

67 - Saison 3 - Valere Noubissie - Les jeunes dans le secteur de la construction (#067)
Valère commence ses études d'ingénieur à l'ECAM et va jusqu'au Bachelier; il y a appris la rigueur et le calcul. Il n'imaginait pas cependant que son futur métier incluait tant d'administration, c'est sa première surprise.Il décide ensuite de s'orienter à l'UMONS vers l'architecture laissant ainsi place à sa créativité car c'est cet aspect en particulier qui l'attire le plus.En troisième année il fait un stage chez Thomas & Piron, sur chantier, il y découvre le monde de la construction avec la casquette de "gestionnaire de chantier".L'année suivante, un stage chez CIT blaton lui a permis, dans un bureau d'études, de faire plus du calcul, de la conception et du dimensionnement.Dans les deux cas, il est considéré et la confiance lui est rapidement accordée. Certes la crise sanitaire a rendu sa recherche de stage difficile, mais c'est pourtant ces deux périodes en entreprises qui lui permettent d'identifier le métier qui l'attire : gestionnaire de chantier ou ingénieur stabilité en bureau d'études.Nous le questionnons sur la parité hommes-femmes, les préoccupations environnementales mais aussi sur la diversité, l'inclusion. Ici Valère met en lumière un paradoxe rarement sous les projecteurs quand on parle d'égalités des chances... En effet, une société peut être désireuse de favoriser l'inclusion, mais quid des lois et des administrations qui sont lourdes et finissent par désavantager les candidats issus de l'immigration ? Ne sommes-nous là pas face à une aberration ? Si le Visa devient l'élément qui finit par discriminer dès les études.... ne faut-il pas revoir un système obsolète face aux besoins de talents du secteur ? Nous parlerons même des salaires miniums imposés par l'État...De temps en temps, même si Valère apporte beaucoup de positif dans son témoignage, nous nous devons de pointer des choses qui ne peuvent que / doivent s'améliorer. À condition, d'abord, d'en prendre conscience.... la parole est à vous !La ligne du temps de ce podcast (via Youtube):00:40 Introduction00:47 Salutations à la ville de Mons (on mentionne la friterie Chez Bily)01:10 Questions Vrai / Faux02:12 Pourquoi as-tu répondu "faux" à la question "mes études, mon métier c'est tel que je l'imaginais"03:06 Michaël va contextualiser en précisant que Valère a fait une partie à l'ECAM, puis est allé à l'UMONS; peux-tu nous expliquer les grandes différences entre les deux ?04:13 Allons-nous voir des fonctions s'ouvrir pour alléger ce métier en reprenant la partie administrative ?04:46 Deux stages, l'un chez Thomas & Piron, l'autre chez CIT Blaton, quelles différences entre les deux entreprises ?05:48 Est-ce que cela t'a permis de t'ouvrir les yeux sur le type de fonction et département où tu souhaites évoluer ?06:11 Pourquoi as-tu répondu par l'affirmatif quand nous avons demandé si tu t'es senti accompagné dans ton intérêt lors de tes stages ?07:25 As-tu déjà une vision sur le type d'entreprises qui te plairait pour la suite ? Déjà été contacté ?07:55 Si on devait décrire en un mot ce qui te passionne le plus ? ce serait lequel ?08:14 Comment as-tu vécu la crise sanitaire en tant que jeune ?09:27 Les hommes et les femmes dans le secteur : pas de différence ?10:40 L'environnement : une réelle préoccupation ?12:09 Les valeurs dans les sociétés sont-elles réellement assumées sur le terrain ?12:52 Une question brutale de Michaël : "en tant que noir, est-ce que tu t'es déjà senti, durant tes études et même durant tes stages, observé avec un regard différent ? Est-ce que tu sens que tu dois peut-être faire deux fois plus qu'un autre ?"13:27 Est-ce que tu recommandes le secteur aux jeunes et qu'est-ce qui t'y a attiré, quels messages souhaites-tu leur passer ?14:52 Pour toi c'est un objectif de retourner au Cameroun, d'avoir un impact local et de ramener les compétences acquises ici ?15:40 Qu'est-ce qui te fait hésiter quand il s'agit d'affirmer que tout le monde à sa chance dans le secteur ?18:04 Face à la robotisation, le digital : comment perçois-tu les choses ?18:01 Clôture de l'interview et remerciements19:05 Un message pour les étudiants qui nous écoutent.


66 - Saison 3 - Théo Nicolas, Virgile Vandeput - Les jeunes dans le secteur de la construction (#066)
Théo Nicolas & Virgile Vandeput nous explique ce qu’ils font au quotidien et les débuts dans leur carrière. Leurs premières impressions sont un excellent moyen de cibler ce qui change, ou pas, dans le secteur.Michaël Dumbi et Michel Godart ont eu cette opportunité de les questionner sur des sujets importants : la parité hommes - femmes, l'environnement, les valeurs et l'évolution des technologies.Dans ce podcast vous verrez que le secteur de la construction peut offrir aux jeunes de superbes opportunités et réserve aussi des surprises.Ce podcast donne du sens, inspire, encourage et nous apporte un vent de fraîcheur !Allez go ! 20 minutes pour motiver un jeune quand on sait que 40 000 postes sont à pourvoir d'ici 2030…on relève le challenge ?Partagez, commentez ce podcast !La ligne du temps de ce podcast :00:26 Introduction. 00:43 Présentation des invités et annonce de la rubrique Vrais/Faux. 01:05 Mes études, mon métier : c'est tel que je l'imaginais. 01:11 Mes stages ont joué un rôle majeur dans mon orientation de carrière. 01:17 Lors de mon stage je me suis senti accompagné dans mon intérêt. 01:25 Hommes - Femmes : pas de différence dans le secteur. 01:32 L'environnement c'est une réelle préoccupation. 01:36 Les valeurs des sociétés sont réellement assumées sur le terrain. 01:48 Je recommande le secteur aux jeunes. 01:51 On a tous sa chance dans le secteur02:26 Pourquoi Virgile à répondu faux à la première question02:48 Michaël invite Virgile à présenter la société pour qui il travaille et ce qu'il fait au quotidien03:14 Michaël demande de préciser : secteur tertiaire ? Industriel, civil ?03:34 Pourquoi Théo a répondu faux à la première question ?04:02 Qu'est-ce qui a conduit Théo au secteur04:34 Michel rebondit sur le fait que Théo connaisse le secteur par ses parents : une surprise avec une autre approche ?04:44 Théo est invité à enchainer sur sa seconde réponse concernant le rôle de son stage dans son orientation de carrière06:12 Virgile nous parle aussi de ses stages.07:04 Pourquoi Virgile ressent une différence entre hommes et femmes ? Son constat07:53 Quelle différence voit Théo de son coté et pourquoi tous deux déplorent ces constats08:35 La question sur l'environnement est particulièrement ciblée pour Théo au vue de ses études : il nous explique avec les nuances et donne un exemple10:22 Pour Virgile la solution passe par l'enseignement10:44 Michel demande à Théo si les leviers financiers ne sont pas les choses à mettre en place en priorité12:06 Michaël demande à Virgile de nous expliquer son quotidien12:54 Les nouvelles technologies vont-elles permettre de faire des offres plus en adéquation avec les attentes des clients ?13:52 On va parler des valeurs et pour cela Michaël invite Théo à préciser ce qu'il fait : 14:0114:57 Les plus grandes difficultés pour Théo : sensibiliser15:13 Les sociétés interpellées sont-elles attentive à la démarche ?15:40 Avec un grand enthousiasme Théo et Virgile recommandent le secteur aux jeunes, Virgile nous explique pourquoi16:19 Et pour Théo ?17:24 Michaël intervient et fait référence à une étude qui précise le nombre de postes à pourvoir pour 2030 ! 40.0000 personnes !18:28 Le mot de la fin pour Virgile18:44 Le mot de la fin pour Théo18:59 Comment remercier nos invités pour leur partage, comment encourager ce projet et nous aider : un simple like, un partage du podcast, parlez-en autour de vous !Ces podcasts sont publié chez une majorité d'hébergeurs connus (Simplecast, Soundcloud, Mixcloud, Acast, Anchor) de podcasts, sur les répertoires (plus d'une quarantaine: Google Podcasts, Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Tunein, ...etc) mais aussi sur InstagramTV et sur Youtube. Sur Youtube, si un descriptif des temps est présent dans la description de vidéo (voir plus), un simple click sur la minute annoncée vous conduit directement aux échanges qui vous intéresse particulièrement. Sites internet :ULBHELHa
65 - Saison 3 - Théo Tenret - Les jeunes dans le secteur de la construction (#065)
En répondant aux diverses questions de cette Saison 3 sur l’environnement bien sûr, mais aussi sur la place des femmes et des jeunes dans la construction, Theo Tenret, Bim Junior Engeneer chez Besix revient sur son parcours, les envies et les choix qui l’ont conduit jusque là et sa volonté de participer à déconstruire les stéréotypes entourant la construction auprès des jeunes.
64 - Saison 3 - Ségolène Vermeulen & Marie-Pascale Branteghem - Les femmes dans la construction (#064)
Si les choses roulent correctement, les femmes sont tout de suite respectées. Ségolène Vermeulen, conductrice de travaux chez Eiffage, revient au micro d’EOX Frequency pour évoquer, en compagnie de Marie-Pascale Branteghem, assistante pour le chantier de la gare de Mons, le digital, la place de la femme, la gestion des déchets ou encore l’économie circulaire. Ca fleure bon la passion et cette envie de laisser son empreinte dans le monde.
63 - Saison 3 - Aurélie Chatry; Elise Loor - Les femmes dans la construction (#063)
Depuis ses débuts EOX Frequency met en lumière la place de la femme dans la construction, son image, ses combats. Aurélie Chatry y travaille depuis presque 20 ans et confronte son point de vue avec Elise Loor qui vient de finir ses études à l’ECAM, en plein confinement. Conductrices de travaux, leur affection pour le terrain les a certainement menées à trouver rapidement leur place. Une interview loin des clichés signée Michel Godart et Michaël Dumbi.
62 - Saison 3 - Vincent Martin - BIM Program Manager, Befimmo (#62)
Une étape à franchir si l’on veut rester compétitif, pas si complexe si l’on s’y plonge, et dont on tire rapidement des bénéfices substantiels en termes de temps, d’énergie et de coordination des différents intervenants sur un chantier. Une interview éclairante signée Michaël Dumbi et Michel Godart.
61 - Saison 3 - Roberto Romanin - Socatra (#061)
Ingénieur civil de formation, il est passé par tous les échelons afin de circonscrire le mieux possible les besoins du métier. Passionné, il évoque ses grands chantiers comme la gare centrale ou l’école de commerce Solvay, les principaux défis du secteur et les grands axes de la gestion de chantier.Socatra SACFE BrabantStrabag


60 - Saison 4 - Pierre-Etienne Eloy - Administrateur délégué chez Eloy (#060)
Si plus de 400 personnes travaillent pour l'entreprise Eloy, elle est en permanence en recherche de nouveaux talents pour agrandir ses équipes.C'est surtout le savoir-être qui nous importe, le savoir-faire lui, s'acquiert confirme Pierre-Etienne Eloy, enthousiaste, au micro de Michel Godart et Anne-Sophie Dekeyser.Comment décririez-vous votre engouement pour ce secteur ?Travaillez dans la construction ça veut dire quoi ?Quels ont été les postes qui vous ont le plus plu dans votre carrière ?Votre entreprise réunit plus de 400 personnes, n’est-ce pas difficile de conserver un certain esprit familial ?Quels sont d’après vous les points d’attention sur lesquels un jeune qui cherche un emploi dans la construction devrait s’attarder ?Si vous aviez 20 ans aujourd’hui, pensez-vous que votre carrière prendrait la même tournure ?Quelles sont les compétences les plus importantes pour entrer chez Eloy aujourd’hui ?Quelle est la place des femmes chez Eloy ?


59 - Saison 4 - Pierre-Etienne Eloy - Administrateur délégué chez Eloy (#059)
Si plus de 400 personnes travaillent pour l'entreprise Eloy, elle est en permanence en recherche de nouveaux talents pour agrandir ses équipes.C'est surtout le savoir-être qui nous importe, le savoir-faire lui, s'acquiert confirme Pierre-Etienne Eloy, enthousiaste, au micro de Michel Godart et Anne-Sophie Dekeyser.Travailler dans la construction aujourd’hui concrètement ça veut dire quoi ?En 20 ans vous avez vu l’entreprise prendre 4x sa taille, comment dès lors conserver cet esprit familial qui vous a tant porté ?Travailler avec ses cousins ne comporte-t-il pas certaines difficultés ?Comment expliquez-vous votre ascension fulgurante ?Parvenez-vous à conserver un contact avec le terrain en assurant vos obligations managériale d’une entreprise employant plus de 400 personnes ?Qu’est-ce qu’un bon manager selon vous ?Vous êtes en permanence en recherche de nouveaux talents, quels sont les profils qui vous intéressent le plus ?Vous cherchez 3 directeurs ou directrices, environnement et déconstruction, bâtiment et infrastructure, quelles sont les principales qualités qui vont attirer votre attention ?
58 - Saison 3 - Coraline Guyot, Project Manager Chantier - Valens SA/NV (#058)
Coraline Guyot, project manager au sein du groupe Eiffage, évoque sans langue de bois et avec passion son parcours et sa réalité de femme sur chantier après la crise du Covid. Avec un père architecte, elle se dirigera naturellement vers des études d’ingénieure à l’école polytechnique de Louvain qui, même si elles n’ont pas été très épanouissantes, l’on menée a exercer un métier dont l’aspect tangible et varié donne sens à sa carrière.Les sites Internet : Valens Groupe Eiffage
57 - Saison 3 - Sophie Lefert, Responsable Etudes Design & Build chez CIT-Blaton (#057)
Si ces questions peuvent sembler anodines, elles sont primordiales pour les concepteurs des bâtiments comme Sophie Lefert, responsable des études Design and Build chez CIT Blaton. Dans une interview signée Michel Godart et Michaël Dumbi, elle évoque les impératifs de demain, de l’impact du Covid à la digitalisation du secteur, en passant par les techniques modulaires, la diversité des profils et le développement des techniques naturelles.
56 - Saison 3 - Quentin de Vos - Votre métier (#056)
Après avoir choisi de devenir métreur deviseur, un métier en pénurie en Belgique, il intègre l’entreprise en tant que stagiaire avant de devenir ingénieur méthode planning. Un parcours inspirant qui démontre la grande diversité des métiers qui composent le secteur de la construction, ainsi que l’accueil et la confiance réservés à la jeunesse, loin des idées reçues.Le site de l'IEPSCF de NamurLe site de Thomas & Piron
55 - Saison 3 - William Dockx & Leonardo Stefani (#055)
Genre, environnement, cohérence entre les études et le monde de l’entreprise, ils abordent tout sans langue de bois avec une véritable passion pour le secteur et la quête de sens qui caractérise leur génération. Découvrez leur vécu commun et ce qui les démarque en fonction de l'orientation prise, de l'établissement choisi, des stages et de l'approche globale au micro de Michaël Dumbi et de Michel Godart.
54 - Saison 3 - Wiliam Dockx & Mark Goossenaerts – Shipit (#054)
Et si on reprenait le réflexe bateau ?L’entreprise belge Shipit propose une flotte de bateaux équipés de grues pouvant remplacer chacun jusqu’à 60 camions. Une solution à la fois écologique et économique basée sur une logistique extrêmement performante qui permet aux bateaux d’être toujours pleins, même pour les commandes effectuées la veille pour le lendemain. Une solution aussi pour résoudre les problèmes de stockage auxquels sont confrontés de nombreux chantiers. Découvrez William Doks et Marc, de Shipit, au micro de Michaël Dumbi fondateur d’EOX Frequency et de Michel Godart, The Podcast Factory Org.
53 - Saison 3 - Thierry Hoslet - DRH chez Gillion - Part 2 (#053)
Thierry Hoslet, DRH chez Gillion, entreprise active dans le secteur de la construction, évoque les grandes accélérations liées à la crise du Covid et ses enjeux. La clé ? Garder un contrôle humain sur l’analyse des données, préserver le sens pour provoquer l’identification à l’entreprise et partager les compétences. Écoutez ses propos enthousiastes et ses solutions originales au micro de Michaël Dumbi et Michel Godart pour Eox Frequency, les premières ondes dédiées au secteur de la construction.
52 - Saison 3 - Thierry Hoslet - DRH chez Gillion - Part 1 (#052)
Thierry Hoslet, DRH chez Gillion, entreprise active dans le secteur de la construction, évoque les grandes accélérations liées à la crise du Covid et ses enjeux. La clé ? Garder un contrôle humain sur l’analyse des données, préserver le sens pour provoquer l’identification à l’entreprise et partager les compétences. Écoutez ses propos enthousiastes et ses solutions originales au micro de Michaël Dumbi et Michel Godart pour Eox Frequency, les premières ondes dédiées au secteur de la construction.
51 - Saison 3 – Vanessa Didden - Les Entreprises Louis De Waele (#051)
Dans ce podcast :On parlera valeurs ; humain ; jeunesse ; attentes du secteur ; difficultés à attirer des talents ; l’uberisation du secteur ; nouvelles technologies et DRH ainsi que l’IA.Nous terminerons par une discussion autour de l’implication de Louis de Waele au sein de l’ADEB-VBA ainsi que ses implications personnelles.Vanessa nous expliquera également ce qui pourrait être mis en œuvre pour rendre le secteur plus attractif et nous parlera du projet mis en place par l’ADEB, "More Than Building" .Texte : Michaël DumbiSite Les Entreprises Louis De Waele


50 - Saison 3 – Virginie De Hoe, André Bake & Michaël Dumbi – Idealis Consulting (#050)
EOX Frequency vous présente sont 50ième épisode où nous parlerons du digital et de sa place dans le secteur de la construction.Ce 50ième épisode est l’occasion pour nous de vous remercier pour votre soutien, votre suivi et votre écoute : nous avons dépassé les 10.000 écoutes uniques !EOX Frequency prend son envol grâce à vous, c’est pourquoi nous avons décidé de créer pour vous une page Linkedin où vous pourrez retrouver tous les podcasts, photos et témoignages. N’hésitez pas à basculer sur cette page pour continuer à nous suivre !Nous enchainerons avec deux épisodes par mois.Après un bref passage dans le futur, revenons-en au présent avec notre 50ième épisode : vous y retrouverez André Bake fondateur d’Idealis Consulting et sa collaboratrice Virginie De Hoe qui nous parleront de la digitalisation et d’un nouveau partenariat avec Michaël Dumbi qui a pour but d’accompagner les entreprises du secteur dans leur transformation digitale.EOX Frequency « les ondes de la Construction », nous continuons à diffuser les ondes du secteur pour les acteurs d’aujourd’hui et de demain.


49 - Saison 3 - Débat avec Alexandre Faletta & Gregory Losson (#049)
L’évolution des technologies se multiplie et la capacité de l’humain s’adapte. On parle aussi de l’intelligence artificielle qui peut, peut-être un jour, remplacer complètement le métier d’architecte, qui sait ?Comment est-ce qu’on appréhende la technologie dans la fonction de ressources humaines et comment est-ce qu’on voit le futur ? Nos invités s’expriment et partagent leurs avis à ce sujet mais nous aimerions connaitre votre avis aussi ! Oui, parce que nous sommes dans une société qui tend vers le digital. Selon Gregory, le recrutement passe à 80% par du feeling. Il n’y a aucun algorithme car ce sont des Ressources Humaines. Rien ne pourra changer les perceptions humaines.Ce qui a changé avec le Covid, dans le métier de Gregory, ce sont les entretiens via Teams qu’il essaye d’éviter. L’approche, la posture et la manière dont il serre la main, tous ces aspects-là joue pour Gregory. Mais certains outils digitaux peuvent nous permettre d’identifier à aller encore plus vite et mieux. Michaël donne sa propre opinion sur les RH et digital du fait que l’avènement du digital dans le métier RH va changer le rôle du RH en entreprise. Est-ce qu’on va être remplacé par le digital ou cela va plutôt nous aider ? Alexandre donne sa vision sur la digitalisation. Le côté administration peut être davantage digitalisé. Si c’est pour remplacer cet aspect feeling et essayer de déterminer ça par des algorithmes, Alexandre n’y croit pas. Quid de LinkedIn ? Sans ça, comment faisaient les autres avant ? Chacun à sa vision de la méthodologie en ce qui concerne les premières interviews. Un débat animé entre Michaël, Alexandre et Gregory prend place dans ce podcast. Quel est le ressenti du candidat là-dedans ? Des tests, des questions, des barrières qui sont censé être naturel. Manque-t-il de l’humanité dans la société ? On est dans une société qui tend vers le digital mais voir comment on le fait et pour qui on le fait. Vous êtes curieux ? Continuez à écouter la suite du podcast pour connaitre les opinions des invités et partagez votre avis. Et vous, qu’est-ce que vous en dites ? Quel est votre avis à ce sujet ? Nous aussi on a envie de savoir ! Texte : Audrey Keller.


48 - Saison 3 - Débat avec Alexandre Faletta & Gregory Losson (#048)
Gregory Losson, gérant d’Archibald. Très vite, l’immobilier lui est tombé dessus. Il a eu tellement de demandes dans l’immobilier qu’il s’est spécialisé dans ce secteur. Quant à Alexandre Falletta (Concrete), recruteur en construction et immobilier, il est un ancien collègue de Michaël qui revient à notre micro pour partager ses pensées autour du recrutement et de la digitalisation.Recruteur ou conseiller carrière ? Grégory se voit plutôt comme un accompagnateur. Il aime cette image de quelqu’un qui a cette main dans le dos de la personne pour l’aider à mieux voir les choses et à l’accompagner dans un processus qui n’est pas tout le temps facile. L’objectif ce n’est pas de changer qui que ce soit. « Mon métier c’est être au courant des opportunités et de le relayer aux bonnes personnes. »Alexandre, lui, se voit plutôt comme un conseiller. « Mon travail c’est de donner un maximum d’informations concrètes sur l’un et l’autre pour être sûr d’avoir l’image la plus précise possible de la personne du côté de l’entreprise vers le talent et vice-versa. Mon rôle c’est de les conseiller dans les questions à se demander, à l’un et l’autre, et d’aller toucher là où ça fait mal. »Michaël pense que son métier a 3 facettes : Recruter, Sélectionner et Intégrer. Un conseiller se doit de pouvoir dire non autant à un candidat qu’à une entreprise. C’est là qu’on fait la différence par rapport à un recruteur, affirme-t-il. C’est ce qui différencie ces trois hommes dans ce podcast. Ils vont plus loin que simplement regarder un CV ou s’arrêter sur un élément qui est écrit dans le CV. Les gens sont en attente de cette nuance.Les questions taboues, ce qu’est le rôle d’un conseiller / accompagnateur et les changements de paradigme dans la société sont abordés dans la première partie de ce podcastTexte : Audrey Keller.


47 - Saison 3 - Jérôme Verdussen : Archi 2000 (#047)
Jérôme a étudié une licence en sciences économiques et de gestion à l’ICHEC. Un diplôme assez vaste qui ouvre pas mal d’opportunités pour la suite de sa carrière. Il a commencé à travailler dans le domaine d’études de marché dans le secteur automobile, politique et pharmaceutique. Par la suite il rejoint le secteur immobilier. « L’immobilier ça ne s’apprend pas à l’école… »Une valeur importante aux yeux de Jérôme c’est l’entreprise familiale. Il explique ses valeurs et sa vision de l’entreprise Archi 2000. « Tous les membres avec qui on collabore deviennent un membre de la famille » explique Jérôme.Exprime ton talent !« Il ne faut pas nécessairement être bon en math pour s’en sortir en architecture ! » Un conseil que Jérôme donne aux jeunes c’est de ne pas être freiné par un a priori. Si vous avez envie de faire de l’architecture faites-le. La clé c’est la curiosité ; s’intéresser, lire, regarder, c’est comme ça qu’on apprend. Dans les équipes des bureaux d’architecture on retrouve souvent les concepteurs créatifs puis les personnes qui sont plus dans le suivi des exécutions. La créativité va s’exprimer par la résolution d’un problème posé sur un chantier. « Le message ici c’est le travail d’équipe avant tout et c’est ça qu’on aime bien »Envie de connaitre la structure d’Archi 2000 ? Archi 2000 est un bureau d’architecture d’une quarantaine de personnes. Des associés chevronnés qui supervisent les projets ainsi que trois responsables à différents niveaux : conception, permis et suivi d’exécution. Qui sont les clients ? Des particuliers, développeurs, pouvoirs publics… Pour en savoir davantage sur les projets et les anecdotes, Jérôme nous dit tout dans le podcast. Quelle place prend l’écologie aujourd’hui ? L’écologie aujourd’hui elle prend une place prépondérante. L’économie circulaire ; secteur industriel ; reconvertir ou conserver le bâtiment ; le besoin au logement, des échanges intéressants entre Jérôme, Michaël et Michel. On parle de mode ou d’une nécessité ? Quelles sont les préoccupations qui vont nous driver dans les 5 à 10 prochaines années ? La durabilité est une de vos top responsabilités ? Qu’en pensez-vous ? Nous avons hâte de connaitre votre avis à vous !L’impression 3D, la virtualisation, la réalité virtuel augmentée, des logiciels, la digitalisation dans le fonctionnement de l’Archi 2000 … Ce sont des sujets que nous abordons également dans ce podcast. Vous êtes architecte ou vous avez envie de vous lancer dans l’architecture ? Ecoutez le podcast jusqu’au bout, it’s worth it ! Partagez vos passions ! Texte : Audrey Keller.


46 - Saison 3 - Michaël Dumbi & Michel Godart (#046)
Le premier point c’est l’importance de la régularité. Nous partons sur une promesse qui est tenue, celle de deux podcast par mois. Les séries commenceront à partir du 11 février sur des thématiques bien précises qu’on ne dévoilera pas tout de suite. Michaël Dumbi est un homme de surprises et prépare certaines thématiques assez intéressantes, notamment par rapport à l’évolution du métier de conseil carrière et de recruteur. Parce que ce qui s’est passé avec le coronavirus a accéléré certaines évolutions du métier, notamment au niveau de la digitalisation. L’objectif de Michaël est d’interpeler un politique au micro pour voir ce qui sera mis en place pour le secteur de la construction qui a été mis un peu de côté. Est ce qu’il y a eu des retours sur la richesse du contenu ? « C’est ce qui a fait notre petite réussite sur ce projet. Les intervenants, les interventions, les thématiques ont été fort appréciés. C’est ça qui nous donne la force et l’envie de continuer le projet. C’est important, avec l’évolution de notre société, de pouvoir donner un message clair et précis sur un secteur, sur une activité, sur un métier. L’idée c’est aussi de créer ou susciter des vocations dans le secteur. Ce qui compte c’est qu’il y ait un vrai lien entre nous avec nos auditeurs et avec les invités au micro. »A travers des podcasts qui suivront, les auditeurs auront l’occasion d’écouter l’évolution que Michaël aimerait amener à son métier. C’est une des promesses de cette année, celle de mettre l’évolution du métier et la nouvelle vision du conseil carrière en avant.Les points que Michaël souhaiterait aborder (les chantiers, les femmes dans le construction, les jeunes et les technologies) sont à écouter dans le podcast. La promesse est donc de deux épisodes par mois avec une thématique bien précise. On suivra également des invités que l’on a déjà interviewé afin de connaitre leur évolution. Le premier podcast aura lieu le 11 et le deuxième le 25 février. Dans le deuxième podcast, Michaël aura une grande annonce pour les auditeurs en lien avec la construction, son métier et la digitalisation. Des feedback constructifs et les suggestions des thèmes à aborder sont toujours les bienvenus via www.eoxconstruction.be ou via md@eoxconstruction.beCe qu’il faut retenir c’est qu’on ne vous abandonne pas. Il peut y a voir des pauses mais on revient ! Restez connecté, partagez, likez, écoutez nous via Spotify, Tuning, Deezer, Instagram TV et Youtube.


45 - Saison 2 - Idriss Goossens & Thomas Verstraeten (#045)
Remarque pertinente de Michaël pour commencer car nous annonçons ce podcast comme étant le premier podcast en Belgique à parler du secteur de la construction mais nous devrions bien entendu dire "du secteur de la construction ET de l'immobilier".Nos auditeurs connaissent déjà Idriss Goosens depuis sa première intervention à notre micro mais pas encore Thomas Verstraeten qui aura donc l'occasion de se présenter en quelques mots. Thomas est le fondateur et gérant de FacOrg, une société qui accompagne les sociétés immobilières pour effectuer leur transition digitale.La première question pour Thomas, sera la même que nous avions posée à Idriss : comment définit-il le terme Digital, en dehors du buzzword. Quelles sont les difficultés du secteur immobilier pour appréhender le concept de la transition digitale ?Thomas nous explique aussi comment, en tant que patron, il a été impacté ou non par la crise sanitaire du moment. Le côté "humain" pour accompagner une transformation est primordial et pour lui il est urgent de revenir "sur le terrain". Le point positif de cette crise est probablement qu'elle a joué un rôle d'accélérateur dans cette transition. Les flux papiers qui disparaissent par la numérisation, c'est sans aucun doute un élément-clef qui va permettre aux entreprises de mieux gérer "à distance".Idriss relève et insiste sur le fait que la digitalisation peut être distinguée en deux grands blocs : interne (les outils et les processus) et externe (les nouveaux services, business modèles, produits, matériaux) . Il nous explique ce concept et nous donne des exemples d'innovation externe dont certains avaient d'ailleurs déjà été mis en avant lors de sa première intervention chez nous.Idriss va aussi nous donner des chiffres interpellant concernant les investissements en R&D (recherche et développement) de grandes sociétés comparées au secteur. Chez PropTech Lab Belgium, un bilan est dressé pour illustrer le niveau de maturité des sociétés en ce qui concerne leur maturité en stratégie d'innovation, Idriss nous explique selon quels critères cette analyse est réalisée.Au regard de la pénurie de talent qui frappe le secteur, Michaël interroge nos invités sur l'impact des nouvelles technologies et des nouveaux métiers qu'elles peuvent engendrer. Un nouvel attrait du secteur auprès des jeunes par ce biais peut-il être attendu ? Pour Idriss et Thomas certains métiers, tels que les architectes, vont vivre des changements profonds sur la nature de leurs tâches. L'IA va-t-elle régler le problème de la pénurie des talents ou plutôt accentuer le phénomène ?Idriss souhaite nous rappeler qu'il ne faut passer au digital que quand un besoin est réel, quand cela fait sens. Certains problèmes ont bien été identifié dans le secteur de la construction : la neutralité carbone, la productivité en déclin malgré une digitalisation supposée l'accroître... Quelles sont les nouvelles compétences requises ? Idriss nous les précise.Il pointe aussi les différences flagrantes d'approche entre les start-up Vs les grosses sociétés et les problématiques propres au secteur de l'immobilier. Idriss donne l'exemple de la méthodologie et un manque de focus sur le client final... Une culture à revoir ?Les difficultés d'appréhender la transition digitale sont-elles dues à l'âge ? Au regard du vieillissement de la force de travail du secteur, est-ce possible d'imaginer une conversion conséquente et adaptée ?Michel précise que les outils doivent aussi faire le pas vers l'humain comme c'est déjà le cas pour certains domaines, permettent à ceux qui se sentent dépassés de reprendre la main et oser parce que ces derniers sont simplifié et pensé avec l'approche "utilisateur". Idriss rajoute que les écoles doivent aussi adapter leurs méthodes d'éducation. Quid des formations en interne ?Quel avenir pour le recrutement face à ces changements profonds apportés par la transition digitale ? Quel futur pour les relations employeurs et employés ? Quels sont les critères qui guident maintenant les candidats ? Quid de la transmission des compétences et du savoir entre les générations en entreprise avec l'avènement digital ?Le mot de la fin s'adresse aux jeunes : quels messages Idriss et Thomas ont-ils pour les stimuler à choisir les secteurs de la construction et de l'immobilier ? Quelles études privilégier pour le monde immobilier ?


44 - Saison 2 - « Les services HVAC » chez SPIE, présentés par Pierig Thiry & Julien Buyst (#044)
Que signifie et que comprend la fonction de frigoriste ?Quid des évolutions qui ont fait changer ce métier ?Comment Julien est-il arrivé à cette fonction ? Julien a fait ses études à l'ITL-Ath, à Ath, et il a été immédiatement engagé après son stage chez SPIE où il cumule maintenant 15 ans d'expérience. À l'ITL-Ath, il a suivi 3 années de formation technique en électricité et électromécanique, puis une septième en "spécialisation froid".Pierig Thiry, lui, est diplômé de l'ECAM en tant qu'ingénieur industriel. Il nous explique comment il est arrivé à la fonction qu'il occupe actuellement, comment et pourquoi SPIE a été intéressé par son profil. Il nous présente son département et de son service qui couvre la région bruxelloise et ses environs. Pierig nous donne aussi un aperçu rapide du panel des différents techniciens et spécialistes de l'équipe.Comment gérer l'évolution rapide des technologies pour chaque métier ? Julien et Pierig nous répondent en fonction de leurs responsabilités. Pierig nous précise que ces évolutions, et apprentissages nécessaires, concernent aussi la législation et les nouvelles réglementations pour l'environnement.L'envie d'apprendre varie-t-elle en fonction des générations ? Pierig est amené à recruter et voit un grand nombre de candidats : il partage avec nous sa perception. Julien, qui accompagne les stagiaires et les forme, nous partage la sienne. Comment a été vécue la crise COVID, quel impact pour Julien ? Et pour Pierig : était-ce un challenge de devoir, du jour au lendemain, gérer des équipes complètes à distance ? Nous nous penchons ici sur la relation de confiance qu'induit le télétravail et le management à distance...Le métier de technicien : un métier moins attractif ?Quelle vision à Julien sur son métier et comment ressent-il la perception du public, des étudiants dans leurs choix d'orientation ? Une réflexion à mettre en lien avec la pénurie de talent dans le secteur ?Julien attire notre attention sur le fait que c'est le statut d'ouvrier, pour les institutions, qui pose implicitement le véritable souci. Il nous explique que, selon lui, la perception des métiers techniques dans l'esprit du public est occupée à enfin changer...Julien explique comment se déroule une semaine de son planning, la relation entre technicien et dispatcher, avec un exemple type de dépannage qui correspond aux plaintes qu'ils peuvent recevoir dans les fortes chaleurs du moment.Pierig nous parlera des forces de son équipe, de son département : être proche au sein de SPIE mais tout aussi proche de ses clients !Le mot de la fin :Le message de Julien est clair : les métiers techniques sont trop peu valorisés alors qu'il nous l'avoue, il gagne très bien sa vie... et on peut bien gagner sa vie dans ce secteur !Nous verrons avec Pierig quels sont les profils recherchés et le processus de recrutement, nous parlerons des stages qui débouchent très souvent sur un emploi ! On parle de pénurie d'emplois mais, en dehors des étudiants, les personnes en réorientation et les seniors ont-ils aussi leur chance ?L'enseignement technique, selon Julien, est trop peu poussé en électricité, il se demande si les programmes ne pourraient pas être revus quitte à supprimer des cours sans véritable utilité pratique (cours de religion ?) pour faire place à un plus grand nombre d'heures destinées à approfondir le large panel des connaissances en électricité requise : une matière qui évolue et ne cesse donc de gonfler, il sent la différence sur le terrain au quotidien !Texte : Michel GODART


43 - Saison 2 - Bastien Demaerschalk, Stability engineer chez DL Consulting (#043)
Dans sa fonction d'ingénieur en stabilité, il est amené à étudier et à calculer les différents types de structures destinées aux télécommunications (les pylônes sont un exemple). Hors une nouvelle structure ou une modification d'un site existant nécessite de refaire ces calculs... les tâches ne s'arrêtent jamais car la seule constante est le changement. La majorité du temps on parle de résistance aux intempéries et surtout aux vents.Qu'est-ce qui a motivé Bastien pour cette fonction ? Le secteur de la construction était-il son premier choix d'orientation pour ses études ? Il fait référence à l'un de ses professeurs "invité" qui, par sa passion, éveillait la curiosité de ses étudiants.Quid des nouvelles technologies ? La 5G se met en place mais, dans un tel cas, le lien n'est pas direct en soi avec les calculs qui sont demandés... par contre des sociétés (exemple cité en Hollande), développent des solutions spécifiques pour les ingénieurs afin de faciliter leur travail. Ici on parle de caméra 3D, elles permettent de réaliser des prises de vues d'un site télécom et ensuite sa reconstitution sur ordinateur permet de s'immerger sur le site à nouveau et de prendre ou reprendre des mesures.Bastien estime que la formation qu'il a reçue à l'ECAM est suffisamment alignée avec les réalités du terrain. Le stage a permis une transition sans véritables difficultés. Quelles sont les ambitions de Bastien, ses objectifs ?Nous verrons avec Bastien quels ont été les mesures prises dans le contexte du COVID et l'impact de cette crise. Michel fera référence à la formation au télétravail en entreprise (Viviane Kock : Nest Your Desk), insistant sur l'aspect management à distance.Au final l'entreprise DLConsulting où il travaille n'a pas trop souffert et cela a permis l'apprentissage de nouvelles méthodes de travail.Bastien, même si son évolution a été ralentie par la crise, reste très optimiste sur le futur de son métier.Quel est le message de Bastien pour les jeunes qui souhaitent entamer ce type de parcours et faire ce choix d'étude ?Sa réponse au micro va clôturer ce podcast et constituera le mot de la fin pour cette capsule.


42 - Saison 2 - Rémy Guyaux - Conducteur de travaux chez BPC (#042)
Remy Guyaux à 2 ans d'expérience avec ce premier emploi chez BPC suite à un stage en deuxième master.Les jeux de Légos peuvent faire naitre des passions et en tout cas ça commence par la volonté de construire...Dans l'idée au départ de démarrer des études en architecture ce sont les mathématiques et les sciences qui vont finalement guider Rémy à choisir des études d'ingénieur... Mais que choisir : le civil ou l'ingénieur industriel ?Qu'est-ce que le métier de Conducteur de travaux ? Dans sa réponse Rémy nous distingue le gestionnaire de chantier, Ingénieur de projet et le conducteur de travaux.Quels sont ses objectifs, ses tâches : est-ce possible de résumer une telle fonction ? Quels sont les aspects pratiques qui intéressent Rémy ?Le relationnel humain sera de nouveau mis en avant ici et cela corrobore un feedback déjà reçu sur le sujet.Comment se sont passées les 5 années d'études à l'ECAM ? Remy nous parle des pôles qui sont proposés au départ : l'électromécanique, la construction et l'informatique qui débutent avec un tronc commun et qui se distinguent à partir de la troisième année. Les étudiants, grâce à cet aspect acquièrent non seulement un large panel de connaissances de base mais ces deux années permettent donc d'être décisif sur l'orientation de carrière et l'alignement entre ses envies, et le choix fait face à des informations concrètes... des facettes des métiers qui sont présentées.Existe-t-il une différence sur le terrain qui se manifeste selon que l'on vienne d'une école ou d'une orientation en particulier ?Les étudiants des ces différents pôles vivent-ils une certaine forme de compétition ou de rivalité entre eux, notamment entre les ingénieurs industriels et civils ? Quid au travail ?6 semaines de stage sont-elles suffisantes ? Pourquoi ? Rémy insiste sur le fait que le plus important pour lui à été de faire son second stage dans une entreprise où il voulait ou aurait voulu aller travailler : pourquoi ?Comment sont les contacts avec les anciens camarades de classe, quel suivit de l'ECAM et les relations avec ses anciens professeurs ? Remy nous parle des journées "JDE" journées des entreprises de l'ECAM.Quel ont été les cours favoris de Rémy ? Pourquoi ? Quels étaient les cours les plus difficiles ?En tant que jeune, quelle est la vision de Remy sur son métier et le futur du secteur de la construction en tenant compte de cette crise COVID ? Quel sera son impact ? Quelles mesures ont été appliquées ?Remy nous parle aussi des évolutions technologiques et de leur assimilation par le secteur ? Quel constat sur cette arrivée en fonction des différentes générations représentées dans la construction ?Le mot de la fin : Remy pense qu'il est important de respecter le rythme de chacun et met un focus sur l'humain... il ne sait pas où il sera dans 10 années, mais il est déjà conscient des problématiques qui se profilent dans le futur par le manque de talents flagrant... Michaël se questionne sur l'attitude et le manque d'anticipation dont font preuve nos dirigeants sur ce sujet : vont-ils réagir quand il sera trop tard ? Remy reste bien entendu positif et pense que des solutions vont apparaître et dans tous les cas le secteur de la construction n'est, pour lui, pas en danger ! Un message d'espoir que nous relayons avec joie ! Quels messages pour les jeunes qui voudraient faire ce type d'étude ?


41 - Saison 2 - Alexandre Falletta et Michaël Dumbi : bilan de crise du Covid19 - Part 2 (#041)
Ensuite, on remarque qu'en Flandre sont apparues des task-forces : qu'en est-il ? Quelles étaient l'étendue de leur décision, leur pouvoir d'action, comment en pratique ?Dans la question de l'incidence sur les critères de sélection d'un emploi, nous verrons que les candidats seront plus vigilants à propos de la santé financière de l'entreprise...mais pas que : écoutez ce podast pour tous les détails.La marque employeur : il y a des sociétés qui ont clairement gagné des points et auront une plus grande stabilité de leurs talents, quid de ceux qui n'ont pas compris qu'il fallait être attentif à ce point malgré l'urgence, malgré la crise.Pour la mobilité, l'enquête révèle déjà des éléments-clefs mais le résultat a aussi évolué quelques mois plus tard. Nous parlerons aussi de pièges dans lesquels il faudra ne pas tomber : comment gérer la reprise !Qu'en est-il des collaborateurs, dans quel état les entreprises récupèrent-elles leurs talents ? Quelles angoisses ont généré cette crise et pour ceux qui ont perdu leur emploi... beaucoup de jeunes n'ont pas eu leurs chances alors que toutes les entreprises du secteur déplorent un manque d'intérêt des jeunes pour le secteur ?Qu'est-ce qu'un top talent et quelles sont ses préoccupations ? Comment vont-ils réagir si leur employeur à mal géré la crise ?Il y a des questions qui se posent pour les licenciements, parfois elles génèrent des raccourcis dans lesquels il ne faut pas entrer. Le rôle du conseiller carrière est important ici, souligne Alexandre...Un constat est que le focus sur les tests de personnalité devient un élément important pour les entreprises, c'est un des retours dont peuvent témoigner Alexandre et Michaël ? Plus de focus sur les softs skills ? fallait-il s'y attendre ? C'était déjà une tendance générale avant la crise !Nous allons aussi parler de la place du partenaire qui recrute pour les entreprises du secteur : comment améliorer la collaboration, quelles interactions sont essentielles ? Devons-nous avoir les partenaires in-house ? Quels avantages ? Quelle sera l'évolution du métier de conseiller carrière...Le mot de la fin avec Alexandre : à la question du status contractuel du futur entre les entreprises et les talents, il nous partage le sentiment que le statut d'indépendant devient de plus en plus une évidence qui s'impose. Une plus grande liberté pour le talent, mais soyons vigilant sur les aspects législatifs en Belgique qui devront s'adapter ? Alexandre pense aussi qu'une plateforme de type huber pour les talents va apparaitre à un moment. Les sociétés du secteur sont-elles prêtes ou vont-elles subirs les choix que les meilleurs talents imposeront ? Il pointe aussi les évolutions technologiques et insiste sur les conséquences sur les métiers du futur.


40 - Saison 2 - Alexandre Falletta et Michaël Dumbi : bilan de crise du Covid19 - Part 1 (#040)
Alors avant une pause estivale bien méritée, il a décidé de répondre favorablement à vos attentes et vous connaissez Michaël, il ne fait pas les choses à moitié : il a donc demandé à un collègue, ami, mais aussi concurrent, de le rejoindre pour ce bilan. Alexandre et Michaël partagent déjà les mêmes valeurs et visions sur leur métier. D'autant que cet ami à mis en place une véritable enquête sur le secteur de la construction et de l'impact de cette crise.Ensemble il vont dresser un tableau du contexte de la crise et des conclusions que l'on peut tirer de l'enquête d'Alexandre, agrémentée d'arguments basés sur les analyses de Michaël lors de ses échanges avec ses clients et candidats. Ce podcast se déroulera en plusieurs étapes et sera par conséquent assez long : près d'une heure. Nous le publierons donc en deux étapes et deux épisodes distincts sur nos plateformes et site Internet, sur Instagram TV ce sera 4 publications de moins de 15 minutes.Dans ce premier épisode :Nous commençons par la base; présenter notre invité, le lien avec Michael, les raisons de l'approche et le contexte de l'enquête. Qu'est-ce qui fait que le secteur de la construction soit un secteur où le focus sur l'humain soit si important ? Quelle est la situation du marché comparée avec les années qui ont précédées ? Comment reconnaître le niveau de compétence d'un excellent conducteur de chantier par exemple ?Après une introduction et un premier état des lieux, à la onzième minute, on détaille la demande qui a été soumise à Michaël. Un ressenti sur la crise mais aussi avoir une vision de ce que sera le recrutement du futur ?Ensuite Alexandre explique comment et pourquoi il a mis en place son enquête : comment est perçu le Covid19 dans le secteur de la construction et de l'immobilier en Wallonie et à Bruxelles. Alexandre a suivi les recommandations en méthode de recherche sociale : une orientation qualitative avec des entretiens exploratoires. Les entretiens se sont fait par téléphone, ont duré entre 30 et 45 minutes sur un public de 70 professionnels ou candidats et les profils sont divers et variés. 55 talents, une quinzaine d'entreprises (9% du public sont des femmes).L’enquête, quatre volets : Comment a été pris le télétravail dans le bâtiment. Comment les travailleurs évaluent la gestion de la crise du covid par leurs employeurs.Quelle incidence sur les critères de sélections des talents quand ils vont changer d'employeur (triangle qualité / temps / rémunération).Les talents seront-ils plus mobiles dans les prochains mois et donc plus en recherche d'emploi.On parlera de la confiance sous plusieurs de ses aspects.À la 18 ème minute, Michael nous parle du public qu'il a lui-même interrogé : 50 candidats et une dizaine de clients. Une des problématiques est révélée au niveau des employeurs : certains ont été corrects et ont joué le jeu du temps de travail réduit quand d'autres jonglaient sur les nuances et la disponibilité même en dehors des heures de travail théoriques...Leur réputation en tant qu'employeur va en souffrir ! On termine cette première partie par quelques constats concernant le télétravail, tous les profils ne sont pas aptes à réaliser leurs tâches en télétravail.Il y a déjà trois conclusions qui peuvent être tirées :La question de la confiance, donc la mise en place de mesurables du type SMART. Des contacts réguliers auprès des travailleurs sont nécessaires pour s'inquiéter de l'état d'esprit, et de comment ils vivent l'isolement.Ne plus mesurer les efforts en heures mais au résultat, au travail accompli : conseil d'efficience.Le mot de la fin par Michael :Il conclu cette première partie en insistant sur le fait que si le télétravail s'est instauré comme une norme maintenant, il n'en reste pas moins que la distanciation sanitaire nous a montré et rappelé l'importance du relationnel en entreprise, cela a remis au gout du jour l'importance de nos collègues, de l'humain...Une remarque importante pour terminer : lors de l'enquête il a bien été clarifié, à la question de comment l'employeur à géré la crise du covid19, la distinction entre de qui est du fait des choix de l'employeur de ce qui lui a été imposé. On ne peut faire qu'un parallèle avec la marque employeur et ce sera plus détaillé dans la suite et seconde partie de ce podcast que vous verrez apparaître ce jeudi sur notre flux RSS.


39 - Saison 2 - Hein Dirix, Managing Director SPIE : la situation de l'après-crise du Covid (#039)
A la question : comment allez-vous ? M. Dirix répond : “Très bien, la crise ne m’a pas affecté. C’était spécial comme expérience. On a travaillé peut être plus qu’avant mais on a eu un équilibre vie privée/vie professionnelle qui était meilleur qu’avant la crise. Je ne vais pas me plaindre.”Et comment va la société aujourd’hui ?"Spie Belgium va toujours assez bien. Nous sommes affectés par la crise comme tout le monde. Nous sommes en train de faire le budget et constatons dans ce bilan Covid qu’on va perdre une dizaine de pourcentage de chiffre d’affaires et près de 15 % de résultat opérationnel.”Découvrez comment Spie Belgium a réagi dès le premier jour du lock down et quelle stratégie de solidarité ils ont mis en place pour affronter les difficultés.Comment vont les employés de Spie ?“On a eu de la chance. On a eu très peu de gens infectés et pas de décès chez nos agents. 30 personnes ont été infectées, mais rien de grave.”Les disparités entre les différents départements :Vous saurez que, dans la division infrastructure, grâce aux fonds du gouvernement, leur carnet de commande est à 150 % du budget.Mais la division ICS, Information and Communication Systems a souffert.150 % de chiffre d’affaires en plus pour la partie infrastructure : ne pensez-vous pas que le crise pourrait permettre de créer encore plus de ponts entre les différentes business units ?Une question à laquelle M. Dirix répond avec les mots limites et compétences !Puis le thème du recrutement est abordé : compétences plus larges, adaptabilité des soft kills, tout un programme à implémenter !Réorientation en interne ? Pourquoi pas si les gens acceptent une certaine mobilité !Les bienfaits du Covid : le télé travailM. Dirix a reçu des remarques, des demandes d’amélioration de la part des employés et des appréciations quant au télé working. Pour ceux qui ont la motivation, la discipline, le télé travail apporte un équilibre dans la vie privée. Cela continuera sous certaines conditions. Des formations pour le management à distance… nécessaires ?Parlons bilan Covid et licenciements ?“On s’attend en 2021 à un chiffre d’affaires entre -5 et -10 % par rapport à 2019. Cela veut dire que l’on va devoir prendre certaines actions pour maintenir notre rentabilité.Dans l’exercice se sera important que tous montre suffisament de flexibilité. Je n’ai pas peur, je pense que cela va se faire automatiquement.J’ai remarqué aujourd’hui énormément de solidarité de tout le monde. Direction, employés, ouvriers, tous comprennent que c’est une crise comme on n’en a jamais vue et tout le monde fait un effort.”.Alors, deuxième vague ?Ecoutez ce podcast jusqu’au bout pour savoir quels préparatifs SPIE met en place pour surmonter la crise économique qui arrive.Le mot de la fin : M. Dirix est satisfait des aides gouvernementales et fier de son équipe ! Un grand bravo à l’entreprise !Texte : Christine Mentior


38 - Saison 2 - Vincent Dufrane - M&E Design Principal Healthcare Design, VK Architects & Engineers (#038)
Qui êtes vous ?“Vincent Dufrane, je suis ingénieur industriel et je travaille depuis 22 ans dans le domaine hospitalier. J’ai eu un changement de carrière assez important en gardant le même coeur de cible il y a un an et demie. Je suis passé du domaine public au domaine privé, chez VK Architects & Engineers. Je travaillais anciennement chez le client, dans les hôpitaux et aujourd’hui dans un bureau d’études spécialisé." Comment Vincent Dufrane, à la sortie de ses études, trouve-t-il un emploi ?Jolie story que vous entendrez avec cette belle phrase : “l’université nous apprend à acquérir une façon de réfléchir !”.Quelle est la différence entre le secteur public et le privé ?Voilà une question très pertinente à laquelle répond Vincent Dufrane : dans le public, le travail administratif est très présent !HVAC ? Vous connaissez ce terme : Heating, ventilation and Air conditionning.Mais quelle est la différence entre le secteur hospitalier et le secteur tertiaire ?Vous le découvrirez en écoutant ce podcast : les paramètres sont différents, notamment les normes.Tous ingénieurs ? Quelle cohabitation ?“Il faut savoir qu’il n’y a seulement que sur les papiers qu’il y a une différence. On fait tous le même travail, vraiment un travail d’équipe. C’est quelque chose qui existe un peu plus dans le public parce que c’est le niveau d’étude qui va définir le barême auquel vous pouvez prétendre et le salaire. Alors qu’ici, on se base uniquement sur des compétences, sur l’expérience et pas sur un niveau d’études en particulier. Evidemment, il y a toujours un pré requis minimal quand on engage quelqu’un. Mais ce n’est pas forcément un frein ou quelque chose qui va être clivant au sein d’un bureau comme celui où je travaille aujourd’hui.”Vincent Dufrane a t’il vu une évolution dans son métier au sein de VK ?Oui, découvrez sa réponse. Les chantiers sont “colossaux” dit-il et les équipes passionnées par ce qu’elles font.Michel insiste sur la “passion” au travail… et Vincent Dufrane fait un bilan : "Malheureusement, il y a tellement d’inertie à la machine (publique), l’aspect juridique et les recours commencent à être tellement présents qu’on a malheureusement plus vraiment la possibilité de retour en arrière, de marge de manoeuvre.”Pour ce qui est du bilan Covid :Vous apprendrez comment VK a été impacté et quelle a été leur stratégie pour ne mettre que peu de personnes au chômage temporaire.Particularités du secteur hospitalier :Vincent Dufrane nous parlera de la relation avec les médecins, un challenge important “d’arriver à convaincre le monde hospitalier que parfois le monde du technique a des idées tout aussi valables.”Pour le mot de la fin, un message ou conseil à donner aux jeunes qui voudraient entrer chez VK ?Il en a deux, bien détaillées dans son discours.éviter de se faire des idées trop précises du métier que l’on veut faire plus tard.passer chez un installateur !Texte de : Christine Mentior


37 - Saison 2 - Laurent Miossec : Fondateur de COLEO - Conseil et formation en Lean Construction (#037)
Ingénieur en génie civil, Laurent est devenu expert reconnu sur l'approche Lean dans le secteur de la construction.Avec la société qu'il a créée sous le nom de Coleo, il accompagne les entreprises en France, en Belgique et au Luxembourg. Nous allons, avec lui, surtout parler de son expertise après un bref aperçu de son parcours.Dans ce podcast nous situerons d'abord ce que représente l'approche lean dans le secteur de la construction.Quelle est la compréhension de l'approche dans le secteur de la construction ?Nous parlons d'amélioration continue !Comment les entreprises mettent-elles en place le lean dans leur quotidien ?"Sur chantier la difficulté c'est souvent de réussir à travailler efficacement ensemble, on a tout un tas d'interlocuteurs qui sont amené à travailler ponctuellement sur un même projet. Cette organisation par projet au final, ça amène tout un tas de changements, de dégradations, des reprises, des temps d'attente, tout ce qu'on va appeler des gaspillages. Et puis ça en résulte des chantiers qui sont trop souvent en retard, on va avoir des dépassements de coûts et un client insatisfait. Dans une approche lean, on va chercher à avoir le plus de fluidité possible aussi bien dans les échanges que sur la réalisation des travaux. Pour donner quelques exemples d'actions, on va pouvoir travailler autour d'un planning qui soit réellement collaboratif, où les parties prenantes sont impliquées aussi bien en étude comme en travaux. On va pouvoir travailler avec des principes plus techniques pour chercher justement à optimiser les flux du projet, en découpant notre projet en différentes zones,..."Une approche lean ET systémique, la corrélation doit être une évidence.L'approche est-elle différente selon qu'elle soit appliquée en étude ou sur chantier, quel est le lien ?Laurent situe, pour répondre à la question, l'évolution du lean sur ces dernières années.Doit-on s'attendre à voir l'émergence de nouveaux métiers propres à cette approche ?Entre la théorie et la mise en pratique, quels sont les gaps...?Des formations lean spécifiques sont-elles proposées dans le cursus universitaire en France, en Belgique ?Quelles sont les estimations de gains qu'une entreprise peut attendre quand elle adapte ses méthodologies de travail à cette approche lean ?On parle d'éviter le gaspillage : le lean constitue-t-il une approche qui engendre plus d'écoresponsabilité ?Quelles évolutions pour le lean dans les années futures ?Le secteur est-il en difficulté face au changement ?Le flux des questions se déroule sans mettre en difficulté ce véritable expert qui y apporte les réponses les plus pertinentes.Le mot de la fin : Laurent nous explique qu'on l'appelle parfois en guise de "pompier", en effet certaines entreprises n'implémentent pas suffisamment tôt cette métodologie ou le font trop tard.Il s'agit d'une méconnaissance profonde car l'un des objectifs est de démarrer un projet avec cette approche et non pas l'appliquer en cours.Laurent pense que la méthodologie est un incontournable de notre présent, future proche et long terme...Écoutez ce podcast et dites-nous ce que vous en pensez en commentaire !Texte : Michel Godart


36 - Saison 2 - Maxime Bouton - Ingénieur étude de prix, entreprises Louis De Waele (#036)
C’est un stage dans l’industrie et son goût pour les sciences qui l’ont mené aujourd’hui à occuper le poste d' Ingénieur étude de prix dans le secteur de la construction.Mais qu’est-ce que le métier d 'Ingénieur étude de prix ?Un client va venir vers vous, vous présenter son cahier des charges ainsi que son projet dans la globalité. Ensuite le rôle d'Ingénieur étude de prix est d’étudier le projet grâce à tous les documents que le client fournit. Cela commence par la cohérence des coûts, jusqu’à un avis technique. Des échanges se déroulent entre le deviser et le client afin de lui montrer les contradictions, ce qui va permettre de faire évoluer le projet et d’ensuite passer à la réalisation concrète du projet en tant que tel.L’enjeux auprès des jeunes d’aujourd’hui est d’informer sur les différents métiers possibles dans ce secteur. Maxime confirme, il n’avait bien sûr jamais pensé devenir diviseur lors de ses études. C’est grâce à un premier stage au sein de l’entreprise Louis De Waele, qu’il a pu prendre conscience de son attrait pour le terrain, le chantier. Ensuite, précise-t-il, le point positif d'être Ingénieur étude de prix c’est qu’on peut changer de projets toutes les trois semaines.« Le chantier c’est quelque chose qui m’a attiré par la suite, c’est dommage mais ce n’est pas un aspect qui était mis en avant lors de mes études, il existe encore trop peu d’informations à ce sujet auprès des étudiants. »Mais comment palier à cette problématique quand on prend conscience que ce manque d’informations ne va cesser de croitre avec la multiplication des métiers ?Pour Maxime, l’avènement des technologies a également un impact sur son rôle. L’une d’elle : l’intégration du BIM.« Nous manquons de temps. Si un projet n’as pas été dés le début par exemple étudié en BIM, nous n’avons pas le temps, nous en interne de modéliser l’ensemble du projet afin de faire toutes les vérifications et optimisations qui en découlent. » ajoute-t-il.Au delà de cette contrainte de temps, la solution serait donc peut-peut-être d’intégrer plus vite l’entreprise générale, pour pouvoir implémenter ces technologies, ces nouvelles recherches et le mettre en place.Mot de la fin? Selon Maxime Bouton, il ne faut surtout pas que les étudiants et futurs employés/ouvriers dans le secteur de la construction s’arrêtent sur la vision extérieure que l’on peut avoir du secteur. Certes c’est un secteur qui demande beaucoup d’investissement personnel mais c’est un secteur où tout est palpable et où il est beaucoup plus facile de visualiser le travail accompli.Texte : Elise Haemers


35 - Saison 2 - Adrien Vinel, Technicien de chantier (#035)
Les jeunes de maintenant le savent, il est parfois (pour ne pas dire souvent) compliqué de trouver la voie vers laquelle on veut aller quand on sort des études.Bien qu’Adrien ait toujours été attiré par les mathématiques et les sciences et qu’il s’est du coup très vite dirigé vers des études d’ingénieur, trouver sa spécialisation ainsi que le type d’entreprise pour lequel on a envie de travailler n’est pas chose évidente.Le jeune ingénieur s’exprime à ce sujet : « Il ne faut pas changer de boite forcément tous les 3 ans mais il est vrai qu’il existe un gros fossé inter-générationnel. Là où nos parents restaient des années dans la même entreprise, nous sommes nous une génération qui nous écoutons beaucoup plus. Nous prenons compte de nos besoins mais aussi de nos envies. »Ce point est également problématique lorsqu’on prend conscience du manque d’expérience du terrain auquel font face les jeunes d’aujourd’hui.Adrien Vinel en est le principal témoin; sur un cursus de 5 années, un unique stage en entreprise de deux mois est imposé aux étudiants. Une proportion dérisoire par rapport au nombre d’heures théoriques que ces étudiants reçoivent.Entre le manque d’expérience pratique et la réalité du terrain, l’avenir du métier d’ingénieur ou encore les risques écologiques liés au secteur de la construction, le jeune ingénieur nous fait part de son vécu et de son ressenti et donne à son tour quelques conseils aux futurs employés du secteur.Mot de la fin : en sortant de l’université il faut essayer d’aller vers quelque chose qui nous tente précise Adrien. Avoir l’envie d’aller travailler c’est primordial, selon lui. Mais surtout, il faut essayer de palier ce manque d’expérience en s’entourant de personnes avec des bagages professionnels et qui peuvent, à leur tour, nous partager leurs expériences.Texte : Elise Haemers


34 - Saison 2 - Thomas Hoenig, co-fondateur & co-gérant d'Hoptimize (#034)
Après avoir travaillé pour différents bureaux d’études pendant 7 ans, Thomas Hoenig et son frère, Pierre, ont finalement décidé de se lancer ensemble.« Hoptimize c’est aussi l’idée d’optimisation, nous sommes un bureau d’études, un bureau de concepteurs, d’ingénieurs conseils, dans le secteur des techniques spéciales.Notre but est de réaliser et concevoir des installations techniques tout en favorisant l’économie de matière, d’énergie mais aussi de temps et des budgets. »En effet, lorsqu’on travaille au niveau de la source du secteur immobilier, la question de l’environnement est également vite mise sur le tapis. Un bureau d’études tel que Hoptimize se doit de réfléchir en terme d’économie d’énergie, de dégagement de CO2, etc.Proposer et penser à des solutions énergiquement valables? Une solution qu’évoque avec nous Thomas Hoenig lors de ce podcast.« Bien que nous ne sommes pas maitre de tout et que nous sommes cadenassés par un client ainsi que son budget, on essaye toujours de faire au mieux pour proposer des solutions énergiques tout en respectant le budget de notre client. »La mission d’Hoptimize ? Intervenir dans les projets architecturaux le plus tôt possible afin d’intégrer au mieux les techniques spéciales.Mais qu’est-ce que les techniques spéciales? Quel est l’impact d’un métier comme celui de Thomas Hoenig avec l’arrivée et l’immersion des objects connectés? Comment les intégrer au mieux dans son quotidien en tant que bureau d’études?Mot de la fin : De par son expérience dans le milieu et ses différents projets, l’ingénieur met le doigt sur un point important : le marché est bouché, il représente une grande pénurie. Selon lui, cette pénurie est due à la sensibilisation des formations auprès des jeunes. Il existe très peu de formations dans le secteur.Très souvent, après avoir acquis une base classique commune, les jeunes doivent faire preuve d’investissements, d’ordre monétaire mais aussi en terme de temps nous explique-t-il. D’autant plus que les formations proposées sont souvent des formations en cours du soir ou lors des weekends.Texte : Elise Haemers


33 - Saison 2 - Abdelkader Boutemadja - Enseignant à la faculté d’architecture (#033)
Venu poursuivre ses études en Belgique il y a quelques années, c’est une formation en urbanisme qui l’a mené vers le SIG, étant passionné par les outils numériques, il y voyait déjà un lien avec l’avènement du BIM.En tant qu’enseignant, quelle est sa vision du BIM? « Pour moi ce qui est important dans le BIM c’est le coté processus. » En réalité le BIM est apparu pour une raison bien précise nous explique le professeur.Tout d’abord on s’est vite rendu compte que le secteur de la construction était un secteur économique très important dans notre pays. En effet, il représente presque 6% du PIB du pays.Mais le secteur était également lié à de grands points d’interrogations. L’investissement n’y était pas évident et l’économie ne tournait du coup pas correctement.Diverses études américaines ont reportés :le problème de communication entre les acteursla difficulté de gestion financière et de timing des projetsainsi que la question de l’organisation du travail collaboratifLe BIM émane donc d’une décision alliant la mise en place de méthodes et processus collaboratifs à la numérisation du secteur de la construction.Mais comment, réagissent les étudiants à l’heure actuelle? Sont-il réceptifs aux faits que les métiers dans le secteur de la construction vont évoluer avec l’avènement de la numérisation et de la digitalisation?A cette nouvelle question, le professeur Boutemadja affirme très clairement : « oui ils sont réceptifs! Ils viennent déjà en cours avec les tablettes numériques, dessinent sur ces tablettes, ils sont habitués! Mais il y a certaines nuances dont ils n’ont pas conscience. »En effet, d’après le professeur, les étudiants en architecture à la fin de leurs études n’ont pas encore connaissance de tous les autres acteurs qu’englobe un projet et le BIM trouve une difficulté de s’intégrer dans les études d’architecture essentiellement à cause de ça.De plus, il y a également un manque de synergie entre les formations données aux étudiants et les entreprises. Pourtant, les entreprises sont réceptives et même en demande.Mais comment y remédier? Quel futur peut-on envisager entre universités et entreprises? Comment former au BIM ? Qui sont les principaux acteurs ?Mot de la fin : Le but n’est pas de former des gens et qu’ils deviennent spécialistes en BIM mais de permettre à un architecte à un ingénieur, à un géometre, ou à un maitre d’ouvrage, d’acquérir les connaissances en BIM nécessaires afin d’être en mesure de participer à un projet fait en BIM.Il faut donc tomber d’accord sur ce qu’on attend des acteurs.Texte : Elise Haemers


32 - Saison 2 - Bruno Colmant, CEO Degroof Petercam (#032)
Après 35 ans dans le secteur financier de la consultance, Bruno Colmant travaille depuis 5 ans maintenant au sein de la société Degroof Petercam, issue de la fusion entre la banque Degroof et la société Petercam.Le secteur de la construction étant intimement lié au secteur bancaire, Monsieur Colmant nous donne sa vision des choses sur la crise actuelle. Selon lui, cette crise économique est différente de toutes celles vécues par le passé.Les crises précédentes étaient des crises financières ou boursières premièrement et qui, ensuite, se sont transposées dans l’économie réelle, nous explique le CEO. C’est d’abord parti de la finance pour aller vers l’économie réelle. Aujourd’hui, c’est l’inverse, c’est l’économie réelle qui est bloquée étant donné que les chaines de productions, d’échanges, de biens, de services, sont limitées, ajoute-t-il.« Bien-sûr l’appareil de production n’est pas détruit, mais il se fait que pour des raisons tout à fait inattendues, les humains ne peuvent plus échanger, se rassembler et ça crée un frein très important à l’économie réelle. »Afin de relancer l’économie de façon massive, l’idée d’un nouveau plan Marshall est également à envisager. A une différence près, contrairement au plan Marshall qui était lui, un plan d’investissement, on doit aujourd’hui réfléchir à une mise à l’emploi, une disposition de moyens de subsistances.« Il faut débloquer l’économie, en donnant un pouvoir d’achat immédiat aux personnes. »Le nombre de burn-outs risque-t-il d’augmenter à nouveau ? Les entreprises sont-elles prêtes à ces changements dont la société a besoin ? Quant au secteur financier, est-ce que l’on peut envisager une baisse des droits d’enregistrement ? Ce qui est certain c’est qu’aux yeux de Bruno Colmant, c’est le moment d’être innovateur. Lucidité et discernement sont les maitres mots. Ce sont les deux qualités qui caractérisent le mieux l’homme de guerre. Qualités dont nous devons tous faire preuve pour palier à cette situation.« Quand le bâtiment va, tout va, je suis on ne peut plus d’accord avec cet adage, c’est évident, le bâtiment est un indice de progrès, mais surtout, c’est un indice de confiance en l’avenir. »Mot de la fin : Tout est envisageable, les moments chocs comme celui que l’on vit actuellement sont idéals pour repenser le modèle. Il faut que tous ensemble, on ait des idées utiles, et qu’on fasse transfuser les idées nouvelles vers les décideurs politiques.Il ne faut pas perdre espoir, faire les bons choix, avoir de l’audace du courage, oser investir. Ne pas rester paralysé, c’est maintenant que les hommes de caractère vont se révéler.Texte : Elise Haemers


31 - Saison 2 - Vincent Maillen - Entrepreneur & Fondateur du groupe Facebook INDEPENDANT (#031)
Dans quelle mesure la situation de crise actuelle touche-t-elle les indépendants ? Debriefing par Vincent Maillen.Tout est parti « d’un coup de gueule » poussé sur les réseaux, explique notre invité. En effet, ce qui au départ n’était qu’un hasard, est très vite devenu une mission ; « celle de défendre la situation de nombreux indépendants et sous-traitants qui se retrouvaient dans une situation précaire suite à la crise et à l’arrêt de leur travail. »Ses paroles ont été entendues et relayées :Le groupe « Indépendants » et son slogan « L’Union fait la force, unissons nos différences » compte à l’heure d’aujourd’hui plus de 33 000 membres sur la plateforme.Le mot d’ordre ? Aider un maximum les indépendants en publiant de nombreux conseils grâce à son expertise dans le milieu mais aussi remonter des informations qui ont de plus en plus l’ampleur grâce à l’impact généré par le groupe facebook.De son côté, Vincent Maillen et son équipe se battent dans l’ombre, et travaillent sur des aspects tels que les primes, les reports des cotisations sociales, ou encore la TVA.« Bien-sûr, il y a déjà des mesures qui ont été prises, il faut objectivement rester réaliste, par exemple le droit passerelle est en place depuis 2016 et permet à bien des familles de subvenir à leurs besoins. »Malheureusement ces mesures ne suffisent pas. À ce jour, la crise a déjà poussé un bon nombre d’indépendants à la porte du CPAS.En tant que représentant des indépendants, l’entrepreneur s’exprime :« Certes on peut évoquer une mauvaise gestion pour certains, mais pour la plupart, la raison est liée au modèle économique, tout notre modèle économique a changé… »Si notre modèle économique a changé, il n’est pas le seul. Entre évolution climatique mais aussi technologique, quelles solutions sont à envisager ?Comment relancer l’intérêt auprès des jeunes d’aujourd’hui vers un secteur tel que celui de la construction ? Avec qui plus est, un statut d’indépendant et tous les risques qu’il entraine? Mot de la fin : La Belgique est un pays d’entrepreneurs mais afin d’encourager ceux-ci, il faut leur donner l’espoir et pour leur donner l’espoir de réussir, il faut leur donner les moyens.


30 - Saison 2 - Salim Chamcham, Economiste à la CCW - Le statut du secteur de la construction (#030)
"Une interview réalisée dans un contexte particulier et comme nous respectons le confinement, elle a été réalisée à distance : nous sommes certains que vous comprendrez le contexte et nous pardonnerez…"----Quelles sont les demandes des membres ?“La première est d’être informée. Les entrepreneurs souhaitent savoir s’ils peuvent aller sur les chantiers selon les mesures prises par le Conseil National de Sécurité.En fonction des cas de figure, l’entreprise pourra ou pas continuer son activité.Comme nous sommes en situation d’urgence, nous avons monté une “Task force” au sein de la Confédération avec les collègues permanents qui rassemblent des juristes, des économistes, des spécialistes en matière sociale pour pouvoir gérer au quotidien les demandes très nombreuses.”En écoutant ce podcast, vous apprendrez qu’ils ont mis un FAQ en ligne avec toute sorte de réponses.En tant qu’économiste, Salim Chamcham a une vision selon le court ou le long terme.Découvrez les mesures mises en place pour aider le secteur et anticiper la reprise.La Région Wallonne a ouvert des lignes de crédit : adaptées ou pas ? Ecoutez sa réponse.Elle a pris des mesures pour faciliter l’administratif : permis de construire, marchés publics… délais allongés, pas d’amendes sur les retards.Quelles sont les mesures de relance ?“Rendre la construction neuve accessible, relancer les travaux publics, relancer la dynamique intéressante d’économie circulaire dans le domaine de la construction.Toute une série de thématiques en matière de circuits courts pourraient nous aider à relancer l’activité.Ce secteur a un effet levier important qui fait travailler des bureaux d’études, des architectes, les fournisseurs de matériaux.D’autres propositions fiscales : par exemple la TVA pourrait être diminuée sur la construction neuve. A la sortie de la crise de 2008, la TVA a été mise à 6 % sur la première tranche de 50 000 euros. On pourrait s’en inspirer.”Un fond de protection pourrait être créé à l’avenir ?Les congés du bâtiment approchent : que va t’il se passer ?Toutes ces questions sont en discussion…En attendant les réponses, allez sur leur site car les informations sont actuellement disponibles pour les membres et les non membres ! Une chance.


29 - Saison 2 - Hein Dirix, Managing Director SPIE : la crise du Coronavirus (#029)
M. Hein Dirix est Managing director chez SPIE depuis un an. Il décrit la situation due au Corona virus dans notre pays, la Belgique, comme étant moins difficile qu’en France.“Nous sommes en train de souffrir. Une période très difficile. Je suis en contact avec mes collègues français. C’est encore pire. Il reste 20 % de chantiers ouverts là-bas et ici un chantier sur deux est arrêté.”Puis, il ajoute que le secteur du bâtiment est plus touché que l’informatique. “ Il y a même plus de demandes de nos clients car avec le télé travail, les demandes d’assistance sont nombreuses.”Il remercie tous ceux qui veulent continuer à travailler. “On essaie de le permettre en respectant les mesures de sécurité. Parfois ce n’est pas possible et on doit arrêter les chantiers.”Voyez comment chez SPIE le comité de direction, par vidéo conférence, gère la situation de crise : instructions envoyées aux employés et ouvriers, gestion du cash et des coûts fixes, mesures gouvernementales.Ecoutez quel est son autre problème… à propos des masques pour leurs chantiers critiques (hôpitaux et centrales nucléaires).Quel pourcentage de gens sont en chômage temporaire ?Le chômage temporaire est activé : pour l’instant des gens sont malades et on les a motivés à prendre congés. Les autres sont en chômage technique, cela représente en tout 30 % de notre population.Quel est votre appréciation de votre personnel par rapport au confinement ?Vous entendrez sa réponse.Y a t’il d’autres mesures utiles avant de reprendre l’activité ?Qu’est-ce qui rend optimiste M. Dirix dans ce contexte ?Et les sous-traitants ? Où sont-ils ?Vous aurez des réponses à toutes ces questions en écoutant ce podcast jusqu’au bout.Peut-on donner un message d’espoir à vos collaborateurs pour les rassurer ?Grâce à la très bonne discipline de gestion de notre cash, nous allons passer cette période difficile. Les résultats de 2020 seront moins bons que d’habitude. Mais on va survivre à cette crise comme d’autres sociétés qui ont une petite caisse de guerre !Ce que je vois de très positif ?La solidarité dans mon équipe est impressionnante. Comme exemple, elle a décidé de réduire leurs salaires par solidarité avec les ouvriers. C’est très joli. Je ne pouvais m’attendre à de telles réactions.Pensez-vous qu’il faudrait que la Belgique investisse en masse, comme un plan Marshall, pour faire face ? Des réinvestissements publics, est-ce intéressant ?Oui, cela peut aider. Mais attendons de voir quelle sera la taille de la crise. Il ne faut pas suréagir. Si on constate qu’il faut accélérer l’économie en Belgique, les mesures seront les bienvenues.Je veux remercier tous les gens qui gardent leur sang froid et continuent à travailler tous les jours, surtout dans les domaines critiques, je les remercie mille fois.
28 - Saison 2 - Nicolas Deremince & Charles Bedoret - Belgian Real Estate Night (#28)
400 participants en 2018, 700 participants pour 2019 ! Combien serez-vous à y participer en 2020 ? C'est le plus grand rendez-vous de l'immobilier en Belgique, ne le manquez pas ! L'année dernière, vous étiez 700 participants, 14 entreprises partenaires et vous avez fait de cette soirée un moment unique et privilégié. La quatrième édition c'est ce jeudi 12 mars dans un lieu prestigieux et connu de tous à Bruxelles, un événement en mode "La Croisette".La Belgian Real Estate Night, c'est l'occasion idéale de réseauter et de faire la fête dans une atmosphère décontractée et professionnelle à la fois.L'évènement rencontre un franc succès chaque année et nous avons même prévu d'y installer notre studio podcast.Notez : C'est local, c'est donc aussi une bonne opportunité d'être écoresponsable et d'éviter un long déplacement.


27 - Saison 2 - Didier Cartage, General Manager chez ADEB-VBA (#27)
Le secteur représente 100 000 entreprises de construction (plafonneur, peintre, etc), dont 75 % sont des indépendants, une personne, 95 % emploient moins de dix personnes et 99,8 % occupent moins de 100 personnes. C’est essentiellement un monde de PME ou de TPE.L’ADEB est l’association des entreprises de grands travaux, de class 8, les majeurs du secteur ; 65 entreprises, plus de 15 % du chiffre d’affaires total de la construction : 19 000 personnes d’emplois directs et 57 000 personnes employées directement ou indirectement. 5,8 % du PIB en Belgique, un acteur majeur !Que fait l’ADEB pour ce secteur ?« Elevating construction together » : l’idée est d’élever l’ensemble du niveau de professionnalisation du secteur par le biais de la sous-traitance.Apprenez, en écoutant ce podcast, le rôle de l’entrepreneur général ! Et comment l’ADEB amplifie ce rôle en créant des plateformes.« On aide les entreprises à évoluer dans un certain nombre de domaines, comme la matière digitale. On met à disposition des outils dont elles ont besoin et on essaie d’avoiren commun ces outils plutôt que de voir chacun réinventer l’eau chaude ! »Que faire pour améliorer la sécurité des entreprises… avec le maillon faible, le gsm ! Des webinars sont organisés pour sensibiliser les travailleurs de l’entreprise à tout ce qui est sécurité informatique.La digitalisation avance : Didier Cartage explique clairement deux exemples, découvrez-les !Quels sont les objectifs pour le futur ?De grandes entreprises, membres de notre association ont une responsabilité sociale et sociétale. Tout ce qui est fait au sein de l’ADEB est là pour améliorer cette responsabilité. Nous mettons en place des actions concrètes pour aller dans cette orientation-là, pour diffuser auprès du pouvoir politique, adjudicateur, le rôle que nous pouvons jouer et même devancer le politique dans certaines matières.Echelle de prestations C02 ? Découvrez comment les politiques se sont pour une fois mis d’accord ! Synergie, objectifs communs…Une ASBL avec le même fonctionnement qu’une société de service SA, des membres fidèles et pas de prosélytisme… tout un programme cohérent et convivial.Et l’accueil des jeunes ?Une belle campagne « More than building » pour les attirer dans un monde aux cent métiers différents, des innovations durables, des infrastructures magnifiques : hôpitaux, écoles, centres de loisirs… De quoi apporter du sens à leur vie !Le mot de la fin : « Aux jeunes qui ont de l’or dans les mains, orientons-les vers des métiers techniques, un moyen de les épanouir ».Et c’est tout ? Didier Cartage est Président d’une association qui s’occupe d’enfants placés par le juge ou handicapés.« C’est merveilleux de rencontrer les éducateurs et de les aider avec notre expérience. »


26 - Saison 2 - Sophie Lefert, Responsable Etudes Design & Build chez CIT-Blaton (#026)
Diplômée Ingénieur civil architecte, elle a complété son parcours par un master en gestion et un master en immobilier. Pourquoi ce dernier master ? “Je voulais mettre le produit construction dans son contexte et comprendre les enjeux qu’ils soient économiques ou sociaux dans l’acte de construire”.C’est à l'Université de Liège comme ingénieur de recherche qu’elle a travaillé sur des projets européens, développant ses affinités pour des projets pluridisciplinaires.Quelle est ma fonction ? : “le “Design and Build”, par rapport à un processus classique, est l’intégration de l’entreprise générale, de tous les intervenants, dans la conception. Mon rôle consiste à mobiliser un ensemble de compétences dans des projets très interdisciplinaires, des partenaires internes comme Blaton, le service engineering dont les compétences sont notamment le BIM, l’étude, la planification. Je fais appelle à de nombreux partenaires externes en fonction de la complexité du projet : architectes, bureaux de techniques spéciales, de stabilité mais aussi des disciplines beaucoup plus spécifiques telles que des experts en audiovisuels, des scénographes, des personnes qui étudient les flux.L’objectif est d’optimiser la solution architecturale technique choisie et de faire en sorte qu’elle corresponde à un prix plafond, au timing… trouver le juste équilibre”.Apprenez comment Sophie Lefert est passionnée par la transition, comment la fonctionnalité du bâtiment doit changer et quels sont les freins à l’innovation pour répondre aux ambitions. Vous ne connaissez pas l’entreprise ? Vous découvrirez qu’ils innovent depuis 1920 et saurez à quoi correspond le brevet Blaton-Magnel.“Darwin disait : les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes ni les plus intelligentes mais celles qui s’adaptent le mieux au changement.”Sophie Lefert rappelle qu’il faut une veille technologique importante pour pouvoir expérimenter et optimiser par la suite. La digitilisation va permettre une industrialisation avec plus d’automatisation, une préfabrication en atelier. “Plus de Design et moins de Build, en tous cas en un temps plus court”.Restez à l’écoute, vous saurez ce qu’est un bureau passif chez CIT BLATON !“Dans mon mémoire pour le master en immobilier, j’ai analysé les nouvelles tendances dans les manières de vivre et d’habiter. L’usage prend le pas sur la propriété (succès du co-living, des véhicules partagés, d’autres formes de partage comme Netflix et Spotify). Les priorités des nouvelles générations évoluent en terme de relations aux objets. J’essaie d’intégrer cela aussi chez CIT BLATON !”Découvrez les valeurs de l’entreprise, leur ancrage géographique, la place de la femme et le message aux jeunes.“Fais ce que tu aimes, donne le meilleur de toi-même, fais-le avec passion et suis ton intuition.”Et le mot de la fin : “La construction, un monde à découvrir !”


25 - Saison 2 - Johnny Bourgeaux, gestionnaire de chantier chez EJD (#025)
Combien d’années faut-il pour pouvoir prétendre gérer un niveau class 8 ?«Cela dépend des compétences. Chaque année des jeunes sortent du lot. Certains sont plus lents mais qualitatifs dans leur travail. Il y a beaucoup de stress dans la gestion des ouvriers, des rendus aux clients, au bureau d’étude et à notre entreprise.Je suis à l’aise dans le gros œuvre et le parachèvement. Ma préférence est de gérer le chantier de A à Z. Mon rôle majeur est de jauger le nombre de personnes utiles, d’établir, au niveau budget, les demandes de matériaux, en collaboration avec un gestionnaire de chantier ou des techniciens.Sur chantier, mes interlocuteurs sont le bureau d’étude, ingénieurs et architectes et je dois retransmettre les informations vers le corps des ouvriers. On matérialise le projet de la conception à sa réalisation.»En écoutant ce podcast, vous apprendrez quelle expérience est nécessaire, comment Johnny Bourgeaux dirige les hommes et quelle méthode il utilise pour la planification.La Belgique était connue pour la qualité de sa main d’œuvre : écoutez ce qu’il en est au quotidien et comment la faire évoluer positivement.« Je serai partisan pour que tous les jeunes se tournent vers les métiers de la construction. Voilà une autre solution ! »Quelle part dans ce métier pour les relations humaines, pour la sécurité ? Découvrez-le tout au long de ce podcast.Et pour finir, avec quelle logistique ? «Il faut anticiper, gérer les couacs, avoir de la chance !»Le mot de la fin :«Nous partons d’une feuille blanche, d’un terrain vert pour évoluer. Toute personne qui a participé au projet pourra dire en passant devant la réalisation, je l’ai faite ou j’y ai contribué. C’est unique.»Conseil aux jeunes futurs producteurs de chantier : « Venez, un beau monde dans lequel on peut évoluer vous attend. Les journées passent vite, on ne s’ennuie pas » !Site Internet des entreprises : Jacques Delens.


24 - Saison 2 - Ayme Argeles, Manager Confédération Construction Wallonne (#024)
Il s’occupe des activités de lobbying (règlementation, anticipation de l’évolution du marché pour préparer les entreprises) et des services (juridiques, sociaux, formation, environnement et recrutement). Formé ingénieur agronome et éco conseiller dans l’environnement, il est conscient des enjeux sociétaux et du futur. Spécialiste en gestion des sols, il a été recruté par la Confédération qui cherchait un expert. Il met en pratique ce qu’il a appris depuis 15 ans dans cette ASBL.À mes débuts, précise-t-il, ce sont les prémices des règlementations environnementales (sols, performances énergétiques dans les bâtiments). Un bel enjeu aujourd’hui qui force l’intérêt des entreprises (sensibilisation et formation).Bon nombre de projets sont communs aux trois entités régionales, Bruxelles, Wallonie et Flandres. Des échanges de cultures inspirants, motivants qui permettent de dépasser certains clichés.Découvrez le concept de la Confédération : la RSE et ses échanges avec la France afin de connaître les besoins pour équiper, former les ouvriers ou les cadres, pour optimiser la rénovation énergétique.Tout partage est important !Apprenez ce qu’est un processus collaboratif.Et comment au sein des CSTC (centres scientifiques et techniques du secteur de la construction) les technologies numériques vont aider les entreprises pour relever le défi climatique.La Confédération a aussi un rôle éducatif. Elle attire les jeunes par une grande campagne positive qui parle des nouveaux métiers et de la formation en alternance.Sa vision pour les cinq prochaines années ?« L’objectif est d’arriver à maîtriser les coûts de la construction en intégrant les nouvelles technologies par une plus grande industrialisation du secteur (préfabrication), la maîtrise de la qualité qui passe par la formation des ouvriers et des cadres ».Son rêve ? Continuer à collaborer avec des partenaires (actuellement des projets européens au niveau de l’économie circulaire, de la récupération des matériaux), multiplier les formations des ouvriers, des cadres dans la performance énergétique des bâtiments.L’humain est toujours là, car sans lui il n’y a pas d’utilisation bénéfique de la technologie !


23 - Saison 2 - Hein Dirix, Managing Director SPIE (#023)
“J’étais en train de créer ma propre société et n’avais plus envie d’intégrer une grosse entreprise quand un chasseur de tête m’a sélectionné. Il a essayé de me convaincre que j’étais le plus apte à m’adapter à la culture de l’entreprise SPIE. J’ai rencontré mon prédecesseur, un entretien court de 45 mn, amical, ouvert, direct et j’ai senti tout de suite chez lui une profonde humanité.”Elu “top employeur” 13 fois au total et dix fois de suite. SPIE ne l’a pas fait pour le certificat. Notez que M. Dirix a été DRH pendant trois ans, ce qui est rare chez un CEO.La différence entre la société Engie et SPIE est très grande. SPIE a été construite par l’acquisition de petites sociétés d’entrepreneurs. Cette culture existe toujours et ils essayent de la garder, de la renforcer. C’est une culture d’esprit d’entreprise, de communication très directe, pragmatique, très opérationnelle.Comment se préoccupe t’on des valeurs de l’entreprise ?"J’ai appris d’un grand professeur français, François Dupuy : Ne dites pas aux gens ce qu’ils doivent faire mais mettez-les dans un contexte où ils sont quasiment obligés de faire ce que vous souhaitez et montrez l’exemple ! Ce que je respecte toujours."Apprenez en écoutant ce podcast à quoi ce réfère le mot culture chez SPIE. Et comment SPIE développe au sein de l’entreprise l’intrapreneurship !Quel est votre quotidien ?"Beaucoup de réunions. Je réserve 20 % de mon temps à la réflexion, 10 % de mon temps à aller voir les clients. 10 à 15 % également pour visiter des chantiers et parler aux gens."Comment allier vie professionnelle et vie privée ?"Cela reste difficile. Je travaille entre 50 et 60 heures par semaine. J’essaie de faire le week-end des activités sportives avec ma femme. Je pratique le Kite surf et pour rester en forme, je fais du cyclisme et de la natation. En hiver on va skier ou faire du snowboard deux fois par an."Quels sont les points forts de SPIE ?Le digital ?"Nous avons fait l’acquisition d’une société IT pour accélérer la vraie digitilisation. Nous voulons devenir le spécialiste du work place, des aménagements de travail modernes (capteurs de présence, de C02, qui quantifient la quantité d’air et la température à souffler dans la pièce en fonction du nombre de personnes) pour le confort et l’efficacité énergétique.La mobilité électrique nous intéresse. Il faut une infrastructure le long des routes.Les entrepreneurs doivent se débrouiller, sans attendre le support des politiciens. L’implémentation de la 5G est problématique. Il faudrait accélérer pour ne pas créer de retard par rapport aux pays voisins." Poursuivez l’écoute pour connaître leurs projets, leur implication dans la transition !Quelle message à donner aux jeunes ?"Nous avons besoin de techniciens électriques, mécaniques. Nous recrutons des jeunes dans l’IT. On les trouve difficilement. Le système d’enseignement est théorique, ce que j’aime bien. Le reste, nous allons l’apprendre aux jeunes en les intégrant dans une équipe. La porte leur est grande ouverte !"Le mot de la fin !“Une société fantastique avec une culture agréable. J’aimerai bien que tous s’en rendent compte !”


22 - Saison 2 - Moncef Berraj, étudiant à l'ECAM Co-fondateur Unusuwall (#022)
Moncef Berraj pointe tout d’abord le faible niveau des études secondaires en région bruxelloise. Son intégration à l’université (en sciences de l’ingénieur industriel) a été laborieuse mais il a apprécié les cours de résistance des matériaux, le béton armé et l’excellent cours de maths que dispense M. Hillewaere à l'ECAM. De plus, il s’est bien entouré d’un groupe d’amis pour travailler. Attentif aux autres, il accompagne bénévolement aux études des jeunes dans sa commune (pour Creactions, et avant cela avec My Sherpa).Ses stages chez CIT Blaton et BPC, bien que courts, lui ont révélé que le métier dans les chantiers lui plaisait, lui qui avait toujours été passionné par ce qui se cachait derrière tout objet !Néanmoins, en obtenant par la suite un master en gestion/finances, il s’ouvrira à d’autres opportunités.Ecoutez la suite de ce podcast : vous apprendrez comment en tant que co-fondateur d’Unusuwall, Moncef Berraj recycle des containers maritimes pour les transformer en habitations durables. Un must pour la transition !Son objectif ? Etre bien formé plutôt qu’obtenir un salaire afin de grandir humainement !


21 - Saison 2 - Idriss Goossens, Founder Proptech Lab (#021)
Idriss Goossens a construit sa passion pour l’immobilier au fil des 8 années de travail car il est arrivé fortuitement dans ce secteur.Il a vu, il y a sept ans, les bouleversements dans la finance et l’arrivée de Fintech, soit la digitalisation du secteur et a créé il y a trois ans PROPTECH, une plateforme pour connecter les startups aux grands groupes immobiliers. Le but ? Aider à rénover le secteur.Idriss Goossens organise des événements informatifs avec des intervenants qui viennent partager leur vision du futur… 200 personnes aujourd’hui participent… une réelle conscientisation du secteur pour ne pas perdre des parts de marché.Apprenez comment Proptech aide les startups dans leurs difficultés et les grands groupes à innover. Ce sont des « match makers » !Comment se définit Proptech ? Vous découvrirez que le co-living et le co-working en font partie… ce sont de nouveaux modèles… un exemple espagnol à la clé !Le secteur de la construction et de l’immobilier représente 52 % des émissions de C02… c’est énorme ! Voyez comment les promoteurs se focalisent aujourd’hui sur l’énergie. Bâtiments à énergie positive ou carbone neutre… devenus un standard.La législation belge est en retard par rapport à la Grande-Bretagne et la France (réseaux d’énergie optimisés pour stocker, consommer, distribuer l’énergie) ; Idriss Goossens rêve de mettre en place un consortium !Actuellement, Proptech a de nombreux projets qui nécessitent de nouveaux talents : un « head of community » et son bras droit pour le « business development ».Ce qui l’anime ? La volonté d’avoir un impact positif sur le long terme. « Je suis sur le bon chemin, ce que je fais a du sens » dit-il.


20 - Saison 2 - Thomas Vandenbergh, COO BESIX STAY (#020)
Thomas Vandenbergh lance le BIM : Building Information Modeling : la production de maquettes numériques, représentations digitales de bâtiments, ponts, routes etc. Puis c’est la création du « Building management », soit la gestion de l’information sur un projet de construction. Il forme aussi des étudiants à l’UCL.« Il faut savoir, dit-il, que le monde de la construction, en terme de profitabilité et d’erreurs, est catastrophique (1 à 2 % de profit pour 10 à 15 % d’erreurs) ». Découvrez comment il diminue les erreurs de conception avec le « Virtual design construction » !Thomas Vandenbergh parle de réalité augmentée, de contrats intégrés, de plateforme d’idéation dans l’entreprise avec de nouvelles recrues hors de ce secteur.Besix a des valeurs que prône Thomas Vandenbergh : R E C U P ! Il nous les explique dans ce podcast et ajoute la dernière innovation chez Besix Stay grâce au PropTech Lab (Belgium) : l’utilisation de la technologie « Palm vein recognition » dans l’hôtellerie du futur (A-Stay Anvers et d’autres à Diegem et en Moldavie). Sa réalité dans le travail ? « Je m’amuse au quotidien ! »


19 - Saison 2 - Philippe Monserez, Chief Design & Build Officer AG Real Estate (#019)
En 1982, cet ingénieur diplômé sort de l’université dans le but de travailler dans la construction, secteur profondément en crise. Sur 30 ingénieurs, seuls 5 ou 6 resteront dans ce domaine.AG Real Estate investit de l’argent dans le développement de projets immobiliers. Dans ce cadre, Philippe Monserez gère une équipe de 40 personnes composée d’architectes, d’entrepreneurs et de nombreux autres profils intéressants. Comment ? Avec un esprit d’équipe, une fierté professionnelle, de la passion et de la transversalité ! Cette société prône les valeurs suivantes : Care, dare, deliver and share. Apprenez comment elle fédère 250 personnes, alignées dans cette attitude !Tout aussi passionnant, les projets ambitieux mis en place comme ce programme de 182 écoles à 90 % construites, des appartements, des centres logistiques, des shopping-centers… de quoi attirer de jeunes diplômés.En écoutant ce podcast, vous saurez comment l’entreprise rénove, voit l’école de demain, comment elle prend en compte les soucis climatiques, la mobilité des personnes… des challenges en tous sens avec le mot d’ordre de Philippe Monserez : « Suis ton cœur ».


18 - Saison 1 - Spécial remerciement & teaser saison 2 (#018)
Une saison qui commence fort car , en janvier, on débute par les interviews de Philippe Monserez (Chief Design & Build Officer AG Real Estate) et Thomas Vandenbergh (COO BESIX STAY). Mais patience ! Vous en saurez plus en écoutant ce podcast !Pressé d’aller faire la fête ? Le bilan et les remerciements c’est jusqu’à la huitième minute environ, ensuite c’est le teaser de la saison 2.Dans cet épisode on mentionne aussi :Moncef Berraj (bientôt en ligne)Nicolas TiliakosJean Pierre Martin (DRH de chez SPIE)Vanessa Didden (DRH de chez Louis De Waele)Nicolas Deremince (développeur immobilier : IMMOBEL & Président du Conseil : ULI)Aurélie Chatry (Conductrice de travaux chez Jacques Delens)Elise LoorAurelie Flament (ARtY Architecture) & Séverine Cantella (Drees & Sommer)Axel Vervondel (Key account Manager EDF Luminus Solution)Anastasia Bourguignon (RH chez Jacques Delens)Sans oublier de rappeler notre présence au Salon du Realty à Knokke !


17 - Saison 1 - Spécial : un message de l'équipe EOX Construction pour vous ! (#017)
Nous avons un message pour vous !Candidats, Partenaires et vous tous, auditeurs...Un message important vous est destiné et nous serions heureux que vous preniez ces 5 minutes nécessaires pour l'écouter.Ne doutez pas un instant que les quelques membres de l'équipe, absents lors de cette prise de son ce jour-là, se joignent à leurs collègues dans cette optique. Ils auront certainement l'occasion d'intervenir dans une prochaine capsule podcast.Pour rappel notre équipe au sein d’ EOX Construction est composée de : Alice Raj, Delphine Durré, Amélia De Jager, Nicolas Wathelet-Warlop, Arnaud Delacroix, Maxime Gabrielli et moi-même.Une pensée également à toutes les personnes qui continuent à croire en notre projet et méthodologie. Et pour les autres personnes, ce n‘est pas grave, vous avez 2020 pour faire partie de l’aventure..Un grand merci à mon équipe sans qui tout ceci ne serait pas possible.Nous vous souhaitons une agréable écoute, et surtout un joyeux Noël en famille!


16 - Saison 1 - Anastasia Bourguignon, RH chez Jacques Delens (#016)
Effectivement, son diplôme d’archéologue en poche, Anastasia réalise qu’il est inutile de chercher du travail dans ce domaine… les places étant rares. Par le biais de l’intérim, elle a l’opportunité de recruter dans le domaine de l’Horeca et de la sécurité où elle apprécie les rencontres humaines.Elle entre chez Jacques Delens comme secrétaire puis reçoit plus de responsabilités et des dossiers complexes sur lesquels elle s’attèle avec conviction. Elle lit, se renseigne notamment auprès de personnes du groupe Besix auquel Jacques Delens appartient. Le dossier mobilité la passionne et Besix est pionnier en matière d’écologie. Ils ont un département Recherche et Développements et font du recyclage circulaire sur chantier.La réalité, comme dans l’Horeca est la pénurie de main d’oeuvre et l’urgence de trouver de bons profils. Cette pénurie est due à deux facteurs dit-elle : "les profils séniors n’ont pas toujours les compétences que nous cherchons et manquent parfois d’autonomie. Les jeunes ne se forment pas car ils pensent à la pénibilité physique, aux gros horaires sur chantier et à l’équilibre vie de famille/vie professionnelle”.Comment les accueille-t-elle au sein de l’entreprise ? C’est ce qu’il vous reste à découvrir ! Une histoire de parrainage entre séniors et jeunes, très inspirante !Un rôle d’équilibriste entre l’aide aux personnes pour leur trouver le bon poste et représenter l’autorité au travers de la règlementation.


15 - Saison 1 - Axel Vervondel, Key account Manager EDF Luminus Solution (#015)
Axel Vervondel a travaillé 9 ans chez Ista, dans un call center où il s’est occupé de planning et de la gestion de clients. Cette société gère la répartition des frais de chauffage et d’eau pour les immeubles avec ou sans syndics. Axel, bilingue, a un profil de battant et travaille beaucoup. Il a su, grâce aux conseils et l’appui d’Ista, apprendre la patience (4 ans !) pour obtenir un poste de vendeur. Sa motivation à évoluer dans la société a primé sur ses diplômes, un must par les temps qui courent !Depuis, recruté par Xavier de Bugère chez EDF Luminus Solution, il manage la gestion d’un portefeuille de clients qu’il connaît… souvent indisponibles ! Vous entendrez comment Axel a appris la communication de ses entretiens d’embauche !Aujourd’hui, il s’occupe d’efficacité énergétique dans les bâtiments à chauffages collectifs, un secteur plein d’avenir qu’il maitrise grâce à sa présence sur les chantiers pour posséder un bagage technique. Passionnant, d’autant plus qu’Axel privilégie toujours l’aspect humain !A écouter jusqu’au bout, vous découvrirez son rêve !


14 - Série Spéciale : Les femmes dans la construction - Aurelie Flament & Séverine Cantella (#014)
Qu’est qui les distingue dans leurs métiers au quotidien ? Échangeraient-elles leurs rôles ? Comment ces parcours peuvent-ils être si différent avec le même cursus au départ ? Ce sont quelques questions que nous posons à nos deux invitées… L’intention est évidemment d’illustrer, pour les futurs étudiants en architecture, qu’une carrière ne se définit pas forcément uniquement au diplôme et que bien des variantes sont possibles. En tant que bureau de conseil carrière, EOX Construction c’est forcément penché sur ces aspects.Aux, études, dans la vie et même lors de collaborations, Séverine et Aurélie ont tissé un fort lien d’amitié qu’elles ont ensuite étendu pour se retrouver en un petit groupe de filles qui savent s’amuser mais aussi s’entre aider. Et si l’une d’elles n’est pas architecte ce n’est pas bien grave car avoir une vue extérieure c’est aussi important.Une redondance aussi dans nos préoccupations : l’impact environnemental… Séverine travaille pour Drees & Sommer, une société Allemande qui se penche sur ce thème. Ils sont orientés vers l’économie circulaire et la récupération des matériaux. Des exemples sont-ils à prendre à l’étranger ? La Belgique ne traine-t-elle pas la patte ?Aurélie a ouvert son propre bureau d’architecture : "ARtY Architecture" , elle est le premier témoin que ce qui compte d’abord pour le citoyen : ce sont les coûts ! Même si on leur parle d’empreinte écologique. Si l’argent passe toujours avant l’humain, et de facto notre planète, ne devons-nous pas changer les mentalités urgemment ? Aurélie continue de se former pour offrir à ses clients une offre complète prenant en charge LE projet de leur vie...Bien entendu dans ce podcast, et c’est le thème de notre saison, nous les questions sur le rôle féminin dans le secteur : de l’école à la vie professionnelle, comment se sont-elles fait une place ? Reste-t-il des contraintes à être une femme et évoluer dans un secteur encore fort masculin ? Nous verrons que le facteur culturel est un élément qui intervient ici aussi dans la vision que les hommes ont de la femme et de son rôle… Séverine nous confie qu’elle doit toujours faire trois fois plus ses preuves que ses homologues masculins…mais quel plaisir alors de relever ce défit et c’est dans ces chalenges qu’elle va puiser son énergie !Deux passionnées, deux visions différentes, deux amies et surtout deux femmes inspirantes : à découvrir ici et à écouter sans modération !Dans ce podcast nous faisons référence à :- JUMP (Isabella Lenarduzzi) qui fait la promotion de l'égalité des genres, de performances d'entreprise durables visant à créer une société plus égalitaire.- Miss Marketing Magazine (Doa Majouli) qui mets les femmes inspirantes en avant dans ses projets à travers le magazine et le talk "Les Rôles Modèles Féminins"


13 - Série Spéciale : Les femmes dans la construction - Elise Loor - Seconde partie (#013)
Ce qui m’a donné envie d’aller dans ce secteur ?En humanités, j’avais des facilités dans la physique et en maths. Suite à l’effondrement d'un bâtiment au Bengladesh, j’ai eu envie de me former en Belgique puis de m’exporter dans les pays pauvres pour apporter de l'aide.Cette place de la femme dans la construction, comment va t’elle évoluer ?Je remarque que sur le chantier, les femmes apportent une organisation plus structurée, un chantier plus humain, plus soigné. Les femmes sont plus éduquées à être dans le ressenti, dans l’émotion, prendre soin des autres.Ma place dans le secteur, j’aimerai être chef de chantier. J’étais sur chantier chez Thomas & Piron. J’aime être dans le moment présent et dans le plus concret possible : voir les chantier qui avancent. Ce n’est cependant pas un projet de vie à long terme. Après trois ou quatre ans, j’aimerai contribuer à des chantiers participatifs en Europe et développer mes compétences en éco construction. J’ai une amie qui fait de la permaculture. Grâce à elle, j’ai quelques contacts. Je compte partir en van un an et voyager.Ces matériaux séduisent les gens dits « alternatifs »… et pas les autres. Je me situe autrement, entre les deux : par exemple j’ai vu un reportage sur un architecte qui propose une maison en argile sans isolant avec un chauffage thermique par la masse, par l’épaisseur des murs. Je pense développer une société pour proposer des matériaux plus durables dans la manière de construire.J’ai plein d’autres rêves… je suis dans une passe qui me fait vibrer mais j’aimerai bien être professeur ou ouvrir une maison d’hôtes… j’aurais des solutions au cas où les choses ne fonctionneraient pas. Le plus difficile est de trouver sa voie. On n’a pas toujours tous les éléments pour gérer son parcours. Il est utile d’avoir une ligne du temps. Elise pense que c’est rassurant d’avoir d’autres choix, d’être acceptée dans son évolution, dans ses autres idées.Vois-tu l’utilité d’avoir un conseiller dans ta carrière ?Oui, c’est intéressant car le secteur de la construction est assez diversifié et représente un grand panel de métiers.


12 - Série Spéciale : Les femmes dans la construction - Elise Loor - Première partie (#012)
Elise Loor à 24 ans, termine ses études à l’ECAM pour devenir Ingénieure industrielle. Elle y fait un master en construction où elle aura d’ailleurs un cours en construction durable, ce qui la touche particulièrement. Elle pratique d’ors et déjà la « décroissance », entrant en transition, en faisant attention à sa consommation !Dans son stage, elle aborde le sujet de l’énergie, isoler les bâtiments pour les rendre passifs...mais avec des matériaux issus de la pétrochimie. Ils seront durables dans leur utilisation mais la production et l’après vie de ces matériaux ne sera pas prises en compte.Dans ses projets, elle souhaite aller vers des matériaux plus respectueux « vieux matériaux » dit-elle, argile, terre-paille, etc et exploiter au maximum ceux-ci. Bien qu’ils soient plus chers au m2 (laine de bois ou cellulose) et qu’ils prennent plus de place.« MK engineering » est un bureau d’études avec 25 ans d’expérience dans la conception d’installations techniques spéciales et pionnier dans le conseil en conception énergétique et durable du bâtiment. Ils travaillent en collaboration sur les projets. « Je suis entrée en stage chez eux ». Ils remportent des marchés publics et privés.« Choisir son stage est hyper important. Chez MK, je suis vraiment active.»« Six semaines, c’est un peu court pour apprendre. Il faudrait au minimum trois mois. Je reste peu de jours sur un projet, puis je change… »« A l’ECAM, je dispose de deux stages. Le premier est sur chantier et le second dans un bureau d’études. Cela permet de voir les deux aspects de l’ingénierie et les dynamiques différentes. »« Être tout le temps en bureau d’études ne me conviendrait pas sur le long terme. J’ai besoin d’avoir des contacts sociaux avec les gens. Focalisée sur ton projet, tu ne parles à personnes pendant six heures… »


11 - Série Spéciale : Les femmes dans la construction - Aurélie Chatry (#011)
Aurélie Chatry est conducteur de travaux chez Jacques Delens. Serait-il pertinent d'utiliser le terme “conductrice” de travaux ? Quitte à bousculer les mentalités...Dans ce podcast Aurélie, nous parle de sa passion pour son métier. “En tant que conducteur de travaux, je suis la seule femme sur chantier, huit heures par jour et à l’aise dans ce milieu d’hommes avec lesquels j’ai un très bon relationnel.Mon quotidien est d’assister aux réunions avec le maître d’ouvrage et l’architecte, de faire exécuter au mieux les tâches confiées. Je suis responsable de tout ce qui est des finitions (électricité, HVHC, chauffage, sanitaires) et parachèvement, contrairement au gros œuvre dont je ne m’occupe pas mais qu’il me plairait de découvrir.En tant que femme, j’ai le sentiment d’avoir une touche plus fine que les hommes pour le parachèvement qualitatif et celui-ci rattrape parfois les erreurs qui ont été faites dans le gros œuvre.C’est un milieu plein de richesses et d’échanges avec des hommes qui aiment être respectés dans leurs compétences manuelles. Ce que je fais, en reconnaissant les risques, les charges, les tâches exécrables, etc, et en leur disant bonjour avec leurs prénoms ! »Aurélie nous interpelle ensuite sur les valeurs de son entreprise, les changements au sein de la provenance des ouvriers et leurs conditions de travail et la formation des jeunes belges au métier par l’apprentissage sur chantier.Elle conclut par les difficultés de lier vie professionnelle et familiale et la place d’une mère dans un métier rude.


10 - Saison 1 - Nicolas Deremince, développeur immobilier : IMMOBEL & Président du Conseil : ULI (#010)
Un parcours de vie fait de confiance, d’ouverture d’esprit et de positivisme qui va rapidement porter ses fruits et le guider chez IMMOBEL.Mais Nicolas ne se contente pas de récolter les fruits de ses efforts et de sa passion, il les partage et s'implique dans une communauté de jeunes visionnaires. Il rejoint donc les "Young Leaders Belgium" : l’ULI (Urban Land Institute) dont la mission est de jouer un rôle de premier plan dans l'utilisation responsable des terres, la création et le maintien de communautés prospères dans le monde entier. Fondé en 1936, ULI compte plus de 40 000 membres à travers le monde, qui représente tous les aspects des disciplines de l’utilisation des sols et du développement.Nous vous proposons ici 26 minutes de découverte de deux casquettes qui le caractérise, et qui se complètent avec brio...26 minutes à ne manquer sous aucun prétexte.Prêt? Appuyez sur le bouton play ! Nicolas nous parlera d'abord de son métier de développeur immobilier dans la première partie de l'interview.
9 - Saison 1 - Vanessa Didden, DRH de chez Louis De Waele - Seconde partie (#009)
C'est la seconde partie de l'interview que nous vous proposons ici. Dans cette suite nous nous pencherons sur le rôle féminin dans le secteur de la construction, vu et géré par une femme DRH ! Nous glisserons ensuite sur une vision qui semble partagée par tous les intervenants au micro concernant le changement de paradigme de notre société avec, en particulier, ce que cela représente pour le futur : partagerez-vous notre vision des choses ? Comment voyez-vous, à votre niveau, l'évolution du monde du travail ? N'hésitez pas à partager vos avis ou a faire des commentaires !Vous aimez nos podcasts ? Parlez-en autour de vous, partagez et commentez : d'avance merci !
8 - Saison 1 - Vanessa Didden, DRH de chez Louis De Waele - Première partie (#008)
Nous parlerons du parcours de Vanessa mais aussi des changements profonds de la société, et bien entendu de l'impact de ces derniers sur le secteur... Irons-nous vers du talent "à la carte"?Ecoutez ce podcast et n'hésitez pas à commenter, donner votre avis !Merci!
7 - Saison 1 - Jean Pierre Martin, DRH de chez SPIE (#007)
Comment, dans un secteur qui est sous tension constante et sous la pression d'un manque de talents, se démarquer en tant qu'employeur ? Mais nous ne parlerons pas que d'employeur branding, nous nous pencherons aussi sur le bilinguisme : un élément-clef pour une entreprise située à Bruxelles et qui rayonne tout autour dans le pays, tant au nord qu'au sud.
6 - Saison 1 - Spécial salon Realty, place aux jeunes : Souhila Elouad (#006)
Souhila a, vous l'avez compris, de l'ambition et elle a placé tous ses pions sur son échiquier pour s'assurer de la réussite de son projet! Elle nous confie au sujet des femmes : "on est partout, les femmes sont partout"Une interview inspirante pour toutes les femmes qui se questionnent sur les métiers dans le secteur de la construction.
5 - Saison 1 - Spécial salon Realty, place aux jeunes : Thibault Moreels (#005)
Vous aussi vous sortez de l'école? Vous recherchez un employeur avec un visage humain et des valeurs? Ou vous recherchez simplement un conseil carrière? Contactez-nous!
4 - Saison 1 - Spécial salon Realty, place aux jeunes : Bryan Skura (#004)
Bryan à une expérience dans le milieu bancaire, un atout certains dans le milieu de la construction, mais quels conseils Michaël peut-il lui prodiguer en l'écoutant nous expliquer son parcours, sa passion et surtout son ambition?C'est ce que vous découvrirez dans ce podcast !
3 - Saison 1 - Spécial salon Realty, place aux jeunes : Ségolène Vermeulen (#003)
Elle nous parle de son intégration dans le secteur de la construction, de la place d'une femme dans un milieu très masculin.On aborde également le sujet des études, les cours de résistance en matériaux, le jargon technique de chaque corps de métier.Ségolène nous partage aussi sa passion pour son métier et les "vieilles pierres" et sa vision d'une "carrière réussie".On termine le podcast par une réflexion sur les représentations du monde de la construction dans les médias, trop souvent réduites à un seul métier.
2 - Saison 1 - Spécial salon Realty, place à notre expert : Nicolas Tiliakos (#002)
Notre invité est Nicolas Tiliakos, qui dispose d’une grande expérience dans le secteur de la construction et qui est également notre expert-formateur au sein d’EOX Construction.Il nous livre son témoignage sur la formation en Belgique : université, hautes écoles, formation continue, quelles différences ? Sont-ils déconnectés de la réalité ?On aborde également le sujet des compétences humaines et techniques.
1 - Teaser : Votre Podcast EOX Frequency - Michaël Dumbi (#001)
Le projet à pour but de rendre accessible le secteur de la construction pour les personnes travaillant déjà dans le secteur… ou non.EOX Frequency, votre podcast sur le secteur de la construction, est né!Dans ce podcast on met l'humain en avant.Dans cette introduction (teaser) on vous dit tout : Qui, Quoi, Pourquoi et comment !Une collaboration avec l'ASBL : "The Podcast Factory Org"