverny, celui qui se définit comme un entrepreneur de l’art de vivre a eu plaisir à y réunir l’hôtellerie, le bien-être et la gastronomie avec brio. Pour en arriver à un tel succès, il s’est inspiré des grands mais il a surtout su garder l’esprit de business familial à échelle humaine. Car si son expertise se traduit en partie par sa vision contemporaine de ce secteur, c’est aussi son intérêt pour les relations humaines qui qualifie sa posture d’entrepreneur et manager à l’éthique de travail saine et prospère. Son esprit de croissance s’ancre profondément dans le sens du collectif d’où sa volonté de faire de l’hôtellerie une responsabilité sociétale. Dans cet épisode, il nous partage les qualités indispensables d’un manager, comment gérer une entreprise hôtelière en post-covid et comment entreprendre en famille. « Je pense que les gens sont en recherche d’émotions partagées. Ils sont beaucoup moins matérialistes. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de JérômeLa genèse du projetLa cosmétiqueEntreprendre en familleLes moments difficilesFidéliser ses salariés et recruter en post-covidConserver l’esprit de famille tout en s’inscrivant dans une dynamique de croissanceComment il communique avec ses collaborateurs ?Sa clientèleLa gestion de la commercialisationLe brandingQu’est-ce que le management contract ?L’hôtellerie est-elle un bon business ?Comment a évolué le goût de la clientèle ?Les valeurs La customer journeyComment il se forme ?L’hôtellerie et la RSELe futur de l’hôtellerieSes concurrentsSe connecter à sa clientèleS’il devait recommencer à zéroLes potentiels marchésOù se voit-il dans 10 ans ?Ses conseils « Je crois que l’avenir de l’hôtellerie se base sur le triomphe des gens qui ont de l’empathie, du savoir-être et qui aiment faire plaisir. » « Il ne faut pas attendre d’être prêt pour oser, parce qu’on n’est jamais prêt. » « En tant que chef d’entreprise, je me dis qu’on a une responsabilité : on peut rendre un certain nombre de personnes heureuses professionnellement. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Les Sources de Caudalie : https://www.sources-caudalie.com Les Sources de Cheverny : https://www.sources-cheverny.com Small Luxury Hotel : https://slh.com Luxury Attitude : https://www.luxury-attitude.com Big Mamma Group : https://www.bigmammagroup.com/fr/accueil Mama Shelter : https://fr.mamashelter.com


219 - Amélie Pichard — Ce qui m’intéresse, c’est d’être la fille Bâta, Sarenza, Colette et Bon Marché (rediffusion)
Dans cet épisode initialement publié en novembre 2018 , nous allons à la rencontre d’Amélie Pichard, fondatrice de la marque de sacs et de chaussures Amélie Pichard. Amélie est très bavarde et détient à présent le record de l’épisode le plus long de Entreprendre dans la mode. Mais Amélie est aussi très généreuse et nous parle de son parcours, sans filtre et avec beaucoup d’enthousiasme. J’ai adoré interviewer Amélie, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter. Pour suivre Amélie Pichard sur Instagram.Pour acheter ses sacs, ses chaussures et ses pichardises, c’est sur son site.
SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE
01:00 Amélie se présente et reprend son parcours depuis la maternelle, en passant par Dice Kayek et Madame Germaine
26:00 Elle gagne le concours Bâta, la campagne Bâta, la centaine de parutions, l’après-Bâta.
35:00 Comment à partir d’un talon trouvé à Cuir à Paris elle lance sa marque, son premier salon, son premier client japonais, la première commande qu’elle fabrique elle-même.
40:00 Comment elle se finance en cumulant un travail chez Dice Kayak, son travail de professeur en école de mode, et sa marque, sa seconde collection avec une collection exclusive pour Sarenza. 45:00 Troisième collection, elle rentre au Bon Marché, elle quitte Dice Kayek, elle touche le chômage et s’offre plus de temps pour développer la marque, pourquoi ça plait au Bon Marché d’après elle, ses problématiques avec les fabricants, l’apprentissage « the tough way ».
52:00 Son entrée chez Colette, elle rentre dans tous les points de vente qu’elle voulait, mais c’est très dur, elle est tout le temps stressée.
58:00 2014, l’année du changement, elle décide de rencontrer Pamela Anderson, elle collabore avec Garrett Leight, Amélie nous raconte la naissance de cette collaboration et de sa rencontre avec Pamela Anderson.
01:16:00 Le revers de la médaille, Pichard c’est organique, tout se fait instinctivement.
01:21:00 2016, Tête de Mule, Amélie change tout, elle devient direct to customer en 2017 et commence des collaborations avec des retailers.
01:28:40 Sa levée de fond, ce qu'elle raconte aux investisseurs, à quoi elle s’engage, les tonnes de nouvelles problématiques.
1:35:00 Comment on gagne encore de l’argent sur du whole sale quand on est en direct to customer.
1:40:00 Le processus créatif d’Amélie Pichard, comment sont métier a changé depuis 8 ans. 01:54:00 Le compte Instagram d’Amélie Pichard.
01:58:00 Elle-ce qu’elle n’a pas peur de se lasser, où souhaite-t-elle emmener Amélie Pichard, comment se nourrit-elle ?
KEYLEARNINGS
Je ne réfléchis jamais avant d’y aller, je ne suis que mon instinct.
Tout le monde galère. Un jour, quelqu’un m’a dit : « t'es un vrai culbuto ». Je tombe, je me relève !
Quand j’entends des créateurs aujourd’hui qui disent que tout va bien pour eux, c’est hyper grave de dire ça. Ce n’est pas possible de dire que ça a été facile. Je sais que tout le monde galère. Prétendre, parce que c’est sa com’ de dire que tout est super et génial, c’est hyper dangereux pour les jeunes qui vont prendre ces personnes-là comme modèles, se projeter et arriver sur le marché complètement naïfs en pensant que ça va être facile... ce n’est pas possible.
Quand je suis rentrée chez Colette, j’ai pleuré. Je voulais montrer que je n’étais pas qu’une fille Bâta/ Sarenza, que je pouvais être aussi la fille Colette. Ce qui m’intéresse, c’est d’être la fille Bâta, Sarenza, Colette et Bon Marché. Celle qui peut tout faire.
Je gérais l’argent vraiment comme un salarié gère son salaire chaque mois. T’as 1000 euros, tu dépenses 1000 euros. Je n’avais jamais envisagé Amélie Pichard comme une entreprise. Le whole sale, ce n’est que pour faire de la communication. C’est pour faire plaisir et se faire plaisir. Pour la visibilité, c’est énorme.
Au niveau de la création et du sourcing, quand je vais à première vision, j’ai l’impression de fauter, j’ai l’impression d’être une débile qui va continuer de cautionner la surproduction de produits de mode dans un hangar de plusieurs milliers de mètres carrés, où tu n’as que des produits dans tous les sens, du cuir, du textile…
Tout ça me dégoûte et ce n’est pas parce que je suis dégoutée de mon métier, c’est plutôt le fait d’avoir trop de choses là où on n’en a pas besoin. Si tout ça était bien fait, ça se passerait bien. Mais 99 % des choses que je vais trouver sur ce salon sont dégueux. Ce seront forcément des laines qui ont été mal récupérées sur des moutons, ne parlons même pas des textiles hyper polluants… Je trouve ça complètement ridicule, has been.
Moi, mon rêve, c’est d’aller sur un salon où on pourra me dire : « tout ce que tu prends, là, tu peux être sûr que c’est clean. » Je me suis toujours senti comme le petit mouton noir.
Faire des belles choses pour faire des belles choses, c’est tellement inutile et facile.
Ce n’est pas du tout ce que j’ai envie de dire. Mais là, c’est la jungle. Si j’étais encore prof, je dirais aux jeunes : « deviens d’abord quelqu’un avant de lancer ta marque, ne te lance même plus comme créateur, ça ne sert à rien ». Quand tu vois que n’importe quelle influenceuse peut faire ce qu’elle veut, car n’importe quelle influenceuse a tant d’acheteuses potentielles, c’est hyper triste.
RÉFÉRENCES
David Lynch
Mathew
Barney
Dice Kayek
Bâta
Le Bon Marché
PIE pour un emprunt à taux 0 - Paris Initiative Entreprise
Garrett Leight
Collab Amélie Pichard / Garrette Leight
Clara Cornet
Bertrand Le Pluard Ichkar Amelie Pichard
Agnes B Yvon Chouinard Stay in bed with me Jeanne Damas


218 - Domitille & Angélique — Co-Fondatrices de Soeur — Histoire d’une marque portée par l’instinct de créer et de durer
Rien ne les prédestinait à créer leur marque de prêt-à-porter féminin, Soeur, et pourtant, elles en ont fait le cœur de leur vie familiale comme professionnelle. D’un côté, il y a Domitille, la directrice artistique habitée par l’amour de la création et des couleurs. Une passion qui trouve sa source lors de ses années passées chez Bonpoint, puis Bonton. De l’autre, Angélique observait ce milieu de loin, jusqu’au jour où elle a rejoint sa sœur à la direction générale. De la boutique de vêtements pour jeunes adolescentes à la marque internationale premium pour femme, elles nous racontent l’histoire d’une vie qu’elles se sont construites avec en éléments clés : du bon sens, de l’instinct et de la conviction. Concilier objectifs commerciaux et instinct créatif sans négliger la qualité, c’est le pari qu’elles se sont lancées. Dans cet épisode, elles nous parlent de leur chaîne de production, des leviers financiers importants de la marque et de leur amour inconditionnel pour le beau. « Le bon sens et l’instinct nous ont guidées dans notre manière de travailler. C’est là où on peut assumer sa différence. »Domitille Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de Domitille et AngéliqueLeur relationL’expérience de Domitille chez BonpointLancer un business en ayant une vie de familleLeur première boutique Les milestones de la marqueLes outils commerciauxLa raison d’être de la marqueLeurs rôles dans l’entrepriseÀ quoi ressemble leur journée ?Pourquoi elles ont fait rentrer un fond d’investissement ?Comment ça a été accueilli en interne et en externe ?Le futur de la marqueLeur mode de recrutementLeurs erreursLeurs outils de productivitéLeurs conseils pour Réuni « On met autant de soin à faire nos shootings que nos vêtements. »Angélique « Ce qui est important, c’est de bien créer, de bien produire et de bien vendre. » Domitille « On veut continuer à produire de la qualité et ne pas rogner la marge. »Angélique N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Soeur : https://www.soeur.fr @soeur_paris : https://www.instagram.com/soeur_paris/ Experienced Capital : https://fr.excp.com Katrien De Blauwer https://www.katriendeblauwer.com/?nspl Jérôme Hellfer : https://www.ifmparis.fr/en/faculty/jerome-helffer


217 - Ramdane Touhami – Moi, j'ai une théorie, si tu veux être gros, tape un gros. Rien à perdre, rien à gagner – Officine Universelle Buly (rediffusion)
Dans cet épisode sorti la première fois en Février 20218 nous allons à la rencontre de Ramdane Touhami. Ramdane fait partie de mes rôles modèles. Il est à la fois créateur et businessman et il est le genre de personnage qui fait exploser toutes vos idées reçues. Ramdane a lancé son premier business à l’âge de 17 ans et a multiplié les aventures dans la mode, le retail, les relations presses ou encore la beauté, pour se lancer en 2014 avec sa femme Victoire de Taillac dans l'aventure Officine Universelle Buly. Dans cet épisode, on revient sur une partie de son parcours. On parle de Cire Trudon, de Buly et de beaucoup d'autres sujets. J'ai adoré interviewer Ramdane, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter. Pour suivre Ramdane sur Instagram, Linkedin et explorer son siteOfficine Universelle Buly websiteSE RETROUVER DANS L'ÉPISODE 01:20 Ramdane se présente, il évoque son premier contact avec l'entreprenariat et le vêtement avec Teuchiland, son obsession du beau et de la qualité depuis ses débuts, sa culture du zéro compromis06:40 Après son arrivée à Paris et une année dans la rue, il rencontre une fille et se remet en selle, il lance KINGSIZE 12:10 Les années L'ÉPICERIE avec Artus et Antoine, la contre-attaque après l'ouverture de Colette, le buzz autour du t-shirt Paulette, une anecdote avec Wallpaper, sa théorie du rien à perdre, fin de l'ÉPICERI32:00 Ramdane rebondit sur un nouveau projet avec And.A du groupe Sazaby ANDA35:00 Le processus créatif de Ramdane Touhami, la scénarisation 41:00 Bougie Cire Trudon, les raisons du succès de Cire Trudon, l'invention de cloche à bougie, l'hyper réalisme, donner l'impression que ça a toujours été là, le travail effectif 49:00 Officine Universel Buly, la conception, la gestion, les projets, l'entrée de LVMH au capital 55:00 Comment il se nourrit, comment il fait le tri, les gens qui l'impressionne 58:00 Qu'est-ce qu'il dirait au Ramdane âgé de 20 ans, la transmission de valeurs à ses enfants, son moteur01:00:02 Messages aux jeunes entrepreneurs, l'assurance, la rançon du succès, qui il souhaiterait entendre dans ce podcast KEY LEARNINGS Je sais ce qui manque à chaque fois. Y a des gens qui disent : ouais, faut trouver la tune, c'est galère... et bah, les gars, si vous êtes malin, ça peut être le meilleur moment. Moi, j'ai une théorie, si tu veux être gros, tape un gros. Rien à perdre, rien à gagner.Quand je travaille sur un nouveau projet, je scénarise tout, je pense comme un client. La meilleure des négociations, c'est quand il n'y a pas de négociations. Je suis comptable de formation. Pour moi l'aspect rentabilité est primordial, il faut que ça rapporte de l'argent à moi ou à la personne pour qui je travaille. Quand je fabrique quelque chose, la marge, les coûts, la logistique, toutes les questions compliquées qui n'intéressent pas beaucoup les créatifs, sont pour moi des questions primordiales. Selon moi, la logistique et la façon dont on fait les choses sont quasiment plus importantes que le produit lui-même. Comment on traite les usines avec lesquelles on travaille, les employés des usines, notre relation est très importante et surtout l'argent.Moi, je ne fais plus de projets avec des coefficients en dessous de 7 ou 8. ça ne m'intéresse plus, on ne gagne pas d'argent, tu ne peux pas payer correctement tes employés. Je ne pense pas qu’on puisse dire que je suis un directeur artistique, disons que j’ai peut-être plus le sens des responsabilités qu’un directeur artistique, parce que j'ai eu très tôt une expérience industrielle. Je ne suis pas du genre à faire des gestes artistiques, je pense comme un investisseur, comme un chef d’entreprise. Lorsque j’aborde une marque ou un nouveau territoire, j’y vais avec une logique entrepreneuriale, avec l’idée que le beau et le bon ne sont pas un luxe, pas un caprice mais le plus sûr et le plus court chemin pour bien vendre pour mieux vendre. Le beau, chez moi, ça vend ! Quand je fais Cire Trudon, tout le monde me dit qu’il n’y a aucune chance que ça marche, qu’il y a trop de bougies sur le marché. OK, mais dans ce cas-là, tu fais rien ! Y a trop de choses sur les marchés. Quand on travaille avec moi, il y a une grosse partie théorique avant de commencer. Il faut que ça soit théorisé et ensuite facilement explicable aux autres. Il faut travailler à l'ancienne.C'est dur de faire, ça fait mal, si t'es radical, ça fait mal.Moi, j'ai mal tous les jours. Je suis né dans un monde qui marche, alors que moi, je cours.Instagram, c'est remplir son cerveau comme on remplit son ventre avec du Nutella quand on est obèse. Ne remplissez pas votre tête avec de la merde du matin au soir !Chez moi, c'est la dictature ou la mort. C'est comme je veux ou ça se fait pas !C'est le meilleur conseil que je peux donner à tout le monde : C-U-R-I-O-S-I-T-É. Être curieux de tout. Il y a tellement une surproduction d'images que ça fatigue très vite les gens. Pendant 2 ans, tu as énormément d'images d'une marque dont tout le monde va parler et au bout d'un moment tu es fatigué. L’œil fatigue. RÉFÉRENCES DANS L'ÉPISODE Tomorrow landL'Épicerie tout ce que j'ai trouvé en image d'archive iciArtus de LavilléonSarah Andelman de ColetteVictoire de TaillacEpisode Strip Tease Ramdam pour Ramdane Jeremy Scott Andre WalkerRobert Duffy Gaspard YurkievicYorgo Tloupas Wallpaper Cire Trudon


216 - Frédéric Biousse & Guillaume Foucher — Co-Fondateurs Les Domaines de Fontenille — L’authenticité de l’expérience émotionnelle est un luxe
Vous le connaissez déjà, Frédéric Biousse était venu nous parler de sa carrière remarquable dans le luxe et la mode : de la direction générale de SMCP à la création de son fonds d’investissement Experienced Capital. Visionnaire, passionné et entrepreneur insatiable, Frédéric pariait déjà sur l’expérience hôtelière. C’est alors accompagné de Guillaume Foucher, son partenaire de vie issu du monde de l’art, qu’ils vont à deux se lancer dans un projet hôtelier, et pas des moindres. Les Domaines de Fontenille, ce sont plusieurs adresses dans le Lubéron, Minorque, Marseille ou encore sur la côté Basque tous dotés d’une âme singulière. Fréderic et Guillaume en sont tombés amoureux et c’est sûrement ce qui en fait leur réussite. Exit la standardisation et le marketing pompeux, bonjour le luxe décomplexé et l’authenticité. Car oui, s’ils attirent particuliers comme acteurs privés, c’est bien parce que leur mantra est de s’ancrer dans la réalité. À l’époque, Guillaume collectionnait des œuvres. Aujourd’hui, avec Frédéric ils ont fait de Fontenille une collection de lieux, mais aussi de vie(s). Dans cet épisode, on parle de recrutement dans l’hôtellerie, du business de l’émotion et des leviers pour se faire connaître. « On développe nos hôtels en essayant de leur donner un contenu à la fois pédagogique et holistique sans aucune futilité. On veut que les clients soient touchés.»Frédéric Biousse Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de GuillaumeLeur rapport au milieu hôtelierPourquoi l’hôtellerie est devenue importante pour les investisseurs ?Ce qui a rendu ce secteur attractifLes débuts du domaineComment recruter des gens passionnés ?Les relations presseComment ils ont construit leur notoriété ?Le rôle du directeur de collectionComment conserver l’authenticité d’un lieu ?Le prix d’une chambreLes leviers pour se faire connaître Les parallèles entre la mode, l’art et l’hôtellerie Implanter un hôtel en villePeut-on démarrer de rien dans ce secteur ?Leurs erreursLeurs prochains projetsRé-inventer le mode de travail de l’hôtellerieCe qui les inspirent « On défend une vérité contre un postulat marketing. »Guillaume Foucher « On fait du business mais ce n’est pas la priorité. Ce qu’on fait doit être rentable et créer de la valeur mais ça doit aussi correspondre à nos plaisirs et nos choix de vie. »Frédéric Biousse « On tombe amoureux des lieux. Ça nous permet de vivre plein de vies différentes.»Guillaume Foucher N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Ré-écouter l’épisode #102 avec Frédéric Biousse : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/id1300541489?l=en&i=1000448127601 Les Domaines de Fontenille : https://www.lesdomainesdefontenille.com/fr/ Experienced Capital : https://fr.excp.com L’Hôtel Particulier, Arles : https://www.hotel-particulier.com/fr/hotel-arles-centre Soneva Group : https://soneva.com/resorts/soneva-fushi/ Agence Melchior : https://www.agencemelchior.com Alexandre Lafourcade architecte : https://www.architecture-lafourcade.com Cheval Blanc : https://www.chevalblanc.com/fr/ Soho House : https://www.sohohouse.com/fr/ Hotel Pellicano : https://www.hotelilpellicano.com/fr/


215 - Frédéric Biousse (Experienced Capital) - On peut faire des choses intelligentes en gagnant de l’argent. (Rediffusion)
Dans cette épisode enregistré en Juin 20219 et diffusé une première fois à cette période, nous allons à la rencontre de Frédéric Biousse, il est le cofondateur d’Experienced Capital. Dans cet épisode, il nous parle de son parcours, de l’importance de la loyauté au travail et de bien s’entourer personnellement et professionnellement, de son rapport à la vulnérabilité, et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Frédéric, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! SE RETROUVER DANS L’EPISODE 00:54 Frédéric Biousse se présente et revient sur son parcours.52:08 Sa carrière chez Cartier, au Printemps puis Comptoir des Cotonniers.01:14:45 Le rachat puis l’explosion de Sandro, la création de SMCP, le rachat à 51% de LVMH.01:26:21 Son départ de chez SMCP, le rachat du domaine de Fontenille.01:43:00 Les débuts d’Experienced Capital, les raisons du succès de Balibaris, son équipe.01:56:47 Ce qui l’inspire, l’évolution de son rapport avec sa vulnérabilité, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast. KEYLEARNINGSPersonnellement, je recrute très peu de profil de grandes écoles. Je suis beaucoup plus attaché aux autodidactes qui ont créés leurs trucs qu’aux grandes écoles. La grande école apprend à travailler mais ne t’apprend pas à être, et elle ne t’apprend pas à prendre des risques, et elle ne t’apprend pas à vendre et à convaincre. La grande école t’apprend à être politique et à te protéger. Donc, il faut mélanger les deux mais il ne faut pas que des profils de grandes écoles.J’ai compris qu’apprendre par cœur ne sert à rien. J’ai compris que ce qui compte c’est conceptualiser l’idée, et ensuite ce qui compte, c’est d’enchaînement les idées, c’est surtout comment on passe d’une idée à l’autre parce que la façon d’exprimer la transition montre qu’on a compris ou pas ce qui était avant et ce qui était après, et ça dans entrepreneuriat et dans la vie de l’entreprise c’est hyper important.J’ai mis tant de cœur dans ma façon de travailler et d’entreprendre pour montrer que : On peut réussir en étant gay sans forcément sortir les drapeaux et militer dans la rue. Pour moi c’est un non-évènement, c’est un non-évènement de le dire. En fait, ne pas le dire serait le cacher et il ne faut pas. Il faut le dire, il faut l’assumer mais on peut réussir en étant gay, ça ne change rigoureusement rien, on peut être gay ou hétéro ça ne change rien.On peut réussir en étant intègre et en étant fidèle aux gens, depuis j’ai une détestation pour la trahison, et j’ai une détestation pour le manque de loyauté et j’ai une détestation totale pour l’ingratitude.La logistique c’est de la fluidité.Quand tu as des failles, tu ne pourras jamais les combler, ça ne sert à rien. On ne répare jamais une faille d’enfance, ça ne se répare pas, ça s’accepte et on apprend à l’utiliser. Moi j’ai appris à utiliser cette hypersensibilité en grande empathie et je sors de moi en fait, c’est-à-dire, finalement autant tout donner. Je trouve qu’il n’y a pas de mérite à échouer sans panache. Quitte à se planter, il faut que se soit chic.Il faut toujours privilégier la création, toujours protéger la création au détriment du marketing.On ne prend pas le pouvoir, il vient naturellement, c’est la légitimité qui donne le pouvoir mais ce n’est pas un truc qui se donne. Tu prends les trois piliers du luxe et les trois piliers du mass market, et tu mets un socle commun : les ressources humaines. Les trois piliers du luxe c’est le meilleur du luxe, c’est : un produit : top, de bonne qualité, identifiable, compréhensible, lisible, différenciant. une image : très haut de gamme avec des excellents photographes, des très très belles photos des boutiques avec uniquement de la vente assistée, uniquement de la relation humaine et pas de libre-service parce que l’enjeu c’est que la client demande sa taille, en se faisant, elle engage un dialogue avec la vendeuse qui lui explique pourquoi Comptoir ou Sandro, c’est cher mais c’est bien.Ensuite, les trois piliers du mass market, c’est : un développement 100% retail, ce que fait Zara, je ne crois pas au wholesale dans la modele renouvellement permanent des collections et la capacité à produire très rapidement pour minimiser les left over stock et les risques de stocks un investissement hyper fort sur la logistique et l’informatique Et en dessous, on a un socle des ressources humaines où on va mélanger les profils.L’aspérité c’est donner du relief à ta vie, c’est donner du relief à ton produit, à ta marque et si tu veux donner du relief à ta marque, il faut que tes ressources humaines aient du relief sinon tu n’y arriveras pas, tu feras un truc aseptisé.Le rapport à la terre ramène une l’humilité qui est très forte et notamment un rapport au temps qui est très structurant. L’agriculture te force à être patient parce que tu ne peux pas aller plus vite que la terre.Si vous n’êtes plus dans la vie, votre boite se plante. Être dans la vie, c’est entretenir la curiosité et refuser toute forme d’élitisme.Pour ressentir une émotion, il n’y pas de ticket d’entrée. La mode c’est pareil. On peut créer un produit sans sortir de Parsons, on peut apporter quelque chose de fort au marché sans être Balenciaga.On peut faire des choses intelligentes en gagnant de l’argent.Je crois fondamentalement au fait qu’on peut avoir des moments difficiles, faire des erreurs et on a tous le droit à l’oubli. Dans l’amitié, dans l’amour et dans l’entreprenariat, on doit avoir un droit à l’oubli, c’est-à-dire qu’on a le droit de se tromper, d’errer, à un moment donné d’être mal, de mal se comporter, ça nous arrive tous et je pense qu’il faut avoir cette sagesse de savoir pardonner et de savoir être bienveillant. Par moment, il y a des gens qui nous font du mal et il faut savoir être bienveillant parce qu’il y a peut-être des circonstances qui pouvaient l’expliquer.Il y a un moment donné, on touche le fond, finalement l’avantage, par moment, il faut le laisser couler parce que quand on touche le fond, on peut s’appuyer pour remonter.Il y a un moment donné, il faut savoir dire stop à son patron, il faut savoir demander, il faut savoir exiger, il faut savoir demander une promotion, demander qu’elle soit concrétisée. Il faut savoir se positionner. Nous qui dirigeons des entreprises, on sait que les managers les meilleurs sont les plus chiants, c’est comme ça. Les bons, ils sont chiants à gérer au quotidien, ils nous font chier tout le temps, ils demandent de l’argent, de la reconnaissance, du pouvoir, de l’autonomie, bah oui mais c’est comme ça, si on veut des béni-oui-oui, on n’avancera pas. C’est comme ça qu’on voit les bons. Les bons entrepreneurs savent s’entourer et ils s’entourent de personnes qui sont meilleures qu’eux dans chaque domaine.Il ne faut pas avoir peur d’échouer, personne ne nous en voudra si on échoue. On n’a qu’une vie, et je pense qu’on a un devoir, c’est, quand on a du talent, de saisir ce talent et de le mettre en œuvre, on a le devoir d’avoir du courage. Les gens qui n’ont pas de courage, qui sont lâches, qui n’osent pas assumer, ça n’a aucun intérêt. REFERENCESComptoir des cotonniers Sandro MajeClaudie Pierlot Louis Legrand Centrale Paris Etienne Daho L’Oréal Bossard ConsultantEtam Nivea Elie Kouby Cartier Richemont PrintempsRussel Reynolds Kering Gucci Princess Tamtam Zadig & Voltaire Uniqlo Lehman Brothers KKR Emmanuel Pradere Domaine de Fontenille Hôtel les Hortensias du Lac Hossegor Balibaris Elle Jimmy Fairly Episode 97 - Antonin Chartier Sessùn Maison Standards Sœur Slip Français Figaret BAM (boîte à musique) NV Gallery L.A Bruket Aesop Ivory Foundation Le brasier – Etienne Daho Promesses – Etienne Daho Sézane Emma François


214 - Umberto Napolitano — Co-Fondateur de LAN Architecture — Questionner son domaine d’activité : une ressource fondamentale pour devenir maître de son temps
Interroger son métier sous le prisme du temps et des évolutions sociétales se révèle être une clé primordiale pour comprendre notre environnement. Une ressource fondatrice de LAN, ou Local Architecture Network, l’agence co-fondée par Umberto Napolitano et Benoit Jallon.Cette semaine, je reçois Umberto, le penseur de l’architecture de demain. De sa profession à la fois complexe et riche en créativité, il en a tiré un modèle d’agence singulier où convergent projets architecturaux, laboratoire de recherche et scène pédagogique.Pour lui, l’architecture se définit au pluriel, au croisement de plusieurs disciplines mais aussi de plusieurs temps. Tout le défi réside dans la capacité à concevoir de l’immuable dans un monde mouvant. Alors, quels seront nos espaces de vie de demain ? Comment devenir maître de son temps ? Umberto nous partage son savoir et ses réflexions autour d’une notion qui nous touche tous.Dans cette épisode on parle aussi de modèle entrepreneurial dans l’architecture, de la RSE et des enjeux culturels.« Dans la vie, pour se chercher, innover et aller de l’avant, il faut accepter que de temps en temps on se trompe. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d’Umberto Comment être précurseur de son temps ?Les débuts de LANCréer du contenu pour s’apporter de la visibilitéComment il a fait évoluer son agencePeut-on disrupter le modèle économique de l’architecte ?Le projet dont il est le plus fierComment il a pensé le lieu de l’agenceÀ quoi vont ressembler les espaces de vie de demain ?Le futur de LAN Quels mécanismes a-t-il mis en place pour gérer son entrepriseSon regard sur l’industrie de la modeLa RSE dans l’architecture, un terrain créatif fertile ?« Écrire aide énormément à se forger des convictions dans un métier qui interroge tous les jours ta pratique. » « On ne peut pas innover s’il n’y a pas de prise de risque. »« Il faut arriver à bâtir une culture de la compréhension du problème écologique comme la compréhension d’un problème à multiples réponses. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: LAN Paris : https://www.lan-paris.com/en/ @lan_architecture : https://www.instagram.com/lan_architecture/ Théâtre du Maillon, Strasbourg : https://www.lan-paris.com/en/projects/strasbourg


216 - Julien Crespel & Maxime Brenon — Co-fondateurs de Papier Tigre — L’intelligence collective est un moteur de réussite (rediffusion)
Dans cet épisode rediffusé sorti initialement en février 2021, on décrypte le succès fulgurant de Papier Tigre, co-fondé par Julien Crespel et Maxime Brenon. Au croisement de leurs parcours respectifs en design industriel et marketing, ils s’emparent des meilleurs outils pour lancer leur marque de papeterie. En plein cœur du Marais à Paris, ils sont devenus la référence du marché grâce au digital et une créativité remarquable. Dès leurs débuts, ils séduisent les grands du wholesale tels que Colette et Le Bon Marché. Leur force ? Une culture d’entreprise qui résonne jusque dans leur boutique. Ils mettent l’accent sur l’intelligence collective et font du service client une priorité. L’audace et l’envie d’innover rythment leur quotidien, ce qui leur permet de s’adresser aux bonnes personnes, au bon moment. Sans oublier leur admiration mutuelle et leur complicité qui animent ce duo de choc. Ils nous livrent sans filtre les détails de leur aventure entrepreneuriale, de leurs premiers associés, l’expansion sur de nouveaux marchés à leur stratégie de développement produit. « Tout le marketing et tout ce que l’on raconte autour d’un produit finit par guider la façon dont on crée. J’ai compris que c’était une composante qui participait à la création de produits. » Julien CrespelCe que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de Maxime et JulienLeur définition du marketingComment prévoir une éventuelle séparation avec ses associésComment ils expliquent leur succès immédiatFaire de la papeterie un accessoire de modeLeurs premiers produitsLe modèle économique et les coefficients dans la papeterieLe problème des quantités dans le milieu de l’impressionLes milestones de Papier TigreLes obstacles qu’ils ont rencontré à l’étrangerLeur boutique à TokyoL’ouverture du capitalD’où vient le nom de leur marqueLeur rapport au brandingLe service client chez Papier Tigre Comment ils se font connaîtreLeurs best sellersLeurs ambitions pour le futurL’enjeu de responsabilité dans la papeterie« On met en avant l’intelligence collective dans notre équipe et avec les gens que l’on rencontre. Il n’y a rien de plus important. C’est fondamental quand tu veux te lancer dans quelque chose que tu ne maîtrises pas. » Maxime Brenon« Il ne faut pas avoir peur de se tromper. Éventuellement si ça arrive, il faut être agile et comprendre pourquoi ça n’a pas fonctionné pour rebondir sur quelque chose de nouveau. »Julien Crespel« Le fait d’avoir les bureaux dans la boutique, ça a été plutôt malin parce qu’on a raccourci le chemin entre l’idée et la vente. Quand tu as une idée, tu l’as fait exister avec l’imprimante et juste après, tu as un retour client. Ce côté instantané a été hyper instructif. » Maxime BrenonN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Papier Tigre : https://www.papiertigre.fr/fr/ENSCI les Ateliers : http://www.ensci.comFounders Future : https://foundersfuture.com/?lang=fr Gorgias : https://www.gorgias.com


213 - Catch-up avec Guillaume Delacroix de DLX Paris — L’évolution de l’agence de communication en post-crise
Après 6 ans d’activité et une crise sanitaire, le bureau de presse DLX tient le cap. Et pour cause, son co-fondateur, Guillaume Delacroix a su remettre en question les rouages de son entreprise. Il était au micro d’Entreprendre Dans La Mode en 2018 pour nous parler de son agence déjà bien établie dans le milieu de la communication et de la mode. Aujourd’hui il revient pour nous parler des enseignements qu’il a acquis : une prise de conscience autour de l’équilibre entre la vie professionnelle et personnelle, une envie de se déconnecter du monde digital pour une plus grande efficacité au quotidien, sans oublier une quête de sens inévitable à travers les relations humaines. Une période qui lui aura permis d’apporter un regard neuf sur sa structure d’entreprise et de remettre au centre les sujets qui justifient la raison d’être de l’agence. « Quand une marque arrive à livrer directement son message à son audience, c’est ce qu’il y a de plus efficace. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le bilan de DLX en post-criseCe qu’il a appris dans sa gestion d’entrepriseCe que la crise a changé dans le paysage médiatiqueLes outils de l’influenceL’évolution des ressources humaines chez DLXComment redonner du sens à cette industrie ?Le sujet de la responsabilité : quelles avancées ?La structuration interne de l’entrepriseLe futur de DLXL’achat de bureauxRé-inventer « On essaie de défendre des sujets qui nous tiennent à cœur et qui nous motivent. » « On a une variété de profils dans l’équipe. Chaque personne est un radar et un catalyseur de ce qu’il se passe dans le monde et dans la société. C’est ça la richesse de l’agence. » « J’ai cette utopie de me dire qu’on n’a pas besoin de définir les choses et que chacun doit savoir en son for intérieur quelle est sa place au sein d’une entreprise. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Épisode #60 Guillaume Delacroix (DLX Paris) : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/fa9bd346-9e83-4757-9609-f50702935eba Épisode 2. #COVID-19 - Guillaume Delacroix - DLX Paris - Ne rien lâcher et partager pour en ressortir plus fort : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/fd3a2756-c2e2-40f1-8323-e2182825db91 Pour en savoir plus sur DLX : https://www.dlx.co @dlx.co : https://www.instagram.com/dlx.co/ @g.dlx : https://www.instagram.com/g.dlx/ Article Vogue Business « Meet the “genuinfluencers” who don’t want to sell you anything » : https://www.voguebusiness.com/companies/meet-the-genuinfluencers-who-dont-want-to-sell-you-anything


212 - Sophie Templier— Consultante (ancienne directrice générale de Nina Ricci et Chloé) — L’art et la manière d’allier création et business avec cohérence (rediffusion)
Dans cet épisode rediffusé sorti initialement en août 2020, nous allons à la rencontre de Sophie Templier, elle a travaillé au sein de la maison Chloé et Nina Ricci en tant que directrice générale. Dès le début de sa carrière, elle souhaite travailler en proximité avec les créatifs tout en intégrant une dimension commerciale. Son parcours riche en expériences dans le secteur du luxe l’amène aujourd’hui à développer son activité en tant que consultante. Sa mission ? Accompagner le développement des marques émergentes et les aider à structurer leur entreprise.Avec Sophie, on a parlé de comment trouver sa voie, comment elle a développé des grands noms du luxe, et de l’importance de rester cohérent.« La cohérence au sein d’une marque, c’est un élément essentiel pour la faire grandir sereinement. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de SophieComment elle a déterminé son orientation à la fin de ses étudesQu’est-ce qu’une licence Sa méthode pour relancer une marqueSes missions au sein de la maison ChloéComment elle est devenue directrice généraleComment trouver l’équilibre entre la création et le businessComment déterminer si un emploi vaut son investissement personnelSon départ de la maison ChloéSon expérience chez Nina Ricci Comment elle accompagne les marquesSoutenir la création en respectant le positionnement de la marqueComment structurer en interne son entrepriseLe suivi des KPI’sSe poser les bonnes questions avant de développer de nouvelles activités dans une marque« Plus tu avances en expérience, plus tu as envie aussi de découvrir d’autres choses. Quand tu te rends compte que tu explores, que tu t’impliques dans quelque chose, ça donne un résultat, t’as encore plus envie d’explorer des choses plus diversifiées. Avec l’expérience vous avez envie de découvrir d’autres dynamiques, explorer peut-être moins en profondeur un sujet mais plus en diversité. »« Je pense que pour réussir un projet de développement d’une marque, il faut que tout le monde en ait envie, que tout le monde s’aligne sur une même vision, une même motivation. Il faut qu’il y ait un accompagnement financier avec de l’innovation, avec des projets. Quand il n’y a pas cette dynamique on peut faire, mais c’est moins amusant. »« Il faut laisser une part d’intuition, il faut suivre ses envies. Parce que si tout est moulé, cadré, enfermé dans des formules, c’est oppressant et ça peut être source d’erreurs. Il faut avoir une vision mais il faut se laisser porter par ce qu’il se passe progressivement, voir comment les choses évoluent. Il y a une notion de pouvoir du temps à laquelle je crois énormément. »Vous souhaitez contacter Sophie ? Retrouvez là sur son LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/sophie-templier-a8048b11/ Ou tout simplement par mail: templier.sophie@gmail.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


208 - Franck Cohen — Choisir, c’est s’ouvrir à de nouvelles opportunités
Il a commencé dans la musique, aujourd’hui il travaille dans l’immobilier, mais la majeure partie de sa carrière s’est faite dans la mode. Franck Cohen a vu tout un secteur se transformer et il a su se tenir à la page au fil du temps. Depuis le petit business familial dans le fameux quartier du Sentier à Paris, il s’est fait un nom en vendant des t-shirts qu’il envoyait dans toute l’Europe.C’est aux États-Unis que les opportunités de business s’enchaînent. Son admiration pour les génies du prêt-à-porter l’amène lui-même à en devenir un. Nommé PDG de American Apparel France, il s’attèle au développement commercial de la marque pionnière du cool et du lifestyle.À l’époque, le numérique n'existait presque pas, seules la visibilité physique des boutiques et des magazines comptait.Sa connaissance pointue de l’industrie et son réseau le mènent aujourd’hui à faire du conseil et à choisir les emplacements de boutique.Du petit business dans le Sentier aux multiples carrières à succès dans le prêt-à-porter, confessions d’un homme de l’ombre guidé par la foi et l’énergie d’entreprendre.« Si tu veux appliquer tes idées, tu n’as qu’à être le patron. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :Le parcours de FranckLes origines du SentierSon premier business à New YorkL’aventure Von DutchLe mail qui lui a valu le poste de PDG American Apparel FranceLe développement commercial d'American Apparel en FranceLes apprentissages de cette expérienceL’histoire de sa marque ThomsenLe futur du prêt-à-porter en France selon luiCe qu’il ferait différemment« Une boîte, c’est une énergie derrière. Ce n’est pas juste une image. »« À l’époque, on faisait 1.5M de chiffre d'affaires au fond d’une cour sans aucune publicité ni image de marque. »« Tout est une question de choix dans la vie. Choisir, c’est ouvrir. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:American Apparel : https://americanapparel.comVon Dutch : https://www.vondutch.fr/fr/Les 48 Lois du Pouvoir, Robert GreeneThe Story of Lululemon, Chip Wilson : https://chipwilson.com/book/Ryan Holiday : https://ryanholiday.netPodcast de Scott Galloway - The Prof G : https://podcasts.apple.com/us/podcast/the-prof-g-pod-with-scott-galloway/id1498802610Podcast Generation Do It Yourself : https://www.gdiy.frÉpisode avec Alexandre Thumerelle, fondateur de la librairie OFR : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/7656ff4d-6b0b-4efb-935a-2891be5f244d


210 - Faire un sac d’exception, de l’idée au shooting - Cas pratique RÉUNI [HORS-SÉRIE]
Pour précommander le Crossbody RÉUNI en édition limitée, ça se passe juste ici : www.reuni.comC’est un rêve qui se réalise pour moi. Il y a quelques années, je travaillais dans la maroquinerie pour de grands noms du luxe. Aujourd’hui, avec ma marque RÉUNI, nous sortons notre propre sac : Le Crossbody. Si vous ne nous connaissiez pas encore, il faut savoir qu’Alice, la directrice artistique de RÉUNI et moi-même sommes tous deux issus du monde de l’accessoire de luxe. Après plus d’un an de travail, nous sommes ravis du résultat. Le processus a été riche en échanges, entre nos clientes et nous, mais aussi avec nos collaboratrices en or. On le sait, le cuir est une ressource grandement controversée à l’heure de l’éco-responsabilité, c’est justement ce pour quoi nous avons décidé de travailler avec Virginie Ducatillon, fondatrice du service de revente de deadstocks Adapta.Également accompagnés de Faustine Boutin, designer maroquinerie, nous avons imaginé à quoi ressemblerait un sac voué à durer, que ce soit de par son design ou sa qualité. Dans cet épisode, on parle de la conception du sac, de la matière première en passant par la fabrication jusqu’au shooting.Bonne écoute !Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : La genèse du Crossbody RÉUNIComment concevoir un sac ? Des croquis aux premiers prototypes.Quelle matière première sourcer dans une logique éco-responsable ?« Tout le challenge était de réussir à faire un sac qui soit particulier dans son design mais qui en même temps puisse durer dans le temps. » Alice Bailly-Garcia, Directrice artistique de RÉUNI« Le sac a pris de plus en plus de personnalité au fil des prototypes. » Faustine Boutin, Designer Maroquinerie« Il y a beaucoup de sensibilité et de sensualité dans le cuir, ce côté tactile me plaît beaucoup dans la maroquinerie. » Faustine Boutin, Designer Maroquinerie« On ne va pas économiser des ressources mais on va faire en sorte d’utiliser l’existant. » Virginie Ducatillon, fondatrice d’AdaptaN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références : Le sac Crossbody RÉUNI : www.reuni.coFaustine Boutin : https://www.linkedin.com/in/faustineboutin/?originalSubdomain=fr Adapta : https://www.adapta-paris.com Italian Summer, Claude Nori : http://www.claudenori.com/l%27été%20italien L’article reportage en intégralité : www.reuni.com


209 - Lucien Pagès (rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Lucien Pages, fondateur du bureau de presse Lucien Pages. Après la Chambre Syndicale, une marque de maille et 5 ans passés aux côtés du célèbre directeur artistique Marc Ascoli, Lucien lance son bureau de presse, avec comme premier client Adam Kimmel. Classé 41e parmi les Français les plus influents de l’année par Vanity Fair, Lucien et son équipe accompagnent des marques comme APC, Jacquemus, Loewe ou encore Byredo et Glossier. Dans cet épisode, Lucien revient sur son parcours, sur ses débuts d’attaché de presse, sur sa méthode et sur beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Lucien, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter. Pour suivre Lucien Pagès Communication c'est par là et pour suivre le compte perso de Lucien par ici.POUR SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE 01:20 Lucien se présente et décrit son parcours. 07:50 Le métier d’art direction, ça ressemble à quoi ? 10:30 Après son expérience chez Marc Ascoli, sa rencontre avec Adam Kimmel, ses débuts dans les relations presses.13:30 Comment on s’improvise attaché de presse sans passer par un bureau d’attaché de presse, sa définition du métier d’attaché de presse. 16:00 Comment se fait-on un réseau, comment arrive-t-on à convaincre des grosses marques ?21:15 Comment il choisit ses clients, comment fait-on pour transmettre sa philosophie à ses collaborateurs, comment il les choisit ? 25:15 C’est quoi la « touch » Lucien Pages ? Ça ressemble à quoi une conversation avec un client ? 29:00 Quel est le process à chaque fois qu’il rentre un nouveau designer ? 31:00 À quoi ressemblent ses journées ? 38:00 Les vacances de Lulu chez Colette. 40:50 Quel est le pronostic pour le futur de la mode ? 47:00 Comment se prépare-t-on à devenir créateur-entrepreneur ? Comment se nourrit-il ? Qu’est-ce qu’il ferait différemment ? Qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast ?KEY LEARNINGSJe savais qu’avec mon background, je ne pourrais pas avoir tout de suite un poste à responsabilité. Je savais que c’était ma personnalité qui allait déterminer mon engagement. Il fallait que je prouve que j’étais intéressant, passionné et travailleur. J’ai réalisé que je serai un très mauvais designer. Ce n’est pas un métier qui nécessite de faire des études. Maintenant, on devient plus une agence de networking de solutions, de stratégie de com’ (…), notre travail devient beaucoup plus complet. Il y a un truc sur lequel je ne déroge pas : je dois être sûr que je serai fier de représenter cette marque, pour des raisons créatives, de goût et pour des raisons commerciales. Je dois être sûr que je peux appeler quelqu'un et lui dire « c’est bien ». Je ne pourrais pas appeler quelqu’un et lui dire que c’est génial, alors que je pense que c’est de la merde ! C’est la façon dont je conçois mon travail et ce n’est pas ce lien que j’ai avec la presse… de la même manière que l’on ne demande pas à des gens – pour qui ce n’est pas le style – de venir à un évènement. Je pense que les designers sentent qu’on les aime beaucoup. J’aime qu’on me laisse le temps. Il faut qu'on se voie plusieurs fois. Ma grosse prédiction : il va y a voir le monde de la masse et le monde de la niche. La niche sera économiquement rentable, car elle touchera des gens qui auront des affinités pour les belles choses. RÉFÉRENCES DANS L’ÉPISODE Adam KimmelGianfranco FerréMarc AscoliMartine SitbonChloé avec Phoebe philo Mert et Marcus Giambattista Valli chez Ungaro Michèle MontagneVincent DarréOlympia Le TanYaz Bukey Sacaï Karla Otto


205 - Guillaume Henry (Patou) - Pour plaire, il faut d’abord aimer. (rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Guillaume Henry, il est le directeur artistique de Patou. Dans cet épisode, il nous parle de son parcours, de son premier stage chez Givenchy à son arrivée chez Patou, de l’importance d’avoir envie, de la différence entre faire de la mode et des vêtements, de Jean Patou, de l’importance d’avoir une équipe soudée et du partage des informations et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Guillaume, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE01:00 Guillaume se présente et revient sur son parcours.33:02 La création de sa marque, son arrivée à l’IFM, le conseil de Jean-Jacques Picart, son stage chez Givenchy, son travail chez Paule K.01:04:34 Son arrivée chez Nina Ricci, la femme Carven et Nina Ricci, son expérience chez Nina Ricci.01:25:15 Son départ de chez Nina Ricci, sa rencontre avec Sidney Toledano, son arrivée chez Patou, Jean Patou, le changement de nom de la marque, la vision et les bureaux Patou.2:01:15 Comment il a choisi son équipe, sa méthode de management, son processus créatif, ce qu’il dirait à Guillaume 20 ans, qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGSCe fameux conseil avisé de Jean-Jacques Picart, LE conseil : « Vous devriez rentrer dans une maison, observer, apprendre, vous frustrer et c’est de votre frustration que naîtra votre talent. Vous aurez quelque chose à dire quand vous saurez qui vous êtes et vous saurez qui vous êtes, en travaillant pour les autres ». Et il a eu tellement raison !C’est génial quand tu rencontres le succès mais c’est problématique quand tu dois le maintenir. Je n’ai jamais su associer une marque à des codes vêtements. J’ai toujours associé une marque à des femmes. Je n’ai jamais réussi à associer une marque à un produit, j’ai toujours envisagé une femme comme quelqu’un. Quand je suis arrivé chez Patou, je me suis dit : Patou, c’est qui ? Une entreprise ce n’est pas qu’un DA, une entreprise c’est une entreprise, une vision commerciale. Ce qui m’a bluffé, c’est l’intelligence d’Henri Sebaoun quand je suis arrivé chez Carven. Cela faisait trois mois que je dessinais dans mon coin la première collection et il ne me demandait rien. Un jour, je dis « Henri, tu ne veux pas voir ce que je suis en train de faire ? », il me fait « Non non ça va ». Je dis « Mais, tu es sûr ? Parce que quand même, je voudrais que ça te plaise.». Il me fait « Non, je t’ai choisis donc ça me plaira, et puis ça ne plait pas, c’est de ma faute parce que je t’ai choisis». C’est quand même formidable, cela te donne des ailes, l’envie de l’envie de l’envie. Après ça, tu as non seulement envie de travailler pour toi mais pour lui. Tu veux le rendre fier, tu veux qu’il soit fier, tu veux lui rendre ce qu’il t’a dit. T’es obligé, tu veux lui rendre ce qu’il t’a dit, tu veux le rendre fier tellement il t’a laissé cette liberté.Chez Nina Ricci, j’habillais des femmes que je ne connaissais pas, les fameuses clientes de l’avenue Montaigne mais je n’habillais plus du tout, du tout celle que je connais. Et ce trop de robes que je croisais dans le métro, je ne les voyais plus du tout. C’est comme si tu n’entendais pas du tout ta musique à la radio, c’est terrible. Ça m’a tellement manqué.La première personne que j’ai voulu toujours satisfaire, c’est moi. Ce n’est pas égoïstement, c’est que, si tu n’aimes pas ce que tu fais, comment veux-tu que les autres l’aiment ?Au quotidien, on te demande d’être définitif : c’est rouge ou blanc ? C’est long ou c’est court ? Par contre, tu passes ton temps à te contredire, c’est quand même un sacré casse-tête. C’est-à-dire que c’est jaune parce que ce n’est pas rouge, mais dans 6 mois, ce sera rouge parce que ce n’est pas jaune. On passe notre temps à dire « ça, ce n’est pas possible » et la saison d’après : « c’est génial ! ». C’est fou mais c’est ça que j’adore dans ce métier, sauf qu’il faut absolument que tu aies envie. Et si tu as envie, tu peux quand même donner un tout petit peu envie aux autres et il faut bien s’entourer, avoir une équipe de choc.Je n’aime rien de plus que d’habiller mes amies.Pour plaire, il faut d’abord aimer.Je voulais ramener Jean Patou dans la vie, mais Jean Patou c’est un homme. Et on voulait vraiment, avec Sophie, revenir à l’idée d’entreprise et de marque. Ce n’est pas péjoratif quand on dit « marque », c’est vraiment un label, c’est comme une griffe. Jean, il est avec nous tout le temps mais quand tu es née en 1997, tu veux vraiment t’habiller en Jean Patou ? Il faut être tout à fait objectif. Patou, il y a une forme d’immédiateté, ce qui compte c’est le respect des valeurs, de l’héritage. Jean Patou, il n’est plus avec nous physiquement, mais par contre, il est avec nous tout le temps dans tout ce que l’on entreprend, dans toutes nos réflexions.Parfois, quand on est en essayage, je vois un vêtement sur un cintre qui est bof comme ça, un peu triste. On me dit « il faut avoir porté », mais tu essayes quand tu n’aimes pas sur un cintre toi ? Donc donnes lui de l’amour pour que tu aies envie de l’enfiler sinon ça sert à quoi ?Je me suis mis à Instagram il y a très peu de temps, mais typiquement, Instagram, j’ai découvert que c’était une source d’inspiration extraordinaire donc j’essaye de chopper pas mal d’images. Je suis vraiment un mangeur d’images, bizarrement et cela se voit un peu sur le portant, je ne regarde pas beaucoup de choses de mode ou alors quand il y a des vêtements, ce n’est pas des vêtements griffés, j’adore la notion d’anonymat. Les inspirations peuvent venir de partout, mais j’emmagasine et à un moment, cela fait comme une espèce de scénario ou de pêle-mêle d’images et cela se clarifie : des couleurs qui sortent ou qui reviennent, des mantras…Une collection, c’est comme des ingrédients dans un plat : tu as un peu de sucré, un peu de salé, un peu de piquant, un peu de doux. Pour moi, c’est ça une recette réussie.Les équipes, je leur demande à tous de ramener des images de choses dont ils ont envie, et moi, je suis comme une photocopieuse, je les avale. Après, il y en a qui survivent et d’autres qui ne surviennent pas mais doucement la collection se met en place, des envies de longueur, de couleur, de volume, la fille : c’est qui, c’est quoi la femme cette saison, elle rit, chez Patou, elle rit de toutes façons, d’où elle vient, où elle va, est-ce qu’elle a différentes aspirations diverses, variées. Ça commence à se composer un peu comme un story-board, un portrait-robot et après je vais aller voir les équipes en leur disant « voilà, en quelques mots, cette saison c’est…. » Et ils vont aussi travailler de leurs côtés des volumes, des proportions, des maquettes. Et on commence à faire du stylisme avec une amie mannequin, et on l’habille, on lui met des trucs, et là, il y a une femme qui arrive doucement et on s’enthousiasme, et ça grandit. Après cette réunion où on joue un peu à la poupée, on réunit les équipes et on va leur dire « voilà c’est ça, alors on aimerait ce genre de choses, ce genre de main » et là, on va encore plus précisément.L’ambition c’est bien, mais le transforme pas en handicap.REFERENCESPatou https://patou.comDuperré https://duperre.org/Pierre Hardy https://www.pierrehardy.com/IFM https://www.ifmparis.fr/fr/Citizen K http://www.citizen-k.com/Maria Luisa https://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Luisa_PoumaillouJean-Jacques Picart https://www.instagram.com/p/B3654ydot8y/Carven https://www.carven.com/Henri Sebaoun https://www.linkedin.com/in/henri-sebaoun-a1353a72/enMarie-Louise Carven https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Louise_CarvenDéfilé Nina Ricci aux Invalides https://www.marieclaire.fr/les-legionnaires-du-defile-nina-ricci-printemps-ete-2018,1237450.aspSophie Brocart https://fr.fashionnetwork.com/news/Lvmh-nomme-sophie-brocart-directrice-generale-de-jean-patou,1023478.htmlClaude Montana https://www.instagram.com/p/B6uua5ACw-U/


204 - Loïc Prigent — Choisir, c’est renoncer. Monter, c’est mentir. Montage trahison. (rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Loïc Prigent, journaliste et documentariste spécialisé dans la mode. Fondateur du Fanzine devenu le magazine Têtu, il a travaillé comme journaliste pigiste à Libération, puis pour Nulle part ailleurs, l'émission culte de Canal +. En 2005, sa carrière explose avec la sortie de son documentaire sur la maison Chanel, intitulé Signé Chanel. En 2008, il démarre le tournage de plusieurs documentaires : Le jour d’avant… dans lesquels il filme les coulisses de maisons de mode avant leurs défilés, tels que Jean-Paul Gauthier, Fendi ou encore Proenza Schouler. Par la suite, il collabore avec Mademoiselle Agnes sur une série de reportages intitulés Habillé pour… et la liste de ses autres réalisations est encore très longue. Dans cet épisode, il revient sur son parcours, sur comment il est arrivé à ce qu’il fait aujourd’hui. Il nous raconte ses méthodes, son fonctionnement et il nous parle de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Loïc, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter. Pour suivre Loïc sur InstagramSE RETROUVER DANS L’ÉPISODE01:30 Loïc se présente et décrit son parcours 08:00 Pourquoi il plait quand il rentre chez Libération, qu’est-ce qui l’amusait dans ce métier, comment il a fait sa culture, son premier documentaire ?15:40 Le monde de la télé, comment on vend un documentaire ? Comment on met le pied dans la porte ? 24:40 Ses obsessions, comment il est arrivé à rentrer chez Chanel, l’idée de Signé Chanel, un des meilleurs souvenirs de tournage 33:00 Comment il arrive à instaurer un climat de confiance quand il tourne ? Comment il gère les moments de tension ? 40:15 Dans quelle mesure il prépare ses documentaires ? 51:30 Comment il fait ses choix au montage, comment il fonctionne dans le montage, ses moments préférés 58:30 Comment il a fait ses choix dans sa vie et sa carrière, comment il a convaincu les maisons pour le 1er habillé pour… 01:03:45 Comment il a développé la patte Loïc Prigent, que conseillerait-il à quelqu’un qui voudrait faire la même chose que lui ?01:08:20 Le modèle économique du documentaire de mode quand tu ne passes pas à la télé 01:13:00 Comment il se projette dans les années à venir, son moteur, qui l’impressionne dans la mode aujourd’hui, il me pose quelques questions 01:27:50 Qui souhaiterait-il entendre dans ce podcast ? 01:29:52 Il me fait des feedbacks sur mon podcast KEYLEARNINGS Choisir, c’est renoncer. Monter, c’est mentir. Montage trahison. J’ai appris que dans le documentaire, il faut mieux écouter les autres et que la perception des autres est la bonne, contrairement à la vôtre. Parce que quand on a le nez dans le guidon, on a un rapport d’affect avec les images. En effet, on tourne tel truc dans un moment d’euphorie et d’exaltation, et en fait ça ne passe pas.Très récemment, j’ai fait un documentaire où mon moment préféré était un moment de poésie. Je trouvais que, narrativement parlant, j’arrivais à quelque chose de dingue. Je l’ai montré à une amie en qui j’ai beaucoup confiance et qui est très cinéphile. Elle m’a dit : "oh, c’est marrant, à tel moment, on a vraiment l’impression que tu es sorti de la salle de montage. » Donc, j’ai carrément enlevé la scène ! C’était un crève-cœur, mais je fais confiance. Quand je vois mes documentaires où je n’ai pas écouter... J’aurais dû écouter. RÉFÉRENCES DANS l’ÉPISODE Les dessins de Christian Dior The Face i-D CAPA C’est pas le 20h Bernard Zekri Arielle Saracco Mike Mills Paperboys Defilé Atlantis d'Alexander McQueen Lee Bowery Nils FrahmBangumi 52 minutes de mode


203 - Movers & Shakers — Dana Thomas — Comment la mode a sacrifié la planète et l'humanité pour plus de profit (rediffusion)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Dana Thomas, elle est l’auteure de Fashionopolis, Gods and Kings et le best-seller du New York Times Deluxe. Elle a commencé sa carrière en écrivant pour la section Style du Washington Post et, pendant quinze ans, elle a été correspondante culturelle et de mode pour Newsweek à Paris. Elle est actuellement rédactrice en chef de Vogue Business et contribue régulièrement à la section Style du New York Times. Dans cet épisode, Dana reviens sur son parcours, sur la génèse de son dernier livre Fashionopolis et on parle des solutions pour une industrie de la mode plus responsable."Le système de la mode aujourd'hui c'est le même système colonialiste qu'il y a un siècle en arrière.""On produit 100 milliard de vêtements par an et 60% contiennent du polyester."" C'est le coton qu'on a créé dans un laboratoire qui consomme beaucoup d'eau. Le coton organique c'est une plante qui nécessite que très peu de ressources. Le coton peut pousser dans des terres très pauvres. C'est le coton transgénique créé par Monsanto qui demande beaucoup d'eau car pour un rendement six fois supérieur à du coton bio il faut 6 fois plus d'eau."Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de DanaL'impacte de notre indutrie sur la planète et les gensComment elle a fait son enquête pour son livre FashionopolisComment on déconstruit notre modèle basé sur l'exploitation de l'homme par l'homme pour le profitComment les marques doivent communiquer sur leurs démarches responsablesComment le client final peuvent agir pour une mode plus responsableLe besoin de transparence des marquesLa mode après le Covid19Le role des journalistes pour une industrie plus responsableQu'est ce qui rend Dana optimiste pour la suite"Les industrie leaders ne veulent pas changer. Tant que le système fonctionne et gagne de l'argent, ils ne changeront pas."


202 - [REDIFF] Amélie du Passage (Petite Friture ) - de HEC à Directrice Artistique
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre d’Amélie du Passage, elle est la fondatrice et la directrice artistique de Petite Friture. Dans cet épisode, elle nous parle de son parcours, du métier de designer et d’éditeur, de l’éthique dans le design et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Amélie, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE01:04 Amélie se présente et revient sur son parcours.18:10 Son choix de lancer sa boîte, par quoi elle commence, le métier de designer43:22 S’entourer d’un directeur général, comment prévoir de passer le relai.49:28 Ce qu’ils font de novateur, l’éthique dans le design, ce qu’elle regarde pour s’inspirer, ce qui l’impressionne.01:00:16 Comment voit-elle le futur de Petite Friture, comment avoir davantage confiance en soi, ce qu’elle dirait à Amélie 20 ans et ce qu’elle ferait différemment, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast.KEY LEARNINGST’as pas tellement de place pour la question de « j’y vais, je n’y vais pas » parce que dans ces cas-là, il ne faut pas y aller parce que c’est suffisamment dur et c’est aussi canon mais si on est hésitant c’est peut-être qu’il faut juste se poser la question, ne pas y aller.On ne fait pas de beaux projets sans conviction et sans idée.Une bonne idée, c’est essentiel mais pas suffisant.Quand on crée une boîte, on doit être le couteau suisse.Quand on place l’humain au centre, il faut mettre le temps nécessaire en face.Si tu montes une boite et que tu en as la force, il faut y aller et y aller selon ton idée, cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas écouter.REFERENCESFIAC Lampe Vertigo Galerie Etage Project Foire Collectible Bruxelles Foire Nomade Hay


201 - [REDIFF] Pauline Laigneau — Gemmyo & Le Gratin — Mener deux activités en parallèle
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Pauline Laigneau, elle est la co-fondatrice de Gemmyo, la marque de joaillerie Made in France et du célèbre podcast Le Gratin (que nombre d'entre vous devez déjà écouter). Ça fait bien longtemps qu'on aurais du se parler mais mieux vaut tard que jamais. En tout cas cette discussion a été à la hauteur de mes attentes. J’ai adoré interviewer Pauline, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « C’est un conseil que je peux donner aux quelques personnes qui se posent la question de l’association. Avant de formaliser l'association, c’est un très bon moyen de tester l’association que de travailler ensemble et voir si l’interaction et si les rôles se répartissent de manière naturelle. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de PaulineComment sortir des cases Est-ce que l’école apprend réellement l’entreprenariatComment choisir son associéComment travailler avec ses proches L’impact de l’ouverture des boutiques sur leur entrepriseLes différences entre la mode et la joaillerieComment elle s’est accompagnée sur la direction artistiqueL’éco-responsabilité dans la joaillerie Son podcast Le Gratin, la genèse , son succès, son évolution, sa visionComment mener deux activités en parallèleRéférences :Gemmyo https://www.gemmyo.comLivre The Lean Start-up https://livre.fnac.com/a8968546/Eric-Ries-Lean-startupBETC https://betc.com/fr/Podcast Le gratin https://le-gratin.frPodcast Chalalove https://www.gemmyo.com/chalalove.html


200 - [REDIFF] Bastien Daguzan (Directeur Général de Paco Rabanne)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Bastien Daguzan, Directeur général de Paco Rabanne. Dans cet episode, Bastien revient sur son parcours, depuis ses études supérieures en Droit et à l'IFM, jusqu'à aujourd'hui. Il nous parle de son expérience chez Kris Van Ashe, de sa rencontre avec Christophe Lemaire, de sa méthode qu'il applique à chaque fois qu'il accompagne une marque ; il évoque sa collaboration avec Jacquemus, et sa mission chez Paco Rabanne. J'ai adoré interviewer Bastien, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter.SE RETROUVER DANS L’EPISODE01:10 Bastien se présente rapidement et revient sur son parcours03:00 Son passage chez Kris Van Assche05:13 Sa rencontre avec Christophe Lemaire, ce qu’il a fait chez Lemaire09:15 On commence par quoi, quand on prend les rennes d’une maison, comment ça se passe concrètement, le produit, le marketing, le pricing14:30 Comment ça se traduit dans la communication, les outils qu’il utilise, comment ça se traduit avec les acheteurs18:00 Comment ça se passe humainement quand il arrive dans une marque, ce mindset vient d’où, qu’est ce qu’il ferait différemment chez Lemaire, ses résultats chez Lemaire23:40 Comment ça s’est passé au début de sa collaboration avec Fast Retailing (Uniqlo), sa rencontre avec Tadashi Yanai, le patron d’Uniqlo28:00 Par qui il se fait accompagner sur des sujets techniques29:30 Après Lemaire, pourquoi il a quitté Lemaire, son arrivée chez Paco Rabanne32:50 Quels étaient les challenges de Paco Rabanne34:20 Pourquoi relancer le prêt-à-porter, le chantier Paco Rabanne, le produit, comment retravailler le propos pour l’aligner avec le consommateur final, comment modifier la communication pour toucher la cliente finale38:40 Comment on devient directeur général d’une marque, être merchandiser, communicant et savoir mener une équipe40:20 En quoi l’écosystème de la mode a changé depuis 10 ans45:00 Les réflexes qu’il faut avoir quand on s’attelle à la production46:00 C’est quoi les points communs des gens qui arrivent à rester longtemps sur le haut de la vague47:00 Comment il se nourrit, à quoi ressemblent ses journées, son moteur, conseils aux entrepreneurs53:00 Qui il aimerait entendre dans ce podcastKEY LEARNINGS"J’ai commencé en faisant des cartons, et c’est comme ça qu’on apprend. C’est en offrant qu’on peut recevoir.""L’idée chez Lemaire était très simple, on avait un super propos de marque, un très bel ADN, il fallait juste ouvrir le propos et le rendre plus intuitif pour à la fois le client whole sale et pour le client final. Du coup c’est comme ça que l’on a traité toute cette partie-là, en étant ouvert, en disant « on a un trésor mais montrons-le ». Le propos c’était de faire un vêtement du quotidien, évolutif pour un homme et une femme et qui permettait aux gens d’appréhender la réalité en étant beau.""Lemaire c’est une marque épistolaire, donc j’ai écrit des courriers, où j’expliquais le propos de la marque, qui on était, pourquoi. »"Humainement le plus important c’est l’adhésion, tout ce qui compte c est que le projet soit suffisamment viable et compréhensible pour que l’ensemble des équipes puissent l’intégrer et le mener à leur échelle pour qu’il existe.""Il faut faire en sorte que des gens aient envie de travailler ensemble et dans une direction claire. ""Le ciment d'une boîte c'est donner envie." "Finalement, la marque c’est qu’on est une boîte de création, oui mais on est ouvert sur l’extérieur. C’est le point central de ma réflexion, quand j’anime une marque, c’est de faire en sorte qu’elle s’ouvre et qu’elle donne envie" "Ce qu’il faut, c'est de donner envie d'être dans la team/ la crew de la marque""Finalement que l’on soit dans un groupe ou seul, on doit juste convaincre des gens, ce n’est que ça notre métier.""Le parfum sans mode ne peut pas vivre, il est essentiel pour le parfum d’avoir une impulsion de la mode et notamment de son directeur artistique."« Paco Rabanne c'est une marque éclectique, jeune, qui a envie d’être differente et qui s’adresse à une cliente qui a envie d’être différente et qui, elle aussi, peut être éclectique et avoir différentes personnalités. C’est pour ça que l’objet ici, c’était de concilier un ADN très fort de marque avec une réalité de vie qui est forcément pas en adéquation avec l’époque où Paco Rabanne a fait ses 12 robes importables. Le motto c’est « dare to be different. »"Avant, une marque de mode c’était une proposition créative, avec des boutiques et on inondait le marché, et si on avait de la maroquinerie pour aider c’était super. Aujourd’hui, la marque doit communiquer, avoir une empreinte forte, un message clair, être authentique et dans ses produits et dans sa com.""Aujourd’hui le train de croissance vient de la population de 18 à 40 ans. Elle n’a pas forcément le pouvoir d’achat d’une génération plus mature mais néanmoins, c’est elle qui tire la croissance si on lui donne des produits à acheter. ""Il y a un gros phénomène de zapping. Avant, une marque on pouvait la construire sur des années, il y avait une logique, un développement à la Dries Van Noten sur 25 ans, etc. Aujourd’hui ça devient extrêmement difficile.""C’est ça qu’il faut aujourd’hui c’est de donner envie d’être dans la crew de la marque, parce qu’elle dit vraiment quelque chose auquel on adhère.""Le claim de Jacquemus c’est partager un univers créatif et le faire d’une manière la plus ouverte possible, par des produits ultra bien pensés et avec une vraie logique de partage et de générosité, solaire, marseille, etc, etc. ""Pour rester relevant, pour développer suffisamment de résilience dans le secteur, il faut être d’une curiosité à toute épreuve, il faut sans arrêt avoir envie de découvrir, changer, modifier, et être une sorte de hub d’informations et d’avoir envie de placer la marque dans son écosystème en prenant en compte tout ce qui se passe autour de soi.""C’est dans l’échange et la construction qu’on arrive à créer de la valeur et du coup, un entrepreneur doit créer de la valeur même dans les problèmes. »"Le rêve ça ne s’achète pas, le rêve ça se construit et chacun peut avoir un rêve différent."


199 - [REDIFF] Sébastien Lucas (Business Angel & Advisor) - Se décomplexer du mot « problème » dans une entreprise, c’est déjà changer énormément de choses dans la culture d’entreprise.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Sébastien Lucas, il est business angel et advisor. Dans cet épisode, Sébastien nous parle de son parcours, des business angel, de comment choisir d’investir dans une boîte, de l’importance des valeurs d’une entreprise et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Sébastien, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Se décomplexer du mot « problème » dans une entreprise, c’est déjà changer énormément de choses dans la culture d’entreprise parce qu’on se dit, génial, un problème, résolvons-le. Tu es content le soir quand tu te dis on a résolu un problème qui n’arrivera plus, donc le monde de demain est forcément meilleur que celui d’aujourd’hui. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de SébastienInternet et l’entreprenariat dans les années 2000Le problème dans le monde du travail françaisL’importance du business angelLes critères pour investir dans une boîteLe branding et les outilsL’importance des valeurs de l’entrepriseComment surmonter la peur du conflitLe management et son apprentissageLe CRM et l’acquisitionLes retours clientsComment rester connecté à la créativité et aux innovations« Tu ne gagnes pas en pointant ce que l’autre fait mal. Tu gagnes en innovant plus, en allant plus vite que lui, en étant meilleur, en attaque du marché et donc, oui, ça te dérange mais dis-toi que ce n’est pas un concurrent mais un compétiteur, il doit t’aider à être meilleur que lui. » Références :Ecole Épita https://www.epita.frLivre Stratégie Océan Bleu - Renée Mauborgne et W.Chan Kim https://livre.fnac.com/a8096960/W-KIM-CHAN-Strategie-ocean-bleu-2e-editionThe obstacle is the way – Ryan Holiday https://www.amazon.fr/Obstacle-Way-Ancient-Adversity-Advantage/dp/1781251495Make my lemonade https://www.makemylemonade.comNoo https://www.noo-paris.comColtesse https://www.coltesse.comLe closet https://www.lecloset.frAdmise https://admiseparis.comPampa https://www.pampa.coPapier tigre https://www.papiertigre.fr/fr/La maison plisson https://www.lamaisonplisson.com/fr_FR/Reinventing organizations https://livre.fnac.com/a8843377/Frederic-Laloux-Reinventing-organizations-vers-des-communautes-de-travailAirtable https://airtable.com


198 - #198 — Construire une love brand part 2 : du fonctionnel à l’émotionnel — News & Analysis avec Viviane Lipskier de BrandAlchimy
Dans l’épisode #184, Viviane Lipskier nous donnait toute une méthodologie pour trouver la raison d’être de sa marque à l’image d’une Love Brand, soit une marque au fort capital affectif. Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ». Cette semaine elle revient pour faire suite à ce sujet nous parler de comment construire le territoire émotionnel de sa marque. Miser sur un discours répandu de nos jours ne suffit plus. Qu’il soit écologique ou marqué par un bon branding, il faut dépasser l’image véhiculée en surface et tenter de faire comprendre sa raison d’être par le biais des émotions. Mais alors comment faire vivre des émotions à sa clientèle à partir de cette raison d’être ? Dans cet épisode, Viviane nous livre une riche analyse pour écrire une histoire de marque au caractère singulier et pour trouver un équilibre entre le discours émotionnel et l’aspect fonctionnel de ses produits. « Le job d’une marque, ce n’est pas seulement de déclencher un moment mais de dérouler une histoire sur tout le parcours, de l’expérience client jusqu'au produit. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Les erreurs de discours à éviter en tant que marque Comment construire une marque remarquable ?Trouver un nom de marque en accord avec son discours émotionnelRaconter le discours émotionnel de sa marque, l’exemple de All Birds et All Tigers OrganicCommuniquer une émotion qui fait sens avec sa marqueLa complémentarité entre le fonctionnel et l’impact émotionnel, l’exemple de Saturn Bird Coffee« Demandez-vous ce que vous voulez faire avec votre marque quand vous cherchez un nom. Ne pensez pas juste au produit. » « En termes de branding, il faut avoir la plus grande intégrité dès le début et se demander qu’est-ce que l'on souhaite faire pour les gens. » « Construire une marque remarquable, c’est proposer un produit dont on va être fier et construire une grande histoire. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: L’épisode précédent « Créer une Love Brand from day one » : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/59f48d5d-f0f4-40b1-a5d6-ddf2cd14e5b3 La Playlist de tous les podcasts avec Viviane : https://brandalchimy.com/ressources/podcasts/@brandalchimy : https://www.instagram.com/brandalchimy/ Brand Alchimy : https://www.brandalchimy.com All Birds : https://www.allbirds.eu @alltigers_organics : https://www.instagram.com/alltigers_organics/ @saturnbirdcoffee : https://www.instagram.com/saturnbirdcoffee/ Saturn Bird Coffee : https://en.saturnbird.com


197 - #197 — Laurent Geneslay — Fondateur de The Bureau - Quel avenir pour nos modes de travail ?
À l’heure où nos modes de travail sont remis en question avec le télétravail ou le « home office », et si le bureau redevenait un lieu attractif ? C’est justement le pari de Laurent Geneslay qui, après une longue carrière dans la finance, propose sa vision des bureaux partagés avec The Bureau. Cette « Smart way of working » peut-être envisagée comme une réponse à la réalité du marché immobilier et aux transformations sociétales. The Bureau possède à ce jour trois adresses en plein cœur de Paris et séduit une large communauté issue de milieux professionnels divers, du grand groupe aux travailleurs indépendants. Les espaces ont été conçus selon nos modes de vie. En résulte un lieu multiple qui mêle à la fois bureaux, salle de sport, restaurant privatif, café, le tout dans une atmosphère sophistiquée et inspirante. Dans cet épisode, Laurent nous parle de sa volonté de construire un modèle hybride, où chacun peut s’approprier l’espace et y fonder sa culture d’entreprise. Un véritable art de vivre autour du travail qui est probablement une des clés pour une vie professionnelle épanouie. « Je vois la vie comme un jeu. Je me suis toujours dit : regarde en haut et avance pour voir jusqu’où tu peux aller. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de Laurent Le concept de The Bureau Le coût d'un poste de travailConvaincre les investisseursFédérer une communauté à ses débutsL'histoire du géant américain We WorkComment les prix sont fixésLa stratégie du Test & LearnLa clientèleLa direction artistique du lieuCe qui différencie The Bureau des autresLe futur du travail Les projections pour la suite de The Bureau « Nos meilleurs commerciaux, ce sont nos propres membres. » « Le recrutement passe aussi par le lifestyle que tu es capable d’offrir à tes salariés. » « Il faut être authentique. La question que je me pose systématiquement c’est : dans quel environnement ai-je envie de travailler ? » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: The Bureau : https://www.thebureau.club/fr/home/ @thebureau.paris : https://www.instagram.com/thebureau.paris/?hl=fr Arseg : https://www.arseg.asso.fr/page/etudes We Work : https://www.wework.com/fr-FR Franklin Azzi : http://www.franklinazzi.fr Marika Dru : https://www.ateliermkd.com Constance Gennari - The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com


196 - #196 —Timothée Linyer & Edouard Caraco Co-fondateurs de The Bradery — Revaloriser les invendus dans une logique vertueuse
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Timothée Linyer et Edouard Caraco, les co-fondateurs de The Bradery. Duo d’entrepreneurs depuis les bancs de l’école, leurs expériences dans la logistique et le e-commerce leur a permis d’identifier le problème relatif aux ventes privées. Avec The Bradery ils souhaitent pallier au stockage des invendus des marques premiums par des ventes éphémères en ligne. Dotés d’une connaissance fine du marché, d’un sens analytique et d’une stratégie de communication solide, c’est sûrement ce qui justifie la croissance notable de la plateforme auprès de la tranche des 20-35 ans.En effet, tout le challenge réside dans la communication : savoir redonner de la valeur à des produits existants grâce au contenu tout en conservant l’image de la marque. Guidés par leur liberté d’entreprendre, ils n’oublient pas pour autant la responsabilité sociale et environnementale. En interne comme à l’extérieur, leurs actions traduisent une volonté de bien faire. Dans cet épisode, ils nous partagent tous leurs outils de gestion et d’optimisation, les coulisses de la logistique et leur stratégie médiatique. « Je pense que la croissance s'inscrit dans un cercle vertueux. »Edouard Caraco Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Timothée et Edouard se présentent Leur début dans l’entrepreneuriat Le concept de The Bradery Le modèle économiqueLa logistique Convaincre les premières marquesL’acquisitionLa structure des coûtsLes taux de retoursLe brandingLes stratégies médiatiques (Instagram, Facebook)Faire une campagne avec une influenceuse S’associer à un bureau de presse Le service clientL’application et le mailingLa responsabilité sociale et environnementaleLa structure interneLa levée de fondLes perspectives pour The BraderyLes outils essentiels pour gérer son business« On a compris que pour créer une marque forte de notre génération, il ne faut pas être trop commercial ou trop froid. Il faut être émotionnel et partager les mêmes valeurs que sa communauté pour l’intéresser. »Timothée Linyer « On essaie de travailler main dans la main avec les marques et de comprendre leurs problématiques pour créer des relations à long terme avec elle. »Edouard Caraco « Pour protéger l’image de la marque, lui donner un aspect cool et redonner vie au produit, le contenu est primordial. »Timothée Linyer N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: The Bradery : https://thebradery.com @thebradery : https://www.instagram.com/thebradery/ Dresscode Press : https://www.dresscodepress.com Wing : https://www.wing.eu Les outils conseillés par Timothée et Edouard :Shopify : https://www.shopify.frGorgias : https://www.gorgias.com Klaviyo (CRM B2C) : https://www.klaviyo.comUbu (community management) : https://fr.getubu.com Snowflake (data) : https://www.snowflake.com data Stripe (paiement) : https://stripe.com/fr Alma (paiement en 3x) : https://getalma.eu Ship up : https://www.shipup.co/fr-fr/ Partenaire logistique Dispeo: https://dispeo.comBuilt With : https://builtwith.com/fr/


196 - Adrien interviewé par les élèves de l’Institut Français de la Mode — Les carnets de bords de RÉUNI et Entreprendre Dans La Mode
À l’occasion d’un cycle de conférences organisé par les étudiants du Mastère Management de la Mode et du Luxe à l’Institut Français de la Mode, on inverse les rôles ! Je laisse le micro à Yéléna et Alice, toutes deux étudiantes à l’IFM pour parler des stratégies du média Entreprendre Dans La Mode et de ma marque Réuni. Je partage avec elles mon parcours entrepreneurial, depuis les premiers pas du lancement de marque au développement du média. Ces projets sont différents dans la forme mais pourtant ils sont complémentaires dans le fond : stratégies d’acquisition, modèle économique, internationalisation, optimisation de ses activités d’entrepreneur… presque tout y passe. Spoiler alert : un élément clé pour la suite de Entreprendre Dans La Mode est mentionné dans cet épisode… Bonne écoute ! « N’attendez pas la validation de qui que ce soit, faites les choses. J’ai attendu 30 ans pour comprendre ça. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le programme de l’IFMComment fédérer une communautéLes avantages et les inconvénients du business model de RéuniS’engager en tant que jeune marqueLes difficultés pour monter le projet RéuniConvaincre ses fournisseurs sur le modèle de précommandeDe futures collaborations entre Réuni et des artistes ?La structure interne de RéuniEntreprendre en FranceLes prochains projets de Réuni La genèse de Entreprendre Dans La ModeLe choix des invitésLes interviews marquantesLes invités de rêveLes personnalités qui ont inspiré le projet RéuniInternationaliser le podcast ?Gérer le média et la marqueLa nouvelle étape du podcastLe modèle du crowdfundingLes success stories de ces dernières annéesAllier création, business et techChoisir son parcours scolaire Les conseils de la fin « On est dans une industrie où il y a beaucoup de concurrence. Si les clients sont déçus une fois, ils ne reviendront plus. » « Quand on a mûri le projet de Réuni, c’était une évidence : il fallait créer une marque qui aille au-delà de la mode et qui ait un impact positif sur le monde. » « La réussite se fait parce que tu as un mental d’acier, que tu es un gros bosseur et que tu ne lâches rien. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Le master à l’IFM : https://www.ifmparis.fr/fr/programmes/diplomant-certifiant-qualifiant/mastere-specialise-management-de-la-mode-du-luxe Réuni : https://reuni.co @reuni.co : https://instagram.com/reuni.co


195 - #195 — Rae Boxer & Etienne Deroeux — Co-fondateurs de FORMA — Créer sa plateforme créative en accord avec sa vision
Dans ce nouvel épisode, nous retrouvons Etienne Deroeux. Il était déjà passé sur le podcast pour nous parler de son parcours : de sa marque éponyme à son activité de consultant et designer freelance. Mais aujourd’hui, il revient accompagné de Rae Boxer, styliste et consultante qui a notamment travaillé aux côtés de Marie-Amélie Sauvé pour le magazine Mastermind. Associés dans la vie professionnelle comme personnelle, Etienne et Rae font la synthèse de leurs expériences pour à leur tour exprimer leur vision créative. Avec FORMA, ils souhaitent fédérer une communauté de créatifs et prônent l’accès à la culture et l’éducation artistique. Ce label, que l’on peut aussi définir comme une plateforme culturelle, lancera sa première gamme de produits en juin. À travers des vêtements, des objets et des collaborations, le duo convoque leur sensibilité allant de la mode, l’art contemporain à l’art de vivre. Ils nous expliquent comment mettre en avant sa vision tout en se donnant l’opportunité d’en faire un projet singulier. « Quand tu réalises un shooting ou que tu travailles sur ta vision, tu dois être très précis et rester fidèle à ton style. » Rae Boxer Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de RaeSon expérience avec Marie-Amélie SauvéLe parcours d’EtienneComment commencer une carrière dans la modeLes débuts de leur collaborationComment clarifier sa vision créativeComment s’inspirer sans copierLeurs sources d’inspirationLe projet FORMALeurs propositions créativesLa fréquence des drops Leur vision pour l’avenir de FORMA« Ce travail d’écoute, d’échange avec d’autres créatifs et le fait de devoir rentrer dans leur monde, c’est ce qui a de plus intéressant car c’est une façon de comprendre leur langage et de le retranscrire en vêtements. » Etienne Deroeux « Tu peux apprendre comment mettre en œuvre une vision créative mais je crois que l’on naît avec cet esprit de décision.» Rae Boxer « On se questionne beaucoup sur comment créer de l’inclusivité pour nourrir une nouvelle génération de créatifs. » Etienne Deroeux N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: @____forma : https://www.instagram.com/____forma/ La plateforme : https://www.forma.gallery Le Instagram d’Etienne : https://www.instagram.com/1.800.etienne/Le Instagram de Rae : https://www.instagram.com/raeboxer/Interview Magazine : https://www.interviewmagazine.com @marieameliasauve : https://www.instagram.com/marieameliesauve/Mastermind Magazine : https://mastermindmagazine.com New Guards Group : http://newguardsgroup.com Cressi : https://www.cressi.com


194 - #194 — Nicolas Santi-Weil — Directeur Général de AMI Paris et Business Angel — Une vie entrepreneuriale sous le signe de l’audace
Cette semaine nous partons à la rencontre de Nicolas Santi-Weil, directeur général de AMI Paris et business angel. J’avais eu l’opportunité d’interviewer Alexandre Mattiussi, le fondateur de AMI, mais c’est sous une autre perspective que nous abordons le succès de la marque. Après avoir pleinement contribué au développement de The Kooples, Nicolas a mis son expertise entrepreneuriale au service de la marque de prêt-à-porter AMI. Sa carrière riche en apprentissages lui a permis de saisir les opportunités au bon moment et surtout d’avoir une vision managériale remarquable. La difficulté de trouver un terrain d’entente entre création et business est sûrement ce qu’il y a de plus courant dans cette industrie, mais Nicolas sait justement concilier les deux grâce à un sens incontestable de la communication et de l’esprit d’équipe. Dans cet épisode, il nous donne une leçon entrepreneuriale saisissante marquée par l’audace et la résilience. Vous saurez tout de sa stratégie globale pour mener un projet en toute cohérence. « Je pense qu’on peut mêler de belles valeurs, un beau business et une belle croissance. Ce n’est pas du tout incompatible. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de NicolasLe développement de The KooplesLa clé de la réussite entrepreneurialeLa rencontre avec Alexandre MattiussiComment ils ont développé la stratégie de AMISavoir concilier business et créativitéLe recrutement des équipesComment structurer un business existantLe logo AMI et la définition de l’identité de marqueLa compatibilité entre le développement durable et la croissanceSon activité de business angelLes erreurs qui l’ont fait avancerSes projections pour la suiteL’importance de savoir bien s’entourer « Essayez de vous entourer. C’est tellement plus fort de vivre une aventure entrepreneuriale en équipe. » « L’échec fait partie du chemin vers le succès. Il faut se donner les moyens de ses ambitions. » « Aujourd’hui le champ des possibles est très fort parce que les gens sont en quête de sens. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: AMI : https://www.amiparis.com


193 - #193 — Roxane Cruchandeau & Nicolas Israël — Centre Commercial — Allier retail, digital et événementiel pour une expérience client réussie
À l’occasion du premier pop-up store de Réuni chez Centre Commercial, nous partons à la rencontre de Roxane Cruchandeau, la responsable communication et Nicolas Israël, le directeur retail. Vous devez sûrement connaître le concept store créé par les fondateurs de la marque Veja. Avec trois adresses de boutiques dans Paris dont une spécialisée pour l’enfant, leur sélection multimarques est reconnue pour ses critères justes et transparents. En moins de dix ans, ils ont fait de ce lieu un point de rencontre et de partage phare notamment grâce à leurs événements et une communication infaillible. Dans cet épisode, Roxane et Nicolas nous parlent de leur parcours, de leur arrivée jusqu’au développement de Centre Commercial. Ils nous partagent le processus de sélection des marques, la structure des équipes en interne et leur vision sur l’équilibre entre la vente en ligne et le retail. Au-delà d’un concept store, Centre Commercial c’est surtout un espace engagé qui tend à démocratiser des créations responsables. C’est justement pour ça qu’avec ma marque Réuni, nous sommes fiers de pouvoir vous y retrouver du 1er au 10 juin à l’adresse 10 rue de Marseille dans le Xe arrondissement de Paris. « Dès que les fondateurs viennent parler de leur marque et échanger avec les équipes, ça crée un lien très fort et je pense qu’aujourd’hui ça se ressent en boutique. » Roxane CruchandeauCe que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de Roxane et NicolasLe concept de Centre CommercialLes valeurs Comment s’assurer de la transparence des marquesLa communication de Centre CommercialComment acquérir une crédibilité auprès des marquesLes milestones de la boutiqueLa structure interneComment fidéliser ses employés et rendre le métier de la vente attractifComment faire un événement réussiLa collaboration avec RéuniLes travaux de rénovation dans leur boutiqueLes projets à venirLa vente en ligne vs le retailL’acquisition La direction artistiqueLeurs clientsLe futur du retail « On a une éthique et on s’y tient. On fait très attention aux marques avec lesquelles on travaille. » Nicolas Israël « Pour nous un bel événement, c’est quand il y a du monde et qu’une énergie passe à travers les sourires des gens. C’est un moment de partage et c’est pour cette raison qu’ils reviendront. » Roxane Cruchandeau « On est attentifs à la façon dont on reçoit les clients. On veut rester humbles et continuer d’expliquer avec passion ce que l’on fait. »Nicolas Israël N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Centre Commercial : https://www.centrecommercial.cc @centre_commercial : https://www.instagram.com/centre_commercial/ Veja : https://www.veja-store.com/en_eu/ Pop-Up Store Réuni x Centre Commercial1er au 10 juin 20212 Rue de Marseille, Paris 75010
193 - [REDIFF] Marc Beaugé (L'Etiquette, Society, Holiday, ...)
En octobre 2019 j'interviewais Marc Beaugé sur edlm. Il est journaliste, rédacteur en chef de Society, de l'Étiquette et de Holiday magazine, il écrit pour M le magazine du Monde et apparaît chaque vendredi sur vos écrans de télévision dans l'émission Quotidien. Les années passent, ne se ressemblent pas #covid mais cet épisode est toujours d'actualité. Merci Marc et surtout, bonne écoute !


192 - #192 — Isabelle Constant & Edwin Sberro — Co-fondateurs de Exhibition — Le capital culturel comme outil de communication
Cette semaine nous partons à la rencontre d’Isabelle Constant et d’Edwin Sberro. Elle, est co-fondatrice du collectif Exhibition, lui est co-fondateur du magazine Exhibition. Tous deux ont été bercés par le milieu de la publicité et de la communication. L’envie de fédérer leur énergie créative autour d’un même objet a donné lieu à Exhibition. D’un côté il y a le magazine de mode, de l’autre, la plateforme créative. Mais les deux entités se nourrissent l’une et l’autre consolidant ainsi l’essence d’une conversation artistique permanente et de synergie des talents. En recherche constante d’évolution et de singularité, ils questionnent le format et le contenu du magazine à travers diverses formes d’expression. Des écritures créatives de directeurs artistiques, photographes mêlées à la plume de Sophie Abriat, rédactrice en chef, le magazine tend à décrypter l’écosystème de la mode sous un prisme d’ouverture culturelle. Dans cet épisode, Isabelle et Edwin nous donnent de nombreuses clés pour comprendre la communication et de l’importance de l’usage du capital culturel pour les marques. Ils nous parlent des challenges de renouvellement de contenu d’un magazine et de la place du créatif dans la communication. « On essaie de changer de modèle en permanence pour que notre public ait l’impression d’avoir à chaque fois un numéro 1. »Edwin Sberro Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d'IsabelleSes expériences dans les agences de publicité Le parcours d’EdwinLe coût de production d’un magazineLe modèle économique d’ExhibitionLe collectif ExhibitionLa distributionL’accompagnement des marques par le collectifCalculer le retour sur investissementRentabilité versus créativitéLe parcours consommateur idéalLa construction de la ligne éditoriale du magazineLeur définition d’une image de modeLa structure interne Comment déléguer un projet Leurs projections pour la suiteLe marché internationalLeurs sources d’inspirationComment savoir faire le tri dans ce que l’on regardeCe qu’ils feraient différemmentL’avenir du travail créatif« Aujourd’hui, tu es obligé de co-construire ta marque. Pour susciter de l’intérêt, tu dois aller voir les territoires affinitaires de tes communautés. »Isabelle Constant« Je pense que plus tu fais de beaux projets avec une singularité, plus tu es optimiste sur ton business. »Edwin Sberro« Une marque, je la définis presque comme une personne. Elle a une personnalité, une vision et des codes. C’est un système et c’est quelque chose de mouvant. »Isabelle ConstantN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Le site Exhibition Magazine : https://www.exhibition-magazine.com@exhibitionmag : https://www.instagram.com/exhibitionmag/ @likefirestudio : https://www.instagram.com/likefirestudio/ KD Presse : https://www.kdpresse.comWPP : https://www.wpp.comOgilvy : https://www.ogilvy.com/fr/fre DDB : https://www.ddb.fr/agence/ Fred & Farid : https://fredfarid.com We Are Social : https://wearesocial.com/fr


191 - #191 — Elisabeta Tudor & Nicolas Dureau — Co-fondateurs de Nylon France — Repenser le magazine imprimé à l’ère du digital
Le paradigme des médias en France a bien changé au cours de ces dernières années. Alors que la presse imprimée semble s’essouffler, les médias digitaux eux sont en vogue auprès des jeunes générations. Pourtant, Elisabeta Tudor et Nicolas Dureau ont pris ce modèle à contre-pied en important le magazine Nylon en France. C’est lors de la Nylon France Week que leurs fanzines sont distribués : à chaque jour sa couverture et son « icône » issue de la pop culture. Ces personnalités habituellement suivies et reconnues sur les réseaux sociaux se voient offrir une place sur le papier. Un modèle déroutant mais qui usent de la complémentarité des plateformes à bon escient. Entre une plateforme web adaptée aux handicaps, un contenu à l’identité forte et un fanzine valorisé par ses divers usages : le média se veut résolument inclusif et attractif pour ses cibles. Dans cet épisode, Elisabeta et Nicolas nous partagent les détails de leur aventure entrepreneuriale : de l’acquisition de la licence, du modèle économique du média et de leur ambition à réinventer le support médiatique. « On s’est donné le défi de revaloriser la presse imprimée et pourquoi pas de la réinventer dans les années à venir. »Elisabeta Tudor Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de Elisabeta et NicolasÊtre styliste pour des personnalités VIP Qu’est-ce que Nylon Magazine Leur définition de la pop cultureComment ils ont acquis la licence Pourquoi ils n’ont pas lancé leur média indépendantLa valeur ajoutée du médiaSa fréquence et sa distributionComment créer un fanzine Comment être certain que le contenu sera attractifLe modèle économiqueLes usages de chaque canal médiatiqueLa structure interne du magazinePositionner le média en FranceLes médias qui les ont inspirésConquérir un marché libreLe rôle des influenceurs dans le paysage médiatiqueLa responsabilité du média vis-à-vis de sa cibleLeur vision pour l’avenir du magazineLeur vision sur l’industrie de la mode et des médiasOrganiser un lancement réussi pour son projet « À chaque fois que l’on a un artiste ou un projet, on se pose la question de comment traiter le sujet sur toutes nos plateformes. »Nicolas Dureau « De cette nostalgie des magazines imprimés est née l’envie de recréer ce sentiment de valorisation de la fanbase et des icônes d’une nouvelle génération. »Elisabeta Tudor « On veut accompagner nos lecteurs sur la durée et on veut qu’ils aient l’impression qu’ils fassent partie de cette famille. On essaie de déployer un maximum de formats qui les incluent comme s’ils développaient le magazine avec nous. » Nicolas Dureau N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Nylon France : https://nylon.fr @nylonfrance : https://www.instagram.com/nylonfrance/ @elisabetatudor : https://www.instagram.com/elisabetatudor/ @nicolasdureau : https://www.instagram.com/nicolasdureau/ Agence QK Paris : https://qkparis.com Modzik : https://www.instagram.com/modzik/ OBCM : https://obcm.net


190 - #190 — Suzanne Koller — Renouveler l’image de mode dans un monde saturé d’images
Cette semaine, je reçois Suzanne Koller. Elle est rédactrice en chef mode du magazine M Le Monde, co-fondatrice de Self Service Magazine, mais aussi styliste et directrice artistique. Son parcours en graphisme l’amène rapidement sur la voie de l’éditorial de mode. Avec Ezra Petronio, elle a créé Self Service, un magazine indépendant où cohabitent mode, art contemporain, musique et architecture. S’il y a bien une chose qui caractérise le succès de cette self-made woman, c’est la curiosité. La consommation frénétique de l’image telle que nous la connaissons aujourd’hui soulève de nombreux questionnements autour de sa durée, de son impact et de sa valeur. En quête permanente de nouveauté, Suzanne nous partage les mécanismes d’une image de mode. Dans cet épisode, on a parlé des coulisses de son travail chez A.P.C, M Le Monde, de ses premières sources d’inspirations jusqu’au storytelling d’une campagne de mode. « Pour réduire le rythme de consommation des images, il faut peut-être créer des images qui restent plus longtemps mais qui ont une autre destination qu’Instagram. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de SuzanneSes premiers clients et la création de son magazine La ligne éditoriale de Self Service MagazineComment elle s’est formée en stylismeQu’est-ce qui fait un bon magazine Comment elle travaille Comment elle choisit ses modèlesSes conseils pour un photographe Être représentée par un agent Quel est le rôle d'une directrice artistiqueSon travail pour A.P.CQu’est-ce qu’une image de modeSon travail de rédactrice en chef chez M Le Monde Le storytelling d’un édito modeQu’est-ce qui fait un bon mannequin Produire du contenu à un rythme effrénéSon regard sur la mode et ses évolutions Pourquoi la mode est importanteComment rendre la création internationaleSes objectifs pour la suite « Ce n’est pas que la photo qui fait une bonne image de mode mais ton équipe. D’où l’importance de choisir les bonnes personnes avec qui tu travailles, avec celles qui vont t’apporter quelque chose et qui vont t’emmener loin. » « Une image de mode, c’est quelque chose qui perdure dans le temps. » « Ce n’est pas la qualité d’une image qui compte, c’est de savoir qu’est-ce que tu racontes derrière. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: @suzannekoller : https://www.instagram.com/suzannekoller/ Self Service Magazine : https://selfservicemagazine.com M Le Monde : https://www.lemonde.fr/m-le-mag/ @m_magazine : https://www.instagram.com/m_magazine/ A.P.C : https://www.apc.fr @ezrapetronio : https://www.instagram.com/ezrapetronio/


189 - #189 — Émilie Albertini — Fondatrice The Dressing Therapy — Donner du sens à sa garde-robe
Dans ce nouvel épisode, nous partons à la rencontre d’Émilie Albertini, la fondatrice de The Dressing Therapy. Elle fait ses débuts dans le journalisme pour des médias télévisés comme M6 ou Canal et trouve son expertise dans les conseils de style. Après une longue carrière, elle décide de créer son propre studio de Direction Artistique en stylisme pour particuliers. Sorte de « SAV de la mode », elle s’invite dans les garde-robes pour reconstruire une approche saine aux vêtements et convie style et durabilité à travers des masterclasses. Son crédo ? Utiliser le style comme un moyen de renouveler l’existant. Crise sanitaire oblige, le digital a été la solution nécessaire à son évolution. Pour pallier la morosité ambiante, ces amoureuses de mode ou parfois même individus écrasés face à l’immensité de leurs dressings se retrouvent en communauté et donnent du sens à leurs garde-robes. Dans cet épisode, Émilie nous partage en toute franchise son avis sur les diktats de la mode et comment elle innove en temps d’incertitude. « Faites de votre dressing un havre de paix. C’est ce que vous ouvrez le matin et qui conditionne le mood de votre journée. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d’ÉmilieSes débuts dans le journalisme et les médiasSon avis sur la télévision Son studio de Direction Artistique et conseil en styleQui sont ses clientesLa croyance autour de la morphologieSa définition du styleLe contenu de sa masterclassLa seconde-main et les marques éthiquesComment elle se renouvelleComment elle fait pour ne pas se faire copierSes objectifs pour la suite « Le renouveau, avant de l’acheter ailleurs, il faut le trouver chez soi. »« Pour toutes ces fois où j’ai rêvé d’être entrepreneure, aujourd’hui je savoure ma chance. » « J’essaie de trouver un écosystème dans lequel il y a ce fil rouge d’acceptation de soi, d’arrêt de surconsommation et de savoir faire avec que l’on a. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Studio Emilie Albertini : https://studioemiliealbertini.com @studioemiliealbertini : https://www.instagram.com/studioemiliealbertini/ Documentaire « The True Cost » Documentaire Arte « Les Dessous de la mode à bas prix » : https://www.youtube.com/watch?v=oYg8ujH_HgE


188 - #188 — Edouard Daehn — Cofondateur de l’Hôtel Le Barn — Comment faire d’un lieu une scène de vie mémorable
Cette semaine, nous partons à la rencontre d’Edouard Daehn, le cofondateur de l’hôtel Le Barn. Imprégné par l’enthousiasme de la restauration et de l’hôtellerie depuis ses débuts de carrière, Edouard a créé ses propres codes de la convivialité. En pleine campagne, il a conçu Le Barn comme un lieu en adéquation avec son environnement : hôtel, restaurant et activités en plein air font le bonheur des familles, amoureux de la nature comme citadins en quête d’escapade.Son secret ? Il s’est servi des contraintes existantes pour en faire une force avec l’aide du Studio de création Be-Pole. Tel un village animé où chacun a ses occupations, il laisse place à l’écriture de moments de vie en faisant résonner nature et collectif. Dans cet épisode, il nous livre les clés essentielles d’un parcours client réussi où les petites attentions ne passent jamais à la trappe. Avec une vision saine du travail d’équipe, il nous partage également ses valeurs fondamentales d’une gestion pérenne de son business. « Tu ne dois pas avoir besoin d’exister en écrasant l’autre. Tu dois pouvoir exister avec des compétences qui sont complémentaires aux autres. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d’EdouardLes coulisses de l’hôtellerie et de la restaurationSes expériences à l’étrangerLe passage de la restauration à l’hôtellerieSa boîte de gestion d’hôtelsL’histoire du BarnComment concevoir un hôtel Ses objectifs pour Le BarnConstruire une relation saine avec ses équipes Trouver l’identité du lieuComment manager un hôtelLa caractéristique du lieuCe qu’il vend en plus de l’expérienceSes clientsL’acquisitionL’agencement du lieuLe parcours clientSa définition du luxe et du savoir-faireSa journée typeDéterminer sa réussite professionnelleLa place du développement durable dans l’hôtellerie et la restaurationComment s’écouter et se recentrer sur soiSon mot de la fin « Pour moi, il est inconcevable de faire de l’hôtellerie sans restauration. Ça fait partie de la vie et ce que je crée ce sont des lieux de vie. »« Plus ton œil s’aiguise, plus tu vois les choses et plus tu as envie de les faire évoluer. » « C’est l’adéquation entre les différentes facettes d’un hôtel qui vont en faire la pérennité et son succès. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Le Barn : https://lebarnhotel.com Studio Be-Poles : https://be-poles.com L’épisode avec Antoine Ricardou et Clémentine Larroumet de Be-Poles : https://art19.com/shows/entreprendre-dans-la-mode/episodes/9d8f1fd7-95c9-44bd-a464-a9afe8e4139c L’hôtel Arvor : http://www.hotelarvor.com/#


186 - #187 — Nardjisse Ben Mebarek — Fondatrice de élémentaire — S’engager auprès d’une cause sociétale en créant sa marque, c’est possible
Dans ce nouvel épisode, nous partons à la rencontre de Nardjisse Ben Mebarek. Elle a créé depuis peu la marque Élémentaire qui propose une mode enfantine responsable. Elle nous raconte l’histoire de sa vie pleine d’épreuves qui lui ont permis de se révéler. Depuis ses premières expériences dans la mode et le luxe, elle a vu arriver la transformation liée au digital au point d’y avoir consacré une partie de sa carrière chez NellyRodi. Mais son combat a récemment pris une toute autre forme avec le lancement de son entreprise à mission. Avec une forte volonté de contribuer aux transformations sociétales, elle a fait de sa marque un engagement pour l’égalité des chances des enfants. Une approche à la croisée du business et de la philanthropie qui redéfinit le rôle de l’entrepreneuriat de nos jours. Avec Nardjisse, on a parlé de fond de dotation, de la partie éditoriale d’une marque de mode, mais surtout on a débattu à cœur ouvert sur le sujet de la diversité. « Je crois à la responsabilité citoyenne des entreprises. Puisqu’on se préoccupe de l’environnement, pourquoi ne se préoccupe-t-on pas de la société ? Je pense que ça va de pair. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de NardjisseSes premières expériences dans le luxeLes évolutions du blogging Sa marque élémentaire Pourquoi s’engager à travers la création d’une marque de modeLe fond de dotationPourquoi elle a choisi cette causeSa relation avec les associationsLa définition d'une mission brandSon expérience chez NellyRodiLa suite de son parcours entrepreneurial Comment elle s’entoure Le parcours client Sa stratégie de lancementSon avis sur l’influenceL’importance de l'éditorialSes références Le sujet de la diversité dans l’entrepreneuriat et la modeLa vision pour élémentaireComment elle a trouvé son équilibre de vie «Le phénomène de la rapidité est intéressant, mais ça a aussi du mauvais parce que si tu ne prends pas de recul par rapport à ce qu’il se passe, tu peux vite être aspiré. »« Le fait d’entreprendre et de choisir les personnes avec qui tu travailles, ça n’a pas de prix. »« Je trouve que l’éditorial est un bon moyen de parler de sa démarche. Ça nous permet d’ancrer des messages et des convictions. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Élémentaire : https://elementaireparis.com @élémentaire_paris : https://www.instagram.com/elementaire_paris/ La fondation : https://elementaireparis.com/pages/foundation Agence Objets de convoitises : https://www.objetsdeconvoitises.com NailMatic : https://www.objetsdeconvoitises.com Restaurant Grazie Julien Cohen : http://www.graziegrazie.fr Plateforme Vendredi : https://www.vendredi.cc Make My Lemonade : https://www.makemylemonade.com NellyRodi : https://nellyrodi.com Oh My Cream : https://www.ohmycream.com Parade Lingerie : https://www.instagram.com/parade/ Article Le Monde Barbara Blanchard : https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/09/08/barbara-blanchard-une-cheffe-d-entreprises-inclusives_6051427_4500055.html


185 - #186 — Thomas Huriez — Fondateur de 1083 — Intégrer sa mission de vie dans son projet entrepreneurial
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Thomas Huriez, il est le fondateur de la marque 1083. Spécialiste dans le jean et la chaussure, il s’est lancé comme défi de relocaliser une chaîne entière de production. Devenu un chef d’entreprise après une reconversion professionnelle, il n’a pas eu peur de reconstruire une filière from scratch. Un pari ambitieux qui finit par payer, aujourd’hui il génère de nombreux emplois en France et valorise tout un savoir-faire jusque-là oublié. Il nous prouve que la responsabilité sociale et environnementale est compatible avec la prospérité économique. Si ce modèle vertueux lui tient à cœur, c’est parce qu’il fait des rencontres humaines sa priorité. Sa marque est un manifeste engagé qui s’inscrit dans la continuité des ses convictions personnelles. Dans cet épisode, il nous détaille toutes les coulisses de son mode de production, ses coûts et il nous parle de l’importance de cultiver la proximité avec sa clientèle.« On ne cherche pas à crier. On va loin en faisant chuchoter les gens les uns avec les autres, en promouvant le bouche-à-oreille, en portant des initiatives et en menant des projets qui font sens. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours de ThomasSes débuts dans la mode responsableL’idée fondatrice de 1083Mettre au point un travail de recherche et développement Les milestonesLa distributionComment est répartie sa masse salarialeSon modèle de rentabilitéÀ propos de la certification B Corp Son rapport à l’argentTrouver un équilibre entre la vente d’un produit et de valeursComment se passe l’acquisitionLe parcours client L’écriture de son livreComment il s’organise au quotidienLa vision pour 1083Les matièresCollaborer avec d’autres marques sans compétitivité Quels conseils il donnerait à l’industrie de la modeSes conseils pour Réuni « Il n’y a rien de mieux que l’humain pour donner de la valeur à ce que l’on fait. » « J’ai compris que la mode ne répondait pas à l’enjeu de se vêtir mais à l’enjeu de se parer. C’est le moyen le plus puissant d’amener les gens à parler d’eux et de leurs valeurs autrement que par les mots. » « Réussir pour l’argent ça me fait peur, je n’ai pas envie d’être asservi. J’ai besoin d’être libre, c’est la base pour moi. Se réaliser par l’argent, c’est avoir peur d’en perdre et donc ne plus oser créer. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: 1083 : https://www.1083.fr Modetic : https://www.modetic.com/boutiques/ Son livre : https://www.1083.fr/remade-in-france.html


185 - #185 — Mathieu Buard — Professeur, Critique et Commissaire — De l’utilité de la critique pour repenser le système de la mode
Posez moi toutes vos question ici >>> https://reuni.typeform.com/to/HgFRvjD2 Dans ce nouvel épisode, on se met sur pause pour réfléchir au système de la mode avec Mathieu Buard. Mathieu enseigne à l’École Duperré, il est aussi commissaire d’exposition et critique pour des revues comme Profane et Modes Pratiques. Une tête pensante où fusent les idées et qui pose un regard analytique pointu sur les industries créatives, notamment sur celle de la mode.Penser la mode comme un territoire de recherche s’avère être essentiel à la compréhension de cet écosystème, c’est justement sous ce prisme que se décèlent les transformations sociétales. Mathieu partage son point de vue sur la direction artistique, les processus créatifs conciliés aux stratégies de médiatisation et de vente. L’occasion parfaite pour aborder des sujets d’actualité qui font frémir l’industrie : de l’intérêt grandissant pour le patrimoine des maisons de mode à la définition de l’art de vivre.Sans oublier sa grande curiosité et un désir de transmettre indéniables qui le mènent à échanger au quotidien avec les jeunes acteurs du monde de demain.Que l’on soit créateur ou entrepreneur, trouver son positionnement dans cette industrie demande du temps. Cet échange passionnant vous apportera bien volontiers matière à penser.« Parfois, ce rythme effréné et cyclique recouvre et invisibilise ce que l’on fabrique en termes de processus créatif. C’est intéressant de se dire que l’on peut aussi redevenir le sujet et non pas l’objet de ce rythme. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de MathieuComment construire une thèse Qu’est-ce que la critique de mode Comment se servir de la critique Les enjeux du système de la modeLes limites du modèle de désirabilité Comment devenir directeur artistique d’une maisonLes acteurs dominants et l’intérêt patrimonial des maisonsTrouver sa place dans cet écosystèmeLa seconde mainLes points communs entre le système de la mode et celui de l’art contemporainEnseigner en école supérieureSe positionner sur des sujets sociétauxSes collections d’objetsSa définition du lifestyleSon avis sur les magazines de modeOù trouver de jeunes talents Ses conseils pour Réuni « Entreprendre dans la mode, c’est peut-être trouver la bonne place pour soi et ne pas en souffrir. » « Je pense que l’on peut aborder le monde avec plus de tendresse. Ce qui m’intéresse est de connecter les choses. Plutôt que de voir des problèmes, on peut aussi essayer de voir comment on améliore et on affine les systèmes. »« Être professeur est un moyen de voir quelqu’un se déployer. Si on arrive à faire que le travail et la passion soient communs, c’est très galvanisant. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: En savoir plus sur Mathieu Buard :Son Instagram : https://www.instagram.com/mathieu_buard/ Son blog : https://mathieubuard-blog.tumblr.com Romain Kremer : http://www.romainkremer.com Revue Modes Pratiques : https://www.modespratiques.fr Revue Profane : https://www.revueprofane.comTemple Magazine : https://templemagazine.co Magazine Magazine : https://magazinemagazine.fr Ré-édition Magazine : https://www.reeditionmagazine.comInterview Magazine : https://www.interviewmagazine.com Double : http://lemagazinedouble.com


184 - #184 — Créer une Love Brand from day one — Avec Viviane Lipskier de Brandalchimy
Cette semaine, on retrouve Viviane Lipskier pour parler de Love Brand : une marque au fort capital affectif qui dépasse les besoins fonctionnels. Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ». On le sait, la période que nous vivons regorge de changements, par conséquent nos besoins évoluent et les marques doivent être à l’écoute.En effet, au-delà du produit il s’agit de s’intéresser aux comportements des consommateurs et à leurs aspirations pour construire une relation solide. La désirabilité passe par les valeurs morales, d’où l’importance de se questionner sur ses valeurs, ses engagements RSE et de savoir décrypter les signaux faibles. Dans cet épisode, Viviane nous partage une méthodologie essentielle pour questionner la raison d‘être de son business. « Les marques que les gens aiment le mieux sont celles qui ont intégré leur mission avant même de lancer le business. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Prendre en compte les mutations sociétalesQuelles questions faut-il se poser avant de lancer son business aujourd’hui ?Doit-on attendre de confronter son produit au marché pour définir sa cible ?Plonger dans le besoin de ses clients avec la méthode du « Why Test » « Dans cette nouvelle économie, les marques doivent vraiment s’interroger et changer pour s’assurer de créer des services qui portent à la fois des valeurs économiques et morales. » « Il faut s’intéresser à la manière dont les consommateurs passent leur temps et dépensent leur argent. » « Au lieu d’être une invention risquée qui demande aux gens de changer leurs comportements alors qu’ils ne sont pas forcément prêts, on leur offre une réponse qu’ils attendaient depuis longtemps mais qu’ils ne connaissaient pas. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références: Brand Alchimy : https://www.brandalchimy.com Christopher Booker The Seven Basic Plots Hair Club : https://shop.hairclub.com Airbnb : https://www.airbnb.fr


183 - #183 — Nico Alary — Holybelly Cafe — Ne jamais perdre de vue l’idée fondatrice de son entreprise
>>>>> LIEN VERS LA FORMATION GROWTH de PAULINE : https://growth.le-gratin.fr
Cette semaine, on découvre le parcours inédit d’un entrepreneur dans la restauration.
Nico Alary est le co-fondateur d’Holybelly, avec sa compagne Sarah Mouchot ils ont instauré une nouvelle habitude dans le quotidien des parisiens.
Rien ne les prédestinait à cette voie, pourtant c’est au détour de leurs voyages à l’autre bout du monde qu’ils trouvent l’inspiration. Quelques mois plus tard, Holybelly s’installe à Paris comme le lieu où profiter d’un bon café, d’une cuisine savoureuse le tout dans une ambiance chaleureuse, de quoi réinventer la culture du petit-déjeuner.
Nico en a fait une institution incontournable grâce à sa vision innovante et un travail constant. En effet, le digital ne lui fait pas peur, c’est même devenu un ingrédient clé pour faire face aux challenges de son secteur.
Il fait résonner son parcours entrepreneurial avec ses valeurs personnelles : de la constitution de ses équipes à ses ambitions de vie, un épisode riche en leçons pour tout entrepreneur !
« Quand tu es entrepreneur, il faut que tu contamines les autres avec ton idée et ta passion. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Le parcours de Nico
Sa vie d’expatrié à Vancouver et Melbourne
La culture du café à l’étranger
Son retour à Paris
La préparation du business plan
Le concept d’Holybelly
Le business model
L’origine du nom
Les milestones
Comment attirer les bons profils dans son business
Ses autres activités entrepreneuriales
Le parcours client
Comment il explique son succès
Ses plus grosses erreurs
Son équilibre de vie entre le professionnel et le personnel
Savoir mesurer ses ambitions en fonction de sa vie
Comment ne pas se lasser de son business
Son investissement chez Shake Shack
Comment il vit la crise
Ses conseils pour Réuni
« Lead by example : je me tiens au même standard d’exigence que mes équipes. Si tu fais ça, tu as fait 80% du travail parce qu’elles peuvent toujours se référer à toi. »
« Un jour on a rédigé notre projet et notre ambition en trois lignes, pour nous c’était comme le fil rouge. Quand on lit cette note aujourd’hui, finalement on est proche de cette première idée. »
« Je ne pense pas que regarder constamment ce qu’il se fait ailleurs soit une solution. Passe du temps à travailler sur toi et sur ton développement. Deviens le meilleur restaurateur que tu puisses être et de façon assez logique tu vas être parmi les meilleurs. »
N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com
Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode
Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews !
Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références:
Holybelly : https://holybellycafe.com
Le blog Holybelly : https://holybellycafe.com/blog/
La page instagram Holybelly: https://www.instagram.com/holybellycafe/
Le magazine Kinfolk : https://www.kinfolk.com
Le podcast That Restaurant Thing : https://that-restaurant-thing.simplecast.com
Hospo Jobs : https://www.hospo.jobs


182 - #182 — Julien Crespel & Maxime Brenon — Co-fondateurs de Papier Tigre — L’intelligence collective est un moteur de réussite
>>>>> LIEN VERS LA FORMATION GROWTH de PAULINE : https://growth.le-gratin.fr Dans ce nouvel épisode, on décrypte le succès fulgurant de Papier Tigre, co-fondé par Julien Crespel et Maxime Brenon. Au croisement de leurs parcours respectifs en design industriel et marketing, ils s’emparent des meilleurs outils pour lancer leur marque de papeterie. En plein cœur du Marais à Paris, ils sont devenus la référence du marché grâce au digital et une créativité remarquable. Dès leurs débuts, ils séduisent les grands du wholesale tels que Colette et Le Bon Marché. Leur force ? Une culture d’entreprise qui résonne jusque dans leur boutique. Ils mettent l’accent sur l’intelligence collective et font du service client une priorité. L’audace et l’envie d’innover rythment leur quotidien, ce qui leur permet de s’adresser aux bonnes personnes, au bon moment. Sans oublier leur admiration mutuelle et leur complicité qui animent ce duo de choc. Ils nous livrent sans filtre les détails de leur aventure entrepreneuriale, de leurs premiers associés, l’expansion sur de nouveaux marchés à leur stratégie de développement produit. « Tout le marketing et tout ce que l’on raconte autour d’un produit finit par guider la façon dont on crée. J’ai compris que c’était une composante qui participait à la création de produits. » Julien CrespelCe que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de Maxime et JulienLeur définition du marketingComment prévoir une éventuelle séparation avec ses associésComment ils expliquent leur succès immédiatFaire de la papeterie un accessoire de modeLeurs premiers produitsLe modèle économique et les coefficients dans la papeterieLe problème des quantités dans le milieu de l’impressionLes milestones de Papier TigreLes obstacles qu’ils ont rencontré à l’étrangerLeur boutique à TokyoL’ouverture du capitalD’où vient le nom de leur marqueLeur rapport au brandingLe service client chez Papier Tigre Comment ils se font connaîtreLeurs best sellersLeurs ambitions pour le futurL’enjeu de responsabilité dans la papeterie« On met en avant l’intelligence collective dans notre équipe et avec les gens que l’on rencontre. Il n’y a rien de plus important. C’est fondamental quand tu veux te lancer dans quelque chose que tu ne maîtrises pas. » Maxime Brenon« Il ne faut pas avoir peur de se tromper. Éventuellement si ça arrive, il faut être agile et comprendre pourquoi ça n’a pas fonctionné pour rebondir sur quelque chose de nouveau. »Julien Crespel« Le fait d’avoir les bureaux dans la boutique, ça a été plutôt malin parce qu’on a raccourci le chemin entre l’idée et la vente. Quand tu as une idée, tu l’as fait exister avec l’imprimante et juste après, tu as un retour client. Ce côté instantané a été hyper instructif. » Maxime BrenonN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Papier Tigre : https://www.papiertigre.fr/fr/ENSCI les Ateliers : http://www.ensci.comFounders Future : https://foundersfuture.com/?lang=fr Gorgias : https://www.gorgias.com


181 - #181 — Le luxe de la simplicité selon Daniel Rozensztroch — Directeur Artistique
Cette semaine, nous partons à la rencontre du directeur artistique Daniel Rozensztroch.On le reconnaît surtout pour sa passion des objets. Une passion qui lui a permis de mener une carrière époustouflante. De sa première boutique à Paris, ses reportages de voyage, en passant par la direction style chez Marie Claire Maison ou encore celle de la boutique Merci, Daniel est un pionnier de l’art de vivre.Son émerveillement face aux objets du quotidien lui permet d’engager des réflexions autour des modes de vie par le biais d’éditions ou d’expositions. Il a développé un regard sensible grâce à une grande richesse culturelle et une connaissance des savoir-faire qu’il a acquis lors de ses voyages.Dans un monde d’abondance, il questionne le sens de la modernité, du luxe et de l’authenticité des objets.Daniel nous parle de ses multiples projets, où chacun d’entre eux est à la source d’une nouvelle expérience de vie. Cet épisode va vous inspirer luxe, calme et volupté. Bonne écoute !« Pour moi le luxe est presque une contradiction. C’est une certaine vision de la simplicité et c’est aussi la capacité de trouver une forme de sophistication dans la simplicité. La sophistication n’est pas forcément liée à des choses chères. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Daniel se présenteSa définition de la direction artistiqueSes études aux Arts DécoSon rapport aux objetsSa première boutique Oggetto et sa sélection d’objetsUne rencontre déterminante dans sa carrièreSon expérience à New York pour Ralph LaurenLa direction du style chez Marie Claire MaisonLe rôle des magazines dans les années 80La refonte de l’image de Nature & Découverte Sa définition de l’art de vivrePourquoi il a souvent fait des projets nichesLa direction artistique de la boutique Merci ParisSes projets avec la designer Paola NavoneQu’est-ce qu’un bon lieu de restaurationQu’est-ce qu’il referait à ses débuts« Je pense que dans la vie il ne faut jamais subir, au contraire il faut agir et décider de ce que l’on veut. »« Aujourd’hui on se pose beaucoup de questions sur la surconsommation. Il y a eu tellement d’excès, tellement d’objets et d’ailleurs ça engage une réflexion sur le design. Il y a ce besoin frénétique de créer encore une chaise de plus alors qu’il y en a des millions. Si on n’a pas vraiment grand chose de plus à apporter, ça ne sert à rien. »« Je n’ai pas la sensation qu’il y ait l’envie de faire table rase. Au contraire, je trouve que l’on est très attaché à notre patrimoine surtout dans un pays comme la France. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Merci Paris : https://merci-merci.com 25hours Hotels : https://www.25hours-hotels.com/fr/ Collaboration Serax x Paola Navone : https://www.serax.com/en/designer/paolanavone Boutique Super Vintage : https://supervintageparis.com


180 - #180 — Adrien Gloaguen — Fondateur du groupe hôtelier Touriste — Le meilleur atout de l’hôtellerie se trouve dans l’humain
Dans ce nouvel épisode, nous partons à la rencontre d’Adrien Gloaguen, le fondateur du groupe hôtelier Touriste. Vous connaissez peut-être un de ses hôtels : Le Panache, Les Deux Gares, Bienvenue, c’est lui qui est à l’origine de ces merveilleux pêle-mêle de vie. À 25 ans, il se challenge avec l’acquisition d’un premier hôtel. En partant de zéro, il a défini au fil du temps sa vision de l’hôtellerie. Son groupe Touriste témoigne de son succès où chaque entité est reconnue pour sa signature authentique, un goût prononcé pour la décoration mais surtout, un réel sens du service et de l’humain.Si aujourd’hui la plupart de ses adresses sont en plein cœur de Paris, demain c’est à Londres que de nouvelles perspectives se dessinent.Avec Adrien, on a parlé de ses premiers pas dans l’hôtellerie, de l’importance du service et de son optimisme post-crise pour le secteur.« Je suis intimement persuadé que le meilleur des métiers de service, c’est l’humain. Tu as beau essayer de proposer la meilleure technologie ou la meilleure décoration, ça reste le plus important. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’AdrienSes débuts dans l’hôtellerie L’hôtel Paradis Le business model d’un hôtelMesurer le succès d’un hôtelSa clientèleSon brandingL’importance du serviceProvoquer le bouche à oreilleMêler hôtellerie et restaurationSon projet d’hôtel à LondresSes inspirationsLe futur de l’hôtellerie en contexte de criseComment se lancer dans l’hôtellerie aujourd’hui La mode et l’hôtellerie Comment il gère sa distributionLes outils de gestionÀ quoi ressemble ses journéesLa maintenance Ses mentorsLes chiffres qu’ils regardentSes conseils pour Réuni « J’essaie de créer un maillage avec le quartier. Un hôtel est une espèce de ville dans la ville : on est un peu dans notre bulle mais il faut encourager le personnel à aller voir ce qu’il se passe autour. »« Chaque projet est très différent, je fonctionne beaucoup au coup de cœur. Le fil conducteur, c’est le bon rapport qualité prix. »«Il ne faut pas avoir peur de se renouveler. En tant qu’hôtelier, on doit être à l’écoute de ses clients.»N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: L’Instagram du groupe Touriste : https://www.instagram.com/touristeltd/ Hôtel Bienvenue : https://hotelbienvenue.fr Hôtel Panache : https://hotelpanache.com Hôtel Les Deux Gares : https://hoteldeuxgares.comWorld Of Interiors : https://www.worldofinteriors.co.ukCereal Magazine : https://readcereal.com


179 - #179 — Erwan Le Louër — Co-fondateur Le Gramme — S’imposer en leader sur un marché en expansion avec le bijou pour homme
Aujourd’hui, on s’intéresse au bijou masculin avec le co-fondateur de la marque Le Gramme. Erwan Le Louër est designer industriel de formation, il fait ses premiers pas dans la joaillerie chez Margiela et lance peu après sa propre marque de joaillerie responsable Jem. Entrepreneur dans l’âme, c’est à travers Le Gramme qu’il crée sa vision du bijou masculin : une esthétique que l’on pourrait résumer au principe « Form follows function » où la forme est au service de la fonction et du sens. Le caractère rationnel de son bijou a séduit hommes comme femmes et c’est justement avec une connaissance fine de sa clientèle que s’est défini son succès.Grâce à un souci du détail implacable et une intuition forte, il a fait du bijou pour homme un essentiel. Avec de hautes ambitions de croissance, Erwan nous dévoile ses stratégies pointues de vente et de communication. « Je me suis laissé guider par le côté entrepreneur qui fait qu’il n’y a aucune limite et rien d’impossible. Je reste convaincu que tu atteins les limites que tu te fixes. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Erwan se présenteSon approche à la joaillerieComment sourcer l’or équitableComment concevoir un bijou Son expérience chez MargielaSes débuts dans l’entrepreneuriatLe branding chez Le GrammeSa stratégie d’acquisitionComment trouver sa cibleSa stratégie de communicationUne action révélatrice de son succèsLes points de venteLe business model du bijouSon ambitionL’entrée au capital d’actionnairesLa structure interne et le service clientLa dimension responsableComment il se forme en tant que managerSes outils de travail« À partir du moment où tu connais tes cibles, tout devient plus fluide. » « On ne sauve pas des vies. On vend juste des bracelets, donc si tu ne fais pas vivre au client une expérience un peu différente, il n’a aucune raison d’être marqué par l’acquisition d’un bracelet chez nous. » « J’ai eu une démarche qui est propre à mon parcours de designer industriel : à partir d’une question et d’une problématique, je vais répondre par un service ou un produit qui va avoir une ergonomie, une fonction et un esthétisme. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Le Gramme : https://legramme.com Jem : https://www.jem-paris.com BPI France : https://www.bpifrance.fr Asana : https://asana.com/fr Slack : https://slack.com/intl/fr-fr/


178 - #178 — Dans les coulisses de la parfumerie avec Constance Riquelme — Chargée de comptes chez IFF
Cette semaine, rendez-vous en terre olfactive où Constance Riquelme nous emmène dans les coulisses de la maison de composition IFF. Elle établit le lien entre les parfumeurs et les marques qui souhaitent concevoir une fragrance. De l’imagination d’une odeur à sa commercialisation, vous connaîtrez toutes les étapes nécessaires à la fabrication d’un parfum, un produit d’une grande complexité qui demande des connaissances et un savoir-faire précis. Véritable langage émotionnel, les marques de mode profite de ce capital affectif pour diffuser une imagerie forte propre à leur ADN.Que signifie le parfum en temps de crise ? Sur ce marché où l’innovation ne se fait pas rare, de nombreux enjeux entrent en compte. Entre composition clean, durabilité, digitalisation du marché et une distribution fragilisée par le contexte actuel, la parfumerie ne cesse d’évoluer.Constance nous partage un panorama complet sur cet art d’exception dont elle a fait son métier. « Le parfum passe par le seul des cinq sens qui envoie le message directement à la zone de ton cerveau liée à la mémoire et aux émotions. Ça ne passe pas par un filtre rationnel, c’est un monde d’émotion. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Constance se présenteLa maison IFFUn petit historique sur le parfumLa ville de Grasse, berceau de la parfumerie De quoi se compose un parfum Les étapes pour concevoir un parfumLa commercialisationLa différence entre un parfum ‘clean’ et ‘sustainable’L’industrialisation vs l’artisanat de la parfumerieLe prix minimum d’une productionLe modèle économique du parfum et ses mutationsLes principaux acteurs sur le marché du parfum Comment se positionner sur ce marchéComment reconnaître le succès d’un parfumLe futur olfactifLes inspirations de ConstanceLe métier de NezLe rapport entre le parfum et les émotions« Le parfumeur joue avec l'œuvre vivante qu’est le parfum pour moduler ses notes de tête, de fond et de cœur. Il nous emmène dans un voyage en fonction de la vitesse d’évaporation des ingrédients. C’est pour ça que c’est un métier extrêmement complexe à la croisée de la science, la chimie, la création et l’art. »« Le parfum est une exception française : non seulement son savoir-faire, mais aussi sa production. De la verrerie à l’assemblage, on peut pratiquement tout sourcer en France. »« Toute la recherche et développement sur l’ingrédient doit aussi nous permettre d’imaginer les odeurs de demain. Parfois une molécule peut ouvrir le champ des possibles. Quand on regarde l’histoire de la parfumerie, on se rend compte que les grandes tendances sont souvent jalonnées d’innovation dans les molécules synthétiques. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: IFF : https://www.iff.com IFF sur Instagram : https://www.instagram.com/artofperfumeryatiff/ Bastille Parfums : https://bastilleparfums.com Corps Volatils : https://www.corpsvolatils.com


180 - [REDIFF] Gildas Loaec – Co-fondateur de Maison Kitsuné
Cet épisode date de 2018 ! Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Gildas Loaec, co-fondateur avec Masaya Kuroki de la marque Maison Kitsuné. Après une carrière dans la musique aux côtés des Daft Punk, il lance en 2002 Kitsuné, à la fois un label de musique, une marque de vêtements (Maison Kitsuné) et depuis quelques années une marque de café. Dans cet épisode, on revient sur son parcours, sur sa carrière dans la musique, sur toute l'épopée de Kitsuné et on parle aussi de nombreux autres sujets. J'ai adoré interviewer Gildas, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter. POUR SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE01:10 Gildas se présente et revient sur son parcours 17:40 La rencontre avec Masaya Kuroki, l’idée de faire un projet ensemble 20:00 Les débuts de Kitsuné, la vision 28:00 Les similarités entre la mode et la musique business 29:30 Le propos de Kitsuné 35:00 Qu’est-ce qui a fait émerger Kitsuné, le rythme de développement de Kitsuné 39:10 La répartition des tâches avec Masaya, comment Kitsuné s’organise, l’accompagnement extérieur46:00 Le choix des collaborateurs et des groupes de musique 55:00 Le moteur de Gildas, qui il souhaiterait entendre dans ce podcast KEYLEARNING "Ce qui nous intéresse, c’est d’aller au bout de chacun des métiers que l'on fait. Ce n’est pas juste du story telling ou du marketing. Créer une marque, c’est bien plus exigeant en cash flow que ce qu’on pourrait imaginer. ""Le propos, c’est d’abord de nous faire plaisir. ""On a une approche patrimoniale. Quand on veut créer une marque comme on le souhaite, on veut qu’elle soit encore là dans 40 ans. Je crois moins en une marque qui s’est développée à toute vitesse, qui sert à faire des retours sur investissement rapide pour des fonds, et qui ensuite est revendue très vite à un autre fond qui réinvente encore. C’est un peu comme une patate chaude qui est refilée à différents niveaux, et qui, selon moi, perd à la fin une bonne partie de son identité. Il ne faut pas avoir un égo plus grand que le portefeuille. ""Kurt Cobain avait dit qu'il faut mieux aller dans le système qu’aller contre. Je travaille tous les jours à faire quelque chose dont je dois me séparer. "POUR ALLER PLUS LOINhttps://www.businessoffashion.com/articles/news-analysis/maison-kitsune-targets-100-million-in-sales-expansion-plan-paris


179 - [REDIFF] Delphine Plisson (Maison Plisson) – Je pense qu’un bon bouche-à-oreille vaut beaucoup plus que n’importe quelles campagnes de publicités.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Delphine Plisson, elle est la fondatrice de Maison Plisson. Dans cet épisode, Delphine nous parle de son parcours dans la mode, de l’importance du voyage, de création de la Maison Plisson, de la grande distribution, de la création de Petit Plisson et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Delphine, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Je suis profondément convaincue qu’un des trucs qu’on peut le mieux réussir dans sa vie, c’est de se contenter de ce qu’on est, au sens noble du terme. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Ses études, son travail d’hôtesse de l’air et ses stages à New York dans une galerie d’art.Son voyage en Inde et son travail chez Agnès B pendant 6 ans.Son travail chez Yves Saint Laurent et la générosité omniprésente au travail.Sa rencontre avec Peter Lindbergh et son travail pour lui pendant un an.Son travail de levée de fonds chez Antik Batik, sa rencontre avec Ingie Chalhoub.Son poste de directrice générale de Claudie Pierlot et la création d’un pôle de communication et de marketing chez Sandro pendant 5 ans.La grande distribution et la mal bouffe.La création de la Maison Plisson. La vision Maison Plisson et le projet Petit Plisson.Les réseaux sociaux qu’elle gère elle-même, sa stratégie d’acquisition, l’importance du bouche-à-oreille. « Monsieur Saint Laurent m’a dit une phrase que j’ai retenu toute ma vie et que j’essaye vraiment d’appliquer : « Les gens intelligents sont toujours gentils », ce n’était pas d’une humilité absolue mais c’était vrai. » Références :Maison Plisson https://www.lamaisonplisson.com/fr_FR/Agnès B https://www.agnesb.euPeter Lindbergh http://peterlindbergh.foundationSophie Duruflé https://www.linkedin.com/in/sophie-duruflé-b5910838/?originalSubdomain=frGabriela Cortese https://fr.antikbatik.com/gabriella-corteseÉpisode Frédéric Biousse https://podcasts.apple.com/ca/podcast/102-frédéric-biousse-experienced-capital-on-peut-faire/id1300541489?i=1000448127601Ingie Chalhoub https://www.lepoint.fr/art-de-vivre/ingie-chalhoub-l-etoile-de-la-mode-a-la-francaise-12-06-2017-2134584_4.phpClaudie Pierlot https://fr.claudiepierlot.comSMCP https://www.smcp.com/fr/Leftlovers https://l-overs.fr/lovers-manifesto/Leftover - pull over http://www.pullover.com/about-us/basic-wooljersey-jumperAlexandre Bompard https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Bompard


171 - #177—Charlotte Gomez de Orozco— Fondatrice de l’Hôtel HOY Paris — Le concept hôtelier innovant qui renouvelle l’expérience client
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Charlotte Gomez de Orozco. Elle est la fondatrice de l’hôtel HOY, un établissement dans le 9e arrondissement de Paris où cohabitent hébergement, restaurant, cours de Yoga, salle de soins et même fleuriste.
Charlotte a grandi dans une famille où l’hôtellerie et la restauration sont des métiers de passion. Avec un regard novateur, elle a fondé depuis peu House Of Yoga, une combinaison entre l’hôtellerie et le yoga qui offre une véritable déconnexion au coeur de la ville.
Sa vision d’un art de vivre total lui permet d’insuffler ses valeurs autour de la pleine conscience, l’éco-responsabilité et le bien-être.
Dans cet épisode, Charlotte nous parle des débuts de son hôtel juste avant la crise, de sa volonté de sensibiliser sur la consommation et de comment elle a réinventé l’expérience hôtelière.
« J’ai voulu changer des codes de l’hôtellerie classique parce que j’ai réalisé que les étoiles étaient le cinquième critère que les gens regardaient quand ils réservaient. »
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode:
Le parcours de Charlotte
Ses inspirations dans l’hôtellerie
Les étapes pour fonder un hôtel
Comment rentabiliser son business dans l’hôtellerie
Les valeurs de HOY Paris
Ses premiers clients
Le Yield Management
Sa stratégie de communication
Comment rendre attractif un nouveau concept
Comment devenir une institution
Les talks organisés par HOY
L’importance de garder le lien avec ses clients
Ses ambitions
Affronter la crise en étant hotelier
Ses concurrents
Sa journée type
« J’ai envie qu’on arrête d’être dans cette société de surconsommation parce que c’est la norme. Quand tu viens, prends conscience de ce que tu manges, de ce que tu mets sur toi. Prends conscience de ce que tu dépenses et fais des choix. »
« Un vrai bon yielder c’est quelqu’un qui connait bien son produit et qui n’a pas peur de le vendre. Quand on est sûr de son produit, on arrive à être beaucoup plus sûr du prix qu’on lance. »
« Les petites choses faites différemment peuvent tout changer. »
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Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !
Références:
L’hôtel HOY Paris : https://www.hoyparis.com
Bar le Gisou : https://www.legisou.com
Studio de Yoga Yuj : https://www.yuj.fr
À propos du Yield Management : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yield_management
David Giroire Communication : http://www.davidgiroire.com
La maison du Zéro Déchet : https://lamaisonduzerodechet.org


176 - #176 — Bildung — Indépendance, revalorisation des indépendants, intelligence économique et entrepreneuriat dans les industries créatives
Cette semaine, nous partons à la rencontre d’Isabelle Moisy-Cobti, Simon Descamps, fondateurs de Bildung et leur associé Antoine Soubrier. Dans un contexte de transformation des modes de travail, Bildung répond avec pertinence aux besoins des indépendants. Ils ont créé un modèle novateur qui accompagne et valorise les talents créatifs mais aussi les marques. Leur vision se résume à un kaléidoscope d’activités : des missions de conseils artistiques, en stratégie, communication, finance et entrepreneuriat, sans compter leur organisme de formation Bildung Learning & Development. Déterminés à réinventer l’approche de l’accompagnement des créatifs, leur expertise dans leurs domaines respectifs en graphisme, publicité et médias a aujourd’hui fait ses preuves.Isabelle, Simon et Antoine parlent de leur philosophie de travail, leurs stratégies d’acquisition et de prix et de leurs multiples projets créatifs.Un épisode riche en conseils et en clés essentielles de développement et d’autonomie. En somme, une véritable école de la vie (professionnelle).« On est obligés d’avoir une démarche entrepreneuriale pour être reconnu. Il faut communiquer, se développer, aller rencontrer des gens, prospecter et penser qu’on doit faire tout un panel d’activités autour de la création pour lesquelles on n’a pas forcément été formés. On pense qu’en se formant, on peut se développer. » Simon DescampsCe que vous allez apprendre dans cet épisode: Isabelle, Simon et Antoine se présententLa genèse de BildungL’accompagnement des artistesLes best practices pour bien mener sa carrière d’indépendantLa culture artistique en FranceLeurs activités principalesLeurs clientsLeur stratégie d’acquisitionLa stratégie tarifaireCe qu’ils aiment le plus faireLa structuration de la stratégie d’acquisitionLa vision de Bildung au long termeComment déterminer le prix de sa création ?Les KPI’s qu’ils regardentComment le monde des industries créatives a évolué L’optimisme dans un contexte de criseL’organisation interneAllier vie privée et vie professionnelleLes prochains projets éditoriauxCe qu’ils feraient différemment « Il y a une évolution sociétale forte, de toute façon il va y avoir de plus en plus de freelance. Il y a une déliquescence du marché de l’emploi, donc autant se former pour s’en sortir. Une démarche entrepreneuriale même pour un profil indépendant de la création, elle est importante. » Simon Descamps« Les marques de mode vont être obligées de ramener du sens dans ce qu’elles font. On travaille aussi avec des grands groupes et ils sont tous en train de réfléchir à leur raison d’être. C’est phénoménal, que ce soit de façon cynique ou de façon pragmatique, ça les oblige à réfléchir et à être engagés. Tout le monde va être obligé de donner du sens à sa marque. » Antoine Soubrier« On a longtemps pensé que les écoles étaient un haut lieu de recherche et d’expérimentation de la création et pas plus. Les étudiants sortent de là, ils sont les meilleurs de leur pratique créative et ils vont sur le marché. Mais qu’est-ce qu’il se passe après ? Il faut bien qu’ils soient préparés à pouvoir être professionnels sur le marché. » Isabelle Moisy-Cobti« La mission qu’on s’est donnée, c’est de valoriser la création indépendante. Quand on a une vision et qu’on se donne une mission, après, tout ce qu’on fait stratégiquement doit répondre à ce filtre et ça devient beaucoup plus simple. » Simon Descamps N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Bildung : https://www.bildung.fr Leur instagram : https://www.instagram.com/b_i_l_d_u_n_g/ Antoine Roux : https://www.instagram.com/_antoineroux/ Tristan Bagot : https://www.instagram.com/tristan.jpeg/ Objection Magazine : https://www.instagram.com/objectionmagazine/ Tools Magazine : http://www.tools-magazine.org Usage Magazine : https://usagemagazine.bigcartel.com


175 - #175 — Héloïse Brion— Auteure culinaire et fondatrice de Miss Maggie’s Kitchen — Développer une signature et un style authentique autour de de sa passion
Dans ce nouvel épisode, je reçois Héloïse Brion, elle est auteure culinaire mais vous devez sûrement la connaître sous le nom de Miss Maggie’s Kitchen. Après une carrière dense dans la mode et la communication, elle trouve sa réelle passion dans la cuisine. Sa maison de campagne en Normandie lui inspire tout un univers autour de l’art culinaire et c’est par un simple journal de recettes qu’elle envoie à ses proches que Miss Maggie’s Kitchen est née. Dans cette bulle créative, elle concocte et met en scène ses inventions culinaires avec son mari photographe. Elle développe une signature personnelle d’où émane convivialité, partage et authenticité. Un style qui lui vaut aujourd’hui de beaux projets d’édition et de collaboration avec des marques et des magazines. En toute spontanéité, Héloïse nous parle d’équilibre de vie, de déconnexion et de comment elle a monté son activité.« Aujourd’hui il y a beaucoup de métiers où on pianote, on double clique, mais on ne créé plus et on n’a plus le produit fini entre nos mains. On se déconnecte avec son être. Pour moi, le fait de remettre les mains dans la pâte, ça m’a aidé à me recentrer et à ressentir les choses de nouveau. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’HéloïseSa carrière dans la modeLe déclic qui l’a fait changé de capLes débuts de Miss Maggie’s KitchenSes futurs projetsL’univers de Miss Maggie’s KitchenComment elle garde son authenticitéLe modèle économiqueComment elle définit son styleSon organisation de vie en dehors de ParisSon avis sur la concurrenceSes inspirationsComment elle se déconnecteSensibiliser sur les troubles du comportement alimentaireL’équilibre entre le travail et la vie de famille« C’est comme si tout d’un coup, les pièces du puzzle se mettaient naturellement. C’est vrai que pour Miss Maggie tout a été très spontané, je ne l’ai jamais pensé. Je n’ai pas de stratégie, je fais confiance à mon instinct et aux choses que j’ai envie de créer. » « On est très impatients, on veut tout, tout de suite. Je pense que le fait de couper son téléphone, d’aller marcher dans la nature et de respirer, les choses viennent naturellement. Il faut laisser le temps au temps. » « On ne perd pas de temps à faire des expériences. Laissez le temps murir, ne soyez pas trop pressé. Parce que finalement on apprend énormément de choses. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Le site Miss Maggie’s Kitchen : https://www.missmaggieskitchen.com L’instagram d’Héloïse : https://www.instagram.com/missmaggieskitchen/ Martha Stewart : https://www.instagram.com/marthastewart/ Teinture végétale Whole : https://whole.fr


174 - #174 — Mathilde Lacombe— Co-fondatrice de Aime Skincare (ex fondatrice de BirchBox) —Une deuxième aventure entrepreneuriale à succès
Dans ce nouvel épisode, je reçois Mathilde Lacombe, elle est la co-fondatrice de Aime, une marque de cosmétique qui propose une nouvelle approche de la beauté. Cette nouvelle aventure, elle la mène avec son associé François Morrier. Tous deux ont contribué pendant 8 ans à la réussite BirchBox France. Ils en retiennent une adrénaline entrepreneuriale qui les a conduit à se renouveler. Avec l’envie de revenir à l’essentiel et à une vision plus globale de la beauté, Aime Skincare répond avant tout à un besoin personnel de se recentrer sur son bien-être par le biais de compléments alimentaires. Un produit qui révolutionne le marché et que le duo d’entrepreneurs accompagnent d’une expérience totale : exercices holistiques, rituels et soins font partie intégrante du storytelling de la marque. Mathilde partage sa sérénité et son approche optimiste de la vie. Elle nous parle de ses débuts de pigiste au magazine Elle, de son parcours entrepreneurial et de l’équilibre entre la création et le marketing.« Cette marque, je l’ai tellement rêvée que lorsque je l’ai eue devant les yeux je me suis dit : c’est une évidence. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de MathildeSon obsession pour le milieu de la beautéComment elle trouve du temps pour s’inspirer Comment ne pas devenir esclave de sa boîteTrouver un équilibre entre l’entreprise familiale et les ambitions Son expérience de pigiste au ElleSa volonté d’entreprendreComment elle garde sa sérénité au quotidienLes milestones de BirchBox/JoliBoxLe juste milieu entre un profil créatif et marketing Le déclic qui l’a faite quitter BirchBox Les débuts de AimeLa plus value de sa marqueLe storytelling et la pédagogie autour du produitComment elle a organisé le lancementLe modèle économique, l’acquisitionLa structure interne et le recrutementLe retail et l’expérience clientLa dimension médical, un sujet sensible en France Comment elle s’organise dans sa vie professionnelle et personnelleSa vision pour Aime « Les créatifs ont quelque chose en plus qu’un fond d’investissement ou que quelqu’un qui sort d’une école de commerce n’ont pas. C’est ce pouvoir d’intuition et de créativité qui donne de la valeur à une marque. » « Je pense qu’au fond de moi, j’ai toujours été quelqu’un de volontaire et déterminée, avec ce besoin de me fixer des objectifs. J’ai toujours eu envie d’avoir une vie heureuse et de me faire plaisir »« La force des marques qui réussissent, ça reste l’intuition des personnes qui sont derrière pour en faire des bons produits. Le fait de mettre une grosse équipe et beaucoup d’argent ce n’est pas forcément ça qui va faire un succès. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:Aime : https://aime.co/fr/ @mathildelacombe : https://www.instagram.com/mathildelacombe/ @aimeskincare : https://www.instagram.com/aimeskincare/


175 - #173 —Louise Aubery— Créatrice de contenu (@mybetterself) et fondatrice de Je Ne Sais Quoi (lingerie sustainable et inclusive) — Une vie d’étudiante exaltée par des projets entrepreneuriaux
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Louise Aubery alias My Better Self, elle est créatrice de contenu média. À seulement 23 ans, elle alterne entre les bancs de Sciences Po et ses projets entrepreneuriaux. Tout commence par son compte Instagram sur lequel elle s’exprime sur le Body Positivism, la mode et le lifestyle.Avec une envie grandissante d’apprendre et d’échanger, elle crée en plus de ses réseaux sociaux le podcast In Power. Une voix percutante pour sa génération qu’elle utilise pour véhiculer et partager des valeurs positives sur l’acceptation de soi.La diversification de son contenu lui permet de toucher une large communauté qui la suit aujourd’hui dans sa création de marque de lingerie responsable et inclusive.Dans cet épisode, Louise nous partage son énergie débordante qui lui permet de jongler entre sa vie d’étudiante et d'entrepreneure. Découvrez les coulisses de sa marque, son organisation et sa vision des réseaux sociaux.« La grande chance que j’ai eue, c’est d’avoir créé tout ça quand j’étais étudiante. Je n’avais pas besoin d’argent, c’est venu après mais je n’avais pas cette contrainte. Pour moi si tu fais ce que tu aimes et que tu apportes de la valeur, ça marche. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de LouiseLes débuts de ses réseaux sociaux et son audienceSon avis sur Sciences PoSa vision de l’épanouissement personnelSon business modelLa marque Je Ne Sais QuoiSa stratégie de communicationSe lancer dans la lingerie éthique et inclusiveLa co-création par le feedbackLe positionnement Le brandingLa gestion du projetSa vision pour le futurCe qu’elle ferait différemmentSon organisation L’alimentation, la confiance en soi : facteurs d’épanouissement personnel« J’avais envie de partager avec des gens qui avaient les mêmes centres d’intérêts que moi, c’est un peu la beauté des réseaux. »« J’ai perdu trop de temps et d’énergie à essayer de changer mon apparence physique, alors que j’ai réalisé que ce n’est pas du tout ça qui me rendrait heureuse ou qui me donnerait confiance en moi. J’ai commencé à m’accomplir à travers mes projets. »« Rien n’est immuable. Tu peux tout changer. Si tu fais un truc et que ça ne te plaît pas, tu peux totalement bifurquer. Ce n’est pas grave tu n’as pas perdu du temps, tu as vécu. Et de chaque période de vie tu retires des enseignements. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:Son compte Instagram : https://www.instagram.com/mybetterself/ Son podcast In Power :https://open.spotify.com/show/3opdiAI6ViHZm1odnEdl9q https://www.instagram.com/inpowerpodcast/ Sa marque Je Ne Sais Quoi : https://www.instagram.com/jenesaisquoioff/ Girlz in Biz sur Instagram : https://www.instagram.com/girlzinbiz/ Seven Mind : https://www.7mind.de/fr/about


173 - #173 —Louise Aubery— Créatrice de contenu (@mybetterself) et fondatrice de Je Ne Sais Quoi (lingerie sustainable et inclusive) — Une vie d’étudiante exaltée par des projets entrepreneuriaux
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Louise Aubery alias My Better Self, elle est créatrice de contenu média. À seulement 23 ans, elle alterne entre les bancs de Sciences Po et ses projets entrepreneuriaux. Tout commence par son compte Instagram sur lequel elle s’exprime sur le Body Positivism, la mode et le lifestyle.Avec une envie grandissante d’apprendre et d’échanger, elle crée en plus de ses réseaux sociaux le podcast In Power. Une voix percutante pour sa génération qu’elle utilise pour véhiculer et partager des valeurs positives sur l’acceptation de soi.La diversification de son contenu lui permet de toucher une large communauté qui la suit aujourd’hui dans sa création de marque de lingerie responsable et inclusive.Dans cet épisode, Louise nous partage son énergie débordante qui lui permet de jongler entre sa vie d’étudiante et d'entrepreneure. Découvrez les coulisses de sa marque, son organisation et sa vision des réseaux sociaux.« La grande chance que j’ai eue, c’est d’avoir créé tout ça quand j’étais étudiante. Je n’avais pas besoin d’argent, c’est venu après mais je n’avais pas cette contrainte. Pour moi si tu fais ce que tu aimes et que tu apportes de la valeur, ça marche. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de LouiseLes débuts de ses réseaux sociaux et son audienceSon avis sur Sciences PoSa vision de l’épanouissement personnelSon business modelLa marque Je Ne Sais QuoiSa stratégie de communicationSe lancer dans la lingerie éthique et inclusiveLa co-création par le feedbackLe positionnement Le brandingLa gestion du projetSa vision pour le futurCe qu’elle ferait différemmentSon organisation L’alimentation, la confiance en soi : facteurs d’épanouissement personnel« J’avais envie de partager avec des gens qui avaient les mêmes centres d’intérêts que moi, c’est un peu la beauté des réseaux. »« J’ai perdu trop de temps et d’énergie à essayer de changer mon apparence physique, alors que j’ai réalisé que ce n’est pas du tout ça qui me rendrait heureuse ou qui me donnerait confiance en moi. J’ai commencé à m’accomplir à travers mes projets. »« Rien n’est immuable. Tu peux tout changer. Si tu fais un truc et que ça ne te plaît pas, tu peux totalement bifurquer. Ce n’est pas grave tu n’as pas perdu du temps, tu as vécu. Et de chaque période de vie tu retires des enseignements. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:Son compte Instagram : https://www.instagram.com/mybetterself/ Son podcast In Power :https://open.spotify.com/show/3opdiAI6ViHZm1odnEdl9q https://www.instagram.com/inpowerpodcast/ Sa marque Je Ne Sais Quoi : https://www.instagram.com/jenesaisquoioff/ Girlz in Biz sur Instagram : https://www.instagram.com/girlzinbiz/ Seven Mind : https://www.7mind.de/fr/about


172 - #172 — Alexandre Thumerelle — Co-fondateur de la librairie et galerie Ofr. Paris — La plus grande des richesses créatives se trouve dans l’indépendance
Dans ce nouvel épisode, Alexandre Thumerelle nous ouvre les portes de sa librairie. Il est le co-fondateur avec sa sœur Marie de cet espace inédit en plein cœur du Marais. Véritable lieu de rencontres artistiques, Ofr. Paris ne se limite pas qu’à une librairie, c’est aussi une galerie, un studio d’édition et depuis peu, une production de films. C’est entre la boutique au charme singulier et leur grand studio que naissent les projets autour desquels ils fédèrent les talents de la scène contemporaine.Connue des habitués du quartier et les amateurs d’art, cette librairie pas si secrète est une mine d’or pourvue de magazines et de livres sur le design et la mode. Une sélection pointue qu’il n’a pas hésité à exporter dans certaines capitales étrangères.Avec Alexandre, on a parlé des rencontres d’artistes, des modèles économiques des magazines, du digital et de la liberté d’expression dans les médias. Il a fait de son indépendance sa plus grande richesse au quotidien. À l’heure où la place des librairies est questionnée, Alexandre nous livre un discours honnête sur la diffusion de l’art et la culture.« Les objets restent, ils se relisent, ils se consomment d’une autre manière. J’aime bien le moment de lecture. Ce que je préfère, c’est de voir un magazine sur papier, de le lire à mon rythme et de le regarder comme je veux. Il n’y a pas la déconcentration que l’on peut avoir quand on lit depuis un écran. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Alexandre se présenteLa genèse d’Ofr.Le studio d’édition Ofr. et ses activitésSa ligne éditorialeSes premiers pas dans l’édition Qu’est-ce qui fait un bon magazineLe modèle économique d’un magazine La diffusionL’équilibre entre digital et impriméSon avis sur la modeÊtre un libraire indépendantSes futurs projets« On est les plus riches et les plus libres. On a très peu d’argent mais on a tout l’espace que l’on veut et on fait ce que l’on veut. C’est une liberté qui est rare. »« Une ville sans mode, c’est une ville sans libido et sans personnalité. La mode permet de s’affirmer dans un style et dans une sexualité. C’est un geste qui est poétique. On pourrait juste être sapé comme on en a envie et ça suffirait. »« Tu peux aller loin dans tes envies et dans tes voyages. Tu peux rêver beaucoup plus loin quand tu sais que tout est possible. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: L’actualité d’Ofr. Paris sur Instagram : https://www.instagram.com/ofrparis/Julien Colombier : https://www.instagram.com/juliencolombier/ Ilk : https://www.instagram.com/ilkflottante/ Plethora Magazine : http://www.plethoramag.com Apartamento Magazine : https://www.apartamentomagazine.com Self Service Magazine : https://selfservicemagazine.com Marie Chaix : https://www.instagram.com/_mariechaix_/


171 - #171 —Clémentine Larroumet & Antoine Ricardou cofondateurs des studios Be-Poles— Comprendre l’art du storytelling
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Clémentine Larroumet et Antoine Ricardou les cofondateurs des studios Be-Poles. Ces deux passionnés de l’art et du design se retrouvent à la sortie de leurs études pour créer ce qu’ils appellent un « laboratoire créatif ». Pour eux, la création se définit au pluriel : de l’édition, au design, en passant par l’architecture et au branding, ils sont de réels scénaristes du quotidien. Une maîtrise de l’identité visuelle et un dévouement pour leur travail qui leur permettent de travailler sur une grande diversité de projets. Parmi leurs clients, ils comptent La Maison Plisson, NoMad Hotel, Merci et Cyril Lignac. Ils sont guidés par l’envie de créer et aujourd’hui ils partagent cette énergie entre Paris et New York. Dans cet épisode, Clémentine et Antoine s’expriment sur leur vision de l’identité de marque, sur leur approche au business et sur les projections pour le futur de Be-Poles.« Je crois profondément qu’il faut faire ce que l’on aime. Il faut avoir une envie de délivrer ce que tu veux revendiquer. » Antoine Ricardou Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Clémentine et Antoine se présententLe studio Be-PolesLes milestones de l’entrepriseLeur rencontre avec Pierre BergéLa vision du studio à l’époqueComment garder l’équilibre en grandissantLeurs projets et comment ils se différencientLeur définition d’une marqueComment ils travaillent avec les marquesLeurs projectionsLeur role modelsLa création comme source de plaisirLa gestion de projetL’ADN du studioLe travail de l’archiveLeurs bureaux à New YorkLeur position face au contexte actuelLes projets remarquablesQu’est-ce qu’il se diraient à 20ans« Ce qui est génial, c’est que les clients qui nous suivent sont très exigeants. On s’allie ensemble pour faire des projets très forts. » Clémentine Larroumet « À quoi ça sert de se réunir ? Si c’est pour bosser derrière ton Mac, tu peux le faire à distance. Se réunir, c’est pour créer cet état de workshop qui est vraiment important pour nous. » Antoine Ricardou« Aujourd’hui tout le monde regarde dans une même direction à cause des réseaux sociaux. C’est dangereux parce qu’on s’inspire de la même chose. Nous, à travers un voyage ou un weekend, on dessine, on ramasse des choses et on se nourrit de références différentes. » Clémentine LarroumetN’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Be-Poles : https://be-poles.com @bepoles : https://www.instagram.com/bepoles/ Le Barn Hotel : https://lebarnhotel.com The Family Coppola : https://www.thefamilycoppola.com https://www.thefamilycoppolahideaways.com NoMad Hotel : https://www.thenomadhotel.com Stefan Sagmeister : https://sagmeisterwalsh.com


45 - Week 45 — Viviane Lipskier — News & Analysis — Élections américaines 2020 : l'activisme des entreprises est-il le nouveau graal du marketing ?
Aujourd’hui avec Viviane Lipskier, on s’intéresse aux élections américaines de 2020 et à l’engagement politique des entreprises. Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».C’est dans un contexte particulier que se joue cette élection : le pays fait face à une succession de crises sociale, économique et aujourd’hui sanitaire. S’ajoute à cela une extrême polarisation des opinions. L’engagement démocratique fait donc l’objet d’une attention particulière où tous les acteurs de la société prennent part à cette prise de parole. Une élection aux répercussions mondiales qui ne peut être omise par les entreprises, et qui nous amène donc à se demander à quel niveau s’engagent-elles ?Viviane décrypte pour nous les nouvelles façons d’inciter au vote. Que ce soit auprès des collaborateurs ou des consommateurs, l’activisme des entreprises évolue en vue de s’accommoder aux enjeux marketing.« Il y a des outils qui dépassent l’aspect politique et qui vont appeler à un vote éthique pour faire prendre conscience de la manière dont tu peux être un activiste du porte monnaie. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le système électoral et ses particularitésLes marques ont trouvé une nouvelle façon de s’insérer dans la démocratieUne nouvelle vague d’activisme soutenue par des outils d’un genre nouveau Les enjeux du vote, quelles leçons peut-on retenir ?« Les entreprises américaines et les influenceurs incitent à voter. Les collaborateurs le demandent. Ils ont été engagés sur un certain nombre de valeurs et ils attendent de leur Direction Générale qu’elle pèse de leur poids et qu’elle pratique ce qu’elle prêche. »« Les entreprises se sont emparées de nouvelles techniques plus ou moins marketing pour inciter au vote et faire un nouveau genre d’activisme en donnant du temps libre. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Étude sur l’engagement politique du Pew Research Center :https://www.pewresearch.org/fact-tank/2018/05/21/u-s-voter-turnout-trails-most-developed-countries/ Les droits de vote des travailleurs américains : https://www.workplacefairness.org/voting-rights-time-off-work Adore Me : https://www.adoreme.com Progressive Shopper : https://progressiveshopper.com Good Unite Us : https://www.goodsuniteus.com Influence Map :https://influencemap.org LittleSis : https://littlesis.org New York Times, L’engagement politique des startups : https://www.nytimes.com/2020/10/28/technology/politics-tech-start-ups-culture-war.html


170 - #170 — Franklin Azzi— Architecte et designer — Une profession d’équilibre entre le coeur et la raison
Dans ce nouvel épisode, Franklin Azzi nous ouvre les portes de son agence d’architecture et de design. C’est un première dans le podcast et vous ne serez pas déçus ! Il a fondé son agence éponyme qui lui permet de travailler sur des projets à différentes échelles. De l’objet de design à la réhabilitation de bâtiments, il compte aussi parmi ses clients des marques de mode comme Lemaire, Isabel Marant ou encore Jérôme Dreyfuss.Ses expériences dans l’architecture ont donné le ton à son travail qui se situe entre un pragmatisme et une envie créative. Soucieux du futur de sa profession, il engage une vraie réflexion autour de la durabilité et sur la responsabilité des architectes.Avec Franklin, on a parlé de son processus créatif, de ses engagements dans l’art contemporain, et de sa philosophie sur l’espace et le temps.« La plus grande créativité, elle finit par venir de la grande connaissance technique. Quand on a réussi à s’affranchir de ces problématiques variées, diverses et complexes, là on a un champ de libertés qui commence à s’ouvrir. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de Franklin Son approche à l’architecture Son rapport au temps et au travailLa construction d’un projet entrepreneurial dans l’architectureCe qui différencie son agence des autresSes clientsLe processus de travail Les enjeux de l’architecture Les matériaux durables et la question du recyclageConstruire son équipeLa culture d’entreprise et le métier d’architecteSes référencesL’importance de la médiatisation pour une agence d’architectureDévelopper de bonnes relations avec ses clientsSes projectionsSon fond de dotation et sa passion pour l’artL’activité de l’agence à l’étrangerFinancer la responsabilité environnementale dans l’architectureCe qu’il ferait différemmentSa journée type et son équilibre de vie« Une réhabilitation de bâtiment, c’est un peu comme l’analyse du corps humain. C’est comme un médecin qui pourrait faire un scanner sur un bâtiment. Je me rends compte que les parallèles sont très fréquents et que l’architecture est une forme de médecine. »« On a un siècle devant nous si on devait recycler tout ce qu’on a devant nos yeux. Je considère le recyclage comme une banque de matériaux. Ce n’est pas encore rentré dans les moeurs. »« J’aime mélanger les époques, j’aime mélanger les courants. On a un peu une génération de sampling. On se nourrit de beaucoup de choses et c’est dans l’hybridation de toutes ces périodes que l’on va trouver une voie nouvelle. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: L’agence de Franklin Azzi : http://www.franklinazzi.frLe fond de dotation http://www.franklinazzi.fr/dotations Leur instagram : https://www.instagram.com/franklinazzi/ Architecture Studio : https://architecturestudio.fr Thomas Mailaender : http://www.thomasmailaender.com Bureau de Presse David Giroire : http://www.davidgiroire.com


169 - #169 — Carole Benaroya & Stéphanie Eriksson — Fondatrices de KUJTEN — Tout savoir sur le cachemire, cette matière précieuse au coeur des collections Kujten
Dans ce nouvel épisode, je reçois Carole Benaroya et Stéphanie Eriksson, les fondatrices de Kujten, une marque de cachemire. Amies de longue date, elle se retrouvent pour fonder un nouveau projet sur leur passion commune: la mode. À l’époque Carole travaille dans la finance, et Stéphanie est directrice de collection maille chez Joseph. Elles lient amitié et expertise et tombent sous le charme d’une matière précieuse: le cachemire. À deux, elles sont parties de zéro et ont construit un solide business model qui compte aujourd’hui plusieurs points de vente en France comme à l’étranger.Elles nous parlent du savoir-faire en Mongolie, de leur gage de responsabilité mais surtout, de leur nouvelle façon de voir le cachemire. « Nos deux backgrounds sont extrêmement complémentaires et c’est ce qui fait qu’aujourd’hui on en arrive à ce résultat. Il y a un échange, une confiance et une vraie expertise des deux côtés. » Stéphanie Eriksson Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de Carole et Stéphanie Les débuts de KujtenOù elles sourcent leur cachemireLes particularités du cachemireChoisir un nom de marque et les premiers points de venteComment renouveler l’achat d’un produit durableLeur stratégie en retail et wholesaleLeur pédagogie autour du produitL’évolution de la cliente KujtenLa responsabilité chez KujtenComment elles font de l’acquisitionLeur vision à long terme pour la marqueLa structure interne de l’entrepriseComment financer ses boutiquesInvestir sur le contenu digitalL’amitié et l’entrepreneuriatConcilier une vie de famille et une vie professionnelleLa saisonnalité« Nos amies sont vraiment nos ambassadrices. Le bouche à oreille est parti de là, de notre réseau de copines parce qu’on avait pas les moyens de communiquer. » Carole Benaroya« J’observe énormément. Ça peut être à la terrasse d’un café, je m’assois et je vois de vrais défilés, c’est assez intéressant. » Stéphanie Eriksson« L’entretien est complètement corrélé à la responsabilité. Une cliente qui va avoir un accident sur son pull, si elle revient chez nous on va lui apprendre comment l’entretenir pour qu’il soit durable et qu’elle le garde très longtemps dans son vestiaire. » Stéphanie Eriksson« Le contenu c’est la clé. Ce sont de gros investissements. On s’est rendues compte qu’il fallait être accompagnées par des professionnels. » Carole BenaroyaAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: https://www.kujten.com


168 - #168 —Sophie Hersan— Co-fondatrice et Directrice de la mode responsable de Vestiaire Collective — La plus grande garde-robe du monde
Cette semaine, je reçois Sophie Hersan. Elle est la co-fondatrice et directrice de la mode de Vestiaire Collective, la plateforme incontournable de la seconde main dans la mode et le luxe. Sophie fait ses débuts dans la mode entre la presse et la création mais c’est avec ses amis et un constat alarmant qu’elle décide de lancer son entreprise.Ils sont six amis, six passionnés et avec leur expertise, ils fédèrent une communauté devenue aujourd’hui internationale. Avec eux, Sophie a inventé un nouveau modèle économique circulaire et a instauré un changement profond dans l’industrie de la mode.Pionnière sur le marché, elle contribue aussi à la transformation du secteur en échangeant avec les marques et les institutions. Dans cet épisode, elle nous parle de sa vision de la communauté, de l’alliance entre mode et technologie mais surtout, elle soulève de nombreux questionnements autour du style et des habitudes de consommation.« On a toujours été un peu anti-tendances puisque c’est le style versus la mode. On ne suit pas les tendances mais on redonne vie à des articles qui étaient oubliés. C’est ce que cherche le consommateur : à personnifier son style plutôt que de suivre une mode. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de SophieSes premières expériences dans la modeLes rencontres qui mènent au déclicLes débuts de Vestiaire CollectiveL’installation des locaux et la gestion du stockageLes valeurs fondatricesLa question du style et la ligne éditorialeLa recherche d’investisseursComment fédérer une communauté Le rôle de Sophie et ses évolutionsComment elle a changé l’offre dans l’industrie de la modeSes engagements pour faire évoluer la modeLa structure interneCe qu’elle ferait différemment Le modèle de circularité et ses enjeuxLe brandingL’équilibre entre sa vie professionnelle et personnelleSes références culturelles« La transmission c’est important, je l’ai appris de la mode. Quand tu vois la création depuis 60 ans, tout est une histoire de transmission. Je pense que c’est important de continuer et pour moi, transmettre, ça m’enrichit. »« On était convaincus qu’on allait changer le monde. On est tous nés de cette même réflexion : c’était la fin d’une ère et il fallait dire stop au gaspillage. Quand on consomme même pas 40% de sa garde-robe, ça veut dire que 60% c’est du gaspillage. Il fallait que ça s’arrête. » « Rejoindre un mouvement responsable aujourd’hui, c’est rejoindre une communauté d’activistes. Quand on achète et qu’on vend de la seconde main, on adhère à des valeurs en étant soucieux des impacts environnementaux et sociaux. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Vestiaire Collective : https://fr.vestiairecollective.com Paris Good Fashion - Convention citoyenne pour une mode plus responsable: https://parisgoodfashion.fr/fr/ Re-fashion (campagne #RRR) : https://refashion.fr/citoyen/fr? On The Wild Side Cosmetics : https://onthewildsidecosmetics.com


41 - Week 41 — News & Analysis — Construire un capital de marque ou une crédibilité culturelle (Avec Viviane Lipskier)
Dans ce nouvel épisode de News & Analysis, je retrouve Viviane Lipskier pour parler du capital de marque ou comment se créer une crédibilité culturelle.Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».On décrypte le phénomène de Bland Brands (ou Blands) inventé par Thierry Brunfaut, qui désigne les nouvelles marques aux esthétiques similaires et s’inscrivent dans un paysage économique saturé. Elles adoptent toutes un branding fade en vue de réitérer un succès, mais très vite se pose la question de la différenciation.De ce constat, Viviane nous explique l’enjeu primordial de la construction d’un capital culturel pour une marque. Dans un monde plus que jamais en quête de sens, elle analyse les clés essentielles pour établir une identité de marque pertinente afin d’être un leader d’opinion et non plus un suiveur. « Une marque, c’est le reflet d’une vision du monde dont on est porteur. On ne peut plus faire une marque de produits, aujourd’hui ça n’existe plus. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le phénomène Blands décrypté, ses esthétiques et à qui il s’applique La crédibilité culturelle et l’identité du patrimoine culturelleÊtre culturellement crédible rend une marque désirableLes marques à succès ne parlent plus à leur public, mais plutôt à travers lui. « Le succès ne se trouve pas dans une recette qu’on peut dupliquer et adapter à son projet, il faut vraiment être unique et creuser son chemin en reflétant une personnalité unique. Si on regarde bien les marques qui réussissent à long terme, ce sont celles qui ont réussi à construire ces fondations-là, qui se concentrent vraiment sur une identification à leur client et qui ont une singularité d’identité qui correspond à la culture du fondateur. »« Si tu créés une identité de marque à l’emporte-pièce dans les premières années, en réalité tu n’acquiers pas ce qu’on appelle la crédibilité culturelle. C’est-à-dire que tu ne participes pas à créer une culture en tant que leader, mais tu restes un suiveur. »« Le succès, c’est construire un état d’esprit spécifique plutôt que de s’adresser à un groupe démographique. » N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Article HighSnobiety : https://www.highsnobiety.com/p/cultural-credibility-brands/ Étude HighSnobiety par Christopher Morency: https://www.highsnobiety.com/p/boston-consulting-group-luxury-culture-whitepaper/ Article Bloomberg par Ben Schott : https://www.bloomberg.com/opinion/articles/2020-09-07/welcome-to-your-bland-new-world-of-consumer-capitalism Article Business of Fashion :https://www.businessoffashion.com/articles/professional/blands-direct-to-consumer-marketing-playbook?utm_source=daily-digest-newsletter&utm_campaign=1678792855012080&utm_term=11&utm_medium=email Article Fast Company : https://www.fastcompany.com/90276496/the-hottest-branding-trend-of-the-year-is-also-the-worst Studio Base Design : https://www.basedesign.com Le blanding par Thierry Brunfaut : https://medium.com/@ThierryBrunfaut/blanding-or-the-branding-paradox-5a457516cc0a 2PM newsletter : https://2pml.com Depop : https://www.depop.com Courbe de Rogers Capital Culturel par Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Reproduction Holiday Boileau : https://www.holiday-paris.fr/shop.php Patine : https://www.patine.fr


167 - #167 — Constance Gennari — Fondatrice et Directrice Artistique de The Socialite Family — Du média à la marque de design d’intérieur
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Constance Gennari, elle est la fondatrice et directrice artistique du média et de la marque The Socialite Family. Le concept ? The Socialite Family est né de l’envie de partager les espaces de vie des familles d’aujourd’hui. À l’origine, Constance propose du contenu éditorial autour de la décoration d’intérieur et de l’art de vivre contemporain sur son site. Elle développe par la suite sa propre marque de mobilier au gré de ses inspirations. De son poste de journaliste chez Milk Magazine, en passant par acheteuse d’art, Constance nous raconte comment elle a trouvé sa passion à travers l’univers du design d’intérieur mais surtout, dans sa quête permanente des nouveaux styles de vie familiale. Dans cet épisode, elle nous parle de ses inspirations, du sourcing dans l’industrie du mobilier et des valeurs de l’entreprise.« Quand on veut avoir sa boîte, il faut aller chercher les bonnes personnes, creuser, être sur le terrain. Je passe ma vie à chiner, à parler et aller consulter parce que j’ai besoin d’apprendre tout le temps et de comprendre. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de ConstancePourquoi elle a créé The Socialite FamilySa ligne éditoriale et ses inspirationsComment elle finance ses débutsLa rencontre avec son associéeDu blog à l’édition de mobilierLes premiers objets et la recherche de fabricantsLes labels dans le mobilierLa cliente The Socialite FamilyLe recrutement de son équipeSes ambitionsLes valeurs de l’entrepriseLes KPI’s qu’elle regardeL’expérience en boutiqueÀ quoi ressemblent ses journées« J’ai eu envie de parler de la famille moderne. J’avais eu mon premier enfant donc j’étais en plein dedans. »« J’aime bien demander à notre communauté leur avis quand on fait des lancements. J’adore les faire participer en story comme si je demandais à des amies ce qu’elles pensent d’une tenue. C’est intéressant pour affiner la production. »« Je suis obsédée par la quête de la jolie pièce, en mode comme en objet. Je passe mon temps à faire les vide greniers, les puces. J’ai beaucoup d’amis marchands qui m’apprennent énormément. En fait, j’ai une soif de comprendre, d’apprendre autant sur un vêtement que sur un meuble. »N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre dans la mode, les industries créatives et l’art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: The Socialite Family (Média) : https://www.thesocialitefamily.com/#The Socialite Family (E-Shop) : https://shop.thesocialitefamily.com/fr/ Leur instagram: https://www.instagram.com/thesocialitefamily/ The Selby : https://theselby.comGarance Doré : http://www.garancedore.fr The Sartorialist : https://www.thesartorialist.com World Of Interiors : https://www.worldofinteriors.co.ukVogue Intérieurs : https://www.vogue.com/living/homes


166 - #166 — Services Généraux (Bureau de Création) —Comment Antoine et Valentin ont inventé un business au service de leur liberté créative
Cette semaine, nous partons à la rencontre de Valentin et Antoine, co-fondateurs et directeurs artistiques de Services Généraux, un studio créatif à la croisée des domaines artistiques. C’est à la sortie de l’école et à l’issu de leurs stages que ce duo de choc est né. Ensemble, ils produisent des images, des objets, des espaces et bien plus encore. Ces services créatifs destinés à créer une narration et un univers de marque les amènent aujourd’hui à travailler pour les grands de la mode et du design. Avec leur expertise technique et créative, ils proposent une vision innovante qui leur vaut un modèle entrepreneurial très personnel et adapté à leurs envies. En toute transparence, ils nous parlent de leurs premiers projets, de la démarche des clients, d’image de marque et des budgets.Un échange d’une très grande richesse qui j’espère vous inspirera autant que moi !« Ce que j’aime dans la mode, c’est qu’elle fait intervenir de très nombreux talents dans plein de domaines: des scénographes, des graphistes, des set designers, des stylistes. En fait tout ça est un prétexte qui dépasse la qualité formelle du vêtement où sa qualité narrative. Et c’est une des industries qui met le plus de ressources intellectuelles, créatives et financières pour les arts visuels. À ce titre-là, je suis extrêmement heureux d’évoluer dans cette industrie. »AntoineCe que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’Antoine et ValentinComment ils définissent Services GénérauxLa création de Services GénérauxLeurs premiers projetsL’importance de l’image dans la modeComment ils choisissent leurs projetsComment ils qualifient leur esthétiqueLeur processus de création et de productionSavoir gérer les relations avec ses clientsLeur stratégie d’acquisitionL’accompagnement entrepreneurialLeur vision pour Services GénérauxComment ils font face à l’incertitudeLa rémunération, leurs tarifs et leur avis sur la valeur du travail Leur rythme de travailLe projet Oasis« Si on montre exactement ce qu’on aime faire, les clients nous appelleront exactement pour ça. » Valentin« Le fait qu’on soit polymorphe, bizarre et difficile à vendre, tout ça c’est au détriment d’une activité commerciale. Mais les bénéfices c’est que nos journées avec Valentin sont très variées. On peut sauter d’une image à un film, d’un film à un petit objet, d’un objet à un espace. C’est confortable et on fait les choses qu’on aime. » Antoine« On n’a pas du tout peur d’investir et de dépenser de l’argent. Je pense même qu’on a beaucoup de frais et de charges pour une entreprise de notre taille. C’est à la fois pour un développement rapide, pour un confort personnel qui se répercutent sur la productivité, la capacité à être créatif. » Antoine « Il n’y a rien de méritocrate là-dedans. Tout ça c’est 1% de talent, 9% de travail et 90% de chance. » AntoineSi vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Pour en savoir plus sur Services Généraux : https://generaux.services Leur instagram : https://www.instagram.com/servicesgeneraux/ Willo Perron : https://www.willoperron.com Bildung : https://www.bildung.fr David Giroire : http://www.davidgiroire.com


165 - #165 — Alice Gras — Fondatrice de Hall Couture (résidence et atelier partagé)— Accompagner et soutenir la création avec conviction
Cette semaine, nous allons à la rencontre d’Alice Gras, fondatrice de Hall Couture, un espace de travail partagé dédié à la création de mode. Hall Couture est né d’un problème qu’Alice a rencontré en tant qu’étudiante de mode : le besoin d’un espace de travail. Résidences, ateliers partagés, concept store et accompagnement de marques, ce lieu est une porte ouverte vers l’essence de la création. Avec ce projet, elle souhaite répondre aux enjeux des nouveaux modes de travail et aider des créateurs indépendants tout comme des étudiants.Dans cet épisode, Alice nous parle de son expérience marquante en retail chez Rick Owens, de son envie de soutenir la création et des modèles collaboratifs.« Si tu es passionné, ce qui est le plus dur c’est de ne pas le faire. Ça t’habite, tu as l’impression que si tu ne le fais pas, tu vis à moitié. Quand j’observe mes résidents ils sont dévoués corps et âmes à leur marque comme si leur vie en dépendait. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’AliceSes débuts dans la modeSon expérience chez Rick OwensSes premiers pas dans l’entrepreneuriat Sa vision pour Hall Couture Travailler en entreprise vs travailler en indépendanceL’évolution de Hall Couture La communication dans la modeComment Alice recrute ses résidentsL’accompagnement des résidentsLe soutien à la jeune créationTrouver l’équilibre entre création et businessLe business model de Hall CoutureSes ambitionsLe projet FashionTech Week« Si on n’a plus cette volonté de soutenir la création véritablement, tu appauvris le secteur. Je suis très attachée à la culture. C’est ça qui nous différencie des autres espèces: c’est l’art. Ce n’est pas utile sur le plan fonctionnel, mais c’est une nourriture que tu ne peux pas supprimer. » « Cette question du vintage, va-t-il détruire la création ? Ou rend-il la création obsolète ? Je pense que c’est une combinaison gagnante. Je fais ce pari là, les pièces qui se vendent en vintage ce sont de belles pièces. Revaloriser des pièces quand elles sont un peu usées, ça passe par la création donc ça m’intéresse d’explorer cette dimension. On est au début de cette histoire de cohabition entre ces deux modèles de consommation. »« Il faut désacraliser le choix. C’est ce qu’il y a de plus difficile, avoir le choix c’est un vrai luxe mais choisir c’est aussi renoncer. Ce qui est important c’est d’être en phase avec soi-même. » Si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Hall Couture: https://hallcouture.com Léonard Paris https://leonardparis.com/fr/ Procède https://procedeparis.comRick Owens https://www.rickowens.eu/en/FR FashionTech Week https://www.fashiontechweek.fr


164 - #164 — Créer en collectif avec Etudes, Seasonly et Maximum — Talk Changeons de Mode aux Galeries Lafayette
Cette semaine dans Entreprendre dans la mode, je me suis rendu aux Galeries Lafayette Haussmann pour animer le Talk "Créer en collectif" dans le cadre de l'initiative "Changeons de mode" des Galeries Lafayette. Du beau monde autour des micros : Aurélien Arbet et José Lamali, Co-fondateurs de Études Studio, Romée de la Bigne, Armand Bernoud et Basile De Gaulle co-fondateurs de Maximum, Paul Petit et Céline Perrin, managing director et head of studio de Seasonly. Qu’ils soient dans le design, la mode, ou la beauté, ils ont construit leur modèle entrepreneurial en collectif. Ils nous parlent de leur vision du collectif, des challenges qu’ils rencontrent et de leur prise de décisions. Ensemble, ils fédèrent leur énergie créative autour d’une même passion.« Travailler à plusieurs nécessite beaucoup de communication, d’évoluer ensemble et ça, il n’y a pas de méthode. Ça demande de beaucoup parler, de passer beaucoup de temps ensemble, d’écouter, de doser son appréciation. » Aurélien Arbet« Le collectif demande une grande agilité mais je dirais qu’il faut aussi accepter de se tromper parce qu’on va parfois développer des idées ou des expériences qui ne marchent pas du tout, qui nous semble être une très bonne idée sur le moment et qu’on va tester. C’est cette phase de test qui pour moi est dans l’ADN du collectif » Céline Perrin Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Ce que Études, Maximum et Seasonly vendent en plus de leurs produitsLe collectif sous toutes ses formesLe collectif assumé comme une démarche transparente Les limites du collectifApprendre à travailler en collectifLes deadlines au service du collectif Le collectif se ressent à travers la marque / La marque à l’image du collectifLe collectif est accessible à tous « La difficulté est d’arriver à durer sous la forme du collectif. » Aurélien Arbet « À plusieurs, avec différentes sensibilités, avec différentes envies, on arrive à échanger, à faire quelque chose qui nous semble plus juste par rapport à ce qui se passe actuellement. Une parole plus transparente, plus réelle du fonctionnement d’une marque. » Aurélien Arbet Références :Études https://www.etudes-studio.comMaximum https://www.maximum.parisSeasonly https://seasonly.fr


163 - #163 — Géraldine Dormoy — Journaliste indépendante — Prendre le temps de s’écouter et de vivre le moment présent: le nouveau chapitre de vie en freelance de Géraldine
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Géraldine Dormoy, elle a travaillé à la rédaction digitale de l’Express et aujourd’hui elle est journaliste indépendante. À l’aube du digital, elle a créé son blog Café Mode qui lui révèle le goût pour le journalisme et fédère une communauté qui suit ses pas sur Instagram. Après plusieurs expériences en entreprise et une épreuve de santé, elle a le déclic de se lancer en freelance. Avec Géraldine, on a parlé de la presse, de ses journées en freelance et de l’importance d’être connecté à l’instant présent.« Je ne fais que des choses que j’adore et c’est une chance incroyable. J’ai réussi à trouver des personnes qui me demandent des missions que j’adore faire. En même temps je pense que ça s’auto-génère parce que j’y mets un tel enthousiasme. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de GéraldineSon ressenti sur l’IFMLe déclic qui l’a fait passer au freelance Son blog Café ModeSa définition du métier de journalisteLe futur de la presseLes bénéfices du yogaÀ quoi ressemble ses journéesSon rapport à l’industrie de la modeLe rôle de la mode sur les questions de société (inclusivité, sustainability)Sa relation à la communauté Comment mettre une valeur sur son travailSon approche journalistiqueSes interviews marquantesUn conseil qu’elle se donnerait plus jeune« C’est ça qui est difficile dans la presse aujourd’hui: c’est qu’on nous demande d’avoir toujours plus d’idées. Sauf que si on est toujours en train de pisser de la copie on n’a pas le temps de réfléchir et le cerveau est accaparé par l’exécution. C’est le même problème que dans la mode. »« J’ai juste compris qu’en étant en freelance, il faut que je reste en mouvement, il faut que je continue d’être ouverte à des choses que je n’ai pas encore faites et d’être ouverte à des personnes. Je suis vraiment très attentive à tout ce qui se passe et je me fie à ce que je ressens. » « Internet pour moi c’est ça: c’est un endroit où tu trouves des solutions, où tu trouves des gens qui vivent la même chose que toi même si t’as l’impression qu’autour de toi personne ne vit la même chose. »« En fait Instagram c’est un outil de développement personnel. Ça permet de savoir où tu en es avec toi-même, c’est un miroir qui te renvoie plein de choses et ça en dit très long sur la personnalité. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: Pour suivre Géraldine: https://www.instagram.com/geraldinedormoy/?hl=frPour s’inscrire à la newsletter de Géraldine: https://mailchi.mp/b015d060c621/newsletter Ses articles: https://www.geraldinedormoy.com https://www.ifmparis.fr https://www.wgsn.com/en/


162 - #162 — Antoine Vigneron — Cofondateur de M. Moustache — Savoir se remettre en question pour mieux se réinventer
Dans ce premier épisode de septembre, nous allons à la rencontre d’Antoine Vigneron, le cofondateur de M. Moustache, une marque de chaussures aux lignes singulières. À la fin de ses études en école de commerce, Antoine s’associe avec Thibault et Guillaume avec l’envie de ré-inventer la chaussure du quotidien. Aujourd’hui, sa capacité à se remettre en question et sa connaissance du produit lui permettent de développer de nouveaux projets autour du recyclage de la chaussure, une ambition jusque-là peu aperçue sur le marché. Il nous parle en toute transparence des débuts de sa marque, des premiers investissements, de ses erreurs de débutants, mais surtout d’une passion entrepreneuriale qui ne cesse de grandir.« Ce sont ces projets là qui m’animent au quotidien. Le fait de pouvoir me lever le matin avec la banane, parce que je sais qu’on va essayer d’inventer de nouvelles choses et pouvoir repenser la manière dont on fait les choses. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’AntoineLes débuts de son projet entrepreneurialComment il a monté son business planLes milestones de M. MoustacheComment il a vécu la crise sanitaire La refonte d’une nouvelle identité visuelleComment il aligne ses envies à celles de l’entrepriseLe projet Encore et son processusSa vision pour l’avenir de la marqueComment il gère le budget d’acquisitionSes erreurs et ses apprentissages de jeune entrepreneur Sa stratégie de recrutement et de managementLes KPI’s qu’il regarde La question d’inclusivitéSa valeur ajoutée sur le marché« Tout le monde disait qu’une association à trois, ça ne marche jamais. Nous au contraire, c’est justement parce qu’on est trois que ça fonctionne super bien. »« La première chose, c’est qu’il faut qu’on éduque nos clients. Nous en tant que marque on doit être responsable de la fin de vie des produits. À chaque fois qu’on vend une paire, ça doit être automatique, on doit récupérer une paire de chaussures, peu importe la marque. Cette paire, on va trouver une solution pour lui redonner vie. » « Très bien maîtriser le domaine et l’industrie dans laquelle tu travailles, c’est évident que c’est important si tu veux aller vite. » Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: https://www.m-moustache.com/fr/ https://www.reseau-entreprendre.org/paris/


161 - #161 —Anne Fuentes (fondatrice de Blanc Crème) et Julien Fuentes (architecte d’intérieur) — Couple d’entrepreneurs — Dessiner l’avenir à deux en toute indépendance
Cette semaine, on se retrouve dans le sud de la France sous le chant des cigales où je pars à la rencontre d’Anne Fuentes et son mari Julien. Tous les deux issus de l’industrie médicale, ils décident de se reconvertir dans l’industrie créative. D’un côté Anne lance sa marque Blanc Crème, un showroom de robes de mariées qui propose un nouveau souffle à cet univers en accompagnant les femmes dans leurs choix en toute authenticité. De l’autre, Julien travaille en tant qu’architecte d’intérieur indépendant pour des particuliers. À deux, ils concilient vie de famille et entrepreneuriat avec passion tout en étant complémentaires au quotidien. Ils nous parlent de leur changement de profession après 30 ans et de comment ils ont fait leurs preuves dans leur milieu respectif.« On est assez complémentaires sur tous les sujets, parce qu’au fond, on fait le même job. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’Anne et de JulienComment s’épauler dans son business en tant que couple Le déclic pour changer de carrièreLancer un studio de création en coupleComment gérer la pression entre le professionnel et le personnelQuitter le confort de leur emploi pour se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale Les activités d’un architecte d’intérieur Les débuts d’Anne pour Blanc CrèmeLes milestones de sa marque Sa stratégie d’acquisitionPourquoi ils n’ont pas monté un business ensembleComment gérer ses clientsDévelopper son activité à MarseilleLeur vision pour le futurLa difficulté de se reconvertir après 40ansQuels conseils ils se donneraient plus jeunes« Je me suis levée un matin et j’ai dit à Julien: je vais ouvrir un showroom de robes de mariées, je vais aider les femmes à être qui elles sont la semaine pour le jour de leur mariage, je vais faire venir les meilleures créations et ça va changer leur vie. »« Il faut un immense courage. Quand j’ai commencé à dire autour de moi et à tester l’idée de quitter ce job hyper confortable aux yeux de tous pour monter Blanc Crème, un showroom de robes de marié, les gens ont halluciné. Ils ont dit que je faisais ma crise de la quarantaine. »« Je me sentais arriver au bout d’un cycle, je ne voyais plus trop de sens à manager de très grosses équipes mais de ne pas être une femme présente pour mon couple et ma famille. Donc je trouvais qu’il y avait un contresens dans ma vie. Je trouvais que j’avais pas trop mal réussi et que je pouvais être fière de moi d’avoir gravi autant de marches dans cette boîte tout en m’épanouissant mais je sentais qu’il fallait que je clôture ce chapitre et que j’en ouvre un autre, ça s’est fait comme ça. »Si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: https://www.blanc-creme.fr https://www.julienfuentes.com https://www.instagram.com/julien_fuentes/ https://www.instagram.com/blanc_creme/


160 - #160 —Sophie Templier— Consultante (ancienne directrice générale de Nina Ricci et Chloé) — L’art et la manière d’allier création et business avec cohérence
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Sophie Templier, elle a travaillé au sein de la maison Chloé et Nina Ricci en tant que directrice générale. Dès le début de sa carrière, elle souhaite travailler en proximité avec les créatifs tout en intégrant une dimension commerciale. Son parcours riche en expériences dans le secteur du luxe l’amène aujourd’hui à développer son activité en tant que consultante. Sa mission ? Accompagner le développement des marques émergentes et les aider à structurer leur entreprise.Avec Sophie, on a parlé de comment trouver sa voie, comment elle a développé des grands noms du luxe, et de l’importance de rester cohérent.« La cohérence au sein d’une marque, c’est un élément essentiel pour la faire grandir sereinement. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de SophieComment elle a déterminé son orientation à la fin de ses étudesQu’est-ce qu’une licence Sa méthode pour relancer une marqueSes missions au sein de la maison ChloéComment elle est devenue directrice généraleComment trouver l’équilibre entre la création et le businessComment déterminer si un emploi vaut son investissement personnelSon départ de la maison ChloéSon expérience chez Nina Ricci Comment elle accompagne les marquesSoutenir la création en respectant le positionnement de la marqueComment structurer en interne son entrepriseLe suivi des KPI’sSe poser les bonnes questions avant de développer de nouvelles activités dans une marque« Plus tu avances en expérience, plus tu as envie aussi de découvrir d’autres choses. Quand tu te rends compte que tu explores, que tu t’impliques dans quelque chose, ça donne un résultat, t’as encore plus envie d’explorer des choses plus diversifiées. Avec l’expérience vous avez envie de découvrir d’autres dynamiques, explorer peut-être moins en profondeur un sujet mais plus en diversité. »« Je pense que pour réussir un projet de développement d’une marque, il faut que tout le monde en ait envie, que tout le monde s’aligne sur une même vision, une même motivation. Il faut qu’il y ait un accompagnement financier avec de l’innovation, avec des projets. Quand il n’y a pas cette dynamique on peut faire, mais c’est moins amusant. »« Il faut laisser une part d’intuition, il faut suivre ses envies. Parce que si tout est moulé, cadré, enfermé dans des formules, c’est oppressant et ça peut être source d’erreurs. Il faut avoir une vision mais il faut se laisser porter par ce qu’il se passe progressivement, voir comment les choses évoluent. Il y a une notion de pouvoir du temps à laquelle je crois énormément. »Vous souhaitez contacter Sophie ? Retrouvez là sur son LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/sophie-templier-a8048b11/ Ou tout simplement par mail: templier.sophie@gmail.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


159 - #159 — Les Mille et une Vies d’Anne Israël, propriétaire de la Villa Magnan à Biarritz
Cette semaine, direction Biarritz où je pars à la rencontre d’Anne Israël, la propriétaire de la Villa Magnan. Il y a tout juste deux ans, Anne et son mari Jérôme décident de réveiller cette villa des années 30 d’où émane des airs de Cristòbal Balenciaga. Aujourd’hui, Anne a fait de ce lieu une ode à la vie qui respire la créativité et la liberté. Passionnée d’art et de savoir-faire, elle commence sa carrière dans la mode et trouve un chemin dans le cinéma en tant que chef décoratrice. Elle nous livre un regard plein de sagesse sur la créativité dans l’industrie de la mode.Sa vie riche en expériences et rencontres l’a fait voyager de lieu en lieu qu’elle trouve plaisir à réinventer à sa manière. C’était passionnant d’échanger avec Anne, j’espère que vous aurez autant de plaisir à l’écouter !« Je pense que dans la vie, tu apprends beaucoup des autres. J’ai toujours évolué dans des professions artistiques, mais tous mes changements de cap sont liés aux rencontres. Je me laisse volontiers partir. »« J’ai l’impression qu’en faisant plein de choses différentes, je vais multiplier ma vie. J’aime bien l’idée d’avoir plein de vies différentes. Petite, je ne savais pas que j’aurai plusieurs vies, mais je savais que la vie était courte. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours d’AnneSes débuts dans la modeSon expérience de chef décoratrice dans le cinéma et l’audiovisuel La création de sa marque de maroquinerieSa vision de l’industrie de la mode et son passage à la fédération du prêt-à-porterL’importance de la jeune création et du savoir-faire françaisComment elle s’organisait parmi toutes ses activités professionnelles Comment elle a réhabilité une usine à Montreuil en lieu de vie artistiqueSa vie à BiarritzComment elle est devenue propriétaire de la Villa MagnanCe qu’elle pense de la création, du luxe et du digital aujourd’huiComment elle définit la Villa MagnanSes futurs projetsSa rencontre avec son mari« Trop de rapidité, trop de pression, trop de vêtements, ça finit par devenir pas bon et ça finit surtout par dégoûter le consommateur lui-même qui ne veut plus de cette chose-là, et il commence à le manifester. Le mouvement est en marche et pour l’accompagner c’est bien d’avoir des lieux dans lesquels tu peux te réconcilier avec toi-même, te dire que tu peux te tromper, te dire que parfois t’as pris une direction mais que ce n’est pas grave si tu fais demi-tour. » « J’avais cette impression que cette maison nous tendait la main et qu’on était la clé vers sa réouverture vers le monde. Quand on a été titré, la première chose qu’on ait fait c’est de réouvrir les choses qui étaient fermées: déroulés les grands volets de bois, refaire entrer le soleil et petit à petit, la réhabituer aux voix, aux chants, aux rires. C’est comme si elle était prête à se re-remplir. »« Quand tu observes la villa, la manière dont elle est construire, sa gamme couleur, on est dans les couleurs de Balenciaga. Tu as ce rose si pâle, des verts amandes, des gris bleus, des abricots, le dessin des portes, les détails…moi je vois beaucoup de rapprochement avec le montage des manches de Balenciaga. Il y a cette élégance et à la fois cette sobriété absolue qui définissait Balenciaga auparavant. Peut-être qu’il n’a pas était si innocent dans cette chose-là. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: La Villa Magnan sur le Fooding: https://lefooding.com/fr/hotels/chambre-d-hote-villa-magnan-biarritz Pour suivre l’actualité en images de la villa Magnan: https://www.instagram.com/villamagnan/ Studio Berçot: http://www.studio-bercot.com https://michel-klein.com Assan Smati: https://urdla.com/artiste/285-smati Léo Walk: https://www.instagram.com/leowalkinparis/ Et sa compagnie à la Villa Magnan: https://www.instagram.com/lamarchebleue/


158 - #158 —Bastien Lattanzio— Photographe —« Ne t’arrête pas tant que tu n’es pas satisfait »
Dans ce nouvel épisode, je reçois Bastien Lattanzio, il est photographe indépendant et a travaillé pour de grands noms comme Louis Vuitton, Vestiaire Collective ou encore AD magazine. À l’âge de 20 ans, il décide d’arrêter ses études pour se consacrer pleinement à sa passion: la photographie.Autodidacte, il travaille principalement à l’argentique et a trouvé une vitrine à la librairie OFR où il publie ses livres.Avec Bastien, on a parlé de ses débuts dans la photographie, de son approche avec ses clients, de sa vision pour l’avenir de l’image de mode et de son ambition à viser toujours plus haut.« Je ne suis pas du tout entrepreneur, je me considère plus comme un artisan. On m’appelle pour des jobs et si tous les critères sont bons je le fais. Je me laisse porter. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: Le parcours de BastienSon premier contrat de photographeComment il s’est forméSon secret pour entretenir de bonnes relations avec ses clientsComment il définit son travailLe déroulement d’une journée de shootingComment il en est venu à la photographie de modeEst-il nécessaire d’avoir un agent Comment il se renouvelleComment convaincre ses clientsLe métier de photographe face à l’ubérisation de la photographieQuelles sont ses projections pour le futurSes ambitions pour l’avenirEntretenir son réseauComment il a vécu le confinementLe futur de l’image de modeComment il prépare ses shootingsSes conseils pour démarrer dans la photographieComment repérer une bonne imageSon meilleur investissement« Je pense qu’il faut aller moins loin, tu vois à Nice, on peut shooter de très belles images, ou même en Provence. On n’est pas obligés d’aller à l’autre bout du monde en Guadeloupe avec la maquilleuse qui vient de je ne sais où. Un truc un peu plus local se serait bien. On est en train de tendre vers ça, avec des équipes un peu plus réduites aussi parce qu’on n’a pas forcément besoin de 70 personnes sur un set. »« Tu regardes ce que les kids font, ce que les très bons font et t’essaies de naviguer là dedans. Je pense que le succès c’est faire ce que tu aimes, là tu seras bon. »« Il y a beaucoup trop d’images en permanence, on est saturés de stories, de posts et j’ai l’impression que c’est illisible. Il faut être responsable là-dessus et arrêter de déverser sur les gens, les images se perdent et ça ne sert à rien. Il faut faire de bonnes images marquantes et s’en servir plus. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: https://www.instagram.com/bastienlattanzio/ http://www.bastienlattanzio.com Clark Magazine https://www.scopalto.com/magazine/clark Librairie OFR Paris https://www.instagram.com/ofrparis/Paloma Wool https://www.instagram.com/palomawool/ Campagne Chanel par Karim Sadli https://www.chanel.com/fr/mode/collection/presentation-de-la-collection-croisiere-2020-21/ Juergen Teller https://www.instagram.com/juergenteller_/


154 - #154 —Maia Flore — Photographe (Agence Vu) — Le pouvoir des images (Co-produit avec Dim Dam Dom)
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Maia Flore, elle est photographe et a travaillé pour de nombreuses marques. De sa passion pour les images est né un véritable langage singulier qui l’a aujourd’hui menée à Los Angeles. Récemment, elle est intervenue au sein du magazine Dim Dam Dom, elle nous dévoile les coulisses de l’interview et sa vision du Slow Living. Cet épisode est réalisé en partenariat avec Dim Dam Dom, mode, création & design. Dim Dam Dom, c’est un trimestriel féminin slow living qui invite à ralentir, à appuyer sur pause et prendre du temps, comme maintenant avec ce podcast. C’est une publication du groupe Ideat Éditions fondé par Laurent Blanc, aussi éditeur des magazines lifestyle IDEAT et The Good Life. On y parle société, food, design, architecture, mode & beauté, culture, voyages et lifestyle. Le tout illustré de belles images et sous la plume d’écrivains et de journalistes spécialisés. Vous pouvez le retrouver en kiosque et dans une sélection de librairies et concept stores en France et à l’étranger à un prix de 6,90 €.Un podcast à l’image de sa philosophie, qui nous invite à prendre le temps d’observer et d’écouter ce qui nous entoure.« Je suis restée avec cette chose de ne pas savoir utiliser les mots mais de voir à travers les images. Très tôt, j’ai su que les images étaient mon langage. »Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de MaiaSes débuts en tant que photographeLe processus créatifComment elle définit sa profession Comment se passe la demande de commissionComment se renouveler en tant que créatifSa collaboration avec le magazine Dim Dam Dom Sa vision du Slow LivingComment elle a construit sa vie loin de la FranceComment elle appréhende l’incertitudeLa création de son livreQu’est-ce qu’une image forte et comment on la créée Qu’est-ce qui fait une bonne image dans la modeQuelles sont ses projections pour le futur« J’avais besoin de m’entourer de beauté, c’est aussi pour ça que j’ai commencé à créer des images. J’avais du mal à trouver de belles choses autour de moi alors je me suis mise à les créer. » « Je ne veux plus regarder une image en tant que consommatrice, je veux aussi regarder une image en tant que conservatrice de la planète. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


157 - #157 — Paul Szczerba — Fondateur de Balibaris — Entreprendre avec ambition et bon sens, les maître-mots de Paul
Cette semaine, Paul Szczerba, le fondateur de Balibaris se joint à moi en terrasse de café. Il nous explique comment il a fondé sa marque avec ambition et pragmatisme. En commençant avec quelques modèles de cravates, il propose aujourd’hui l’armoire idéale du prêt-à-porter masculin. La marque compte une soixantaine de points de vente où l’expérience client se veut singulière et authentique.Dans cet épisode, Paul nous parle de son parcours entrepreneurial, de ses débuts dans le retail et de sa soif de grandir.« J’avais envie de faire. Ça faisait partie de la grille de sélection pour mon projet entrepreneurial. Je voulais directement être amené à faire du concret et d’être jugé sur du concret. »Le parcours de PaulComment il a fondé BalibarisL’élément déclencheur du succès de sa marqueLe modèle économique Sa vision aux débuts de la marqueLes premières boutiquesComment il a trouvé de bons vendeursLes KPIs qu’il regarde Comment il a structuré en interne l’entrepriseComment il a accéléré son businessSa rencontre avec Frédérique Biousse et son entrée chez Experienced CapitalSa concurrenceComment il a trouvé un équilibre entre le business et la créationL’image de BalibarisLes canaux d’acquisition L’organisation de la logistiqueSon engagement sociétal et environnementalComment il a vécu la crise sanitaireSon organisation au quotidien« Dès le début, je veux que l’univers de marque soit suffisamment large et ne s’arrête pas au vêtement. Pour moi, l’écueil dans lequel une jeune marque peut tomber, c’est l’absence d’histoire et que ce soit juste du produit pour du produit. »« Pour moi la boutique c’était l’expérience client ultime et j’en reste persuadé. »« Il fallait qu’on soit capable de justifier le prix des articles, donc pour moi il a fallu qu’on soit transparent dès le démarrage. Ça impliquait beaucoup d’action et de promesses au client. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références: https://www.balibaris.com/fr/


30 - Week 30 — News & Analysis — Anti Social Media ou le nouveau marketing mix (Avec Viviane Lipskier)
Dans ce nouvel épisode, Viviane Lipskier nous invite à réfléchir autour des stratégies anti-social media.Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».Ces derniers mois, avec l’intensification du contenu digital des marques via les réseaux sociaux, il semblerait qu’une saturation se fasse ressentir notamment auprès des plus jeunes utilisateurs. Pour autant, de nouvelles solutions émergent et certaines marques se voient dans la nécessité d’explorer différentes approches pour fédérer des communautés solides et plus authentiques.Alors comment repenser son approche à l’audience ? Quels outils adopter pour cette nouvelle stratégie de communication ?À partir d’un article publié sur le Harvard Business Review The Era of Antisocial social media, Viviane analyse pour nous les trois catalyseurs à développer autour de cas concrets :Les messageries privéesLes micro-communautésLes expériences partagées« Je ne donne pas de réponses toutes fermées aujourd’hui. Je dis juste qu’il pourrait y avoir une fatigue des social media, une envie de se sentir plus en sécurité dans un espace plus ouvert qui favoriserait la conversation plus que les échanges dans les commentaires. Donc qu’est-ce qu’on peut faire ? » « Si tout le monde fait du bruit en même temps, on devient inaudible. »« Il y a des questions au préalable à se poser: quels sont mes atouts par rapport à mon univers concurrentiel, par rapport à la période que l’on vit ? Quelles sont mes valeurs ? Quelle est mon expertise la plus pointue, celle qui me rend leader sur le marché ? Comment je me donne les moyens d’être innovant ? Et après, tu te concentres sur ce que tu fais le mieux. »« Là où tu as le plus de pouvoir, c’est là où tu racontes ton histoire. »Références:L’article de Harvard Business Review The Era of Antisocial social media: https://hbr.org/2020/02/the-era-of-antisocial-social-media Livre de David Ogilvy On Advertising Boutique Skills Alexa https://www.amazon.fr/b/?ie=UTF8&node=13944548031 Campagnes Tracksmith https://journal.tracksmith.com


156 - #156 — Peggy Frey — Journaliste (@peggfrey) — Oser réinventer le métier de journaliste à l’ère d’Instagram
Dans ce nouvel épisode, on part à la rencontre de Peggy Frey. Après avoir travaillé dans la presse écrite, notamment chez Madame Figaro, elle décide de changer de voie. Aujourd’hui, elle se décrit comme « Social journalist » et transmet sa passion des rencontres sur son compte Instagram. Elle a construit une communauté fidèle grâce à ses interviews sans filtre de personnalités de l’industrie de la mode. Peggy nous raconte comment elle a eu le déclic de réinventer son métier à l’ère d’Instagram.« Je savais juste que je voulais interviewer et rencontrer des gens. Je me suis rendue compte que j’adorais poser des questions, peu importe à qui et peu importe la thématique. »Ce que vous apprendrez dans cet épisode :Le parcours de PeggySon métier de journaliste et ses précédentes missions dans la presse féminineLe déclic qui lui a fait changé de vieSa méthodologieLA question à poser en interviewConcilier son travail loin de ParisComment communiquer quand on est une jeune marqueLes enjeux de la presse face au digitalSa transition de la presse féminine à InstagramSa ligne éditoriale sur son compte InstagramSon business model et comment elle s’organise quotidiennement entre Paris et ReimsLa crise sanitaire et ses répercussions sur la mode Comment elle a construit son réseau Savoir bien utiliser les réseaux sociauxQuel avenir pour le métier de journaliste « Il faut redonner aux gens l’envie de lire. Il faut aller rechercher les lecteurs avec de la nouveauté. »« Ce que je fais sur Instagram, l’inspiration que j’arrive à puiser chez les uns je voudrais la donner aux autres pour qu’ils deviennent inspirés et acteurs de leur choix et de leur vie. »« Ce n’est pas évident de se regarder, de s’aimer, de se mettre en scène. Il faut apprendre à s’aimer. Plus tu t’aimes, plus tu as confiance en toi et plus cette confiance va te porter. »Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références:https://www.instagram.com/peggfrey/ Lettre de motivation de Lucie Faucher https://www.instagram.com/p/CBJkBovIX6l/


161 - #155 — Entreprendre sans devenir l’esclave de sa boîte
Cette semaine, on sort des sentiers battus pour s’inspirer du webmarketing et du minimalisme. Je reçois Antoine Blanchemaison, alias Antoine BM. Antoine aide les entrepreneurs à monter leur activité sur internet, construire leur message, développer leur audience et vivre de leur passion. Aujourd’hui, Antoine a une audience de 30 000 personnes qui reçoit ses emails privés chaque matin. Dans cet épisode, il nous raconte son parcours et partage avec nous sa vision contre-intuitive et plus “lifestyle” de l’entrepreneuriat. Un épisode coup de poing qui permet d’envisager l’entrepreneuriat sous un angle complètement différent. « Je crois que le résultat n’a rien à voir avec le mérite. Tu peux casser des cailloux toute la journée et suer comme un porc, c’est pas pour ça que tu vas gagner de l’argent. L’argent arrive avec les systèmes astucieux, les bonnes idées… Je pense qu’il y a d’autres manières de travailler qui consistent à optimiser les résultats, le bien-être au travail, sans pour autant se noyer dans l’effort, le travail acharné, qui est souvent plus pour se donner bonne conscience. » « Il y a une nouvelle manière de concevoir l’entrepreneuriat : aujourd’hui beaucoup d’entrepreneurs sont encore très 20ème siècle, regardent la boite à la grand papa, se disent « je veux être un vrai entrepreneur, donc il me faut des bureaux, des salariés, des structures complexes, des systèmes compliqués, etc ». Mais en fait tu peux avoir une boite qui fait plein d’argent et utiliser des outils très simples, gratuits, avoir principalement des free-lances, bosser 3h par jour… » « La 2ème façon de voir l’entrepreneuriat, c’est la façon artisanale : tu pars de la vie que tu veux avoir, tu ne pars pas du projet que tu veux construire, (…) et tu crées un système au service de la vie que tu veux avoir. » « C’est le minimalisme au travail l’approche que je recommande : tu travailles moins mais tu respectes ton travail. Je pense que c’est plus efficace de travailler 3h ou 4h par jour en n’ayant aucune interruption, en ne faisant que ça, que de bosser 8 ou 9h par jour en autorisant les autres à nous interrompre. » « Le génie, c’est quelque chose qui se construit. Si les gens te considèrent comme un génie, c’est souvent le résultat de quelque chose que tu as répété tellement de fois que tu te retrouves à faire quelque chose de difficile facilement. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Comment se lancer et devenir un entrepreneur libreComment se former au marketing et au copywriting (ou l’art de la persuasion)Comment développer sa créativitéLe système et la méthode d’AntoineComment appliquer sa méthode à une marque de mode Comment développer un mindset d’entrepreneur Ses techniques de productivitéÀ quoi ressemblent ses journéesComment créer des pubs efficaces sur FacebookComment trouver ses 1000 vrais fansComment écrire des e-mails captivants ou l’art de créer la curiositéComment faire face au syndrome de la page blancheComment il s’entoure et délègue le service client, la technique, le juridique pour ne s’occuper que de l’essentielComment il organise le travail d’équipe à distanceComment rester motivé sur le long termeLes nouvelles méthodes de travail en entreprise Ses outils du quotidien Recevoir les emails privés d’Antoine BM : https://antoinebm.com/Sa chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCUyGfgvkPXfV80exjZIqmVQSes formations : https://school.antoinebm.com/


28 - Week 28 — News & Analysis — Clarisse Reille (DEFI) et Pierre-François Le Louët (Fédération Française du Prêt À Porter Féminin) — Étude sur les nouveaux modèles économiques de la mode
Cette semaine, j’ai le plaisir de retrouver Pierre-François Le Louët, président de la fédération française du Prêt-À-Porter, et Clarisse Reille, présidente du DEFI La Mode. Ils nous parlent de l’étude récemment réalisée sur les nouveaux modèles économiques de la mode.Initiée avant la crise sanitaire, cette étude regroupe de nombreuses données sur le secteur de la mode et analyse les leviers de succès des marques.Je vous invite à consulter l’étude, elle est accessible gratuitement en ligne. « Ce qui est certain, c’est qu’il n’y a pas un seul modèle économique gagnant. Il y en a une multiplicité et ils sont hybrides. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :Pourquoi avoir initié cette étudeComment ils ont réalisé cette étude Les 5 piliers à retenirComment se servir de ces apprentissages en fonction de son statut entrepreneurial Les clés d’un modèle performant« Aujourd’hui, le développement d’une marque va bien au-delà du produit, il faut une singularité. »« Une marque doit véritablement être capable de penser sa profondeur et son rayonnement dans la durée. »« Le client, c’est le véritable actif des marques et pour bien le comprendre il faut utiliser les outils de data qui nous permettent de l’appréhender, mais qui permettent aussi de piloter l’activité et les investissements. »Retrouvez l’étude sur le site du DEFI:https://www.defimode.orgPour suivre l’actualité de la fédération française du Prêt À Porter: https://www.pretaporter.com


158 - Week 27 — News & Analysis — Boris Provost (CEO de Tranoï) — Quel avenir pour le wholesale ?
Cette semaine, je reçois Boris Provost, il est CEO de Tranoï, le salon B2B qui se déroule chaque année durant la Fashion Week de Paris. À l’issue de cette crise, Boris Provost nous parle des challenges du wholesale et nous donne les clés pour trouver une issue positive. « Cette crise doit aussi permettre de se renouveler donc j’espère que les détaillants, les retailers, les magasins multimarques online et offline vont renouveler l’expérience client pour être d’autant plus attractifs. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :Est-ce la fin du wholesale ?Comment se renouveler à une époque où internet fait concurrence ?Quels changements pour les acheteurs face à la modification du calendrier de la mode ?Comment rendre attractif le rythme des collections ?Comment intégrer le wholesale au modèle des DNVB ?Comment bien choisir son salon en tant que marque ?« L’expérience client passe avant tout par la connaissance de son client grâce à la data, au digital et aux outils de personnalisation de son offre. »« Je crois qu’il y a eu une multiplication des collections qui a été très anxiogène, presque schizophrène, qui consistait à créer pour créer de la nouveauté. Mais il faut que cette nouveauté ait du sens, qu’elle ait une raison d’être et qu’elle soit inscrite dans un projet. »Références:https://www.tranoi.com https://www.tranoi.com/news/lancement-de-tranoi-link/ https://www.instagram.com/tranoi_show/ https://www.linkedin.com/company/trano-/ Pour contacter Boris Provost: boris@tranoi.com


153 - #153 — Vanessa Bruno — « Je fais des vêtements pour sublimer le quotidien des femmes »
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Vanessa Bruno, elle est la fondatrice de sa marque éponyme. Dans cet épisode, Vanessa nous parle de son parcours, de ses débuts, de son processus créatif, des moments forts de la marque, de l’importance de la mode et du rêve et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Vanessa, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Le plus important c’est le rêve puisque chaque saison, tu dois séduire cette femme : c’est ça la mode. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :L’enfance de Vanessa BrunoSes débuts en tant que mannequin puis créatrice chez MonoprixL’environnement de la mode dans les années 90Les débuts de Vanessa Bruno, le sac CabasL’ouverture de la première boutique, l’univers et le style de la marque Les moments forts de la marqueComment faire un vêtement qui aime les femmesEn quoi la mode est importanteLa ligne bis Athé Son entourage et la culture d’entreprise Vanessa Bruno Le moment où la mode est passée à la vitesse supérieureComment ne pas se lasser de ce métier après 25 ansLe processus créatif Le développement du digital Le sujet de l’écoresponsabilitéComment trouver l'équilibre vie privée et personnelle « Il faut considérer qu’aujourd’hui développer le digital c’est comme si tu avais ton propre magazine en ligne. Tu dois raconter ton histoire, avoir ta ligne éditoriale avec tes moments forts et montrer tes produits le mieux possible. » « La mode est un langage créatif incroyable parce qu’on part d’un croquis, d’un bout de tissus et à la fin, on est habillé et on arrive à se créer et s’incarner à travers ça et on arrive à se transformer et avoir son style. Bien sûr, il n’y a pas que le vêtement qui fait qu’on est quelqu’un mais ça aide à porter sa personnalité. » Références :Vanessa Bruno https://www.vanessabruno.frHenri Sebaoun https://www.linkedin.com/in/henri-sebaoun-a1353a72/?originalSubdomain=frCarven https://www.carven.com/fr_fr/Isabel Marant https://www.instagram.com/p/B4MqhnWI3yB/Episode Aurélien Arbet (Etudes) https://podcloud.fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/episode/numero-103-aurelien-arbet-etudes-1Episode Marie France Cohen (Merci) https://podcasts.apple.com/ie/podcast/13-marie-france-cohen-bonpoint-merci-démodé-aux-innocents/id1300541489?i=1000399960937Episode Ramdane Touhami (Bully) https://podcloud.fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/episode/numero-50-ramdane-touhami-officine-universelle-buly-1


26 - Week 26 — Movers & Shakers avec Marie Nguyen — Cofondatrice de WeDressFair — Sensibiliser sur la consommation éthique
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Marie Nyguyen. Ingénieure de formation, elle a co-fondé WeDressFair.Bien plus qu’une plateforme de vente en ligne de marques éthiques, WeDressFair prône la consommation responsable en informant le consommateur sur la qualité et la provenance des produits. Avec Marie, on a parlé de l’importance de bien savoir communiquer sur la mode éthique. Comment rendre les informations accessibles au consommateur ? Comment changer les habitudes de consommation ? En passant par des campagnes de sensibilisation, elle a su mettre en place un système de confiance entre les marques et ses consommateurs. Elle nous dévoile comment elle a fondé son entreprise sur un principe d’économie social et solidaire. Le mindset de Marie ? En résolvant la cause première, on résout la conséquence du problème. « Il faut tomber amoureux de son problème et pas de sa solution. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de Marie Comment elle a construit WeDressFair Qu’est-ce qu’un vêtement durable L’importance de bien sourcer sa matière et ses produits Comment informer et sensibiliser le consommateur sur la mode éthiqueComment déconstruire les clichés autour de la mode éthiqueSa vision sur la croissance Les prochaines étapes de WeDressFair Quelles valeurs intégrer dans sa culture d’entreprise « Plus on met de points de contact d’information avec le consommateur, plus il aura facilement la possibilité de s’informer et vite quand le moment sera venu. » « On prône la transparence pour que le choix final arrive au consommateur et pour qu’on ne choisisse pas à sa place.» 👉🏼 Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


152 - #152 — Camille Riou — LOU.YETU — Comment Camille a créé et développé l’une des plus belles réussites des ces 5 dernières années
Cette semaine je vous offre 2 heures de Camille Riou, la fondatrice de LOU.YETU, une marque de bijoux qui résistent à la vie et qui plaît à 545k “followers” sur Instagram. Dans cet épisode, tout (ou presque) y passe : parcours, KPIs, recrutement, DA, croissance… Camille a été super généreuse ! À écouter sans plus attendre !Écoutez l’épisode sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / Soundcloud.“Plus on me disait que c’était impossible, plus j’avais envie de prouver qu'il y avait quelque chose à faire.”Ce que vous apprendrez dans cet épisode : Son parcours Les tout débuts de LOU.YETUComment fédérer sa première communauté Re-passerait-elle par le salariat en début de carrière ? La question de l’associationFaut-il faire un BP et un plan de trésorerie dès le début de l’aventureComment trouver des “bulldozers” pour se faire accompagner dans son aventureLa plateforme de marque au début et aujourd’huiL'obsession du détail dans l'expérience client Comment elle a construit sa DA, c’est quoi ses codes Comment elle gère ses réseaux sociaux Ses canaux d’acquisition (Ses RP, l’influence) Comment fonctionne la marque de la création des pièces à la livraison clientLa “sustainability” chez LOU.YETUSa relation avec la croissance Les KPIs qu’elle regarde Comment elle s’est entourée au long des années Sa logistique Comment structurerait-elle son business si elle devait reprendre à zéro Comment s'organise-t-elle Est-elle heureuse, qu’est-ce qui fera qu’elle aura réussi sa vie “On a développé ce que j'appelle un “scarcity mindset”, la possibilité de faire énormément de choses avec peu de moyens. Aujourd’hui ça fait partie de la culture d’entreprise.”Écoutez l’épisode sur EDLM / Apple Podcast / Spotify / DeezerSi vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


25 - Week 25 — News & Analysis — Comment les DNVB communiquent en période sensible ? (Avec Viviane Lipskier)
Cette semaine avec Viviane Lipskier, on s’intéresse à la communication des DNVB dans un contexte perturbé par la crise sociale et politique. Alors que de nombreuses manifestations se tiennent dans le monde pour dénoncer les inégalités sociales et le racisme, la prise de parole des marques s’avère être un exercice particulièrement difficile.Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».Face aux actions des DNVB américaines, Viviane a interrogé les acteurs des DNVB françaises sur leur manière d’adapter leur discours à la crise.Comment réagir et trouver les bonnes approches pour communiquer sur ces sujets en tant que marque ?Comment déterminer son positionnement sur des questions relevant de l’individu, la citoyenneté et la culture d’entreprise ? De la politique interne sur le recrutement, à la prise de parole publique, les marques ont chacune leur point de vue sur la question.« Les consommateurs sont à la recherche d’un leadership moral et d’une prise de responsabilité plus large parce qu’il y a eu une perte de confiance dans les grandes institutions sociales et politiques. »« Nos consommateurs deviennent des militants qui poussent les marques à de nouvelles normes. »« Les gens regardent les entreprises presque comme s'ils considéraient les individus comme des contributeurs à un monde meilleur. »« La culture d'entreprise, c'est la façon dont vous êtes différents, pas la façon dont vous êtes les mêmes. »Merci aux équipes de Typology, Ning, Emin, Margaux, à Benoît et Geoffrey de BonneGueule, Alice Hagger de made.com et Alexandre Le Boucher de R-Pur.Références:Glossier https://www.instagram.com/p/CBTpuBwJEd6/?utm_source=ig_embedTulin Erdem https://www.stern.nyu.edu/faculty/bio/tulin-erdemNing Lee, fondateur de Typology https://www.typology.comAlice Hagger, directrice de made.comBenoît Wojtenka https://www.bonnegueule.frAlexandre Le Boucher, CMO de R-Pur https://www.r-pur.comÉtude McKinsey sur la diversité https://www.mckinsey.com/featured-insights/diversityand-inclusion/diversity-wins-how-inclusion-matters


151 - #151 — Johanna Sebag (Dresscode) — « Il faut faire ce qu’on aime et aller au bout de ses rêves. Il faut foncer. »
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Johanna Sebag, elle est la fondatrice du bureau de presse Dress Code. Dans cet épisode, Johanna nous parle de son parcours, par quoi commencer lorsqu’on ouvre un bureau de presse, comment se faire un bon réseau, le métier d’attaché de presse, comment un bureau de presse travaille avec une marque, comment s’organise le bureau de presse et les outils nécessaires, du retour sur investissement et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Johanna, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « On suggère dans un rétro planning de communication, de faire presse papier et webzine, avec des temps forts. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Par quoi commencer lorsqu’on ouvre un bureau de presseComment se faire un bon réseau Le métier d’attaché de presseComment le bureau de presse travaille avec une marque Comment s’organise le bureau de presseLes outils pour s’organiser Comment calculer le retour sur investissementComment garder l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle « La presse papier permet beaucoup de fondement, il y a un storytelling fort. Pour moi, il n’y a pas mieux pour raconter des histoires. Je crois toujours en cette presse parce que c’est très important quand tu ouvres ton magazine et que tu vois ta parution portée, tu es hyper content, tu vois ton papier et le client, ça lui ramène quand même un trafic. » Références :Dress Code http://www.dresscodepress.comCatherine Miran https://catherinemiran.comStellar https://www.stellarinfo.com/?gclid=Cj0KCQjwoPL2BRDxARIsAEMm9y_i9yd4hQbiLR-sJO6xtw5jxO8g29tFDVQRGoU_1LrTSicR2dbjfxkaAlePEALw_wcBJudith Milgrom https://www.marieclaire.fr/qui-est-judith-milgrom-la-fondatrice-de-maje,1257965.asp


150 - #150 — Guillaume Proust — The Claw Models — Comment d'expert comptable Guillaume a disrupté le métier d'agent de mannequin
Guillaume Proust – « Si on arrive à avoir encore plus d’humanité sur l’accompagnement, la reconnaissance du mannequin et qu’on ne le voit pas uniquement comme une étoile filante, ce sera déjà quelque chose qu’on aura réussi d’une manière intéressante ». Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Guillaume Proust, il est le co-fondateur de The Claw Models. Dans cet épisode, Guillaume nous parle de son parcours, de la création et du fonctionnement d’une agence de mannequin, de la crise du Covid-19 et de comment devenir plus agile face aux prochaines crises, de comment développer son réseau, et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Guillaume, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Cette agilité est caractérisée quand l’entreprise a une capacité de réagir et de s’adapter très vite à son environnement. Elle est également caractérisée par 4 grands piliers, des actifs immatériels qui représentent plus de 90% de la valeur de l’entreprise : l’humain, l’organisationnelle, la technologie et le relationnel. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :La création d’une agence de mannequinComment fonctionne une agence de mannequinPourquoi les mannequins sont aussi jeunes et les tendances sur les âges des mannequinsComment gérer face à la crise du Covid-19, son impactLa structure de coûts d’une agence de mannequin La rémunération d’un mannequinLes outils utilisés dans une agence de mannequin La réaction de l’industrie de la mode face au Covid-19 Comment créer des boîtes plus agiles pour les prochaines crisesComment développer son réseauLe futur de l’agence « La communication c’est un émetteur et un récepteur donc il faut aimer : faire passer l’information, écouter, interagir, ne pas hésiter à donner son point de vue sans dire pour autant qu’on pense avoir la bonne idée et je pense qu’il faut être présent. »Références :The Claw Models http://www.theclawmodels.comMy Agency http://www.my-agency.frThe Claw Fashion Book https://www.kdpresse.com/fr/12-3015-magazine-the-claw-fashionbook.htmlMalick Bodian https://men.successmodels.com/fr/models/main-board/2874-malick-bodian/Instagram The Claw Models https://www.instagram.com/theclawmodels/La méthode Scrum https://www.planzone.fr/blog/quest-ce-que-la-methodologie-scrumVilla Noailles https://villanoailles-hyeres.comHubert Barrère https://fr.wikipedia.org/wiki/Hubert_Barrère


24 - Week 24 — Movers & Shakers avec Get Real — Mode et Océans : Les microfibres textiles, source de pollution des Océans
A l’occasion de la journée mondiale des Océans je reçois Olivia Chammas de Get Real et Romy Hentinger de la Fondation Tara Océan. Get Real, c’est un collectif de personnes conscientes, passionnées par la mode et déterminées à changer les choses. Formé en 2018 par un directeur de création, Jordane Salomez a été rejoint par Olivia Chammas, fondatrice du Big Blue Project, et Alexia Tronel, cofondatrice de l'Atelier Bartavelle et d'ITINÉRANCE, en tant qu'associées.Tara Océan est une ONG créée en 2003 qui organise des expéditions des études pour comprendre l’impact du changement climatique sur nos océans.L’enjeu de cet épisode : comprendre l’impacte de notre industrie sur les Océans. “ Le plus gros impact environnemental de la mode n’est pas uniquement lié aux matières premières, à la production ou au transport, mais également au lavage des vêtements. À cause de la pollution des eaux et des sols qu’elle provoque.” Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Tara Océan c’est quoiLe rôle de RomyLes sources de pollution de nos océansLa mission microplastics, c’est quoi? Les premiers résultatsL’impact sur notre santé Quels sont les solutions aujourd’hui existantes pour diminuer l’impact du textile sur les océansPourquoi on ne supprime pas les fibres les plus polluantes Quelles sont les alternatives à ces fibres les plus polluantes? “ Il ya des solutions en amont au niveau du sourcing textile, et en aval au niveau du consommateur. La première étape est de sensibiliser les acheteurs matières sur l’impact néfaste des fibres synthétiques spécifiquement acrylique et polyester sur les eaux. Rechercher les alternatives, sans se ruer nécessairement sur les polyester recyclé qui est peut être moins impactant à produire mais se dégrade plus vite que le polyester en perdant des microfibres.” Références dans l’épisodeFondationtaraocean.org Browne et al. 2011, Environmental Science & Technology


23 - Week 23 Movers & Shakers - Chloé Cohen - Fondatrice du podcast Nouveau Modèle
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Chloé Cohen. Elle a lancé son podcastNouveau Modèle après avoir travaillé en tant que journaliste dans la presse française. Sonexpérience aux États-Unis la pousse à une réflexion sur le système de consommation. À traversson podcast, elle souhaite mettre en avant les femmes engagées dans la mode responsable.Avec Chloé, on a parlé des étapes de création de Nouveau Modèle, de son engagement pour laparité homme femme dans les médias et de responsabilité sociétale.« J’ai vraiment envie de donner de la place aux femmes, de leur donner la parole parce qu’on neleur donne pas suffisamment »« On ne pourra pas construire un monde paritaire sans tout le monde, il faut que tout le monde sesente engagé »« C’est passionnant de pouvoir échanger une heure avec quelqu’un sur un sujet. C’est tellementrare aujourd’hui de prendre le temps de parler une heure avec quelqu’un surtout dans lejournalisme. »Ce que vous allez apprendre dans l’épisode:• Le parcours de Chloé• Les étapes de création de son podcast• Comment définir une marque responsable• L’importance de l’engagement social au sein d’une marque• Quel modèle économique adopter pour son podcast et comment lui donner de la visibilité• Le problème de médiatisation de la mode responsable en France« Il faudrait beaucoup plus de radicalité, beaucoup plus d’engagements forts et pas simplementtraiter le problème en surface. »Références dans l’épisodeNouveau Modèle — https://www.nouveaumodelepodcast.comMarie Dewet de MaisonCléo — https://www.maisoncleo.com/accueilThe wardrobe Crisis — https://thewardrobecrisis.comSi vous avez des questions, merci de me les envoyer à hello@edlm.co


2 - # 2 — Les Carnets de bord de RÉUNI — La confirmation, les apprentissages, la vision
Lors du lancement de ma marque RÉUNI, je vous avais promis de partager mon aventure entrepreneuriale dans des épisodes hors-série. L’objectif : documenter mon voyage et partager mes apprentissages pour vous aider dans vos propres aventures. Dans le 1er épisode, j'étais revenu sur la genèse et sur ma méthode pour lancer RÉUNI. Cette fois-ci, je réponds à vos questions : Au programme : Les apprentissages des 2 premiers lancements Le Gros Pull d’Hiver et la Chemise en PopelineLe design : comment concevoir des produits vraiment aboutisLe sourcing des matières et des partenaires Comment faire une marque vraiment responsable La distribution, la boutique RÉUNI Le service client, comment on souhaite le gérerLa logistique, nos outils L'acquisition, ce qui marche pour nous La communicationLa direction artistique, pourquoi c’est si important Les KPIs, qu’est-ce qu’on regarde tous les jours Des questions plus personnelles, comment on finance et comment on vit Le futur de RÉUNI, notre vision Vous pouvez encore commander votre chemise, rendez-vous sur www.reuni.co Si vous avez des questions, merci de me les envoyer à hello@edlm.co


22 - Week 22 — Movers & Shakers avec Get Real — Les standards, outils de transparence ?
Cette semaine je reçois Alexia Tronel de Get Real.Get Real, c’est un collectif de personnes conscientes, passionnées par la mode et déterminées à changer les choses. Formé en 2018 par un directeur de création, Jordane Salomez a été rejoint par Olivia Chammas, fondatrice du Big Blue Project, et Alexia Tronel, cofondatrice de l'Atelier Bartavelle et d'ITINÉRANCE, en tant qu'associées.L’enjeu de cet épisode : décrypter les standards et vous donner des clés pour les utiliser comme outils à l’ère de la transparence ! “La montée en puissance du développement durable et de la RSE s’est traduite par la démultiplication de standards et labels de tout type. On sait que l'industrie du vêtement est très fragmentée et qu’on a besoin d'un changement systémique. La législation peut être particulièrement efficace pour atteindre les entreprises qui sont sous le radar.” Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Les labels, les standards : comment s’y retrouver ?Les différents outils d’évaluation RSELe Higg Index, ça rentre dans quelle case ? Comment ça se passe concrètement ? En tant que marque, comment gérer ça et par quoi commencer ? “La chaîne de valeur d’un produit peut être bien plus longue qu’on ne le pense, entre le tiers 1 de fournisseurs qui sont les plus prêts d’une marque et le tiers 3 qui remonte jusqu’à la matière première, on se retrouve avec davantage de points de contrôles, cela complexifie la traçabilité. La majorité des marques ne sont pas capables de remonter aussi loin, ce qui peut fausser le résultats de la performance globale.” Références dans l’épisodeStandards de développement durable dans la mode et systèmes d’information : quels enjeux, quelle politique ?, Fédération de la Haute Couture et de la Mode, Pascal Morand 7 août 2019 deLexique des Labels the Good Goods


149 - #149 Pauline Laigneau — Gemmyo & Le Gratin — Mener deux activités en parallèle
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Pauline Laigneau, elle est la co-fondatrice de Gemmyo, la marque de joaillerie Made in France et du célèbre podcast Le Gratin (que nombre d'entre vous devez déjà écouter). Ça fait bien longtemps qu'on aurais du se parler mais mieux vaut tard que jamais. En tout cas cette discussion a été à la hauteur de mes attentes. J’ai adoré interviewer Pauline, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « C’est un conseil que je peux donner aux quelques personnes qui se posent la question de l’association. Avant de formaliser l'association, c’est un très bon moyen de tester l’association que de travailler ensemble et voir si l’interaction et si les rôles se répartissent de manière naturelle. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de PaulineComment sortir des cases Est-ce que l’école apprend réellement l’entreprenariatComment choisir son associéComment travailler avec ses proches L’impact de l’ouverture des boutiques sur leur entrepriseLes différences entre la mode et la joaillerieComment elle s’est accompagnée sur la direction artistiqueL’éco-responsabilité dans la joaillerie Son podcast Le Gratin, la genèse , son succès, son évolution, sa visionComment mener deux activités en parallèleRéférences :Gemmyo https://www.gemmyo.comLivre The Lean Start-up https://livre.fnac.com/a8968546/Eric-Ries-Lean-startupBETC https://betc.com/fr/Podcast Le gratin https://le-gratin.frPodcast Chalalove https://www.gemmyo.com/chalalove.html


36 - 36 #COVID19 — Alexandra Jubé (Bureau de conseil en stratégie de marque) — Comment adapter sa stratégie après le COVID19 ?
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marque un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


34 - 34 #COVID19 — Mathieu Grodner (Simone Pérèle) — Les effets du Covid19 sur une maison de savoir-faire familiale de 3ème génération
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


33 - 33 #COVID19 — Sarina Lavagne — Prescription Lab : avant, pendant et après la crise du covid19
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


148 - #148 — Tilmann Wröbel (Monsieur-T) — The king of Denim — Avant tout, un bon jeans, c’est une bonne matière et une bonne confection.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Tilmann Wröbel, il est spécialiste du jeans et fondateur du bureau de style, Monsieur T. Dans cet épisode, Tilmann nous parle de son parcours dans la mode, de sa passion pour le jeans, de ces impacts, de ce qu’est un bon jeans, des changements à effectuer dans cette industrie et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Tilmann, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « L’industrie du jeans pèse 30% de plus que toute l’industrie de la musique dans le monde entier. »Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Son travail avec Monsieur TSon arrivée à Paris, son parcours scolaire à l’école de la haute-couture, puis son travail chez Nina Ricci, Dior, sa passion pour le skate et le streetwearSon travail chez Chipie puis QuicksilverL’histoire du jeans, les premières traces de l’indigo 6000 ans avant J-C au PérouLes pays qui consomment le plus de jeansCe qu’est un bon jeansComment rendre l’industrie du jeans plus durable, écologique et le problème de l’eauLe rôle de l’état dans l’industrie du vêtementSes jeans préférés « Aujourd’hui, on estime la fabrication mondiale à 1 milliard et demi de jeans par an. » Références :Compte Instagram de Tilmann https://www.instagram.com/monsieur_t_official/Monsieur T http://www.monsieur-t.com


32 - 32 #COVID19 — Viviane Lipskier (Fondatrice de BrandAlchimy) — Vos clients ces héros : l'impact de 2 mois de confinement sur vos clients + leçon de storytelling
Cette semaine avec Viviane Lipskier, on parle de l'impacte de 2 mois de confinement sur vos clients et de la nécessité plus que jamais d'être de "fantastic strory tellers" pour un message plus efficace après cette crise !Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


31 - 31 #COVID19 — Ingrid Janowski (Talent & Partner) — Agent d'artistes avant, pendant et après le Covid 19
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


19 - Week 19 — Movers & Shakers — Dana Thomas — Comment la mode a sacrifié la planète et l'humanité pour plus de profit
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Dana Thomas, elle est l’auteure de Fashionopolis, Gods and Kings et le best-seller du New York Times Deluxe. Elle a commencé sa carrière en écrivant pour la section Style du Washington Post et, pendant quinze ans, elle a été correspondante culturelle et de mode pour Newsweek à Paris. Elle est actuellement rédactrice en chef de Vogue Business et contribue régulièrement à la section Style du New York Times. Dans cet épisode, Dana reviens sur son parcours, sur la génèse de son dernier livre Fashionopolis et on parle des solutions pour une industrie de la mode plus responsable. "Le système de la mode aujourd'hui c'est le même système colonialiste qu'il y a un siècle en arrière.""On produit 100 milliard de vêtements par an et 60% contiennent du polyester." " C'est le coton qu'on a créé dans un laboratoire qui consomme beaucoup d'eau. Le coton organique c'est une plante qui nécessite que très peu de ressources. Le coton peut pousser dans des terres très pauvres. C'est le coton transgénique créé par Monsanto qui demande beaucoup d'eau car pour un rendement six fois supérieur à du coton bio il faut 6 fois plus d'eau." Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de Dana L'impacte de notre indutrie sur la planète et les gens Comment elle a fait son enquête pour son livre FashionopolisComment on déconstruit notre modèle basé sur l'exploitation de l'homme par l'homme pour le profit Comment les marques doivent communiquer sur leurs démarches responsablesComment le client final peuvent agir pour une mode plus responsableLe besoin de transparence des marques La mode après le Covid19 Le role des journalistes pour une industrie plus responsableQu'est ce qui rend Dana optimiste pour la suite"Les industrie leaders ne veulent pas changer. Tant que le système fonctionne et gagne de l'argent, ils ne changeront pas."


147 - #147 — Céline Perruche (Rédactrice en chef de Glamour) — « Je suis toujours partie du principe que si on s’amuse à faire un truc, si on trouve de l’intérêt à ce qu’on fait, le lecteur le ressent. »
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Céline Perruche, elle est journaliste et rédactrice en chef du magazine Glamour. Dans cet épisode, Céline nous parle de son parcours, de l’importance du réseau, de s’amuser dans ce qu’on fait, de changer souvent de supports médias dans son travail, des diverses missions d’une rédactrice en chef et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Céline, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Si on veut vous rencontrer pour vous proposer quelque chose, il faut toujours y aller par curiosité. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Ses études, ses stages au Monde, La Croix, Tribeca et son travail au magazine Perso.Son travail chez Jalouse puis son arrivée chez Biba. Ce qu’est un bon réseau et son importance Son travail chez Grazia lors du lancement pendant 3 ans.Le re-lancement du magazine mythique Lui.A quoi ressemble la journée d’une rédactrice en chef d’un magazine Son arrivée en tant que rédactrice de Glamour « Je trouve que cela ne rend pas service, même à un support de rester trop longtemps, je pense que tout le monde devrait bouger beaucoup plus. »


30 - 30 #COVID19 — Lisa Chavy (Livy) — Comment multiplier son CA online par 3 au temps du Covid19
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


29 - 29 #COVID19 -— Pierre-Edouard Derain et Guillaume Bosse-Platière (Surprise) — Lancer un crowdfunding en plein covid19
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


18 - Week 18 Movers & Shakers avec Léa Marcq — Fondatrice de The Alleah & Mathilde Clauzet Instagrameuse et Chroniqueuse pour The Alleah
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Léa Marcq — Fondatrice du média The Alleah & Mathilde Clauzet — instagrameuse et chroniqueuse pour The Alleah. The Alleah a pour but de rendre plus accessible et compréhensible la mode durable pour tous : des initiés à ceux qui aimeraient changer leur mode de consommation. À travers son contenu mode, lifestyle, beauté éthique et responsable, il n’a jamais été aussi facile de comprendre le mouvement Slow Fashion et d’être acteur du changement ! La mission de The Alleah ? Remettre l'humain au centre du débat et normaliser la mode responsable. «La mode est principalement consommée et produite par les femmes. C'est logique de s'intéresser au féminisme quand on s'intéresse à la mode.» Ce que vous allez découvrir dans l’épisode :Les parcours de Léa et Mathilde et leur rencontreLa genèse de The AlleahLa condition des femmes dans les sweatshopsCe que c’est que les sweatshopsCe que signifie selon elles être féministe et pourquoi il est important de le dire et de l’être quand on parle de modeQuel est le rapport entre l'environnement et le féminismeLa définition de la mode responsableComment parler d'éco-responsabilité quand on est une marqueQuelles sont les matières naturelles, les matières artificielles et les matières "interdites"Ce qu’elles pensent des matières recyclées à base de plastiqueQui paie les surcoûts de la mode accessibleLe business model de The Alleah « Ce qui nous insurge le plus, c'est la stoïcité de nos politiques. »« Ce qu'on veut c'est une mode éthique et très esthétique. »Références :http://thealleah.com/Documentaire MinimalismOsez le feminisme!Emma WatsonLove146Fashion week d'HelsinkiDedicated Brandhttps://jeanandjune.com/


146 - #146 Oskar Metsavaht (Osklen) — ASAP "As Sustainable As Possible, As Soon As Possible"
In this new episode, we meet with artist, designer, entrepreneur, activist Oskar Metsavaht, founder of the Brasilian brand Osklen.I loved interviewing Oskar, I hope you'll enjoy listening to him as much as I did!«We can use the natural ressources, but we have to keep it the same or better for the next generation.»What you will learn in this episode : Oskar's pathwayThe genesis of OsklenHis conception of luxury and sustainabilityWhat makes Osklen design and products different from the othersWhat does he says to people telling him he is doing greenwashingHow we can accelerate this sustainable movementHow can we make sustainability coolWhy the coolest influencers do not put the sustainability on the tableThe importance to start even though this is not perfectHow does he stay optimisticThe importance of being activist«We [the fashion industrie] can be great protagonists of the change we want to see on the planet.» References :Osklen https://osklen.com/


27 - 28 #COVID19 - Henri Sebaoun - Directeur Général de Vanessa Bruno
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


17 - WEEK 17 Movers & Shakers avec GET REAL - La Mode au temps du Covid19
Dans ce nouveau Movers & Shakers nous allons à la rencontre de l’équipe de GET REAL, une agence de conseil opérationnel qui accompagne depuis 2018 les acteurs de l’industrie de la mode dans leur transition vers un modèle responsable. C'est le 1er opus d'une longue série d'épisodes co-créés en collaboration avec Olivia Chammas, Jordane Salomez et Alexia Tronel. L’objet de cet épisode est de vous faire part de ce que l’on sait avec certitude aujourd’hui sur la mode au temps du Covid19, et d’analyser quelles sont les perspectives post-Covid19.“ La production locale est sans aucun doute une solution pour répondre aux défis environnementaux mais cette déconstruction de la supply chain doit se faire dans une logique de transition à moyen et long terme, et surtout en prenant ses responsabilités. C’est d’abord mettre en place un plan de transition avec ses partenaires avec de la visibilité et un renforcement de communication pour qu’ils puissent s’adapter et faire un transfert de compétences dans les deux sens.” Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Ce qu’on sait avec certitude aujourd’hui ?quelles sont les perspectives Post-Corona pour l’industrie de la mode ?peut-on dessiner à la sortie du Coronavirus un paradigme à échelle plus locale ?les marques vont-elles mettre le développement durable de côté ou au contraire deviendra-t-il un besoin primordial ?L’industrie de la mode va-t-elle accélérer sa mutation vers une l'économie circulaire grâce à la mise en place des solutions technologiques ? par la quête de durabilité, de qualité, de matériaux recyclables ou de production à la commande ? Va-t-elle se diriger vers un paradigme plus lent ?On parle beaucoup des tendances consommation pendant ce confinement ? Va-t-il vraiment y avoir un shift là-dessus ?“La «quarantaine de consommation» pourrait accélérer certains de ces changements de consommation, en radicalisant le rejet pour les modèles commerciaux “pollueurs” et en redoublant les attentes pour des projets durables. Ce qui confirme et accélère la hausse de la demande pour une mode de qualité, au prix juste, fabriquée éthiquement; et le rejet aussi de l’obsolescenceprogrammée des produits de mode.” Références/ sources The State of Fashion 2020 - Coronavirus updatehttps://www.businessoffashion.com/articles/intelligence/the-state-of-fashion-2020-coronavirus-update-bof-mckinsey-report-release-download?utm_source=daily-digest-newsletter&utm_campaign=1663481955966738&utm_term=11&utm_medium=emailNovethic - LA CRISE DU COVID-19, STRESS TEST GRANDEUR NATURE DE LA RSEhttps://www.novethic.fr/actualite/entreprise-responsable/isr-rse/la-crise-du-covid-19-stress-test-grandeur-nature-de-la-rse-148441.htmlForbes - Virtual Catwalks And Digital Fashion: How COVID-19 Is Changing The Fashion Industryhttps://www.forbes.com/sites/brookerobertsislam/2020/04/06/virtual-catwalks-and-digital-fashion-how-covid-19-is-changing-the-fashion-industry/Journal du Textile - Et demain, quel sourcing ?https://www.journaldutextile.com/et-demain-quel-sourcingWWD - Sustainability: A Lever for Post-Coronavirus Relaunchhttps://wwd.com/business-news/business-features/sustainability-a-lever-for-post-coronavirus-relaunch-1203551829/ELLE - Is Fashion Really Getting More Sustainable?https://www-elle-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.elle.com/fashion/amp31196137/sustainable-fashion-2020/Common Objective - Op-Ed: Covid-19 & Why Buyers Must Address Purchasing Practiceshttps://www.commonobjective.co/article/op-ed-covid-19-why-buyers-must-address-purchasing-practices


17 - WEEK 17 - News & Analysis avec Pierre-François le Louët de NellyRodi - Post Covid19 : les nouveaux paradigmes
Cette semaine, alors que nous sommes dans le 2ème mois de confinement, on parle avec Pierre-François Le Louët, président de l'agence NellyRodi, des changements de paradigmes qu'impliquent cette crise et ce sur quoi il faut travailler pour en sortir grandi.« Pour les marques digitales, ça ne change pas grand-chose : elles étaient en forte croissance avant la crise, elles le seront après la crise. »Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :Quels sont les paradigmes qui vont changerQui sont les grands gagnants et les grands perdants de cette criseLes impacts sur la RSE et la transformation numérique des entreprisesLes raisons de la fragilisation des acteurs du wholesale et d'une crise systémique de la modeCe à quoi les marques doivent réfléchir et ce qu'elles devront changerLes nouvelles règles du jeu et ce que signifie le monde d'avant en mieuxLe rêve de Pierre-François pour notre industrie après la crise« Il faut absolument se battre pour que cette sortie de crise ne soit pas le monde d'hier en pire, mais que ce soit le monde d'avant en mieux. »« Comment je fais pour rajouter de la RSE, rajouter de la transformation numérique, pour "retailiser" mon business, pour être moins dépendant de mes distributeurs, comment je fais concrètement, quelles sont les valeurs qui aujourd'hui ne sont plus essentielles dans ma marque et quelles sont les nouvelles que j'ai envie de défendre aujourd'hui. »« Il faut revoir les projets de manière fondamentale pour pouvoir les projeter dans un avenir auquel on croit, dans un avenir qui est porteur de sens et qui redonne une mission à la mode. »


145 - #145 - Delphine Plisson (Maison Plisson) – Je pense qu’un bon bouche-à-oreille vaut beaucoup plus que n’importe quelles campagnes de publicités.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Delphine Plisson, elle est la fondatrice de Maison Plisson. Dans cet épisode, Delphine nous parle de son parcours dans la mode, de l’importance du voyage, de création de la Maison Plisson, de la grande distribution, de la création de Petit Plisson et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Delphine, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Je suis profondément convaincue qu’un des trucs qu’on peut le mieux réussir dans sa vie, c’est de se contenter de ce qu’on est, au sens noble du terme. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Ses études, son travail d’hôtesse de l’air et ses stages à New York dans une galerie d’art.Son voyage en Inde et son travail chez Agnès B pendant 6 ans.Son travail chez Yves Saint Laurent et la générosité omniprésente au travail.Sa rencontre avec Peter Lindbergh et son travail pour lui pendant un an.Son travail de levée de fonds chez Antik Batik, sa rencontre avec Ingie Chalhoub.Son poste de directrice générale de Claudie Pierlot et la création d’un pôle de communication et de marketing chez Sandro pendant 5 ans.La grande distribution et la mal bouffe.La création de la Maison Plisson. La vision Maison Plisson et le projet Petit Plisson.Les réseaux sociaux qu’elle gère elle-même, sa stratégie d’acquisition, l’importance du bouche-à-oreille. « Monsieur Saint Laurent m’a dit une phrase que j’ai retenu toute ma vie et que j’essaye vraiment d’appliquer : « Les gens intelligents sont toujours gentils », ce n’était pas d’une humilité absolue mais c’était vrai. » Références :Maison Plisson https://www.lamaisonplisson.com/fr_FR/Agnès B https://www.agnesb.euPeter Lindbergh http://peterlindbergh.foundationSophie Duruflé https://www.linkedin.com/in/sophie-duruflé-b5910838/?originalSubdomain=frGabriela Cortese https://fr.antikbatik.com/gabriella-corteseÉpisode Frédéric Biousse https://podcasts.apple.com/ca/podcast/102-frédéric-biousse-experienced-capital-on-peut-faire/id1300541489?i=1000448127601Ingie Chalhoub https://www.lepoint.fr/art-de-vivre/ingie-chalhoub-l-etoile-de-la-mode-a-la-francaise-12-06-2017-2134584_4.phpClaudie Pierlot https://fr.claudiepierlot.comSMCP https://www.smcp.com/fr/Leftlovers https://l-overs.fr/lovers-manifesto/Leftover - pull over http://www.pullover.com/about-us/basic-wooljersey-jumperAlexandre Bompard https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Bompard


27 - 27 #COVID19 - Rediffusion Edlm live avec Tony Pinville (Fondateur de Heuritech) & Laure Guilbault (Vogue Business Contributor)
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


16 - Week 16 - Movers & Shakers - Roian Atwood - Senior Director of Global Sustainable Business at Lee
In this new episode, we meet Roian Atwood, he is Senior Director of Global Sustainable Business at Lee . « I think sustainability as an ethic, as a commitment to humanity, to our planet, as a very personal commitment to each other, to our familly, to our collegue, to make improvement for the future, so the world is a better place, and something we are proud of, that we do well, and I think that this ethic and that commitment, this is someting that inspires me everyday, it gets me out of bed, and something that I am exited to participate to.» What you will learn in this episode : Le parcours of RoianWhat does sustainability means acording to RoianWhen and why did Lee decided to move into that directionWhat is the difference between a conventional and a sustainable jeanHow did Roian managed to implement a global sustainable strategy at LeeWhy it is vital to move to sustainable fashionWhat is the awarness of sustainability worldwideAre all the product are sustainable at Lee, when it will me the caseThe palet of tools Lee have to make sustainable jeanWhat has been the results, and the reaction of Lee customersHow to make choice between design and sustainabilityWhat make him optimistic« No one customer should be asking themself this question : do I buy a sustainable product, or do I put foot on the table? That is not ok. There is a real responsability just not to engage with the customer and told this meaningful stories , but to find ways to make it accessible to all. » Références :Lee : https://eu.lee.com/fr-fr/homeBCI : https://bettercotton.org/about-bci/GOTS : https://www.global-standard.org/fr/US trust protocol for cotton growingOeko Tex: https://www.oeko-tex.com/Cradle to Cradle certification : https://www.c2ccertified.org/Sustainable apparel coalition : https://apparelcoalition.org/Higg index : https://portal.higg.org/


26 - 26 #COVID19 - Patricia Lerat - Coach alias the fashion therapist
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


25 - 25 #COVID19 - Romain Blanquet-Ferrero - Kitten Production
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


144 - 144 - Sébastien Lucas (Business Angel & Advisor) - Se décomplexer du mot « problème » dans une entreprise, c’est déjà changer énormément de choses dans la culture d’entreprise.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Sébastien Lucas, il est business angel et advisor. Dans cet épisode, Sébastien nous parle de son parcours, des business angel, de comment choisir d’investir dans une boîte, de l’importance des valeurs d’une entreprise et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Sébastien, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Se décomplexer du mot « problème » dans une entreprise, c’est déjà changer énormément de choses dans la culture d’entreprise parce qu’on se dit, génial, un problème, résolvons-le. Tu es content le soir quand tu te dis on a résolu un problème qui n’arrivera plus, donc le monde de demain est forcément meilleur que celui d’aujourd’hui. » Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours de SébastienInternet et l’entreprenariat dans les années 2000Le problème dans le monde du travail françaisL’importance du business angelLes critères pour investir dans une boîteLe branding et les outilsL’importance des valeurs de l’entrepriseComment surmonter la peur du conflitLe management et son apprentissageLe CRM et l’acquisitionLes retours clientsComment rester connecté à la créativité et aux innovations« Tu ne gagnes pas en pointant ce que l’autre fait mal. Tu gagnes en innovant plus, en allant plus vite que lui, en étant meilleur, en attaque du marché et donc, oui, ça te dérange mais dis-toi que ce n’est pas un concurrent mais un compétiteur, il doit t’aider à être meilleur que lui. » Références :Ecole Épita https://www.epita.frLivre Stratégie Océan Bleu - Renée Mauborgne et W.Chan Kim https://livre.fnac.com/a8096960/W-KIM-CHAN-Strategie-ocean-bleu-2e-editionThe obstacle is the way – Ryan Holiday https://www.amazon.fr/Obstacle-Way-Ancient-Adversity-Advantage/dp/1781251495Make my lemonade https://www.makemylemonade.comNoo https://www.noo-paris.comColtesse https://www.coltesse.comLe closet https://www.lecloset.frAdmise https://admiseparis.comPampa https://www.pampa.coPapier tigre https://www.papiertigre.fr/fr/La maison plisson https://www.lamaisonplisson.com/fr_FR/Reinventing organizations https://livre.fnac.com/a8843377/Frederic-Laloux-Reinventing-organizations-vers-des-communautes-de-travailAirtable https://airtable.com


24 - 24 #COVID19 - René Célestin - Fondateur de OBO et actionnaire d'Ubi Bene
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


23 - 23 #COVID19 - Pascal Monfort - Founder and Head of REC trends marketing
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


22 - 22 #COVID19 - Delphine Le Mintier - Directrice d'investissements au pôle des industries créatives de la BPI
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


21 - 21 #COVID19 - Marcel Nakam - Directeur Général de Jonak
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


20 - 20 #COVID19 - William Hauvette - Fondateur de Asphalte
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


19 - 19 #COVID19 - Michaël Azoulay - Fondateur de American Vintage
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


143 - 143 Cinthya Guerrero (Stella Pardo) - Le Pérou, l'optimisme et la transmission dans les veines
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Cinthya Guerrero, elle est la fondatrice et directrice artistique de Stella Pardo. Dans cet épisode, Cinthya nous parle de son parcours, de l’ADN péruvien qui influe sur son quotidien et sa marque, de l’importance de la transmission dans sa vie, de comment elle a lancé sa marque et son atelier de tricot, comment se renouveler et ne pas s’ennuyer sur un monoproduit, de sa communication et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Cinthya, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter ! « Pour moi le luxe, c’est la rareté, la qualité, l’excellence et pas du tout une question de prix. Ce n’est pas parce que tu vends ta pièce très chère, qu’elle le vaut vraiment. Tu ne peux pas faire de l’excellence en produisant des centaines de milliers de pièces. Rare, cela ne veut pas dire inaccessible, cela ne veut pas dire non plus complètement rare, il faut que les gens puissent y avoir accès. »Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Son enfance au Pérou et l’ADN péruvien. Ses études de commerce, son stage et son travail dans les médias.Par quoi elle commence en montant son entreprise.La différence entre la cachemire et l’alpaga et l’impact de la situation géographie et climatique sur la qualité des poils d’alpaga.Comment le Who’s Next a lancé la création de son atelier de tricot.Qui est la femme Cinthya Guerrero.Pourquoi s’associer.Passer du wholesale au retail. L’ADN Stella Pardo. Comment faire une pièce qui dure toute une vie.Comment se renouveler.Sa communication.L’importance d’être prêt à travailler avec un bureau de presse. L’importance d’analyser les chiffres, les best sellers. L’importance d’avoir un partenaire qui s’occupe de la partie chiffre quand on monte une entreprise.Comment prendre le temps. Comment s’inspirer et rester dans l’air du temps. « Pendant plusieurs collections, j’ai créé avec juste mes envies, mais aujourd’hui, avec du recul et l’expérience, je me rends compte que tu ne peux pas. Tu dois vraiment avoir une partie rationnelle dans la création parce que même si on croit toujours que le côté créatif c’est uniquement de l’instantané, du spontané, quelque chose qui vient des tripes, oui c’est vrai, mais il faut tempérer avec ton analyse des chiffres.. »Références :Dim Dam Dom https://dimdamdom.thegoodhub.comStella Pardo https://www.stellapardo.comDEFI https://www.defimode.orgFédération du prêt-à-porter https://www.defimode.orgLVMH https://www.lvmh.frWho’s next https://whosnext.com/frAntikbatik https://fr.antikbatik.comTranoï https://www.tranoi.comGOTS https://www.control-union.fr/control-union/Textile-GOTS-frEcoscale http://ecoscale.cheminfo.org/calculatorDresscode http://www.dresscodepress.com


18 - 18 #COVID19 - Karine Schrenzel - Fondatrice de Shopinvest & PDG de 3Suisses
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


17 - 17 #COVID19 - Valerie Berdah Levy - Istituto Marangoni France
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


16 - 16 #COVID19 - David Zmirov - Zmirov Communication
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


15 - 15 #COVID19 - Boris Provost - CEO du salon BtoB Tranoï
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


14 - 14 #COVID19 - Xavier Romatet - Directeur Général de l'IFM (Institut Français de la Mode)
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


13 - 13 #COVID19 - Barbara Quaranta - CEO de ROSEANNA
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


12 - 12 #COVID19 - Johanna Sebag - Dresscode
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


142 - #142 - Arthur Gerbi – CEO de Merci - Mon plus grand kiff, c’est lorsque les parisiens font visiter Merci à leur famille qui viennent de Province.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Arthur Gerbi, il est le CEO de Merci. Dans cet épisode, Arthur nous parle de son parcours, de l’histoire de Merci et de son ADN, de comment rester à l’affut des nouveautés, de l’importance de revenir aux choses simples et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Arthur, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !« Pour moi, être un commerçant c’est être généreux d’une certaine manière. C’est arriver à faire plaisir à quelqu’un, apporter des choses à quelqu’un, à lui procurer du plaisir en sélectionnant, en fabriquant les bons produits. »Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Le parcours d’Arthur Gerbi.Ce qu’est un bon commerçant.Les études d’entreprenariat ne font pas tout pour devenir un entrepreneur.Le marché de l’immobilier.L’histoire de Merci. L’acquisition client quand on est une grosse machine.L’appartement Merci. L’importance des personnes sur le floor, ce qu’ils font en magasin pour se renouveler.Comment toujours découvrir de nouvelles choses. Comment être efficace. « Fondamentalement, je ne crois pas du tout au marketing. Si tu joues avec les mêmes ingrédients que les autres, tu ne peux pas y arriver, tu ne peux pas te démarquer, tu ne peux créer de marque et d’histoire. » Références :Merci https://www.merci-merci.com/fr/Tadashi Kawamata https://fr.wikipedia.org/wiki/Tadashi_KawamataGérard Darel https://www.gerarddarel.com/fr_fr/Peter Lindbergh http://peterlindbergh.foundationAndré Balazs https://en.wikipedia.org/wiki/André_BalazsIan Schrager https://en.wikipedia.org/wiki/Ian_SchragerLe Garage Central https://www.thesocialitefamily.com/journal/le-garage-central/Millard Drexler https://en.wikipedia.org/wiki/Mickey_DrexlerGrimsel https://www.basel.com/fr/Media/Attraction/Shopping/GrimselL’art de la victoire – Phil Knight https://livre.fnac.com/a11093635/Phil-Knight-L-art-de-la-victoire-Autobiographie-du-fondateur-de-NIKECédric Charbit https://www.kering.com/fr/groupe/notre-gouvernance/comite-executif/cedric-charbit/


11 - 11 #COVID19 - Frédéric Biousse - Experienced Capital
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


10 - 10 #COVID19 - Camille Riou - LÕU.YETU
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


9 - 9 #COVID19 - Nicolas Santi Weil - CEO de AMI et Business Angel - Haut les coeurs serrons-nous les coudes
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


145 - 8 #COVID19 Jenny Chammas - Comment hacker son cerveau pendant la crise ?
Pour en savoir plus sur Jenny rendez-vous sur https://www.coachappy.com/Pour découvrir son podcast c'est par ici https://www.coachappy.com/podcasts/Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


7 - 7 #COVID 19 - Ramdane Touhami - Officine Universelle Buly - Retour d'experience et quels enseignements pour la suite
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


6 - 6 #COVID 19 - Delphine Del Val - Pool Creatives - L'impact du COVID19 sur le monde de l'influence et comment communiquer à présent ?
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


5 - 5 #COVID 19 - Viviane Lipskier - Fondatrice de BrandAlchimy - Les DNVB à l'ère du COVID19
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


144 - Week 13 - News & Analysis - Les DNVB chamboulent le monde du parfum (Avec Viviane Lipskier)
Cette semaine avec Viviane Lipskier, on parle de comment les DNVB chamboulent le monde du parfum.Viviane est fondatrice de Brandalchimy, elle est l’expert DNVB en France et accompagne les marques à repenser leur business model dans l’économie Direct to Consumer (D2C). Elle est l’auteure des « DNVB : les surdouées du commerce digital ».Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Comment le marché mondial du parfum se dynamise L’ultra luxe de la parfumerie a le vent en poupePourquoi les gens mettent moins de parfumLes différences entre le parfum sélectif et le parfum de luxe.L’opacité concernant le contenu des parfums.L’apparition de la naturalité dans les parfums.Comment se renouveler dans l’univers du parfum.Les nouvelles propositions des DNVB.Le retour d’expérience pop-up.La rareté des nez.La vente en ligne de parfum. Zoom sur Sillages, Nolença, Floratopia Le packaging. Références :Sillages Paris https://sillagesparis.com/fr/Givaudan https://www.givaudan.comFirmenich https://www.firmenich.com/en_INT/index.htmlDiptyque https://www.diptyqueparis.com/fr_fr/Atelier Cologne https://www.ateliercologne.frFrédéric Malle https://www.fredericmalle.euByredo https://www.byredo.com/eu_en/Kurkdjian https://www.franciskurkdjian.comKilian https://www.bykilian.frLe Labo https://www.lelabofragrances.comMatière Première https://matiere-premiere.comOrmaie https://ormaie.parisMaison Crivelli https://maisoncrivelli.comMaison d’Orsay https://dorsay.parisHeretic parfum https://www.hereticparfum.comHenri Rose https://henryrose.comThe Alchemist https://thealchemistatelier.com/frGuerlain Mindscet https://www.lvmh.fr/actualites-documents/actualites/mindscent-le-chercheur-de-parfums-inspire-par-guerlain-pour-vivre-une-experience-olfactive-unique-en-boutique/Serge Lutens https://www.sergelutens.com/fr/Benjamin Vigliotta http://benjaminvigliotta.comÉtat Libre d’Orange https://www.etatlibredorange.com/en/shop/Nolença https://www.nolenca.comRen https://renskincare.frPodcast Olfactif https://www.nolenca.com/le-podcast-olfactifRobertet https://www.robertet.comCaroline Mignot http://www.tableadecouvert.fr https://www.instagram.com/caroline.mignot/Floratropia https://floratropia.com/passwordMarcelle Dormoy https://www.marcelledormoy.comJovoy https://www.jovoyparis.com/fr/


4 - 4 #COVID-19 - Clarisse Reille - Comment créer des boîtes "crisis-proof" ?
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


3 - 3. #COVID-19 - Pierre-François Le Louët - Nelly Rodi & Fédération Française du Prêt À Porter Féminin - Cette crise n'a pas d'équivalent depuis la seconde guerre mondiale
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


2 - 2. #COVID-19 - Guillaume Delacroix - DLX Paris - Ne rien lâcher et partager pour en ressortir plus fort
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


1 - 1. #COVID-19 - Dan Arrouas - Cofondateur et CEO de ba&sh - Personne ne re-consommera après le COVID-19 de la même façon qu’on consommait avant
Avec l’épidémie de COVID-19, nous sommes face à une crise sans précédent, une crise majeure qui marquera un tournant dans nos vies et dans notre industrie, et dont personne ne sortira complètement indemne. Cette situation nous fait à juste titre nous poser des milliards de questions : Comment réagir pour limiter la casse, sauver nos emplois et nos entreprises ? Comment s’organiser en interne ? Comment communiquer avec nos clients ? Etc. Dans ce contexte, j’ai décidé de chambouler le calendrier éditorial d’Entreprendre dans la mode pour tenter de vous aider autant que possible à traverser cette tempête. Chaque jour, un acteur majeur de l’industrie vient à mon micro pour partager ses réactions, son ressenti, ses conseils et ses solutions pour survivre à cette crise et aller de l’avant.Je remercie vivement chacun pour son temps et son partage d’expérience dans cette période compliquée, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux. 📧 Pour recevoir les conseils d’entrepreneurs qui ont réussi dans la mode et des interviews exclusives, inscrivez vous à la newsletter de EDLM en suivant ce lien : https://manage.kmail-lists.com/subscriptions/subscribe?a=HcCvpP&g=Q25n3G ➡️ Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode ou en m’écrivant directement sur hello@edlm.co✍️ Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !


141 - #141 - François Simon (Critique Gastronomique) - Un beau vêtement, un beau plat, c’est là où il y a de l’air, une circulation, un mouvement et du sens - Un épisode réalisé en partenariat avec Dim Dam Dom, mode, création & design
En cette période pleine d’incertitudes, quoi de mieux que d’écouter une voix rassurante, celle de François Simon, nous parler de bouffe et de voyage ? François est journaliste et critique gastronomique. Dans cet épisode, il nous parle de son métier, de sortir des sentiers battus, dans la vie mais aussi dans de nouvelles villes que l’on découvre, de comment il se prépare avant de découvrir un nouveau restaurant, de ce qu’est un bon restaurant et un bon vêtement et de l’importance de l’air, du lien entre la gastronomie et de toutes les formes d’arts. Ça m’a fait beaucoup de bien de l’écouter, j’espère que cet épisode sera pour vous aussi réconfortant qu'il l'a été pour moi. Cet épisode est réalisé en partenariat avec Dim Dam Dom, mode, création & design. Dim Dam Dom, c’est un trimestriel féminin slow living qui invite à ralentir, à appuyer sur pause et prendre du temps, comme maintenant avec ce podcast. C’est une publication du groupe Ideat Éditions fondé par Laurent Blanc, aussi éditeur des magazines lifestyle IDEAT et The Good Life. On y parle société, food, design, architecture, mode & beauté, culture, voyages et lifestyle. Le tout illustré de belles images et sous la plume d’écrivains et de journalistes spécialisés. Vous pouvez le retrouver en kiosque et dans une sélection de librairies et concept stores en France et à l’étranger à un prix de 6,90 €.« Pour moi la bouffe n’est qu’une étape qui traduit un univers extrêmement riche qui va du cinéma, à la littérature, en passant par tout, par la gestuelle, tout est totalement lié. »Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Ce que sont les métiers de journaliste et critique gastronomiqueCe qu’est le magazine Dim Dam Dom, mode, création & designComment sortir des sentiers battus quand vous voyagez, ou même à Paris Ce qui le surprend encore dans ses voyagesCe qu’il regarde et fait avant de découvrir un nouveau restaurantL’importance des 5 sens dans la découverte d’un restaurantCe qui fait un bon restaurantComment retrouver du temps, faire de la placePourquoi la mode c’est si important En quoi les cultures et les gens sont différentsCe qui fait un bon vêtement et un bon platCe qu’il porte et ce qu’il se refuse Comment se renouveler sans perdre son âme Où emmener son ou sa fiancée au restaurant « La mode et la nourriture, sa définition, les rapports… Le mot qui me vient à l’esprit, c’est l’air. Pourquoi l’air ? Parce que dans un vêtement, ce qui m’importe c’est sa fluidité, sa circulation. Pareillement, dans une salade, ce que j’aime bien, c’est l’air parce qu’elle a été faite à la minute, parce qu’elle est encore dans son élan, dans son allant et pour moi ce qui est important c’est le mouvement ». Un épisode réconfortant ! Je remercie vivement François pour sa poésie et sa générosité, et je vous invite à en faire de même sur ses réseaux sociaux, car c’est un beau cadeau qu’ils nous a fait aujourd’hui.Je remercie également Giovanna Castelli, rédactrice en chef de Dim Dam Dom sans qui cette épisode n’aurait pas été possible.Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références :Dim Dam Dom https://dimdamdom.thegoodhub.com


195 - Étude de cas - LOOM #3 - Guillaume Declair - Logistique, service client, stratégie de contenus… Ça serait comment si c’était facile ?
À quoi ressemblent la réalité et le quotidien d’une marque de mode et des gens qui sont derrière ? Quelles sont leurs stratégies dans chaque domaine de l’entreprise ? Comment les appliquent-t-ils ensuite au jour le jour ? Quels outils utilisent-t-ils ? Comment choisissent-ils leurs usines, leurs fournisseurs ? Comment fixent-t-ils leurs prix ? Et comment gèrent-ils leur temps dans tout ça ?!Depuis longtemps, je rêvais de tester ce nouveau format sur Entreprendre dans la mode : l’étude de cas d’une marque. Je voulais des chiffres, du dur, du concret, du pratico-pratique ! Parce ce que quand on monte une marque, il ne suffit pas d’être créatif. C’est un métier complexe qui fait appel à un large spectre de compétences et qui nécessite d’avoir plus d’une corde à son arc. Et cet apprentissage, on le fait souvent tout seul, au fil des galères et des erreurs. Le but ici, c’est de vous faire gagner du temps en bénéficiant de l’expérience de ceux qui sont déjà passés par là.Pour ce coup d’essai, c’est la marque de vêtements LOOM qui se prête au jeu et qui m’ouvre ses portes. Dans cette série de 3 épisodes, Julia, Guillaume et Clément, les 2 cofondateurs et le premier salarié de LOOM, nous révèlent absolument tout sans langue de bois sur leurs stratégies et leurs méthodes de travail. Ils reviennent également sur les différentes étapes de développement de LOOM, depuis son lancement jusqu’à la levée de fonds réalisée auprès des membres de leur communauté.Tout y passe : design, développement produits, production, relations publiques, stratégie de contenus, réseaux sociaux, expérience client, logistique, direction artistique… On a même parlé compta, pour vous dire ! Cerise sur la gâteau, Guillaume Declair, qui est aussi l’auteur de La 25e heure, nous partage ses secrets de productivité pour faire toujours moins mais mieux et ne pas exploser en vol.Un épisode riche de conseils, d’astuces et de l’expérience de trois entrepreneurs de la mode d’un genre nouveau !Je remercie vivement Julia, Guillaume et Clément pour leur transparence et leur générosité, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux, car c’est un beau cadeau qu’ils nous font aujourd’hui. Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.comAussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews !Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références :On a aussi parlé du blog de LOOM, la mode à l’envers et de l'épisode #123 de Entreprendre dans la mode avec Julia Faure - Le vrai problème de notre industrie, c’est la surconsommation et la surproduction🛠 La Boite à Outils de Loom :Mixmax pour les relances fournisseursExcelEvernoteHelpscout pour l’expérience clientPixelmator le « Photoshop du pauvre »Flume pour recréer interface d’Instagram sur son ordinateurClipfolio pour son dashboardIntegromat pour automatiser


140 - #140 Ditte & Nicolaj Reffstrup - (Founders of GANNI) How to become one of the most exciting brand of the moment ?
POUR TELECHARGER LE FASHION WEEK REPORT DE HEURITECH C'EST PAR ICI : www.heuritech.com/edlm« I think we are a lot smaller that a lot of people think we actually are financially. » Before starting GANNI, Ditte held different position from sales representative to buyers which give her a very good insight of what customers want. Nicolas held technical positions and co-founded several companies, including Oryx Invest and Spleak Media Network Ltd. The high-end brand wants to break the overly minimalist codes of the Scandinavian spirit and wants to seduce fashionable women with strong pieces. The brand represents a strong woman who has confidence in herself, offers everyday pieces, easy to wear, chic and comfortable.The brand has always been very picky at choosing at the retailers they work with. « We have an accessible product price range (The prices are between 150 and 300$) but with a luxury distribution strategy. » Nicolaj obsession for sustainability coupled gave GANNI a real desire to be environmentally friendly and minimize its energy consumption, chemicals and CO2 emissions in its manufacturing process. However, the brand does not wish to claim or present itself as an "eco responsible brand" but as a brand that does the best it can. « Sometime the problem is that the topic is so complex that there is no right or wrong answer. » In 2017, a 51% stake in Ganni was sold to L Catterton, the consumer-focused private equity firm whose shareholders include LVMH. In that year, GANNI had sales of approximately $50 million. The following year, Nicolaj resigned as CEO and was replaced by Andrea Baldo de Coccinelle. Nicolaj will now be able to focus on long-term brand strategy.In this episode we are covering a lot of topics, we come back on their pathway before GANNI, how did everything started at GANNI and what they take from their previous experiences in tech. « We have a very flat hierarchy, its less about authority and title, it is more about the best skills, the smartest guy on the block, it is also about bringing on board talent when you come across it. We have scrub meetings (10/15 min meeting, 1 min to tell what you did yesterday and what you do today) and so on... » We also cover distribution and communication strategies and they come back on the 2 or 3 things that gave GANNI global awareness. Of course we talk a lot about sustainability, we cover topics such as how to manage the contradiction of being in the fashion business when you are such aware of the climate change issue, how to be a responsible brand, how they use the carbon compensation as a tool to monitor and improve the results of their sustainable strategy, how to aligned design and sustainability when it comes to fabric choices, how to absorbe the extra cost of sustainable fabric. « We compensate our carbon foot print, but we are very careful not to think of that as a way to kind of paying indulgence, just paying to do bad, we always thought of it as a tax you put on yourself like the carbon tax no politician had the guts to impose on us. To make it tangible, you can navigate toward that, and try to reduce it. » We also talk about their daily organisation, how they see the future of GANNI and we talk about how do they balance their personal and professional life as a couple in charge of such a big organization.This episode full of tips, tricks and the experience of the two fashion entrepreneurs ! I strongly thanks Nicolaj & Ditte Reffstrup for their transparency and generosity, and I invite you to do the same on their social networks, because it is a great gift they are giving us today.I thank Mehrie and Guillaume from DLX who make this episode possible. If you're looking for the episode notes with all the references, it's simple: go to the podcast blog, www.entreprendredanslamode.com. Also, if you wish to contact me or suggest new guests, you can do so on Instagram under the nickname @entreprendredanslamodeLast but not least: leave me a review on Apple Podcast or iTunes, preferably 5 stars; it helps me to spread the word about the podcast to more people and encourages me to do better interviews!Thank you for supporting this podcast and see you soon for a new episode!Références :GANNI website Higg Index


193 - Étude de cas - LOOM #2 - Clément Potier - Faire moins mais mieux à tous les niveaux de l’entreprise, des réseaux sociaux à la comptabilité !
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Clément Potier, il est directeur artistique et directeur financier de Loom. Dans cet épisode, il nous parle de la stratégie de communication de Loom comprenant les réseaux sociaux et les outils nécessaires, de la direction artistique et de comment il s’est formé et entouré pour que cela reste cohérent, des sujets administratifs tels que la comptabilité, le légal et les analytics, des avis clients, des ressources humaines et du bien être des salariés et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Clément, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !Si pour s’assurer que les gens sont heureux au travail, il faut qu’on soit moins de 15, peut être que c’est une contrainte qu’il faut qu’on se mette. Grossir en nombre de salariés n’est pas un but chez Loom.Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :La stratégie réseaux sociaux et communication de Loom.Les réseaux sociaux comme outils d’acquisition.Les outils pour la création de contenuCe qui fait qu’une bonne story créée de l’engagement.L’éditorial de Loom, la direction artistique de la marque.Comment se former et s’entourer pour la direction artistique.Comment gérer les sujet analytics, comptabilité et légal (dont les assurances).Les KPI et l’importance des avis clients.Les ressources humaines, comment rendre ses salariés heureux.Cette grille de salaire, on a vraiment essayé de la construire autour d’un indicateur clé qui est l’expertise, avec une transparence et une ouverture à tout le monde qui permet d’éviter les rapports de force entre les gens et notamment, qu’il n’y ait pas de différences de traitement entre les hommes et les femmes, entre une fonction A et une fonction B, qu’on arrête de voir les énormes écarts de salaires qu’il va y avoir entre un développeur et quelqu’un qui travaille au SAV.Références :Loom https://www.loom.fr/Merci Alfred https://www.mercialfred.com/PixelMator https://www.pixelmator.com/pro/Flume https://flumeapp.com/Setapp https://setapp.com/frRadical candor – Kim Scott https://www.radicalcandor.com/


139 - #139 - Sarah Poniatowski (Maison Sarah Lavoine) - Tout ce qu'il t’arrive, tu le provoques.
Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Sarah Poniatowski, la créatrice et fondatrice de Maison Sarah Lavoine, marque globale d’art de vivre, agence d’architecture d’intérieure et marque de vêtements et de décoration. Dans cet épisode, Sarah nous parle de comment Maison Sarah Lavoine a grandi, de ses inspirations, du chantier de ses rêves, d’être une femme business woman et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Sarah, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !Ce que vous allez apprendre dans l’épisode :Comment faire en sorte que les clients soient heureux chez eux via l’architecture d’intérieure.Comment construire une collection.Par quoi commencer lors d’un brief client.Comment se passe un concours de projets d’architecture.Comment s’organise un cabinet d’architecture d’intérieure.Où trouver l’inspiration.Comment se protéger du stress.Comment intégrer la sustainability dans la décoration et l’architecture d’intérieure.Comment accélérer la révolution éco-responsable dans ce secteur.Être une femme business woman et comment faire avancer la société sur le statut de la femme dans le monde du travail.L’importance de croire en soi et en ses rêves.Références :Maison Sarah Lavoine https://www.maisonsarahlavoine.com/Edouard Renevier https://www.linkedin.com/in/edouard-renevier-8110b340?originalSubdomain=frChristian Liaigre https://www.liaigre.com/fr/Charlotte Perriand https://fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_PerriandAraki http://www.artnet.fr/artistes/nobuyoshi-araki/Guy Bourdin https://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_BourdinHelmut Newton https://www.artlife.com/artist/helmut-newton/Delaunay https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_DelaunaySoho House https://www.sohohouse.com/No more plastic https://www.nomoreplastic.co/Banksy https://fr.wikipedia.org/wiki/Banksy


191 - Étude de cas - LOOM #1 - Julia Faure - Comment développer les vêtements les plus résistants du marché ?
À quoi ressemblent la réalité et le quotidien d’une marque de mode et des gens qui sont derrière ? Quelles sont leurs stratégies dans chaque domaine de l’entreprise ? Comment les appliquent-t-ils ensuite au jour le jour ? Quels outils utilisent-t-ils ? Comment choisissent-ils leurs usines, leurs fournisseurs ? Comment fixent-t-ils leurs prix ? Et comment gèrent-ils leur temps dans tout ça ?!Depuis longtemps, je rêvais de tester ce nouveau format sur Entreprendre dans la mode : l’étude de cas d’une marque. Je voulais des chiffres, du dur, du concret, du pratico-pratique ! Parce ce que quand on monte une marque, il ne suffit pas d’être créatif. C’est un métier complexe qui fait appel à un large spectre de compétences et qui nécessite d’avoir plus d’une corde à son arc. Et cet apprentissage, on le fait souvent tout seul, au fil des galères et des erreurs. Le but ici, c’est de vous faire gagner du temps en bénéficiant de l’expérience de ceux qui sont déjà passés par là.Pour ce coup d’essai, c’est la marque de vêtements LOOM qui se prête au jeu et qui m’ouvre ses portes. Dans cette série de 3 épisodes, Julia, Guillaume et Clément, les 2 cofondateurs et le premier salarié de LOOM, nous révèlent absolument tout sans langue de bois sur leurs stratégies et leurs méthodes de travail. Ils reviennent également sur les différentes étapes de développement de LOOM, depuis son lancement jusqu’à la levée de fonds réalisée auprès des membres de leur communauté.Tout y passe : design, développement produits, production, relations publiques, stratégie de contenus, réseaux sociaux, expérience client, logistique, direction artistique… On a même parlé compta, pour vous dire ! Cerise sur la gâteau, Guillaume Declair, qui est aussi l’auteur de La 25e heure, nous partage ses secrets de productivité pour faire toujours moins mais mieux et ne pas exploser en vol. Un épisode riche de conseils, d’astuces et de l’expérience de trois entrepreneurs de la mode d’un genre nouveau !Je remercie vivement Julia, Guillaume et Clément pour leur transparence et leur générosité, et je vous invite à en faire de même sur leurs réseaux sociaux, car c’est un beau cadeau qu’ils nous font aujourd’hui. Si vous cherchez les notes de l’épisode avec toutes les références, c’est simple : allez sur le blog du podcast, www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamodeEnfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et m’encourage à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !Références : On a aussi parlé du blog de LOOM, la mode à l’envers et de l'épisode #123 de Entreprendre dans la mode avec Julia Faure - Le vrai problème de notre industrie, c’est la surconsommation et la surproduction🛠 La Boite à Outils de Loom :Mixmax pour les relances fournisseursExcelEvernoteHelpscout pour l’expérience clientPixelmator le « Photoshop du pauvre »Flume pour recréer interface d’Instagram sur son ordinateurClipfolio pour son dashboard Integromat pour automatiser


190 - #138 - Michaël Azoulay (American Vintage) – Un Self Made Man qui a le goût de la liberté
Dans ce nouvel épisode, je reçois Michaël Azoulay, fondateur de American vintage. Il a grandi sous le soleil de Marseille, enfants de commerçants, entier, rebelle, guidé par un fort besoin de liberté. Après le collège, on l’oriente vers un BEP puis un Bac pro électronique. Un parcours initial qui ne le prédestiné pas du tout à être à la tête d’une marque de mode de 800 employés. En effet, il a failli passer à côté de tout ce qu’il est aujourd’hui. Il rentre très jeune dans la vie active et découvre le métier de vendeur dans un magasin de jean, il découvre son talent pour la vente et le commerce. Il devient en suite représentant et sillonne la France pour démarcher des boutiques. Il est très impliqué et c’est une discussion avec un proche qui lui donne fait avoir le déclic. Il prend conscience de tout ce qu’il fait là, il pourrait le faire pour lui-même. Il commence à penser à la possibilité de développer sa propre affaire. Il trouve un premier fournisseur, il apprend, il fait sa première collection d’une dizaine de pièces. Petit à petit, le projet se met en route en septembre 2001. Il a des premières commandes, il lance la production, il commence avec sa sœur. Il grossi petit à petit. En février 2005, c’est la naissance de American Vintage avec l’ambition de voyager et de s’expendre sa marque en dehors des frontières. Les premières saisons sont très inspirées du style américain. Puis il y ajoute en suite le style français, il commence à trouver leur signature et trouve de plus en plus de revendeurs en wholesale. A partir de 2006, la marque décolle vraiment. C’est un très grand succès avec une croissance incroyable d’année en année. Dans cet épisode, Michaël nous explique comment il s’est formé sur le terrain, son parcours progressif et le travail acharné qu’il a fourni pour y arriver. Il nous explique sa stratégie omnicale, comment il a travaillé l’identité de sa marque et comment il l’a structuré après avoir travaillé pendant des années au feeling. Il nous parle aussi de l’équilibre qu’il tient avec sa famille et l’éducation qu’il apporte à ses enfants, et surtout de sa passion du métier, comment il est drivé par ses équipes, l’adrénaline et le challenge au quotidien ! Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : - Un parcours se fait en plusieurs étapes- Se former sur le terrain - L’importance de voyager et de s’ouvrir à l’international- Gérer sa logistique soi-même- Une stratégie de distribution omnicanale- Travailler avec des agents et des représentants- Travailler au feeling- Une boutique comme laboratoire d’expérience- Le timing pour le bureau de presse et la publicité- Trouver les 1000 premiers clients- Regarder les chiffres des ventes et agir en fonction- Rester proche de sa famille Une interview d’un self made man qui, par un parcours progressif et acharné, a monté avec beaucoup d’évidence une très belle boite désirable et bienveillante ! À aller écouter sans plus attendre sur Soundcloud I Apple PodcatsI Spotify Recevez tous les épisodes dans votre boîte mail en utilisant ce lien : http://eepurl.com/ggK0A1N'oubliez pas de le partager, de le noter, et de laisser un gentil mot, ça m’aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleurs épisodes !Très bonne écoute Adrien
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189 - Week 8 - News & Analysis - Quelles sont les menaces qui pèsent sur le Luxe - Avec Pierre-François Le Louët - Président de l'agence Nelly Rodi
Cette semaine, alors que nous sommes en pleine crise du Coronavirus, on parle, avec Pierre-François Le Louët, président de l'agence Nelly Rodi, des menaces qui pèsent sur le luxe.En effet, la France est pays qui rayonne par ses groupes de luxe, mère de LVMH et KERING, cette industrie génèrent beaucoup d'emplois et participe à l'économie nationale. Les Maisons sont une part non-négligeable de l’identité du pays. Toutefois, bien que cette industrie se porte actuellement très bien, il est important de parler et d'anticiper des préoccupations montantes sociétales, qui pourraient bien lui faire de l'ombre. SE RETROUVER DANS L’EPISODE00:45 Introduction du sujet, quels types de problématiques possibles07:10 Comment les équipes s’organisent en interne pour ne pas tomber dans le piège18:23 L’impact des réseaux sociaux sur les marques et leurs problématiques, recommandations pour tacler les divers sujetsKEYLEARNINGSIl y a beaucoup d’études chez Nelly Rodi aujourd’hui qui nous montrent qu’une certaine population de gens extrêmement aisés trouvent qu’il n’est plus moral de dépenser autant. C’est un vrai sujet puisqu’il y a eu une augmentation des prix du luxe qui a été extrêmement importante sur des produits qui n’ont pas énormément bougé mais simplement il y avait une demande qui augmentait notamment de la part des acheteurs asiatiques donc c’était logique et plutôt sain pour les marques d’augmenter leurs prix parce qu’elles ne pouvaient pas non plus démultiplier leurs capacités de production et qu’il y avait une demande qui était de plus en plus forte de ce côté-là. Mais pour un certain nombre d’acheteurs occidentaux, cela pose problème pour certains parce qu’ils ne peuvent plus se l’offrir, et pour d’autres parce qu’ils trouvent que ce n’est plus moral de les acheter à un tel prix.Certains acheteurs se disent « tel grand groupe fait tant de résultat net donc pourquoi est-ce que j’irais acheter aussi cher quelque chose ». Alors évidemment, il y a plein d’arguments pour contrer tout ça, notamment sur la qualité des vêtements, sur le caractère totalement exceptionnel de ces réalisations, de ces productions, sur la rareté de ces productions, on revient à un discours assez traditionnel sur le luxe et puis après tout, le coup de cœur, le story telling évidemment, quelque soit le prix. Heureusement, il y a toujours dans nos phénomènes de mode, une petite part de folie et de désir qui vient contrer les arguments les plus traditionnels, ou les plus rationnels.Ce débat autour de l’environnement est crucial, comme le débat sur la cause animal avec la montée du véganisme dans la food, s’attaque aujourd’hui à l’univers de la mode. Tous les industriels sont là pour essayer d’expliquer pourquoi, comment, si jamais on utilise des peaux naturelles, pourquoi est-ce qu’on les utilise, pourquoi le plastique ce n’est pas toujours génial y compris lorsqu’il s’agit de la fausse fourrure, parce que ça va dégager des micros plastiques dans les océans et que c’est épouvantable, parce que ce sont souvent des plastiques qui sont des dérivés du pétrole donc il n’y a pas, là-encore, une seule et unique réponse mais dans tous les cas, ce sont des sujets qu’il faut adresser.On a vu un nombre croissant de suicides de designers qui sont passés dans des entrefilets dans la presse parce que c’é