194 - #194 - Octopia : Les règles du jeu pour se lancer et performer sur une marketplace, avec Thomas Métivier
“Les Marketplace sont d’exceptionnels carrefours d’audience. Sur une journée comme le Black Friday il y a 8 millions de français qui vont sur Cdiscount, ça vaut toutes les campagnes de pub d’être dans les 50 produits mis en avant ce jour là.”
Avec une croissance 2 fois plus forte que la distribution classique, les marketplaces sont devenues un outil incontournable pour les e-commerçants. Mais pas toujours facile de savoir sur laquelle se lancer, ni quels sont les bons leviers pour y performer. Pour décoder les règles du jeu de ces plateformes, Laurent Kretz reçoit Thomas Métivier, cofondateur et DG d’Octopia.
Octopia, c’est une filiale de Cdiscount, mais surtout une solution 360° pour se lancer et optimiser sa présence sur les marketplaces. Elle accompagne aujourd’hui plus de 15 000 vendeurs en leur apportant la technologie pour se positionner sur des dizaines de MP tout en facilitant l’aspect logistique de leurs opérations.
Avec Thomas, on va notamment s’intéresser à la tendance forte des vendeurs pure-marketplace. Il nous partage leurs secrets pour optimiser la conception et le pricing de leurs produits, leur communication digitale, la création de leur catalogue et la satisfaction de leurs clients. Autant de bonnes pratiques pour, vous aussi, cartonner sur ces plateformes en y passant un minimum de temps.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Se lancer sur les marketplaces et y doubler ses ventes en divisant ses délais de livraison par deux [2”20] ;
S’inspirer des vendeurs 100% marketplace pour lancer des produits hyper performants à des prix serrés [06”10] ;
Optimiser le contenu des ses fiches produits pour remonter dans les résultats du moteur de recherche [17”45] ;
Faire ses premières ventes et booster sa visibilité grâce au retail media [27”55] ;
Trouver sa place dans un écosystème très ouvert en choisissant les bons outils data et tech [38”00] ;
S’inscrire sur Octopia pour investir une fois dans sa stratégie marketplace puis répéter sur une dizaine de plateformes [59”05] ;
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 178 - JOJA NYC : Le code de la pub a changé : TikTok, Netflix, Apple, Meta, avec François Grouiller
Tineco, le bon élève des vendeurs marketplace
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213 - Hors-série - Avec PrestaShop : 2 millions de clients uniques sans dépenser 1 euro en marketing, avec David Lorrain de RecycLivre
“Je pense qu’aujourd’hui il est impossible de créer de la valeur sans mettre des enjeux environnementaux ou sociaux. Et à l’inverse, ne mettre que des enjeux environnementaux ou sociaux sans rentabilité, ça ne pourra pas marcher non plus.”
Dans ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz rencontre un entrepreneur pas comme les autres… Un entrepreneur libre. Avec David Lorrain, fondateur et CEO de RecycLivre et Superway, il échange sur le business de la collecte et du rachat de livres d’occasion. Mais aussi sur la possibilité de garder sa liberté et de confier les clés à ses équipes pour partir voyager un an en bateau.
David nous parle surtout des 3 piliers de son entreprise : la solidarité, la durabilité et la rentabilité. Depuis son lancement en 2008, RecycLivre a entièrement auto-financé sa croissance. Une belle croissance organique puisque David a réussi à convaincre plus de 2 millions de clients uniques sans dépenser un euro en marketing.
Dans cet épisode en partenariat avec PrestaShop, on évoquera également les défis techniques propres à la seconde main. David nous explique comment il s’est appuyé sur la plateforme pour développer son e-commerce et son application. On verra aussi pourquoi il a opté pour un WMS (Warehouse Management System) et un ERP (Entreprise Resource Planning) sur mesure afin d’optimiser une gestion de flux ultra complexe.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés en matière de :
Automatisation : être rentable en faisant du volume et en automatisant les process qui peuvent l’être [05”13]
Impact : contribuer à un monde meilleur en créant un business solidaire, durable et rentable [12”30] ;
Opérationnel : optimiser chaque aspect de ses opérations (de la collecte au stockage en passant par le pricing) avec une vision tech [34”12] ;
Logistique : développer son propre WMS et faire 30 % de gains de prod [45”00] ;
Croissance organique : vendre plus d’un million de livres par an sans aucune dépense marketing [49”50] ;
Stack Technique : développer son business et optimiser son parcours client avec PrestaShop [54”00].
Liberté : faire une pause d’un an et repenser la gouvernance de l’entreprise en son absence [1”01”45].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 189 - La Fourche :Faire le choix du modèle d’adhésion et fidéliser 70K membres, avec Lucas Lefebvre
# - 186 - Smala : Rendre la seconde main pour enfants facile et qualitative, avec Aude Viaud
Log’ins, la société logistique d’insertion
1% pour la planète, le mouvement mondial des entreprises engagées
Bootstrap Club
Superway.eu, la marketplace durable
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193 - #193 - Simone à Bordeaux : Entreprendre en couple comme une revanche sur la vie, avec Eric Tardy
“Travailler en couple, ce n’est pas un choix neutre, mais c’est un joli challenge. C’est une décision qui nous a permis de consolider aussi bien notre relation personnelle que professionnelle. On a recréé un contrat en créant notre boîte"
Dans le Panier, on aime parler d’aventure entrepreneuriale familiale. Cette fois-ci, on se penche sur l’entreprenariat en couple avec la belle histoire de Simone à Bordeaux, une marque digitale de bijoux colorés. Lancée en 2019 par Agnès Tardy, alors qu’elle luttait contre un cancer du sein, elle est ensuite rejointe quelques mois plus tard par son mari, Eric Tardy.
Simone à Bordeaux, c’est une histoire d’humain et de sens : un business familial, et une entreprise à mission pour aider les femmes à entreprendre dans leur vie. C’est aussi une belle success story, de l’époque où elle écoulait 200 modèles sur Etsy, la marque vise aujourd’hui un CA de 1,4 million en 2022.
Avec Eric, Laurent Kretz revient sur cette envie d’entreprendre comme une revanche sur la vie. Il nous révèle aussi les secrets pour se faire repérer par les bonnes influenceuses, les bons distributeurs et les bons médias et gagner en notoriété et désirabilité.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Lancer sa marque de bijoux pour mettre des couleurs dans sa vie quand on voit tout en noir et blanc [3”58] ;
Se faire repérer très tôt par les bonnes influenceuses et passer de 200 à 800 commandes mensuelles [16”05] ;
Travailler en couple et se protéger des frictions en délimitant le périmètre de chacun [21”35] ;
Mesurer ses performances autrement que par les indicateurs financiers mais à l’aune de ses engagements [28”35]
S’appuyer sur le wholesale pour permettre aux clients de toucher ses produits, mais en choisissant bien ses redistributeurs [36”00]
Ne pas avoir honte du “made in” China mais être vigilant sur le “made how” [43”50] ;
Avoir un ROAS de 6,5 et un taux de conversion de 2,6 à 3,9 en renforçant son parcours client étape par étape [1”02”20].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 186 - Smala : Rendre la seconde main pour enfants facile et qualitative, avec Aude Viaud
# 124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement, avec Michal Weisz
Lilie and Koh, la marque de bijoux
L’enveloppe Soleau à l'INPI
Pop and Partners, agence de RP
Digital Native Club
Jessica Ifker Delpirou, l’ex PDG de Meetic
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192 - #192 - Warmango : Créer une marketplace verticalisée et servicielle, avec Karim Berrahou
“On s’est structuré en marketplace parce que les vendeurs avaient du mal à appréhender et maîtriser leur canal de vente par le digital. On a fait un gros travail d’évangélisation pour les aider à maîtriser leur catalogue online. “
Pour ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz s’intéresse à la digitalisation (tardive) d’un marché de 5 milliards d’euros : celui du bâtiment. Pour creuser le sujet, il échange avec Karim Berrahou, Supplier Acquisition Manager chez Warmango, la marketplace des professionnels du BTP.
Mais comment réinventer un marché éclaté et opaque, où le pricing se fait au cas par cas ? Et surtout comment gérer le parcours d'utilisateurs opportunistes, à la recherche de bonnes affaires et de produits pouvant avoir jusqu’à 80 caractéristiques différentes ?
Karim nous aide à mieux comprendre les spécificités du BTP, et nous explique pourquoi le modèle de marketplace classique n’était pas adapté à ses besoins. Il nous partage surtout son expérience de défricheur, et toutes les petites galères (acquisition, évangélisation, stack technique, etc.) que l’on rencontre quand on est en avance sur son marché.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
S’attaquer à un marché de 5 milliards d’euros éclaté en une multitude de petits distributeurs [10”25] ;
Se démarquer de la concurrence en ayant une approche verticale du BTP [21”58] ;
Simplifier le parcours client en étant transparent sur son pricing [29”25] ;
Opter pour le modèle de fulfillment pour répondre aux contraintes de temps des artisans [35”35]
Trouver le bon équilibre entre humaniser son expérience client et automatiser les achats [49”00]
Développer une stack technique sur mesure pour gagner en autonomie sur son côté serviciel [58”25] ;
Jouer sur le côté opportuniste et curieux de son persona pour booster sa stratégie d’acquisition [1”06”33].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 145 - Jow : La bataille des parts d’estomac pour occuper la cuisine, avec Jacques-Édouard Sabatier
# 162 - Castorama : Symétrie des attentions et futur du retail : comment consolider le lien conso, avec Romain Roulleau
# 176 - Beem Energy : Démocratiser l’énergie solaire en misant tout sur l’UX, avec Ralph Feghali
Wanmark, le géant du BTP belge
Hector pour les devis
Eldo pour le référencement
Wizaplace, la solution de marketplace clé en main
Steph Aria, l’influenceur BTP
Kelly Cruz, la spécialiste du carrelage
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210 - Hors-série - Avec PrestaShop : Coopérative et rationalisation e-commerce de 200 associés et 350 points de vente, avec Sophie Géllie et Mathieu Rucheton de Synalia
“Le but de la coopérative, c’est de faire marcher les magasins. Les associés détiennent des magasins, pas des sites Internet. Aujourd’hui, avoir un site web, c’est indispensable. Donc pour nos enseignes, on a un site web. Mais le but c’est quand même de faire du phygital au maximum”.
Pour ce nouvel épisode en partenariat avec PrestaShop, Laurent Kretz nous raconte une histoire de rationalisation e-commerce. Celle de la coopérative de bijoutiers et horlogers indépendants Synalia. Synalia regroupe aujourd’hui plus de 350 points de ventes, 250 sous-enseignes, et 200 associés. Un énorme écosystème digital qu’il fallait harmoniser.
Cette mission d’harmonisation et d’unification, c’est Sophie Gellie (DSI) et Mathieu Rucheton (e-commerce) qui s’en sont chargés en plein Covid. Une mission complexe puisqu’en plus des particularités de la coopérative, l’objectif était de fusionner 3 sites e-commerce (Julien D'orcel, la Guilde des orfèvres et Montres&co) vers un seul et unique CRM.
Synalia a jeté son dévolu sur PrestaShop. On va donc s’intéresser aux enjeux de cette migration colossale et aux stratégies mises en place par Sophie et Mathieu pour limiter au maximum les frictions. Au-delà de ces considérations tech, on parlera aussi commerce unifié et bonnes pratiques pour faire coexister, et même collaborer 250 potentiels concurrents.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés en matière de :
Phygital : comment mettre l’e-commerce au service de 350 magasins [05”39]
Commerce unifié : éviter les frictions entre associés et favoriser une culture du changement [08”16] ;
Click&Collect : gérer la captation des commandes et l’accueil de clients qui n’ont pas forcément acheté auprès du magasin [11”30] ;
Optimisation des parcours clients : limiter les frictions côté UX en ligne et en magasin [31”53] ;
Stack technique : faire des Product Information Management la pierre angulaire d’une-commerce unifié avec plus de 6K références [34”42] ;
Migration : passer de Majento à PrestaShop d’une façon aussi simple qu’un copier-coller [48”15].
Identité de marque : créer des coulisses communes mais un front distinct. pour conserver l’identité de chaque enseigne [52”40].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# Hors-série avec PrestaShop : Omnicanalité, souplesse technique et un CA de 40M€, avec Mickaël Austruy de Project X Paris
One Stock, le gestionnaire de commande
Akeneo pour le PIM
Celaneo, l’agence digitale
Avis vérifiés
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191 - #191 - Printemps : Omnicanalité incarnée avec live shopping, personal shoppers et social selling, avec Maud Funaro
“On a une abondance de messages : des opérations promotionnelles, de la curation, des expériences à vivre en food, lifestyle... C’est une période incroyable que l’on vit, parce qu’on a une diversité de canaux pour les communiquer et les partager qui croît chaque jour.”
Comment piloter et faciliter la transformation omnicanale d’un grand magasin historiquement physique ? En sachant d’où l’on vient, où on en est et où l’on va ! Et qui de mieux pour faire le point sur les changements récemment opérés par le Printemps que sa DG de la transformation et des nouveaux business, Maud Funaro.
Dans ce nouvel épisode, Laurent Kretz aborde avec elle la riche histoire de cette marque visionnaire, à qui l’on doit les soldes, la vente à distance, l’égalité salariale, mais aussi l’invention du Live Shopping. Dans un contexte où la fréquentation en magasin baisse, Maud nous partage ses clés pour faire du retail un lieu de rencontres et d’émotions, mais surtout le reflet de la société actuelle.
Ensemble, ils creusent en particulier le sujet du Personal Shopping, parfait fer de lance du tournant omnicanal opéré par le Printemps post-covid. Maud nous explique comment démocratiser ce service en gardant son unicité, et surtout comment offrir un mix retail/e-commerce à chaque étape pour mieux connaître et fidéliser ses clients.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Se relever de 7 ans de crise retail en réaffirmant son unicité, accélérant sa transition omnicanale et en se concentrant sur l’humain [09”15] ;
Diversifier ses contenus (social shopping, podcast) pour parler à des cibles différentes sur des sujets variés [12”57] ;
Faire du Live Shopping un laboratoire d’innovation plutôt qu’une machine à conversion [22”20] ;
Rendre le Personnal Shopping omnicanal en proposant un mix retail/e-commerce à chaque étape du parcours client[32”47]
Démocratiser une expérience VIP grâce au marketing d’influence et à l’organisation d’évènements [51”08]
Embarquer ses équipes dans un processus de transformation de l'entreprise en s’assurant qu’il soit compatible avec leur métier [55”03] ;
Continuer de proposer une expérience retail humaine et émotionnelle, IRL comme dans le métaverse [58”15].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 178 - JOJA NYC : Le code de la pub a changé : TikTok, Netflix, Apple, Meta, avec François Grouiller
# 175 - Fnac-Darty : 2 milliards de CA en ligne en humanisant son expérience d’achat digitale, avec Julien Le Bescond
En mode Printemps, pour le Live Shopping
L’influenceuse Juliette Longuet
Le virtual flagship du Printemps dans le métaverse
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190 - #190 - MiYé : Imposer une marque de rééquilibrage hormonal sans tabou, avec Caroline De Blignières
“On va vraiment s’attaquer aux causes racines des déséquilibres hormonaux. Beaucoup sont communes à des femmes ménopausées ou souffrant d’endométriose. Donc on a pas segmenté notre offre par âge, mais on a traité les causes racines. “
Dans ce nouvel épisode du Panier, on s’attaque au sujet des déséquilibres hormonaux. Face à l’augmentation de leur incidence, et de l’absence de solutions naturelles et sûres, Caroline De Blignières et son associée Anna Oualid, décident de lancer Miyé. Miyé, c’est la bonne amie en provençal : une bonne amie qui aide les femmes à retrouver leur équilibre hormonal en proposant une gamme de soins et de compléments alimentaires sans produits nocifs.
Avec Laurent Kretz, Caroline s’attaque donc aux tabous autour de ces sujets et à l’importance de faire preuve de pédagogie pour aider les femmes à comprendre leurs symptômes et les soulager. La pédagogie est d’ailleurs l’arme de prédilection de la marque pour répondre aux attentes d’une cible très large, allant des adolescentes aux femmes ménopausées.
Ensemble, ils évoquent également l’importance de créer son association sur un socle de confiance commun ou encore des insight conso et du crowfunding pour comprendre et valider son marché. Caroline nous donne également des conseils pour élargir son réseau de distribution et co-construire la notoriété de sa marque avec beaucoup d'audace et de persévérance.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
S’attaquer aux causes racines des déséquilibres hormonaux pour ne pas segmenter sa gamme de produits par tranche d’âge [15”05] ;
Choisir son associé non pas pour sa complémentarité mais pour se créer un socle de stabilité [20”33] ;
Faire des insight conso pour comprendre son marché et des tests produit pour évaluer son expérience d’utilisation [30”30] ;
Tester le marché et valider la demande en réalisant une campagne de crowdfunding [44”10]
S’adresser aux ados comme aux femmes ménopausées avec une communication neutre et beaucoup de pédagogie [50”23]
Faire preuve d’audace et de persévérance pour décrocher de nouveaux distributeurs et co-construire sa marque [1”01”16] ;
Intégrer les avis à ses fiches produits pour améliorer son référencement et créer de la confiance [1”10”50].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#167 - Nuoo : Atteindre les 80 % de repeat en créant le lien parfait entre retail et e-commerce, avec Maxime Richard
#61 - Jolimoi : Social Selling - comment fédérer une communauté de clients et d’ambassadeurs ?
Mademoiselle bio, la chaîne axée conseil
L’armoire à beauté, le nouveau concept beauté de la pharma
Le Plugin Trustpilot
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189 - #189 - La Fourche : Faire le choix du modèle d’adhésion et fidéliser 70K membres, avec Lucas Lefebvre
“Tout l’intérêt de l’adhésion c’est d’échanger du pouvoir d’achat contre de la fidélité car les adhérents ont naturellement envie de la rentabiliser. Nous ça nous permet de réduire nos investissements marketing et on transfère ça aux adhérents sous forme d’économie”.
Pour ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz nous propose une plongée dans le secteur de l’alimentation biologique. Avec Lucas Lefebvre, cofondateur du site d'e-commerce La Fourche, il s’intéresse à l’évolution du marché bio et des codes de la consommation responsable.
Avec plus de 4K produits répertoriés sur son site et 70K membres actifs, La Fourche a fait le choix du modèle de l’adhésion. Lucas nous expliquera pourquoi mais surtout comment convaincre ses clients de prendre un abonnement et réduire au maximum les frictions que cela peut engendrer.
Cet épisode abordera également la question de la culture entrepreneuriale et de la manière dont on la transmet à ses équipes, en particulier quand on passe de 3 à 200 personnes. On verra aussi comment trouver l'équilibre entre sens et croissance lorsque l’on s’engage pour une consommation plus qualitative que quantitative.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Echanger du pouvoir d’achat contre de la fidélité en faisant le choix du modèle de l’adhésion [6”15] ;
Inventer son propre éco-score pour redonner le pouvoir aux consommateurs et pousser les producteurs à être plus transparents [15”40] ;
Conquérir ses 1000 premiers adhérents avec un mix de cercles intimes, de Facebook ads et de RP [31”05] ;
Soulager les consommateurs de la charge mentale en faisant de la curation de marques bio et en étant toujours en promotion [46”20]
Faire de la croissance externe en intégrant le catalogue et la base d’un concurrent [1”00”10]
Résoudre la tension entre sens et croissance en ne proposant que des produits bio essentiels [1”09”35] ;
Transmettre son esprit entrepreneurial à 200 employés grâce à l’onboarding et en incarnant ses valeurs dans le management quotidien [1”13”55].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#155 - Hors Normes : Comment en finir avec le gaspillage alimentaire, avec Sven Ripoche
Etiquettable, l’application pour mieux manger
L’Eco-score
L’Agribalyse pour découvrir l’impact environnemental de l’alimentation
La confiture de fraise sans fraise
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188 - #188 - Chillsilk : Faire de son expérience dans l’influence un unfair advantage, avec Sarah et Eva Chapert
“Le coup de coeur, c’est très important. Il faut aimer le produit pour le vendre. Et il faut être sûr que ça se vende. On avait des idées, mais si nous ça nous plait, est-ce que ça plaira aux autres ? On voulait que ça plaise au plus grand nombre”.
Dans Le Panier, on adore les épisodes à 3 voix et les aventures entrepreneuriales familiales. Cet épisode regroupe les deux, puisque Laurent Kretz rencontre Sarah et Eva Chapert, les deux cofondatrices, mais aussi les deux sœurs derrière Chillsilk. Chillsilk, est une marque qui propose des produits en soie pour la peau et les cheveux. Après un lancement en 2020, la marque a déjà atteint le million de CA.
Pourtant, Sarah et Eva lancent Chillsilk comme un side project, investissant chacune 5K de leurs poches et sans aucune expérience dans l’e-commerce. Mais elles ont un unfair advantage de taille : un beau carnet d’adresse dans le marketing d’influence et les relations presse qu’elles vont mettre à profit pour multiplier leurs ventes par 10 en seulement 3 mois.
Dans cet épisode, elles nous expliquent comment cartonner avec l’influence, mais aussi comment s’appuyer sur son réseau de distributeurs pour booster ses ventes et élargir son catalogue. On verra également comment compenser un manque d’expérience dans le commerce par une bonne dose d’instinct et de pragmatisme entrepreneurial.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Faire le grand saut de l'entreprenariat en partant d’un produit coup de coeur que l’on a envie de vendre [4”20] ;
Commencer comme un side business et se former sur le tas à l’e-commerce [11”30] ;
Multiplier ses ventes par 10 en 3 mois grâce à son carnet d’adresse dans l’influence [14”50] ;
Accélérer grâce au marketing sur les réseaux sociaux en connaissant bien sa cible et en réajustant son pricing à chaque collaboration [28”30]
Maîtriser son funnel grâce à l’emailing en optimisant le contenu de ses newsletter [41”00]
Élargir son catalogue de produits pour booster son repeat business [43”40] ;
Collaborer avec 300 distributeurs en sélectionnant les plus gros vendeurs et des partenaires qui ont la même image [47”32].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Shopify pour créer son site d’e-commerce
Qonto, la banque en ligne des entrepreneurs
Le label Oeko tex
L’outil Pre-order de Shopify.
Carli, le salon de coiffure partenaire de Chillsilk
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187 - #187 - Catch-up EmailClub : Black Friday, Cyber Monday, ventes de Noël : cartonner au Q4 grâce à l’email, avec Thomas Pedegaye
“Le black friday, il faut en faire le meilleur jour de l'année. Si t'as un site e-commerce promo, avec des concurrents directs, il faut bien que tu sortes du lot. Je recommande d'envoyer un email très tôt, 7, 8 heures, un autre à 11 heures, puis à 17 heures et potentiellement un SMS en fin de matinée.”
L’email, c’est la base ! Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter le premier épisode enregistré en octobre 2021 avec Thomas Pedegaye, le fondateur d’EmailClub. Un an plus tard, Laurent Kretz remet le couvert pour explorer cette fois-ci les bonnes pratiques qui feront cartonner votre e-commerce au Q4.
Les 3 derniers mois de l’année sont en effet cruciaux pour les marchands, qui réalisent 70% de leur CA à cette période. Thomas nous explique quels en sont les principaux marronniers (Black Friday, Cyber Monday, Noel et déstockage de fin d’année) et comment les exploiter au maximum, sans créer de l’email fatigue chez ses clients et prospects.
Que vous soyez ou non une marque promo, cet épisode vous permettra d’optimiser votre emailing pour en faire une machine à ventes. Du List building en passant par le bon format de newsletter, sans oublier l’automation de ses séquences… Thomas nous partage ses conseils pour exploser son Q4 et comment les adapter pour le reste de l’année.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Formats de newsletter : adapter son contenu en fonction de l’évènement et mixer SMS et emails [08”40] ;
List building : remplir ses listes avec de nouveaux prospects et les organiser par opportunités (BF, ventes privées, programme VIP, etc.) [13”05] ;
Automation : simplifier la gestion de son mailing sans noyer ses clients grâce aux bouchons [21”50] ;
Black Friday : booster son CA grâce aux ventes anticipées et un mailing agressif [28”50] ;
Ventes de Noël : augmenter son CA en misant sur l’urgence et les produits [39”45] ;
Emailing non promotionnel : donner envie d’acheter sans code promo en mettant en avant ses produits et en faisant parler son fondateur [49”03] ;
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#124 – EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
#173 - Shanti Biscuits : Désarmer les copycats en créant une love Brand inimitable, avec Shanty Baehrel
#172 – La Bonne Brosse : Sortir de la matrice pour créer une brosse durable, avec Flore des Robert et Pauline Laurent
Klaviyo, le CRM phare d’EmailClub
SMS bump
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186 - #186 - Smala : Rendre la seconde main pour enfants facile et qualitative, avec Aude Viaud
“On s'est inspiré de tous les e-shops de neuf et on a appliqué ce qu'ils faisaient à la seconde main pour faire de Smala une offre écologique, économique, et surtout de qualité. Donc à l'opposé des friperies et des sites de seconde main où les sites sont pris en photo sur un bout de chaise”
Dans le Panier, on parle de plus en plus du pre-owned en e-commerce. Cette fois-ci, Laurent reçoit Aude Viaud, la cofondatrice de Smala (ex Il était plusieurs fois) un eshop de seconde main pour les enfants de 0 à 16 ans. En plus de la rendre plus facile et qualitative pour un public qui en a bien besoin, Smala a aussi complètement révolutionné le concept en ne créant pas une marketplace, mais en achetant directement aux parents tous les produits qu'elle revend.
Un modèle qui lui a permis de multiplier son CA par 4 l'année dernière, mais qui lui pose aussi un vrai casse-tête opérationnel. Comment gérer 3K nouveaux produits par jour et 82K références uniques sur son site ? Pour ajouter un peu de complexité, la demande saisonnière pour les vêtements d'enfants impose un roulement de 75 % de ses stocks en moins de 10 jours à Smala.
Dans cet épisode, Aude nous révèle comment elle a optimisé le sourcing, le pricing, la gestion logistique et la mise en vente de toutes ces références. Elle nous partage aussi ses enseignements en matière d'acquisition et ses conseils pour communiquer sur sa marque sans produit unique. On parle aussi de scalabilité et du bon timing pour changer de nom.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
S'inspirer de l'expérience eshop du neuf pour créer une offre de seconde main écologique, économique et qualitative [4”07] ;
Multiplier son sourcing par 1000 en facilitant la vie aux parents et en aidant les marques sur la gestion logistique du pre-owned [12”55] ;
Optimiser la collecte de vêtements de seconde main en envoyant des ambassadrices faire le tri des produits [21”15] ;
Passer de 7 à 2 minutes par vêtement en optimisant toutes les étapes de la gestion opérationnelle de produits uniques [34”10]
Améliorer le pricing de pièces de seconde main en évaluant le catalogue de 300 marques [41”08]
Booster son acquisition sans mettre en avant ses produits, mais plutôt le concept et les valeurs de la marque [48”35] ;
Profiter d'un pic d'activité pour changer de nom et faire la refonte totale de sa plateforme de marque [53”15].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#157 – River Home Deco : Écouter son marché pour créer une offre percutante, avec Charlotte Sineau
#176 - Been Energy : Démocratiser l’énergie solaire en misant tout sur l’UX, avec Ralph Feghali
#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
L’épisode de GDIY avec Rob Spiro
La loi sur l'économie circulaire
Foule Factory, pour automatiser les tâches répétitives
Klaviyo
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185 - #185 - Catch-up Vintage Rides : renouveler son staff et réinventer son offre sans perdre son ADN, avec Alexandre Zurcher
“Il faut être clair : dans le travel, on ne va pas attirer les candidats avec les salaires. Donc il faut que la culture d'entreprise soit axée sur la passion. C'est essentiel pour conserver son ADN !”
Un an et demi après leur première rencontre (en mars 2021), Laurent Kretz et Alexandre Zurcher font le point sur le secteur du voyage dans un contexte de sortie de pandémie. Le fondateur de Vintage Rides revient sur le pivot qu'il avait commencé à opérer entre son siège historique de New Dehli et la relocalisation de ses équipes à Lyon. Une transition plutôt rock & roll, puisqu'elle a consisté à renouveler presque entièrement ses effectifs, alors même que l'entreprise voyait ses ventes chuter de plus de 20 %.
Et pourtant, Vintage Rides sort de cette réorganisation grandi. Alexandre a réussi à rester rentable et de recréer une équipe de passionnés de voyage et de découverte. Il a même signé un partenariat exclusif avec son premier fournisseur de motos, Royal Enfield.
Dans ce catch-up, Alexandre nous parle d'agilité dans un contexte incertain et de la bonne stratégie pour conserver son ADN lorsque l'on change de staff, de persona et de produits. Il nous donne également ses enseignements pour se développer à l'international grâce à ses partenaires, réussir sa refonte web, et faire face aux turbulences sans se faire trop de cheveux blancs.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Agilité : assurer sa position de Travel Operator dans un contexte où le voyage est incertain et plus complexe [7”20] ;
RH : Faire de la passion le coeur de sa culture d'entreprise pour attirer les bons candidats et conserver son ADN [20”10] ;
Produit : pivoter 50 % de son offre vers le court et le moyen courrier [24”15] ;
Développement international : truster de nouvelles destinations et de nouveaux clients en s'appuyant sur les bons partenaires [35”05] ;
Refonte web : concentrer ses efforts non pas sur le choix de la technologie mais sur le project management [45”28] ;
Résilience : rester rentable malgré une chute de 20 % de ses ventes en divisant ses coûts de fonctionnement par deux [56”05] .
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 92 - Vintage Rides : Intégrer la scalabilité dans un métier sur-mesure, avec Alexandre Zurcher
# 159 - Ipone : Revenir au « Why » pour digitaliser son business moto, avec Ariel Walker
# 116 - Raid Amazones et les 12 vies d’Alexandre Debanne
Royal Enfield, le partenaire moto de VIntage Rides
L’épisode de The Knowledge project avec Kunal Shah
Le Festival Aces Expérience où VR avait son Good ride camp.
Le film Ride to The Moon
L’épisode de GDIY avec JP Nadir de FairMoove
La voie des glaces avec Sylvain Tesson
Zoho, la solution de back office indienne
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202 - Hors-série - Avec PrestaShop : 7 personnes, 5M de CA et 200 commandes par jour, avec Bertrand Durand-Gasselin de Seagale
“Avec le recul, j'aurais mieux anticipé la suite. On a eu des mois et des mois sans rien à vendre. Je recommande à tout le monde d'avoir un projet clair, d'anticiper les délais de production et de se préparer à tous les problèmes qui peuvent arriver.”
Pour ce nouvel épisode du Panier, on met le cap sur les vêtements techniques avec Bertrand Durand-Gasselin, le cofondateur de Seagale. Après avoir découvert la marque sur Instagram, Laurent Kretz échange avec cet ex ingénieur, tombé dans la marmite du textile. Avec son associé Matthieu Rivory, il s’est lancé le défi de créer le premier maillot de bain qui n'irrite pas les cuisses.
Depuis cette première collection de 500 shorts de bain lancée en 2014, Seagale a connu une belle croissance. Aujourd'hui, elle génère plus de 5M de CA, 200 commandes par jour et un panier moyen de 100 euros. Le tout géré entièrement en interne par une équipe de.... 7 personnes seulement !
Bertrand nous explique comment il a su garder la main sur son business tout en développant une gamme de 160 produits, en ouvrant ses premières boutiques en France et en s'exportant aux USA, Il nous dévoile aussi ses bonnes pratiques en matière de crowfunding, de gestion retail, de logistique, mais aussi d'optimisation de son CMS.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Se lancer sans expérience dans le textile en répondant à un besoin très précis [6”15] ;
Gérer une traversée du désert en préparant la suite : nouvelles collections, nouvelles production [15.55] ;
Faire 100K de CA sur sa première campagne de crowdfunding grâce à un produit innovant et un bon teasing [21.15] ;
Ouvrir ses deux premières boutiques en misant sur le bon emplacement et en transformant son vendeur en ambassadeur de la marque [30”13] ;
Internaliser la gestion logistique de 200 commandes quotidiennes et 160 références avec PrestaShop comme colonne vertébrale [40”23] ;
Faire de la croissance en diversifiant ses canaux d'acquisition (emailing, SEO, paid) [52”31] ;
Grandir avec PrestaShop en mettant les mains dans le cambouis et en préparant sa migration en amont [57”55].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 158 - Unbottled : x20 en 1 an en restant humble, avec Benjamin Legros
# 183 - Retailoscope ; La checklist d’une expérience magasin 5 étoiles avec Nicolas Rebet
# 124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
La campagne KickStarter de Seagale
Bonsoirs, la marque française qui redynamise les vieilles régions textiles.
Sendinblue, pour l'envoi d'email et le CRM.
Unfated,l'agence web des anciens de Seagale
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183 - #183 - Retailoscope : La checklist d’une expérience magasin 5 étoiles, avec Nicolas Rebet
“Souvent on me dit que ce sont uniquement les grandes marques qui peuvent innover en matière d’expérience boutique. Oui et non. On peut avoir de très bonnes idées qui nous différencient de la concurrence. Avoir un client heureux, ça ne coûte pas cher, du moment qu’on le considère et qu’on répond à ses questions.”
Cap sur le retail avec un spécialiste qui a ça dans le sang ! Laurent Kretz rencontre Nicolas Rebet, critique retail et fondateur de Retailoscope, un cabinet de stratégie dans le secteur du luxe, de la mode et de la beauté. Si ces dernières années nous ont bien appris quelque chose, c’est que le retail n’est pas mort, et qu’il apporte même un réel push aux pureplayers.
Pour mieux comprendre l’univers du retail et maîtriser son omnicanalité, Nicolas nous fait découvrir les bonnes pratiques et les inspirations des boutiques qui innovent à travers le monde. De Swatch en passant par Gucci, Audemars Piguet ou encore le Club Med, il nous révèle la checklist pour une expérience boutique exceptionnelle.
Nicolas nous partage surtout son plaidoyer pour une approche non pas customer centric, mais plutôt advisor centric. Il nous explique comment faire de ses vendeurs de véritables ambassadeurs de marque et sur quels outils s’appuyer pour booster leurs performances en boutique.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Faire de ses vendeurs son principal cheval de bataille en boutique et les portes-paroles de chaque personne qui a œuvré en amont [08”11].
Former ses vendeurs en s’appuyant sur le snackable content et le format vidéo [15”45] ;
Proposer des innovations qui ne soient pas gadget mais qui permettent réellement d’augmenter le potentiel de ses vendeurs (personnalisation, diagnostic) [28”52] ;
Gérer la seconde main en magasin en faisant cohabiter des DA et des valeurs différentes [37”00] ;
Mixer les bons KPI pour évaluer la qualité de son expérience client en boutique [41”26] ;
S’inspirer des tendances du marché (fluidité du genre) et des bonnes pratiques de boutiques comme Swatch, Audemars Piguet ou Sezane [45”53]
Intégrer le Web 3 à sa stratégie d’omnicanalité pour traduire l’expérience retail en ligne et séduire un public plus jeune [1”00”56].
NB : Pour maximiser votre expérience d’écoute, rendez-vous sur le compte Insta du RetailoScope et découvrez les boutiques qui inspirent Nicolas.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#162 –Castorama : Symétrie des attentions et futur du retail : comment consolider le lien conso, avec Romain Roulleau
#173 - Shanty Biscuits : Désarmer les copycats en créant une love Brand inimitable, avec Shanty Baehrel
Le podcast Le Café du Commerce
Le salon d’horlogerie Watches et Wonders
Le Gucci Vault
Roblox pour lancer sa boutique dans le Web 3
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182 - #182 - Catch-up Jho : Trouver le parfait mix retail/e-commerce, avec Coline Mazeyrat
“Sur la refonte de la charte graphique et éditoriale, on s’est beaucoup fait confiance. Parfois il faut suivre son instinct : on ne peut pas tout tester. “
Après un premier épisode enregistré en tout début de confinement (avril 2020), Laurent Kretz rencontre en chair et en os Coline Mazeyrat, la cofondatrice de Jho. En deux ans, la marque juste et honnête qui prend soin des femmes a connu une belle croissance, doublant son chiffre d’affaires et triplant son nombre de commandes expédiées.
Au cœur de cette success story, il y a bien sûr le positionnement de Jho, qui s’est fait la caisse de résonance de la libération de la parole des femmes. La marque a aussi su capitaliser sur un savant mélange entre l’instinct de ses deux fondatrices et le test and learn.
De la refonte de leur charte graphique et édito à leur stack technique, sans oublier le mix entre retail et e-commerce, Coline n’a pas eu peur de tester beaucoup de choses, de s’appuyer sur le retour de ses clients, mais aussi et surtout de se faire confiance. Un pari gagnant qui a permis à Jho de s’imposer face à des acteurs historiques, sans compromettre ses valeurs.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Education du consommateur : créer un coffret “premières règles” et faire de la sensibilisation en milieu scolaire [09”24] ;
Positionnement : se faire une place sur un marché en pleine explosion en misant sur la transparence [11”50] ;
Refonte de marque : se faire confiance et écouter ses utilisateurs pour créer un univers qui nous ressemble [17”26] ;
Explosion des CAC : s’appuyer sur l’emailing et les abonnements pour multiplier ses performances par 3 [23”45] ;
Omnicanalité : nouer des partenariats retails win-win pour booster sa notoriété et alimenter son CA online [42”37] ;
Incubation : faire de l'écosystème startup une boussole pour son business et un moteur de croissance [57”50] ;
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#35 – Jho : Hygiène féminine bio : comment rassurer et convertir 50 000 femmes ?
#157 - River Home Deco : Écouter son marché pour créer une offre percutante, avec Charlotte Sineau
#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
#176 - Been Energy ; Démocratiser l’énergie solaire en misant tout sur l’UX, avec Ralph Feghali
Catch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps
Catch-up #1 : Shapeheart – CA x 4 et 1500 nouveaux points de vente en 8 mois
#141 - Amazon : comment se lancer et progresser sur la marketplace, avec Laurent Broncard
Imagination Machine, le studio de start-up nantais
Pixelis, l’agence de communication de Jho
Klaviyo, le CRM
L’épisode de GDIY avec Rob Spiro
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181 - #181 - 360 Capital : Comment réussir sa levée de fonds quand on est e-commerçant ? avec Emanuele Levi
“L’e-commerce n’a que 20 ans, ça veut dire qu’on a encore plein d’opportunités devant nous. Il ne faut pas penser que tout a été imaginé.”
C’est une première dans Le Panier ! Cette semaine, Laurent Kretz reçoit Emmanuel Levi, le General Partner d’un fond d’investissement particulièrement engagé dans l’e-commerce. Incontournable sur le marché européen, 360 Capital a aussi un beau portfolio de champions de la vente en ligne comme 900.care, Le Slip Français, Tediber, Aramis et même Yoox,
Avec Emanuele, il va creuser les grandes tendances de ce secteur pour mieux anticiper l’avenir. Et surtout pour répondre à une question que se posent beaucoup d'e-commerçants : faut-il lever des fonds ou boostraper son business ?
Pour résoudre ce dilemme, ils vont décortiquer tous les principaux enjeux de l’e-commerce : demande, stack technique, acquisition et vague de build-up. Avec presque 30 ans d’expérience dans la levée de fonds, Emanuele nous partagera surtout le portrait robot d’un bon dossier et les cas dans lesquels les outils non dilutifs sont plus pertinents.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
S'adapter à l’évolution de la demande et s 'appuyer sur la confiance des consommateurs pour disrupter leur expérience d’achat en ligne [12”21].
S’imposer dans un univers concurrentiel en maîtrisant toute sa chaîne de valeur et en choisissant les bons facilitateurs [17”25] ;
Bootstrapper ou lever des fonds : la checklist pour prendre la bonne direction (BFR, ambition, etc.) [21”50] ;
L’acquisition est devenue un casse-tête : comment utiliser tous les leviers et créer une communauté de marque [33”23] ;
Le portrait type d’un bon dossier e-commerce pour lever avec 360 Capital (équipe, vision et masse critique) [38”25] ;
Consolidation ou levée de fonds : pourquoi les scale-ups font le choix du build-up ? [51”00]
Gérer la relation avec son investisseur en abordant le good, mais surtout le bad et l’ugly [56”30].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#178 – Joja NYC, Le code de la pub a changé : TikTok, Netflix, Apple, Meta, avec François Grouiller
#176 - Been Energy : Démocratiser l’énergie solaire en misant tout sur l’UX, avec Ralph Feghali
#142 - Sunday : Ré-inventer l’expérience paiement au restaurant, l’ultra-scale dans le plus vieux secteur du monde, avec Kevin Meert
#168 - Upway : Devenir le réflexe des vélos électriques reconditionnés, avec Toussaint Wattinne
#Hors-série – Avec PrestaShop : Ouvrir un pays par mois en misant sur la bonne stack techno, avec Anatole Rozan de Ma Coque
#77 - Japhy : Séduire les Pet Parents et faire 10M€ de CA en 3 ans
#4 – Asphalte : Le Crowdfunding comme modèle pérenne
#Catch-up #8 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien Foiret
L’épisode de GDIY avec Céline Lazorthe de Leetchi
Le Bootstrap Club
Both sides of the table, le blog d’un VC américain
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180 - #180 - Aubert & Mathieu : 50 cm² pour se différencier et s’imposer sur le marché du vin, avec Jean Charles Mathieu et Anthony Aubert
“On peut se lancer, mais il faut oser et être différent. Si vous faites comme ce que tout le monde fait, vous avez zéro chance d’y arriver. Et c’est pour ça que le Why est important.”
NB : Si vous entendez des travaux en fond, c’est normal (nos locaux sont en pleine rénovation). Heureusement, ça ne dure pas très longtemps et ne devrait pas trop gêner votre écoute.
On est nombreux à en consommer, mais le vin reste un sujet opaque et complexe pour les néophytes. Pour mieux comprendre ce marché et ses différentes grilles de lecture à l’étranger, Laurent Kretz a rencontré Jean-Charles Mathieu et Anthony Aubert. Les fondateurs d’Aubert & Mathieu racontent la genèse de ce projet un peu fou : se lancer dans le business du vin sans héritage ni fortune sur lesquels s’appuyer.
Dans cet épisode, ils présentent tous les rouages de la chaîne de valeur du vin, à commencer par le rôle du négociant. Ils expliquent aussi comment multiplier son CA par deux chaque année en misant sur les bons distributeurs et en cartonnant sur les réseaux sociaux.
Sur un marché dans lequel la France est encore leader en matière de valeur, mais loin derrière en termes de volume, on s’intéressera aussi à la stratégie d’exportation d’Aubert & Mathieu. Ses fondateurs nous expliqueront comment adapter son storytelling au contexte américain sans pour autant se dénaturer.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
S’appuyer sur un Why fort (l’amour de son terroir) pour se différencier dans un marché ultra concurrentiel [11”30].
Comprendre la chaîne de valeur du vin et ses différents acteurs pour y trouver sa place [17”25] ;
Tout miser sur l’étiquette pour attirer l’oeil des consommateurs et les embarquer dans son univers de marque [27”15] ;
Décrocher ses premiers clients prestigieux en frappant à toutes les portes et grâce au mailing massif [33”00] ;
Générer plus de ⅔ de ses ventes en B2B grâce aux RS en misant sur les micro influenceurs et en diffusant son contenu dans les groupes spécialisés [43”00] ;
Faire 60 % de son CA à l’étranger en vendant du vin français avec les codes locaux [52”15] ;
Sortir des sentiers battus pour incentiver ses partenaires autrement qu’avec de grosses commissions [1”04”41].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#28 – Le Petit Ballon : 1,5 millions de bouteilles vendues sans pub
#70 - EPC : Pizza-blidas, comment désacraliser le rituel champagne ?
La Moon Watch de Swatch et Omega
Yellow tail, la référence australienne en matière de vin
Le podcast IfThisThenDev
Gueuleton, le vin version bon vivant
Gerry l’Aubergiste, le podcast canadien food&wine
OpenSea, la plateforme NFT
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197 - Hors-série - Avec PrestaShop : Recréer une expérience gustative et olfactive en ligne, avec Diane Le Pennec et Argentine Serres de Le Chocolat Alain Ducasse
“Le chocolat c’est un produit qui fait appel aux sens olfactifs et gustatifs, qui ne sont pas les plus faciles à retranscrire digitalement. Donc l’enjeu du site et de sa refonte, c’était justement de retranscrire cette expérience et la transmettre à l’utilisateur derrière son écran.”
Ce nouvel épisode en partenariat avec PrestaShop promet de vous mettre l’eau à la bouche. Laurent Kretz échange avec Diane Le Pennec et Argentine Serres, respectivement Responsable Digital/Marketing et Product Owner des Chocolats Ducasse. Au programme : une plongée dans les coulisses de la manufacture lancée en 2013 et de la digitalisation d’une expérience gustative haut de gamme.
Quand Alain Ducasse se lance dans la chocolaterie et la vente en ligne, tout l’enjeu est de réinventer la découverte et la désirabilité d’un produit pas comme les autres. Il faut aussi gérer la complexité opérationnelle et logistique de créations particulièrement sensibles aux saisons.
Pour se développer en omnicanal et à l’international, Le Chocolat Ducasse a aussi dû s'appuyer sur un socle techno aussi solide que customisable. Diane et Argentine reviennent sur la refonte du site et sur les défis d’optimisation mobile, de maîtrise de la data et d'acquisition client que ce projet a permis de relever..
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés en matière de :
Expérience client : cultiver ses aspérités pour créer un moment dont on se souvient [05”58]
Accélération digitale : faire de la vente en ligne jusqu’à 30 % de son CA en seulement 3 ans [11”27] ;
Immersion dans la marque : éditorialiser ses fiches produits pour digitaliser la découverte olfactive et gustative du chocolat [18”25] ;
Refonte et montée en version : procéder en deux temps pour mieux suivre ses métriques et optimiser ses performances [20”00] ;
Multicanalité : créer des ponts entre tous ses canaux pour maîtriser la data et faciliter la gestion des commandes et des stocks [28”02] ;
Logistique : couper les livraisons à l’étranger en été et le Click&Collect à Pâques car mieux vaut ne pas livrer que mal livrer [38”55].
Activation : s’appuyer sur son CRM pour passer d’un achat cadeau à un achat répétitif [48”20].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# Hors-série – Avec PrestaShop : Ouvrir un pays par mois en misant sur la bonne stack techno, avec Anatole Rozan de Ma Coque
# Hors-série – Avec PrestaShop : 20M€ de CA en bijouterie et horlogerie, avec Grégory Pairin de Ocarat
Le Million Club de PrestaShop
Pierre tachon de Soins Graphiques
Symediane, l’agence web des Chocolats Ducasse
Partoo pour le presence management.
La quête d’Alain Ducasse
Gourmet - l’ERP des chocolatiers
Splio pour l’individuation marketing
Stripe pour le paiement en ligne
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179 - #179 - Choose : Se lancer, pivoter, itérer et s'internationaliser, avec Vincent Dupuy
“Lancer, c’est dur. On a essayé de faire le lancement le plus théorique, et ça n’a pas marché. Si c’était à refaire, on opterait pour un lancement plus itératif. Tu mets ton app en ligne et au fur et à mesure que les gens téléchargent, tu analyses comment elle est utilisée, la rétention, etc.”
La patience a du bon, dans l’e-commerce comme dans les podcasts. Après 6 mois d’attente, Laurent Kretz rencontre enfin Vincent Dupuy, le cofondateur de Choose. Aujourd’hui, Choose est une application mobile de curation des meilleures marques. Mais ça n’a pas toujours été le cas !
Dans ce nouvel épisode, on va s’intéresser au pivot opéré par l’entreprise en 2018 et à la bonne recette pour changer de business modèle en embarquant les marques et ses utilisateurs. Un pari gagnant, puisque l’application génère aujourd’hui entre 10 et 20 millions de CA et a multiplié ses effectifs par 10.
Avec ce primo-entrepreneur au background d’ingénieur, Laurent va également décortiquer les enseignements opérationnels, tech et en matière d’internationalisation de Choose. Ensemble, ils expliquent comment résister aux sirènes des métriques de vanité, coder 2 applications en une et se constituer un catalogue qui reflète les valeurs de ses clients.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Comprendre ce qui plaît aux consommateurs en récupérant leur avis sur des prototypes de produits [09”02].
Se lancer, c’est dur : pourquoi il ne faut pas suivre la théorie et miser plutôt sur l’itération [21”01] ;
Regarder les chiffres pertinents pour son business en oubliant le nombre de téléchargements pour se concentrer sur la rétention [24”50] ;
Pivoter pour mieux accélérer : comment changer de modèle en cours de route [31”15] ;
Faire du catalogue sa plus grande force et convaincre les marques en leur laissant un maximum de liberté [40”00] ;
Conquérir les US en optant pour le soft launch et en s’appuyant sur une micro-communauté de bêta-testeurs [50”12] ;
Passer d’une équipe de 8 à 80 personnes en accélérant au maximum son processus de recrutement [1”04”45].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#118 - La Marque En Moins : Un peu de transparence dans les produits d’entretien pour séduire 50 000 abonnés, avec Nicolas Simon
#25 – The Bradery : Comment faire 10M€ de C.A. en année 2 sur Insta ?
Catch-up #2 – The Bradery – Multiplier son CA par 10 en un an
Angular, le framework hybride de Google
React JS, le concurrent made in Facebook
Zenly, l’application pour géolocaliser ses amis
Andrew Chen, une référence pour se lancer dans l'entreprenariat
FAIRE, la marketplace des marques indé
OneRagTime, la plateforme de funding
Dream Team de Ludovic Girodon
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178 - #178 - JOJA NYC : Le code de la pub a changé : TikTok, Netflix, Apple, Meta, avec François Grouiller
“Il y a 10 ans, l’ennemi du marketeur, c’était le manque de consistance. Il fallait que tout respecte la plateforme de marque. Aujourd’hui, l’ennemi, c’est la monotonie. Pour ne pas être boring, il faut que ce soit coloré, pétillant et que ça ne dure pas longtemps.”
On reprend le chemin du travail en sortant des sentiers battus avec ce nouvel épisode du Panier. Laurent Kretz reçoit François Grouiller, le fondateur de JOJA NYC, studio de conseil à la confluence entre coaching, le consulting et le think tank qui a posé ses valises en France depuis 2021.
Pour remettre de la clarté dans un secteur de l’e-commerce de plus en plus complexe, François aborde avec nous des sujets aussi variés que passionnants. Ayant un pied des deux côtés de l’Atlantique, il décrypte l’adoption laborieuse du Live Shopping en France et nous explique le bon combo (l’alliance de TikTok et d’Amazon) pour exploser.
Ensemble ils s’essayeront à prédire l’avenir de la publicité, notamment avec l’arrivée de nouveaux acteurs comme TikTok et Apple. La dernière escale de cet épisode se fera dans le retail, avec des clés pour redonner du sens à l’expérience en boutique, qu’elle soit physique ou dans le metaverse.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Créer les conditions du succès et une dynamique saine entre sa stratégie et sa culture d’entreprise [15”15] ;
Miser sur le binge snacking et créer un contenu shoppable à la demande pour exploser dans le live shopping [21”18] ;
Adopter les codes de la drop culture et booster sa resale value en créant l’évènement en ligne et en boutique [27”55] ;
Sortir de la domination de Méta en passant au Spray and Pay sur TikTok pour booster uniquement le contenu organique performant [39”25] ;
Gagner la bataille de l’algo malgré la diminution des points de data en diversifiant ses canaux d'acquisition (Amazon, Apple, Hulu, etc.) [52”40] ;
Repenser la fonction du point de vente en améliorant son UX en boutique et en misant sur l'événementiel commercial [1”08”30].
Anticiper l’avenir des plateformes de marque en s’inscrivant dans une triple omnicanalité et en soignant l’ambiance de chaque univers [1”16”20].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#168 - Upway, Devenir le réflexe des vélos électriques reconditionnés, avec Toussaint Wattinne
#142 - Sunday : Ré-inventer l’expérience paiement au restaurant, l’ultra-scale dans le plus vieux secteur du monde, avec Kevin Meert
#175 - Fnac / Darty, 2 milliards de CA en ligne en humanisant son expérience d’achat digitale, avec Julien Le Bescond
#167 - Nuoo, Atteindre les 80 % de repeat en créant le lien parfait entre retail et e-commerce, avec Maxime Richard
L'épisode de Génération DIY avec le fondateur de Big Mamma
NTWRK pour le social shopping
Shop Shops, le live shopping Made in China
Le compte TikTok de Liquid Death
Bounty, l’app qui démocratise l’influence marketing
Tube Science
Price Moov, la boite française qui révolutionne le dynamic pricing
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194 - [REDIFF] - Sunday : Ré-inventer l’expérience paiement au restaurant, l’ultra-scale dans le plus vieux secteur du monde, avec Kevin Meert
Le sujet : Si vous aussi vous avez déjà attendu le·a serveur·euse en essayant de créer un eye contact pendant (trop ?) longtemps pour payer au restaurant, alors vous allez ADORER cet épisode. Parce qu’avec Sunday, vous n’aurez plus jamais besoin de lever la main indéfiniment pour régler l’addition !
L’invité : Depuis avril 2021, Kevin Meert est Chief Sales Officer de Sunday, une web app qui digitalise le moment de paiement au restaurant. Concrètement, en tant que client·e vous accédez à l’application grâce à un QR code posé sur la table du restaurant. En le scannant vous avez non seulement accès au menu mais aussi la possibilité de régler directement depuis votre smartphone.
Sunday : Lancé en juillet 2020 après le premier confinement, Sunday s’adressait originellement aux 18 restaurants du groupe Big Mamma. Très vite, l’application a rencontré un taux d’adoption de plus de 60%, une augmentation de 40% de dons de pourboires et surtout, un gain de 12 minutes de taux de rotation par table. Que demander de plus ? Face à tant de succès, l’app a donc été proposée à un grand nombre de restaurateurs. Un peu plus d’un an après sa création, elle compte déjà plus de 3 000 restaurants adeptes. Et ce n’est que le début !
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Kevin Meert revient sur la genèse de Sunday et met en lumière leurs différents apprentissages :
# En n’obligeant plus les serveur·ses à gérer toutes les transactions, ils ont davantage un rôle de fidélisation vis-à-vis des client·es.
# C’est Sunday qui s’adapte au logiciel de caisse du restaurant et non l’inverse. Aujourd’hui, l’application est déjà connectée avec plus de 20 logiciels de caisse.
# L’application “mime” les actions de la vie réelle du serveur mais sans leur compliquer la tâche.
# La plus grosse difficulté que rencontre actuellement Sunday : faire changer les habitudes des consommateur·rices qui règlent directement avec le·a serveur·se..
# Pour y faire face, ils se considèrent donc plus comme une boîte B2C que B2B et pensent avant tout à la facilité d’usage des clients finaux.
# Enfin, pour les restaurateurs, le coût de l’application est exactement le même que leur TPE classique.
Cet épisode accueille aussi un special guest qui n’est autre que Matthieu Stefani !
Merci à Georges Abi-Heila d’avoir permis cet épisode.
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier et des épisodes de la série spéciale Paiement en Ligne :
#110 - Too Good To Go : Sauver 80 millions de repas dans 18 pays du monde en 5 ans, avec Georges Abi-Heila
#113 - DĒVOR : La cuisine est-elle morte ? avec Jean Valfort
#117 - Série Spéciale Paiement – Le mille-feuille de la transaction, avec Antoine Grimaud de PlayPlug
#119 - Série Spéciale Paiement – Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay
#121 - Série Spéciale Paiement – L’innovation au service de l’inclusion financière, avec Francis Barel de PayPal
#122 - Série Spéciale Paiement : les enjeux du paiement sur l’omnicanal, avec Jérémy Buffalon de HiPay
#135 - Série Spéciale Paiement : le futur du paiement est déjà là, avec Philippe de Passorio de Adyen
Et de Génération Do It Yourself :
#46 Tigrane Seydoux – BIG MAMMA – Comment importer l’Italie à Paris ?
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193 - Hors-série - Avec PrestaShop : Faire le choix du made in France jusque dans son CMS, avec Benoît Venessy de On achète Français
“On cherchait une solution accessible question tarif, dans laquelle on puisse mettre les mains dans le code et avec la possibilité d’ajouter des options. Et le fait que PrestaShop soit français collait parfaitement avec nos valeurs”.
Pour ce nouvel épisode en partenariat avec PrestaShop, Laurent Kretz a eu le plaisir d’échanger avec Benoît Venessy, qui a cofondé avec sa compagne la marketplace On achète Français. Une très belle histoire d’un side business familial, qui recense uniquement des produits fabriqués en France et de qualité.
Lancé juste après le premier confinement, On achète Français a connu une belle croissance organique et fait aujourd’hui 250K de chiffre d’affaires annuel. La plateforme regroupe 150 vendeurs, plus de 20 OOO références (des bières artisanales aux abris de jardin). Elle peut aussi se targuer d’un beau taux de conversion de 3 % et d’un panier moyen de 150 euros.
Benoît nous explique pourquoi et comment ils se sont lancés sur le Made in France. Sans aucune expérience en matière de codage, il revient surtout sur la façon dont il a twisté tout seul un PrestaShop pour en faire une belle place de marché. Dans cet épisode, on évoquera aussi ses apprentissages en matière d’acquisition.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés en matière de :
Fake it until you make it : convaincre ses premiers vendeurs avec un simple site vitrine [16”40]
Business model : opter pour un mix d’abonnements payants et de commissions sur les ventes pour sécuriser ses sources de revenus [17”40] ;
Migration : choisir un CMS Made in France et exporter 50 vendeurs et plus de 1 000 fiches produits en balisant chaque étape [21”30] ;
Optimisation backend et front : s’adosser à PrestaShop pour améliorer l’expérience de ses vendeurs et celle de ses clients [28”00] ;
Parcours client : attirer 60 % de son trafic via Google Shopping et accompagner ses visiteurs sur 7 pages produit avant qu’ils n’achètent l’article initial [36”00] ;
Croissance : miser sur les réseaux sociaux (LinkedIn), la newsletter et le SEO pour faire grandir organiquement sa base clients [44”15] ;
Notoriété : assurer sa légitimité et réassurer les consommateurs en triant sur le volet et en auditant ses fabricants français [48”25].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#139 - Sunday Love : Du love, du hardware, du software et 3M€ en 2 ans, la recette de Nelly Meunier
#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
#119 - Série Spéciale Paiement – Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay
H Moser - les montres Made in Suisse
Crisalid - le CMS no code
Foul factory - le crawler
Hubspot - le CRM français
Sendinblue - la solution d’emailing
Swello - pour optimiser sa stratégie social media
Webkul - pour développer son app e commerce
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177 - #177 - Catch-up Superprof : 19 millions de profs et 41 pays plus tard, avec Wilfried Granier
“Il existera un jour un leader mondial du cours particulier, une place de marché un peu comme Airbnb où on ne se pose pas de question quand on cherche les meilleurs profs. Je suis intimement convaincu que c’est Superprof qui va réussir ce challenge”.
2 ans après leur première rencontre par écrans interposés, en juin 2020, Laurent Kretz retrouve Wilfried Granier, cofondateur et CEO de Superprof. Depuis, la plateforme qui met en relation des professeurs particuliers triés sur le volet et leurs futurs élèves est devenue une véritable machine de guerre. Mais c’est surtout sur le front de l’internationalisation que la machine s’est accélérée, passant de 28 à 41 pays.
Wilfried nous partage ses objectifs pour s’imposer comme le leader mondial des cours particuliers. Du refus de se faire accompagner par des fonds, au recrutement de Country managers locaux basés à Paris, il a posé chaque brique de son business de manière à préserver sa liberté et l’agilité de sa plateforme.
Dans ce catch-up, on fera aussi le point sur la stratégie d'acquisition de Superprof. Wilfried nous explique comment il a su adapter son branding, sa stratégie SEO et sa strate techno à 41 pays différents. On s’intéressera plus particulièrement au plus grand d’entre eux, les Etats-Unis, et comment le marché américain est en passe de dépasser la France en matière de CA.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Autofinancement : pourquoi se faire accompagner par des fonds est la pire stratégie quand on veut exploser à l’international [05”40] ;
Algorithme de matching : trier ses profs particuliers sur le volet en prenant en compte 50 critères et en les resserrant selon la maturité du marché [20”15] ;
Internationalisation : la méthode de lancement parfaite n’existe pas. Il faut partir d’un tronc commun, l’améliorer et l’adapter en permanence [28”30] ;
Marché américain : diviser son CAC par 3 en multipliant les canaux d’acquisition et en se positionnant sur des requêtes de niche [42”14] ;
Acquisition : travailler son taux de transformation pour piloter intelligemment son pricing et maximiser son CA [59”57] ;
Branding : aller chercher ses futurs clients avant même qu’ils ne formulent leur besoin grâce aux campagnes télé et affichage [1”08”45] ;
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée
Le Bootstrap Club
Buzzman - l’agence de pub derrière la future campagne télé de Superprof
L’épisode de GDIY avec Georges Mohammed-Chérif, à la tête de Buzzman
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191 - [REDIFF] - Emily’s Pillow : De 0 à 1,6M€ de CA en 2 ans alors qu’elle ne connaissait rien au digitial, avec Laure Lagarde
Le sujet : Faire simple pour avancer plus vite. C’est le crédo de Laure Lagarde depuis qu’elle s’est lancée et pour elle, c’est le bé-a-ba de tout site e-commerce. Pourquoi ? Parce que faire simple permet de respecter tous ses engagements et de se créer une belle image de marque dès le départ.
L’invitée : Après des années de salariat, Laure Lagarde n’avait qu’une envie : se reconvertir et entreprendre à son tour. Alors en 2019 elle a sauté le pas et a créé Emily’s Pillow, une marque de taies d’oreillers en soie 100% naturelle. 2 ans plus tard, la marque comptabilise plus de 16 000 commandes et un chiffre d’affaires de plus de 1,6 million d’euros.
Emily’s Pillow : Pourquoi la soie ? Pour ses secrets beauté bien sûr ! En effet, des draps de soie auraient la propriété de préserver la coiffure, la brillance des cheveux et la beauté de la peau au réveil. Laure l’a elle-même testée (et approuvée) avant de fonder une marque dédiée à cette noble matière. Si à l’origine Emily’s Pillow ne proposait que des taies d’oreillers, elle propose aujourd’hui des chouchous, des masques, des draps, des kimonos… mais toujours uniquement en soie !
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Laure Lagarde se confie sur ses apprentissages des deux dernières années :
# La logistique est clé avant de se lancer. Idéalement, préférez des produits légers et faciles d'envoi pour simplifier cette étape.
# Un site e-commerce doit contenir (au minimum) : une FAQ, un suivi colis, les mentions légales, un SAV.
# De même, les pages produits doivent être exhaustives pour que les client·es n’aient pas besoin d’aller chercher les informations ailleurs.
# Fake it until you make it peut parfois être utile. Faire apparaître des logos presse avant que cela ne soit vrai peut rassurer les client·es.
# Le dropshipping ne peut être qu’une solution à très court terme. Généralement ce système ne favorise pas la satisfaction client car les délais de livraison sont rarement respectés. Il vaut mieux établir son propre stock et tout envoyer soi-même.
# Pour faire augmenter son produit moyen, l’une des solutions est de proposer plusieurs produits plus petits et moins coûteux du même style. Par exemple, Emily’s Pillow propose des chouchous ou des masques en soie.
# Si vous souhaitez faire de la micro-influence, créez vraiment une relation de partenariat avec l’influenceur·euse.
Laure revient aussi sur l’impact de leur passage dans le Journal Télévisé de M6 et sur celui de la pub TF1 qu’ils font actuellement.
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176 - #176 - Beem Energy : Démocratiser l’énergie solaire en misant tout sur l’UX, avec Ralph Feghali
“On part dès le début sur ce projet avec l’angle de créer une expérience utilisateur exceptionnelle dans l’énergie à la maison. On met les clients au centre de ce que l’on fait et à tout miser sur une UX qui est inégalée pour créer des émotions positives.”
Hardware is Hard. C’est d’autant plus compliqué quand on s’attaque à un secteur aussi opaque que l’énergie solaire. Pour comprendre comment Beem Energy a réussi à la rendre plus sexy et surtout accessible à tous, Laurent Kretz est parti à la rencontre de Ralph Feghali, son co-fondateur.
Dans ce nouvel épisode du Panier, il nous explique comment Beem Energy a innové en matière d’UX dans un secteur qui, jusque-là, ignorait le consommateur. Ralph nous partage les leviers qu’il a utilisés pour démocratiser les panneaux solaires en kit et rendre leur installation aussi simple que de poser un cadre.
Ce primo-entrepreneur nous fait également part de ses apprentissages et des ressources sur lesquelles il s’est appuyé pour cofonder sa première entreprise. Du recrutement, en passant par l’acquisition, sans oublier la tech et les insights conso, on fera le tour de ce qu’il faut maîtriser avant de se lancer et de ce qui s’apprend sur le tas.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Créer une expérience utilisateur exceptionnelle pour inciter les consommateurs à s’intéresser à l’énergie solaire [04”48] ;
Passer d’un produit tech chiant à des panneaux solaires que l’on déballe comme un cadeau et qui s’installent comme un meuble Ikea [7”08] ;
Miser sur le collectif en replaçant la production d’énergie solaire dans un mouvement global [11”39] ;
Développer 50 prototypes en 18 mois en trouvant les bons schémas pour itérer rapidement et à moindre frais [13”40] ;
Mesurer son Product-Market fit avec des données qualitatives (insights conso) et quantitatives (landing page) [17”08] ;
Évangéliser un sujet techno grâce à un mix de retail, présence dans les médias et social proofing de ses premiers utilisateurs [37”10] ;
Lancer sa première boite en lisant The Lean Startup pour maîtriser la théorie et en s’entourant de sachants dans son domaine [45”00].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 157 - River Home Deco : Écouter son marché pour créer une offre percutante, avec Charlotte Sineau
# 33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
# 127 – Ecojoko : Innover pour contrer le gaspillage énergétique, avec Laurent Bernard
Le startup studio Imagination Machine
Nest - qui a démocratisé la domotique.
Swikly - La solution de caution en ligne
WHO, the method for hiring
The Lean Startup pour maîtriser la théorie de l'entrepreneuriat
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175 - #175 - Fnac - Darty : 2 milliards de CA en ligne en humanisant son expérience d’achat digitale, avec Julien Le Bescond
“On est à fond dans l’omnicanalité. Fnac-Darty a compris très tôt l’importance d’être un très bon e-commerçant, en plus d’être un bon commerçant magasin. Il faut être bon dans les deux avant de créer des passerelles entre les deux. Résultat, on est le 3e e-commerçant de France”
Au programme de cet épisode du Panier : une visite guidée d’un géant du retail qui est devenu aussi leader dans le paysage de l’e-commerce français. Pour nous expliquer comment deux marques très fortes, Fnac et Darty se sont fait une place au soleil digital, Laurent Kretz rencontre leur Directeur Marketing, Julien Le Bescond,
A partir des valeurs de ces deux entités qu’on ne présente plus, la connaissance produit des vendeurs pour l’une, le service après vente pour l’autre, Julien nous explique comment Fnac-Darty a réussi à insuffler de l’humain dans l’e-commerce. Visio conférences avec un vendeur en rayon avant d’acheter son appareil photo ou avec un technicien pour réparer son frigo, le groupe offre une expérience client omnicanale 5 étoiles.
Julien nous expliquera aussi comment il injecte la mission du groupe, à savoir un choix éclairé et une consommation responsable, dans chaque brique de son business. De la création de contenu froid à la stratégie social media, on verra comment Fnac-Darty excelle aussi bien dans son rôle de distributeur que dans celui d’agitateur culturel.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Humaniser le conseil client digital en permettant aux users d’échanger en visio avec un vendeur magasin et en faisant tester ses produits en labo [06”38] ;
Transposer son SAV en ligne et digitaliser 2 millions de réparations en sensibilisant ses clients à l’entretien de leurs appareils [18”30] ;
S’appuyer sur les données de son SAV pour noter la durabilité de ses produits et répondre aux attentes de fiabilité des consommateurs [28”15] ;
Reposer la plateforme de marque d’un acteur de plus de 70 ans en tenant compte des évolutions d’usage et du tournant numérique de la culture [36”05] ;
Regrouper les directions IT et développement web dans la même entité pour gérer une machine de guerre de 2 milliards de CA [47”30] ;
Créer du contenu froid pour booster son référencement et répondre aux questions des consommateurs [51”50] ;
Capitaliser sur les réseaux sociaux et le live Shopping en apportant un contenu qui soit utile et en s'appuyant sur les influenceurs [1”04”16].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Le Labofnac qui teste en toute indépendance les produits distribués par la marque
L’éclaireur - le média conseil et tendance du groupe
Mirakl - la solution marketplace
Magento
Wordpress - le CMS de L’éclaireur
Cyril Olivier
CAAST pour le Live Shopping
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188 - [REDIFF] - Bigblue : 10 tips pour booster ses ventes grâce à l'UX post-achat, avec Tim Dumain
Le sujet : Que ce soit en ligne ou hors ligne, l’expérience client est un enjeu important pour le secteur de la vente. Découvrez comment elle peut vous aider à cultiver votre business avec Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra.
L’invité : Tim Dumain est le cofondateur et CEO de Bigblue, un service d’optimisation de l’expérience client pour les e-commerçants. Il a créé sa première entreprise, Morning, à 19 ans. Plus de 10 ans et une revente plus tard, c’est un expert en stratégie de croissance et gestion de communauté.
Initiative : Bigblue a été lancé en 2018. C’est l’operating system des marques : il a pour objectif de maximiser l'expérience post-achat et la logistique. La satisfaction des clients passe par “la satisfaction ultime des marques”.
Tim Dumain vous propose 10 tips pour booster vos ventes grâce à l’UX post-achat :
Indiquer la date de livraison exacte. Seules certaines entreprises peuvent se permettre de résoudre ce véritable challenge de la data, mais cela représente d’après lui 9% d’abandons de panier en moins.
Offrir plus d’options d’expédition. Eh oui, tout le monde ne veut pas se faire livrer chez soi ! Il faut être arrangeant, permettre la livraison en point relais, à une certaine heure de la journée…
Prévoir la livraison express. Selon la période de l’année, n’importe qui peut en avoir besoin. Il ne tient qu’à vous de sauver Noël !
Proposer un acheminement gratuit. Si ce n’est pas possible, il convient d’avoir une offre de livraison gratuite à partir d’un certain coût. Tim Dumain vous conseille de placer ce montant de 10 à 15% au-dessus du panier moyen de façon à augmenter ce dernier.
Soigner la communication auprès des clients. Les emails de suivi affichent un taux d’ouverture exceptionnel de 75% (25% pour tout autre message de communication). Pourquoi ne pas en profiter pour proposer des produits additionnels ?
Mesurer la satisfaction client. Il est 7 à 8 fois moins cher d’amener un client à commander une fois de plus plutôt que d'en faire venir un nouveau.
Faciliter les retours. Cela renvoie l’idée que la marque fait confiance à ses consommateurs. La politique de retours doit être simple, lisible, et intégrée aux coûts.
Réfléchir à la lifetime value. Un client unique ne représente pas forcément une seule transaction : d’après Tim Dumain, il faut rendre l’expérience d’achat mémorable pour le pousser à repasser commande.
Soigner l’unboxing. C’est le seul lien physique avec le public: une boîte brandée, un petit mot, une gift note… Traitez chacun de vos clients comme s’il était un influenceur.
Rester en totale transparence sur le cut off. Préparez-vous à signaler tout désagrément sur le trajet afin d’éviter l’effet déceptif et frustrant de ne pas être livré au moment où on devrait l’être.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
Emily’s Pillow : De 0 à 1,6M€ de CA en 2 ans alors qu’elle ne connaissait rien au digitial, avec Laure Lagarde
Unbottled
Contactez Tim Dumain par mail : tim@bigblue.io
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174 - #174 - Catch-up PayPal : Innover dans l’univers du paiement en ligne tout en assurant ses fondamentaux, avec Francis Barel
“Il y a deux éléments à prendre en compte dans l’expérience de paiement e-commerce. 1. C’est le changement majeur des habitudes des gens qui a été accéléré par la pandémie. 2. Ce n’est pas pour autant que les fondamentaux ne doivent pas être respectés. “
C’est un immense plaisir de retrouver un an et demi plus tard Francis Barel pour ce catch-up dans lequel Laurent Kretz décortique avec le DG de PayPal France les grandes tendances de l’e-commerce. Dans un contexte mitigé (levée de fonds pour les uns, plans de licenciement pour les autres), difficile de prédire avec certitude l’avenir du commerce et du paiement en ligne.
Mais pour quelqu’un qui a plus de 17 ans d’expérience dans le domaine, pas besoin de boule de cristal. Francis nous aide à décrypter les évolutions conso et les dynamiques de digitalisation du cash pour pole-positionner son e-commerce. Il nous présente entre autres les nouveaux outils de PayPal pour fluidifier son expérience de paiement et booster son taux de conversion.
Mais pour pérenniser l’innovation, il faut commencer par assurer ses fondamentaux : soit un business rentable et une valorisation qui ait du sens. Pour renforcer ses bases, Francis nous parlera des leviers de financement offerts par Paypal, mais aussi de ses bonnes pratiques pour booster l’engagement de ses équipes en accentuant ses valeurs et sa mission.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Acquisition et fidélisation : s’adapter aux évolutions conso en assurant les fondamentaux de son business (rentabilité, inno et service client) [5”50] ;
Engagement des équipes : attirer les bons collaborateurs et éviter les mercenaires en augmentant la loyauté de ses employés [11”56] ;
Financement : financer la croissance de son entreprise en working capital avec Paypal Financement Pro [2O”00] ;
Digitalisation du cash : anticiper la disparition du liquide et en profiter pour booster l’inclusion financière [32”50] ;
Super App : retenir les utilisateurs en multipliant les services dans son écosystème (paiement fractionné, P2P, crypto et dons caritatifs) [38”50] ;
Hybridation du shopping : surfer sur la tendance du social shopping et convertir plus en payant sans sortir de l’application [45”00].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#121 - Série Spéciale Paiement – L’innovation au service de l’inclusion financière, avec Francis Barel de PayPal
Le dernier Commerce Report de Paypal
Alan Greenspan sur l’exubérance irrationnelle des valorisations
Bootstrap club
Paypal Financement Pro - pour un prêt de 1 à 60K euros.
Money Walkie - le porte-monnaie sans contact
Le white paper de PayPal sur les Super Apps
Il était plusieurs fois - le BackMarket des vêtements pour enfants
Zettle - le TPE by PayPal
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186 - [REDIFF] - Wethenew : Une passion sneakers qui mène à des dizaines de millions de CA, avec Michael Holzmann
Le sujet : Partir d’un passion qui permettait de gagner un peu d’argent pendant ses études et en faire une machine de guerre comptabilisant plusieurs dizaines de millions d’euros en 3 ans. Voilà le pari fou que s’est lancé Michael Holzmann.
L’invité : En prépa, Michael Holzmann rencontre son futur acolyte : David Benhaim. Une école de commerce et 2 stages plus tard, ils lancent tous les deux Wethenew : une marketplace spécialisée dans la vente de sneakers en édition limitée. Le tout, en offrant une expérience similaire et aussi qualitative que les vendeurs de baskets "classiques".
Wethenew : Créé en 2018, Wethenew s’est rapidement positionné sur le réseau des revendeurs particuliers et cartonne. Depuis trois ans, ils triplent voire quadruplent leur chiffre d’affaires chaque année.
Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il revient sur le développement de Wethenew et sur l’incroyable croissance qu’ils ont réalisée depuis. En quelques mots :
# L’histoire de sa rencontre avec David Benhaim et leur rapide volonté de créer une boîte dès leur sortie d’école.
# Leurs profils complémentaires en tant que co-CEO et comment cela leur permet de mieux se challenger et d’aller plus vite au quotidien.
# Le choix du nom Wethenew qui leur permet de ne pas s’enfermer uniquement dans le marché des sneakers, au cas où.
# Si dès le départ Michael et David avaient l’avantage de bien connaître le “pain” des clients, l’objectif était de parvenir à créer une expérience e-commerce simple, intuitive et efficace.
# Pour se faire connaître, ils ont notamment contacté tous les joueurs de Ligue 1 à la main sur Instagram en leur proposant des paires de chaussures.
# Mais aussi pourquoi et comment ils ont réalisé des partenariats avec des influenceurs très rapidement qui leur ont permis de développer une communauté.
# Leur principal apprentissage sur Instagram : les 10k premiers followers sont les plus durs à atteindre. Et pour ce faire, une seule solution : la régularité. Eux postent 4 posts par jour et 10 stories sur leur compte depuis 3 ans. Le résultat est au rendez-vous puisqu’ils ont désormais plus de 700k abonnés.
# Son meilleur conseil SEO : écrire minimum 150 mots sur chacune des pages de son site et faire beaucoup de maillage interne.
# Et enfin les outils qu’ils utilisent au quotidien : Nosto, Shopify, Alma, Eulerian ou encore Wisp.
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185 - [REDIFF] - DĒVOR : La cuisine est-elle morte ? avec Jean Valfort
Le sujet : Dans cet épisode de rentrée on parle BOUFFE ! De son passé, de son présent et de son futur. 10 ans en arrière auriez-vous imaginé des restaurants sans service à table ?
L’invité : Restaurateur depuis 8 ans, Jean Valfort a ouvert une dizaine de restaurants entre Nice et Paris avant de se lancer dans la restauration virtuelle (autrement dit, des restaurants qui ne font que de la livraison).
DĒVOR : Franchiseur nouvelle génération, DĒVOR s’adresse à celles et ceux qui veulent faire leurs premiers pas dans la restauration virtuelle. Fondée en 2021, la société comptabilise déjà 9 restaurants et ne compte pas s'arrêter là !
Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Jean Valfort livre ses meilleurs conseils pour se lancer dans la restauration en 2021 :
# L’emplacement reste important, il faut faire appel à de très bons décorateurs, très bon chefs et une très bonne agence de presse, notamment dans des villes très concurrentielles comme Paris. Il faut ensuite proposer un service impeccable et bon rapport qualité/prix.
#Ouvrir un restaurant à Paris ou en région sont deux expériences très différentes. Le poids du social media et des influenceurs est plus important en région car la nouveauté est constante à Paris.
#Avoir en tête que la restauration est un des derniers sujets qui se consomme à proximité, on ne peut pas manger dans les restaurants étrangers.
# Un restaurant en France est remboursé au bout de 7 ans, c’est alors un pari réussi. A ce stade, il peut être intéressant d’en faire une institution ou une vache à lait qui peut être revendue.
# Avec un restaurant, on peut espérer entre 10% et 30% d'ebidta.
#Dans la restauration virtuelle, les leviers sont très opérationnels : il faut livrer chaud, préparer les plats en moins de 5 minutes, le livreur doit attendre très peu devant la cuisine et le restaurant doit avoir des bonnes notes de la part des clients . C’est un métier de process.
Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :
#87 - Just Eat : Comment le marché du food delivery a pris 3 ans de maturité en quelques mois ?, avec Méleyne Rabot
#102 - La Maison de La Poutine : Penser l’expérience client comme un contenu, avec Guillaume Natas
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184 - Hors-série - Avec PrestaShop : Omnicanalité, souplesse technique et un CA de 40M€, avec Mickaël Austruy de Project X Paris
“De la production à l’IT, on a cette verticalité, cette volonté d’intégrer beaucoup de choses et de ne pas être dépendant. C’est pour ça que beaucoup de choses sont faites en interne : du logiciel de caisse, à l’ERP en passant par le WMS, tous développés from scratch”.
Vous vous apprêtez à écouter un nouvel épisode en partenariat avec PrestaShop dans lequel Laurent Kretz décortique le secret du leader du streetwear en France, Project X Paris. Une discussion comme on les aime (chiffrée, pragmatique et opérationnelle) avec son responsable e-commerce & digital, Mickaël Austruy.
Fondée en 2015 par deux frères passionnés de mode et de culture urbaine, Project X engendre aujourd’hui un chiffre d’affaires de plus de 40 millions d’euros. Une belle prouesse sur un marché de l’habillement, de plus en plus difficile à pratiquer.
Guidés par Mickaël, nous allons nous intéresser aux leviers de distribution (retail, wholesale et Direct To Consumers) de Project X. Mais aussi à son utilisation de la tech, et à l’architecture complexe, mais finalement évidente, que la marque a mis en place pour gérer son omnicanalité.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Faire des collaborations avec les grands noms du rap français un accélérateur de croissance et de notoriété [10”40] ;
Hacker sa stratégie de déploiement en injectant les nouveautés en magasin jusqu’à épuisement, puis en faisant un restock en ligne [22”00] ;
Convaincre ses premiers distributeurs en créant une relation de confiance, mais surtout en offrant des marges séduisantes [28”00] ;
Trouver une solution à chaque problème en misant sur la verticalité et en développant ses propres outils en interne [35”00] ;
Mutualiser son front B2C et B2C pour transposer facilement les innovations et booster ses gains de productivité [46”45] ;
Optimiser sa solution e-commerce pour obtenir une architecture à la fois intelligente et rapide [56”40].
Se baser sur les pressions marketing (SEO, emailing, collaboration/influence) pour aller chercher l’audience qui va générer du CA [1”02”48].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# Hors-série – Avec PrestaShop : 20M€ de CA en bijouterie et horlogerie, avec Grégory Pairin de Ocarat
#40 – MaCoque : Se battre contre Amazon en auto-financement et croissance organique
# 163 - Multiplier son CA par 20 grâce au marketing d’influence, avec Clark Hassan
# Catch-Up #15 – Jonak : Mettre en place un commerce unifié en restant droit dans ses bottes, avec Lisa Nakam
# 124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Million Club de Prestashop
Guerre de business : Nike et Adidas
Spidy - l’outil WMS
Zero Six - pour booster sa fidélisation
Spread - le CRM français
Eric Sabine - fondateur de Deebr
Insta shopping - pour aller chercher de l’UGC
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173 - #173 - Shanty Biscuits : Désarmer les copycats en créant une love brand inimitable, avec Shanty Baehrel
“La magie du concept, c’est que comme c’est un cadeau, à chaque commande t’as au moins une personne qui va découvrir. Si c’est un mariage, ça va être 200 personnes, si c’est une entreprise ça peut être 1000. Donc tu as une croissance organique de part la nature du cadeau”.
Dans ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz rencontre la “Bisqueen” en personne. Une heure d’échange avec Shanty Baehrel, cofondatrice et visage de la marque de biscuits personnalisés Shanty Biscuits.
C’est le bac en poche et sans expérience dans l'entreprenariat que Shanty se lance en 2013 dans l’aventure du biscuit. Presque 10 ans plus tard, elle est à la tête d’une marque Direct To Consumer très forte, mais aussi très copiée.
Shanti nous partage sa recette pour faire face aux copycats (les marques qui copient la vôtre), notamment en créant la Love Brand la plus différenciante possible. Au-delà du bon alignement des étoiles, elle nous explique son virage B2B, comment elle a trouvé sa patte sur Instagram et ses secrets pour organiser des pop-up stores mémorables.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Faire grandir sa marque de façon organique en proposant un produit-cadeau [08”42] ;
Accélérer en saisissant les bonnes opportunités, en trouvant sa patte sur Instagram et en passant du B2C au B2B [17”00] ;
Faire vivre sa marque (et saturer sa chaîne de production) sans achat média ni dépense marketing pendant 5 ans [24”00] ;
Cracker la fidélisation et le repeat business du marché du cadeau en diversifiant sa gamme de produits [27”15] ;
Choisir ses batailles et ignorer les copycats pour se concentrer sur l’essentiel et créer une love brand différenciante [38”00] ;
Booster son branding avec des opé physiques immersives et mémorables, sans oublier de pousser à l’achat [44”40].
Créer un engouement autour de sa marque en incarnant son histoire et ses valeurs [56”15].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 112 - Le Beau Thé : Un side-project qui cartonne avec 500 000 sachets de thé personnalisés en 1 an, avec Marcellin Pelhate
# Hors-série – Avec PrestaShop : Ouvrir un pays par mois en misant sur la bonne stack techno, avec Anatole Rozan de Ma Coque
L’épisode Génération DIY de Shanti
L’agence Lord, who saved the Bisqueen
Les leveurs de fonds David Laroque de Not so Liquid et Grégory Edberg de Leuwen
Label Experience
Front : pour rediriger les mails entrants vers tes collaborateurs
Airtable pour le service client
Sendcloud de Shopify pour les expeditions
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172 - #172 - La Bonne Brosse : Sortir de la matrice pour créer une brosse durable, avec Flore des Robert et Pauline Laurent
“Je cherchais depuis longtemps un moyen de faire mon métier de manière plus durable. Est-ce qu’il fallait changer les choses de l’intérieur, faire évoluer la matrice ? Cette idée de la brosse, la durabilité essentielle de ce geste, c’est ce qui m’a convaincu de lâcher la matrice”.
C’est assez rare pour être noté, mais ce nouvel épisode du Panier s’enregistre à troix voix. Celles de Laurent Kretz et de ses deux invitées, les cofondatrices de La Bonne Brosse, Flore des Robert et Pauline Laurent.
Après une première vie chez des géants de la cosmétique, Flore et Pauline se lancent dans l’inconnu de l'entreprenariat pour transformer la brosse à cheveux en functional luxury.
Un pari risqué, dans un marché où la concurrence est rare, mais un pari qui va payer. Un an après leur lancement, La Bonne Brosse est distribuée chez Séphora et Le Bon Marché (deux prescripteurs en France et à l’International) et a écoulé plus de 3,5 K produits.
Flore et Pauline partagent leur expérience, et ce qui les a motivées à se lancer. Elles évoquent également les secrets d’une bonne association, pourquoi bootstrapper son e-commerce et leurs secrets de négociation avec des grands noms de la distribution.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Quitter son CDI pour se lancer dans l’entreprenariat : les bonnes questions à se poser avant de sauter dans l’inconnu [08”43] ;
Réussir son association en se faisant coacher pour trouver son modus vivendi [21”52] ;
Vendre une commodité à 120 euros en la transformant en luxe fonctionnel [30”39] ;
Lancer son e-commerce en bootstrapping pour gagner en légitimité et en confiance sans expérience dans le digital [36”25] ;
Faire ses premières ventes en misant sur la presse traditionnelle et l’influence, mais surtout en expliquant les bienfaits de son produit [45”39] ;
Étendre son réseau de distribution en activant ses contacts et en saisissant les opportunités quand elles se présentent [53”33] ;
Exporter la beauté française à l’étranger en ouvrant une première porte et en se préparant à scaler [1”00”35].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#133 - Emily’s Pillow : De 0 à 1,6M€ de CA en 2 ans alors qu’elle ne connaissait rien au digitial, avec Laure Lagarde
#124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Catch-Up #15 – Jonak : Mettre en place un commerce unifié en restant droit dans ses bottes, avec Lisa Nakam
#158 - Unbottled : x20 en 1 an en restant humble, avec Benjamin Legros
Catch-up #17 – Merci Handy : Rendre le monde ordinaire extraordinaire, avec Louis Marty
Biologique Research
Mason Pearson - le brossier des chevaux de la reine victoria
Méthode web pour le SEO
L’appartement parisien pour le logo
Simple pour la logistique des DNVB
Prose - la marque de haircare sélectif
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181 - Hors-série - Avec PrestaShop : Ouvrir un pays par mois en misant sur la bonne stack techno, avec Anatole Rozan de Ma Coque
“Pour l’instant, notre stratégie c’est de vite ouvrir tous les pays, les tester et après d’aller sur les pays les plus intéressants”.
Dans cet épisode en partenariat avec PrestaShop, Laurent Kretz reçoit (de visu cette fois-ci) Anatole Rozan, CEO de Ma Coque.
Depuis le premier épisode enregistré en mai 2020, l’e-commerce spécialisé dans la vente de coques pour smartphones a bien progressé. Après une migration en 2015 sur PretaShop, Ma Coque approche aujourd’hui les 3 millions de CA, 15 % de résultat net, 15K commandes par mois et un panier moyen de 17 euros HT. Une belle croissance opérée depuis le garage de ses parents, et toujours en famille !
Pour ce catch-up, Anatole nous explique pourquoi le retail ne sert à rien dans certaines verticales et comment lancer une marque consumer en 2022. On discute surtout de tech, et comment la mettre au service de son business pour booster son SEO, gérer 200K références, ou mettre en avant ses best-sellers.
Un épisode riche en apprentissages pour les marques qui souhaiteraient se lancer à l’international. On verra notamment comme le Test & Learn reste la meilleure approche pour sauter le pas sans se laisser effrayer par les implications légales et opérationnelles. Anatole nous donnera aussi sa recette et sa stack techno pour ouvrir un pays supplémentaire par mois !
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Lancement d’une marque consumer : commencer en pure player puis créer des connexions avec le retail en misant sur les nouvelles techno (RA, NFT) [17”45] ;
Expansion internationale : Tester les nouveaux marchés avec une stratégie SEA puis passer au SEO avec des country managers dédiés [24”35] ;
Gestion multi-boutiques : pourquoi éviter les redirections automatiques pour ne pas fâcher les search robots [32”50] ;
Stratégie d’acquisition : quelle plateforme utiliser pour ses achats média et comment ajuster ses dépenses selon les fluctuations du marché [45”0O] ;
Gestion des stocks : comment utiliser PrestaShop pour faire grandir son catalogue et suggérer le bon produit au bon client [47”50] ;
Headless CMS : optimiser la gestion de son e-commerce avec une multitude de services tout en s’assurant qu’ils communiquent bien entre eux [53”00].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#40 – MaCoque : Se battre contre Amazon en auto-financement et croissance organique
# 128 - Nooz Optics : Facebook Ads et Amazon pour faire 3M€ de CA en 18 mois, avec Alex Doolaeghe
# 126 - Ernesti : devenir l’acteur référent de l’accompagnement de nuit, avec Quentin Zakoian
# 39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an
# 167 - Atteindre les 80 % de repeat en créant le lien parfait entre retail et e-commerce, avec Maxime Richard
# 121 - Série Spéciale Paiement – L’innovation au service de l’inclusion financière, avec Francis Barel de PayPal
# 163 - Multiplier son CA par 20 grâce au marketing d’influence, avec Clark Hassan
Le Digital Native Club
L’ouverture du magasin Amazon style aux US
Deepl, l’API qui simplifie la traduction
Mollie pour le paiement
Delivengo, le service de la Poste pour le shipping
L’épisode avec Theo Lion pour creuser le sujet SEO.
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171 - #171 - Explora Project : Dépoussiérer et désintermédier le voyage organisé, avec Stanislas Gruau
“Je ne vais pas acheter des clients, je vais chercher des membres, non intentionnistes voyage. Je les convertis petit à petit en leur partageant du contenu, en échangeant avec eux. C’est plus lent, mais j’achète mes membres 3 euros au lieu d’acheter mes clients 300”.
Comment est-ce que l’on se lance dans le secteur du voyage, trusté par de très gros acteurs ? Et surtout, comment on en réinvente les codes et le business modèle pour supprimer les intermédiaires et les pratiques pas très éco-responsables ? C’est ce que Laurent Kretz a demandé à Stanislas Gruau, cofondateur du facilitateur d’aventures Explora Project.
Lancé un an à peine avant le premier confinement, Explora Project fédère aujourd’hui une communauté de 170K aventuriers et génère un runway de 3 millions d’euros. Une très belle accélération dans un contexte difficile, mais sur un secteur porteur que Stanislas a su bousculer intelligemment.
De la capitalisation des réseaux sociaux en passant par la création de contenu ultra léché, Stanislas nous partage ses conseils pour réinventer un marché concurrentiel en période de crise. Un épisode pour apprendre comment adosser sa croissance à sa communauté et créer une expérience avant, pendant et après le voyage qui change la vie de ses membres !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Passer de 10 à 30 points de marge brute en devenant le seul intermédiaire entre le guide et le voyageur [05”33] ;
Dépoussiérer le marché de l’aventure organisée en France en investissant les réseaux sociaux [16”23] ;
Lancer un produit qui cartonne en réunissant les 3 grosses tendances du marché : consommation engagée, appel de la nature et besoin de se projeter [28”30] ;
Internaliser sa création de contenu et offrir de l’inspiration plutôt que du push commercial [33”08] ;
Lead nurturer des membres non intentionnistes en segmentant son contenu et faire 21 % de repeat business [47”18] ;
Créer un hub et évangéliser la techno pour 1 000 prestataires travel peu digitalisés et adminophobes [1''01”55] ;
Hacker la Community-led growth en créant un contenu inspirant et incarné et en organisant des rencontres physiques [1”06”42].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 118 - La Marque En Moins : Un peu de transparence dans les produits d’entretien pour séduire 50 000 abonnés, avec Nicolas Simon
# 34 – MisterFly : Comment le rebel des voyagistes en ligne est devenu numéro 2 en 5 ans
Ulysse
# 143 – Club Med : La data et le parcours client, piliers de l’organisation et du marketing, avec Quentin Briard
# 92 – Vintage Rides : Intégrer la scalabilité dans un métier sur-mesure, avec Alexandre Zurcher
Catch-up #10 – Asphalte : Diversification comme moteur d’accélération, avec Rodolphe Gardies
Catch up #20 – Tester sans s’éparpiller en restant fidèle à ses valeurs et sa communauté, avec Quentin Ory
Copines de voyage - le premier projet d’Alix Gauthier, la co-fondatrice d’Explora Project
Welcome to The Jungle
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170 - #170 - Catch-up Pinterest : Guider les consommateurs de l’inspiration à l’acte d’achat, avec Adrien Boyer
“6 utilisateurs de Pinterest sur 10 nous disent qu’ils sont plus enclins à se souvenir et à vouloir acheter les produits d’une marque si elle apparaît dans un environnement positif”.
Après une première incursion dans l’univers de Pinterest, et ses nombreux cas d’usage pour les grands groupes, Laurent Kretz remet le couvert, cette fois-ci avec Adrien Boyer.
Ce catch-up avec le Directeur Général France, Southern Europe & Benelux de Pinterest sera l’occasion de se pencher cette fois-ci sur les fonctionnalités que le réseau social offre aux plus petits e-commerçants, notamment pour créer un contenu inspirant et guider les utilisateurs vers l’acte d’achat.
En quelques années, Pinterest s’est en effet imposé comme le réseau social inspirationnel par excellence. En plus d’avoir peaufiné son expérience de découverte, la plateforme a récemment lancé de nouvelles fonctionnalités qui devraient intéresser les commerçants.
Prédiction des tendances consumers pour l’année prochaine (dont 85 % se vérifient), intégration aux principaux CMS (WooCommerce, Shopify) et facilitation des partenariats avec les créateurs de contenu… Adrien nous explique comment faire de Pinterest un pourvoyeur d’insight conso et de trafic extrêmement qualitatif pour votre e-commerce.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Brand content et activation : capitaliser sur sa présence sur Pinterest sachant que 89 % de ses utilisateurs vont vers l’acte d’achat [11”40] ;
Expérience de marque : pourquoi et comment concevoir une expérience qui soit à la fois qualitative et positive sur Pinterest [18”40] ;
Création d’un funnel d’achat end-to end et sans friction : prendre l’inspiration comme point de départ et descendre vers l’acte d’achat [26”01] ;
Prédiction des tendances : utiliser Pinterest comme un laboratoire des tendances pour l’année à venir et un outil de collecte d’insight conso [34”00] ;
Partenariats entre marques et créateurs de contenu : faire de Pinterest une plateforme de collaboration avec les créateurs [39”18] ;
Lancement d’une marque consumer en 2022 : cartonner dans l’e-commerce en alignant les insights, la création de contenu, les campagnes média et la mesure de leur efficacité [46”00].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#111 - Pinterest : 10 conseils pour vendre mieux et plus grâce à Pinterest, avec Emilie Nguyen
#138 - Bigblue : 10 tips pour booster ses ventes grâce à l’UX post-achat, avec Tim Dumain
L’API de Pinterest pour faciliter l’exportation de votre catalogue sur la plateforme ;
Pinterest Predict - Le laboratoire des tendances
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169 - #169 - Lengow : Le flux e-commerce : passé, présent, futur, avec Frédéric Clément
“Pour être vraiment efficace en tant qu’e-commerçant dans l’environnement actuel, il faut casser tous les silos dans sa boite et malgré tout les faire parler entre eux.”
Tour d’horizon des flux e-commerce dans ce nouvel épisode du Panier. Et qui de mieux pour nous guider que Frédéric Clément, directeur de la stratégie de Lengow, la solution qui permet aux e-commerçants d’exporter leur catalogue là où se trouvent leurs clients présents et futurs.
Dans un marché de l'e-commerce toujours plus complexe, dans lequel s'imbriquent les marketplace, les réseaux sociaux ou encore les comparateurs de prix, la gestion des flux est devenue le nerf de la guerre. Frédéric nous donne les clés pour apprendre à maîtriser et progresser dans l’optimisation de ses flux.
Brique par brique, on verra comment cartonner sur les marketplace, booster ses ventes sur TikTok, ou encore capitaliser sur la tendance du consommer local. Un épisode riche en apprentissages pour mieux appréhender les règles du “Commerce Everywhere” tout en soignant son expérience client.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :
Comprendre ce qu’est un flux en e-commerce et pourquoi il s’agit d’un élément indispensable à l’agilité de votre marque [08”22] ;
Comment cartonner sur les marketplace en utilisant intelligemment les flux [16”45] ;
Ne pas succomber à la tentation d’exporter tout son catalogue sur une marketplace et bichonner l’algorithme [24”25] ;
Booster ses ventes grâce aux Live Shopping sur les réseaux sociaux en lançant des rendez-vous récurrents à ses consommateurs [34”20] ;
Surfer sur la vague du consommer local en utilisant Lengow pour faire le lien entre son e-commerce et les algorithmes de Google Shopping [40”35] ;
Passer en mode test & learn pour optimiser ses flux et expérimenter de nouveaux produits ou marchés [45”28] ;
Apprendre à maîtriser les règles du flux dans un environnement de plus en plus complexe et concurrentiel [49”15].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 141 - Crisp : Passer son service client à l’échelle du réactif au pro-actif, avec Antoine Goret
# 14 - Stockly : Un secret pas si bien gardé : les flux e-commerce
# 163 - Multiplier son CA par 20 grâce au marketing d’influence, avec Clark Hassan
# 149 -Affilae : 5 tips pour réussir sa campagne d’affiliation, avec Alexandre Dos Santos
# Hors série – Avec Rakuten : Toucher 12 millions de consommateurs ultra engagés, avec Fabien Versavau
Mirakl - les évangélisateurs de marketplace
Salesforce pour la prospection commerciale
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168 - #168 - Upway : Devenir le réflexe des vélos électriques reconditionnés, avec Toussaint Wattinne
“Notre état d’esprit, c’est de résoudre des problèmes qui existent et non pas des problèmes qu’on projette et qui devraient arriver à l’avenir. On apprend déjà énormément avec des process relativement simples et les solutions existantes.”
Dans ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz reçoit Toussaint Wattinne pour l’enregistrement de son premier épisode de podcast. Après une belle expérience chez Uber, Toussaint et Stéphane Ficaja se lancent sur le marché ultra prometteur du vélo électrique reconditionné avec la ferme intention d’avoir l’impact le plus positif possible.
En créant Upway, ils hackent le marché de la seconde main en apportant la confiance et l'expertise technique qui font défaut à leurs concurrents. Ils vont surtout développer une marque top of mind, présente dans 4 pays européens, et lever 31 millions de dollars, le tout en moins d’un an.
Toussaint nous explique les secrets de cette exécution lean et efficace. De sa stack technologique à sa stratégie pour lancer un nouveau pays, il nous partage ses leviers d’accélération. Son secret : aller vite et optimiser plus tard. Une belle philosophie qui permet de se concentrer sur l’essentiel tout en offrant un niveau de service client exceptionnel.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Se lancer dans le vélo électrique avec l’objectif d’avoir l’impact le plus positif possible [13”25] ;
S’imposer sur le marché de la seconde main face à des concurrents comme LeBonCoin en créant de la confiance [22”35] ;
Lever des fonds avant de prouver sa traction en mettant en avant son équipe et l’opportunité business [32”30] ;
Grandir vite et optimiser plus tard (tout en se rapprochant à 80 % de l’expérience client idéale) en ne cherchant pas à réinventer la roue [39”45] ;
Devenir une marque top of mind en diversifiant ses canaux d’acquisition (content, social, PR et Google Shopping) [49”10] ;
Faciliter son expansion à l’étranger en se lançant sur des marchés matures et en recrutant les bons profils de launcher [56”05] ;
Apprendre de ses erreurs pour ne pas poser de limite à ses ambitions ni à aux moyens de les atteindre [1”06”18]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
# 93 -Teebike : R&D et distribution en Chine puis en Europe : les secrets de cette startup qui redonne vie à nos vieux vélos, avec Laurent Durrieu
# 150 - Cowboy : Réinventer la roue et se lancer dans le hardware connecté, avec Tanguy Goretti
Les aides disponibles en France pour acheter un Vélo à Assistance Électrique (VAE)
Le fond d’investissement Sequoia
Alma, la solution qui permet d'intégrer le paiement fractionné
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167 - #167 - Nuoo : Atteindre les 80 % de repeat en créant le lien parfait entre retail et e-commerce, avec Maxime Richard
“La boutique est un centre de profit en tant que telle. Et en plus, elle génère de l'acquisition : d’où le CAC négatif. D’habitude un CAC, c’est un coût réel. Si le point de vente a un PNL profitable et qu’il me rapporte des clients, cela veut dire que ces clients ne m’ont rien coûté. “
Après les années COVID, la fête est loin d’avoir repris pour l'e-commerce, qui connaît pour la première fois une stagnation, voire même une baisse des ventes. En 2022, les marques qui tiennent le cap sont principalement celles qui ont fait le choix de l’omnicanalité, et créent des ponts entre leurs boutiques physiques et leur eshop. C’est notamment le cas de Nuoo, dénicheur de cosmétiques naturels, qui après 6 ans d’existence compte déjà 6 boutiques.
Laurent Kretz a échangé avec son co-fondateur, Maxime Richard, pour décrypter le succès de sa stratégie omnicanale. Ce primo-entrepreneur nous guide à travers l’histoire de Nuoo, de son lancement en 2015 à un CA de 5 millions en 2022, en passant par l’ouverture de sa première boutique en 2017.
Maxime nous partage sa recette pour faire de ses points de vente physiques un puissant moteur d’acquisition, et atteindre le Graal des CAC négatifs. Il nous explique également comment ritualiser chaque ouverture pour rentabiliser ses boutiques en moins d’un an. Pour finir, il nous donne les 4 briques essentielles que tout e-commerce doit maîtriser pour espérer avoir un taux de repeat de 80 %.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Soigner ses 150 premiers abonnés pour collecter des insight conso et ne pas se fier uniquement à son instinct (et ses biais cognitifs) [13”15] ;
Gérer l’intensité concurrentielle dans le secteur cosmétique en misant sur son catalogue et son équipe [31”17] ;
Doubler son CA digital par ville après chaque ouverture de boutique et faire des CAC négatifs [37”30] ;
Location, Location, Location : éviter le piège de l’emplacement lorsque l’on ouvre une boutique [45”35] ;
Acheter au bon prix, bien stocker, bien vendre et bien livrer : les 4 briques de l’e-commerce pour un taux de repeat de 80 % [49”00] ;
Faire de la gestion de ses stocks et des taux de rupture la KPI North Star de son eshop [55”10] ;
Apprendre de ses erreurs et puiser dans l’expérience des autres e-commerçants pour surmonter le repli de l’e-commerce en 2022 [1”04”30]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#159 - Revenir au « Why » pour digitaliser son business moto, avec Ariel Walker
# 92 - Vintage Rides : Intégrer la scalabilité dans un métier sur-mesure, avec Alexandre Zurcher
# 90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme Filippi
Shippingbo : la solution toulousaine de gestion d’entrepôt/emplacement et de shipping.
Stocky : pour gérer les stocks (achat) éviter les taux de rupture.
LoyaltyLion : pour booster la fidélité de ses clients
Klaviyo pour l’emailing
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175 - Hors série - Avec Rakuten : Toucher 12 millions de consommateurs ultra engagés, avec Fabien Versava
“Notre projet n’a jamais été de devenir le premier retailer au monde. Il a toujours été, au départ, de créer une plateforme d’e-commerce. Et ensuite un écosystème de services pour pouvoir accompagner la mutation de la consommation et la digitalisation des commerçants.”
Ce nouvel épisode du Panier vous est proposé en partenariat avec Rakuten, la première place de marché B2B2C en France. L’occasion pour Laurent Kretz d’échanger avec son CEO français, Fabien Versavau. Ensemble, ils évoquent l’histoire de la plateforme depuis sa création au Japon en 1997 ainsi que sa palette de services à destination des e-commerçants.
Forte de son approche partenariale, Rakuten a en effet développé des outils ultra puissants pour permettre aux commerces d’entamer leur transition digitale. Mais surtout de vendre mieux et plus (une mission qui fait écho à celle de ce podcast).
Fabien nous explique notamment comment Rakuten a adossé sa croissance à la rétention plutôt qu’à l'acquisition de nouveaux clients. Mais aussi comment la plateforme s’est développée main dans la main avec ses partenaires, gardant pour objectif d’améliorer leurs process sans cannibaliser leur business.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous découvrirez les solutions de Rakuten pour :
Propulser la croissance de son e-commerce en l’adossant à une communauté de plus de 12 millions d’acheteurs [17”00] ;
Proposer une expérience d’achat sans couture avec les Rakuten points : le premier programme de fidélité gratuit en France [20”42] ;
Insérer son offre dans un parcours client ultra diversifié (de l’achat à la vente) et incentiver ses clients à chaque étape grâce au cashback [24”05] ;
Booster son taux de conversion et la lifetime value de ses clients sans enrichir les régies publicitaires ni rogner ses marges [30”30] ;
Créer son catalogue sur Rakuten sans cannibaliser son e-commerce existant en co-construisant son product/market fit avec la plateforme [36”00] ;
Gérer de manière transparente toute sa logistique sur une seule et même interface grâce au Rakuten Fulfillment Network [50”50] ;
Vendre mieux et plus en acceptant le changement, en embrassant l’omnicanalité et en s’appuyant sur la communauté Rakuten [55”10]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Pourquoi le principe de “Location, Location, Location” s’applique aussi à l’e-commerce
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166 - #166 - Dixit : Comment lancer un jeu de société et en vendre 10 M d’exemplaires, avec Régis Bonnessée
“Les meilleurs jeux se diffusent uniquement sur de la viralité. Sur les 800 jeux qui sortent par an, de façon naturelle, tu en auras peut-être 10 qui seront extraordinaires et qui vont se vendre énormément sans qu’il ait été fait une campagne de promotion spéciale”.
Ce nouvel épisode du Panier est un peu spécial. On s’éloigne légèrement de l’e-commerce pour plonger la tête la première dans un nouvel univers : celui du jeu de société. Pour en comprendre tous les rouages, Laurent Kretz échange avec Régis Bonnessée, fondateur d’Equinox et de Libellud Digital, et co-créateur du best-seller Dixit.
En moins de 15 ans, Dixit s’est écoulé à plus de 10 millions d'exemplaires. Un carton plein pour cet historien de formation qui s’est lancé dans l’édition de jeux de société en autodidacte.
Régis nous explique quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne, les différents maillons de la chaîne (de la conception à la distribution) et comment les acteurs du secteur se partagent ce gâteau de près de 30 milliards de dollars.
On ne s’éloignera finalement pas tant que ça de l’ e-commerce, puisque Régis évoquera aussi les bonnes stratégies de marketing et distribution, l’option de l’auto-édition, et surtout l’évolution hybride d’un milieu pas aussi conservateur qu’il en a l’air !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Créer un jeu qui s’écoulera à 10 millions d’exemplaires en misant sur la créativité et l’onirisme [3”30] ;
Réussir dans un domaine complètement nouveau en étant curieux de tout et passionné de rien [14”45] ;
Trouver sa place dans la chaîne de valeur et cartonner en tant qu’éditeur de jeux de société [19”00] ;
Transformer les joueurs en ambassadeurs et impulser une dynamique de viralité [28”20] ;
Choper des insights conso et rencontrer ses futurs partenaires en écumant les salons spécialisés [34”50] ;
Parler de son idée à un maximum de personnes pour mieux la protéger [39”20] ;
Opérer la transition vers une hybridation des jeux de société sans chercher à innover pour innover [44”35]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#164 - Tester sans s’éparpiller en restant fidèle à ses valeurs et sa communauté, avec Quentin Ory
# 138 - Bigblue : 10 tips pour booster ses ventes grâce à l’UX post-achat, avec Tim Dumain
Unlock - Le premier jeu hybride qui a cartonné en France
Story Book Brawl - le jeu de carte qui a essuyé un backlash suite à l’introduction des NFT
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165 - #165 - Pazzi : Inventer la cuisine automatisée de demain, avec Philippe Goldman
“Nos innovations partent toujours des objets du quotidien. Quand t’as des sous tu vas voir un bureau d’étude, et quand t’as pas de sous tu vas chez Decathlon. C’est la leçon de l’histoire”
Comment révolutionner notre approche de la cuisine dans un pays où le consommateur tient autant à son resto gastro qu’à son McDo ?
C’est la question à laquelle Laurent Kretz tente de répondre dans cet épisode du Panier. Une discussion passionnante avec Philippe Goldman, CEO de Pazzi, la pizzeria automatisée, et de Pazzi Robotics, la startup qui automatise la restauration rapide
Après une première vie d’entrepreneur dans la beauté, Philippe saute à pied joint dans le monde de la pizza. Il rejoint les deux fondateurs de Pazzi, Cyril et Sébastien, en 2017, alors que ces derniers en sont encore à perfectionner leur bras robotisé dans le garage familial.
Il leur apportera son expérience pour transformer leur bonne idée en bonne pizza. Mais surtout pour disrupter le monde de la restauration (un secteur qui pèse 800 milliards de dollars), en pleine crise de désertion suite à la pandémie.
Philippe nous fait entrer dans les coulisses de la robotique, et nous explique comment préparer une bonne pâte à pizza avec une pompe à matelas et un abat-jour. Il nous explique aussi comment son robot pizzaiolo pourra demain soulager l’humain des tâches répétitives en cuisine et faire gagner aux restaurateurs 35 % de leur chiffre d’affaires.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Se lancer dans la cuisine automatisée sans bagage tech ou food, mais avec une vision hélicoptère des opérations [9”38] ;
Miser sur le show cooking pour divertir, éduquer et rassurer ses consommateurs [16”10] ;
Expérimenter dans les rayons de Decathlon pour perfectionner son robot sans faire exploser son budget R&D [19”30] ;
Rompre avec l’approche du Better Sameness pour participer à une réelle invention [24”45] ;
Disrupter un marché de 800 milliards et répondre à la désertification des cuisine grâce à la robotique [38”42] ;
Prendre le temps de maîtriser l’inconnu pour automatiser des cuisines complexes [47”35] ;
Développer une franchise de cuisines automatisées de seulement 25m2 [1”00”05]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#113 - DĒVOR : La cuisine est-elle morte ? avec Jean Valfort
#74 - L’enjeu d’une scale-up – Donner du sens pour accélérer à l’international Boubon, Feed
#145 - Jow : La bataille des parts d’estomac pour occuper la cuisine, avec Jacques-Édouard Sabatier
#153 – Merci Handy : Rendre le monde ordinaire extraordinaire, avec Louis Marty
#164 - Tester sans s’éparpiller en restant fidèle à ses valeurs et sa communauté, avec Quentin Ory
Le passage de Philippe dans le podcast La combinaison
BPI excellence - Le partenaire financier et opérationnel de Pazzi
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164 - #164 - Catch-up Les Mini Mondes : Tester sans s’éparpiller en restant fidèle à ses valeurs et sa communauté, avec Quentin Ory
“ On explore beaucoup de sujets en même temps, en ayant conscience que ça peut être risqué. Mais on sent qu’il y a quelque chose de super puissant à faire autour de cette licence. donc on s’accorde quelques pas de côté. Ça rend l’aventure d’autant plus excitante, car elle ne ressemble pas à ce que peuvent créer beaucoup de boîtes. “
2 ans et demi se sont écoulés depuis la dernière rencontre entre Laurent Kretz et Quentin Ory. Les Mini Mondes ont bien évolué dans ce laps de temps, passant d’une idée un peu fun autour de jouets fabriqués en France à une licence créative, et bientôt une série animée.
Pour opérer cette transition, sans perdre de vue sa North Star, Quentin a dû trouver le bon équilibre. Pas facile en effet de tester beaucoup de choses (des aires de jeux en passant par une application dédiée aux familles) tout en restant fidèle à ses valeurs et sa mission première : éduquer et éveiller les enfants.
Dans ce catch-up, il nous partage ses conseils pour garder le cap. Mais aussi ce que lui ont appris ces 2 années de commercialisation, en matière de création d’une licence, de partenariats avec ses marques affinitaires, de distribution et de marketing éthique.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Levée de fonds : prendre les conseils qui nous sont partagés sans se laisser désorienter [08”55] ;
Création d’une licence : penser sa bible littéraire et graphique et faire des parents les prescripteurs de son univers [15”22] ;
Partenariats : se rapprocher de marques affinitaires en leur apportant une caution de bon sens sur des sujets difficiles à aborder [19”46] ;
Distribution : diversifier ses stratégies d'acquisition en adoptant une véritable approche omnicanale [27”30] ;
Marketing : mettre du sens dans sa stratégie tout en maintenant sa croissance en investissant dans sa communauté [32”00] ;
Stratégie de développement : garder le cap et suivre ses intuitions en misant sur le test and learn avec des budgets minimes [40”53].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
#161 – D’une bonne idée à une marque – la transformation de Morphée en 2 ans, avec Charlie Rousset
#158 – Unbottled : x20 en 1 an en restant humble, avec Benjamin Legros
Eutopia - le fonds responsable qui a investi dans Les Mini Mondes
Gulli Parc - l’inspiration de Quentin pour ses futures aires de jeu
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163 - #163 - Clarosa : Multiplier son CA par 20 grâce au marketing d’influence, avec Clark Hassan
“Aujourd’hui, l’argent n’est pas un problème, même si tu n’en a pas. On peut toujours commencer petit !”
Qu’est-ce qui passe par la tête de Clark Hassan pour partir à 17 ans, seul avec son sac à dos, faire le tour des usines en Asie ? 6 mois plus tard, il lance Clarosa, qui est devenu en moins de 7 ans l’un des leader digital de la chaussure à prix cassé.
Dans ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz décrypte avec Clark le succès de sa marque. En 2022, Clarosa comptabilise 15 millions de CA, a fédéré plus d’un demi-million de clientes fidèles et a écoulé 1,2 million de paires depuis sa création.
Un bel exploit pour un jeune entrepreneur qui s’est formé sur le tas et a su miser sur les bons leviers marketing. Il nous explique sa stratégie pour multiplier son CA par 20 avec le marketing d’influence et comment vendre plus grâce au Live Tik Tok.
On parle aussi logistique et tech, pour comprendre comment Clarosa gère l’ajout de 100 nouvelles références par semaine et pourquoi la marque a fait le pari de lancer sa propre application !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Lancer son e-commerce à 17 ans avec 5 000 euros en poche et aucune levée de fonds [4”49] ;
Passer de 3K à 60K de CA mensuel en misant sur l’influence sur Snapchat [17”35] ;
Faire décoller sa marque sur TikTok grâce aux lives et aux micro-influenceurs [23”25] ;
Gérer plus de 300 commandes par jour en internalisant sa logistique et en diversifiant ses prestataires de livraison [32”15] ;
Améliorer son expérience utilisateur et booster ses ventes en choisissant les bons outils [51”10] ;
Cartonner avec une pub à la télévision et attirer 10K de visiteurs sur son site [54”05] ;
Grossir vite et maîtriser ses marges avec une équipe de seulement 15 personnes et des freelances[1”10”20]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#160 - Clear Fashion : Rendre la mode plus transparente et responsable, avec Rym Trabelsi
#124 EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?
Octoly, pour la micro-influence
Tapcart, pour lancer son app e-commerce
ContentSquare, pour améliorer son expérience client
Klaviyo, pour segmenter sa base
Thomas Khaski, qui a coaché Clark et a fait l’introduction avec Le Panier
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162 - #162 - Castorama : Symétrie des attentions et futur du retail : comment consolider le lien conso, avec Romain Roulleau
“ L’enseignement de cette transformation : c’est d’appliquer les méthodes du digital, de tester, d’apprendre, d’échouer et d’ajuster”.
La transformation digitale a complètement bouleversé le modèle du retail, bouleversant les modes de consommations et donc de distribution.
Pour évoquer les enjeux de cette transformation à marche forcée suite à la crise du Covid, Laurent Kretz a eu la chance d’échanger avec Romain Roulleau, Chief Marketing, Digital & Customer Officer chez Castorama et Digital Strategist pour Kingfisher. Une rencontre qui n’aurait d’ailleurs pas été possible sans l’introduction du One to One Monaco !
Romain débarque fin 2019 chez Castorama, avec pour mission de renouveler le positionnement et la proposition de valeur de l’une des marques les plus appréciées des français. Quelques mois plus tard : c’est l'annonce du premier confinement !
Dans cet épisode, il partage avec nous sa stratégie d’adaptation lorsque le business as usual n’est tout simplement plus une option. Romain nous explique comment opérer sa transformation digitale en embarquant ses équipes et ses clients, mais surtout en maintenant l’expérience magasin au centre !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Migrer vers le digital en adaptant son expérience online aux besoins de ses clients [14”55] ;
Réagir en temps de crise en montant un système de drive sans contact en moins de 15 jours sur plus de 2 000 magasins [19”10] ;
Adopter une approche de Test & Learn dans le retail physique [30”10] ;
Insuffler le changement culturel du digital à ses équipes [41”56] ;
Passer à une logique omnicanale en offrant une expérience d’achat la plus constante possible [45”15] ;
Faire plus de 50 % de son CA grâce au mobile en apportant de réelles innovations en termes de parcours client [57”47] ;
Maintenir une attache forte avec ses clients malgré une relation distendue et en pointillé [1”10”30]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#143 - Club Med : La data et le parcours client, piliers de l’organisation et du marketing, avec Quentin Briard
Need Help - La plateforme collaborative rachetée par Castorama
L’épisode 244 de Génération DIY avec Guillaume de Kergariou, fondateur de Need Help
18h39.fr - Le site de tuto et conseils bricolage de Castorama
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161 - #161 - Catch-up Morphée : D’une bonne idée à une marque - la transformation de Morphée en 2 ans, avec Charlie Rousset
“Tu vois la différence entre une bonne idée et une marque. Une marque va vraiment se fédérer autour de l’idée avec des objectifs communs et une ligne d’horizon. Au début, on était une bonne idée, et on est en train de devenir une marque.”
La dernière rencontre entre Laurent Kretz et Charlie Rousset, le cofondateur de Morphée, date d’il y a deux ans. Et en deux ans, beaucoup de choses ont changé. Du boîtier déconnecté qui améliore la qualité de notre sommeil, Charlie et Guillaume Barathon, ont fait une véritable marque.
Une très belle marque même, puisque Morphée est passé d’un CA de 500K à 12 millions d’euros. Elle a aussi conquis 300K d’utilisateurs, multiplié ses effectifs par 6, sorti 3 nouveaux produits et consolidé un réseau de plus de 1000 distributeurs…
Une véritable métamorphose donc, qui donne un catch-up riche en apprentissages. Charlie Rousset nous partage notamment ce qu’il a appris en matière de conception produit, de distribution, de marketing et de lancement à l’étranger.
Il nous explique surtout comment passer d’une bonne idée à la consolidation d’une vraie marque et pourquoi faire de son ADN une boussole pour saisir les bonnes opportunités.
Dans ce nouvel épisode du panier, vous trouverez des apprentissages en :
Plateforme de marque : trouver le bon équilibre entre rigidité et flexibilité pour choisir les bonnes opportunités tout en continuant d’évoluer [11”38] ;
Logistique : éviter les ruptures de stock en pleine crise des composants en constituant des stocks critiques [15”50] ;
Conception produit : maltraiter son produit et être ultra rigoureux sur les tests avant de lancer la production de masse [33”10] ;
Distribution : Less is more ou pourquoi choisir des points de vente qui te correspondent [37”30] ;
Développement à l’étranger : adapter son produit au marché et travailler avec des distributeurs locaux quitte à sacrifier sa marge [41”05] ;
Marketing : face à la flambée du CAC, apprendre à moins dépendre de l’acquisition payante et savoir quand ouvrir les vannes [56”OO].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois
Catch up #18 – Mieux que des fleurs : Réagir face à la crise et lancer une nouvelle offre en 10 jours, avec Joseph Ayoub
# 74 – Feed : L’enjeu d’une scale-up – Donner du sens pour accélérer à l’international
# 139 –Sunday Love : Du love, du hardware, du software et 3M€ en 2 ans, la recette de Nelly Meunier
#67 - Sodilog : Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord avec Jacques Masson
#114 - Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
Business France - pour trouver des distributeurs à l’étranger
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160 - #160 - Clear Fashion : Rendre la mode plus transparente et responsable, avec Rym Trabelsi
“Si on est utile, on trouvera un modèle”.
Pour ce nouvel épisode du Panier, Laurent Kretz échange avec Rym Trabelsi, cofondatrice de Clear Fashion.
Lancé en 2019, Clear Fashion s’est donné pour mission d'apporter de la transparence dans le secteur de la mode via un système de scoring. Une mission qui fait écho aux attentes des consommateurs, qui sont plus de 300K à utiliser l’application pour s’informer sur les pratiques éco-responsables des marques.
Rym Trabelsi revient sur la genèse du projet Clear Fashion et nous explique comment allier la défense d’une belle cause et la création d’une entreprise rentable. Elle nous partage aussi ses bonnes pratiques en matière de co-création, et comment Clear Fashion à développer sa méthodologie d’évaluation en s’appuyant sur les insights des consommateurs, des marques et des chercheurs.
On verra également comment devenir la référence dans son domaine et faire bouger les lignes dans l’univers très opaque de la mode. Le tout en restant non seulement bienveillant, mais aussi rentable !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Définir le business model d’une entreprise à mission [16”35]
Fédérer une communauté avant même de se lancer et booster sa croissance grâce aux insight conso [23”32]
Collecter de la donnée et inciter les marques à coopérer en portant la voix de ses utilisateurs finaux [25”39]
Devenir une pro de la levée de fonds avec un background d’ingénieur agronome en s’entourant des bonnes personnes [32”02]
Rester indépendant tout en générant des revenus [51”05]
Devenir une référence et participer à rendre obligatoire la transparence en maintenant sa plus-value [54”00]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#126 - Ernesti : devenir l’acteur référent de l’accompagnement de nuit, avec Quentin Zakoian
#110 - Too Good To Go : Sauver 80 millions de repas dans 18 pays du monde en 5 ans, avec Georges Abi-Heila
#158 -Unbottled : x20 en 1 an en restant humble, avec Benjamin Legros
#32 – Faguo : 12 millions de CA et 1,5 million d’arbres plantés
L’incubateur à impact Make Sense
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159 - #159 - Ipone : Revenir au "Why" pour digitaliser son business moto, avec Ariel Walker
“La finalité c’est le Pourquoi tu es là. Si demain tu disparais, est-ce que tu vas manquer à quelqu’un ? ”
Ce nouvel épisode du Panier est un peu particulier. C’est son invité, Ariel Walker, DG d’Ipone, qui l’a en quelque sorte initié en contactant Laurent Kretz sur LinkedIn pour le féliciter de la qualité du podcast ! Mais aussi parce qu’ils sont tous les deux de grands fans de moto : le cœur de métier de cette entreprise française, basée à Aix en Provence !
Ariel revient sur le challenge qui lui a été confié lorsqu’il en prend la direction générale en 2018 : à savoir digitaliser un business 100 % brick and mortar et accélérer son expansion à l’international. Le tout en conservant les valeurs fortes de la marque.
Des enjeux complexes, qu’Ariel va relever avec succès (avec notamment une belle croissance de 30 % en 2021) en revenant au Why de l'entreprise.
Au-delà des bonnes pratiques marketing et des apprentissages tech qu’il nous partage dans cet épisode, Ariel nous invite surtout à questionner l'utilité de chacune de nos actions, non seulement pour créer une réelle connexion avec ses clients. Mais aussi et surtout pour faire du message et de l’image de sa marque des assets ultra puissants !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Apprendre à connaître ses clients finaux quand on passe du B2B au Direct to Consumer [16”40]
Anticiper le futur de son secteur pour “ne pas devenir le Kodak de la moto” [18”57] ;
Digitaliser un business à 98 % physique et faire progresser ses ventes en boutique en parallèle du CA de son e-commerce [22”42] ;
Capitaliser sur la puissance des réseaux sociaux (et un taux d’engagement de 20 %) en misant sur une verticale de passion [30”47].
Aller chercher ce qui se fait ailleurs pour en tirer des enseignements applicables à son domaine [37”25]
Start with the Why pour renforcer son storytelling et sa plateforme de marque [41”25]
Cartonner à l’international avec une équipe de 3 personnes en trouvant les bons importateurs [52”17].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#92 - Vintage Rides : Intégrer la scalabilité dans un métier sur-mesure, avec Alexandre Zurcher
#116 - Raid Amazones et les 12 vies d’Alexandre Debanne
#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement
#37 – Merci Handy : Produits cleans, licornes, arcs-en-ciels et 3 millions de produits vendus en 2019
#128 –Nooz Optics : Facebook Ads et Amazon pour faire 3M€ de CA en 18 mois, avec Alex Doolaeghe
Le cabinet de tendance REC
Simon Sinek, Start with the Why
“Si vous n’avez pas honte de votre produit, c’est que vous l’avez sorti trop tard”. (Reid Hoffman, co-fondateur de Linkedin, cité par Loic Le Meur)
Les outils utilisés par Ariel : Figma (éditeur de graphiques vectoriels et outil de prototypage) et Gatsby (logiciel de gestion de contenu)
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166 - Hors-série - Avec Prestashop : 20M€ de CA en bijouterie et horlogerie, avec Grégory Pairin de Ocarat
“Quand tu es satisfait, il n’y a pas de raison de partir… L’herbe n’est pas toujours plus verte ailleurs”
Laurent Kretz inaugure le premier épisode d’une nouvelle série en partenariat avec Prestashop. L’occasion de recueillir des bonnes pratiques auprès d’e-commerçants qui utilisent le CMS, mais aussi et avant tout des experts dans leur domaine.
Et ça commence fort avec Grégory Pairin, co-fondateur d’Ocarat, premier pureplay de la bijouterie et de l'horlogerie de marque. En 10 ans, Ocarat est devenu l’un des acteurs incontournables dans son domaine, passant d’une dizaine de produits à plus de 35 000 références. Ocarat, c’est aussi plus de 20 millions d'euros de CA en 2021, une équipe de 80 salariés, une boutique rue de Rivoli et 500 000 visiteurs uniques chaque mois !
Avec cet ROIste chevronné, qui a complètement hacké le référencement naturel et fait de Google son meilleur ami, on parle stratégie éditoriale, optimisation onsite/offsite ou encore marketing éthique.
On se penche aussi naturellement sur son utilisation de Prestashop. Grégory nous explique comment il a fait évoluer son e-commerce avec la solution open-source, tirant au mieux parti de ses outils tout en gardant une approche très doer.
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Se faire une place dans le marché très fermé de la bijouterie sans aucun background [8”15]
Comment cracker le référencement naturel et être en top position sur Google pour un mot-clé prioritaire comme “Montre” [24”03] ;
Trouver le bon équilibre entre conversion et marketing éthique [28”30].
Garder une approche user-centrics pour booster la qualité de son service et s’inscrire dans le cycle de vie de ses clients [40”25]
L’importance de rester fidèle à son CMS tout en l’adaptant à ses besoins [47”00]
Comment unifier son commerce multisite/multishop en créant ses propres outils en interne [55”50].
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois
Very Good Lord - le blogueur avec lequel Ocarat fait de l’affiliation
Les add-ons Prestashop utilisés par Ocarat : StoreCommandeur (pour la gestion/édition en masse), MyEasyERP (pour optimiser la gestion de ses stocks, qui n’existe plus aujourd’hui)
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158 - #158 - Unbottled : x20 en 1 an en restant humble, avec Benjamin Legros
“ Le facteur chance est extrêmement important et c’est pour ça qu’il faut toujours rester super humble ”
Derrière chaque success story, il y a les décisions que l’on prend, mais aussi une grosse part de chance ! Et Laurent Kretz a justement eu la chance d’être le premier à enregistrer un podcast live avec Benjamin Legros, fondateur d’Unbottled. Il nous y partage la recette du succès pour une marque Direct To Consumer en 2022. Et comment créer les conditions propices à un alignement des étoiles !
En seulement un an, Unbottled - l’entreprise à mission qui veut libérer notre salle de bain du plastique grâce aux produits solides - a multiplié son nombre de commandes par 20 ! Elle peut aussi compter sur une communauté ultra engagée et affiche fièrement ses 25 000 avis pour une note de 4,8/5 !
Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des best practices pour :
Choisir le bon associé et apprendre à le connaître en 100 questions [13”30]
Amorcer une marque à succès avec un auto-financement de 40 000 euros [20”50] ;
Lancer un nouveau produit (et écouler 5 000 pièces en 24h) en activant votre base client [45”15] ;
Déterminer si la distribution est un passage obligé pour votre business et négocier avec un géant du retail pour décrocher 1 000 points de vente [57”00].
Booster votre CA en misant sur la qualité de vos produits et en faisant 40 % de repeat [59”20]
Lancer une marque Direct To Consumer en 2022 [1”11”05]
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#27 – Nidé.co : Co-créer des produits cosmétiques à partir de véritables besoins
#138 – Bigblue : 10 tips pour booster ses ventes grâce à l’UX post-achat, avec Tim Dumain
#99 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien Foiret
#124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Goshaba - la solution pour tester ses soft skills (ou celles de son futur associé)
Le passage d’Unbottled dans l’émission “Qui veut devenir mon associé ?”
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157 - #157 - River Home Deco : Écouter son marché pour créer une offre percutante, avec Charlotte Sineau
Le sujet : Assignés à résidence pour cause de confinement, les Français sont de plus en plus nombreux à investir dans leur intérieur. Un investissement qui a donné un coup de boost au marché du mobilier et de la décoration, incitant les nouveaux arrivants à diversifier leur proposition de valeur. Dans cet épisode du Panier, Laurent Kretz rencontre une entrepreneuse qui a su créer une offre unique pour répondre aux besoins de ses personas, tout en se démarquant de la concurrence.
L’invitée : Charlotte Sineau a fait ses armes dans l’univers du mobilier et de la déco, notamment en tant que Chef Produit chez Maison du Monde. Riche de son expérience, elle a co-fondé River Home Déco en 2020 avec Rob Spiro, le serial-entrepreneur derrière le startup studio Imagination Machine.
River Home Deco est une plateforme offrant un service de conseil en décoration - en B2C et B2B - 100% digital. C’est aussi une marketplace sur laquelle les clients peuvent accéder à un catalogue de plus de 15 000 produits, sourcés en France et en Europe auprès de fournisseurs responsables.
Charlotte Sineau revient sur la genèse de son projet et comment elle s’est appuyée sur les insights consommateurs pour articuler son offre actuelle (et atteindre 6 millions de CA en année 3). Un épisode dans lequel on trouvera de précieux enseignements pour laisser la data orienter son business.
# Comprendre son marché : Charlotte a réalisé des centaines de panels clients et testé presque autant d’idées avant de définir son offre actuelle. Elle a su s’appuyer sur une communauté ultra engagée pour cibler ses besoins plutôt que de se fier uniquement à son instinct. “Quand il y a de la data, il n’y a pas de discussion, c’est le marché qui parle !”
# Acquisition : River Home a convaincu plus de 4 000 clients en capitalisant sur son offre initiale gratuite. Une stratégie d’inbound qu’elle a lead-nurturé (cad chouchouter les prospects qui ne sont pas encore prêts à passer à l’achat) en soignant son expérience client pour booster ensuite son panier moyen.
# Différenciation : Sur le marché ultra saturé du mobilier, River Home Deco se démarque par le sourcing responsable de ses produits. La plateforme permet de suivre à la trace la provenance de ses meubles et de se créer un intérieur non seulement stylé, mais moins pollué !
# Automatisation : Dans un secteur Human Intensive comme celui du conseil déco, River Home réfléchit aux leviers qui lui feront gagner du temps tout en maintenant une offre ultra personnalisée. Un impératif pour la marque, la personnalisation permettant de multiplier son panier moyen par 10.
# Réseau : Véritable Yes woman, Charlotte Sineau nous invite à ouvrir nos chakras pour ne pas laisser filer les opportunités. Et surtout ne pas hésiter à parler de son projet pour les attirer. Ou, comme disait Coco Chanel “Prenez mes idées, j’en aurais d’autres”.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Imagination Machine , le startup studio créé par le co-fondateur de River Home Deco
Stitch Fix, la marque de prêt-à-porter américaine qui mise elle aussi sur la personnalisation.
Les collectifs Bien chez moi et Toit à moi, via lesquels Charlotte a réussi à convaincre ses premiers fournisseurs.
Le marché des meubles éco-responsables
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156 - #156 - Catch up Mieux que des fleurs : Réagir face à la crise et lancer une nouvelle offre en 10 jours, avec Joseph Ayoub
À l’occasion d’un nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, retrouve un invité du Panier. Ensemble, ils font le point sur le chemin parcouru depuis leur dernière discussion.
En juin 2020, Joseph Ayoub sortait tout juste d’une période qui avait tout changé pour lui. Dans l’épisode #43 du Panier, le cofondateur de l’e-shop Mieux que des fleurs racontait ses premiers succès malgré les contraintes du premier confinement. Entre sa création en 2015 et son passage dans Le Panier, la plateforme avait déjà envoyé plus de 100 000 colis surprises.
Aujourd’hui, en avril 2022 et presque deux ans plus tard, son chiffre d'affaires a encore été multiplié par 4,5 en B2C et par 5 en B2B. L’entreprise a choisi d’adapter son offre de façon à ne pas être de simples vendeurs de ballons, mais plutôt “une façon cool d’envoyer un peu d’amour à ses proches”.
Retour sur les enseignements tirés de cette success story : dans cet épisode, on parle de…
# Diversification de la gamme et développement de nouveaux produits pour mieux répondre aux ruptures de stock des confinements. Avec la CoolBox et les nouveaux cadeaux personnalisés, chaque colis est unique.
# Recrutement et collaboration avec de jeunes auto-entrepreneurs via la plateforme StaffMe. En effet, selon la saisonnalité, les besoins logistiques évoluent au long de l’année : fête des mères, des grand-mères, Noël…
# L’importance du travail de SEO en supplément des campagnes Facebook et Google Ads. Si Joseph Ayoub pouvait faire quelque chose différemment, il répartirait mieux ses investissements en termes d’achat média.
# La place du B2B dans l’offre de la marque. En deux ans, ce marché est passé de 15% du chiffre d’affaires à 5-10%. Il suffit de quelques contrats pour atteindre ces chiffres : une campagne de 3000 colis pour le Crédit Agricole, une autre pour Coca-Cola… Mieux que des fleurs se concentre pour le moment sur le B2C.
# Taux de réachat impressionnant. Le repeat est de 24%, ce qui signifie qu’un client sur 4 commande à nouveau sur le site sous 90 jours. Joseph Ayoub juge qu’un consommateur satisfait, notamment grâce au efforts de Mieux que des fleurs niveau packaging, produits et parcours client, achète encore plus facilement la fois suivante.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
Mieux Que Des Fleurs : d’un side project en test and learn à 100 000 commandes en 3 ans.
EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme Filippi
Affilae : 5 tips pour réussir sa campagne d’affiliation, avec Alexandre Dos Santos
GPT-3, OpenAI
izia.co
Pour contacter Joseph Ayoub :
LinkedIn : Joseph Ayoub
Mail : joseph@bigkids.fr
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155 - #155 - Hors Normes : Comment en finir avec le gaspillage alimentaire, avec Sven Ripoche
Le sujet : 1/3 des produits alimentaires dans le monde n’est pas consommé. Lutter contre le gaspillage alimentaire est l’un des enjeux de cette décennie. Dans cet épisode du Panier, Laurent Kretz, cofondateur de Cosavostra CosaVostra reçoit un invité dont l'ambition principale est de lutter contre ce fléau.
L’invité : Sven Ripoche a co-fondé la société Hors Normes aux côtés de Grégoire Carlier et Claire Laurent.
Créé en 2020, le site Hors Normes commercialise des paniers de fruits & légumes bio français à prix réduit. La société a pour vocation de sauver la marchandise mise de côté par les agriculteurs qui pourront, par ailleurs, grâce à cela, percevoir une autre source de revenu.
Sven Ripoche revient sur les raisons pour lesquelles il s’est lancé dans ce projet éco-responsable, ainsi que sur leurs différents défis.
# Anti-Gaspi. Près de la moitié des productions de fruits et légumes ne sont pas commercialisées par les agriculteurs car elles ne rentrent pas dans les critères esthétiques attendus. Hors-Normes propose de reprendre leur marchandise non commercialisée et de concevoir avec, des paniers de saison bio et disponibles chaque semaine.
# Prix. Avec la crise sanitaire, le budget moyen que les Français allouent pour l’alimentation a été réduit. Hors Normes promet à ses clients de payer en moyenne 40% moins cher pour des produits bio de saison.
# Crowdfunding. Leur campagne Ulule a été une véritable réussite (400%). Ils ont également réalisé une levée de fonds d’1 million d’euros en 2021.
# Acquisition. Après avoir ciblé les groupes de quartier sur Facebook, ils misent principalement sur le bouche à oreille, la création de contenu (recettes en fonction du panier de la semaine, article SEO pour leur blog) ainsi que l’animation régulière de leurs réseaux sociaux.
# Personæ. Ils touchent essentiellement les CSP+ en couple actifs qui souhaitent consommer des produits de bonne qualité ainsi que la famille plus âgée aspirant à nourrir correctement ses enfants avec une contrainte budgétaire.
# Social. Les paniers de fruits et légumes sont préparés par ANDES, près de Paris et Nouvelle Attitude, près de Lyon. Deux lieux d’accueil et d’échange qui favorisent la réinsertion professionnelle.
# Logistique. La plateforme est en mesure de prévoir en amont assez précisément les commandes pour ses producteurs. Trop de marchandise ? Ils donneront le reste à des associations caritatives avec lesquelles ils collaborent régulièrement.
# Fidélisation. Avec un KPI estimé à 150 K€ le mois dernier, ils comptent à présent plus de 8 000 commandes mensuelles en région parisienne et lyonnaise. Une clientèle qui reçoit un mail hebdomadaire avec la sélection de la semaine qu’elle choisit de commander ou non puisque l’abonnement est sans engagement.
# Expansion. Les fondateurs souhaitent s’implanter dans d’autres villes françaises. Ils espèrent également élargir leur clientèle en proposant la customisation de leur panier avec un choix plus large de produits (épicerie fine ou des produits frais).
Pour en savoir plus sur les références abordées sur l’épisode :
#144- Catch-up Jonak : Mettre en place un commerce unifié en restant droit dans ses bottes, avec Lisa Nakam
#145 JOW : La bataille des parts d’estomac pour occuper la cuisine, avec Jacques-Edouard Sabatier
#110 Too Good To Go : Sauver 80 millions de repas dans 18 pays du monde en 5 ans avec Georges Abi-Heila
Ils parlent aussi de Missfitsmarket.
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154 - #154 - Merchery : Le merchandising, un business de boulangeries, avec Simon Polet
Le sujet : Le merchandising, un business boulangerie ? C’est en tous cas la vision de Simon Polet. Le marché est tellement grand qu’il y a de la place pour tout le monde (surtout si vous proposez un positionnement intéressant !) !
L’invité : Passé par eFounders et après avoir créé Drink Big, Simon Polet a décidé, avec son cofondateur Benoît Fortpied, d’aller plus loin en fondant Merchery en 2020. Le concept ? Créer des objets brandés sourcés, de qualité et durables pour les entreprises.
Merchery : Auto-financée, l’entreprise a été rentable dès le premier mois de lancement et a cumulé 600 000€ de chiffre d’affaires l’année du lancement. En 2021, leur CA a été multiplié par 3 et ils comptent désormais ouvrir un bureau aux États-Unis en août prochain.
Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, Simon Polet se confie sur la genèse de Merchery et des éléments clés de leur succès :
# Dans le vaste marché du merchandising d’entreprise, ils ont choisi le positionnement niche de la beauté au service de la durabilité qui leur permet de se démarquer.
# Avec Drink Big, ils avaient l’expérience du stock qu’ils ont trouvé trop compliqué à gérer. Avec Merchery ils ont donc décidé de ne pas gérer le stock. Ce sont leurs marques partenaires qui s’en occupent.
# Sur leur marché, ce qui les différencie est le sourcing qu’ils effectuent. Ils accordent donc une grande importance à convaincre des marques B2C de collaborer avec eux.
# Les marques partenaires cherchent des valeurs et une plateforme qui met bien en avant leurs produits. C’est donc leur principal objectif.
# Son erreur depuis le début ? Ne pas avoir recruté assez de profils.
# Il est dans l’ADN des marques belges d’exporter. La Belgique représente d’ailleurs moins de 20% de leur CA.
# Leur levier de départ pour se faire connaître : les relations presse. Son conseil : être authentique avec les journalistes et créer de vraies relations de confiance avec elleux.
# Sa stratégie : faire de la communication comme une marque B2C et convaincre l’utilisateur·rice final·e sans cibler un persona particulier.
Ils y parlent aussi :
Catch-up #17 – Merci Handy : Rendre le monde ordinaire extraordinaire, avec Louis Marty
#56 - Kazidomi : Adhésion et influence pour conquérir et fidéliser ses clients
#150 - Cowboy : Réinventer la roue et se lancer dans le hardware connecté, avec Tanguy Goretti
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153 - #153 - Catch-up Merci Handy : Rendre le monde ordinaire extraordinaire, avec Louis Marty
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.
Le 30 avril 2020, dans l’épisode 37 du Panier, alors que le premier confinement venait tout juste de commencer, Louis Marty nous racontait la success story de Merci Handy. Marque de cosmétiques pratiques, colorés et vegan, le confinement a fait exploser leurs ventes ! Et pour cause : ils commercialisent notamment des gels hydro alcooliques qui ont tout de suite attirés les consommateur·rice·s.
L’année 2020 s’est donc soldée par un chiffre d’affaires à plus de 7 millions d’euros, des dizaines de millions d’impressions sur TikTok (leur réseau social de prédilection) et le début de Merci Handy aux États-Unis. Parce que leur succès ne cesse de grandir, Louis Marty, son cofondateur et CEO, livre, dans ce nouvel épisode, tous leurs meilleurs apprentissages :
# Pour ne pas décevoir leurs client·e·s avec des délais de livraison trop longs aux moments des pics de commandes, Merci Handy a préféré ralentir son business.
# Pour développer les États-Unis, ils ont seulement investi 100 000$ et ont ensuite autofinancé tout le reste.
# Malgré eux, ils n’ont pas la même image aux États-Unis qu’en France et ne peuvent donc pas adopter la même stratégie de vente retail, par exemple. Aux États-Unis, ils ont notamment une image beaucoup plus haut-de-gamme.
# Parce que les États-Unis ont dû être gérés à distance au départ (faute de frontières fermées), la culture de la boîte n’est pas exactement similaire. Cela a d’ailleurs créé plusieurs problèmes de compréhension entre les équipes françaises et américaines.
# De même, ils ont mis en place deux comptes TikTok distincts pour les deux pays afin que les contenus soient parfaitement adaptés.
# Son conseil sur les réseaux sociaux : toujours essayer les nouvelles features dès leur sortie. C’est d’ailleurs le moment de tester les stories sur TikTok !
# Pour renforcer leur image sur TikTok et profiter de la puissance de réseau social plateforme, ils vont également créer le Rainbow Studio, un média dédié aux jeunes.
# Quand on vend à des revendeurs, il vaut mieux vendre moins mais vendre plus régulièrement.
# Pour se positionner sur un marché, il est préférable de “faire du bruit là où il n’y en a pas” plutôt que d’arriver sur un marché déjà presque saturé.
# Ses conseils pour lancer une marque B2C aujourd’hui : réunir une communauté autour de celle-ci, être exigeant quant à son produit et se focaliser sur l’expérience utilisateur.
Ils y parlent aussi :
De Silvr qui les a aidé dans leur financement et avec qui un épisode du Panier avait été enregistré : #95 - Silvr : Comment financer sa croissance et son accélération ?, avec Nima Karimi
Du Concept Store Merci.
Du Catch Up du Panier avec Cabaïa : Catch-up #8 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien Foiret
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152 - #152 - Youzd : Meubler son offre grâce à un service hors pair, avec Ilfynn Lagarde
Le sujet : En exposant l’impact individuel des Français sur la planète et en les enfermant chez eux, la pandémie de Covid-19 a mis en lumière le marché de la seconde main en ligne. Dans cet épisode du Panier, Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, reçoit une entrepreneuse qui a su tirer parti de cette mouvance.
L’invitée : Ilfynn Lagarde est une experte de la stratégie des marques. Après des expériences formatrices dans le marketing et la grande distribution, elle a cofondé youzd en 2020 avec Frédéric Leroy.
youzd est une marketplace qui met en lien acheteurs et vendeurs de tous types de mobilier d’occasion. Ameublement, décoration, électroménager… Cette plateforme veut combler le manque de serviciel dans le C2C sans intermédiation.
Ilfynn Lagarde revient sur les freins rencontrés par les utilisateurs, et comment youzd a réussi à les surmonter :
# Confiance. Les appareils électroménagers sont achetés neufs 9 fois sur 10, malgré une espérance de vie qui peut dépasser 20 ans. youzd permet à ses utilisateurs de souscrire à une offre d’assistance dépannage à distance afin de répondre à ce besoin de sécurité.
# Logistique. L’urgence des déménagements donne souvent lieu à des situations délicates. Pour respecter les deadlines, l’entreprise peut stocker les marchandises dans un entrepôt avant de les livrer. Si, au bout de 30 jours, ils ne sont pas vendus, ils sont donnés à des associations.
# Livraison. Aller chercher un lave-linge à 200 kilomètres ? Non merci ! D’abord cantonnée à la région parisienne, youzd s’est nationalisée en tissant un partenariat avec Cocolis. Cette collaboration permet dorénavant d’acheminer le mobilier dans toute la France en respectant les valeurs de la marque grâce aux tournées d’économie circulaire.
# Prix. Dur de céder un canapé à la moitié de son prix d’achat. Aussi, la valeur des articles est régulièrement mise à jour sur le site pour correspondre aux attentes des acheteurs. Elle baisse graduellement jusqu’à atteindre le prix minimum indiqué par les vendeurs. L’objectif principal : donner une seconde vie, pas forcément faire du profit !
# Acquisition. Partenariats avec TheFamily, avec @lesgensdanslemetro_… Pour agrandir sa communauté, rien de tel que le travail en coopération ! Plus récemment, la newsletter de youzd développe la fidélisation de l’audience. Ilfynn Lagarde a fait appel au copywriter qui avait développé la tonalité de la marque pour rédiger quelques accroches.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#13 – Trusk : Au volant du dernier kilomètre, commencer en hackant LeBonCoin et finir à 30 000 courses par mois
#127 – Ecojoko : Innover pour contrer le gaspillage énergétique, avec Laurent Bernard
#148 – Place2Swap : Circularité, time to market et guerre des genres, avec Lucie Soulard
Le marché au cadran de Saint Pol de Léon
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151 - #151 - Lepermislibre : Dépoussiérer le premier examen de France, avec Romain Durand
Le sujet : Dépoussiérer un marché ancien qui regroupe plus de 1,2 millions de personnes ? Devenir leader du premier examen de France ? C’est le pari que s’est lancé Romain Durand en créant Lepermislibre, une auto-école en ligne.
L’invité : Romain Durand et son cofondateur sont partis d’un constat simple : les auto-écoles se ressemblent toutes et n’ont pas (ou très peu) évolué depuis des dizaines d’années. Alors quand ils ont eu l’idée de lepermislibre, l’objectif était clair : changer le modèle classique de l’auto-école en permettant aux candidat·e·s de tout planifier et réserver en ligne.
Fondé en 2015, lepermislibre se veut 35% moins cher qu’une auto-école classique et re-valorisante pour cette profession. Et ça plait ! En 2021, ils ont augmenté leur chiffre d'affaires de 200%.
Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, Romain Durand se confie sur les difficultés qu’ils ont traversées et leurs meilleures tactiques :
# Parce que leur modèle était trop éloigné des auto-écoles classiques, ils ont subi plusieurs attaques administratives et critiques dans la presse qui ont ralenti le lancement de leur activité.
# Pour affirmer leur positionnement, ils ont créé de nouveaux tests d'entraînement au code de la route.
# Pour cibler les jeunes, ils font appel à des micro-influenceurs qui passent eux-mêmes leur permis grâce à la plateforme et sont présents sur les réseaux sociaux influents comme TikTok et Snapchat.
# Et parce que le bouche à oreille est l’un des moyens de communication les plus efficaces, ils ont mis en place un système de parrainage.
# Leur objectif ? Dépendre un minimum des autres et un maximum d’eux-mêmes. De fait, tous leurs contenus et features sont créés en interne.
Ils y parlent aussi d’un ancien épisode de Génération Do It Yourself, le podcast de Matthieu Stefani :
#177 - Gaspard Koenig : On ne naît pas libre, on le devient
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150 - #150 - Cowboy : Réinventer la roue et se lancer dans le hardware connecté, avec Tanguy Goretti
La mobilité en tant que service ne se limite pas à la mise en relation des voyageurs avec des opérateurs. Dans cet épisode, Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, reçoit un invité qui a tenté de réinventer ce marché sans rien connaître au hardware.
Tanguy Goretti est cofondateur et CTO de Cowboy. Après des études d’ingénieur, il s’est rapidement lancé dans un parcours d’entrepreneuriat : fondateur de Djump, Head of Couriers chez Take Eat Easy, COO de Menu Next Door.
Cowboy est une société belge basée à Bruxelles qui commercialise des vélos électriques et connectés. Tanguy Goretti a cofondé cette société en janvier 2017 avec Karim Slaoui et Adrien Roose. La nouvelle version de leur produit, le Cowboy 4, est sortie en 2021.
Tanguy Goretti apporte son témoignage sur les enseignements tirés des 5 premières années de Cowboy :
# Les cofondateurs de l’entreprise ont visité leurs partenaires potentiels en Chine avant de lancer la production de leurs premiers vélos. En 2022, leurs activités ont lieu à 60% en Asie et à 40% en Europe, et elle fait face à de véritables enjeux d’automatisation, de coût des matières premières comme l’aluminium, de livraison et de logistique.
# Tanguy Goretti et ses collaborateurs ne connaissaient rien au hardware avant de se lancer, mais ils ont progressivement gagné en légitimité. L’agence de design stratégique Propeller.se les a accompagnés en Chine pour suivre la production des vélos, ils ont été soutenus par des fonds comme le Hardware Club, et le premier prix remporté au salon Eurobike en 2017 leur a permis d’avoir “le cachet de validation de l’industrie”.
# Là où les autres marques de vélos électriques sont dépendantes des unités motrices de Bosch, Cowboy a choisi de prendre en charge la production de toutes ses pièces. En plus du virage de l’électrique et de la connectivité, la marque belge se démarque de ses concurrents au niveau de la distribution : toutes les commandes ont lieu en ligne, et les livraisons, à domicile.
# Cowboy est une Digital Native Vertical Brand (DNVB) mais elle propose une expérience réelle. Ses ambassadeurs réalisent chacun entre 10 et 15 test rides avec des futurs clients chaque semaine, pour un taux de conversion de 25 à 30%. Cela contribue à donner une image différente du vélo électrique, à créer de la confiance et de la crédibilité, comme avec les brand stores à Bruxelles, Berlin et Paris (Le Bon Marché).
# Cette proximité a permis aux utilisateurs de Cowboy de se rassembler au sein d’une communauté, comme les Cowboy Riders Paname sur Paris. Pour Tanguy Goretti, il est important de rester proche de ses clients : “ce sont les premiers à être critiques”. Pour repenser la place de la voiture en ville, la société se lance dans la gamification et facilite les échanges entre amis.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
GDIY #213 - Adrien Roose - Cowboy : Toucher le fond et se remettre en selle
FREENOW, détient Kapten, qui avait racheté Djump
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149 - #149 - Affilae : 5 tips pour réussir sa campagne d’affiliation, avec Alexandre Dos Santos
Le marketing de partenariat joue un rôle important dans la promotion des entreprises sur Internet. Il lie le besoin de visibilité des sociétés à l’offre publicitaire des plateformes ou des influenceurs. Dans cet épisode du Panier, découvrez comment réussir votre stratégie d’affiliation.
Alexandre Dos Santos est un expert en stratégie de partenariat affiliation et influence. Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, il revient sur son expérience en tant que cofondateur et directeur général d’Affilae.
Affilae est une plateforme SaaS d'affiliation et de marketing de partenariat. Lancée en 2012, cette structure tech et business redonne le contrôle aux annonceurs sur leurs partenariats en supprimant les intermédiaires. Avec 700 clients et 40 0000 prescripteurs partenaires, dont 95% en France, l’entreprise a pour ambition de s’européaniser dans les prochaines années.
Dans cet épisode, Alexandre Dos Santos liste les étapes-clé pour lancer un programme d’affiliation :
# Mise en place de la stratégie. Pour faire entrer les marques en contact, la proposition de valeurs doit être claire, et l’offre, personnalisée. Il faut garder en tête que si les budgets alloués au marketing d’influence explosent, les résultats ne sont pas toujours tangibles. D’après Alexandre Dos Santos, il faut constituer un pool d’influenceurs sur lequel capitaliser, puis créer de la récurrence.
# Mise en place d’une plateforme d’attribution des ventes. Une fois que la stratégie est définie, il convient de préparer le site, ou réceptacle, qui sera la vitrine des actions d’une entreprise. Pour accueillir au mieux de nouveaux partenaires, il faut se concentrer sur son offre et bien connaître ses KPI.
# Sélection des bons partenaires. Entre les influenceurs, les blogs, les médias et le retargeting, il faut faire un choix. Le positionnement d’une marque influe directement sur ses ambassadeurs. Pour engager le public et le faire adhérer aux valeurs de la marque, il faut définir des actions fortes. Attention cependant : les conditions générales d’affiliation sont parfois informelles, et il faut éviter les pièges de la contractualisation.
# Animation des partenariats. Pour driver sa communauté, il faut la nourrir. Deux marques similaires, sur le même secteur d’activité, auront des résultats diamétralement opposés selon leur implication auprès de leur réseau. Bien prévoir le brief, donner la possibilité de tester le produit… Il existe de nombreuses méthodes pour alimenter les discussions, augmenter le taux d’affiliés actifs et le chiffre d’affaires par la même occasion.
# Analyse des performances. En e-commerce, la maîtrise des données est synonyme de profit. Un indicateur à surveiller : l’earning per click (EPC). S’il est faible, il faut renforcer votre partenariat, et s’il est élevé, il faut récompenser vos partenaires. Dans cette dynamique, l’automatisation permet aux algorithmes d’attribuer les commissions aux bons apporteurs d’affaires.
Pour recevoir la “to do” et mettre en application tous les conseils donnés par Affilae dans cette épisode, abonnez-vous à la newsletter du Panier
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Ulysse : Défriser le monde de l’aérien, avec Axel Guidicelli
Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, avec Côme Filippi
Emily’s Pillow : De 0 à 1,6M€ de CA en 2 ans alors qu’elle ne connaissait rien au digital, avec Laure Lagarde
Bigblue : 10 tips pour booster ses ventes grâce à l’UX post-achat, avec Tim Dumain
Contactez Alexandre Dos Santos :
alexandre@affilae.com
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148 - #148 - Place2Swap : Circularité, time to market et guerre des genres, avec Lucie Soulard
Le sujet : En 2016, être deux femmes qui lancent une plateforme dédiée à l’économie circulaire n’a rien de simple. Mais ce n’est certainement pas ce qui a arrêté Lucie Soulard et Estefania Larrañaga ! 4 ans plus tard, elles ont écrit une jolie histoire.
L’invitée : Après plus de 10 ans à travailler dans des grands groupes, en 2015, Lucie Soulard ressent le besoin de changer de carrière. Elle reprend alors ses études et effectue un MBA spécialisé Digital Marketing & Business durant lequel elle rencontre Estefania. Coup de cœur amical et professionnel, elles décident alors de se lancer à deux dans l’aventure entrepreneuriale. C’est ainsi que naît Place2Swap en 2016.
Place2Swap : Fondée en 2016 et véritablement lancée en 2018, Place2Swap est la première marketplace d'économie circulaire intégrée qui permet de revendre des produits d'occasion et des invendus sur la même plateforme. Le point bonus ? La plateforme profite aussi bien aux consommateur·rices qui peuvent acheter moins chers, qu’aux marques qui peuvent contrôler leur image.
Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, Lucie Soulard revient sur la genèse de Place2Swap et leurs grands apprentissages depuis 2016 :
# Place2Swap propose, lors de la revente des produits, une fiche et des informations déjà remplies par la marque. Cela facilite la vente et permet aux marques de maîtriser leur image.
# Les soldes n’ont plus de signification aujourd’hui. Au contraire, la plateforme joue davantage sur les vertus de l’économie circulaire.
# Aider les marques à gérer les stocks gris qui ne sont des produits ni neufs ni d’occasion.
# L’économie circulaire et la mode de seconde main sont aujourd’hui favorisées par certain·es jeunes et se développent de plus en plus chaque année.
# Leur approche pour convaincre les marques de se lancer dans la seconde main. Puisque la revente de leurs produits aura lieu, autant qu’elles puissent en maîtriser l’image.
# Ses conseils pour se lancer : commencer avec une profondeur d’offres produits dès le lancement et aller chercher les acheteur·euses grâce à des jeux concours, des partenariats avec des influenceur·euses, etc.
# Les difficultés auxquelles elles se sont heurtées en tant que femmes entrepreneuses et comment aujourd’hui elles veulent faire changer les choses.
# Et enfin sa vision de la circularité dans quelques années qui sera monnaie courante.
Un grand merci à Estefania Larrañaga et Florent Ducos d’avoir permis cet épisode.
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :
#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?
#118 - La Marque En Moins : Un peu de transparence dans les produits d’entretien pour séduire 50 000 abonnés, avec Nicolas Simon
#144 - Catch-Up #15 – Jonak : Mettre en place un commerce unifié en restant droit dans ses bottes, avec Lisa Nakam
Mais aussi de :
L’agence Novaway
L’association 100000 Entrepreneurs
La plateforme Magic Makers
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147 - 147 - Catch-up MisterFly : L’hypercroissance sur un chemin d’instabilité et de révolution permanente, avec Emilie Dumont
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.
Le 03 avril 2020, dans l’épisode 34 du Panier, Frédéric Pilloud, directeur e-commerce de MisterFly, revenait sur la croissance fulgurante de MisterFly depuis sa création. En effet, entre 2015 et 2020, l’agence de voyage en ligne avait accumulé plus de 500k d’euros de chiffre d’affaires et embauchait alors 440 employés. Au début de l’année 2020, MisterFly comptait même plus de 5 000 clients par jour. Mais avec le confinement de mars 2020 et la fermeture des frontières, tout a basculé. En 8 jours seulement, tous les voyages réservés (ou presque) ont été annulés.
Depuis 2019, Émilie Dumont a rejoint MisterFly et en est, depuis octobre 2021, sa directrice générale. Alors dans cet épisode, elle revient sur l’épreuve de la COVID-19 dans le secteur du tourisme et explique comment ils sont parvenus à la traverser :
# Si la majorité de leur activité est B2B, ils ont toujours conservé une partie B2C pour rester en contact avec les clients finaux.
# Durant la crise de la COVID, MisterFly en a profité pour développer la partie hébergement de son offre. Elle représente désormais 20% de leur CA.
# Le plus dur dans la gestion des annulations des compagnies aériennes ? Comprendre les règles de remboursement qui changeaient constamment et les expliquer aux clients finaux.
# MisterFly avait réalisé une levée de fonds juste avant la crise et jouissait d’une situation financière saine qui leur a permis de traverser la crise.
# Avec la COVID, beaucoup de tâches (notamment concernant les annulations) ont été automatisées pour en simplifier la gestion.
# Depuis 2020, ils sont aussi passé de 440 employés à seulement 200 et ont donc dû adapter leur process d’onboarding.
# Cette crise leur a aussi permis de se réinventer et de modifier leur offre de produits en proposant davantage de voyages en France.
# Ils ont aussi profité de cette situation pour simplifier et améliorer l’expérience clients pour que ceux-ci trouvent directement les réponses à leurs questions sur le site.
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :
#34 – MisterFly : Comment le rebel des voyagistes en ligne est devenu numéro 2 en 5 ans
#143 - Club Med : La data et le parcours client, piliers de l’organisation et du marketing, avec Quentin Briard
Mais aussi d’un ancien épisode du podcast de Matthieu Stefani, Génération Do It Yourself :
#116 Carlos Da Silva – Mister Fly – L’autodidacte qui a fait voyager la France
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146 - #146 - La Brosse & Dupont : Redresser et retourner un groupe presque bicentenaire, avec François Carayol
Le sujet : Tout commence en 1845. Alphonse Dupont crée un petit atelier de tabletterie près de Beauvais à l’heure où les brosses étaient fabriquées à domicile. 177 ans plus tard, l’entreprise a connu pléthore de changements (et non des moindres !). Elle s'inscrit parmi les acteurs les plus influents du marché de la droguerie et de l’hygiène en France.
L’invité : Arrivé dans l’entreprise en 2004 pour la diriger, François Carayol a grandement participé au redressement de La Brosse & Dupont. En 2010, lorsque celle-ci a été vendue, il a donc naturellement décidé de la racheter et en est aujourd’hui le Président Directeur Général.
La Brosse & Dupont : Producteur indépendant et distributeur de gammes complètes d'articles de brosserie et d'accessoires pour la coiffure, la maison, l'hygiène et la beauté, La Brosse & Dupont regroupe une vingtaine de marques vendues en grande distribution. Parmi elles, Dessange, Éléphant ou encore Steripan. En 2022, l’entreprise compte plus de 7 000 clients en France.
Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, François Carayol retrace les 177 ans d’histoire de La Brosse & Dupont :
# En 1998, LVMH rachète La Brosse & Dupont.
# En 2004, François Carayol arrive dans l’entreprise pour la redynamiser. Pour ce faire, il en modifie la structure, repense l’offre produit et renouvelle son personnel.
# À cette époque, l’entreprise passe de 1 500 employés en 2004 à seulement 750 en 2010. Un vrai travail de fond est effectué pour apporter un nouveau souffle à l’entreprise. Et ça marche !
# En 2010, accompagné d’autres actionnaires, François rachète La Brosse & Dupont.
# Le plus dur pour financer ce type de projet est de convaincre une première banque. Les autres banques se joignent ensuite généralement le projet.
# Depuis le début, l’entreprise travaille avec la grande distribution. Se placer comme un site e-commerce est donc beaucoup plus compliqué. En effet, ils n’ont pas pu faire l'expérience en interne de communiquer directement avec le client final.
# Enfin, François livre ses apprentissages sur les habitudes des consommateur·rices en termes d'hygiène et de beauté. Par exemple, les consommateurs de maquillage sont fidèles à leurs marques mais utilisent généralement plusieurs marques simultanément.
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145 - #145 - Jow : La bataille des parts d’estomac pour occuper la cuisine, avec Jacques-Édouard Sabatier
Le sujet : Depuis les confinements successifs en France et à l’international, le marché de la grande distribution ne cesse de se réinventer. La part e-commerce alimentaire des grands supermarchés augmente, et si de nombreuses solutions apparaissent au niveau logistique (last mile), l’expérience d’achat (first mile) n’évolue pas.
L’invité : Après avoir occupé des postes stratégiques dans de grandes entreprises tech et média, Jacques-Édouard Sabatier s’est lancé dans l’e-grocery en cofondant Jow en 2018. Il annonce pouvoir aider ses partenaires à prendre +5 points de marge grâce à son algorithme.
Initiative : Jow est une application qui propose des idées repas adaptées au profil de l’utilisateur. Elle compose une liste de courses correspondante et permet de commander les produits directement chez l’une des 6 plus grandes chaînes de grande distribution en France.
Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, Jacques-Édouard Sabatier fait le point sur la place de son entreprise dans un marché en pleine expansion :
# En 2022, le marché de l’e-commerce alimentaire est estimé entre 150 et 200 milliards d’euros, ce qui correspond à la somme du chiffre d’affaires e-commerce annuel des principaux distributeurs français. Si la part a augmenté en réponse à la crise sanitaire, elle reste de très basse (8%).
# Pour Jacques-Édouard Sabatier, la France est un pays précurseur dans le secteur de l’e-commerce alimentaire. Le drive, lancé en 2000 par Auchan, représente un trésor de data. 98% des commandes Jow passent par le drive, mais le q-commerce tente de réinventer une nouvelle fois la corvée des courses.
# Les supermarchés sont nés dans les années 1980, à l’époque de l’hyper-choix. Aujourd’hui, les clients se perdent dans leur offre considérable. Pour une meilleure expérience digitale, d’après Jacques-Édouard Sabatier, il faut plus de simplicité, de rapidité, et moins de produits. Un pari gagnant : le panier moyen sur Jow est de 80 à 90 € en drive et de 110 à 130 € en livraison à domicile.
# Jow a choisi de proposer une expérience e-commerce à base de recommandations grâce à un algorithme profilé. Cela lui permet d’aligner un parcours client pratique, de la recette au checkout, le tout sur la même plateforme.
# L’algorithme de Jow contrôle en moyenne 70% du contenu du panier et peut y mettre 40 produits d’un seul coup. De ce fait, il contrôle le mix marge : facile pour lui de mettre en avant un produit en particulier, et de gérer les contraintes d’inventaire (ruptures de stock ou sur-stocks).
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Amazon Dash Button
Dollar Shave Club
Barker’s Pet Food
Diapers.com
Meal Hub by Instacart
Sans filtre ajouté : Jow | Jacques Edouard Sabatier | On fait quoi à manger ce soir ?
Suivez Jacques-Édouard Sabatier :
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Adresse e-mail : jacques@jow.fr
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144 - #144 - Catch-up Jonak : Mettre en place un commerce unifié en restant droit dans ses bottes, avec Lisa Nakam
Nouvel épisode Catch-up dans lequel Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, reçoit une invitée du Panier. Ensemble, ils font le point sur l’évolution de son business depuis leur dernière discussion. Au programme : commerce unifié, omnicanalité et internationalisation.
Lisa Nakam est directrice générale associée chez Jonak, marque familiale spécialisée dans la chaussure en cuir. Dans l’épisode #38 du Panier, sorti le 7 mai 2020, elle expliquait les challenges rencontrés lors de la digitalisation de son entreprise.
Le passage au numérique a porté ses fruits : le chiffre d’affaires correspondant est passé de 8 à 45% du CA total en moins de 2 ans. Lisa Nakam pense qu’il est possible d’aller encore plus loin, et s’est fixé l’objectif d’atteindre les 70% en 3 ans.
Ce que Jonak a appris depuis le premier passage de Lisa :
# Le commerce unifié nécessite une vision globale sur les stocks, les produits, le client, les commandes, les services, mais aussi la communication. En effet, l’omnicanalité est possible uniquement si les réseaux sociaux, newsletters et autres contenus sont accordés. Jonak est passé de SoCloz à WSHOP de façon à n’avoir qu’un seul interlocuteur, avec l’Order Management System (OMS).
# Le confinement a changé la donne pour les marques de retail : si le développement international en physique a ralenti, les contraintes sanitaires ont entraîné un développement omnicanal plus rapide. Pour Lisa Nakam, la société a connu un décloisonnement total des entreprises.
# En Europe, les habitudes de consommation des clients ont également changé. Lisa Nakam explique que le taux de retour a explosé en passant à 70% en Allemagne depuis le début de la crise, et elle ajoute que la France est sur la même voie.
# L’entreprise intègre dans le chiffre d’affaires des magasins les revenus qui proviennent du ship from store. Cela correspond aux commandes réalisées sur le site web mais livrées par les boutiques. Là où une grande enseigne détient un volume de stocks important, le temps alloué aux commandes est plus faible : les plus petites succursales bénéficient de ce mode de fonctionnement. Chez Jonak, cela coûte moins cher qu’une commande depuis l’entrepôt grâce aux services de coursiers.
# Jonak s’inscrit dans une démarche RSE depuis 50 ans : la production est longtemps restée locale. Cependant, quand la marque s’est internationalisée, cette dimension a dû changer. Afin de rester propre à ses valeurs, elle a relocalisé les productions près des zones de vente, mais refuse de quitter l’Europe pour garder le contrôle sur les normes de fabrication.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#143 - Club Med : La data et le parcours client, piliers de l’organisation et du marketing, avec Quentin Briard
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143 - #143 - Club Med : La data et le parcours client, piliers de l’organisation et du marketing, avec Quentin Briard
Le sujet : Quand les destinations touristiques ferment du jour au lendemain, les entreprises de voyage doivent agir vite. Le secteur du tourisme est bouleversé par les mesures sanitaires, ce qui pousse ces entreprises à repenser leur parcours client. Après avoir écouté cet épisode, vous aurez tout compris aux séjours tout compris.
L’invité : Quentin Briard est CEO Marketing, Digital et Tech du Groupe Club Med, dans lequel il travaille depuis plus de 20 ans. Après 10 ans passés à l’étranger, entre la Belgique, l’Australie et Singapour, il est de retour en France pour mettre à profit les enseignements qu’il a reçus au plus proche du marché chinois.
Initiative : Le Club Med est une société d’hébergement touristique spécialisée dans l’all-inclusive et fondée en 1950 par Gérard Blitz. Son objectif : réinventer le bonheur des clients chaque jour, et les décharger de leurs contraintes. L’entreprise détient 65 resorts, partout dans le monde, pour 1,5 million de clients annuels. Si 27% d’entre eux sont français, près de 300 000 sont chinois, et le Groupe doit s’adapter à leurs nouveaux usages.
Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, Quentin Briard rapporte les évolutions du Club Med depuis son arrivée en 2000.
# Les super-apps comme WeChat, Fliggy, Baidu et Taobao façonnent le tourisme. Le Club Med a installé le paiement via WeChat en 6 mois pour répondre aux besoins de ses clients chinois. De même, le premier site responsive du Club Med a été créé à Singapour en 2011, 4 ans avant le reste du groupe.
# Si en Occident, le parcours d’achat dure 100 jours environ, passe par 11 points de contact, 1h30 de browsing web et 30 minutes de conversation, il ne prend que 14 jours et 2 à 3 points de contact en Chine. WeChat permet un browsing web faible, 80% des conversations avec les agents du Club Med ont donc lieu par chat.
# La data permet une synergie forte entre les équipes opérationnelles et les équipes commerciales : les ramifications du CRM se prolongent jusqu’au Club. En effet, selon leur origine, les voyageurs n’ont pas les mêmes habitudes.
# En 2021, le Club Med a internalisé sa communication. Couplée à un DCO (Dynamic Content Optimizer), elle a été réactive quant à l’ouverture de nouvelles destinations. Afin d’être le plus efficace possible, tout le contenu était prévu en amont.
# Le Groupe Club Med s’inscrit dans une démarche RSE avec le programme Happy to care. Il respecte la certification BREEAM pour la construction de nouveaux resorts, Green Globe pour ses opérations, mais aussi un sourçage Agrisud pour des produits locaux, et a créé la première fondation d’entreprise en France en 1978 : la Fondation Club Med.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Ulysse : Défriser le monde de l’aérien, avec Axel Guidicelli
Cabinet Demain
Converteo
Agence79
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142 - #142 - Sunday : Ré-inventer l’expérience paiement au restaurant, l’ultra-scale dans le plus vieux secteur du monde, avec Kevin Meert
Le sujet : Si vous aussi vous avez déjà attendu le·a serveur·euse en essayant de créer un eye contact pendant (trop ?) longtemps pour payer au restaurant, alors vous allez ADORER cet épisode. Parce qu’avec Sunday, vous n’aurez plus jamais besoin de lever la main indéfiniment pour régler l’addition !
L’invité : Depuis avril 2021, Kevin Meert est Chief Sales Officer de Sunday, une web app qui digitalise le moment de paiement au restaurant. Concrètement, en tant que client·e vous accédez à l’application grâce à un QR code posé sur la table du restaurant. En le scannant vous avez non seulement accès au menu mais aussi la possibilité de régler directement depuis votre smartphone.
Sunday : Lancé en juillet 2020 après le premier confinement, Sunday s’adressait originellement aux 18 restaurants du groupe Big Mamma. Très vite, l’application a rencontré un taux d’adoption de plus de 60%, une augmentation de 40% de dons de pourboires et surtout, un gain de 12 minutes de taux de rotation par table. Que demander de plus ? Face à tant de succès, l’app a donc été proposée à un grand nombre de restaurateurs. Un peu plus d’un an après sa création, elle compte déjà plus de 3 000 restaurants adeptes. Et ce n’est que le début !
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Kevin Meert revient sur la genèse de Sunday et met en lumière leurs différents apprentissages :
# En n’obligeant plus les serveur·ses à gérer toutes les transactions, ils ont davantage un rôle de fidélisation vis-à-vis des client·es.
# C’est Sunday qui s’adapte au logiciel de caisse du restaurant et non l’inverse. Aujourd’hui, l’application est déjà connectée avec plus de 20 logiciels de caisse.
# L’application “mime” les actions de la vie réelle du serveur mais sans leur compliquer la tâche.
# La plus grosse difficulté que rencontre actuellement Sunday : faire changer les habitudes des consommateur·rices qui règlent directement avec le·a serveur·se..
# Pour y faire face, ils se considèrent donc plus comme une boîte B2C que B2B et pensent avant tout à la facilité d’usage des clients finaux.
# Enfin, pour les restaurateurs, le coût de l’application est exactement le même que leur TPE classique.
Cet épisode accueille aussi un special guest qui n’est autre que Matthieu Stefani !
Merci à Georges Abi-Heila d’avoir permis cet épisode.
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier et des épisodes de la série spéciale Paiement en Ligne :
#110 - Too Good To Go : Sauver 80 millions de repas dans 18 pays du monde en 5 ans, avec Georges Abi-Heila
#113 - DĒVOR : La cuisine est-elle morte ? avec Jean Valfort
#117 - Série Spéciale Paiement – Le mille-feuille de la transaction, avec Antoine Grimaud de PlayPlug
#119 - Série Spéciale Paiement – Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay
#121 - Série Spéciale Paiement – L’innovation au service de l’inclusion financière, avec Francis Barel de PayPal
#122 - Série Spéciale Paiement : les enjeux du paiement sur l’omnicanal, avec Jérémy Buffalon de HiPay
#135 - Série Spéciale Paiement : le futur du paiement est déjà là, avec Philippe de Passorio de Adyen
Et de Génération Do It Yourself :
#46 Tigrane Seydoux – BIG MAMMA – Comment importer l’Italie à Paris ?
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141 - #141 - Amazon : comment se lancer et progresser sur la marketplace, avec Laurent Broncard
Le sujet : On ne la présente plus, c’est LA marketplace la plus connue en France (et dans le monde). En quelques années, au même titre que Google, Amazon s’est hissée au rang de moteur de recherche pour acheter TOUT ce que vous voulez. Alors forcément, la plateforme regorge de bons conseils pour les e-commerçants !
L’invité : Laurent Broncard est Responsable Marketplace, Biens culturels et Produits de grande consommation chez Amazon. Au quotidien, il aide donc les TPE, PME et professionnels à se digitaliser et devenir des as du e-commerce grâce à Amazon.
Amazon : Fondé en 1994, Amazon a très vite trouvé sa place parmi les GAFAM et est désormais l’un des sites les plus visités en France et en Europe. En 2022, la marketplace embauche plus de 15 000 employés directs en France et plus de 25 000 employés indirects. Elle aide également plus de 13 000 vendeurs français à exporter leurs produits en France mais aussi dans le monde !
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Laurent Broncard explique comment ils aident les entreprises à se digitaliser et donne quelques conseils pour réussir sa stratégie de vente sur Amazon :
# Parce qu’en 2022 il est essentiel de vendre sur internet, Amazon a lancé “L’accélérateur du numérique”, une formation gratuite qui accompagne les entrepreneurs français dans leur digitalisation.
# En parallèle, la marketplace propose des webinars, des bootcamps et des coachings personnalisés pour accompagner les e-commerçants.
# Amazon accompagne les entreprises et facilite l’export de leurs produits à l’international pour leur permettre de faire croître leur chiffre d’affaires.
# Pour bien vendre ses produits sur la plateforme il faut d’abord créer son catalogue produit.
# Ensuite, il faut mettre en place plusieurs pages produits avec de belles photos et une description exhaustive et factuelle.
# Enfin, il est également important de créer un branding autour de sa marque qui facilitera l’acte d’achat des consommateur·rices.
# Et pour gérer vos stocks, Amazon propose deux possibilités :
Vous gérez vos stocks seul.
Vous synchronisez votre stock avec la plateforme et gérez l’envoi seul.
Amazon gère votre stock et les envois des produits (cela génère généralement 60% de taux de conversion en plus).
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :
#128 - Nooz Optics : Facebook Ads et Amazon pour faire 3M€ de CA en 18 mois, avec Alex Doolaeghe
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140 - #140 - Ulysse : Défriser le monde de l'aérien, avec Axel Guidicelli
Le sujet : Pendant la crise du covid-19, les avions ont été cloués au sol. Si vous connaissez sûrement quelques compagnies aériennes, avez-vous entendu parler des Global Distribution Systems ? Dans ce nouvel épisode du Panier, envolez-vous avec Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, vers un milieu plus complexe qu’il n’en a l’air, et qui mérite qu’on s’attarde sur les thématiques vente et ecommerce.
L’invité : Afin de valider son diplôme en business development et entrepreneuriat à la NEOMA Business School de Reims, Axel Guidicelli est parti faire le tour du monde. De retour en France et des idées plein la tête, il rencontre Lancelot Hardel avec qui il cofonde le site de vente de billets d'avion Ulysse.
Initiative : Ulysse a été créé en septembre 2017 à partir d’un constat simple : “si voyager est la plus belle chose au monde, réserver un billet d'avion est l’une des pires.” L’objectif de la plateforme ? Simplifier l’expérience des utilisateurs, avec une offre pratique et un service client attentif.
Axel Guidicelli revient sur les 4 premières années de service d’Ulysse et ses apprentissages :
# Dans le monde du transport aérien, il faut composer avec des structures variées : les agences de voyage, les compagnies aériennes, les comparateurs en ligne (Skyscanner, Kayak, Liligo…) et les Global Distribution Systems (Galileo/Travelport, Amadeus et Sabre). Ces systèmes de réservation centralisés se sont développés dans les années 1990, et concentrent des offres aériennes et hôtelières qui soutiennent le tourisme.
# La rémunération d'Ulysse est constituée d’une commission sur chaque billet, à laquelle s’ajoute une rétrocommission des compagnies aériennes selon leur immatriculation IATA (Association du transport aérien international). Cela leur a permis de lancer un site sans publicité ni frais cachés, pour une meilleure expérience utilisateur.
# Le recrutement de nouveaux utilisateurs se fait en grande partie par le bouche à oreille : les clients satisfaits sont souvent les meilleurs prescripteurs ! Ulysse a également rendu disponible l’achat de cartes cadeaux, qui fonctionne bien en fin d’année, et alimente régulièrement ses réseaux sociaux (Instagram, et bientôt TikTok).
# La qualité du service client est un point important. Ulysse y investit la moitié de ses ressources tech et vient de lever 4 millions d’euros afin de passer à la vitesse supérieure. Malgré un véritable challenge d’automatisation, Ulysse compte garder une relation humaine avec les clients.
# Pour répondre aux nouveaux enjeux du paiement, la startup se plie aux exigences des consommateurs. Elle propose trois alternatives : le paiement CB classique avec Checkout, le paiement partagé avec Daisy by Le Pot Commun, et le paiement en cryptomonnaies (Bitcoin) avec Cryptio et Coinbase.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#34 – MisterFly : Comment le rebel des voyagistes en ligne est devenu numéro 2 en 5 ans avec Frédéric Pilloud
Série spéciale paiement
GDIY - KissKissBankBank & Midnight Trains : Réinventer le train de nuit après avoir inventé le crowdfunding, avec Adrien Aumont
L’obsession du service client, Jonathan Lefèvre
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139 - #139 - Sunday Love : Du love, du hardware, du software et 3M€ en 2 ans, la recette de Nelly Meunier
Le sujet : Tout commence avec l’envie de garder du lien avec sa grand-mère en maison de retraite. Alors que 3 petits enfants sont aux quatre coins du monde, ils mettent au point un système pour envoyer des photos à leur grand-mère directement sur sa télévision. Et la promesse dépasse leurs attentes.
L’invitée : En 2016, après l’avoir testé avec sa grand-mère, Nelly Meunier imagine la Sunday Box pour permettre à toutes les familles de rester en contact avec leurs seniors. Et l’idée plaît instantanément. Avant même que les prototypes ne soient conçus, ils récoltent un bon nombre d’emails de futur·es client·es. En 2021, ils ont vendu plus de 25 000 Sunday Box, utilisées par plus de 150 000 personnes.
Sunday Box : Le concept ? Un petit boîtier connecté permettant de recevoir automatiquement des photos et des vidéos de toute la famille sur sa télévision où que l’on se trouve. Il est également équipé d’une petite télécommande en forme de cœur qui clignote dès qu’une nouvelle photo ou vidéo est envoyée. Petite nouveauté, la Sunday Box proposera bientôt des visio conférences.
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Nelly Meunier détaille les différentes étapes de la création de la Sunday Box et se livre sur ses meilleurs apprentissages :
# Dès le départ, leur produit a cartonné et pour cause : il répondait à un vrai besoin low tech.
# Alibaba peut aussi vous aider à trouver votre futur fournisseur. Cela a été le cas de Nelly qui travaille toujours avec lui.
# Assumer le Made in China. Certains produits ne peuvent tout simplement pas être réalisés en France.
# Les campagnes de crowdfunding peuvent être très utiles pour s’adresser à ses utilisateurs finaux.
# Puisque ce sera ensuite à la famille d’onboarder les grands-parents, il faut qu’ils comprennent parfaitement le fonctionnement du produit. Pour cette raison, dès le départ ils ont fait plusieurs démos grâce à des campagnes influenceurs et dans les magasins Boulanger où ils étaient distribués.
# Après un début en retail, Sunday Love a finalement abandonné la vente en boutique. La raison ? Cela demande une stratégie de vente conséquente qu’il faut imaginer en amont.
# La présence sur Amazon est aujourd’hui presque obligatoire.
# Il est important de comprendre son marché pour mieux cibler ses utilisateurs. Par exemple, 25% des gens ayant déjà acheté une Sunday Box en rachètent une nouvelle.
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :
#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois
#33 - Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
#Catch-up 5 – Lunii : Il était une fois … une startup en hypercroissance qui rapatrie sa production pour être fidèle à ses valeurs
#114 - Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
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138 - #138 - Bigblue : 10 tips pour booster ses ventes grâce à l'UX post-achat, avec Tim Dumain
Le sujet : Que ce soit en ligne ou hors ligne, l’expérience client est un enjeu important pour le secteur de la vente. Découvrez comment elle peut vous aider à cultiver votre business avec Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra.
L’invité : Tim Dumain est le cofondateur et CEO de Bigblue, un service d’optimisation de l’expérience client pour les e-commerçants. Il a créé sa première entreprise, Morning, à 19 ans. Plus de 10 ans et une revente plus tard, c’est un expert en stratégie de croissance et gestion de communauté.
Initiative : Bigblue a été lancé en 2018. C’est l’operating system des marques : il a pour objectif de maximiser l'expérience post-achat et la logistique. La satisfaction des clients passe par “la satisfaction ultime des marques”.
Tim Dumain vous propose 10 tips pour booster vos ventes grâce à l’UX post-achat :
Indiquer la date de livraison exacte. Seules certaines entreprises peuvent se permettre de résoudre ce véritable challenge de la data, mais cela représente d’après lui 9% d’abandons de panier en moins.
Offrir plus d’options d’expédition. Eh oui, tout le monde ne veut pas se faire livrer chez soi ! Il faut être arrangeant, permettre la livraison en point relais, à une certaine heure de la journée…
Prévoir la livraison express. Selon la période de l’année, n’importe qui peut en avoir besoin. Il ne tient qu’à vous de sauver Noël !
Proposer un acheminement gratuit. Si ce n’est pas possible, il convient d’avoir une offre de livraison gratuite à partir d’un certain coût. Tim Dumain vous conseille de placer ce montant de 10 à 15% au-dessus du panier moyen de façon à augmenter ce dernier.
Soigner la communication auprès des clients. Les emails de suivi affichent un taux d’ouverture exceptionnel de 75% (25% pour tout autre message de communication). Pourquoi ne pas en profiter pour proposer des produits additionnels ?
Mesurer la satisfaction client. Il est 7 à 8 fois moins cher d’amener un client à commander une fois de plus plutôt que d'en faire venir un nouveau.
Faciliter les retours. Cela renvoie l’idée que la marque fait confiance à ses consommateurs. La politique de retours doit être simple, lisible, et intégrée aux coûts.
Réfléchir à la lifetime value. Un client unique ne représente pas forcément une seule transaction : d’après Tim Dumain, il faut rendre l’expérience d’achat mémorable pour le pousser à repasser commande.
Soigner l’unboxing. C’est le seul lien physique avec le public: une boîte brandée, un petit mot, une gift note… Traitez chacun de vos clients comme s’il était un influenceur.
Rester en totale transparence sur le cut off. Préparez-vous à signaler tout désagrément sur le trajet afin d’éviter l’effet déceptif et frustrant de ne pas être livré au moment où on devrait l’être.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
Emily’s Pillow : De 0 à 1,6M€ de CA en 2 ans alors qu’elle ne connaissait rien au digitial, avec Laure Lagarde
Unbottled
Contactez Tim Dumain par mail :
tim@bigblue.io
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137 - #137 - What Matters : faire 3M€ de CA en 1 an sans précipitation, avec Franck Ladouce
Le sujet : L’entrepreneuriat respectueux de l’environnement a de belles années devant lui. Fin 2021, en France, de nombreuses start-up for good fleurissent. Ce succès n’est pas instantané : il faut savoir prendre son temps. Si le marché du commerce de détail semble bouché, il suffit parfois d’un concept solide, mûrement réfléchi, pour se faire une place et faire évoluer les mentalités.
L’invité : Après 10 ans chez Keneo, son agence spécialisée dans la conception, l’organisation et l’amplification d’expériences sportives, Franck Ladouce a fini par se lancer dans le retail. En cofondant Yellow Duck en 2018 avec Charlotte Catton, il intègre un projet responsable.
Initiative : Cette initiative, c’est une marque de produits soin, hygiène et maison, bio et made in France, commercialisée par Yellow Duck sous le nom de What Matters. L’entreprise a réalisé plus de 3 millions d’euros de chiffre d’affaires depuis septembre 2020.
Franck Ladouce fait le bilan sur cette année record :
# Le marché de la vente de détail est une industrie de volume, dominée par les coûts. Les consommateurs attendent la promotion pour acheter : tant que de grands acteurs ne bougent pas, il n’y a pas d’innovation. Il existait donc une opportunité pour What Matters, qui, sans être militante, se positionne comme une marque engagée.
# Franck Ladouce ne considère pas les start-up 900.Care, Respire, la marque en moins. ou SPRiNG comme des concurrentes. En effet, pour lui, elles proposent toutes des valeurs différentes de celles des grands groupes industriels et éduquent le marché afin de faire évoluer les habitudes de consommation du public dans le bon sens.
# Avant même de lancer ses produits, la communication de What Matters sur les réseaux sociaux était capitale. Pour faire d’Instagram un véritable pré-site, l’entreprise a eu recours à des contenus sponsorisés et a rapidement atteint les 10 000 abonnés. L’objectif : définir le ton, les valeurs, et parler aux influenceurs. Un an plus tard, 30% des interactions sur le site viennent de la page Instagram.
# Si les consommateurs français sont de plus en plus sensibles aux problématiques de développement durable, leurs achats ne le reflètent pas toujours. Franck Ladouce et Charlotte Catton ont choisi de s’adresser au plus grand nombre, à celles et ceux qui veulent passer à une consommation écologique, sans les faire culpabiliser.
# What Matters vend ses articles en direct to consumer, sur certaines places de marché et sur quelques magasins en physique. En communiquant beaucoup sur les réseaux sociaux, la start-up génère du trafic pour les boutiques retail. Le groupe Printemps, par exemple, a cru en son concept et a même mis à sa disposition un stand de 25m² entre Chanel et Givenchy. La preuve que si les points de vente sont en cohérence avec la marque, on peut faire de grandes choses.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
1,5 million de CA en huit mois avec des produits bios et innovants, avec Franck Ladouce de What Matters
Verescence
Amazon
Google Shopping
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136 - #136 - Superproducteur : développer un modèle de production local à destination d’une cible pro, avec Pauline Bignon
Le sujet : La prise de conscience des enjeux écologiques et sociaux de l’utilisation de matières premières à bas coût dans l’industrie agroalimentaire entraîne une évolution du métier d’agriculteur. Dans cet épisode du Panier, Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, explore une initiative entrepreneuriale qui dynamise ce secteur d’activité.
L’invitée : Pauline Bignon se définit comme une “Gourmette passionnée”. À l’occasion de sa formation au Conseil en restauration à l’École Ducasse, elle côtoie des chefs cuisiniers engagés sur le sourcing de leurs produits et cofonde Superproducteur avec Frank Cedolin en 2014 pour répondre à ces besoins.
Initiative : Superproducteur est une marque de recettes apéro-dînatoires 100% artisanales et naturelles. Elle conçoit ces guides avec des agriculteurs français, qui prennent en charge la production des matières premières et la transformation des denrées. Enfin, elle assure la distribution auprès d’un public B2B.
# En fin d’année 2021, l’entreprise travaille avec 16 producteurs partout en France : fruits, légumes, viandes, grains, etc. Elle prend en charge la distribution dans plus de 1600 points de vente sur tout le territoire, et a vendu 300 000 produits depuis sa création en 2014.
# La première étape : chercher des producteurs. Pour vendre leurs produits, ces derniers participent à des marchés, et/ou travaillent avec le secteur de la grande distribution, ce qui contribue à la paupérisation du milieu. Là où leur salaire est de 1390€ par mois en moyenne, l’intérêt de Superproducteur, c’est un chiffre d’affaires garanti à hauteur de 20 à 50% de revenus supplémentaires.
# Quand les recettes sont définies, la transformation peut avoir lieu. Si le métier de producteur n’a rien à voir avec celui de la transformation, l’accompagnement est primordial pour donner un produit qui a plus de valeur. ⅓ du processus de transformation du réseau Superproducteur est fait sur place, et ⅔ à moins de 150km, ce qui donne des produits de meilleure qualité et un impact écologique plus faible.
# Les commandes ont lieu sur le site de Superproducteur, ce qui témoigne d’une volonté de digitalisation du secteur agroalimentaire. Cette dynamique, bien que naturelle, s’est accélérée suite à la pandémie de covid-19 : pas à pas, dans une optique customer oriented, l’entreprise intègre ses partenaires à son approche conseil et assure leur pérennité. Dans un souci d’automatisation, le règlement se fait par prélèvement avec GoCardless et permet aux clients de gagner du temps.
# Les marchandises sont stockées dans un entrepôt au Mans avant d’être redistribuées. Cette position stratégique permet de réduire les trajets pour leur réception mais aussi leur livraison. 60% des produits parviennent aux restaurateurs (cafés, hôtels, restaurants) et 40% en retail (cavistes, traiteurs). Les partenaires sont pour la plupart issus des circuits courts, et la collaboration passe souvent par le bouche à oreille, mais, pour Pauline Bignon, la recherche de nouveaux points de distribution est tout aussi importante que la production.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Ecojoko : Innover pour contrer le gaspillage énergétique, avec Laurent Bernard
Ernesti : devenir l’acteur référent de l’accompagnement de nuit, avec Quentin Zakoian
Saleor
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135 - #135 - Série Spéciale Paiement : le futur du paiement est déjà là, avec Philippe de Passorio de Adyen
Le sujet : Dans cette série spéciale paiement, faites la rencontre des acteur·rices incontournables du paiement en ligne. L’objectif ? Répondre à TOUTES les questions que vous vous posez et vous aider à trouver la meilleure solution de paiement qui correspond à vos besoins.
L’invité : Philippe de Passorio devient Managing director France et Italie pour Adyen fin 2015. Après un parcours fourni en expériences business, e-commerce et CRM au niveau international, il connaît le milieu des services financiers sur le bout des doigts. Depuis Milan, où il travaille, il répond aux questions de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra.
Initiative : Adyen est une société néerlandaise au rayonnement international, valorisée à 71 milliards de dollars en bourse. Elle repose sur une technologie liée au schéma de paiement, qui permet de gérer son traitement à la fois en ligne et en magasin. En prenant le contrôle de la chaîne de valeurs, elle permet une plus grande flexibilité pour les commerçants.
Quelques points abordés au cours de cet épisode :
# Pour Philippe de Passorio, il est important de mettre le client au cœur de la discussion. Tout se joue sur sa perception de l’expérience de paiement. Les commerçants doivent adapter leur marketplace à ses préférences (iDEAL, WeChat Pay, Alipay…) et intégrer de nouvelles technologies afin de ne pas passer à côté d’une part non négligeable de leur chiffre d’affaires.
# L’un des enjeux principaux du travail d’Adyen, c’est l’optimisation du taux d’autorisation. En sachant pourquoi le paiement a pu échouer, il leur est possible d’orienter le client vers une alternative rapidement afin de ne pas briser le processus d’achat. La solution n’est pas la même en cas de problème technique, d’argent insuffisant sur le compte ou de faute de frappe.
# En France, les cartes bleues sont cobrandées : elles comportent à la fois l’option Visa/MasterCard et l’option Carte Bancaire. Ainsi, si le schéma de paiement global ne fonctionne pas, il est possible de passer au schéma local, à frais différents. Cette particularité est partagée avec les Italiens, qui utilisent la technologie Bancomat.
# En 2021, la fraude bancaire est mieux maîtrisée, notamment grâce à la technologie du Shopper DNA. Cette dernière permet de déterminer l’identité des clients au moment du paiement en analysant leur adresse IP, leur adresse de livraison, leur adresse email, etc. Ce procédé prouve à quel point la data est importante, et que les commerçants ont un vrai intérêt à l’intégrer au CRM.
# Les clients d’Adyen tirent parti des innovations du marché. Pour répondre au besoin d’Uber de rendre le paiement le plus direct possible, un outil a été développé pour passer par un compte bancaire entré au préalable sur l’application. D’autre part, la nouvelle technologie Automatic Billing Updater, en partenariat avec MasterCard, permet à Spotify de mettre à jour la carte bancaire automatiquement une fois qu’elle atteint sa date d’expiration. L’expérience d’achat est de plus en plus positive : le futur du paiement est déjà là.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Le Panier : Série Spéciale Paiement
Algorithme de Luhn
Comprendre la directive DSP2
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134 - #134 - Série spéciale One to One Monaco : Quel avenir pour le dating ? avec Céline Boudière de Meetic
Le sujet : Du 26 au 28 octobre 2021 se tenait LE rendez-vous incontournable des acteurs de l’e-commerce et du retail : le One To One Monaco. Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, est parti à la rencontre de celles et ceux qui s’y sont distingués à l’occasion d’une nouvelle Série Spéciale du Panier.
L’invitée : Céline Boudière a participé au One to One Monaco en tant que Directrice marketing et digital de Meetic Europe. Elle revient sur la stratégie de communication de cette entreprise et dépeint le futur du marché des plateformes de rencontre dans un nouvel épisode du Panier.
Initiative : En 2021, la plateforme de rencontres en ligne française Meetic fête ses 20 ans. D’abord sous forme de site Internet et déclinée par la suite en application, elle organise également des événements physiques. Le groupe Meetic, leader du marché de l’online dating en Europe, inclut aussi d’autres sociétés comme Match, DisonsDemain ou Lexa, ce qui lui permet de mutualiser les apprentissages selon la cible visée. Quelques points abordés dans l’épisode :
# Selon Céline Boudière, dans l’industrie du dating, le churn est une réussite. Si un utilisateur finit par trouver l’amour et abandonner son compte, c’est que Meetic a rempli son objectif ! Très dépendante de sa stratégie d’acquisition, la plateforme prend en compte ces fluctuations et vise constamment de nouvelles audiences.
# L’objectif auprès de ce public : augmenter la notoriété de l’entreprise. Pour ce faire, Meetic vit une véritable histoire d’amour avec la télévision. Ses campagnes Love your imperfections et Start something real assument un positionnement authentique, et abordent des sujets de société. En effet, la représentation des utilisateurs est importante pour la plateforme : d’après Céline Boudière, il faut que chacun puisse s’y retrouver et s’identifier à des profils existants.
# Évoluer dans un marché porteur, ce n’est pas suffisant : il faut innover ! En 2016, Meetic lance le chatbot Lana, l’un des premiers coaches de dating intelligents. Cet outil utilise l’intelligence artificielle pour aider les célibataires à trouver des profils, des activités, des tips, etc. Depuis 2020, l’entreprise remet la voix au cœur du processus de séduction, par exemple avec le podcast Amour & Confinement et de nouvelles fonctionnalités.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Série spéciale One to One Monaco : Les grandes tendances e-commerce et retail 2022, avec Sonia Mamin, directrice du salon
Série spéciale One to One Monaco : Comment kickstarter sa stratégie contenus, avec Inès Rekiec de YouLoveWords
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133 - #133 - Emily’s Pillow : De 0 à 1,6M€ de CA en 2 ans alors qu’elle ne connaissait rien au digitial, avec Laure Lagarde
Le sujet : Faire simple pour avancer plus vite. C’est le crédo de Laure Lagarde depuis qu’elle s’est lancée et pour elle, c’est le bé-a-ba de tout site e-commerce. Pourquoi ? Parce que faire simple permet de respecter tous ses engagements et de se créer une belle image de marque dès le départ.
L’invitée : Après des années de salariat, Laure Lagarde n’avait qu’une envie : se reconvertir et entreprendre à son tour. Alors en 2019 elle a sauté le pas et a créé Emily’s Pillow, une marque de taies d’oreillers en soie 100% naturelle. 2 ans plus tard, la marque comptabilise plus de 16 000 commandes et un chiffre d’affaires de plus de 1,6 million d’euros.
Emily’s Pillow : Pourquoi la soie ? Pour ses secrets beauté bien sûr ! En effet, des draps de soie auraient la propriété de préserver la coiffure, la brillance des cheveux et la beauté de la peau au réveil. Laure l’a elle-même testée (et approuvée) avant de fonder une marque dédiée à cette noble matière. Si à l’origine Emily’s Pillow ne proposait que des taies d’oreillers, elle propose aujourd’hui des chouchous, des masques, des draps, des kimonos… mais toujours uniquement en soie !
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Laure Lagarde se confie sur ses apprentissages des deux dernières années :
# La logistique est clé avant de se lancer. Idéalement, préférez des produits légers et faciles d'envoi pour simplifier cette étape.
# Un site e-commerce doit contenir (au minimum) : une FAQ, un suivi colis, les mentions légales, un SAV.
# De même, les pages produits doivent être exhaustives pour que les client·es n’aient pas besoin d’aller chercher les informations ailleurs.
# Fake it until you make it peut parfois être utile. Faire apparaître des logos presse avant que cela ne soit vrai peut rassurer les client·es.
# Le dropshipping ne peut être qu’une solution à très court terme. Généralement ce système ne favorise pas la satisfaction client car les délais de livraison sont rarement respectés. Il vaut mieux établir son propre stock et tout envoyer soi-même.
# Pour faire augmenter son produit moyen, l’une des solutions est de proposer plusieurs produits plus petits et moins coûteux du même style. Par exemple, Emily’s Pillow propose des chouchous ou des masques en soie.
# Si vous souhaitez faire de la micro-influence, créez vraiment une relation de partenariat avec l’influenceur·euse.
Laure revient aussi sur l’impact de leur passage dans le Journal Télévisé de M6 et sur celui de la pub TF1 qu’ils font actuellement.
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132 - #132 - Série spéciale One to One Monaco : Comment kickstarter sa stratégie contenus, avec Inès Rekiec de YouLoveWords
Le sujet : Du 26 au 28 octobre 2021 se tenait LE rendez-vous incontournable des acteurs de l’e-commerce et du retail : le One To One Monaco. Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, est parti à la rencontre de celles et ceux qui s’y sont distingués à l’occasion d’une nouvelle Série spéciale du Panier.
L’invitée : Depuis 5 ans, Inès Rekiec a rejoint l’aventure YouLoveWords où elle est Chief Revenue Officer depuis 2021. Sa mission ? Gérer les recettes et les partenariats de YouLoveWords dans le monde entier.
YouLoveWords : Fondée en 2013, YouLoveWords est une solution de content marketing. Au quotidien, ils accompagnent plus de 150 clients internationaux dans la mise en place d’une stratégie de contenus efficace. Et pour produire ces différents contenus (articles, vidéos, podcasts, etc.), l’entreprise s’est entourée de 25 Content Strategists et de plus de 5 000 freelances spécialisés.
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Inès Rekiec livre ses meilleurs conseils pour mettre en place une stratégie de content marketing :
# Le content marketing a beaucoup évolué ces dernières années. En 2021, le principal objectif est de retranscrire ses valeurs dans son contenu.
# Un bon brief est un brief où :
la demande est contextualisée
les enjeux, objectifs et problématiques sont clairement définis et énoncés
idéalement, quelques solutions sont évoquées.
# Il est important de toujours savoir où le contenu sera publié pour l’adapter à la plateforme.
# Pour se lancer sur TikTok il faut savoir pourquoi l’on souhaite investir cette plateforme, et s’assurer que notre stratégie et notre cible sont en adéquation avec celles de TikTok.
# Un contenu doit faire minimum 2 000 mots pour être bien référencé. De même, il doit être très concret et exhaustif.
# Il faut toujours compléter ses images de textes pour qu’elles soient référencées sur Google.
# Un livre blanc est un excellent moyen de débuter sa stratégie de contenu et de générer des leads. Il doit contenir : des use cases, des chiffres clés, des conseils concrets, des témoignages clients, etc.
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131 - #131 - Crisp : Passer son service client à l'échelle du réactif au pro-actif, avec Antoine Goret
Le sujet : Pour favoriser la navigation des consommateurs entre les sites et les marketplaces, beaucoup d’outils innovants se développent. Les solutions de chat en ligne se répandent et les services clients passent au messaging. Aujourd’hui, au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, notre invité est un homme à chats.
L’invité : Antoine Goret est Chief Marketing Officer de Crisp, service de chat en ligne made in France. Il rejoint l’entreprise en janvier 2019, après plusieurs expériences successives en webmarketing.
Initiative : Fondée par Baptiste Jamin et Valerian Saliou en 2015, Crisp centralise les canaux de communication pour les TPE/PME, et permet d’automatiser les messages sur les réseaux sociaux, mais aussi via SMS, emails et bientôt appels téléphoniques. Sa petite équipe de 10 personnes, presque entièrement en remote, gère 180 millions d’utilisateurs mensuels partout dans le monde, soit 2% du marché mondial.
# En e-commerce, les chats sont presque exclusivement dédiés à des fins de support client. Leur caractère automatique et instantané permet d’entretenir un lien privilégié avec les utilisateurs, et d’optimiser ainsi les performances des sites.
# Selon Antoine Goret, la France n’a pas la même culture de messagerie que le reste du monde. L’activité de Crisp dans son pays d’origine représente moins de 20% de son chiffre d’affaires. Dans des pays qui se sont développés plus récemment, comme l’Inde, le Brésil ou l’Indonésie, les besoins des consommateurs sont différents, et le chat est une des solutions qui se prête le mieux à leurs pratiques.
# Historiquement, le service client est réactif. Avec l’avènement des chatbots, il est devenu proactif. Si le ticketing a fait les beaux jours des professionnels de la vente sur Internet ces dernières années, il a été trop utilisé et est maintenant perçu comme dépassé et impersonnel. Pour répondre à une volonté d’expérience conversationnelle et personnalisée de la part du grand public, il cède peu à peu la place au messaging.
# Grâce au système du messaging, un opérateur peut suivre 5 à 10 conversations en même temps. En devenant de plus en plus précise, et en laissant davantage d’autonomie à ses utilisateurs (la tendance est au Do it yourself), cette technologie devient plus efficace que l’appel vocal en termes d’acquisition.
# L’objectif final du chat ? L’uniformisation des données sous la forme d’une seule fiche utilisateur afin d’enrichir l’expérience client. En synchronisant les informations collectées via l’outil conversationnel avec la base de données Prestashop correspondante, on peut connaître le profil de l’interlocuteur et lui proposer un niveau de personnalisation plus avancé.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
bibit
Mindsay
Dialogflow - Speaktoit
If This Then Dev de Bruno Soulez
Love, Death & Robots (Saison 2) : Le robot et la vieille dame
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130 - #130 - Série spéciale One to One Monaco : Les grandes tendances e-commerce et retail 2022, avec Sonia Mamin, directrice du salon
Le sujet : Du 26 au 28 octobre 2021 se tenait LE rendez-vous incontournable des acteurs de l’e-commerce et du retail : le One To One Monaco. Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, est parti à la rencontre de celles et ceux qui s’y sont distingués à l’occasion d’une nouvelle Série Spéciale du Panier.
L’invitée : Sonia Mamin est Directrice des salons One To One e-commerce Monaco et Digital Marketing Biarritz chez COMEXPOSIUM. A la tête de ces événements depuis début 2019, elle contribue à leur croissance malgré la crise du covid-19 et l’impossibilité d’organiser des rencontres entre 2020 et 2021.
Initiative : L’édition 2021 du One To One Monaco a rassemblé 1400 acteurs de l’e-commerce français et international. Avec une centaine d’ateliers sur 4 étages, l’envergure de l’événement témoigne de l’accélération du milieu sur les 18 derniers mois. Cette année, le salon business et networking soufflait enfin ses bougies après avoir fêté ses 10 ans en 2020.
# La quinzaine de membres de l’organisation du One To One Monaco agissent de concert pour définir une ligne éditoriale claire en étudiant les opportunités et les problématiques de demain. Les exposants sont choisis soigneusement par un comité éditorial formé de directeurs et directrices de grands groupes : But, LVMH, Printemps…
# Toutes marques confondues, 750 invités se sont pris au jeu. CEOs, directeurs généraux, de l’innovation, data… Près de 400 entreprises étaient représentées. Les décisionnaires sont venus rencontrer des acteurs de l’e-commerce connus, mais aussi et surtout découvrir les nouveaux talents. Chacun a pu partager ses retours d’expérience, ce qui a permis une véritable richesse des échanges entre pairs.
# Des tendances spécifiques ont émergé des discussions. Entre autres, l’expérience client et la gestion de son point de contact avec la marque ont stimulé l’intérêt des participants. Transformation digitale, paiement et omnicanalité ont également retenu leur attention, mais c’est bien la notion de RSE qui s’accaparera la prochaine édition du One To One Monaco en mars 2022 selon Sonia Mamin.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Le Panier - Série Spéciale Paiement
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129 - #129 - Auchan : le prospectus digital à l’heure de l’omnicanalité et des parcours clients multiples, avec Mathieu Lepoutre
Le sujet : Le secteur de la grande distribution connaît des changements profonds depuis le début du 21e siècle. Avec l’avènement de l’e-commerce, les prospectus et brochures papier cèdent progressivement leur place à des formats digitaux. Ces nouvelles technologies ouvrent la porte à l’intelligence artificielle, au machine learning… A l’ère de la big data, comment optimiser son mix marketing ?
L’invité : En prenant la tête du département e-commerce des 3 Suisses en 2004, Mathieu Lepoutre a vécu de l’intérieur la transformation de la vente. A son arrivée, l’Internet correspondait à 0,5% du chiffre d’affaires de l’entreprise et le fameux catalogue papier était encore le principal moyen d’acquisition. Depuis septembre 2020, il est responsable médias 360 chez Auchan Retail.
Initiative : Avec l’évolution des pratiques des consommateurs, les grandes surfaces alimentaires comme Auchan suivent une stratégie d’omnicanalité, dans la communication comme dans la distribution. Présentes à la fois sur Internet et sur des formats physiques, elles s’adaptent aux besoins des consommateurs, toujours en évolution.
# En France, Auchan représente environ 60 000 personnes sur 600 points de vente. En 2021, les surfaces se réduisent pour que chacun ait accès à l’offre des hypermarchés : des enseignes drive et piétons fleurissent sur tout le territoire. Ces dernières se développent rapidement, au rythme d’une centaine par an.
# L’identification des consommateurs est un des principaux enjeux de communication des entreprises de grande distribution. A titre d’exemple, le tracking constitue presque 50% du budget média d’Auchan. Les pratiques du grand public évoluent vers une utilisation omnicanale, et les plans médias se digitalisent pour couvrir toutes les plateformes occupées par les clients.
# Pour autant, le numérique et le physique n’entrent jamais en opposition : ils sont complémentaires. Le prospectus, média historique des grandes surfaces alimentaires (GSA), offrait déjà une mesure des données efficace. Cependant, si 74% des français sont prêts à abandonner le format physique pour le consulter sur Internet, il faut progressivement se tourner vers ce modèle.
# Encore faut-il que cette transformation parvienne à ceux qui l’ont adoptée : certains utilisateurs sont encore très attachés au catalogue papier. C’est là que la big data entre en jeu : les nouveaux outils de modélisation d’intelligence artificielle permettent de comprendre l’efficacité de chaque média et d’optimiser sa stratégie. La personnalisation des canaux de communication en fonction des attentes des consommateurs est une véritable opportunité.
# Les grandes surfaces alimentaires occupent une place majeure dans le paysage publicitaire : selon une étude Kantar datant de 2020, en France, elles représentent 4 des 10 premiers annonceurs plurimédia. Toutes les semaines, et depuis 60 ans, Auchan publie un à deux catalogues. Une communication régulière, stable dans le temps, qui ralentit avec l’évolution des attentes des consommateurs et les enjeux environnementaux et économiques.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Facebook Ipsos Catalogue
#60 Facebook : 6 tips pour booster ses ventes sur FB, Instagram, WhatsApp et Messenger
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128 - #128 - Nooz Optics : Facebook Ads et Amazon pour faire 3M€ de CA en 18 mois, avec Alex Doolaeghe
Le sujet : 18 000. C’est le nombre d’opticiens en France en 2021. Si ce marché est peu connu du grand public, il est déjà presque saturé. Mais ce n’est pas ce qui a empêché Nooz Optics de vendre plus de 800 000 paires en à peine 2 ans. Comment ont-ils conquis ce marché ? Quelle stratégie ont-ils adoptée ? Ils nous disent tout pour y voir un peu plus clair !
L’invité : Après avoir monté (et revendu) 2 boîtes, en 2015 Alex Doolaeghe a décidé de rejoindre son père et son frère pour une nouvelle aventure : la conquête du marché de l’optique. Et c’est ainsi qu’est né Nooz Optics, un spécialiste de lunettes de prêt-à-porter.
Nooz Optics : Le crédo de Nooz Optics ? Proposer des lunettes sans correction (ou très minimes) qui s’adaptent à tou·te·s. Et ça marche ! En 2021 leur site internet recense plus de 200 000 visiteur·euse·s uniques par mois et compte plus de 3 000 magasins dans 34 pays du monde. Et ce n’est que le début...
Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Alex Doolaeghe revient sur la belle histoire de Nooz Optics et explique les différents leviers qui ont permis une telle croissance :
# Nooz Optics propose 5 corrections différentes (presbyte, lumière bleue, etc.) et couvre ainsi 90% du marché de l’optique.
# Dès le départ ils ont adopté 2 stratégies complémentaires : une wholesale pour vendre en magasin et une seconde de vente en ligne.
# Au lancement ils avaient déjà un site internet, du stock et ont commencé à faire des Facebook Ads pour acquérir des client·e·s.
# Ils ont ensuite dupliqué ce modèle d’aquiz et cela leur a permis d’être présents dans 34 pays après seulement 18 mois d’activité.
# En 2021, 80% de leur CA provient du digital et seulement 20% du retail. Ils souhaitent donc rééquilibrer cette balance pour plaire au plus grand nombre.
# En 6 mois, ils ont réussi à multiplier leur panier moyen par 2 en proposant de nouveaux produits à des tarifs plus élevés.
# Leurs objectifs pour 2022 : continuer à agrandir leur gamme pour toucher de plus en plus de personnes.
Ses apprentissages et conseils :
# Il vaut mieux éviter de se positionner trop fort et trop vite à l’international. En étant présent dans 34 pays, leur notoriété est trop diluée.
# Il vaut toujours mieux adopter une stratégie cross-canals.
# Il y a 3 manières de vendre sur Amazon : façon Marketplace où Amazon ne fait que vendre le produit, en FBA où l’on envoie du stock à Amazon, et en Vendor où Amazon achète des produits et se charge du reste. Ils ont testé les 3 et ont largement préféré le FBA.
# En retail un produit doit être simple, efficace et avec un beau packaging pour se vendre facilement.
# Un produit vendu 100 TTC doit être acheté 40 HT pour pouvoir réaliser une marge suffisante.
# Rien ne sert de réaliser trop de contenus quand on est une boîte ne vendant que des produits.
Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :
#18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ans
Catch-up #8 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien Foiret
#21 – Snowleader : User centric, reblochon et 32M€ de CA
Catch-up #12 – Snowleader : Data, agilité et reblochon, avec Thomas Rouault
#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS
#123 - Smallable : Hyper-croissance et évolution du modèle, quelles leçons en tirer ? avec Cécile Roederer
#124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Merci à Émilien Foiret d’avoir rendu possible cet épisode.
Et un petit clin d'œil à Alexandre Ali !
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127 - #127 - Ecojoko : Innover pour contrer le gaspillage énergétique, avec Laurent Bernard
#127 - Ecojoko : Innover pour contrer le gaspillage énergétique, avec Laurent Bernard
Le sujet : Avant de recevoir notre facture d’électricité, on ne se rend pas compte que les appareils en veille consomment autant d’énergie. S’il existe, entre 2000 et 3000, des tarifs d’abonnement à l’électricité en France, aucun fournisseur ne permet de le réguler de façon intelligente. Le gaspillage d’énergie qui s’ensuit témoigne d’un vrai besoin d’outils adaptés pour mesurer la surconsommation d’électricité.
L’invité : Cette semaine, notre invité est un écologiste convaincu. Après une formation d’ingénieur et une expérience en product management chez SFR, Laurent Bernard a co-fondé Ecojoko en 2018. Il s’est associé à Fabien Berlioz dans le but de réduire la consommation d’énergie des français.
Initiative : Aujourd’hui, l’électricité est indispensable, mais elle est également invisible. Ainsi, par faute d’inattention, tout le monde gaspille 25% de sa consommation d’énergie annuelle. En France, c’est l’équivalent de 8 réacteurs nucléaires ! Pour y remédier, Ecojoko optimise la veille des appareils électriques. Cet outil technologique sensibilise aux éco-gestes et les transforme en missions quotidiennes.
# Laurent Bernard se positionne contre le gaspillage énergétique involontaire, et propose une solution d’optimisation de la veille des appareils électroménagers. Convaincu que la simplicité est primordiale dans le secteur de l’énergie, il donne au public toutes les informations nécessaires pour le pousser à agir. En effet, si Ecojoko parle à ses utilisateurs, c’est parce que les valeurs y sont exprimées en euros et pas en kWh.
# A la différence des compteurs Linky, qui affiche la consommation d’un foyer heure par heure, l’assistant Ecojoko est mis à jour toutes les secondes, si ce n’est moins ! Cette grande précision permet de déterminer avec exactitude quels appareils sont les plus gourmands, ainsi que la marche à suivre pour optimiser leur fonctionnement.
# Ecojoko se divise en 3 parties.
Un capteur, posé sur le disjoncteur général, qui intercepte des informations.
L’afficheur, une sorte de baromètre qui indique la puissance du réseau en temps réel et les économies réalisées.
L’application, qui organise les renseignements sous forme d’objectifs et donne lieu à des actions concrètes, qui s’inscrivent dans le quotidien des utilisateurs.
# Afin de mieux parler à leurs clients, Ecojoko a choisi la proximité. En plus de sa présence en magasin avec Nature et Découvertes, l’entreprise passe par les premiers intermédiaires avec les prospects en pleines rénovations énergétiques : électriciens, chauffagistes, entreprises d’isolation…
# Depuis début 2020, Laurent Bernard et Fabien Berlioz font face à une véritable pénurie électronique. Le ralentissement des chaînes de production asiatiques limite le nombre de composants créés et assemblés en Chine. Comme de nombreuses petites structures, Ecojoko est relégué au second rang après de plus grandes entreprises.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
Série Spéciale Paiement – Le mille-feuille de la transaction, avec Antoine Grimaud de PlayPlug
Série Spéciale Paiement – Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay
Série Spéciale Paiement – L’innovation au service de l’inclusion financière avec Francis Barel de PayPal
Série Spéciale Paiement : les enjeux du paiement sur l’omnicanal, avec Jérémy Buffalon de HiPay
Gaspard Koenig : "On est un pays très jacobin, très vertical, où l'État ne fait pas confiance aux citoyens"
Merci à Florent Ducos de 50 Partners pour nous avoir parlé d’Ecojoko !
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126 - #126 - Ernesti : devenir l’acteur référent de l’accompagnement de nuit, avec Quentin Zakoian
Le sujet : En France, avec 24 000 entreprises dans le secteur du service à la personne, l’aide de jour pour les personnes âgées est courante. Tout aussi importante, l’aide nocturne (chutes, angoisse, incontinence, déambulation...) est pourtant moins répandue. En effet, son prix moyen de 180 à 300€ par nuit contraint de nombreuses familles à opter pour une maison de retraite. Depuis 2017, Ernesti cherche une solution moins coûteuse.
L’invité : Ernesti, c’est une histoire de famille. Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, Quentin Zakoian revient sur les débuts de la structure. Après ses études à l’École Centrale de Lyon, et passé par Colombus Consulting, Ernst & Young et CA Partners, il nourrit un fort intérêt pour l’entrepreneuriat. Il fonde Ernesti avec sa sœur jumelle, Séverine Zakoian, psychologue clinicienne de santé.
Initiative : Avec son offre d’accompagnement de nuit, lancée officiellement en janvier 2019, Ernesti met en relation des étudiants en médecine et paramédecine, et des personnes en perte d’autonomie. Au cours d’une phase de test de huit mois, l’entreprise a récolté suffisamment de données pour assurer un service professionnel et autonome. Elle rejoint l’écosystème 50 Partners en février 2020. Entre le recrutement de partenaires, le fait de convaincre et de rassurer les familles, sa mission est capitale.
# Ernesti, c’est une sous-espèce de chouette effraie, oiseau nocturne. Ainsi, en plus de rappeler Ernest, un prénom ancien, et nest, ou nid en anglais, cette appellation désigne précisément l’activité d’accompagnement de nuit de l’entreprise.
# En mobilisant 9000 étudiants en médecine et soins infirmiers, surnommés les Chouettes, la structure fournit à la fois rémunération, apprentissage au contact de personnes en perte d’autonomie, suivi de l’évolution d’une pathologie et expérience du maintien à domicile. Pour les aidants familiaux, ce sont également des nuits plus sereines, un accompagnement dynamique et, surtout, du lien humain.
# Présent sur tout le territoire français, 35 000 nuits après son lancement (dont 25 000 depuis 2020 !), Ernesti a ajusté son offre selon les situations rencontrées. Dans le prix de la nuit, soit 88€, 50 vont à la Chouette, 23, aux cotisations sociales, et 15, à l’entreprise. Le service ne revient qu’à 52€ par nuit après Crédit d’Impôt.
# L’entreprise concentre 20% de son activité en zone rurale, là où les services sont moins nombreux. Si des centres hospitaliers et instituts de formation en soins infirmiers rassemblent beaucoup d’étudiants mobiles, ce qui permet de leur laisser davantage d’autonomie, Ernesti choisit parfois de faire fonctionner des alternatives comme l’ADMR.
# La recherche de prospects passe avant tout par Internet. Sans locaux où rencontrer les clients, il était obligatoire de renforcer la présence digitale d’Ernesti. L’entreprise compte sur 50% d’acquisition digitale, dont 70% payantes grâce à un conséquent travail de SEO. De plus, le contenu prime, et le trafic vers le site a été renforcé par les nombreux témoignages récoltés courant 2021.
# D’autre part, les utilisateurs des services d’accompagnement de nuit en sont les meilleurs prescripteurs : de 10 à 20% des nouveaux leads par mois se font par le bouche à oreille. Ernesti espère pouvoir redémocratiser la garde de nuit et s’insérer dans les réflexes des français en termes de conservation d’autonomie pour les personnes âgées.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
#7 – Wopilo : De l’importance d’avoir un magicien au service client
#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée
#44 – Eskimoz : 10 conseils SEO spécial e-commerce.
#53 – Wecasa : Convaincre 100 000 acheteurs de services à domicile en 4 ans, avec Pierre André
Série Spéciale Paiement – Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay
Merci à Florent Ducos de 50 Partners pour nous avoir parlé d’Ernesti !
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132 - #125 - Maliterie.com : la stratégie de showrooming dans le parcours client RoPo, avec Samuel Witenberg
Le sujet : Quand l’e-commerce fleurit, on en oublierait presque les magasins physiques. Pourtant, dans certains secteurs d’activité, c’est presque obligatoire. Maliterie.com, une entreprise de matelas originaire du Mans, a particulièrement réussi sa transition numérique sans pour autant négliger l’importance des services en face à face.
L’invité : Fils d’un entrepreneur en literie, Samuel Witenberg rejoint l’entreprise familiale, Maliterie.com, en 2017 et en tant que Directeur Marketing. Au micro de Laurent Kretz, cofondateur de CosaVostra, il revient sur l’histoire de la structure et sa stratégie de showrooming dans le parcours client RoPo (Research Online, Purchase Offline).
Initiative : En 1986, Michel Crépin rachète la Literie Boniface, entreprise créée 41 ans plus tôt. Longtemps sous-traitante pour d'autres marques, et après plusieurs rachats, la PME reprend la main en 2007 sur la distribution de ses produits en ligne et tisse son propre réseau de magasins. En une décennie, Maliterie.com avance pas à pas et va jusqu’à tripler son chiffre d’affaires. D’ici 2023, l’enseigne prévoit de construire une trentaine de magasins supplémentaires sur le territoire français. Ce qu’il faut retenir :
# En France, le marché des matelas pèse 1,5 milliard d’euros, et la majorité des français achètent dans des enseignes de grande distribution. Le panier moyen fluctue entre 200 et 250€. Chez Maliterie.com, il est de 600€ sur Internet et de 1000€ en magasin.
# Pas facile de tirer son épingle du jeu dans un milieu où on n’acquiert un nouveau produit que tous les 10 à 14 ans, et où on a le temps d’oublier le nom de la marque ! Pour se démarquer, Maliterie.com met en avant son savoir-faire, ses labels qualité et la différence de prix entre ses produits et ceux des enseignes de grande distribution.
# Avec l’arrivée des DNVB (Digital Native Vertical Brand) en 2017, ainsi que de leurs stratégies de communication massives et de leurs innovations, les acteurs indépendants ont perdu en visibilité. Entre 2020 et 2021, les confinements successifs ont tout de même permis au secteur de se développer.
# 85% des acheteurs de matelas finalisent leur achat en magasin après avoir fait leurs recherches sur Internet. Maliterie.com a donc choisi de donner la part belle aux showrooms d’usine, véritables extensions de ses services en ligne, pour permettre d’essayer ses produits avant de les acheter.
# Pour Samuel Witenberg, les représentants de la marque jouent un rôle décisif. Même à l’heure du Web to store, un vendeur investi dans le processus commercial suffit souvent à satisfaire le client. Pour un magasin pérenne, Maliterie.com choisit un emplacement de proximité, et calcule le nombre de personnes mobilisées et le coût de l’implantation. En démarrant petit, l’entreprise respecte ses objectifs et avance un pas après l’autre.
Pour en savoir plus sur les références abordées dans l’épisode :
BUMP : Baromètre Unifié du Marché Publicitaire et de la communication en 2019
Monlitelectrique.com
Monfauteuil.com
Le Panier #100 - PrestaShop : Le growth, un sport de haut niveau, avec Pawel Visor
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131 - #124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t’es une buse ! avec Thomas Pedegaye
Le sujet : Si vous êtes e-commerçant·es vous le savez : l’e-mail est l’un des outils les moins chers pour fidéliser et parler avec vos clients. Mais comment faire un bon e-mail ? Comment atteindre un excellent taux d’ouverture ? En bref, dans cet épisode vous entendrez tout ce qu’il faut savoir pour devenir un as de l’e-mailing. C’est parti !
L’invité : Dans ses expériences précédentes, Thomas Pedegaye a découvert la puissance de l’e-mail. Alors en juin 2021, il a décidé de fonder EmailClub pour accompagner des e-commerçant·es à mettre en place des campagnes d’e-mails percutantes.
EmailClub : L’objectif d’EmailClub ? Vous aider à créer des e-mails personnalisés qui vous rapporteront plus de 30% de votre chiffre d'affaires tout en fidélisant votre clientèle.
Au micro de Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Thomas Pedegaye confie ses bonnes pratiques pour mieux convertir grâce aux mails :
# Premièrement : faites un audit de la concurrence. Inscrivez-vous, regardez les mails qu’ils vous envoient lors d’un abandon de panier, etc. Cela vous aidera à vous positionner et à faire aussi bien qu’eux.
# Travaillez toujours sur une vue mobile et tester ensuite sur desktop. Vous le savez, la plupart de vos client·es ouvriront vos mails depuis leur smartphone, alors offrez-leur la meilleure expérience possible.
# Vérifiez TOUT avant envoi. Les liens, l’orthographe… ne laissez rien passer, votre image de marque est en jeu.
# Ne mentez pas. Votre vente privée se termine dans 1 semaine ? Dites-le vraiment.
# Demandez-vous toujours : Pourquoi je fais ce mail ? Pourquoi j’ouvrirais ce mail ? Pourquoi je cliquerais sur ce lien ?
# A/B Testez tous vos mails.
# Changez de formats entre vos différents mails et variez vos thématiques.
# Côté automation, n’envoyez pas plus de 2 e-mails en 2 jours lorsque quelqu’un s’abonne à votre newsletter.
# Vous devez toujours penser que vous avez 2 bases d’e-mails différentes : votre base active, à qui vous envoyez tous les mails ou presque, et votre full base, à qui, en moyenne, vous envoyez 1 mail sur 10.
# Faites-vous un calendrier éditorial chaque mois et alternez des mails de promo et des mails de contenus purs.
# Enfin deux signes que vos e-mails ne sont pas attractifs : votre taux d’ouverture est inférieur à 20% ou vous avez plus de désabonnements que de gens qui commandent à la suite d’un même mail.
Et merci à Tim Dumain de Bigblue que vous entendrez bientôt sur Le Panier.
Ils y parlent aussi d’un ancien épisode du Panier :
#96 - SendinBlue : Capter, embarquer et fidéliser vos clients – 5 trucs et astuces imparables, avec Aurélie Casimir
Et de Génération Do It Yourself :
#212 - Adrien Aumont - KissKissBankBank & Midnight Trains : Réinventer le train de nuit après avoir inventé le crowdfunding
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123 - #123 - Smallable : Hyper-croissance et évolution du modèle, quelles leçons en tirer ? avec Cécile Roederer
Le sujet : “Faciliter la vie des parents et embellir celle des enfants”. Voici le crédo de Smallable à son lancement il y a 13 ans. Depuis, la marque a quelque peu changé son positionnement et propose désormais des produits pour toute la famille. L’invitée : Après plusieurs expériences dans le marketing, Cécile Roederer a cofondé Smallable, un family concept-store qui vend des produits de mode et de décoration pour la famille. Son objectif aujourd’hui ? Continuer à élargir sa cible en proposant ses produits dans de très nombreux pays du monde.Smallable : Co-fondé en 2008 par Cécile et son compagnon, Smallable propose, en 2021, plus de 750 marques et a réalisé, en 2020, un chiffre d’affaires de plus de 70 millions d’euros, soit une augmentation de 40% par rapport à l’année précédente. En parallèle de son site internet, Smallable propose une boutique physique à Paris.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Cécile Roederer se confie sur les évolutions de leur modèle et leurs plus grands apprentissages au cours des 13 dernières années : # Ne pas se spécialiser dans une catégorie mais sur une cible. Cela leur a notamment permis d’élargir leur gamme de produits. # Ensuite, se concentrer sur un persona et diversifier son offre pour lui offrir un maximum de produits/services. # Pour découvrir de nouveaux·elles créateur·rices, l’équipe de Smallable se rend régulièrement dans des salons et des showrooms. # Ouvrir une boutique leur a donné l’opportunité de présenter tout l’univers Smallable dans un seul endroit. # Cela a permis d’élargir leur visibilité et de faciliter les retombées presse. # Son conseil pour se lancer à l’étranger : commencer progressivement et tester ce qui fonctionne ou non. # Ils ont aussi lancé Smallable Paper, un magazine bi-mensuel et inspirationnel.Ils y parlent aussi des épisodes du Panier de la série Spéciale Paiement :#117 - Série Spéciale Paiement – Le mille-feuille de la transaction, avec Antoine Grimaud de PlayPlug#119 - Série Spéciale Paiement – Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay#121 - Série Spéciale Paiement – L’innovation au service de l’inclusion financière avec Francis Barel de PayPalEt de l’épisode de Génération Do It Yourself avec Cécile Roederer :#78 Cécile Roederer - Smallable, une affaire de famillePour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
122 - #122 - Série Spéciale Paiement : les enjeux du paiement sur l’omnicanal, avec Jérémy Buffalon de HiPay
Dans cette série spéciale paiement, Laurent Kretz rencontre des acteur·rices incontournables du paiement en ligne. L’objectif ? Répondre à TOUTES les questions que vous vous posez et vous aider à trouver la meilleure solution de paiement qui correspond à vos besoins.L’invité : Après plusieurs années à travailler dans le e-commerce, Jérémy Buffalon a rejoint HiPay, en 2014, et est désormais Head of Business Development France. Ce prestataire de paiement international, omnicanal et digital accompagne aujourd’hui plus de 500 enseignes grands comptes et a réalisé un chiffre d'affaires de 45 millions d’euros en 2020. Et ce n’est que le début.Dans cet épisode, Jérémy Buffalon explique les missions d’un prestataire de paiement et les bonnes pratiques à mettre en place quand on est une plateforme e-commerce : # C’est la dernière étape du tunnel d’achat, le paiement, qui valorise tout le processus de vente. Il faut donc choisir un bon prestataire de paiement qui optimise cette ultime étape. # Pour internationaliser sa plateforme, il faut être capable de proposer de nombreux moyens de paiement qui s’adaptent aux devises de chaque pays. # Aujourd’hui, les clients veulent pouvoir suivre un seul et même parcours utilisateur qui inclut la consultation des services en ligne et l’achat en magasin. Il faut donc être à même de proposer un service omnicanal. # De même, plus notre clientèle se diversifie, plus il faut élargir son catalogue de moyens de paiement et proposer le mode “Paiement en 4x sans frais”, “Buy Now, Pay Later”, etc. pour s’adapter aux besoins de chacun·e. Exactement comme le font les grands comptes.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#4 – Asphalte : Le Crowdfunding comme modèle pérenneCatch-up #10 – Asphalte : Diversification comme moteur d’accélération, avec Rodolphe Gardies#18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ansCatch-up #8 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien FoiretPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
121 - #121 - Série Spéciale Paiement - L’innovation au service de l’inclusion financière avec Francis Barel de PayPal
Dans cette série spéciale paiement, Laurent Kretz rencontre des acteur·rices incontournables du paiement en ligne. L’objectif ? Répondre à TOUTES les questions que vous vous posez et vous aider à trouver la meilleure solution de paiement qui correspond à vos besoins.L’invité·e : Francis Barel est un passionné du paiement. Après une expérience en conseil aux États-Unis, il rejoint PayPal et gravit les échelons jusqu’à devenir General Manager de sa branche française. A la tête d’une des entreprises incontournables du marché de la finance, qui compte 400 millions d’utilisateurs actifs dans le monde, il a fait de l’inclusion financière son combat quotidien.Dans cet épisode, Francis Barel s’exprime sur la raison d’être de PayPal et imagine les grandes tendances e-commerce et retail des années à venir. Au programme : # Se rendre disponible et flexible auprès des start-up prometteuses de façon à les accompagner au mieux. Ça va plus loin qu’une simple plateforme de paiement : PayPal offre même des outils et des services de mentoring pour les entreprises. # Plus de 50% du trafic Internet mondial est désormais mobile. Depuis décembre 2020, PayPal a lancé un partenariat avec Intermarché qui permet de payer ses courses en toute sécurité et sans contact avec un QR code. Les expériences les plus physiques sont celles qui se digitalisent le plus facilement. # Comment proposer le moyen de paiement adapté à mon audience ? Il faut tout d’abord se demander qui achète et quels sont leurs modes de paiement préférés. Francis Barel insiste sur l’importance de laisser le choix aux plateformes et aux consommateurs. # Le rôle de la blockchain dans le futur de la finance. Pour le General Manager de PayPal France, pouvoir transformer n’importe quelle devise en cryptomonnaies pourrait régler la question de l’inclusion financière. Dans le viseur, la réduction des inégalités entre économies développées et territoires émergents, souvent cash-heavy. # PayPal, l’OS du paiement. Cette plateforme n’est pas là pour remplacer la banque, mais pour la complémenter. Elle évolue avec son époque et propose des solutions innovantes pour accompagner ses utilisateurs vers l’avenir.Alors, la carte bancaire est-elle morte ou a-t-elle de beaux jours devant elle ? Pour découvrir la réponse, c’est par ici si vous préférez Apple Podcasts, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify. N’oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcasts si l’épisode vous a plu !
120 - #120 - Collectif Yuzu : Entreprise libérée et entrepreneuriat sont-ils compatibles ?, avec Julie Spolmayeur
Le sujet : Fonder La Box à Planter l’avait aidée à sortir de la dépression suite à son burn out. Alors quand elle a recommencé à travailler, Julie Spolmayeur a tout fait pour se créer des conditions de travail agréables et épanouissantes. L’invitée : Julie Spolmayeur a d’abord travaillé plusieurs années en tant que Chargée de Développement Commercial avant de plonger dans l'entrepreneuriat en 2015, en fondant La Box à Planter. Depuis elle ne s’arrête plus ! En janvier 2018 elle a fondé La Fabrique à Sachets, en octobre de la même année Womoon, et en mars 2021, le Collectif Yuzu.Collectif Yuzu : L’objectif est simple : “accompagner les entreprises en leur offrant une culture d’entreprise forte, un cadre de travail innovant, des expertises, des lieux, et des temps mutualisés afin de décupler leurs potentiels”. Le tout en proposant une nouvelle vision du monde du travail : épanouissante et porteuse de sens.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, elle met en lumière les grandes valeurs du Collectif Yuzu, à savoir : # Son crédo : Travailler mieux pour kiffer plus. Il faut avant tout revoir ses méthodes de travail pour travailler efficacement et surtout aimer ce que l’on fait. # Oui, c’est possible de lancer une entreprise en investissant moins de 1 000€. Lorsqu’elle a fondé La Box à Planter, Julie n’a déboursé que 800€ de ses économies et est auto-financée depuis son premier millier d’euros. # Dans les entretiens qu’elle réalise, Julie Spolmayeur essaie toujours de se rendre compte de la personnalité de chacun·e. L'une des questions qu’elle aime bien poser est, par exemple, “Qu’est-ce qu’un·e proche dirait de toi ?”. # Il faut respecter son écologie intérieure et s’écouter. # Enfin, il faut croire en soi et en ses capacités. C’est notamment le message qu’elle essaie de faire passer avec Womoon.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme Filippi#94 - La Box à Planter : une graine qui pousse bien, avec Laetitia JarnyPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcasts, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
119 - #119 - Série Spéciale Paiement - Le paiement instantané et l’avenir des marketplaces, avec Romain Mazeries de MangoPay
Dans cette série spéciale paiement, Laurent Kretz rencontre des acteur·rices incontournables du paiement en ligne. L’objectif ? Répondre à TOUTES les questions que vous vous posez et vous aider à trouver la meilleure solution de paiement qui correspond à vos besoins.L’invité : Romain Mazeries est CEO de MangoPay, une solution de paiement intégrale dédiée aux plateformes (marketplaces, sites de crowdfunding, fintech, etc..) fondée en 2013. 8 ans plus tard, en 2021, MangoPay accompagne plus de 2500 plateformes dont Vinted, Malt, Kiss Kiss Bank Bank ou encore Ulule (et bien d’autres) et est utilisée par plus de 100 000 utilisateur·rices. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter là !Dans cet épisode, Romain Mazeries met en lumière le fonctionnement de MangoPay et offre conseils et apprentissages à appliquer si vous lancez votre plateforme e-commerce. A savoir : # Plus de 75% des paiements digitaux s’effectuent depuis des plateformes, et ce chiffre n’est pas près de baisser. Alors autant tout miser sur une bonne solution de paiement digital. # Le paiement en 3 fois sans frais va certainement beaucoup se développer selon les estimations de Romain. # Romain explique également le fonctionnement des e-wallets pour les plateformes et comment cela peut permettre de créer une économie circulaire bénéfique. # Vérifiez bien l’agrément de votre partenaire pour vous assurer, notamment, de la sécurisation des paiements de vos utilisateur·rices. # Renseignez-vous sur les différentes contraintes que vous aurez lorsque vous utiliserez une plateforme de paiement. # Regardez aussi si vous avez la possibilité de faire du reporting. # Et enfin, faites attention aux différentes intégrations que vous pourrez faire, ou non, selon la plateforme que vous choisissez. Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#114 - Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
118 - #118 - La Marque En Moins : Un peu de transparence dans les produits d’entretien pour séduire 50 000 abonnés, avec Nicolas Simon
Le sujet : Tout tient en “3 P” : planète respectée, produits sains et prix juste. C’est le crédo que Nicolas Simon et son associé Maxime Deguine, ont utilisé lorsqu’ils ont créé La Marque En Moins. L’invité : Nicolas Simon a d’abord travaillé pour une grande marque de yaourt végétaux anglaise avant de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale et fonder La Marque En Moins. L’objectif ? S’attaquer à un secteur plus qu’obscur en termes de composition : les produits ménagers et les rendre sains et bons pour la planète.La Marque en Moins : Fondée en 2020, La Marque En Moins est une gamme de produits ménagers livrés directement dans votre boîte aux lettres, écologiques, sans plastique et produits en France. En 2021, elle compte plus de 50 000 adeptes. Et ce n’est que le début... Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Nicolas Simon explique comment ils ont pensé puis lancé La Marque En Moins et tous les apprentissages qui en ressortent : # Si une campagne de crowdfunding ne démarre pas rapidement, c’est fichu. Nicolas et Maxime ont donc tout fait pour obtenir un maximum de visibilité dès les premières heures. # Il faut absolument définir une stratégie de pré-lancement. Avant même que votre produit existe, il vous faut une communauté qui croit en votre projet. # Il vaut mieux se concentrer sur un produit au départ et le faire cartonner avant de lancer tout une gamme. # Eux se pensent une boîte de produit et de service puisque leur communauté est tout aussi importante que leurs produits. # Ils ne vendent qu’en Direct To Consumer et en B2C pour lier une relation avec leur communauté et assurer un bon SAV. # Enfin, il faut se confronter à la réalité du marché. Il vaut mieux lancer son produit rapidement et l’améliorer ensuite que de vouloir proposer un produit parfait du premier coup.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#112 : Marcellin Pelhate - Le Beau Thé : Un side-project qui cartonne avec 500 000 sachets de thé personnalisés en 1 an, avec Marcellin Pelhate#114 : Jean Gregoire - Lovebox : comment craquer le code des États-Unis, avec Jean GrégoirePour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
117 - #117 - Série Spéciale Paiement - le mille-feuille de la transaction, avec Antoine Grimaud de PlayPlug
Dans cette série spéciale paiement, Laurent Kretz rencontre des acteur·rices incontournables du paiement en ligne. L’objectif ? Répondre à TOUTES les questions que vous vous posez et vous aider à trouver la meilleure solution de paiement qui correspond à vos besoins.L’invité : En 2012, Antoine Grimaud a fondé PlayPlug, une solution de paiement française conçue pour les PME et les micro-entreprises. Sa particularité ? Elle permet aux commerçant·es d'encaisser des paiements par carte bancaire en ligne (via SMS ou mail) et en magasin. En 2021, PlayPlug accompagne plus de 15 000 commerçant·es et e-commerçant·es au quotidien et a levé, en 10 ans, plus de 30 millions d’euros. Dans cet épisode, Antoine Grimaud se livre sur les enjeux des différentes solutions de paiements et offre, en prime, de bons conseils pour les e-commerçant·es : # Le principal enjeu est de proposer une solution simple, sécurisée et surtout qui fonctionne ! # Toute la solution est pensée en collaboration avec les différents CMS (Prestashop, Shopify, etc.) pour qu’elle s’adapte parfaitement aux différents sites e-commerce. # Les solutions de paiement participent aussi aux performances d’achat. Une authentification optimisée et un paiement simplifié permettent aux acheteur·euses de finaliser leur achat. # En tant qu' e-commerçant on veut souvent beaucoup de fonctionnalités dès le départ. Pourtant il ne faut penser qu’à une chose : une solution claire, simple et qui fonctionne "toute seule”. # Aujourd’hui même les DNVB choisissent à un moment de vendre leurs produits dans un point de vente physique. Les solutions de paiement doivent donc s’adapter au paiement hors-ligne et proposer des solutions O2O (online to offline et offline to online). # En tant que e-commerçant·e il ne faut pas vouloir trop vite aller à l’international. En terme de paiement on risque de se heurter à des systèmes de paiements différents et parfois à d’autres devises. # Enfin, aujourd’hui on remarque que les frontières entre les petit·es et les grand·es commerçant·es s’estompent. Chacun veut une solution de paiement similaire. Ils y parlent aussi d’anciens épisode du Panier :#18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ansCatch-up #8 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien Foiret#21 – Snowleader : User centric, reblochon et 32M€ de CACatch-up #12 – Snowleader : Data, agilité et reblochon, avec Thomas Rouault#90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme FilippiPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
116 - #116 - Raid Amazones et les 12 vies d’Alexandre Debanne
Le sujet : Un accident de moto qui fait tout relativiser. L’envie de faire enfin quelque chose qu’on aime. Changer de vie (encore). Réaliser une mission impossible. Voici, en quelques mots, la genèse de Raid Amazones. L’invité : Il a fait de la radio pirate, est devenu l’un des animateurs phares de la radio NRJ dans les années 1980, puis un animateur télé reconnu avant de fonder Raid Amazones. Oui, Alexandre Debanne a eu (à peu près) 1000 vies jusqu’à maintenant. Raid Amazones : Créé dans les années 2000, Raid Amazones organise des raids nature exclusivement féminin, ouvert à tous les niveaux et itinérant à travers le monde entier. Leur credo : "pas de moteur, que de la sueur". Les raids durent 10 jours (8 sur place) et nécessitent 70 organisateur·rices.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Alexandre Debanne revient sur les valeurs de Raid Amazones et explique comment il a pensé le projet depuis le début : # Tout a commencé lors d’un raid qu’il a lui-même fait en Guyane qui a participé à changer sa vie. # L’objectif de Raid Amazones ? Permettre de se découvrir soi-même et de se confronter à des situations inédites. Ce qui peut, parfois, agir comme une véritable thérapie. # Sa volonté de départ était de ne proposer le challenge à aucune sportive de haut niveau pour que les autres participantes ne se sentent pas dévalorisées. # Du sport il n’a pris que les valeurs et pas l’aspect compétitif. Aucun classement n’est effectué entre les différentes participantes. C’est un sport d’équipe. # Ce qu’il a appris : “il ne savait pas que c’était impossible alors il l’a fait.”. Organiser des événements à l’autre bout du monde aurait certainement semblé impossible. Mais Alexandre ne s’est pas posé la question, il a essayé. Merci à Alexandre Zurcher, le fondateur de Vintage Ride qui est passé dans l’épisode 92 du Panier, qui a permis l’enregistrement de cet épisode.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
115 - #115 - Catch-up Trusk : Du Ship-From-Store au Cross-Docking, avec Thomas Effantin
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Le 9 octobre 2019, dans l’épisode 13 du Panier, Thomas Effantin se confiait sur la genèse de Trusk, sa solution de transporteur professionnel spécialisé dans les derniers kilomètres des objets volumineux. Comme beaucoup d’entreprises, la COVID-19, le confinement de mars 2020 et la fermeture de tous les magasins de retail ont beaucoup impacté leur business. Alors dans cet épisode, Thomas Effantin explique comment ils se sont adaptés et ce qu’ils retiennent de ces 3 dernières années : # Dans les moments de crise, pour ne pas “burner” il faut se demander ce qui est VRAIMENT nécessaire au fonctionnement de son entreprise et éliminer tout le reste. # Si le retail était fermé pendant le confinement, ce n’était pas le cas du e-commerce qui continuait de fonctionner. Trusk est donc passé du Ship-From-Store au Cross-Docking pour continuer ses livraisons. Aujourd’hui les deux solutions sont toujours proposées. # La culture d’entreprise est cruciale. Pour bien fonctionner il faut que chacun soit aligné sur des valeurs et des objectifs similaires. # Ne pas être borné et toujours se demander quels axes d’améliorations sont envisageables. # Et enfin, la vie est belle, il faut prendre soin de ses proches. Ce sont eux qui donnent l’énergie d’entreprendre !Ils y parlent aussi d’un ancien épisode du podcast de Matthieu Stefani, Génération Do It Yourself :#16 Bertrand Altmayer – Marcel – Se lancer contre le mastodonte Uber et revendre sa startup à RenaultEt d’une recommandation livre : La Règle ? Pas de règle : Netflix et la culture de la réinvention de Reed HastingsPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
114 - #114 - Lovebox : comme craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
Le sujet : Partir d’un besoin fondamental : dire aux gens qu’on les aime en leur envoyant de l’amour et du bonheur. Peu à peu, conquérir le marché américain et réussir à être rentable dès le tout premier trimestre. Ce n’est pas un conte de fées mais bien la belle histoire de la Lovebox.L’invité : À la fin de ses études, en 2017, Jean Grégoire vit une belle histoire d’amour qui lui inspire son produit devenu phare : la Lovebox. Le concept est simple, une boîte à amour connectée qui permet d'échanger d'une façon privilégiée avec nos proches et qui fait de chaque message envoyé un cadeau. Lovebox : Petit boîtier en bois connecté, la Lovebox a très vite séduit son public et a aujourd’hui été vendue plus de 150 000 fois. Après une campagne Kickstarter lancée en 2017, Jean Grégoire a conquis le marché américain dès 2019. Aujourd’hui la Lovebox est vendue à 95% en ligne et 80% des ventes s’effectuent même en Direct To Consumer. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse de Lovebox et Jean Grégoire se confie sur leurs différents apprentissages, notamment : # Pour se lancer sur le marché américain il est important d’avoir un produit fini et déjà testé. # En tant qu’entrepreneur, il s’agit de trouver le bon trade-off entre se lancer vite et pas trop tard. # Réussir ses objectifs Kickstarter est aussi ce qui permet d’être sélectionné dans la newsletter Kickstarter et donc de gagner en visibilité. # Il est plus facile de faire +10% dans un pays où l’on est déjà présent que 10% dans un nouveau pays. Il est donc plus productif de se focaliser sur 1 ou 2 pays au départ. # Leur produit est “tiktokable” et représente 50% de leur new biz. Jean Grégoire imagine d’ailleurs que d’ici quelques années certains produits seront même designés pour TikTok. # Enfin, Jean se livre sur leurs objectifs à venir et les nouveaux produits qu’il compte développer.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#12 – Lunii : De 0 à 20 millions d’euros en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#67 - Sodilog - Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord#Catch-up 5 – Lunii : Il était une fois … une startup en hypercroissance qui rapatrie sa production pour être fidèle à ses valeursPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
113 - #113 - DĒVOR : La cuisine est-elle morte ? avec Jean Valfort
Le sujet : Dans cet épisode de rentrée on parle BOUFFE ! De son passé, de son présent et de son futur. 10 ans en arrière auriez-vous imaginé des restaurants sans service à table ?L’invité : Restaurateur depuis 8 ans, Jean Valfort a ouvert une dizaine de restaurants entre Nice et Paris avant de se lancer dans la restauration virtuelle (autrement dit, des restaurants qui ne font que de la livraison).DĒVOR : Franchiseur nouvelle génération, DĒVOR s’adresse à celles et ceux qui veulent faire leurs premiers pas dans la restauration virtuelle. Fondée en 2021, la société comptabilise déjà 9 restaurants et ne compte pas s'arrêter là ! Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Jean Valfort livre ses meilleurs conseils pour se lancer dans la restauration en 2021 : # L’emplacement reste important, il faut faire appel à de très bons décorateurs, très bon chefs et une très bonne agence de presse, notamment dans des villes très concurrentielles comme Paris. Il faut ensuite proposer un service impeccable et bon rapport qualité/prix. #Ouvrir un restaurant à Paris ou en région sont deux expériences très différentes. Le poids du social media et des influenceurs est plus important en région car la nouveauté est constante à Paris. #Avoir en tête que la restauration est un des derniers sujets qui se consomme à proximité, on ne peut pas manger dans les restaurants étrangers. # Un restaurant en France est remboursé au bout de 7 ans, c’est alors un pari réussi. A ce stade, il peut être intéressant d’en faire une institution ou une vache à lait qui peut être revendue. # Avec un restaurant, on peut espérer entre 10% et 30% d'ebidta. #Dans la restauration virtuelle, les leviers sont très opérationnels : il faut livrer chaud, préparer les plats en moins de 5 minutes, le livreur doit attendre très peu devant la cuisine et le restaurant doit avoir des bonnes notes de la part des clients . C’est un métier de process.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier : #87 - Just Eat : Comment le marché du food delivery a pris 3 ans de maturité en quelques mois ?, avec Méleyne Rabot#102 - La Maison de La Poutine : Penser l’expérience client comme un contenu, avec Guillaume NatasPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
119 - [REDIFF] - Flowrette : D’un side-project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, avec Côme Filippi
L’invité : C’est après avoir visité un marché aux fleurs lors de leur voyage en Thaïlande que Côme Filippi et sa compagne Elodie Gervet, ont l’idée de créer Flowrette, une marque autofinancée de produits artisanaux spécialisée dans la décoration et la création de bouquets de fleurs séchées.Le sujet : Si Flowrette était à l’origine le side project de Côme et Elodie, ils en ont très vite fait leur business à temps plein. Et pour cause, quelques mois seulement après la création de Flowrette, la marque réalisait entre 30 et 40 commandes par jour ! Le tout pour un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros en 2020. L’objectif désormais ? Doubler ce CA en 2021. Et c’est bien parti !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent :# Que monter un business est accessible à TOUS et TOUTES. Eux ont tout fait tout seuls et en plus de leur travail. Si vous avez une idée, foncez !# Comment ils ont utilisé Google Trends mais aussi Google Keyword Planner dès le début, pour s’assurer de la tendance des fleurs séchées sur le marché.# Mais aussi comment ils se sont servis du SEO et de plugins comme Moz et Affilae pour connaître les domaines d’autorités des sites de leurs concurrents.# Pourquoi ils ont choisi de vendre des fleurs séchées, beaucoup moins polluantes que des fleurs fraîches en provenance de l’autre bout du monde.# Sa préférence pour Shopify face aux autres CMS : plus stable mais surtout plus compatible avec de nombreux plugins.# L’importance d’ouvrir des boutiques physiques pour rencontrer ses clients et avoir leur avis en direct sur le produit.# La saturation du marché des fleurs séchées. Aujourd’hui la demande B2B est supérieure à l’offre donc il est important de générer du stock et d’être au plus proche des producteurs de fleurs.# L’importance de choisir ses combats pour être plus performant. Eux, par exemple, ont choisi de se focaliser sur l’offre B2C.Ils évoquent également d’anciens épisodes du Panier :#53 – Wecasa : Convaincre 100 000 acheteurs de services à domicile en 4 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
118 - [REDIFF] - Eskimoz : 10 conseils SEO spécial e-commerce, avec Benoît Perrotin
“Pour faire un bon SEO, il faut être curieux de nature, aller regarder ce que fait la concurrence, mais aussi savoir se remettre en question en permanence.”Benoît Perrotin, le nouvel invité du Panier, est le directeur SEO d’Eskimoz, une agence de référencement naturel. Après des études de développement informatique, Benoît s’est très rapidement intéressé au SEO et a intégré Performics et Pixmania pour se spécialiser. Chez Eskimoz, il est chargé de la BU e-commerce et aide chaque entreprise dans sa stratégie de visibilité sur le web.“Il est toujours important d’afficher des éléments de réassurance dans ses méta-descriptions : paiement sécurisé, livraison offerte, retours gratuits etc. L’internaute se sentira plus en confiance.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur tous les rouages du référencement naturel, et offrent plus de 10 conseils concrets et actionnables pour votre SEO :15’28 : En e-commerce, pour créer un bon site, il faut bien penser son parcours utilisateur pour qu’il soit le plus court possible.18’45 : Il ne faut pas sous-estimer le point d’entrée de la page d’accueil. Il est essentiel de mettre les meilleurs liens possibles et il ne s’agit pas de mettre en avant son nouveau produit mais au contraire des produits stratégiques. 26’32 : Si l’on a 50 pages de listes de produits, il faut multiplier le nombre de produits sur chaque page et paginer sous la forme “1,2,3,4,5...10...50” pour que les fiches produits soient indexées plus facilement. 32’10 : Lorsque l’on fait de l’infinite scroll, il faut prévoir une navigation alternative sous forme de pagination pour que tout le contenu soit indexable. 34’54 : Pour indiquer à Google qu’une fiche produit est très importante, il faut faire du maillage interne entre les différentes fiches. 38’28 : Faire de l’up-sell ou du cross-sell est intéressant du point de vue de l’expérience client mais pas forcément du côté SEO.42’52 : Il vaut mieux utiliser des # plutôt que des ? dans ses URL.47’20 : Au début, il vaut toujours mieux se focaliser sur l’optimisation de ses meilleurs produits.48’36 : Un marquage des avis produits permet un taux de clic en hausse de 30% à 40%. De même, il est important de faire une moyenne des notes du site et de les restituer dans les pages catégories.57’22 : Lorsque l’on est présent à l’international, il est très important de localiser le contenu et de créer des contenus spécifiques à chaque pays. 59’25 : Il faut bien travailler sa performance web et la vitesse de chargement de sa page. Cela passe par des images moins lourdes, du lazy loading, etc. Benoît Perrotin livre aussi ses conseils en terme d’outils pour améliorer son référencement : Trustpilot, Avis-Vérifiés, Imagify sur Wordpress, Lazy Load, Screaming Frog ou encore SEObserver. On y parle aussi d’anciens épisodes du Panier :#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?#40 – MaCoque : Se battre contre Amazon en auto-financement et croissance organique#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
117 - [REDIFF] - Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an, avec Thomas Méheut
“Dès le début de l’aventure, on a fait intervenir la communauté de Justine dans le développement produit. On a échangé avec plusieurs personnes sur le projet, le produit, le parfum etc.”Thomas Méheut, nouvel invité du Panier, est le co-fondateur de Respire, une gamme complète de soins d’hygiènes bons pour la peau, recyclables et fabriqués en France. Après s’être fait diagnostiqué une tumeur bénine à la poitrine, Justine Hutteau, la co-fondatrice, a souhaité, avec Thomas, créer des produits qui ne soient plus nocifs pour son corps. Seulement un an après le lancement de son premier produit — un déodorant naturel — Respire a réalisé plus d’un million de ventes et satisfait 50 000 clients en ligne. Aujourd’hui, la marque propose une quinzaine de références et est distribuée chez Monoprix, Sephora et bientôt dans de nombreuses pharmacies.“Lorsqu’on a lancé notre crowdfunding on espérait 3 000 à 4 000 pré-commandes de déodorants. En 24 heures on en a vendu 5 000 et 20 000 en un mois.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils détaillent les objectifs de Respire. De la campagne de crowfunding lancée sur Ulule il y a un peu plus d’un an, à la vente de millions de produits, en passant par leur passage dans Qui Veut Être Mon Associé sur M6, Thomas retrace leur parcours et ce qu’ils ont accompli depuis le début. Il revient aussi sur leurs choix de distribuer leurs produits en pharmacie et le succès du lancement de Respire en grande distribution. Thomas Méheut explique également comment ils sont parvenus, dès le début grâce au “Respire Club”, à faire de leurs clients de véritables ambassadeurs et fédérer une communauté autour de Respire. Enfin, Thomas se confie sur leurs chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien tels que Klaviyo, Shopify, Viral loop ou encore Judge.me pour rassembler les avis de leurs clients.Je remercie Michael Weisz, fondateur Shapeheart, qui m’a permis cette rencontre.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
116 - [REDIFF] - Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?, avec Quentin Ory
“Avant de me lancer, j’étais certes dans les jeux de société mais je ne connaissais rien au marché du jouet. J’avais seulement quelques a priori et le sujet du plastique en tête.”L’invité du nouvel épisode du Panier, Quentin Ory, a co-fondé, il y a tout juste 1 an, Les Mini Mondes. Son objectif : créer des jouets en plastique recyclé adaptés aux enfants, le tout made in France. L’autre objectif : faire découvrir le monde aux enfants en mettant, tous les deux mois, un pays à l’honneur dans un cahier de jeux éducatif. En février 2019, Quentin a l’idée du projet, en juin il rencontre sa future associée, Marine, et fin novembre 2019, les jouets sont prêts à être livrés pour Noël. En à peine quelques mois, ils réalisent plus de 100 000 euros de Chiffre d’Affaire dont les 70% dans les 3 semaines qui précèdent Noël. “En janvier, on fait un mois dédié à l’apprentissage. On prend de la hauteur, on contacte des clients pour avoir leur retour, on contacte des entrepreneurs, on fait de la veille etc.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les prémices du projet des Mini Mondes, de la création d’une vidéo annonçant le projet à la conception des moules et du design des jouets en passant par des entretiens auprès de 200 parents pour comprendre les besoins des enfants. Ils reviennent également sur les précédents jeux créés par Quentin qui lui avaient valu un passage dans “Qui veut être mon associé ?”. De même, Quentin raconte comment ils sont parvenus à accélérer la phase de fabrication de leurs premiers coffrets et pourquoi ils ont choisi de ne pas, pour l’instant, faire de retail. Enfin, il nous livre leurs futurs projets pour cette nouvelle année. On a aussi parlé d’anciens épisodes du Panier et de Génération Do It Yourself :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois#102 Maëlle Chassard – Lunii – Comment détrôner Sophie la girafe dans le coeur des enfants (et des parents) ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
112 - #112 - Le Beau Thé : Un side-project qui cartonne avec 500 000 sachets de thé personnalisés en 1 an, avec Marcellin Pelhate
Le sujet : Peut-on TOUT personnaliser, même des sachets de thé ? Marcellin Pelhate répond 100 fois oui ! Si personne ne croyait trop en ce business, il a quand même décidé de se lancer avec sa compagne. Et c’est un carton plein ! Asseyez-vous avec une bonne tasse de thé, l’épisode va commencer. L’invité : Après plusieurs années passées dans le secteur de la banque, Marcellin Pelhate avait besoin de travailler sur un produit que les gens aiment VRAIMENT. Alors avec sa compagne ils se sont lancé dans l’aventure Le Beau Thé, un atelier de création de sachets de thé bio et personnalisables.Le Beau Thé : Pendant la première année, alors que ce n’était n’était qu’un side project, Le Beau Thé a réalisé seulement 10k€ de chiffre d'affaires. Mais dès que Marcellin et sa conjointe se sont lancés à temps plein dans l’aventure, la marque a explosé. La première année de lancement, ils ont réalisé plus de 300k€ de CA et ont désormais vendu plus de 500 000 sachets de thé. Et ce n’est que le début !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il explique la genèse du projet du Beau Thé et met en lumière tous les enseignements qu’ils ont tirés de ce projet. # Leur objectif ? Conquérir le marché par le design. Et quand on travaille avec des marques comme Dior c’est ESSENTIEL ! # Il est toujours plus facile d’augmenter le prix que de le faire baisser. En appliquant ce principe, ils ont même réussi à dégager une plus grande marge pour la distribution et garantissent des produits de meilleure qualité. # La désirabilité. C’est le maître mot qu’il faut garder à l’esprit quand on veut vendre un produit. # Lancer une landing page pour tester, contacter les consommateurs et se lancer. Voici l’ordre d’action qui a fonctionné pour Le Beau Thé. # Il faut accepter que tout n’est pas automatisable. Parfois il faut revenir à du travail manuel. # Le persona type de leur cible B2C est le même que leur cible B2C. Pratique. # Et enfin les outils qu’ils utilisent au quotidien : Klaviyo, Shopify ou encore Simple.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?#90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme Filippi#95 - Silvr : Comment financer sa croissance et son accélération ?, avec Nima KarimiPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
111 - #111 - Pinterest : 10 conseils pour vendre mieux et plus grâce à Pinterest, avec Emilie Nguyen
Le sujet : Décoration pour son mariage, cadeaux de Noël pour toute sa famille ou simplement envie de pimper son salon, on manque souvent d’inspiration. Alors pour trouver des idées sur-mesure il y a Pinterest ! L’invitée : Après avoir bossé dans à peu près tous les GAFAM et notamment Microsoft, Amazon et Google mais aussi Youtube, Emilie Nguyen est Sales Manager chez Pinterest. Son challenge aujourd’hui ? Développer des partenariats pérennes avec différents annonceurs. Pinterest : Célèbre réseau social consacré aux contenus visuels, Pinterest permet à ses utilisateurs de partager leurs centres d'intérêt et passions à travers des tableaux. Créée en 2010 aux Etats-Unis, la plateforme s’est très vite exportée dans de nombreux pays et compte aujourd’hui plus de 475 millions d’utilisateurs uniques chaque mois dans le monde. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Emilie Nguyen livre ses meilleurs conseils pour vendre mieux et plus sur la plateforme : # Créer des contenus originaux et qui plaisent au plus grand nombre. Et pour ça il faut parfois prendre du recul sur sa marque pour proposer d’autres formats. Si vous êtes une marque de mode par exemple, ne proposez pas que des OOTD, proposez aussi des formats axés vacances etc. # Penser utile, inspirant et actionnable. Cela doit devenir votre crédo dès que vous créez pour Pinterest. # Favoriser le format vertical. N’oubliez pas que 80% du temps la plateforme est utilisée depuis un mobile. # De même ajouter du texte en surimpression sur ses images. Une image seule aura toujours moins de poids. # Penser saisonnalité. Noël, la rentrée… tous ces moments sont propices aux recherches utilisateurs. # Utiliser la publicité pour faire découvrir vos produits à un public plus large.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ans#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an#41 – Chefclub : la recette pour 80M de followers organiques et 1 milliard de vues par mois en 4 ans#90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme FilippiPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
110 - #110 - Too Good To Go : Sauver 80 millions de repas dans 18 pays du monde en 5 ans, avec Georges Abi-Heila
Le sujet : Chaque année, 10 millions de tonnes de nourriture sont jetées à travers le monde . Ecologiquement parlant, c’est un désastre. Alors pour aider les restaurateurs et commerçants à ne plus gaspiller le fruit de leur travail Too Good To Go est né.L’invité : Après être passé chez eFounders, Station ou encore On Train, Georges Abi-Heila est devenu le Head of Growth de Too Good To Go dans le monde. Au quotidien, il gère donc la totalité de la stratégie marketing des 18 pays dans lesquels Too Good To Go a aujourd’hui un bureau. En parallèle, Georges Abi-Heila anime également le podcast Le Nectar.Too Good To Go : Depuis 2016, l’application qui aide les restaurateurs et commerçants à lutter contre le gaspillage alimentaire a déjà aidé à sauver plus de 80 millions de repas. Et pour cause, l’application cartonne ! En 2021, elle compte plus de 40 millions d’utilisateurs dans le monde et aide en moyenne chaque restaurateur à sauver 80% à 90% de leurs repas déjà préparés. Comme quoi transformer ses pertes en profits tout en préservant la planète, c’est possible !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Georges Abi-Heila met en lumière les différents apprentissages qu’il a retenus grâce à Too Good To Go. A savoir : # Chaque marketplace est confrontée au problème de l’oeuf et de la poule entre l’offre et la demande. Du côté de Too Good To Go, c’est toujours l’offre qui existe en premier. # Non, la publicité n’est pas morte. Lorsque l’on met du budget publicitaire pour toucher de nouveaux utilisateurs, ils arrivent toujours. # Apprendre avec Google est parfois (souvent) plus efficace que d’apprendre dans un cours en présentiel. # L’AAARRR signifie Awareness Acquisition Activation Retention Revenue Referral. En d’autres termes, cela correspond au découpage du parcours utilisateur du moment où il connaît l’application jusqu’à ce qu’il la recommande autour de lui. Ce schéma est applicable pour à peu près TOUT et vous aidera à structurer votre pensée. # Plus une boîte grossit, moins l’on réalise un métier opérationnel. # Il existe 3 manières d’interagir avec ses utilisateurs : par des SMS, des notifications push ou des emails. Et bien sûr tout dépend du profil de chacun. # Pour faire en sorte que ses utilisateurs recommandent l’application autour d’eux, il faut penser à la nature mais aussi à la valeur de la récompense acquise.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
109 - #109 - Catch-up Miasun : Pourquoi ce rapprochement avec Fatboy, avec Valériane Voirin et Hortense de Pontabry
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Le 2 juillet 2019, dans l’épisode 6 du Panier, Valériane Voirin et Hortense de Pontabry racontaient la genèse de Miasun, une marque de tentes de plage nouvelle génération, conçues pour protéger des UV et résister au vent. Un passage dans l’émission Capital — qui a d’ailleurs généré plus de 100 000 visites sur le site le soir même — et deux ans plus tard, Miasun a cédé l’exploitation de la marque et du produit au géant néerlandais Fatboy. Alors dans cet épisode, Valériane Voirin et Hortense de Pontabry reviennent sur l’histoire de leur fusion avec le groupe néerlandais et tous les apprentissages que cela leur a enseignés : # Il faut se fier à ses intuitions et rester focus sur ses premiers objectifs. # Malgré la fusion, elles ont gardé leur site internet en expliquant désormais le lien de Miasun et Fatboy. L’objectif ? Que les clients ne pensent pas que Fatboy ne faisait que copier Miasun. # Aujourd’hui elles sont toujours consultantes pour Fatboy et s’occupent de tous les réseaux sociaux. Cela leur permet de développer ce qu’elles aiment sans se soucier de la partie production. # La chance sourit aux audacieuses. C’est leur plus gros apprentissage. Être audacieuses et oser rencontrer des gens. C’est de là que naissent les plus belles choses. # Connaître ses faiblesses permet de trouver d’autres solutions possibles aux problèmes rencontrés.Ils y parlent également d’un ancien épisode du Panier : #18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
108 - #108 - Wethenew : Une passion sneakers qui mène à des dizaines de millions de CA, avec Michael Holzmann
Le sujet : Partir d’un passion qui permettait de gagner un peu d’argent pendant ses études et en faire une machine de guerre comptabilisant plusieurs dizaines de millions d’euros en 3 ans. Voilà le pari fou que s’est lancé Michael Holzmann. L’invité : En prépa, Michael Holzmann rencontre son futur acolyte : David Benhaim. Une école de commerce et 2 stages plus tard, ils lancent tous les deux Wethenew : une marketplace spécialisée dans la vente de sneakers en édition limitée. Le tout, en offrant une expérience similaire et aussi qualitative que les vendeurs de baskets "classiques".Wethenew : Créé en 2018, Wethenew s’est rapidement positionné sur le réseau des revendeurs particuliers et cartonne. Depuis trois ans, ils triplent voire quadruplent leur chiffre d’affaires chaque année. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il revient sur le développement de Wethenew et sur l’incroyable croissance qu’ils ont réalisée depuis. En quelques mots : # L’histoire de sa rencontre avec David Benhaim et leur rapide volonté de créer une boîte dès leur sortie d’école. # Leurs profils complémentaires en tant que co-CEO et comment cela leur permet de mieux se challenger et d’aller plus vite au quotidien. # Le choix du nom Wethenew qui leur permet de ne pas s’enfermer uniquement dans le marché des sneakers, au cas où. # Si dès le départ Michael et David avaient l’avantage de bien connaître le “pain” des clients, l’objectif était de parvenir à créer une expérience e-commerce simple, intuitive et efficace. # Pour se faire connaître, ils ont notamment contacté tous les joueurs de Ligue 1 à la main sur Instagram en leur proposant des paires de chaussures. # Mais aussi pourquoi et comment ils ont réalisé des partenariats avec des influenceurs très rapidement qui leur ont permis de développer une communauté. # Leur principal apprentissage sur Instagram : les 10k premiers followers sont les plus durs à atteindre. Et pour ce faire, une seule solution : la régularité. Eux postent 4 posts par jour et 10 stories sur leur compte depuis 3 ans. Le résultat est au rendez-vous puisqu’ils ont désormais plus de 700k abonnés. # Son meilleur conseil SEO : écrire minimum 150 mots sur chacune des pages de son site et faire beaucoup de maillage interne. # Et enfin les outils qu’ils utilisent au quotidien : Nosto, Shopify, Alma, Eulerian ou encore Wisp.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
107 - #107 - Catch up Snowleader : Data, agilité et reblochon, avec Thomas Rouault
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.En décembre 2019, dans l’épisode 21 du Panier, juste avant que ne commencent les grèves, Thomas Rouault, cofondateur de Snowleader, un site de vente en ligne d'équipements de sports d’outdoor (ski, snowboard, etc.), racontait leur ambition de se diversifier. S’en est suivi une jolie levée de fonds de 10 millions d’euros mais aussi une double crise : celle de la Covid-19 mais aussi la fermeture de toutes les stations de ski entre mars et juin 2020. En quelques mois, Snowleader a donc perdu plus de 85% de son chiffre d'affaires initial. Heureusement, l’entreprise a rapidement su rebondir et finalement augmenter son CA de 30% en 2020 pour un total de 45 millions d’euros. Une belle prouesse !Alors dans cet épisode, Thomas Rouault nous explique comment ils ont réussi à s’adapter à cette situation exceptionnelle mais aussi les enseignements qu’ils ont tirés depuis décembre 2019. Notamment : # Rester agile avec la data pour comprendre les nouveaux besoins et adapter ses décisions en cas de situations exceptionnelles. C’est de cette manière que Snowleader s’est aperçu de la demande du côté des portes bébé par exemple. # Garder le lien avec ses consommateurs. Même sans événements, il est toujours important de continuer à échanger avec eux. # Si les enchères des mots-clés SEA ont baissé, il fallait sélectionner où se positionner. Inutile par exemple d’investir certaines catégories où les recherches étaient au plus bas. # AN-TI-CI-PER. Toujours. En juin 2021, Snowleader se prépare au pire au cas où un variant indien ferait fermer les stations à l’hiver 2021-2022. # La création de la fondation We are Outdoor pour donner l’opportunité à tous les enfants de découvrir et préserver la montagne.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
106 - #106 - Greenweez : la marketplace du bio qui a multiplié son CA par 10 en 5 ans, avec Romain Roy
Le sujet : Démocratiser l’accès aux produits bio : un pari réussi pour Greenweez, leader français et européen du bio en ligne. En fondant cette startup, Romain Roy souhaitait rendre accessible les produits bio en proposant des prix inégalables sur le marché et des livraisons partout en France. En 12 ans, Greenweez n’a cessé de croître et a récemment lancé sa marketplace.L’invité : Romain Roy n’en est pas à sa première expérience dans l’entreprenariat. En 2003 il fonde sa première entreprise dans le secteur des télécoms, finalement revendue en 2007. Un an plus tard, cette revente lui permet de fonder Greenweez à la suite d’un constat très simple : il n’existe pas de marché en ligne pour les produits écologiques.Greenweez : Fondée en 2008, Greenweez est la marketplace leader du bio en ligne proposant une large gamme de produits écologiques, biologiques et de bien-être, livrés partout en France. Leur mantra : "La consommation responsable accessible au plus grand nombre." En 2020 la startup a atteint 60 % de chiffre d’affaires et a franchi la barre des 100 millions d’euros.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il explique l’évolution de Greenweez depuis sa création mais aussi ses meilleurs apprentissages : #Le nerf de l’entreprenariat est l’argent, il faut le dépenser intelligemment. Il est important d’avoir des valeurs d’entreprise fortes. #L'importance de garder un contact direct avec le client, par exemple en écrivant le site l’adresse mail du fondateur ou d’un collaborateur Cela permet de recevoir simplement des recommandations des utilisateurs. #Comment passer du positionnement de supermarché bio en ligne à celui de place de marché référente en Europe de la consommation responsable. #Au lancement d’une place de marché, la nécessité de se concentrer sur ses catégories fortes et son savoir-faire existant en premier lieu. #L’importance de faire branding et de ne pas se contenter d’une approche ROIste qui peut entraîner un déficit de notoriété. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
105 - #105 - Catch-up L’Équipe : Confirmer sa place de #1 du sport grâce à l’innovation, avec Emmanuel Alix
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.En novembre 2019, dans l’épisode 19 du Panier, Emmanuel Alix, directeur du pôle numérique de L’Équipe, expliquait les recettes gagnantes du premier quotidien et média sportif de France. Mais en mars 2020, avec le confinement généralisé, les matchs sportifs se sont arrêtés. L’Équipe n’avait donc plus aucune info chaude à partager.Malgré tout, ils sont parvenus à conserver plus de 70% de leur audience jusqu’en mai 2020. En mai 2021, c’est même plus de 1,7 milliard de pages qui ont été vues. Dans cet épisode, Emmanuel Alix prend le temps de revenir sur leurs différents apprentissages durant ces deux dernières années. À savoir : # lls se sont renouvelés pendant le premier confinement en proposant des contenus plus “froids”, des analyses, des faits historiques, etc. Et cela a plu puisque les auditeurs qui ont aimé ces contenus en mars 2020 lisent toujours ceux de 2021. # Le freemium n’est pas plus intéressant que les offres promotionnelles d’un point de vue business. # Ils misent désormais sur les Lives et les temps longs (documentaires, etc.) pour intéresser un maximum d’auditeurs. En prime, les Lives présentent un plus grand intérêt pour la monétisation que les articles. # Certains contenus sont réservés aux abonnés pour enrichir leur offre au maximum et faire en sorte qu’ils ne se désabonnent pas. # Enfin, si la data est toujours au cœur de leur stratégie, c’est la qualité du contenu qui prime.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
104 - #104 - My Job Glasses : révolutionner l’orientation professionnelle, avec Frédéric Voyer
Le sujet : 4 offres d’emploi sur 5 ne sont jamais visibles sur les plateformes d’emploi car elles se limitent à un petit cercle professionnel et ne sont jamais visibles sur les plateformes d’emploi. On l'apprend avec l'âge et l'expérience, plus ou moins tôt, mais toujours trop tard. Alors l’objectif de My Job Glasses ? Redéfinir l’orientation professionnelle. L’invité : Frédéric Voyer ne se prédestinait pas à l’entrepreneuriat. Pourtant après quelques années dans le milieu du conseil et de l’assurance, il a voulu adresser un problème de fond : l’orientation professionnelle des jeunes. Alors en 2015, accompagné d’Emilie Korchia, il a décidé de fonder My Job Glasses, une plateforme de mentoring professionnel dédiée aux 15-30 ans.My Job Glasses : La mission de cette plateforme ? Connecter étudiants et professionnels. Et ça cartonne ! En 2021, My Job Glasses a aidé plus de 150 000 étudiants grâce à ses 52 000 experts partenaires présents dans presque 130 pays. Et si en 2020 ils ont réalisé plus de 1,5 million d’euros d’ARR (Annual Recurring Revenu), l’objectif est de doubler ce chiffre cette année.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il explique les raisons qui l’ont poussé à lancer My Job Glasses mais aussi ses meilleurs apprentissages depuis 2016 : # La genèse de la plateforme ? Apprendre à se créer un réseau lorsque l’on débute sa carrière professionnelle. # Comment Frédéric Voyer s’est formé et cultivé à l’entrepreneuriat. Mais aussi comment il a d’abord testé son projet grâce à un tableau Excel. # La volonté de My Job Glasses de rapidement se positionner en tant que spécialiste de la démarche réseau et comment ils ont formé de nombreux étudiants. # Mais également leur démarche de former aussi les mentors experts. # Et enfin, avec le recul, comment ils auraient dû être plus clairvoyants sur le recrutement pour mieux s'adapter à leurs enjeux.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
103 - #103 - Catch up Asphalte : Diversification comme moteur d’accélération, avec Rodolphe Gardies
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Le 5 juin 2019, dans un des tous premiers épisodes du Panier, Rodolphe Gardies, le Chief Marketing Officer d’Asphalte, une marque de vêtements en ligne, m’expliquait pourquoi il avaient choisi de se positionner sur la précommande, la co-création avec leur client et la gamme réduite. L’objectif ? Proposer des vêtements de qualité faits pour durer. En 2021, si l’objectif n’a pas changé, le business model, lui, a connu quelques changements. Puisqu’il n’était pas viable de proposer un seul nouveau vêtement chaque mois, 2 ans plus tard Asphalte compte désormais deux nouveaux modèles par semaine. Et cette diversification leur a permis une belle accélération. Dans cette même veine, en octobre 2021, la marque proposera désormais une collection femme. Dans cet épisode, il prend le temps de revenir sur leurs différents apprentissages durant ces deux dernières années : # Faire confiance à ses équipes est crucial. Recruter des gens excellents, leur transmettre la vision de la marque et les laisser faire le reste… Voilà l’équation idéale. # Lorsque l’on publie du contenu sur Youtube, il faut être sincère et créer des vidéos que l’on aimerait soi-même regarder. # Sa plateforme de marque doit être définie progressivement en se demandant toujours “Quelle est notre raison d’être ?” # Il faut apprendre à scaler les ouvertures de différents pays, en testant plusieurs pays et en comprenant l’intérêt des différents clients. Les équipes d’Asphalte se sont par exemple rendues compte que leurs clients allemands étaient beaucoup plus en phase avec l’ADN de la marque et prenaient le temps de répondre à différents questionnaires que leurs clients anglais. Rodolphe Gardies recommande aussi un livre qui lui a beaucoup appris :La règle ? pas de règles: Netflix et la culture de la réinvention de Reed HastingsIls y citent aussi d’anciens épisodes du Panier :#32 – Faguo : 12 millions de CA et 1,5 million d’arbres plantés#74 - Feed : L’enjeu d’une scale-up – Donner du sens pour accélérer à l’internationalPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
102 - #102 - La Maison de La Poutine : Penser l'expérience client comme un contenu, avec Guillaume Natas
Le sujet : Dark Kitchens, hérésie de la livraison gratuite, escape game, branding, communauté, TikTok, #foodporn, transparence et honnêteté… vous entendrez parler de toutes les bonnes pratiques pour une bonne expérience client.L’invité : Auteur, producteur, blogueur, créateur de contenu, consultant éditorial, mais aussi fondateur d’un Escape Game parisien Guillaume Natas a déjà eu 16 vies (minimum). En 2018, il a décidé de se lancer dans un tout autre univers, celui de la food, en cofondant La Maison de La Poutine avec son frère, Erwan Caradec et Florent Steiner.La Maison de La Poutine : Première chaîne de restaurants français entièrement consacrée à la Poutine, La Maison de la Poutine mise tout sur le "Made In France" - même s’ils utilisent une spécialité québécoise, leur fromage est fabriqué en Savoie par un maître fromager français, formé au Québec. En 2021, ils ont trois adresses à Paris et une à Toulouse. Mais ils comptent bien ouvrir d’autres franchises sur le reste du territoire français dans les prochaines années.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il livre ses meilleurs conseils et apprentissages pour faire décoller sa marque. Notamment : # Il faut accompagner le client dans sa première approche avec la marque. C’est ce dont il se souviendra le plus et qui le fera adhérer à votre marque. # Il vaut mieux être dans la transparence, l’honnêteté et le zéro bullshit. C'est comme cela que l’on construit une relation sur le long terme avec ses clients # L'expérience client doit être pensée comme un contenu : on écrit une histoire et on la fait ensuite vivre pour sa marque. Le meilleur exemple est celui des escapes games imaginés par Guillaume Natas. # Son meilleur apprentissage du COVID : il ne faut pas trop se précipiter et conserver une gestion saine de sa boîte. A vouloir trop anticiper, La Maison de La Poutine avait par exemple réalisé un trop grand nombre d’embauches, menant à des licenciements successifs pendant la crise sanitaire en 2020. # Selon Guillaume Natas, demain, chaque business devra être pensé avec la perspective d’un nouveau confinement en tête. Et anticiper en conséquence son modèle et son organisation pour continuer à exister même lors de ces périodes. # Utiliser les réseaux sociaux quand on a un restaurant est certes essentiel mais il faut adapter chaque contenu au réseau social employé.Ils ont aussi parlé d’anciens épisodes du Panier :#41 – Chefclub : la recette pour 80M de followers organiques et 1 milliard de vues par mois en 4 ans#87 - Just Eat : Comment le marché du food delivery a pris 3 ans de maturité en quelques mois ? Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
101 - #101 - Catch up Tshirt Corner : Solutionner la rupture de la normalité chez vos clients, avec Nicolas Serres
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Le 24 octobre 2019, dans l’épisode 15 du Panier, Nicolas Serres, Directeur Général et cofondateur de Tshirt Corner, plateforme française multi-marques spécialisée dans la vente en ligne de textiles, m’expliquait qu’ils avaient fait le choix de proposer une offre B2B pour ne pas être trop dépendant de la saisonnalité. Mais Tshirt Corner a vu la moitié de son activité s’arrêter pendant l’épidémie de la Covid 19 et les différents confinements entre mars 2020 et juin 2021. Et pourtant, en 2021 ils ont plus que doublé leur croissance.Créée en 2015, la plateforme compte aujourd’hui plusieurs marques — Atelier Tshirt Corner, Styley etc. — B2B, B2C mais aussi l’événementiel.Dans cet épisode, il prend le temps de revenir sur tous les clés de succès de la plateforme, à savoir : # Tshirt Corner s’est positionné comme un “apporteur de solutions” vis-à-vis de leurs marques partenaires (Etam, Guerlain, Undiz etc.) qui trouve toujours un moyen de rebondir face aux ‘“ruptures de normalité” comme la COVID. # Si chaque marque de la plateforme a son commercial dédié, le reste est géré par les mêmes personnes (de la fabrication au marketing) et c’est ce qui leur permet de réagir rapidement. Lorsque les mariages ont été de nouveau autorisés, en juin 2021, par exemple, toutes leurs machines étaient encore fonctionnelles, etc. # Ils pensent toujours RENTABILITE avant de lancer un nouveau produit. Pour cette raison, ils n’ont pas choisi de faire des impressions textiles à petits prix mais de proposer des textiles de meilleure qualité.Ils citent également d’anciens épisodes du Panier :Catch-up #8 – Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans🇺🇸 Printful: Bootstrapped from 0 to 120M€ and 1800 employees in 8 years in an international backgroundPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
100 - #100 - PrestaShop : Le growth, un sport de haut niveau, avec Pawel Visor
Le sujet : Avoir un bon CMS et une bonne vision growth quand on est e-commerçant, c’est la BASE. Alors pour ce 100ème épisode, Laurent Kretz a recueilli les meilleures pratiques du leader européen en la matière : PrestaShop.L’invité : Après plusieurs années à travailler dans le marketing, en janvier 2020, Pawel Visor est devenu le Vice President of Growth de PrestaShop, le logiciel open source de commerce électronique mondialement reconnu. PrestaShop : Fondé en 2008, PrestaShop est aujourd’hui le leader de l’open source en Europe où il compte plus de 80% de ses boutiques. Et depuis 2020, le nombre d’utilisateurs n’a fait qu’augmenter. En 2021, ils sont présents dans 190 pays du monde et recensent 1 million d’utilisateurs (développeurs, agences, marketing etc.) de PrestaShop. Ils accompagnent plus de 60 000 e-commerçants français dans leurs ventes quotidiennes. Leur dernière invention ? Une Growth Factory pour créer assets graphiques, contenus, etc. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils livrent dans ce 100ème épisode de nombreux conseils pour construire un site e-commerce efficace et structurer sa croissance : # Il ne faut pas opposer retail et ventes en ligne mais faire co-exister les deux. # Ne pas perdre de vue que la principale mission growth est de structurer le parcours utilisateurs pour qu’il soit le plus optimisé possible. # La proposition de valeur d’une boutique doit être en phase avec la totalité du parcours utilisateur. # Le test and learn est crucial. Même si 90% des tests seront ratés, ils ont l’avantage de faire avancer en apprenant de ses échecs. # En tant que marchand, il faut adopter une vision multi-funnels (aka les tunnels de conversion). # L’important en growth est le résultat obtenu et non le chemin parcouru pour l’obtenir. # Les 3 grands principes de Pawel Visor : engagement, proximité et bienveillance.Ils citent aussi un ancien épisode du Panier :#54 – Criteo : Omnicanal et marketing – 6 conseils pour les e-commerçantsPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
99 - #99 - Catch up Cabaïa : Comment doubler son CA tous les ans, avec Emilien Foiret
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Le 15 novembre 2019, dans l’épisode 18 du Panier, Emilien Foiret, cofondateur et Chief Marketing Officer de Cabaïa, racontait la croissance incroyable qu’il vivait. En 2021, malgré les multiples effets du COVID, ils ont encore doublé leur chiffre d’affaires. Si Cabaïa avait commencé par son concept du “bar à bonnets”. La marque propose désormais sacs à dos, serviettes ou encore chaussettes, qui lui permettent d’être moins dépendant de la saisonnalité. En plus de ses 1 500 points de vente physiques chez des revendeurs, elle a donc récemment ouvert ses 3 propres boutiques.Dans cet épisode, il prend le temps de revenir sur tous les enseignements qu’ils ont tiré depuis fin 2019, à savoir : # Le Covid leur a offert une belle opportunité côté retail. C’était donc l’occasion parfaite de lancer leurs propres boutiques. # Si l’on a déjà vendu via des pop-up stores, les boutiques en propres sont relativement plus faciles à gérer. # Si les salons B2B sont chronophages et coûtent de l’argent, ils génèrent de jolies opportunités. Cabaïa participe donc à une vingtaine de salons chaque année et cela leur a donné de nombreuses opportunités à travers l’Europe. A Copenhague, ils ont par exemple rencontré un de leur nouveau revendeur Turque ! # Si l’on veut tirer profit d’Amazon, il faut bien optimiser sa page de marque et être le seul vendeur de ses produits afin de maîtriser le prix de vente de ses produits. # Quand on réalise des tests d’acquisition, il faut y mettre le budget et tester à grande échelle. # Il faut beaucoup travailler la voix-off quand on lance des publicités sur Youtube. Une vidéo de storytelling avec une voix off aura plus d’impact qu’une simple musique. # Pour créer un bon produit, il faut privilégier l’omnicanalité et tester (beaucoup) !Ils y parlent également d’anciens épisodes du Panier :#4 – Asphalte : Le Crowdfunding comme modèle pérenne#73 - Catch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le tempsPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
98 - #98 - As de Carreaux : D'un side business familial local à un e-commerce national florissant, avec Sébastien Colombier
Le sujet : Reprendre le petit business local de ses parents et en faire un e-commerce national ? C’est le pari (un peu fou) qu’a relevé haut la main Sébastien Colombier depuis 2004.L’invité : Sébastien Colombier est le CEO d’As de Carreaux, une boutique de carrelage en ligne, en retail et en showroom qui propose plus de 4 000 références produits. Cette entreprise familiale et 100% auto-financée depuis le début a su prendre le tournant du digital en 2010 en créant son site e-commerce. Et ça cartonne ! As de Carreaux : Créée en 2002, la société As de Carreaux a connu une progression fulgurante. Elle réalise aujourd’hui plus de 7,5 millions d’euros de chiffre d’affaires chaque année dont plus de 60% uniquement grâce à leur site internet. L’objectif désormais ? Devenir une marque de carrelage reconnue.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur les grands moments et les enseignements d’As de Carreaux. A savoir : # Bien observer le marché avant de se lancer et ne pas perdre de vue que “Done is better than perfect.” # Les clients du site internet ne sont pas les mêmes que ceux du showroom. En moyenne, le panier moyen en ligne est 60% plus faible qu’en boutique. # Plus il y a de transports et d’intermédiaires, plus le risque de casse et d’insatisfaction client sera élevé. Il vaut donc mieux préparer les commandes au plus près de ses clients. # Rien ne sert de se précipiter à la conquête d’un marché, il vaut mieux y aller progressivement. # De même, en SEO, il vaut mieux travailler de manière équilibrée et progressive, plutôt que de voir accélérer trop vite. # L’envoi d’échantillons est l’investissement marketing le plus rentable pour As de Carreaux. En effet, dans 40% des cas, cela mène à un achat. # Il est important d’aller à la rencontre de sa concurrence pour progresser avec elle. # Lorsque l’on réalise la migration de son site internet, même en passant par une agence, il est important de recruter quelqu’un à temps plein dans son équipe pour s’en occuper.Ils citent d’anciens épisode du Panier :#13 – Trusk : Au volant du dernier kilomètre, commencer en hackant LeBonCoin et finir à 30 000 courses par mois#24 – Allobéton : 1,2 millions d’euros en 52 heuresUn grand merci à Thomas Chabrière pour la mise en relation.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
97 - #97 - 🇺🇸 Printful: Bootstrapped from 0 to 120M€ and 1800 employees in 8 years in an international background, avec Raitis Purins
Exceptionally, this episode is in English because I couldn't miss the opportunity to discover the success story of Printful!The subject: Culture, values, management, onboarding, and, of course, marketing… All the themes discussed in this new episode of Le Panier. In the company of Raitis Purins, we will discover the secrets of the success of this American brand which is now present on an international scale.The guest: After several years in the communication business, Raitis Purins has become the Chief Marketing Officer of Printful. He now manages more than 60 people in the international marketing team alone and handles all internal and external communication.Printful: Printful is an on-demand fulfillment company that offers e-commerce warehousing & custom print and drop shipping services for online retailers. Founded in 2013, the company employs more than 1800 people today. Currently, it pushes 1M products per month and earned over €120M in 2019.With Laurent Kretz, cofounder of CosaVostra, they discussed: # Hyper-growth, there is only one constant: change. That's what Raitis Purins likes. He doesn't do the same job he did initially and that's exactly what motivates him, change and growth. # To progress, do not hesitate to exchange tips and tricks and learn from other experts. # Always ask yourself: “What is the goal of what you're doing ?”. # Habits are powerful tools whether in business or in your personal life. So, adopt them early on. # As a marketer, you should have 3 goals: capture interest, raise awareness, and educate how to be successful. # Give feedback! This is a vital part of company growth that helps everyone move forward and progress. # Scaling and velocity: teams of 90 people are less agile than teams of 60. You have to accept that they might be slower, but embrace the fact that they can do so MUCH more.They also mentioned: # The book Death by Meeting, written by Patrick Lencioni.To hear the whole episode, it's here on iTunes, there if you prefer Deezer, or here if you’re using Spotify.
96 - #96 - SendinBlue : Capter, embarquer et fidéliser vos clients - 5 trucs et astuces imparables, avec Aurélie Casimir
Le sujet : Parce que chaque (e)-commerçant a besoin de communiquer avec ses clients, il est crucial de connaître tous les tips pour des newsletters toujours plus performantes. Comment acquérir de nouveaux clients ? Qu’est-ce qu’un bon email adressé à ses clients ? Aurélie Casimir va tout vous expliquer !L’invitée : Après avoir travaillé depuis l’Asie pour le marketing de CDiscount, Aurélie Casimir est revenue en France pour devenir la Chief Marketing Officer de SendinBlue, la célèbre boîte d'outils marketing indispensables pour gérer emailings et newsletters. SendinBlue : Créé en 2007, SendinBlue a un objectif : aider les PME à se digitaliser. Et ça marche ! A date, leurs 450 employés accompagnent plus de 180 000 clients payants dans plus de 160 pays pour leur offrir la meilleure expérience. Récemment, ils ont même mis en place la SendinBlue Academy pour aider leurs clients à optimiser leurs emails en apprenant les fondamentaux du marketing. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils passent en revue tout ce qu’il y a à savoir sur l’emailing : # Tout d’abord, l’important même de l’email qui reste LE canal de communication avec le meilleur ROI pour les e-commerçants. # Les emails sont le premier outil à travailler pour son acquisition et la fidélisation. Préparez vos newsletters, vos différents scénarios et l'automation, nettoyez votre base de contacts, etc. et vous devriez avoir un joli ROI ! # A savoir que les gens s’abonnent généralement aux newsletters pour recevoir des nouveautés, des codes promo ou encore des contenus exclusifs. # Plus vous personnalisez vos mails, plus vous verrez de l’engagement de la part de vos clients. # Le lien à créer entre boutique physique et communication en ligne n’est pas si évident. Car si souvent le premier contact avec le client se fait en magasin, il faut ensuite le faire s’inscrire en ligne. Rien ne vous empêche, par exemple, de placer des QR Codes dans votre boutique pour inciter à s’inscrire à votre newsletter. # Et enfin les grandes stats à retenir : en moyenne, un email recueille 25% de taux d’ouverture et 4% de taux de clic.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
95 - #95 - Silvr : Comment financer sa croissance et son accélération ?, avec Nima Karimi
L’invité : Entrepreneur depuis une dizaine d’années, Nima Karimi a créé plusieurs entreprises. Depuis le début de sa carrière, il se pose une question récurrente : comment financer sa société et sa croissance ? Nima a pris le temps d’essayer plusieurs méthodes qui lui plaisaient plus ou moins comme l’affacturage. Mais n’étant toujours pas totalement satisfait, il décide de s’inspirer des méthodes américaines. Il tombe alors sur le modèle RBF (revenue-based financing) et co-fonde Slivr en janvier 2020.Le sujet : Toute nouvelle solution de financement, Silvr est pensée pour les e-commerçants sur un modèle RBF. Silvr les aide à accélérer en investissant et en faisant de l’achat média. Avec une levée de fonds s'élevant à 3 millions d’euros, l’entreprise comptabilise aujourd'hui une trentaine de clients. Leur objectif : une centaine de clients dans les prochains mois, et plusieurs centaines l’année prochaine. Affaire à suivre ! Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent : # Ce qu’est le revenue-based financing et comment mettre en place ce modèle en se connectant aux outils de l’entreprise. # Pourquoi le e-commerce est un secteur qui fonctionne avec le modèle RBF. # Comment analyser la performance d’une jeune société. # Sur quels critères Silvr sélectionne ses entreprises clientes. # Quel est le moment le plus intéressant pour une start-up pour faire du RBF ? # Comment véhiculer une culture d’entreprise à des consultants que l’on ne croise pas tous les jours, notamment grâce à son expérience chez Digital & You. # Comment et sur quels critères déterminer un coût de service de financement.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
94 - #94 - La Box à Planter : une graine qui pousse bien, avec Laetitia Jarny
L’invité : C’est d'abord une envie de jardiner qui pousse Laetitia Jarny à devenir cliente de La Box à Planter. Admiratrice des valeurs de cette entreprise, fondées sur l’émerveillement et le respect de l’environnement, elle rêve d’y travailler. C’est chose faite en 2019 lorsqu’elle rejoint La Box à Planter en tant que responsable digital et stratégie, avant d’en devenir la CEO - Cheffe d'Orchestre.Le sujet : Que vous ayez un grand jardin ou un petit balcon, recevoir des graines bio directement dans votre boîte aux lettres, c’est possible grâce à La Box à planter. Fondée en 2015, l’entreprise nantaise connaît une croissance quasiment uniquement organique et comptabilise aujourd’hui environ 45 000 clients, 4500 abonnés et 1 million de sachets de graines !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent : # Comment recruter et mettre en place un pilotage d'entreprise en lien avec les valeurs portées. #Comment refondre son site web avec une approche stratégique tout en se concentrant sur les éléments clés du parcours d'achat pour faire diminuer les appels au SAV #Les enjeux indéniables de Wordpress et WooCommerce, des solutions évidentes une fois maîtrisées et qui permettent une grande liberté d'action #Comment trouver des semanciers et faire des tests produits sur des graines, le vivant nécessitant une stratégie de logistique très précise. #L’importance de l’étape packaging. La Box à Planter travaille avec un cartonnier qui réalise toutes les box. #Comment gérer une offre et les contenus associés sans tomber dans la répétition sur la durée. # Comment fidéliser un client qui a reçu la box en cadeau. Aujourd'hui 60% des ventes de La Box à Planter sont des cadeaux.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
93 - #93 - Teebike : R&D et distribution en Chine puis en Europe : les secrets de cette startup qui redonne vie à nos vieux vélos, avec Laurent Durrieu
L’invité : Après deux expériences consécutives chez Procter & Gamble, puis chez Danone, Laurent Durrieu s’est ensuite intéressé de plus près aux énergies renouvelables. Et depuis 5 ans, il s’est spécialisé dans le recyclage de vélos. Alors c’est tout naturellement que, en 2019, il a lancé Teebike, une roue de vélo connectée qui permet d’électrifier n’importe quel vélo, en France ! Le sujet : Si vous cherchiez un moyen de transformer votre vieux vélo en un tout nouveau (ou presque) vélo électrique, c’est maintenant possible ! Le tout en seulement quelques minutes et sans avoir besoin de diplôme en ingénierie mécanique. Ça vous paraît presque magique ? Alors vous comprenez l’attrait pour Teebike ! La première année de sa création, la startup a réalisé plus de 500k€ et a conquis plus de 1 500 utilisateurs.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent :# L’importance de l’économie circulaire et de l’upcycling pour protéger notre planète. C’est pour cette raison que la durabilité est au cœur de l’ADN de Teebike.# L’élément-clé : le Time to Market. On peut avoir le meilleur produit du monde, si personne ne l’attend, son succès ne sera pas assuré.# Ce que sont les “torture tests” comme les appelle Laurent. Leur objectif ? Tester ses produits à l’échelle auprès de bêta testeurs pour s’assurer de la qualité optimale de ses produits.# L’importance de sélectionner ses prestataires et partenaires en fonction de leurs points d’affinité avec son produit.# Un de leurs secrets : faire des relations presse dès le lancement de son produit pour un démarrage très rapide.# Comment tester facilement le nom de sa marque en une étape très simple : le citer à 50 personnes et leur demander, une semaine plus tard s’ils s’en souviennent.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
92 - #92 - Vintage Rides : Intégrer la scalabilité dans un métier sur-mesure, avec Alexandre Zurcher
L’invité : Pendant ses dernières années d’études, Alexandre Zurcher a décidé de partir en Inde. Et c’est finalement là-bas qu’il a créé Vintage Rides, une agence de voyages à moto façon Road Trip à travers le pays, en 2006.Le sujet : “Partir vers l’inconnu et en revenir grandi”, c’est le crédo avec lequel ils ont construit toute leur marque et fait voyager plus de 200 groupes chaque année depuis 15 ans. Et ça marche ! En 2019, ils ont réalisé plus de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires et proposent désormais de voyager dans plus de 11 pays dont le Sri Lanka, la Mongolie ou encore la Thaïlande (pour ne citer qu’eux). Le tout, en autofinancement depuis le début !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils mettent en lumière : # Comment leur crédo est à la fois leur WHY mais résume aussi toute l’aventure entrepreneuriale autour de Vintage Rides. # Que les valeurs de partage de sa boîte lui ont permis de construire des process et des rituels basés sur l’humain et le relationnel. Aujourd’hui les motards choisissent aussi Vintage Rides pour rencontrer des passionnés. # Que la clé d’un bouche-à-oreille réussi passe par une recherche permanente de la meilleure expérience client. # Tous les petits jobs qu’a dû effectuer Alexandre au début pour pouvoir financer son projet. # Pourquoi il a choisi de rapatrier le siège de la boîte en France. # Mais aussi l’importance d’acquérir une légitimité pour que les gens aient confiance en le service proposé. # Comment mais aussi pourquoi son nouvel associé a racheté les parts du premier cofondateur. # Enfin, l’importance de proposer une offre simple qui va droit au but. Pour Vintage Rides l’objectif est de rouler le plus loin possible et d’échanger avec de nombreux locaux. Ce sont certes des moments simples mais aussi très forts.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour être notifié de la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
91 - #91 - Catch Up Weezevent : L’important ? Gagner la Coupe du Monde plutôt que monter la plus belle équipe, avec Pierre-Henri Deballon
Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast. Pierre-Henri Deballon, le cofondateur de WeezEvent, une solution clé en main pour les organisateurs d’événements, était le tout premier invité de Laurent lorsqu’il est passé, en mai 2019, dans l’épisode 2 du Panier. 2 ans plus tard et malgré la crise sanitaire qui n’a pas épargné le secteur de l’événementiel, WeezEvent a racheté 4 sociétés et continue de croître au quotidien.Pour nous, il prend le temps de revenir sur ce qu’il a appris de ces deux années, et notamment : # Il est crucial de bien séparer ses fonds et de ne jamais utiliser sa trésorerie pour grossir. C’est ce qui a permis à WeezEvent de rebondir et de rembourser tous ses partenaires lors des nombreuses annulations au début de la crise. # Toujours se préparer à la reprise et imaginer toutes les possibilités. # Voir la création de sa boîte comme un jeu et ne pas perdre de vue que l'entrepreneuriat est aussi une affaire de liberté. # “Fais et tu auras”, c’est leur crédo. On obtient toujours ce que l’on apporte. # Les différents rachats réalisés et notamment celui de PlayPass en 2021 qui, à l’origine, a été pensé comme un partenariat. # Toujours respecter les entrepreneurs des boîtes que l’on achète et ne jamais les exclure du projet. # La jolie histoire d’Arthur, leur stagiaire qui a créé sa propre solution de Cashless et qui depuis, est devenu un véritable partenaire.
90 - #90 - Flowrette : D’un side-project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, avec Côme Filippi
L’invité : C’est après avoir visité un marché aux fleurs lors de leur voyage en Thaïlande que Côme Filippi et sa compagne Elodie Gervet, ont l’idée de créer Flowrette, une marque autofinancée de produits artisanaux spécialisée dans la décoration et la création de bouquets de fleurs séchées.Le sujet : Si Flowrette était à l’origine le side project de Côme et Elodie, ils en ont très vite fait leur business à temps plein. Et pour cause, quelques mois seulement après la création de Flowrette, la marque réalisait entre 30 et 40 commandes par jour ! Le tout pour un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros en 2020. L’objectif désormais ? Doubler ce CA en 2021. Et c’est bien parti !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent : # Que monter un business est accessible à TOUS et TOUTES. Eux ont tout fait tout seuls et en plus de leur travail. Si vous avez une idée, foncez ! # Comment ils ont utilisé Google Trends mais aussi Google Keyword Planner dès le début, pour s’assurer de la tendance des fleurs séchées sur le marché. # Mais aussi comment ils se sont servis du SEO et de plugins comme Moz et Affilae pour connaître les domaines d’autorités des sites de leurs concurrents. # Pourquoi ils ont choisi de vendre des fleurs séchées, beaucoup moins polluantes que des fleurs fraîches en provenance de l’autre bout du monde. # Sa préférence pour Shopify face aux autres CMS : plus stable mais surtout plus compatible avec de nombreux plugins. # L’importance d’ouvrir des boutiques physiques pour rencontrer ses clients et avoir leur avis en direct sur le produit. # La saturation du marché des fleurs séchées. Aujourd’hui la demande B2B est supérieure à l’offre donc il est important de générer du stock et d’être au plus proche des producteurs de fleurs. # L’importance de choisir ses combats pour être plus performant. Eux, par exemple, ont choisi de se focaliser sur l’offre B2C.Ils évoquent également d’anciens épisodes du Panier :#53 – Wecasa : Convaincre 100 000 acheteurs de services à domicile en 4 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour être notifié de la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
89 - #89 - Catch Up Pretto : Piloter sa croissance dans un marché de l’immobilier instable
Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast il y a plus d’un an.En novembre 2019, lors de l’épisode 20, que Pierre Chapon s’était livré sur la création et les ambitions à venir de Pretto, cette plateforme pour chercher le meilleur crédit lorsque vous investissez dans des biens immobiliers. Un an et demi et une crise sanitaire plus tard, il est venu faire le point sur la croissance de cette jolie société. Au Printemps 2021, Pretto compte plus de 50 banques partenaires, et a réussi à faire financer plus d’un milliard d’euros de prêts immobiliers. C’est plus que ce qu’ils étaient parvenus à réaliser dans les 2 ans qui précédaient notre première rencontre. Une belle croissance malgré la crise sanitaire qui a touché de plein fouet le secteur bancaire.Pour nous, il prend le temps de revenir sur les clefs de ce succès et les temps forts de 2020. Notamment : # Si le premier confinement a stoppé toute activité dans le secteur de l’immobilier, la reprise a été encore plus prometteuse qu’auparavant. # Le Haut Comité à la Stabilisation Financière (HCSF) qui a recommandé aux banques de limiter les prêts concernant des projets immobiliers à la fin 2019. Certains projets s’en sont, de fait, trouvés affectés. # "Rétrospective", leur méthode qui, chaque mois, incite les différentes équipes à prendre la parole sur ce qu’elles ont aimé, moins aimé etc. # Enfin, la nécessité de cadrer chaque mission de conseil professionnel en construisant un framework précis pour y répondre.Ils y parlent aussi des anciens épisode du podcast La Martingale dans lesquels Pierre Chapon a participé :#20 - Pierre Chapon - Pretto - Investir à plusieurs dans l’immobilier : une bonne idée ?#48 - Pierre Chapon - Pretto - Faut-il vraiment acheter sa résidence principale ?
88 - #88 - Trustoo : Lancer un réseau d’experts automobiles depuis les bancs de l’école
L’invité : Maxence Ghintran a cofondé Trustoo, alors qu’il était encore sur les bancs de l’école, il y a tout juste plus d’un an. Trustoo est le leader d’inspection de voitures d’occasion avant achat.Le sujet : Aujourd’hui, Trustoo cartonne. La société a déjà réalisé plus de 2 300 inspections grâce à ses 750 spécialistes en France et en Allemagne et comptabilise plus de 400 000 euros de chiffre d’affaires en 2021. Et l’aventure ne fait que commencer.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur : # La genèse de Trustoo et comment l’expérience personnelle de Maxence l’a amené à imaginer Trustoo. # Comment ils ont réussi à se positionner sur le marché professionnel de l’inspection de voitures d’occasion grâce à leur équipe d’experts. # Mais aussi comment ils recrutent leurs spécialistes qui doivent cumuler à la fois une forte expertise dans le domaine mais aussi un bon relationnel - une double-casquette pas toujours évidente à trouver. # L’erreur de Trustoo de ne pas avoir testé le marché avant de développer son produit. # L’importance de la satisfaction client, qui doit faire partie intégrante des valeurs de la boîte. Surtout lorsque l’on vend du service ! # Le besoin de notoriété quand tout son business est basé sur la confiance. A ses débuts, Trustoo a eu beaucoup de mal à convaincre de potentiels clients. # Leur partenariat avec Paru Vendu. # Et enfin, l’explosion de leur business grâce à leur passage dans Capital.Ils évoquent également d’anciens épisodes du Panier :#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée.#53 – Wecasa : Convaincre 100 000 acheteurs de services à domicile en 4 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour être notifié de la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
87 - #87 - Just Eat : Comment le marché du food delivery a pris 3 ans de maturité en quelques mois ?
“Le marché de la food delivery n’est pas encore arrivé à maturité et ne va pas s’arrêter avec la réouverture des restaurants. Avec le confinement de nouveaux clients se sont mis à la livraison à domicile et, quand on y goûte, c’est difficile de revenir en arrière.”L’invitée : Après plusieurs années à travailler du côté des opérations, Méleyne Rabot est devenue la Directrice Générale de Just Eat, la célèbre entreprise de livraison de repas à domicile.Le sujet : Créé en 1998 à l’occasion de la Coupe du Monde de Football, Allo Resto est depuis devenu Just Eat après son rachat en 2012. Et depuis sa fusion avec Take Away l’année dernière, l’entreprise est désormais le leader mondial (hors Chine) de la livraison de repas. Au total, Just Eat - Take Away est présent dans 23 pays, compte 8 000 employés et plus de 22 000 livreurs. Qui dit mieux ? Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent :# Le récent changement des statuts des livreurs Just Eat qui seront désormais salariés.# Comment sont onboardés les livreurs à leur arrivée chez Just Eat. Quel process est mis en place, comment ils optimisent la qualité des livraisons, etc.# Le positionnement de Just Eat pour répondre à toutes les demandes et sa politique de transparence vis-à-vis des frais appliqués. # Mais aussi l’impact qu’a eu la COVID-19 sur ce secteur et les plans d’aide qu’ils ont déployés pour aider les restaurateurs en réduisant leurs coûts, etc.# Comment ils ont géré le recrutement et l’onboarding de leurs nombreux collaborateurs à distance. # Et enfin leurs enjeux à venir et leur vision de la livraison à distance dans les mois qui vont suivre.
85 - #86 Catch-up Lunii : Il était une fois ... une startup en hypercroissance qui rapatrie sa production pour être fidèle à ses valeurs
Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz, revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast il y a plus d’un an.En septembre 2019, dans l’épisode 12 du Panier, Maëlle Chassard, la co-créatice de Lunii, me parlait de leur jolie hypercroissance. 1 an et demi plus tard, la croissance n’a pas ralenti, bien au contraire !Si la Covid a stoppé les ventes de leur Fabrique à Histoire, ce n’est certainement pas ce qui les a empêché de réaliser plus de 18 millions d’euros de CA en 2020 et de vendre leur millionième Fabrique très prochainement.Avec Igor Krinbarg, son cofondateur, Maëlle Chassard revient sur les clés de ce succès et tous les enseignements qu’ils ont tirés depuis le début et notamment : # Le rapatriement de leur production en France, qui a pris plus de temps qu’ils ne l’avaient imaginé. Il est important de ne pas sous-estimer ce genre de décisions qui prennent du temps à être mises en place et qui peuvent s’avérer risquées.# Il est parfois important de savoir dire non et de rester fidèle à ses valeurs ainsi qu'à son ADN lorsque son business grossit.# Exporter son produit à l’étranger demande du temps et de devoir parfois adapter son concept à une culture différente.Ils ont aussi parlé d’anciens épisodes du Panier :#67 - Jacques Masson - Sodilog : Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord#71 - Bastien Schloupt - OPPI : Des jouets en bois pour développer la créativité des enfantsPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter pour être directement notifié de tous les nouveaux épisodes !
86 - #85 - Aglaïa & Co - Devenir une marque éthique, made in France et rentable tout en reversant 5% à des associations
“La transparence, c’est la base, le client sait ce qu’il achète en toute transparence.”L’invité : Après avoir évolué dans le secteur financier, Carine Bozon décide de se lancer dans le made in France en co-fondant, avec son mari et son témoin de mariage, Aglaïa & co, une marque de bijoux française éthique et engagée.Le sujet : Aglaïa & co est lancée en 2015 avec l’envie folle de changer les choses et remettre le made in France au goût du jour ! Avec une croissance qui double d’année en année, la marque a réussi à évoluer tout en gardant le partage au cœur de ses valeurs. Comment ont-ils réussi à être une entreprise rentable tout en reversant 5% de leur chiffre d'affaires à des associations ? Carine revient sur la croissance éthique d’Aglaïa & co dans ce nouvel épisode. “On veut à notre échelle changer les choses, à notre manière”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent :# La genèse de Aglaïa & co : de la rencontre des cofondateurs, à la problématique de convaincre des fournisseurs et trouver des designs, en passant par le lancement des productions.# Comment une entreprise peut-elle être viable et rentable en reversant 5% de son chiffre d'affaires.# Comment avancer sur une production en respectant les valeurs du partage et du Made in France.# La fidélisation des clients grâce à la complémentarité entre des collections longues et éphémères.# Comment sélectionner les influenceurs qui correspondent aux valeurs de la marque.# L’importance des réseaux sociaux pour mettre en avant sa transparence sur son savoir-faire. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#79 – La Redoute : Campagnes TikTok et pub télé pour devenir la plateforme lifestyle préférée des familles#59 – Lilie & Koh – Solopreneur : croissance douce et quête de liberté Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
84 - #84 - SPRiNG : Innovation d’usage et différenciation dans une industrie ultra-concurrentielle
“Notre objectif était de réduire la charge mentale de chacun et que personne n’ait plus besoin de se rendre au rayon lessive d’un supermarché.”L’invité : Après plusieurs années chez Price Minister (désormais Rakuten), puis chez Shopmium, Benjamin Guerville a décidé de cofonder SPRiNG, une marque de lessive et de produits d’entretien cleans, efficaces et surtout livrés sur abonnement dans votre boîte aux lettres. Le sujet : Si SPRiNG n’a été lancée qu’à la fin de l’année 2019, la marque plaît beaucoup ! Rien qu’au mois de février 2021, elle totalise déjà plus de 2 millions de doses de lessives vendues ! Comment ont-ils conquis le coeur des consommateurs et repensé les lessives hebdomadaires de milliers de foyers ? Benjamin revient sur la jolie croissance de SPRiNG dans ce nouvel épisode. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent : # La genèse de SPRiNG : de la rencontre des cofondateurs à la mise en vente du produit, en passant par les tests laboratoires et consommateurs qu’ils ont réalisés. # Comment ils ont pensé leur produit pour s’adapter à chaque consommateur. # Les batailles qu’ils ont choisies de mener avec SPRiNG : des produits respectueux de l’environnement mais aussi de notre santé. # Les avantages et les inconvénients de l’embasement d’e-mails. Certes cela permet d bien communiquer mais cela attire aussi des concouristes qui ne deviendront pas de futurs consommateurs. # La loi stricte vis-à-vis des packagings de lessives et les tests qu’ils ont dû réaliser auprès d’enfants pour s’assurer de leur conformité à la règlementation. # Pourquoi il est plus intéressant de laisser l’algorithme de Facebook fonctionner seul et se concentrer sur des contenus pertinents. # L’importance du service client et de répondre aux questions de ses utilisateurs dans les plus brefs délais.Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#72 - Colizey : comment relever le challenge complexe des marketplaces spécialisées ?#77 - Japhy : Séduire les Pet Parents et faire 10M€ de CA en 3 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour être notifié de la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
83 - #83 - Richemont - Cartier, Jaeger-LeCoultre, IWC & co : Comment embellir l’expérience client dans le monde du luxe ?
“Dès le début, on s’est posé la question de : comment sublimer l’expérience client ? Et on a travaillé avec nos maisons une experience map”L’invité : Philippe Meyer, est le Group Client Marketing Director de Richemont, groupe spécialisé dans le luxe et qui détient 20 maisons de luxe dont Cartier, Jaeger-LeCoultre, Vacheron Constantin ou encore Piaget pour ne citer qu’elles. Le sujet : L’objectif de Richemont ? Embellir l’expérience du client en lui proposant des produits sur-mesure qui correspondent à ses besoins du moment. Comment ? Philippe Meyer explique toutes leurs problématiques de clienteling et les solutions qu’ils ont directement mises en place.Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur : # La création du programme Elevate qui permet justement de gérer les données des clients des différentes maisons en les gardant confidentielles. # Les 7 applications qu’ils ont développées pour répondre aux différents besoins de leurs filiales. # Le fonctionnement de leurs applications et de leur algorithme qui permet de visualiser le profil de chaque client mais aussi de savoir quand et pourquoi le recontacter. # Comment les Non-Fungible Tokens pourraient s’inscrire dans la stratégie de Richemont. # L’utilisation du e-commerce pour parfaire leur stratégie omnicanale et toucher les plus jeunes générations. # Et enfin, pourquoi il est aujourd’hui quasiment impossible de ne pas faire de retail quand on fait du e-commerce.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour être notifié de la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
82 - #82 - Stores et Rideaux : Comment digitaliser une PME régionale ?
“Le digital est né de deux constats : on perd une partie de notre business et il faut trouver quelque chose en conservant l’ADN de la boîte : fabriquer des produits sur-mesure, en France et en cycle court.”Stéphane Berretti, le nouvel invité du Panier, est le président de Stores et Rideaux, une marque qui vent, uniquement sur internet, des stores et des rideaux sur-mesure à des particuliers. Si aujourd’hui Stores et Rideaux est une PME régionale, cela ne l’empêche pas d’avoir une belle croissance ! En 2020, elle a réalisé plus de 12 millions de CA et s’est fixé comme objectif de doubler d’ici 5 ans. Rien que ça !“Il faut racheter une boîte si elle correspond à ce qu’on aime et ce qu’on sait faire. Ensuite, il ne faut pas la brutaliser et faire preuve de beaucoup d’humilité pour gagner la confiance des gens.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils effectuent un retour en arrière jusqu’en 2006, lorsque Stéphane venait de racheter SODICLAIR. Ils expliquent ensuite toutes les évolutions qui en ont découlées : de la digitalisation progressive en passant par les différentes crises économiques qui ont mené la boîte à s’adresser aussi à une cible plus B2C. Enfin, Stéphane Berretti, revient sur leurs objectifs à venir et donne quelques conseils pour réussir à gérer son équipe lorsqu’on fait face à une croissance rapide.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour recevoir la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
81 - #81 - LALALAB : Comment doubler son CA après son acquisition par un grand groupe ?
“La force de LALALAB est que tout a été pensé mobile pour offrir une expérience nouvelle.”Romain Coirault, le nouvel invité du Panier, est le CEO de LALALAB, une application française d’impression photo pour partager ses meilleurs moments avec ses proches. Créée en 2012, LALALAB a été rachetée 7 ans plus tard par le groupe Clairefontaine et a été téléchargée aujourd’hui plus de 12 millions de fois dans le monde. Parce que oui : LALALAB exporte ses produits dans plus de 70 pays. Et ce n’est pas tout, aujourd’hui l’application réalise plus de 25 millions d’euros de chiffre d’affaires chaque année et compte plus de 50 employés. “On a toujours privilégié le marketing de performance pour avoir un ROI assez direct au marketing de marque.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur leur objectif initial qui les a menés à penser toute l’application pour une utilisation quasi exclusivement mobile. Jusqu’à réussir à disrupter le marché de l’impression photo. Objectif largement réussi ! Romain explique d’ailleurs comment chaque produit est pensé pour correspondre aux codes du mobile tout en fidélisant les utilisateurs. Il explique également comment ils ont testé les marchés étrangers au fur et à mesure et ont su les séduire grâce aux publicités télévisées, aux influenceurs, etc. Et si ça ne vous suffit pas, Romain Coirault se confie sur leurs chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien comme Asana pour la gestion de projets ou encore Hivency, Octoly et Influence4Brands pour gérer leurs campagnes d’influence.Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?Catch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le tempsEt de Génération Do It Yourself :#141 Jeremy Charoy – Lalalab – Tout analyser, tout calculer, ne jamais baisser les brasPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour recevoir la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
80 - #80 - HomeExchange : Place de marché et croissance externe pour aller plus vite que la musique
“L’échange de maison et l’hospitalité gratuite ont toujours existé. C’est au XXème siècle qu’on a commencé à louer son appartement. HomeExchange a créé le premier site d’échange de maisons aux Etats-Unis à la fin des années 1990.”Charles-Edouard Girard, le nouvel invité du Panier, est le Président de HomeExchange, la plateforme leader d’échange de maisons et d’appartements entre particuliers. Arrivé en 2011 en France, HomeExchange proposait, à l’origine, d’échanger son propre logement avec 3 500 autres maisons dans le monde. Aujourd’hui, la plateforme a fusionné avec plusieurs autres plateformes similaires, mis en place un système de points pour simplifier les échanges, existe dans presque 150 pays et propose plus de 450 000 maisons en location partout dans le monde. Rien que ça !“Quand on a fusionné les deux sites, on a décidé de ne pas augmenter le prix pour ne pas perdre les utilisateurs. Et c’était une erreur puisqu’on a proposé de nouveaux services.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les débuts de HomeExchange qui a successivement racheté 7 plateformes similaires pour s’imposer comme le leader à l’international. Charles-Edouard explique également comment et pourquoi ils ont pensé à ce système de “GuestPoints” qui permet d’aller chez un membre qui pourra ensuite aller aussi chez un autre membre à la réception des points. Ensemble, ils reviennent sur toutes les évolutions, notamment suite à la levée de fonds qu’a réalisée la plateforme en 2020. Ils évoquent également la crise de la COVID 19 et les impacts pour la plateforme. Et pour clore cet épisode, Charles-Edouard Girard nous livre leurs objectifs pour les mois à venir.Merci à Cyril Valtat d’avoir permis l’enregistrement de cet épisode.Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#34 – MisterFly : Comment le rebel des voyagistes en ligne est devenu numéro 2 en 5 ans#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée.#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?Et de Génération Do It Yourself :#103 Pierre Chappaz – Kelkoo & Teads – Tenir tête aux GAFA, les plus grandes entreprises de la techPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour recevoir la sortie des derniers épisodes directement dans vos mails !
79 - #79 - La Redoute : Campagnes TikTok et pub télé pour devenir la plateforme lifestyle préférée des familles
“La mission de La Redoute est d’embellir et de faciliter la vie des familles”Amélie Poisson, la nouvelle invitée du Panier, est la Directrice Marketing, Marque et Client de La Redoute, leader du style à la française que l’on ne présente plus. Depuis 183 ans, La Redoute s’est imposée comme une marque transgénérationnelle qui facilite la vie de nombreuses familles, des enfants aux parents. Et l’objectif est réussi ! Les campagnes sur TikTok ont réalisé plus 250 millions de vues, l’international représente plus de 30% de leur volume d’affaires et même les 13-24 ans visitent leur site régulièrement. Une belle prouesse !“Ce qui est complexe dans le multicanal, c’est que l’on identifie bien les ventes, mais moins l’empreinte laissée par le passage en magasin sur des ventes digitales.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent toute l’histoire de la marque qui a toujours réussi à s’adapter aux défis de chaque époque. Amélie Poisson se livre sur leurs défis du moment : changer la vision de La Redoute pour en faire la plateforme lifestyle préférée des familles. Elle raconte, de fait, comment leur campagne publicitaire télévisuelle et leur présence sur les différents réseaux sociaux ont permis d’attirer les plus jeunes générations. Ensemble, ils reviennent aussi sur les ambitions de la marque lorsqu’elle a créé La Reboucle pour permettre d’acheter et de revendre des produits d’occasion et ainsi fidéliser leur clientèle. Amélie Poisson met également en lumière la stratégie digitale déployée sur les autres marques du site : La Redoute Intérieurs, AMOA etc. Et pour couronner le tout, elle se livre sur leurs chiffres et leurs objectifs pour l’année à venir.Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#63 - Tiktok : 5 conseils pour faire exploser son compte TikTokPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter pour recevoir la sortie les derniers épisodes directement dans vos mails !
78 - #78 Catch-up Livementor : Devenir un media de référence sur sa verticale produit
“Notre vision est de créer un endroit où tu peux trouver de l’aide, de l’inspiration et des conseils concrets à n’importe quel moment de ta création d’entreprise.”Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz, revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.En juillet 2019, dans l’épisode 8, Alexandre Dana, le fondateur de Livementor, m’expliquait les 3 challenges auxquels la plateforme de formation en ligne était confrontée. Alexandre me livrait aussi son ambition de publier un livre pour faire connaître Livementor et ses valeurs. Aujourd’hui, Laurent l’a reçu pour faire le point et comprendre pourquoi, désormais, ils ont créé un média en parallèle de leurs activités.Un an et demi après son premier passage sur Le Panier, Alexandre nous raconte pourquoi ils ont créé Odyssées d’entrepreneurs, un magazine pour compléter leur activité de formation en ligne. En parallèle, Alexandre a publié son premier livre et pense déjà aux suivants. Et le résultat est au rendez-vous ! Son livre a réuni plus de 8000 lecteurs et son magazine compte plus de 3500 abonnés en accord avec leurs valeurs.Pour nous, il prend le temps de revenir sur les clefs de ce succès et tous les enseignements qu’il a tirés depuis le début. A savoir : # Même si un magazine n’est pas toujours rentable, c’est un bon moyen d’inspirer des futurs clients bien avant qu’ils ne s’inscrivent sur la plateforme de formation en ligne. # Écrire un livre peut avoir plus d’impact que de diffuser une publicité à la télévision. Les lecteurs seront forcément en accord avec les valeurs de la marque, les téléspectateurs pas toujours. # Pour rester maître de son destin, il faut parfois éviter de réaliser autant de levées de fond que possible. # Il faut toujours rester un obsessionnel de la qualité, même des années après le lancement de sa marque.Ils ont également parlé d’un ancien épisode du Panier :#64 - Les Impertinentes : Digitalisation et accélération pour un retailer indépendantPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter.
77 - #77 - Japhy : Séduire les Pet Parents et faire 10M€ de CA en 3 ans
“Aujourd’hui on identifie 3 facteurs qui poussent les clients à venir chez Japhy : la qualité de croquettes saines et naturelles, la personnalisation et enfin le made in France qui est très attrayant.”François Puigsarbé, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de Japhy, une marque de croquettes 100% naturelles, saines et personnalisées selon les besoins de votre chien. Lancé en 2018 avec Thomas Chabrier, son associé de toujours, Japhy ne cesse de séduire de plus en plus de pet parents. Seulement 3 ans après le lancement ils sont parvenus à réaliser 6 millions d’euros de chiffre d’affaires en année 3, livrer presque 5 millions de repas et lever 8 millions d’euros pour continuer à développer leur projet. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter ! L’objectif de 2021 ? Continuer à se développer très vite en proposant toujours plus de références produits.“Il vaut mieux aller trop tard que trop tôt sur le marché international pour ne pas se de-focus de son business national.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur ce qui a amené François et Thomas à créer Japhy alors qu’ils étaient encore sur les bancs d’HEC et d’Audencia. François Puigsarbé explique comment ils ont analysé le marché et leurs cibles pour proposer des produits très spécifiques et bon pour la santé de nos petits compagnons à quatre pattes. Ils abordent ensuite la question de la vente offline qui demandera d’adapter les produits avant de les commercialiser en magasins. Enfin, François se livre sur leurs enjeux à venir : proposer la vente à l’international, acquérir toujours plus de clients grâce aux réseaux sociaux etc. et peut-être, un jour, le développement de croquettes pour chats. Affaire à suivre.Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#74 - Feed : L’enjeu d’une scale-up – Donner du sens pour accélérer à l’international#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?Catch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
76 - #76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?
“On fait quasiment tout en interne. C’est la meilleure façon pour nous de porter le projet, parce que ça permet de gérer au mieux la qualité, le suivi et c’est un mode de fonctionnement qui assure une marge plus intéressante.” Cyril Valtat est le nouvel invité du Panier. En juin 2017, il a cofondé avec son ami Benjamin Jubé le Petit Cube, une entreprise qui propose d’offrir des cadeaux personnalisés qui ont pour objectif d’émouvoir les heureux bénéficiaires. Le pari de Petit Cube, c’est de miser sur l’ultra personnalisation : le cadeau à l’intérieur, la forme spéciale du cube qui dévoile photos et textes choisies pour l’occasion, tout est pensé pour toucher son destinataire. Et ça marche ! Sur les 12 derniers mois Petit Cube, c’est 1,8 millions de chiffres d’affaires et pas moins de 66 000 commandes passées. “Un de nos défauts dont on s’est rendus compte assez tardivement, c’est d’avoir opté pour une stratégie qui mettait plus l’accent sur l’attraction de nouveaux clients et qui délaissait parfois la pérennisation des relations avec les clients déjà existants " Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la création de la boîte qui s’est faite en un temps record, et sur ce choix du 100% interne pour lequel les fondateurs ont opté depuis le début de l’aventure, jusqu’à construire eux-mêmes leur plateforme de marque. Cyril aborde le sujet de la diversification des canaux d’acquisition et fait part des différents axes d’amélioration sur lesquels Petit Cube travaille en ce moment-même, notamment la gestion de la relation client. Il évoque également les ambitions d’internationalisation de l’entreprise et les différents critères sur lesquels ils s’appuient pour décider des pays vers lesquels ils souhaitent s’orienter. Enfin, Cyril se livre sur les objectifs de l'entreprise pour les années à venir mais aussi, de manière plus personnelle, sur la vision du travail chez Petit Cube. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
75 - #75 - D+ For Care : Suivre ses convictions et “make it happen”
“L’objectif de D+ For Care est d’accompagner les clients sur des problématiques globales du quotidien (beauté, stress, sommeil, règles ).”Claire Despagne, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice de D+ For Care, une marque de compléments alimentaires 100% naturels et made in France. Lorsqu’elle s’est lancée en avril 2018, Claire ne proposait qu’un seul produit, le Day+. Aujourd’hui, elle en propose sept, tous sous des formes différentes pour s’adapter à tous les besoins. Et ça plaît ! Lorsque de D+ For Care a sorti son deuxième produit, en mai 2020, les compteurs ont explosé : sur les 10 premières heures, une commande était réalisée toutes les 30 secondes. Preuve que la clientèle est rapidement devenue adepte de ces compléments alimentaires naturels.“Si tu as une conviction, que tu sais à quoi tu veux que ton produit ressemble, essaie de t’y tenir et va au bout de ton idée.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur le parcours de Claire et toute la genèse de D+ For Care ; elle raconte notamment comment elle a décidé de lancer sa propre marque de compléments alimentaires. Elle explique comment sont pensés tous les produits, leur efficacité à leur galénique (c’est-à-dire l’aspect du produit : poudre, spray, etc.) et revient sur l’importance d’avoir des points de vente physiques. Claire délivre de précieux conseils lorsque l’on souhaite lancer son propre produit. Se tenir à ses convictions, se concentrer sur le produit en lui-même et se faire confiance, sont les plus mots d’ordre que Claire s’était fixés. Et ça a payé !Et comme si ça ne suffisait pas, Claire Despagne nous livre ses chiffres et les outils qu’elle utilise au quotidien comme Shopify, Recharge ou Klaviyo. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 anCatch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
74 - #74 - Feed : L’enjeu d’une scale-up - Donner du sens pour accélérer à l’international
“La mission de Feed est d’aider les gens à dépasser leurs objectifs grâce à la nutrition.”Anthony Bourbon, le nouvel invité du Panier, est le fondateur de Feed, une marque de nutrition qui veut aider les consommateurs à atteindre leurs objectifs personnels. La particularité de Feed ? Tous leurs repas tiennent dans une bouteille. En trois mots, Feed c’est : équilibré, pratique et nomade. Une grande première. Et ça plaît aux plus pressés d’entre nous ! Créé en 2017, Feed est aujourd’hui distribué dans plus de 5000 points de vente. En bonus ? Feed a lancé sa propre fondation, Feedback, pour aider les petits entrepreneurs à se lancer.“Aujourd’hui, on se rend compte que la GMS est compliquée à exécuter contrairement au online qui permet d’envoyer des ads à 400 000 personnes instantanément.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur le parcours d’Anthony et les raisons qui l’ont amenées à lancer Feed. Anthony explique également toute l’évolution de la communication de Feed qui, aujourd’hui, propose “d’aider les gens à atteindre leurs objectifs personnels” en leur offrant plus de temps, en leur proposant des repas complets, etc. Anthony met également en lumière le projet de sa fondation Feedback qui veut aider ceux qui, comme lui, ne sont partis de rien et à qui on ferme trop souvent les portes. Il revient aussi sur leur choix de distribuer en GMS et ce qu’ils en retiennent 3 ans plus tard. Si les GMS leur ont permis de bien faire connaître leurs produits, le online reste aujourd’hui beaucoup plus simple est moins chronophage à utiliser. Enfin, Anthony expose toutes les valeurs qu’il veut transmettre avec Feed en aidant chacun à réaliser son rêve. Ils ont également parlé d’un ancien épisode de Génération Do It Yourself :#101 Anthony Bourbon – FEED – L’avenir de la nourriture est-il liquide ou en barre ? Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
73 - #73 Catch-up Wopilo - Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps
“L’expérience client se joue avant, pendant et jusqu’à deux ou trois ans après l’achat. Donc il faut toujours conserver une proximité avec ses clients.”Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz, revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast il y a plus d’un an.En juillet 2019, dans l’épisode 7 du Panier, Florian Deveaux, Chief Marketing Officer de Wopilo, expliquait toutes les ambitions de cette marque française d’oreiller innovant. Aujourd’hui, j’ai reçu Thomas Hervet, le fondateur de Wopilo, pour faire le point sur la croissance de cette jolie marque. Surtout depuis l’épisode du confinement qui a eu un impact extrêmement positif sur leur business. Plus d’un an après, Wopilo a été élu “Produit de l’année” deux années consécutives, a lancé du linge de lit écoconçu, une couette, une gamme enfant, et a profité de la baisse des prix de la publicité télévisuelle pour assoir sa notoriété. Et ça marche ! Avec presque 4 000 avis clients, ils ont vendu plus de 50 000 produits et ont multiplié leur chiffre d’affaires par trois en 1 an. Rien que ça.Pour nous, il prend le temps de revenir sur les clefs de ce succès et tous les enseignements qu’il a tirés depuis le début. A savoir : # Leurs publicités télé leur ont permis de compenser tout le CA qu’il y avait investi et d’augmenter leur CA durablement de 15 à 20 points. Un vrai bon point pour assoir son image de marque donc. # L’objectif des DNVB n’est plus de se livrer à une course à la croissance mais à une course à la rentabilité. Et pour ça, un élément majeur : répondre à ses clients et améliorer leur expérience avant, pendant et après leur achat. # Les relations-presse demandent du temps mais sont un véritable atout pour acquérir de nouveaux clients.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter.
72 - #72 - Colizey : Comment relever le challenge complexe des marketplaces spécialisées ?
“Les achats sportifs sont des achats émotionnels. Aujourd’hui la frontière avec la mode est de plus en plus fine.”Maxime Maffini-Scialom, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de Colizey, une marketplace spécialisée dans le sport. Sa particularité ? Elle offre de la visibilité aux marques hyperspécialisées tout en vendant des marques bien plus globales. Lancé en mars 2019, Colizey recense aujourd’hui plus de 120 000 références dans 27 sports différents. Et l’aventure ne fait que commencer. Prochain objectif ? Réaliser 12 millions de chiffres d’affaires annuels dès l’année prochaine.“On aurait peut-être pu comprendre plus vite qu’il est important de choisir ses batailles. Au début on essayait d’intégrer des marchands sur toutes les verticales et au fur et à mesure, on a choisi de se spécialiser un minimum.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse du projet de Colizey qui entend répondre à une double demande : celle des boutiques physiques qui ont besoin d’une présence digitale et celle des e-commerçants qui cherchent de nouveaux canaux d’acquisition. Maxime explique comment ils sont parvenus à acquérir le soutien de Tony Parker et ont ainsi pu bénéficier de son réseau et de ses compétences sans toutefois l’utiliser comme un “homme sandwich”. Il raconte également l’importance qu’ils donnent à leurs marchands partenaires qui forment la “famille Colisey”. Ils prennent soin de les appeler régulièrement en s’assurant qu’ils n’ont pas de besoins supplémentaires et en répondant à toutes leurs demandes. Enfin, Maxime Maffini-Scialom met en lumière l’importance de Google Shopping dans leur business et se livre sur leurs ambitions pour les années à venir.Merci à Alexis Gouraud pour l’introduction !Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#68 - ProBikeShop : Oser être un spécialiste et faire 100M€ de CA en 2020 Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
71 - #71 - OPPI : Des jouets en bois pour développer la créativité des enfants
“Dès le début, on a pensé le produit avec une équipe de spécialistes (pédopsychiatres, ergothérapeutes, professeurs d’écoles etc.) avec l’objectif d’aider les enfants au quotidien grâce au jeu.”Bastien Schloupt, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de OPPI, une marque qui développe des jouets éducatifs pour les enfants. Début 2018, Bastien et son frère Hansel ont l’idée de créer des jeux de construction qui favorisent la concentration des enfants. L’objectif ? Détourner les enfants des écrans tout en favorisant leur motricité. Seulement deux ans après le lancement de Piks, OPPI réalise un chiffre d’affaires de 500k euros, soit 25% de plus que ce qu’ils avaient envisagé. Une belle première ! Et l’histoire ne fait que commencer...“Participer à des salons permet de se rendre visible tout en testant son produit auprès du consommateur final.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils racontent toute la genèse du projet : de la création des prototypes des jouets à la confection de la première production. Bastien revient ensuite sur les différents salons et concours auxquels ils ont participé dès le début, pendant leur campagne de crowdfunding. Il met en lumière l’importance des salons pour rendre sa marque visible. Sur les quarante précommandes de jouets effectuées durant leur campagne Kickstarter, plus de la moitié est issue des salons. Peu après la sortie de leur première production, en 2019, ils participent au Concours Lépine et remportent la médaille d’Or. Bastien retrace enfin leur volonté de prendre un virage B2B qui leur permet désormais d’être distribués chez Nature&Découvertes, Cultura, la Fnac, Bonhomme de Bois ou encore Oxybul. Et pour clore cet épisode en beauté, il se confie sur leurs ambitions pour 2021 qui verra naître un tout nouveau jouet et continuera d’assoir la notoriété d’OPPI à l’international. Merci à Jacques Masson de Sodilog d’avoir permis cette rencontre. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#12 – Lunii : De 0 à 20 millions d’euros en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?#67 - Sodilog : Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
70 - #70 - EPC : Pizza-blidas, comment désacraliser le rituel champagne ?
“On a réalisé des études consommateurs avant de lancer notre marque. On s’est rendu compte qu’il y avait plusieurs barrières à l’achat de champagne aujourd’hui : le côté sacralisé, le côté poussiéreux et le fait qu’on ne sache pas de quoi est fait le champagne.”Camille Jullien et Edouard Roy, les nouveaux invités du Panier, sont deux des trois cofondateurs d’EPC, une startup de champagne qui veut dépoussiérer la tradition autour de ce vin. Lancé il y a tout juste un an, la marque fait preuve d’une communication innovante et désacralise le champagne en le buvant dans des blidas. Et ça plaît ! En à peine 5 mois après leur lancement, ils ont réalisé plus d’un million de chiffre d’affaires et devraient tripler ce chiffre cette année. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que leur projet a séduit Xavier Niel ou Cédric Siré, fondateur de Webédia, qui ont tous deux investi dans le projet à ses débuts. Leur ambition pour les années à venir ? Assoir leur notoriété et proposer de plus en plus de produits à leurs consommateurs.“Aujourd’hui le consommateur veut savoir ce qu’il boit, d’où ça vient etc. EPC s’inscrit dans ce narratif : on a un modèle éthiquement viable qui offre une histoire et une traçabilité totale au consommateur.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent tout le processus de création d’une marque de champagne. Des entretiens qualitatifs et quantitatifs au test du nom auprès de leurs amis en passant par l’idée d’ajouter une pastille thermosensible sur la bouteille pour indiquer le meilleur moment pour la consommer, rien n’a été laissé au hasard. Camille et Edouard reviennent également sur le choix de leur communication osée et décalée qui modernise notre vision du champagne. Bouteille gravée “Veux-tu être mon ex ?”, photo qui allie champagne et pizza… tout a pour objectif de désacraliser cette marque qui peut être bûe à toutes les occasions. Enfin, ils expliquent leur stratégie de distribution qu’ils ont voulu omnicanale dès le départ pour tester différentes stratégies. Ils ont également parlé d’un ancien épisode du Panier :#28 – Le Petit Ballon : 1,5 millions de bouteilles vendues sans pub Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
69 - #69 Catch-up The Bradery - Multiplier son CA par 10 en un an
“On prend ce que tout le monde fait de mieux pour en faire notre propre cocktail.”Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast il y a bientôt un an.En janvier 2020, dans l’épisode 25 du Panier, Edouard Caraco, cofondateur de The Bradery expliquait comment, alors qu’il avait réalisé un chiffre d'affaires de 1,2 million en 2019, il comptait bien le multiplier par 10 pour célébrer cette nouvelle décennie. Il était ambitieux. Un peu en mode “all in”. Et pourtant… Presqu’un an plus tard, le cofondateur de cette startup qui déstocke, lors de ventes éphémères, les plus grandes marques de luxe, devrait passer la barre des 12 millions de CA (dont 1,5 million seulement en 4h lors d’une vente récente). Et si ça ne suffisait pas, cette start-up “born and raised on Instagram” a aussi vu son nombre d’abonnés Instagram exploser de manière insolente - on parle de 200 000 followers en quelques mois ! Comme il est vraiment sympa, Édouard vous explique en 30 minutes comment lui et son associé ont réussi ce tour de force. Notamment : en se reposant entièrement sur Shopify - chez The Bradery, personne ne sait coder !en continuant d’investir massivement Instagram ;en en réussissant à saisir l’opportunité présentée par le Covid-19 qui leur a permis d’accéder plus rapidement à de plus belles marques ; en liant des contacts avec des influenceuses, dont une certaine Léna Situations (n’en déplaise à Frédéric Beigbeder). Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter.
68 - #68 - ProBikeShop : Oser être un spécialiste et faire 100M€ de CA en 2020
“Depuis 15 ans, nous nous sommes positionnés comme des spécialistes du vélo s’adressant directement aux pratiquants. Notre objectif est de rendre plus facile l’accès à ces produits de niche.”Landri Ribeiro, le nouvel invité du Panier, est le directeur Marketing and Sales de ProBikeShop, une marketplace spécialisée dédiée aux passionnés de vélo. Créée en 2005, la plateforme revend aujourd’hui plus de 65 000 produits à des passionnés de vélos en France, Belgique, Portugal ou encore en Grèce pour ne citer que ces pays. Rien qu’en 2020, ProBikeShop a réalisé plus de 100 millions de chiffres d’affaires en 2020. Leur objectif pour les années à venir ? Proposer toujours plus de références produits et réussir à vendre de plus en plus de vélos complets. “Je pourrais avoir le plus beau site et les plus beaux triggers CRM dans mes campagnes, sans un bon partenaire logistique je n’aurais pas les mêmes performances finales.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les débuts de ProBikeShop : de la création du site par Olivier Rochon, passionné de vélo, à son rachat en 2017 par Internetstors. Landri se confie également sur les ambitions de la plateforme qui souhaite rendre l’accès à des produits professionnels simple et rapide tout en continuant à étoffer son catalogue. Il raconte comment ils gèrent, en interne uniquement, toute la logistique pour distribuer les produits mais aussi toute la création visuelle et la rédaction des fiches produits. Il explique ensuite comment ils ont mis en place un trigger marketing pour proposer des campagnes d’emailing toujours plus pertinentes à leurs clients. Enfin, Landri Ribeiro revient sur la manière dont ils s’assurent de la qualité des produits qu’ils distribuent. Grâce à leurs ambassadeurs bêta-testeurs d’une part, grâce à la plateforme Bazaarvoice d’autre part avec toujours l’objectif de satisfaire au maximum leurs millions de clients. Ils ont également parlé d’un ancien épisode du Panier :#21 – Snowleader : User centric, reblochon et 32M€ de CA Mais aussi d’un épisode de Génération Do It Yourself :#81 Jacques Antoine Granjon – Cofondateur VEEPEE – l’aventure, l’hypercroissance, les marques et l’instinct Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
67 - #67 - Sodilog : Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord
“Parfois, nous jouons presque un rôle de gendarme en rappelant à l’ordre les risques du business à nos clients.”Jacques Masson, le nouvel invité du Panier, est le CEO de Sodilog, une solution qui propose aux entreprises de gérer leur portefeuille client ainsi que toute la logistique d’achat. L’objectif ? Permettre aux entreprises de se concentrer sur leur produit et rien d’autre ! Business familial créé par son père en 1986, Sodilog aide aujourd’hui plus de 60 marques — dont plusieurs sont passées sur Le Panier — et a réalisé plus de 80 millions de Chiffre d’Affaires. On a forcément beaucoup à en apprendre quand on fait du e-commerce.“Le B2B permet du volume, de l’exposition et les distributeurs jouent parfois le rôle de vitrines pour les marques.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse de Sodilog qui, originellement, a été pensé pour Carrefour qui a finalement arrêté de travailler avec eux au début des années 2000. Depuis, ils ont repensé leur business modèle et proposent désormais un accompagnement unique à leurs différentes marques. Jacques livre également de nombreux conseils pour les marques e-commerce et notamment : # N’allez que dans des comptes où vous êtes certains d’être payés par la suite. Oui, l’inverse arrive (trop) fréquemment. # Vérifiez toujours la solvabilité de votre distributeur. # Participez à des salons. C’est un bon moyen de rencontrer de nouveaux distributeurs. # Le B2C c’est bien, mais le B2B aussi… et il ne faut pas le négliger. En moyenne, Jacques recommande d’être sur un ratio de 80% de B2B et 20% de B2C. # Choisissez bien vos distributeurs ! Des “distributeurs vitrines” comme les Galeries Lafayette peuvent être une bonne plus-value pour votre marque. # Faites toujours attention aux tarifs des douanes et du transport en amont. Renseignez-vous ! # Evitez de faire des accomptes à vos fournisseurs (oui, oui). # Définissez votre coefficient de marge avant même de lancer votre produit. # Restez le “maître à bord” autant que possible. Les levées de fond ne sont pas toujours essentielles (et on a trop tendance à l’oublier).Si vous appliquez toutes ces règles à la lettre, votre business devrait cartonner ! Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#12 – Lunii : De 0 à 20 millions d’euros en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?#59 Lilie & Koh – Solopreneur : croissance douce et quête de liberté Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
66 - #66 - Catch-up - Shapeheart - CA x 4 et 1500 nouveaux points de vente en 8 mois
“On ne peut pas devenir un expert sur Amazon, Facebook et Google en même temps” Dans Catch Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Invité de l’épisode 29 du Panier en février 2020, Michael Weisz, est le co-fondateur de Shapeheart, des accessoires permettant d’utiliser son smartphone quand on est en mouvement, pendant ses séances de running, en vélo, trottinette ou à moto.À l’époque, la marque était présente dans 500 points de ventes, avait déjà vendu plus de 30 000 produits en ligne et réalisé en 2019 entre 300 et 400K€ de CA.En 2020, ils vont passer la barre du 1,2M€ de CA, ont expédié 130 000 produits et sont présents dans 2000 points de vente. BOOM.Découvrez en 30 minutes comment ils ont multiplié leur chiffre d'affaires par 4, leur présence en magasin par 3, et ce malgré le confinement.Michael nous explique comment : Ils ont profité du confinement pour signer des boutiques qu’ils convoitaient depuis 2 ans ;Ils ont pallié l’absence de salons et événements sportifs pour rencontrer et collaborer avec de nouveaux distributeurs ; Ils sont passés sur Vendor Central sur Amazon - ou la plateforme achète du stock et s’assure ensuite de le revendre - avec les avantages et inconvénients que cela comporte.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter.
65 - #65 - Alibaba : vendre en Asie, ou comment transformer l’acte d’achat en véritable divertissement
“La mission d’Alibaba dans le monde est de faciliter la relation entre les acheteurs et les vendeurs quelle que soit leur situation géographique.”Laura Pho Duc, la nouvelle invitée du Panier, est la directrice marketing et communication d’Alibaba France, la plus grande plateforme de commerce B2B en ligne du monde. Originellement, Alibaba a voulu se positionner sur le “Double 11”, la fête des célibataires en Chine, pour en faire une journée commerciale. Aujourd’hui la plateforme a réussi la prouesse de transformer cette journée en “Global Shipping Festival”, une grande première qui cartonne ! En 2020, cet événement a généré plus de 75 milliards de dollars de vente et plus de 450 marques sont parvenues à vendre pour plus de 15 millions de dollars. Un beau CA quand l’on pense que la vente n’a duré que 10 jours ! “Aujourd’hui le challenge en Chine est d’amener l’utilisateur de son mobile à un point physique et pas l’inverse comme dans les pays occidentaux.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur les chiffres et les marques qui ont marqué cette édition 2020 — comme Cartier qui a vendu un collier à plus de 5 millions de dollars sur l’une des plateformes d’Alibaba. Laura retrace ensuite les différentes tendances internationales (qui ont toujours une longueur d’avance en Chine) comme le Live Stream qui va, selon elle, beaucoup se développer en 2021. Elle explique également comment ils accompagnent les marques françaises en les aidant à se positionner sur le marché chinois. Faire connaître sa marque est une chose, mais il faut également savoir comment s’adresser à cette nouvelle cible culturelle. Laura présente enfin les différentes plateformes et services associés à la plateforme Alibaba à savoir Alimama, AliExpress ou encore AliPay (pour ne citer qu’eux). Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#61 - Jolimoi : Social Selling – comment fédérer une communauté de clients et d’ambassadeurs ? Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
64 - #64 - Les Impertinentes : digitalisation et accélération pour un retailer indépendant ?
“Alors que je gardais de l’argent pour acheter un appartement, mes parents m’ont poussée à investir dans la boutique dont je rêvais. Ils m’ont dit que le retour sur investissement serait plus important et me permettraient ensuite de devenir propriétaire.”Olivia Kharoubi, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice des Impertinentes, une boutique de prêt-à-porter multimarques. Il y a 6 ans, Olivia a voulu ouvrir une boutique pour habiller toutes ses copines aux styles et aux budgets différents. Fin octobre 2014, elle trouve la boutique parfaite Rue Montorgueil, et Les Impertinentes sont nées ! Deux ans plus tard, elle souhaite se digitaliser et lancer son propre site internet. Aujourd’hui, Olivia compte plus de 1500 références dont 10 à 15 nouvelles sur son site chaque semaine et 2 fois plus en boutique. Son nouvel objectif ? Ouvrir une seconde boutique à Bordeaux et continuer à développer son site autant que possible.“Si je devais me donner un conseil, 6 ans en arrière, ce serait de développer internet plus rapidement et d’investir plus d’argent dedans. Mais de toujours garder ma boutique physique.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse du projet d’Olivia qui, grâce au soutien de ses proches, a investi dans sa boutique et a surmonté sa timidité pour constituer son premier stock. Ils mettent aussi en lumière la concurrence de ce marché, et les divers obstacles auxquels elle a dû faire face dès le début. Olivia se livre également sur son regret de ne pas avoir développé son site plus tôt et explique comment ses recrutements récents ont été bénéfiques pour ses réseaux sociaux. Enfin, elle détaille la stratégie qu’ils ont mise en place pendant ce deuxième confinement : réduction des frais de port, envoi rapide des commandes, exclusivités sur le site internet, etc. Et pour clore en beauté cet épisode, Olivia Kharoubi nous parle de son passage dans l’émission de M6, Les Reines du Shopping. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :# Lilie & Koh – Solopreneur : croissance douce et quête de liberté Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
63 - #63 - Tiktok : 5 conseils pour faire exploser son compte TikTok
“Grâce aux vidéos verticales en full screen et le son ON, l’expérience utilisateur sur TikTok est totalement immersive, aussi bien pour les contenus organiques que les contenus médias.”Mathieu Rampant, le nouvel invité du Panier, est le Performance Lead de TikTok, la célèbre plateforme de contenus qui cartonne auprès des plus jeunes. En août 2018 la plateforme fusionne avec Musical.ly, aujourd’hui c’est l’application la plus téléchargée avec plus d’un milliard de téléchargements au compteur. Et tout a été pensé pour que les 100 millions d’utilisateurs actifs chaque mois puissent mettre en valeur leur contenu : de l’immersion permise par le mode “full-screen” vertical, à la page d’accueil proposant directement des contenus à découvrir. Mais TikTok ne s’arrête pas là et propose également aux marques de nouvelles manières de s’adresser à leur audience. Une première !“Un bon compte de marque crée du contenu en respectant les codes de TikTok : des contenus plus authentiques, qui montrent les dessous des événements etc.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils mettent en lumière le fonctionnement de TikTok : son algorithme, les filtres proposés, les outils pour éditer les vidéos, etc. Et Mathieu offre ses meilleurs conseils pour les marques qui voudraient se lancer sur la plateforme. Pour un max de visibilité, il faut absolument :# Créer des contenus authentiques. C’est la clef. Les gens veulent connaître les secrets de votre marque, les “Behind the scene”. # Poster régulièrement, le classique. Mathieu recommande de publier en moyenne entre 3 et 5 posts chaque semaine.# Permettre à votre audience de s’identifier à votre équipe. Sur TikTok, on aime pouvoir se sentir proche de sa marque, et de ceux qui créent les contenus.# Faire des duo, vous savez, cette fonctionnalité qui vous permet de répondre à une vidéo déjà créée par un utilisateur. Mathieu l’affirme, cela crée un max d’engagement.# Lancer des challenges sponsorisés. C’est encore mieux que les pubs pour faire parler de votre marque ! Le must ? Votre audience devient directement ambassadrice en créant des contenus natifs. Et bien sûr, vous pouvez aussi créer des publicités qui sont diffusées au fil du contenu. Enfin, Mathieu Rampant se confie sur les futures fonctionnalités de l’application qui seront dédiées aux marques e-commerce. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#37 – Merci Handy : Produits cleans, licornes, arcs-en-ciels et 3 millions de produits vendus en 2019#41 – Chefclub : la recette pour 80M de followers organiques et 1 milliard de vues par mois en 4 ans Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
62 - #62 - Flatlooker : L’obsession du NPS pour un business pérenne
61 - #61 - Jolimoi : Social Selling - comment fédérer une communauté de clients et d’ambassadeurs ?
“Notre modèle est en B2B2C. : on recrute des ambassadeurs que l’on forme à un catalogue produit et à des outils technos qu’ils peuvent ensuite proposer à leur réseau. Ce sont donc eux qui trouvent les clients finaux.”Isabelle Rabier, la nouvelle invitée du Panier, est la cofondatrice de Jolimoi, une nouvelle solution pour conseiller et vendre des produits de beauté grâce à une communauté de stylistes indépendants. Fondée il y a 3 ans, Jolimoi est la seule plateforme à allier la technologie aux conseils d’un ou une styliste beauté personnalisé. Aujourd’hui, la plateforme compte plus d’un millier de stylistes qui vivent de leur passion et réalise plus de 10 000 commandes par mois. Et le confinement a été un véritable accélérateur côté client comme côté stylistes ce qui a permis à Jolimoi de multiplier son chiffre d’affaires par 9. Une belle réussite déjà très prometteuse ! “On s’est aperçus que le client a de plus en plus envie que l’on fasse tout pour lui. Son styliste peut donc constituer son panier et le lui livrer où il le souhaite.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse de Jolimoi : de la présentation du projet aux différents actionnaires à la création d’un e-shop en passant par la recherche de marques partenaires et d’ambassadeurs. Isabelle explique comment, dès le début, elle est allée à la recherche de clients en faisant des ventes à domicile, et a toujours cherché à proposer un service d’une qualité exceptionnelle. Elle met également en lumière la manière dont ils ont pensé la relation entre leurs clients et les ambassadeurs qui doivent être en mesure de répondre à tous les besoins de leur clientèle. Isabelle montre aussi toute la plus-value de Jolimoi qui proposent des contenus personnalisés aux marques grâce à leurs stylistes passionnés. Leurs ambassadeurs obtiennent effectivement des certifications co-créées avec chaque marque et sont ainsi de véritables spécialistes. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#27 – Nidé.co : Co-créer des produits cosmétiques à partir de véritables besoins.#59 – Lilie & Koh – Solopreneur : croissance douce et quête de liberté#60 — Facebook : 6 tips pour booster ses ventes sur FB, Instagram, WhatsApp et Messenger Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
60 - #60 - Facebook : 6 tips pour booster ses ventes sur FB, Instagram, WhatsApp et Messenger.
“Le mobile est la première vitrine des e-commerçants : le trafic mobile représente 50 à 70% du trafic global et impacte quasiment une vente sur deux — même celles effectuées en magasin.”Guillaume Cavaroc, le nouvel invité du Panier, est le directeur retail et e-commerce de Facebook — mais aussi Instagram, Messenger et WhatsApp par la même occasion. Il y a 4 ans, il a rejoint l’équipe commerciale pour aider les grands comptes dans leur transformation digitale. Depuis quelque temps Facebook à effectivement un nouvel objectif : être un vecteur pour le commerce des marques. Marketplace C2C, InstaShopping, Facebook Shopping… autant d’outils pour développer le commerce en ligne. Et pour cause, plus de 180 millions d’entreprises ont un compte sur leurs plateformes et 50% des TPE/PME y sont présentes. Un bon début pour le business. “On ne reviendra pas en arrière après le confinement : les acheteurs qui se sont mis au e-commerce vont, pour la plupart, continuer à acheter en ligne.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent la répercussion du confinement sur les achats en ligne, qui a énormément accéléré la digitalisation des pratiques quotidiennes. Et Guillaume livre quelques tips et avantages proposés par Facebook pour développer sa présence en ligne : # Il est essentiel d’imaginer des contenus adaptés au mobile. C’est d’autant plus le cas sur Instagram où 100% du trafic est mobile. # Il vaut mieux automatiser tous vos processus pour gagner en temps et en efficacité. Les outils de machine learning de Facebook analysent directement les tranches de populations qui convertissent le mieux sur votre site pour cibler vos campagnes. # Pas besoin de choisir entre Instagram et Facebook pour diffuser ses campagnes publicités : il n’y a pas de profil type, vous êtes forcément gagnant. # Il est important de garder des moments pour parler de sa marque, de ses engagements et de ses valeurs sans pour autant promouvoir de produits. # Partager un catalogue de ses produits dans son InstaShopping permettra aux influenceurs de directement tagger un produit. # La Réalité Augmentée et la Réalité Virtuelle vont devenir de véritables canaux commerciaux, pensez-y ! Et pour couronner le tout, Guillaume Caravoc détaille les outils développés par Facebook pour aider les e-commerçants, à savoir : Facebook Blueprint, Facebook for Business mais aussi Facebook for Developers. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#30 – Instagram : 9 tips pour exploser ses ventes sur Instagram Shopping Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
59 - #59 - Lilie & Koh - Solopreneur : croissance douce et quête de liberté
“Quand je travaillais à Londres j’avais 5 semaines de congé, et 5 semaines de liberté ça ne me convenait pas. Aujourd’hui je travaille beaucoup plus qu’avant, mais je travaille libre, selon mes envies et mon rythme.”Nathalie Mallet, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice de Lilie & Koh, une marque de bijoux fantaisies, colorés et ensoleillés, inspirés de son histoire, du voyage et des îles. Après 10 ans passés dans des grandes maisons de bijoux, telles que Boucheron, Cartier et Links of London, elle se lance dans un tour du monde d’un an. À la fin du périple elle se retrouve à Bali où elle commence à travailler avec les artisans du coin et à développer les premiers prototypes de ce qui deviendra Lilie & Koh. Elle se lance donc dans l’entrepreneuriat en 2015 et lance sa marque. Aujourd’hui on peut retrouver ses bijoux dans plus d’une trentaine de magasins et concept-stores.“Je n’ai pas fait de business plan, parce que le marché du bijou est archi saturé. Je ne voyais pas ce que je proposais de plus que les autres. Donc j’y suis allé, j’ai créé mon univers, et j’ai développé la marque à mon rythme.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la création de Lilie & Koh à Bali et sur son lancement, qu’elle a fait à son rythme. Pas de levée de fonds à plusieurs millions ou de chiffre d’affaires mirobolant dans cet épisode, mais une véritable leçon sur la quête de liberté et l’importance de la bienveillance. Elle nous explique comment elle a fait grandir sa marque pas à pas, en commençant par des apéros “Lilie & Koh” avec un cercle de proche, s’élargissant à chaque fois un peu plus, pour ensuite créer son shop Etsy et passer aux ventes en entreprise, aux salons de créateurs, aux marchés de Noël, et enfin aux centres commerciaux et aux concepts stores. On y parle également de ses différentes stratégies, que ce soit sa présence sur Instagram ou sa politique vis-à-vis des soldes et des cadeaux. Enfin Nathalie nous partage ses meilleurs enseignements : l’écoute de soi pour être sûr d’aller à son rythme, l’importance de la bienveillance pour provoquer les bonnes opportunités, et la persévérance pour être présent au plus d’endroits possibles. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ans#30 – Instagram : 9 tips pour exploser ses ventes sur Instagram Shopping Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
58 - #58 - Konjak Paris : Amazon, Birchbox et les Galeries Lafayette, accélérer vite et fort pour son lancement produit
“Je ne voulais pas juste vendre un complément alimentaire mais rassembler une communauté autour du bien-être et de la santé. C’est pour cette raison qu’on a créé notre mascotte Jak.”Kahina Mounier, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice de Konjak Paris, une nouvelle marque de complément alimentaire biologique qui utilise un ingrédient majeur : le konjac. Après plusieurs années de troubles alimentaires, Kahina a découvert cette racine miracle qu’est le konjac. Mais impossible de trouver dans le commerce des compléments alimentaires biologiques qui en contienne. Qu’à cela ne tienne, elle a décidé de créer sa propre formule. En préparation depuis novembre 2019, Konjak s’est officiellement lancé en mars 2020. Mais avec le confinement, c’est lorsque Kahina a été invitée sur un plateau télévisé à la fin de celui-ci, que la marque a connu son véritable lancement. “On veut utiliser Amazon comme un pop-up store, comme une vitrine qui nous permet de toucher un nouveau public tout en les rassurant.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse du lancement de Konjak Paris et les valeurs de la marque qui, depuis le lancement, reverse 1% du prix de chaque achat à l’association Toutes à l’Ecole. Kahina explique tout le processus de fabrication des compléments alimentaires : de la création de la formule en laboratoire à l’élaboration d’un pilulier esthétique et écologique en passant par le choix d’incarner la marque grâce à une mascotte illustrée “Jak”. Ils reviennent également sur leur choix de distribuer, dès maintenant, sur Amazon en plus de leur site internet. Enfin, Kahina se confie sur leurs projets à venir : ouverture en Allemagne, distribution dans les Galeries Lafayettes mais aussi apparition dans une prochaine Birchbox en partenariat avec l’influenceuse Enjoyphoenix et chez Monoprix. Un avenir pour le moins prometteur. Et pour couronner le tout, Kahina nous livre les outils dont ils ne peuvent pas se passer, à savoir Shopify, Kaviyo, ReCharge, Referral Candy, ou encore WeGlow pour la traduction du site. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#12 – Lunii : De 0 à 20 millions d’euros en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance#36 – Nutripure : Comment lancer et développer une ligne de compléments bio avec un champion du monde ?#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
57 - #57 - Groupon : Acquisition et visibilité ultra-locale pour booster ses ventes
“Groupon vient s’additionner à la stratégie de communication et d’acquisition des professionnels. Elle aide les petites marques à définir leur stratégie, et permet aux plus grandes de compléter la leur.” Paul Choppin de Janvry, le nouvel invité du Panier, est le directeur du business développement de Groupon, la marketplace proposant des offres physiques ou expérientielles. Vous en connaissez certainement le concept, créé en 2010, Groupon s’est spécialisé dans la vente d’offres de services, et ça plaît ! En 10 ans, ils ont désormais réalisé plus de 68 millions de ventes d’offres à plus d’un milliard d’acheteurs du monde entier. Au total, ils ont collaboré avec 66 000 commerçants et réalisent, en moyenne, 1 million de visites sur leur site chaque jour. Leur objectif désormais ? Offrir une gamme d’expériences véritablement adaptées et ciblées pour leur clientèle. “Avant, Groupon promettait de faire la une du web, aujourd’hui on essaie de vendre de la visibilité ciblée et l’acquisition ultra-ciblée." Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils détaillent le business modèle et le positionnement de Groupon qui fonctionne comme un outil à part entière dans les stratégies de marques. Paul explique comment Groupon accompagne et aide tout types de marques — les plus connues comme celles qui se lancent à peine — à fidéliser leur clientèle. Ils mettent également en lumière le positionnement de Groupon. Contrairement à Veepee, la marketplace propose bien plus d’offres expérientielles à proximité en s’associant à des restaurants comme Guy Savoy, élu meilleur restaurant du monde en 2020. Enfin, Paul Choppin de Janvry explique comment, après le confinement, Groupon a permis à beaucoup de restaurants de relancer leur activité en proposant des offres avantageuses à leurs clients. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#50 – Malou : Des avis Google au référencement local : rendre son commerce plus visible. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
56 - #56 - Kazidomi - Adhésion et influence pour conquérir et fidéliser ses clients
“Le système d’adhésion nous a permis de fidéliser notre clientèle. Comme le client doit dépenser 80€ pour avoir accès aux réductions il rentabilise sa dépense. On a vu deux effets : le panier moyen a augmenté et la fréquence d’achat également.”Emna Everard, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice de Kazidomi, une plateforme e-commerce qui ne vend que des produits sains. Fondé en 2016, Kazidomi adopte un modèle de pricing original en proposant à chacun d’adhérer à la plateforme pour avoir accès à des réductions sur les produits allant jusqu’à -50%. Et ce modèle plaît puisque 85% des clients Kazidomi sont des membres adhérents. 4 ans après sa création, la plateforme propose désormais plus de 3 500 produits dont 5% ont été créées par Kazidomi en interrogeant leur communauté. Avec eux, la Kazi Family forme une communauté soudée qui interagit en permanence lorsqu’il s’agit de concevoir de nouveaux produits !“On a créé une vraie communauté sur Instagram et on sollicite énormément nos clients via des sondages pour choisir les produits de Kazidomi.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur le lancement de Kazidomi qui a utilisé la notoriété de plusieurs naturopathes pour assoir la réputation de la plateforme et fidéliser des clients. Emna explique également comment, dès le départ, ils ont travaillé avec des influenceuses qu’ils ont toujours considérées comme des partenaires. Ensemble, ils mettent en lumière l’importance qu’a eu Instagram dans le développement de Kazidomi. Aujourd’hui Instagram est une véritable plateforme d’échange avec toute leur communauté qu’ils interrogent via des sondages lorsqu’ils veulent lancer un nouveau produit, choisir un packaging etc. Enfin, Emna raconte pourquoi ils ont privilégié l’acquisition payante de Google et Facebook plutôt que de réaliser de la publicité offline. Et si ça ne vous suffisait pas, Emna Everard nous livre ses chiffres ainsi que les plateformes et outils qu’ils utilisent au quotidien comme Pinterest, Facebook, Tiktok, Prestashop, Notion ou encore Klaviyo. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#37 – Merci Handy : Produits cleans, licornes, arcs-en-ciels et 3 millions de produits vendus en 2019 Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
55 - #55 - Franprix : Comment l’enseigne est devenue le laboratoire d’innovation du groupe Casino ?
“Lorsqu’on a lancé notre e-commerce, notre stratégie était basée à 100% sur les magasins. Il fallait être capable de livrer vite sinon notre premier concurrent était le Franprix lui-même.”Alexandre Nottin, le nouvel invité du Panier, est le Directeur Digital de Franprix, l’enseigne de magasins alimentaires de proximité. Lorsqu’Alexandre a rejoint l’entreprise, en 2015, elle n’était pas digitalisée et ne proposait pas de e-commerce. Depuis, elle fonctionne comme un laboratoire d’innovation pour le groupe Casino. Très vite, Franprix a développé “Alimentaire Express”, une solution de marketplace pour faire ses courses à distance, et s’est associé à Stuart, pour livrer les clients à domicile. Aujourd’hui, Franprix compte plus de 900 points de vente, dont 90% en Île-de-France, et a comme objectif de proposer un service de livraison dans chacun de ses magasins. “En juin 2017, on a mis en place une application “couteau-suisse” qui visait à combiner ce que l’on peut retrouver en expérience magasin et notre pendant e-commerce.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent le parcours d’Alexandre Nottin et ses objectifs lorsqu’il a rejoint le groupe Casino il y a 5 ans. Il raconte comment l’enseigne s’est peu à peu ouverte au e-commerce et à la livraison à domicile en s’associant, d’abord à Cdiscount, puis à Stuart avant de lancer sa propre application en juin 2017. Alexandre explique ensuite comment Franprix a lancé, pendant le Covid 19, la possibilité de commander plus de 260 produits dans plus de 100 magasins et de se faire livrer à domicile via Deliveroo. Cette démarche lui a ainsi permis de multiplier par 10 son trafic, et par 4 ses commandes. Mais ce système dépendait énormément des magasins, il met donc en lumière leur organisation pour parvenir à gérer les stocks, en ne permettant de passer commande qu’une heure par jour au tout début. Enfin, il revient sur leurs objectifs à venir et sur leurs principaux enjeux. Et si ça ne vous suffisait pas, Alexandre livre les partenaires avec qui ils travaillent au quotidien tels que Eskimoz, ScanUp ou encore Akeneo. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#37 – Merci Handy : Produits cleans, licornes, arcs-en-ciels et 3 millions de produits vendus en 2019#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an#48 – Spliiit : Évangéliser le partage d’abonnements auprès de 100 000 utilisateurs en 9 mois Et de If This Then Dev :#6 – Des rails vers le Cloud : histoire d’une migration réussie – Marie-Caroline Bénézet Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
54 - #54 - Criteo : Omnicanal et marketing - 6 conseils pour les e-commerçants
“D’un point de vue marketing, l’omnicanalité est la capacité à tout connaître du client pour le contacter de façon intelligente. Du point de vue client l’omnicanalité est le fait d’utiliser plusieurs canaux pour finaliser son achat.”Thomas Beurton, le nouvel invité du Panier, est Product Sales Specialist chez Criteo, une entreprise française de reciblage publicitaire. Concrètement, Criteo aide les marques à générer du trafic et donc, des ventes, sur leur site internet mais aussi en magasin. Grâce à son large réseau, elle permet ainsi d’obtenir de nombreuses informations sur les différents clients d’une marque, afin de mieux les cibler. Leur autre branche métier est axée retail-médias et permet de faire le lien entre les besoins des marques et l’inventaire disponible sur les sites des retailers pour les aider à pousser leurs produits et leur message.“Lorsque l’on communique avec un client magasin, un site web ne doit pas être un canal d’achat mais un canal de communication et d’information.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils détaillent l’offre de Criteo pour les différentes marques et livrent de nombreux conseils ultra-concrets et actionnables pour les e-commerçants :12’28 : Pour atteindre une audience-cible et mesurer l’impact d’une marque auprès de celle-ci, il faut bien connaître les différentes personas (connaître les produits récemment consultés, etc.) et les inspirer à visiter le site internet.27’50 : Il ne faut pas forcer un client magasin fidèle à acheter sur son site internet, au risque de dégrader son expérience personnelle. Ce n’est donc pas une vision user-centric.29’15 : Il faut faire en sorte que son site internet fonctionne comme un tremplin direct vers son magasin. Un client magasin qui consulte régulièrement son site a 23% plus de chance de racheter un produit le mois suivant.31’55 : La première étape lorsque l’on veut travailler son omnicanalité est de casser les silos organisationnels. Il faut absolument commencer par définir une vision et des objectifs customer-centric pour toute l’entreprise. Ensuite, il faut trouver 32’47 : Ensuite, il faut travailler sa donnée en trouvant des partenaires et des technologies en mesure d’enrichir cette donnée afin de personnaliser l’expérience client. 49’05 : Les objectifs omnicanaux des annonceurs ne doivent pas être, d’augmenter leur part de clients omnicanaux, cela se fait naturellement quand un utilisateur est à l’aise avec une marque. Enfin, Thomas illustre ses propos en analysant l’exemple de Micromania et la manière dont la marque a réagi pendant le confinement. Et si ça ne vous suffisait pas, il livre également de nombreuses statistiques sur le sujet et définit les termes les plus importants. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
53 - #53 - Wecasa : Convaincre 100 000 acheteurs de services à domicile en 4 ans
“Au début, on a lancé une Landing Page très simple pour tester le marché et voir l’intérêt des gens. Dans le même temps, pour répondre à nos premières réservations, on a commencé à constituer un réseau de professionnels.”Pierre André, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de Wecasa, une application qui simplifie votre quotidien en vous permettant de réserver des professionnels de différents secteurs à votre domicile, partout en France. Au programme : coiffure, esthétique, massage, ménage, garde d’enfant ou encore coach sportif. Il y en a pour tous les goûts, et ça plaît ! Depuis septembre 2016, Wecasa a séduit plus de 100 000 clients et est intervenu dans plus de 4 000 villes de France. Ils se sont lancés sur le mode du “Make them an offer than can't refuse”, et ont réussi, au fil des années, à convaincre plus de 3 000 professionnels de travailler avec eux. “Nos campagnes de paid social sur Facebook n’ont jamais aussi bien fonctionnées que lorsqu’on a arrêté de cibler et qu’on a laissé l’algorithme les gérer.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse du projet de Wecasa, et expliquent comment, avec une simple landing page au début, ils sont parvenus à se créer un réseau de profesionnels et de clients. Pierre revient ensuite sur la fidélité de leurs utilisateurs et la manière dont ils mesurent la satisfaction de leurs clients pour offrir en permanence la meilleure offre de services. Il met également en lumière tout le travaille en SEO qu’ils ont réalisé en rédigeant régulièrement des contenus et en concevant, dès le début, un site avec un angle SEO. Il livre aussi ses apprentissages en terme de paid social, en montrant qu’il faut parfois faire confiance à l’algorithme de Facebook. Enfin, il revient sur les nombreuses campagnes qu’ils ont réalisées depuis 2017, et les enseignements qu’ils en ont tirés : les affichages dans le métro ont un ROI qui dure relativement longtemps, les campagnes radio ont un fort impact tout de suite mais s’arrête dès la fin des pubs et les spots télé ont un impact massif. Et pour finir, Pierre André donne les outils qu’ils utilisent au quotidien, à savoir Intercom, Zoho CRM ou encore Zoho Analytics. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
52 - #52 - Ça Compte Pour Moi : Digitaliser le métier d'expert comptable et séduire 3 000 clients en 5 ans
“Être experts comptables en ligne nous a permis d’être moins chers et donc de toucher une nouvelle cible qui n’allait pas vers les cabinets ou faisait sa compta seule.”Mathieu Chauveau, le nouvel invité du Panier, est le CEO et cofondateur de Ça Compte Pour Moi, une solution d’experts comptables en ligne. Depuis le début en 2015, Ça Compte Pour Moi ne fait rien comme les autres. Leur fusée et le rose de leur logo sont mémorables, ils ont dépensé plus de 2 millions d’euros sur les deux premières années et ils se sont lancés lors du salon des entrepreneurs, rien que ça. Et ça a payé. En 5 ans, ils ont conquis plus de 3 000 clients et réalisent aujourd’hui plus de 3 millions d’Annual Recurring Revenue.“L’achat d’Adwords était prépondérant dans notre acquisition et représente encore aujourd’hui, une part importante de nos leads. On dépense en moyenne 80k à 90k euros à l’année.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse du projet de Ça Compte Pour Moi et toutes les bonnes pratiques qu’ils mettent en place pour acquérir des cinquantaines de clients tous les mois. Des articles rédigés pour leur blog aux dépenses en Adwords, Mathieu détaille leur stratégie de référencement. Il offre également quelques conseils facilement applicables pour gagner en visibilité sur LinkedIn : toujours poster avec son compte perso et non celui de son entreprise, engager les gens au maximum, éviter le repartage tel quel (sans commentaire etc.) et créer du contenu original. Mathieu livre également une analyse de leur churn, qui intervient majoritairement lorsqu’une boîte ferme, ainsi que leurs objectifs à venir. Enfin, il détaille leurs chiffres, budgets etc. et les outils qu’ils utilisent au quotidien tel que Growth Machine et Phantombuster. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
51 - #51 - Graines de Mômes : Fast fashion écolo - Comment trouver le business model idéal ?
“Quand on se lance avec un modèle économique tout nouveau comme celui de la location, il n’y a pas d’exemples sur le marché. C’est donc constamment du test and learn pour trouver ce qui fonctionne le mieux.”Marine Rose, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice de Graine de Mômes, une plateforme d’achat et de location de vêtements pour des enfants de 3 mois à 3 ans. Non seulement les vêtements coûtent cher, mais ils sont en plus très polluants. Pour les enfants, ils ne servent, en plus, jamais très longtemps. Et c’est exactement pour adresser ce problème que Marine a eu l’idée de Graine de Mômes dont le site a été lancé en février dernier. Depuis sa campagne de crowdfunding en octobre 2019, Marine a désormais mis en place 4 formules de location de vêtements, 1 solution de rachat de vêtements de seconde main et va bientôt organiser son deuxième pop-up store. Elle travaille aujourd’hui avec une douzaine de marques pour enfants, toutes engagées, responsables et respectueuses de l’environnement et des humains.“Il faut bien préparer en amont sa campagne de crowdfunding, avoir un réseau conséquent et bien la travailler auprès des médias.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent le parcours de Marine qui a quitté son job dans la finance avant d’intégrer un programme de création d’entreprise qui l’a amenée à créer Graine de Mômes à peine un an plus tard. Elle explique ensuite les diverses étapes qu’elle a traversées pour permettre à son projet de voir le jour. De la mise en place de sa campagne de crowdfunding, au lancement de son site internet, en passant par la refonte graphique et le changement de nom en cours de route. Elle détaille tout. Marine livre également plusieurs conseils pour réussir sa campagne de crowdfunding : bien la préparer sur tous les plans (Dossier de Presse, site prêt, etc.), bien communiquer avant le lancement et avoir un réseau conséquent. Enfin, elle explique l’importance de réaliser des pop-up stores pour pouvoir échanger directement avec les parents en physique et faire connaître sa marque. Ils y parlent également d’un ancien épisode du Panier : #22 – Dualist : lancer une DNVB textile avec plus de 40 refs en 6 mois Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter !
50 - #50 - Malou : Des avis Google au référencement local : rendre son commerce plus visible
“Tu as deux moyens de gagner des clients lorsque tu ouvres un restaurant : attirer les gens qui recherchent par besoin, et devenir un lieu de destination. On aide nos clients à atteindre ces objectifs.”Louiza Hacene, la nouvelle invitée du Panier, est la cofondatrice de Malou, une plateforme qui aide les restaurants à acquérir des clients en les aidant à piloter leur référencement local. Depuis 2 ans et demi, Malou accompagne une cinquantaine de restaurants en travaillant trois leviers principaux : le référencement, le community management ainsi que l'achat medias et l'influence. Ils sont partis d’un constat simple : aujourd’hui tout le monde recherche un restaurant sur internet avant de s’y rendre mais les restaurateurs sont très mauvais pour gérer leur e-réputation. Et c’est là que Malou intervient. Quelques années après son lancement, la plateforme est devenue essentielle pour beaucoup de restaurants qui ont réussi à acquérir une belle notoriété online.“Chaque avis Google est pondéré selon plusieurs critères. Un avis avec une note, du texte et des photos aura plus de poids qu’un avis qui a seulement un nombre d’étoiles.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils racontent les prémices de Malou, qui n’était pas, originellement, destinée aux restaurateurs. Louiza explique le fonctionnement de cette plateforme en SaaS, qui se focalise sur trois leviers pour aider les restaurants à se positionner sur Google. Ils reviennent également sur l’épisode du CoVid 19, qui a eu un gros impact sur ce secteur. Ils mettent en lumière comment, pendant cette période, Malou a aidé les restaurateurs à passer à la livraison à emporter, et a réalisé de nombreux webinars pour aider leurs clients à faire face à la crise. Enfin, Louiza Hacene livre de nombreux conseils pour gagner en visibilité sur Google et obtenir de jolis commentaires — que l’on soit un restaurant, ou non. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
49 - #49 - MaGarantie5ans : Tenir sa promesse de durabilité et faire 5M€ de CA en 4 ans
“On essaie de réinventer l’expérience client e-commerce en établissant un contact client comme en magasin.”Benoît Delporte, le nouvel invité du Panier, est le confondateur de MaGarantie5ans, un site de vente en ligne d’électroménagers. Créée en 2012, la marque s’est digitalisée dès 2016, avec une promesse forte : devenir la première marketplace des produits durables. Quelques années plus tard, ils réalisent plus de 60 000 ventes et 5 millions d’euros de chiffre d’affaires. Et leur pari est tenu : ils sont aujourd’hui les premiers e-commerçants, dans le monde, à labelliser une offre d’électroménagers durables. Et leur indice de durabilité est basé sur plusieurs critères bien définis : une analyse du taux de panne, le score UFC Que Choisir, une demande auprès des consommateurs, et la disponibilité des pièces détachées en années. Et tout leur projet va dans ce sens.“Pour lancer son site e-commerce il faut d’abord raconter une histoire et créer de la valeur. Mais il ne faut pas se contenter de simplement mettre des produits sur internet.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils détaillent les valeurs fortes de MaGarantie5ans et expliquent ce qui a été mis en place pour les transmettre et séduire leurs clients. De la catastrophe initiale liée à l’achat d’Adwords à l’utilisation du chat Messenger pendant le Corona Virus, Benoît revient sur toutes les étapes du déploiement de leur marketplace. Il montre comment ils ont réussi à réinventer l’expérience d’achat en ligne pour convertir au maximum et apporter une dimension humaine à leur métier de e-commerçants. Enfin, Benoît livre de nombreux conseils pour optimiser son site e-commerce en passant par un storytelling fort et utiliser Facebook Messenger, qui permet de ne jamais perdre la relation avec ses clients. Et si ça ne vous suffisait pas, Benoît Delporte se confie sur ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien comme PrestaShop, Shopping Feed, Shopimind, Crisp pour leur chat, SendInBlue ou encore Price Observatory. Ils y parlent aussi d’un ancien épisode du Panier :#27 – Nidé.co : Co-créer des produits cosmétiques à partir de véritables besoins. Et du podcast Invest Like the Best. Merci à Nicoas Ratteau de Prestashop d’avoir permis cette rencontre. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
48 - #48 - Spliiit : Évangéliser le partage d’abonnements auprès de 100 000 utilisateurs en 9 mois
“On s’est un peu lancé comme des cobayes sans avoir l’accord des plateformes que l’on référençait sur Spliiit.”Jonathan Lalinec, le nouvel invité du Panier, est le fondateur de Spliiit, une plateforme qui permet de partager ses comptes Netflix, Spotify, Amazon Prime ou encore Disney +, avec d’autres utilisateurs afin d’économiser de l’argent. Jonathan est parti d’un constat simple : aujourd’hui le partage d’abonnement est devenu une habitude pour beaucoup d’entre nous, alors autant le simplifier. Et en moins d’un an, Spliiit a déjà référencé plus de 200 plateformes et séduit plus de 100 000 utilisateurs et bientôt 50 000 abonnés. Dès le début cette plateforme de “covoiturage d’abonnement”, parfois décriée par certains, a beaucoup intéressé les médias qui ont fait parler d’elle.“On se rend compte que le partage d’abonnement permet de réduire énormément le taux de résiliation, et c’est notre argument phare lorsque l’on discute avec des distributeurs.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur l’idée originelle de Jonathan qui s’est lancé sans même l’accord des plateformes référencées sur Spliiit. Il explique comment, peu à peu, ils ont réussi à séduire et raisonner des milliers de gens et permettent aujourd’hui d’augmenter le panier moyen de nombreuses plateformes. Ils détaillent également les différentes offres de Spliiit — partage privé ou public de ses abonnements — ainsi que tous les avantages qu’elle permet. Du taux de transformation de plus de 50%, au modèle économique de la plateforme, il retrace tout. Enfin, Jonathan Lalinec livre leurs projets futurs, leur volonté de s’exporter à l’international et les nombreux partenariats qu’ils souhaitent aujourd’hui mettre en place avec diverses plateformes de musique, vidéo, audio, etc. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
47 - #47 - Comme Avant : Comment lancer une production artisanale, opérer une transition écologique et réaliser 5M€ de CA après 3 ans ?
“Je savais que mon contenu était unique et qu’il plaisait puisque j’avais déjà des premiers clients. De fait, je ne voulais absolument pas que mes produits soient disponibles ailleurs que sur le site de Comme Avant.”Nil Parra, le nouvel invité du Panier, est le fondateur de Comme Avant, une marque de cosmétiques naturels, vegans et zéro déchet. Créée il y a trois ans, cette marque familiale a connu une belle hypercroissance puisqu’en 2019 elle a réalisé plus de 5 millions de chiffres d’affaires. A l’origine, Nil voulait simplement créer le savon le plus naturel possible pour faire disparaître les problèmes de peau de son premier enfant. Et son produit a séduit bon nombre de ses proches qui l’ont alors incité à commercialiser son savon. La particularité de Comme Avant ? Ne vendre qu’un seul produit dans chaque gamme et fabriquer chaque cosmétique de A à Z.“Tous les premiers clients qui avaient passé commande sur le site reviennent et achètent des quantités folles : 3, 5 produits, des pains de 1 kg etc. Les paniers explosent et montent à 200€ rapidement.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse du projet de Nil et ses premières expériences de saponification sur sa terrasse. Nil explique comment peu à peu ils ont réalisé leurs premières ventes et ont connu, très rapidement, un grand succès auprès de leur clientèle. Ils reviennent ensuite sur le développement de la marque et l’idée risquée de Nil de rendre les frais de port gratuits dès le départ. Nil Parra explique également sa volonté de ne vendre qu’en e-commerce sur son site et de maîtriser toute la chaîne, jusqu’à la distribution. Ils évoquent le choix d’avoir ouvert trois boutiques à Marseille, Paris et bientôt Toulouse. Enfin Nil livre ses leviers d’activations et revient sur son utilisation de Facebook. Un grand merci à Joseph Ayoub d’avoir permis cette rencontre. Ils ont aussi parlé d’anciens épisodes du Panier #32 – Faguo : 12 millions de CA et 1,5 million d’arbres plantés#43 – Mieux Que Des Fleurs : d’un side project en test and learn à 100 000 commandes en 3 ans. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
46 - #46 - PERCKO : Comment lancer un produit de santé technique et innovant ?
“Le e-commerce a permis, dès le début, de donner beaucoup de visibilité au B2B et d’avoir de la demande entrante. Aujourd’hui, le B2B apporte un tampon qui nous permet de nous imposer comme des experts aux yeux du grand public.”Alexis Ucko, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de PERCKO, une marque de vêtements intelligents qui soulagent le mal de dos. Première cause d’arrêt maladie en France, les maux de dos sont souvent liés à une mauvaise hygiène de vie. Pour pallier ce problème, PERCKO a pour objectif de (ré)apprendre, grâce à la technologie Lyne, à adopter une bonne posture assise. Créée en 2015, la marque propose aujourd’hui 4 produits différents, va réaliser 7 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année et compte 25 employés à Paris. “On a fait une campagne de financement participatif avec l’objectif de prévendre pour 30k€. Au bout d’un mois, on a prévendu pour 400k€ à plus de 5 000 clients dans 90 pays du monde.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse du projet de PERCKO, de la rencontre entre Alexis et Quentin Perraudeau, son associé, à la conception du prototype en partenariat avec Cogito Bio et TopTex Cube. Alexis explique comment ils ont lancé leur campagne de financement et le succès qu’ils ont rencontré dès les préventes de leur produit. Il met également en lumière les demandes de diverses entreprises, comme la SNCF, pour qui ils ont lancé un nouveau produit. Enfin, il revient sur leurs différents points de vente et l’impact qu’a eu CoVid 19 sur leur entreprise. Un grand merci à Michael Weisz d’avoir permis cette rencontre. Vous pouvez d’ailleurs aller écouter l’épisode sur Shapeheart enregistré avec lui : #29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
45 - #45 - Snap : utiliser la première app des 13-35 pour faire connaître sa marque e-commerce
“En moyenne, les annonceurs se battent pour avoir 3 secondes de temps passé sur une publicité mobile. Avec ces expériences en réalité augmentée sur Snap, et dans le cas de Ralph Lauren, on passe à 24 secondes d’attention.” Grégoire Gimaret, le nouvel invité du Panier, est le Product Marketing Manager de Snap, une application de partage de photos et de vidéos. Avec plus de 14 millions d’utilisateurs actifs chaque jour, Snap est utilisé par 80% des 13/34 ans, une aubaine pour les marques e-commerce. Le 11 juin, l’application la plus utilisée par les millennials, a organisé le Snap Partner Summit, pour annoncer toutes les nouvelles fonctionnalités de l’application.“My Jolie candle s’est rendu compte que pour 1€ investi sur les campagnes publicitaires de Snap, elle réalisait 9€ de ventes.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur les annonces récentes et offrent des conseils concrets et actionnables pour faire connaître sa marque e-commerce sur Snap. Grégoire nous livre les fonctionnalités essentielles à utiliser sur Snap :L’insertion des local business sur la Map de Snap avec la possibilité, pour la marque, d’ajouter son contenu personnel.Le Snap Publisher, qui aide chaque marque à créer de nouveaux contenus adaptés au format de Snapchat. Les contenus peuvent ensuite être utilisés sur d’autres plateformes.Le Landmarker qui permet de créer des expériences en réalité augmentée avec la possibilité de créer une expérience personnalisée en scannant le logo de la marque.Le Snapkit pour exporter les meilleures fonctionnalités de Snap dans une autre application ou vice-versa.Les Minis, pour importer son application dans le chat, associer des jeux etc. Les Dynamics Ads qui permettent désormais de faire du retargeting depuis Snap (lenses, jeux, etc.) et ainsi d’obtenir un temps d’attention moyen de 24 secondes, contrairement aux 3 secondes habituelles. Le Lense Studio pour créer ses propres filtres en à peine quelques heures. Ils détaillent également les exemples de campagnes de marques réalisées via l’application comme celle d’Armani, de Louis Vuitton ou encore celle de My Jolie candle. Enfin, Grégoire Gimaret se confie sur leurs chiffres, les partenariats à venir, avec Yuka par exemple, et la vision de Snap pour l’avenir. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
44 - #44 - Eskimoz : 10 conseils SEO spécial e-commerce
“Pour faire un bon SEO, il faut être curieux de nature, aller regarder ce que fait la concurrence, mais aussi savoir se remettre en question en permanence.”Benoît Perrotin, le nouvel invité du Panier, est le directeur SEO d’Eskimoz, une agence de référencement naturel. Après des études de développement informatique, Benoît s’est très rapidement intéressé au SEO et a intégré Performics et Pixmania pour se spécialiser. Chez Eskimoz, il est chargé de la BU e-commerce et aide chaque entreprise dans sa stratégie de visibilité sur le web.“Il est toujours important d’afficher des éléments de réassurance dans ses méta-descriptions : paiement sécurisé, livraison offerte, retours gratuits etc. L’internaute se sentira plus en confiance.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur tous les rouages du référencement naturel, et offrent plus de 10 conseils concrets et actionnables pour votre SEO :15’28 : En e-commerce, pour créer un bon site, il faut bien penser son parcours utilisateur pour qu’il soit le plus court possible.18’45 : Il ne faut pas sous-estimer le point d’entrée de la page d’accueil. Il est essentiel de mettre les meilleurs liens possibles et il ne s’agit pas de mettre en avant son nouveau produit mais au contraire des produits stratégiques. 26’32 : Si l’on a 50 pages de listes de produits, il faut multiplier le nombre de produits sur chaque page et paginer sous la forme “1,2,3,4,5...10...50” pour que les fiches produits soient indexées plus facilement. 32’10 : Lorsque l’on fait de l’infinite scroll, il faut prévoir une navigation alternative sous forme de pagination pour que tout le contenu soit indexable. 34’54 : Pour indiquer à Google qu’une fiche produit est très importante, il faut faire du maillage interne entre les différentes fiches. 38’28 : Faire de l’up-sell ou du cross-sell est intéressant du point de vue de l’expérience client mais pas forcément du côté SEO.42’52 : Il vaut mieux utiliser des # plutôt que des ? dans ses URL.47’20 : Au début, il vaut toujours mieux se focaliser sur l’optimisation de ses meilleurs produits.48’36 : Un marquage des avis produits permet un taux de clic en hausse de 30% à 40%. De même, il est important de faire une moyenne des notes du site et de les restituer dans les pages catégories.57’22 : Lorsque l’on est présent à l’international, il est très important de localiser le contenu et de créer des contenus spécifiques à chaque pays. 59’25 : Il faut bien travailler sa performance web et la vitesse de chargement de sa page. Cela passe par des images moins lourdes, du lazy loading, etc. Benoît Perrotin livre aussi ses conseils en terme d’outils pour améliorer son référencement : Trustpilot, Avis-Vérifiés, Imagify sur Wordpress, Lazy Load, Screaming Frog ou encore SEObserver. On y parle aussi d’anciens épisodes du Panier :#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?#40 – MaCoque : Se battre contre Amazon en auto-financement et croissance organique#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
43 - #43 - Mieux Que Des Fleurs : D’un side project en test and learn à 100 000 commandes en 3 ans.
“Avant de lancer un produit sur un e-shop, il faut ouvrir un site avec la possibilité de commander, connecter un outil de paiement et enfin il faut mettre en place toute la communication - Instagram, Twitter, Facebook - en créant des visuels.”Jospeh Ayoub, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de Mieux Que Des Fleurs, un e-shop pour offrir des cadeaux expérientiels originaux et personnalisés. Le concept ? Envoyer un colis surprise qui s’ouvre avec un ballon rempli de confettis. Si en 2015, ce business n’était qu’un side project né d’une anecdote entre Joseph et sa femme, c’est désormais un business à temps plein qui double chaque année. Aujourd’hui, Mieux Que Des Fleurs a déjà envoyé plus de 100 000 colis, gonflé plus de 125 000 ballons et propose la livraison partout en France, en Europe et même à Hong Kong.“Au moment où on développe vraiment le projet, on travaille 4 leviers simultanément : la publicité Google, la publicité Facebook, l’affiliation et enfin les influenceurs.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les débuts de Mieux Que Des Fleurs et expliquent l’idée originelle du projet. Joseph Ayoub explique comment, peu à peu, ils ont réussi, grâce à des partenariats avec des influenceuses et des passages à la télé, notamment Touche Pas à Mon Poste, à se créer une notoriété. Joseph met également en lumière la saisonnalité de son business et explique comment ils se sont positionnés sur Google grâce à de l’achat média. Il se confie aussi sur les nombreuses campagnes d’influences réalisées et les avantages de celles-ci.Enfin, Joseph nous livre ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien tels que Shopify, Klaviyo pour l’automation, Hotjar ou encore TextExpander pour le SAV.On y parle aussi d’anciens épisodes du Panier :#11 – Deliver.ee : Tout, tout le temps, tout de suite : Transformer le métier de coursier pour le grand public#23 – Wing.eu : 7M€ de CA et 150K colis par mois sur le premier kilomètre#36 – Nutripure : Comment lancer et développer une ligne de compléments bio avec un champion du monde ?#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 anJe remerci Jonathan Benoudiz, qui m’a permis cette rencontre.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
42 - #42 - Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée
“Je voulais monter une boîte internationale. On s’est d’abord focalisés sur la France pour valider notre modèle économique mais 6 mois après le lancement, on attaquait déjà l’Espagne, puis l’Italie, l’Angleterre, le Brésil etc.”Le nouvel invité du Panier, Wilfried Granier, est le fondateur de Superprof, une plateforme de cours particuliers qui met en relation élèves et professeurs qualifiés. Superprof propose à ses élèves plus de 500 matières de cours à domicile mais aussi en visio, partout en France et dans le monde. Créée en 2013, la plateforme est déjà présente dans 28 pays, compte plus de 11 millions de professeurs et 16 millions de cours sont dispensés chaque mois. Le tout, sans jamais avoir levé un seul euro ! “Nous avons 80 rédacteurs qui publient 35 articles de plus de 1 500 mots chaque jour pour améliorer notre référencement SEO.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les débuts de Superprof, sa rencontre avec son associé et la volonté d’internationaliser la plateforme dès le jour 1. Wilfried explique comment ils se sont organisés pour recruter leurs Country Managers, et les avantages d’employer des natifs pour gérer chacun des pays. Du rachat de nombreuses plateformes de cours particuliers comme Tutorhub récemment, au mode de sélection du professeur parfait pour chaque élève, ils reviennent en détails sur le fonctionnement de Superprof. Wilfried Granier raconte également comment, grâce au SEO et aux nombreux articles publiés chaque jour, ils ont réalisé une jolie croissance organique. Enfin, il revient sur le développement des cours à distance pendant le confinement et sur l’aide apportée par Superprof pour permettre aux professeurs de continuer à enseigner en visio. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
41 - #41 - ChefClub : la recette pour 80M de followers organiques et 1 milliards de vues par mois en 4 ans
“On a pris l’inspiration des acteurs déjà présents sur le marché tout en apprenant des erreurs des uns et des autres. Aujourd’hui, il n’y a personne qui vise plus juste que ChefClub et c’est ce qui nous a permis de devenir les leaders.”Thomas Lang, le nouvel invité du Panier, est, avec ses deux frères, le cofondateur de ChefClub, une marque qui propose des vidéos ludiques de recettes ultra-créatives. Créé en 2016, ChefClub a déjà réalisé plus de 2 500 vidéos pour Instagram, Facebook, TikTok ou encore Pinterest, qui réalisent chaque mois plus d’1,3 milliard de vues. Leader en France et en Europe mais aussi en Amérique du Sud, en Chine et bientôt aux Etats-Unis, ChefClub a déjà vendu plus de 500 000 livres et réalisé 4,4M€ de CA en 2019. Leur objectif ? S’associer avec des chefs pour créer des recettes succulantes et accessibles à tous. “On s’est dirigés vers le placard de la cuisine avec l’envie d’utiliser des ingrédients ordinaires pour créer des recettes extraordinaires en s’amusant en cuisine. Le meilleur moyen de véhiculer cela c’était la vidéo.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent la genèse du projet de ChefClub dont les vidéos divertissantes sont très vite devenues un succès. Thomas Lang se confient sur leurs doutes lors du confinement et explique le succès de la marque-média pendant cette période. De la diffusion de leurs vidéos dans les magasins comme Monoprix, à la demande de Facebook et Pinterest de co-produire des contenus, Thomas revient sur la solicitation qu’a connu ChefClub. Enfin, il détaille les ambitions de leur marque de se développer au-delà des réseaux sociaux et de rayonner encore plus à l’international. Et comme si ça ne suffisait pas, Thomas Lang nous livre leurs chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien comme Sendinblue, Shopify, Google Analytics, Tubular ou encore Hotjar. Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier : #29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#30 – Instagram : 9 tips pour exploser ses ventes sur Instagram Shopping#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
40 - #40 - MaCoque : Se battre contre Amazon en auto-financement et croissance organique
“En mai 2015, lors d’une conférence de Xavier Niel, j’ai décidé de complètement basculer de WooCommerce à PrestaShop et de diviser le prix des produits par trois. Ça a payé ! En 2015, on a fait 180k€ et 1M€ en 2016.”Le nouvel invité du Panier, Anatole Rozan est le fondateur de MaCoque, le leader français de la vente de coques et d’accessoires pour smartphones. Avant même de passer son bac, quand il n’avait que 17 ans, Anatole a créé MaCoque depuis sa chambre d’adolescent et il était loin d’imaginer le succès de sa plateforme. Quelques années plus tard, accompagné par ses deux parents, il réalise plus de 2 millions d’euro de CA et vend ses produits à plus de 400 000 clients. Cette entreprise familiale est auto-financée et propose désormais à la vente plus de 300 nouveaux produits chaque semaine.“On a toujours l’impression qu’il faut être expert en SEO, mais globallement c’est assez simple, il suffit : d’avoir un site rapide, une expérience utilisateur simple et de poster du contenu régulièrement.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les prémices de MaCoque, un blog tenu par Anatole et son frère depuis lequel ils lançaient des jeux concours notamment pour gagner des coques de téléphone. Du changement de CMS en mai 2015 au référencement naturel en passant par la volonté de ne distribuer qu’en DTC, Anatole explique tous les choix qu’ils ont fait depuis quelques années pour faire croître sa plateforme. Enfin, il revient sur les autres business qu’il a monté en parallèle et notamment Dealy, une marketplace dédiée à la vente de produits français, et aborde le boost qu’il a connu pendant la crise du CoVid-19 ainsi que ses futurs challenges. Et si ça ne vous suffisait pas, Anatole nous livre ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien comme PrestaShop, Zendesk ou encore Freshdesk. Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#23 – Wing.eu : 7M€ de CA et 150K colis par mois sur le premier kilomètre#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#37 – Merci Handy : Produits cleans, licornes, arcs-en-ciels et 3 millions de produits vendus en 2019Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
39 - #39 - Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an
“Dès le début de l’aventure, on a fait intervenir la communauté de Justine dans le développement produit. On a échangé avec plusieurs personnes sur le projet, le produit, le parfum etc.”Thomas Méheut, nouvel invité du Panier, est le co-fondateur de Respire, une gamme complète de soins d’hygiènes bons pour la peau, recyclables et fabriqués en France. Après s’être fait diagnostiqué une tumeur bénine à la poitrine, Justine Hutteau, la co-fondatrice, a souhaité, avec Thomas, créer des produits qui ne soient plus nocifs pour son corps. Seulement un an après le lancement de son premier produit — un déodorant naturel — Respire a réalisé plus d’un million de ventes et satisfait 50 000 clients en ligne. Aujourd’hui, la marque propose une quinzaine de références et est distribuée chez Monoprix, Sephora et bientôt dans de nombreuses pharmacies.“Lorsqu’on a lancé notre crowdfunding on espérait 3 000 à 4 000 pré-commandes de déodorants. En 24 heures on en a vendu 5 000 et 20 000 en un mois.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils détaillent les objectifs de Respire. De la campagne de crowfunding lancée sur Ulule il y a un peu plus d’un an, à la vente de millions de produits, en passant par leur passage dans Qui Veut Être Mon Associé sur M6, Thomas retrace leur parcours et ce qu’ils ont accompli depuis le début. Il revient aussi sur leurs choix de distribuer leurs produits en pharmacie et le succès du lancement de Respire en grande distribution. Thomas Méheut explique également comment ils sont parvenus, dès le début grâce au “Respire Club”, à faire de leurs clients de véritables ambassadeurs et fédérer une communauté autour de Respire. Enfin, Thomas se confie sur leurs chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien tels que Klaviyo, Shopify, Viral loop ou encore Judge.me pour rassembler les avis de leurs clients.Je remercie Michael Weisz, fondateur Shapeheart, qui m’a permis cette rencontre.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier : #29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
38 - #38 - Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?
“Notre corner aux Galeries Lafayettes a fonctionné comme une véritable vitrine pour Jonak. C’est ce qui nous a permis d’ouvrir beaucoup de magasins à l’international.”Lisa Nakam, directrice générale en charge du digital et du wholesale, est la nouvelle invitée du Panier. Créée dans les années 60, cette belle marque familliale est notamment spécialisée dans la chaussure en cuir. Aujourd’hui, Jonak c’est 80 points de vente en France et 35 à l’international, plus de 350 références par saison et plusieurs dizaine de millions d’euros de chiffre d’affaire. En reprenant, après leur père, l’affaire de leur grand-père, Lisa et son frère avaient comme objectifs d’internationaliser et de digitaliser la marque pour atteindre 40% de ventes en ligne.“Avoir des usines au Portugal nous permet d’être très flexibles et réactifs. Grâce à cela, on est capables de réassortir quasiment à deux semaines et d’avoir très peu de restes.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les étapes importantes du développement de l’entreprise familiale et de l’équilibre qu’ils ont su trouver pour continuer à gérer cette marque en famille. Lisa Nakam met en lumière l’importance de la flexibilité dans le processus de création et de fabrication dans ce secteur. Ils reviennent aussi sur le développement de la marque à l’international et tous les ajustements que cela suppose. Lisa nous explique également la place de plus en plus importante du numérique dans le développement de Jonak ainsi que l’utilisation qu’ils font des réseaux sociaux. Enfin, Lisa Nakam nous livre ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien tels que Globally, Eagle Course, WSHOP, SoCloz ou encore Magento.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier et de GDIY: #23 - Wing.eu : 7M€ de CA et 150K colis par mois sur le premier kilomètre#25 - The Bradery : Comment faire 10M€ de C.A en année 2 sur Insta ?#30 - Instagram : 9 tips pour exploser ses ventes sur InstagramJe remercie Edouard Caraco, fondateur de The Bradery de m’avoir permis cette rencontre.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
37 - #37 - Merci Handy : produits cleans, licornes, arcs-en-ciels et 3 millions de produits vendus en 2019
“Je suis fan du multi-channel. Une marque a le droit d’être partout et je trouve ça beaucoup moins risqué, surtout en ce moment. Mais il ne faut pas proposer partout la même chose au client et offrir des expériences différentes selon les points de contact.”Louis Marty, le nouvel invité du Panier, est le co-fondateur de Merci Handy, une marque de cosmétiques pratiques et colorés avec des ingrédients de qualité et des formules vegan. Lancé il y a 5 ans, Merci Handy a connu un très beau succès et vendu plus de 3 millions de produits en 2019. Avec son univers arc-en-ciel et ses multiples licornes, la marque propose aujourd’hui 5 grandes familles de produits et ne compte pas s’arrêter là. L’objectif ? Proposer des produits bons pour la peau mais aussi pour l’environnement.“Ma vraie fierté n’est pas notre nombre d’abonnés sur les réseaux sociaux mais le nombre d’interactions au quotidien — commentaires, likes, réponses à nos stories, etc. Et c’est aussi ce qui intéresse les retailers.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les débuts de Merci Handy et tous les apprentissages de Louis qui n’avait que 23 ans lors de la création de la marque. Ils reviennent également sur la volonté de Merci Handy de vendre en wholesale mais aussi online, de proposer de véritables expériences à leurs clients selon les points de contact ainsi que celle de s’exporter aux Etats-Unis rapidement. Louis Marty explique aussi pourquoi les réseaux sociaux et notamment Instagram et TikTok sont importants pour eux et comment ils les utilisent au quotidien.Et si ça ne vous suffisait pas, Louis Marty nous livre ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien comme Shopify, SendInBlue, Iconosquare ou encore Stamped.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS# 35 — Jho : Hygiène féminine bio : comment rassurer et convertir 50 000 femmes ?Merci à Jeanne Poujardieu, cheffe de projet chez CosaVostra, qui m’a permis cette rencontre.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
36 - #36 - Nutripure : Comment lancer et développer une ligne de complémentation bio avec un champion du monde ?
“La qualité de nos produits et notre service client ont permis une forte communication par bouche-à-oreille. Grâce à cela, nous avons aujourd’hui plus de clients que de followers.”Florent Carrio, le nouvel invité du Panier, est le co-fondateur de Nutripure, une gamme complète de super aliments et de compléments alimentaires. Lancée en 2018 avec son frère Christophe Carrio, quintuple champion du monde de Karaté, Nutripure devrait déjà réaliser plus de 4 millions de chiffre d’affaire en 2020. Leur objectif : fournir des compléments sans additifs nocifs et en matières traçables et biologiques. Dès leur lancement, ils sont parvenus à vendre des centaines de commandes en proposant un catalogue de plus de 30 produits dont un quinzaine, fréquemment achetées par leurs clients.“Le jour du lancement a été exceptionnel, en une semaine nous avons réussi à atteindre les 550 commandes.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur les parcours de Florent et son frère, sur leurs précédents business ainsi que sur les débuts de Nutripure. Florent nous explique tous le processus mis en place pour parvenir, en moins de 6 mois, à commencer à vendre leurs produits, du choix des ingrédients à la conception des gellules grâce à un façonnier. Tous les deux, ils révèlent également la communication qu’ils ont favorisée et les réseaux sociaux privilégiés pour acquérir de nombreux clients et les fidéliser sur le long-terme. Enfin, Florent nous livre ses précieux conseils pour se lancer.Et si ça ne vous suffisait pas, Florent Carrio nous dévoile ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien et notamment Mailchimp, Prestashop ou encore Flux.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS# 35 — Jho : Hygiène féminine bio : comment rassurer et convertir 50 000 femmes ?Merci à Nicolas Rateau qui m’a permis cette rencontre.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
35 - #35 - Jho : Hygiène féminine bio : comment rassurer et convertir 50 000 femmes ?
“Jho a été créé avec la volonté d’être juste et honnête envers les femmes en proposant enfin des produits sains pour leur corps et en leur permettant à toutes de bénéficier de ces produits de première nécessité.”Coline Mazeyrat, la nouvelle invitée du Panier est la co-fondatrice de Jho, une plateforme distribuant, sur abonnement trimestriel, des protections hygiéniques en coton biologique. En tout juste deux ans, Jho a déjà conquis plus de 50 000 clientes, réalisé plus de 2 millions de chiffre d’affaire, conclu 3 levées de fond et s’apprête à livrer son 100 000ème colis. Avec son associée Dorothée Barth, Coline a voulu répondre au scandal autour des protections hygiéniques et créer enfin une marque Juste et HOnnête envers ses consommatrices, d’où son nom. Le projet de Jho ne s’arrête pas là : en parallèle, elle soutient également plusieurs ONG comme CavoEquiva, Gynécologie sans Frontières ou encore Girls Excel, pour venir en aide aux femmes du monde entier.“En continuant à interroger des femmes tout au long du projet, on s’est rendus compte qu’elles avaient besoin de confort et d’être rassurées sur ces nouveaux produits.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la triple concurrence du marché à laquelle Jho doit faire face et le besoin, dès le début, de rassurer les consommatrices. Coline explique également pourquoi ils ont choisi de distribuer à la fois par abonnement et en achat unique, et comment ils restent très proches de leurs clientes au quotidien. Ils retracent également les débuts de Jho, les lancements de nouveaux produits et ses ambitions pour la suite. Et si ça ne vous suffisait pas, Coline Mazeyrat nous livre ses chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien et notamment WooCommerce, SendInBlue, Stripo, iAdvize, Stripe ou encore Whereby en cette période de confinement. Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS#28 – Le Petit Ballon : 1,5 millions de bouteilles vendues sans pub#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?Et pour ceux qui ne voyaient pas de quoi il était question avec le Dollar Shave Club, rendez-vous ici !
34 - #34 - Misterfly : Comment le rebel des voyagistes en ligne est devenu numéro 2 en 5 ans
“Aujourd’hui, si on veut partir en vacances pour un budget peu cher, il faut acheter son billet 8 à 10 mois avant. Mais il est compliqué, au niveau de son budget, de se projeter aussi longtemps en avance.”Frédéric Pilloud, le nouvel invité du Panier, a rejoint l’aventure de MisterFly, une agence de voyage en ligne, en septembre 2015. Créée il y a 5 ans, MisterFly vend aujourd’hui plus de 5 000 billets par jour et a récemment levé 20 millions d’euros. Après 15 ans passés chez ODIGEO, Frédéric Pilloud est devenu le directeur e-commerce de MisterFly qui propose notamment une solution de paiement en 4 fois ainsi que la possibilité d’annuler son voyage grâce au Freeflex. Ces deux thématiques importantes leur ont, par exemple, permis de créer des partenariats avec Cdiscount ou encore Veepee. “Avec la bataille des clics, toute l’industrie s’est retrouvée à destructurer le prix de ses billets pour donner l’illusion d’être moins cher que la concurrence. Mais ensuite, elle a commencé à ajouter des fonctionnalités faisant gonfler le tarif d’une façon plus ou moins légale.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la “guerre du clic” auxquelles se livrent les agences de voyage online et sur la difficulté rencontrée à se différencier des concurrents. Ils expliquent également le système de business des sites comme MisterFly qui ne doivent pas, contrairement à ce que l’on pense, uniquement cibler du B2C pour se positionner mais être également sur du B2B. De même, ils abordent les crises régulières par lesquelles le secteur du voyage est fréquemment affecté. Enfin, Frédéric Pilloud nous livre sa vision et celle de MisterFly pour l’avenir. Ils y parlent aussi d’anciens épisodes de Génération Do It Yourself : #116 Carlos Da Silva – Mister Fly – L’autodidacte qui a fait voyager la FrancePour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
33 - #33 - Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?
“Avant de me lancer, j’étais certes dans les jeux de société mais je ne connaissais rien au marché du jouet. J’avais seulement quelques a priori et le sujet du plastique en tête.”L’invité du nouvel épisode du Panier, Quentin Ory, a co-fondé, il y a tout juste 1 an, Les Mini Mondes. Son objectif : créer des jouets en plastique recyclé adaptés aux enfants, le tout made in France. L’autre objectif : faire découvrir le monde aux enfants en mettant, tous les deux mois, un pays à l’honneur dans un cahier de jeux éducatif. En février 2019, Quentin a l’idée du projet, en juin il rencontre sa future associée, Marine, et fin novembre 2019, les jouets sont prêts à être livrés pour Noël. En à peine quelques mois, ils réalisent plus de 100 000 euros de Chiffre d’Affaire dont les 70% dans les 3 semaines qui précèdent Noël. “En janvier, on fait un mois dédié à l’apprentissage. On prend de la hauteur, on contacte des clients pour avoir leur retour, on contacte des entrepreneurs, on fait de la veille etc.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les prémices du projet des Mini Mondes, de la création d’une vidéo annonçant le projet à la conception des moules et du design des jouets en passant par des entretiens auprès de 200 parents pour comprendre les besoins des enfants. Ils reviennent également sur les précédents jeux créés par Quentin qui lui avaient valu un passage dans “Qui veut être mon associé ?”. De même, Quentin raconte comment ils sont parvenus à accélérer la phase de fabrication de leurs premiers coffrets et pourquoi ils ont choisi de ne pas, pour l’instant, faire de retail. Enfin, il nous livre leurs futurs projets pour cette nouvelle année. On a aussi parlé d’anciens épisodes du Panier et de Génération Do It Yourself :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois#102 Maëlle Chassard – Lunii – Comment détrôner Sophie la girafe dans le coeur des enfants (et des parents) ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
32 - #32 - Faguo : 12 millions de CA et 1,5 million d’arbres plantés
“En plus de nos objectifs business, en tant qu’employés, on a des objectifs RSE pour améliorer notre impact au sein de la société. Moi j’ai choisi de faire la chasse aux e-mails.”Martin Charousset, responsable marketing digital et e-commerce chez Faguo, est le nouvel invité du Panier. Faguo, c’est une marque de chaussures, d’accessoires, de bagagerie et de vêtements, engagée pour l’environnement. Créée en 2009, la marque produisait originellement uniquement des chaussures tout en mesurant leur impact carbone. Mais leur engagement ne s’arrête pas là. Tous les 5 ans, Faguo réalise son bilan carbone, se fixe chaque semaine des objectifs RSE, plante un arbre dès qu’un produit Faguo est acheté et compte aujourd’hui plus de 250 forêts en France. “Aujourd’hui, le click&collect est partout et permet une livraison gratuite en boutique. La boutique n’est qu’un point relai mais cela permet de générer du trafic. Le client voit l’univers de la marque, tous les produits et peut échanger avec les vendeurs.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent l’évolution de Faguo qui, originellement, ne vendait ses produits que sur le web avant d’ouvrir, au fur et à mesure, 25 boutiques et d’être disponible chez plus de 400 revendeurs. Ils reviennent sur l’engagement de la marque mais aussi l’engagement individuel de tous les employés de Faguo. Martin nous explique également les bonnes pratiques SEO qu’il utilise, la façon dont il parvient à récupérer des leads sur Facebook, et pourquoi pour une marque il est parfois moins intéressant de se positionner sur Instagram que sur Facebook. Et si ça ne vous suffisait pas, Martin nous livre ses chiffres et les outils qu’il utilise au quotidien tels que Cleanfox, Greenspector, Diatly, Zapier, Splio ou encore Prestashop.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#10 – La Yoga Box & La Bougie Box : L’Automatisation à l’extrême : Monter des business d’abonnement qui tournent (presque) tout seuls#21 – Snowleader : user centric, reblochon et 32M€ de CA#22 – Dualist : lancer une DNVB textile avec plus de 40 refs en 6 mois#23 – Wing.eu : 7M€ de CA et 150K colis par mois sur le premier kilomètre#27 – Nidé.co : co-créer des produits cosmétiques à partir de véritables besoinsPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
31 - #31 - Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois
ambassadeurs de Morphée.”Charlie Rousset, co-fondateur de Morphée est l’invité du nouvel épisode du Panier. Avec Guillaume Barathon, ils ont créé un petit boîtier déconnecté qui permet de (re)trouver facilement le sommeil en proposant des séances de méditation et de sophrologie. L’objectif : bannir l’usage du smartphone au coucher et ainsi réduire le stress et l’anxiété subis au quotidien. En quelques mots, Morphée c’est : 7 thèmes différents, 8 séances par thème écrites par des sophrologues et des spécialistes du sommeil et la possibilité de choisir la durée et la voix des sessions. Seulement 1 an et demi après son lancement, plus de 60 000 personnes s’endorment avec Morphée et, rien qu’en 2019, la boîte a généré plus de 2 millions de chiffre d’affaire. “Lorsqu’on met notre projet sur Ulule on a seulement une image de synthèse et une promesse. Grâce à la communication de Nature & Découvertes sur le prototype on a réussi à pré-vendre 1 000 produits et ainsi multiplier par 5 notre objectif initial.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse du projet, l’utilisation du crowdfunding pour financer la conception, mais également les objectifs pour 2020. Ils expliquent notamment comment ils ont réussi à s’associer avec Nature & Découvertes avant même le lancement de l’objet en participant au concours “Make it Happen”. De même, ils racontent comment ils ont fait face aux diverses ruptures de stock qu’ils ont connu depuis le lancement, la manière dont ils ont trouvé de nouveaux partenaires pour vendre leur produit ainsi que leur passage dans l’émission de M6 “Qui veut être mon associé ?”. Et si ça ne vous suffisait pas, Charlie nous livre aussi leurs chiffres, les agences avec lesquelles ils ont collaborées et les outils qu’ils utilisent au quotidien à l’instar de Wordpress, Shopify ou encore Sales Mailer.Ils y parlent aussi de l’épisode 102 de Génération Do It Yourself : Maëlle Chassard – Lunii – Comment détrôner Sophie la girafe dans le coeur des enfants (et des parents) ?Mais aussi des précédents épisodes du Panier :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS#25 – The Bradery : comment faire 10M€ de C.A. en année 2 sur Insta ?Pour retrouver le code de réduction : COSAVOSTRA10Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
30 - #30 - Instagram : 9 tips pour exploser ses ventes sur Instagram
“Aujourd’hui, grâce à Instagram, en plus de générer des ventes le jour j, on peut créer des ventes et inscrire son image sur le long-terme parce que l’on aura préalablement fédéré une communauté autour de sa marque.”Invitée du nouvel épisode du Panier, Julie Pellet est responsable du développement de la marque Instagram. Son rôle : aider les marques à se développer sur la plateforme. Créée en 2010, Instagram très rapidement été rachetée par Facebook. Aujourd’hui plus de 140 millions d’entreprises utilisent les applications du groupe Facebook (Instagram, WhatsApp et Facebook) pour développer leur marque. En intégrant peu à peu la vidéo, les stories puis la fonctionnalité shopping, Instagram est devenue une plateforme idéale pour développer son image. Pour approfondir ce sujet, et apprendre de nombreux tips, Julie vient de lancer Instapodcast avec Mélanie Agazzobe.“On ne peut plus penser à Instagram sans penser à la vidéo. La vidéo règne. C’est le format du moment, le format que consomme la génération Z qui sont et seront les nouveaux et futurs clients des marques.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent différents tips que chacun peut facilement mettre en oeuvre pour déployer sa marque. De l’utilisation du carrousel d’images et des tags photos à IGTV et la création de séries vidéos pour parler de soi, ils reviennent sur tout ce qu’il est possible de faire grâce à la plateforme. Julie explique également la nécessité de mettre en valeur une vraie personnalité au travers de ses posts et ne pas simplement faire de son compte une vitrine de ses produits. Et pour compléter ces tips, Julie Pellet cite les différentes marques comme Glossier, H&M, LOU.YETU, Konbini ou encore Respire qui utilisent le mieux ces fonctionnalités. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
29 - #29 - Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement
“Les premiers échantillons sont réalisés à la maison. On achète des tissus, des aimants et on les fabrique nous-mêmes. Une fois qu’on tient des prototypes, on contacte des usines pour lancer la production.”Michael Weisz, co-fondateur de Shapeheart, est l’invité du dernier épisode du Panier. En 2017, avec Antoine Schwoob, il a créé des accessoires permettant d’utiliser son smartphone pendant ses séances de running, tout en étant à vélo ou à moto. Leurs accessoires se composent en deux gammes : la gamme 2 roues vendue avec des produits vendus au prix de 29,95€ et la gamme running avec des produits dès 39,95€. En tout juste deux ans, ils ont déjà vendu plus de 30 000 produits en ligne, lors d’événements, ou dans l’un de leurs 500 points de ventes de France et d’Europe.“Début 2018, on commence à travailler la distribution entre les magasins de sport, les magasins très spécialisés, les consumer electronics et les accessoiristes téléphonie. Au lancement on a une cinquantaine de point de vente et en parallèle on prépare le web.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les débuts du projet de Shapeheart qui constituait originellement le projet de fin d’étude d’Antoine Schwoob. Ils expliquent également les prémices de la confection d’un objet, le déroulé de leur campagne de crowdfunding et comment ils ont testé le produit à ses débuts. Ils reviennent aussi sur la façon dont ils ont réussi à trouver des points de vente, sur le choix fait de vendre sur Amazon mais également sur l’importance de la vente en retail. De même, ils abordent les questions de promotions du produit, comment ils répartissent leur budget de publicité en ligne, la manière dont ils mettent en place des partenariats avec des influenceurs et comment ils vont directement à la rencontre des coureurs, cyclistes et motards. Et si ça ne suffisait pas, Michael nous livre aussi ses outils indispensables comme SageMailer qu’il considère être l’outil numéro 1 pour vendre sur Amazon, Shopify, Omnisend ou encore Shogun. Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier# 17 – Les vraies stars d’Amazon : les vendeurs tiers ! – 30 minutes avec Patrick Labarre, directeur d’Amazon Marketplace# 27 – Nidé.co : co-créer des produits cosmétiques à partir de véritables besoinsPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
28 - #28 - Le Petit Ballon : 1,5 millions de bouteilles vendues sans pub
“Avec la loi Evin, impossible de faire de pub à la télévision. Donc toute notre communication est faite sur les réseaux sociaux. Ça nous a permis de réaliser de nombreux contenus photos et vidéos.”L’invité du nouvel épisode du Panier, Grégoire Remy a rejoint l’aventure de Petit Ballon il y a 5 ans. Petit Ballon c’est un caviste en ligne qui propose un abonnement pour recevoir chaque mois 2 bouteilles de vin personnalisées et sélectionnées par l’ancien chef sommelier du Ritz, Jean-Michel Deluc. Aujourd’hui, la plateforme propose 1 200 vins, champagnes et spiritueux différents dont 4% proviennent de l’étranger. On peut les acheter en ligne, en s’abonnant, ou désormais, grâce à la vente physique notamment en grande distribution. En 2019, Petit Ballon a vendu 1, 5 million de bouteilles et compte plus de 100 000 abonnés mensuels. “On sait que le vin acheté chez un caviste est en moyenne consommé dans les 3 heures qui suivent. Pour cette raison il est important de bien soigner la présentation des bouteilles dans les magasins de grande distribution.” Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur le fonctionnement du système d’abonnement et la façon dont la data est utilisée pour envoyer, chaque mois, des bouteilles personnalisées aux utilisateurs. Ils expliquent également comment Petit Ballon parvient à promouvoir ses produits tout en respectant la loi Evin qui interdit de faire de la publicité dans certains médias. De même, ils abordent les questions de référencement sur internet ainsi que l’utilité de leurs différents canaux de distribution. Grégoire retrace aussi la saisonnalité existant derrière la vente des vins ainsi que les objectifs de Petit Ballon pour l’avenir. Et si ça ne vous suffisait pas, Grégoire Remy nous dévoile ses chiffres et les principaux outils qu’ils utilisent au quotidien, à l’instar de Adyen, Magenta 2 ou encore Dialogue Insight. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
27 - #27 - Nidé.co : Co-créer des produits cosmétiques à partir de véritables besoins
“Quand on lance sa marque, il faut certes regarder les ventes, mais il faut surtout regarder les réassorts. Quand un client rachète dans le même mois, le même produit, c’est très bon signe”Invité du nouvel épisode du Panier, Simon Ménard est le co-fondateur de Nidé.co : une plateforme qui propose aux consommatrices la co-création de produits cosmétiques cleans. Lorsqu’une utilisatrice dépose une idée, si celle-ci est acceptée par l’équipe de Nidé.co, elle touche 500€ et le produit entre alors dans une phase de votes. Si l’idée obtient les 2 000 votes nécessaires, alors le produit est mis en production, et l’utilisatrice gagne 1 500€ et touchera, à vie, 10% des ventes de son produit. Créée au début de l’année 2018, la plateforme a déjà reçu plus de 2 500 idées de produits, dont 12 ont vu, ou vont voir le jour. “Il faut que cela reste sincère, transparent, comme tout ce que l’on a fait jusqu'à aujourd'hui. Nous avons une vraie problématique, incarnée par une vraie fille de la vraie vie et ce positionnement doit rester le même.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent aussi bien les origines du projet que le lancement de la plateforme Nidé.co et l’univers de l’Asie, bien connu de Simon Ménard. Ils abordent notamment les différentes problématiques qui se posent lors de la création d’un nouveau produit, le système novateur de co-création avec les consommatrices et les objectifs de Nidé.co pour l’avenir. Ils abordent aussi les difficultés et obstacles auxquels la marque a été confrontée, et offrent de nombreux conseils à ceux qui souhaiteraient se lancer dans le domaine de la cosmétique.Ils y parlent aussi de l’épisode 77 de Génération Do It Yourself : William Hauvette - Asphalte - Le meilleur moyen de savoir ce que tes clients veulent, c’est de leur demanderPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
26 - #26 - Panda Tea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS.
“Aujourd’hui, une marque qui fait du marketing digital passe de moins en moins de temps à chercher des clients potentiels parce que l’intelligence artificielle le fait pour elle. En revanche, l’intelligence artificielle ne pourra jamais remplacer son produit, sa marque et ses créas. ” Invité du nouvel épisode du Panier, Alexandre Ali est le co-fondateur de Panda Tea : une marque qui propose la vente de thés et d’infusions bios et bien-être. Lancée en 2017 par trois frères, la marque a réalisé plus de 5 millions de chiffres d’affaires cumulé et est entrée dans le top 3 des marques en ligne. Aujourd’hui, PandaTea c’est : 12 mélanges de thés et infusions différents, 8 millions de sachets vendus dans le monde et 30% de clients récurrents. “Quand on consomme une marque, il y a quelque chose de presque religieux : on est abonnés à la newsletter, on la suit sur Instagram, on suit tous ses projets… et dans cette idée de consommer mieux il y a aussi l’idée de transparence : on veut savoir ce qui se passe derrière et pas uniquement avoir un produit sorti de l’étagère.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent aussi bien la genèse de la marque que son positionnement très qualitatif. Ils expliquent également les objectifs de Panda Tea et la volonté de continuer à internationaliser la marque. De même, ils évoquent l’importance de créer des contenus innovants pour se différencier sur les réseaux sociaux et la façon dont le marketing digital doit aujourd’hui être appréhendé.Et pour couronner le tout, Alexandre Ali livre les différents outils qu’il utilise au quotidien tel que Klaviyo, Shopify, Front ou encore Crisp.Ils y parlent également de l’épisode 15 du Panier : S’ouvrir au BtoB pour ne plus être dépendant de la saisonnalité – Tshirt Corner.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
25 - #25 - The Bradery : Comment faire 10M€ de C.A en année 2 sur Insta ?
“Au début, on se rend compte de deux choses : les marques veulent que l’on protège leur image, et leur audience est vieillissante. Au même moment, Instagram, qui répond déjà aux deux premières problématiques, lance Insta Shopping. Il y a un alignement des étoiles énorme pour nous : il fallait qu’on devienne le premier acteur de vente éphémère sur Instagram.”Invité du nouvel épisode du Panier, Edouard Caraco est le fondateur de The Bradery : une startup qui déstocke, lors de ventes éphémères, les plus grandes marques de luxe sur Instagram. Créée il y a à peine deux ans, leur compte Instagram, @thebradery, compte désormais plus de 40 000 followers. En proposant des contenus de qualité qui protègent l’image des marques et en attirant une cible plus jeune, la startup réalise aujourd’hui plus de 500 000€ de C.A par mois.“Dès le début on s’est dit qu’il fallait absolument investir dans le contenu sur notre page Instagram. On a compris que c’est ce qui nous permettrait d’attirer les marques qui aimeraient la manière notre mise en avant des produits.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent le système de stockage des grandes marques et de la façon dont ils ont réussi, grâce à The Bradery, à en tirer parti en re-commercialisant les invendus. Ils évoquent également les débuts de la startup : la prise de contact avec les grandes marques, le choix du canal Instagram permettant à la fois de conserver l’image haut-de-gamme des marques, d’adresser une cible plus jeune et de vendre les produits par le biais de Insta Shopping. De même, ils analysent la volonté qu’à eu The Bradery de tout miser sur la création de contenus et ce, dès le lancement de la startup, ainsi que les différents modèles de livraison proposés. Ils y parlent également de l’épisode 23 : Wing.eu : 7M€ de CA et 150k colis par mois sur le premier kilomètre.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
24 - #24 - Allobéton : 1,2 millions en 52 heures
« Il faut être au plus proche de ce que recherchent les gens, coller à leurs requêtes et hyper segmenter tes landing page, pour que l’internaute reste dans son univers de recherche.»Invité du nouvel épisode du Panier, Benoît Vasseur est le fondateur - entres autres - d’Allobéton : le site internet de référence qui permet aux professionnels comme aux particuliers d’acheter du béton en ligne. Créé il y a 4 ans, Allobéton génère désormais plus de 1,2 million d’euros par an. Le plus fou ? Benoît et ses trois collaborateurs fournissent quelques milliers de particuliers en béton, le tout totalement à distance et en seulement une heure …. par semaine !“On a multiplié par 10 notre taux de reconversion avec un hack tout simple : mon équipe et moi rappelons directement et de manière automatique les personnes qui ont abandonné leur panier.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent les débuts d’Allobéton. Comment, contrairement à de nombreuses startups qui se lancent, ils ont tout misé, dès le départ sur le SEO en prenant le temps d’observer et d'analyser les requêtes de leurs cibles potentielles et le référencement naturel des mots clés spécifiques à leur secteur. Ensemble, ils décryptent également toutes les stratégies développées par la startup. Qu’il s’agisse de leur plan d’action pour obtenir des taux de transformation plus importants, de leur approche marketing - entre création de SEO et d’Adwords - pour gagner en visibilité et devenir l’acteur incontournable du secteur ou encore de leur stratégie de contenu en passant par leur façon de communiquer avec leurs clients ou de créer des landings pages de qualité, rien n’est passé sous silence. Et si ça ne vous suffisait pas, Benoît nous donne aussi ses chiffres, ses conseils et les outils qu’il utilise au quotidien comme Semrush, Mybusiness ou encore Trustpilot.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
23 - #23 - Wing.eu : 7M€ de CA et 150K colis par mois sur le premier kilomètre
“On a une Wing academy dans laquelle on forme nos prestataires sur nos pratiques, nos outils et la qualité qu’on exige… on “interflorise” les logisticiens !”Nouvel invité du Panier, Antoine Sentenac est le fondateur de Wing. Si on parle souvent des derniers kilomètres et des problématiques qui y sont liées - on en a parlé avec Trusk ou encore Deliver.ee - on parle plus rarement des premiers. C’est ce que prend en charge Wing : un service qui collecte, emballe et expédie les colis des sites e-commerces. Fondé en 2015, Wing.eu compte aujourd’hui plus de 300 clients et 7 millions d’euros de chiffre d’affaires. “Comme les e-commerçants sont aussi des consommateurs et acheteurs en ligne, ils ont quand même l’impression que la logistique est gratuite, et ils veulent payer le moins possible. C’est une des grandes complexité de notre métier.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent toutes les solutions mises en place pour arriver à une offre capable de prendre en charges plusieurs centaines de milliers de colis par mois : du hack qu’ils ont utilisé à leur début pour acquérir gratuitement leurs premiers clients au développement et à la commercialisation de leur tech pour arriver à 7M€ de CA. Ils parlent aussi de la difficulté de s’installer dans une nouvelle ville lorsqu’on fait de l’expédition et de l’importance de former soit même ses prestataires.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
25 - Hors Série - Retour sur le lancement du Panier, récap 2019 et ambitions pour 2020
Il y a quelques mois, je lançais le podcast Le Panier avec pour objectif de créer le premier media audio spécialisé e-commerce en français.Aujourd'hui, fort de plus d'une vingtaine d'épisodes, je reviens sur les débuts du Panier et l'année 2019 dans cet épisode un peu spécial. J'y parle de la genèse, du process, des invités et invitations, des statistiques d'écoutes (Ausha puis Art19) et des ambitions pour 2020.Quelques petites croquettes aussi sur le behind de scene des enregistrements.Mais surtout, je refais le match des 22 invités exceptionnels et des sujets récurrents qu'on a creusés avec eux, dont : l'importance des boutiques physiques pour casser les plafonds de verre ;les stacks techniques (Shopify, Magento, Prestashop, etc) ; la mise en place de plateformes de marque et la gestion de communautés ; les outils d'acquisition, de transformation, le churn, le panier moyen, etc ; les tipping points de leurs croissances.Et j'ouvre sur les ambitions de 2020 : les invités que j'aimerais recevoir, les sujets que je souhaiterais aborder, les techno dont il faut parler.Merci à vous tous pour votre fidélité et la belle croissance du Panier !
22 - #22 - Dualist : lancer une DNVB textile avec plus 40 refs en 6 mois
“Il est important de travailler tous les éléments du mix en parallèle : tu peux pas attendre d'avoir tes collections pour savoir où tu vas distribuer, d'avoir ton logo pour lancer tes collections : c'est un vrai jeu d'équilibriste et de puzzle.”Dans Le Panier cette semaine, une invitée "de marques" : Déborah Janicek, fondatrice de Dualist de qui fabrique des parka réversibles, modes et éco-responsables.C'est une société un peu plus jeune que d'ordinaire puisqu'elle n'a lancé son site que mi-septembre 2019 - il y a 3 mois environ au moment où nous enregistrons cet épisode. Dualist est une belle DNVB (digitally native vertical brands) mais Déborah a une belle expérience dans le luxe et la mode : elle est passé par Le Bon Marché, Kookai, Gérard Darel, Dior Couture avant d'être présidente de Figaret.“C'est vrai que le réseau permet vraiment accélérer les choses et de frapper aux bonnes portes - que ce soit pour le développement commercial ou pour s'entourer des bonnes compétences.”Dans cet épisode, je me concentre sur le lancement d'une nouvelle marque, textile en l'occurence, et tout ce qui se passe avant d'ouvrir ses portes : idéation, marché et concurrence, positionnement, plateforme de marque, premiers prototypes et design, lancement, etc.Nous abordons aussi le choix stratégique et important qui est celui de la distribution : online ? offline ? en pop-up ?
21 - #21 - Snowleader : User centric, reblochon et 32M€ de CA
“Le montant du cash levé, vis-à-vis de notre chiffre d’affaires généré, par rapport à la moyenne e-commerce européenne est important et on en est fier. Pour autant, un sou est un sou : quand on crée un poste, on veut être sûr d’avoir le budget et une espérance de gain.”Nouvel invité du Panier, Thomas Rouault est le fondateur de Snowleader : le site incontournable du marché de l’outdoor (ski, randonné, trail…) lancé il y a 10 ans depuis un garage par notre invité du jour. Cette marque compte aujourd’hui 80 employés, 3 boutiques, un magazine papier spécialisé tiré à 100 000 exemplaires, une web-série et 32 millions de chiffre d’affaires annuel. “Depuis le début, toutes les questions techniques adressées par les clients, que ce soit par téléphone, email ou WhatsApp, sont traitées par nos acheteurs produit. Chez Snowleader, ce sont les personnes au contact des marques et qui achètent les produits qui renseignent les clients et apportent un vrai conseil technique”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils parlent de comment faire de la distribution en essayant d’être Amazon proof, de l’importance de travailler en bonne entente, mais sans collusion avec la concurrence, et de leur volonté de ne pas seulement être une enseigne, mais une marque à part entière et de ce qu’ils mettent en place pour y arriver : du lancement de leur magazine Moutain Spirit à leur événement Snowleader Mountain Test, en passant par leur websérie Rancho.On y parle de l’épisode 9 : Fédérer sa communauté ailleurs que sur Instagram – Bonne Gueule
20 - #20 - Pretto : Obtenir 500M€ de prêts et installer une marque forte
“L’achat média hors digital c’est ce qui te permet d’être une marque pour le grand public et d’exister au premier rang”Nouvel invité du Panier, Pierre Chapon est le cofondateur de Pretto : une plateforme qui permet aux candidats emprunteurs de chercher le meilleur crédit pour leur acquisition de biens immobiliers. Fondée en 2017, elle a déjà réussi à réaliser 600 000 simulations de prêt, à accumuler 200 000 utilisateurs et à leur obtenir 500 millions d’€ de prêt. A peine deux ans après leur création, ils sont en passe de devenir une des marques les plus importantes de courtage en prêt immobiliers. “L’objectif pour nous c’est de devenir une marque. On est sur un marché qui représente 200 milliards de crédits par an, donc 2 milliards de commission potentiels, et sur lequel il n’y a pour l’instant qu’une seule marque”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont abordé le fonctionnement de Pretto depuis leur début. Des premiers mois où les courtiers démarchaient les prêteurs dès qu’un lead était transformé, au partenariat avec 30 banques d’aujourd’hui. Ils ont aussi parlé de la stratégie de Pretto pour devenir une marque : les désormais incontournables ad-words et SEO, l’achat média hors-digital mais aussi les partenariats avec d’autres marques fortes. Pierre est super transparent et nous donne tous les chiffres de Pretto, du budget ad-words à leur marge brut.
19 - #19 - L’Équipe : paywall, churn, transfo et data marketing - 3ème mi-temps et recettes gagnantes
“Proposer le premier mois à 1€ plutôt que gratuitement n’a aucun effet sur l'acquisition et réduit énormément le churn”Première fois que le sujet est abordé en bientôt 20 épisodes, pourtant les médias sont des e-commerces comme les autres : acquisition, churn, tunnel d'acquisition, data marketing, plateforme de paiement, etc, les enjeux sont les mêmesPour en parler, Le Panier reçoit Emmanuel Alix, directeur du pôle numérique de l'Équipe, premier quotidien et premier média sportif de France avec 15 millions de VU, qui s’est ouvert au digital à l’occasion de l’Euro 2000. “On a arrêté la vente à l’acte d’article du jour au lendemain, quand on s’est rendu compte que ça nous privait de 20% d’abonnements en plus”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent différentes problématiques d’un média papier à l’heure du tout digital : l’énorme impact de la saisonnalité, et des résultats de certaines équipes sportives, sur les ventes, les stratégie de promotion, l'importance du data marketing, mais aussi, les solutions que les groupes de presse mettent en place suite à la RGPD.
18 - #18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ans
“Plutôt que d’acheter un 4x3 désuet comme tout le monde fait, on préfère les popups : des panneaux de pub vivants qui apportent une expérience”Nouvel invité du Panier, Emilien Foiret est le cofondateur de Cabaïa : une jeune marque Française d’accessoires fun, colorés et intelligents (bonnets, serviettes, sacs, chaussettes), créée en 2015. Elle vole un peu en dessous des radars, et vous ne la connaissez peut-être pas. Pourtant au bout de 4 ans, Cabaïa cartonne : plus de 800 revendeurs, 80 % en France, 15 % en Europe et 5 % dans le reste du monde, plus de 450 000 bonnets vendus, une distribution en pop-ups éphémères, en corners dans les grands magasins, sur les marketplaces et évidemment sur leur site internet. Les popups : “Une part de plus en plus ridicule de notre chiffre mais 90% de nos emmerdes - tu gères 50 personnes au jour le jour, faut gérer les absences, du cash qui circule, les stocks sur le popup”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont abordé le développement de la marque depuis 2015. Cabaïa a commencé avec un test produit grandeur nature en popup store à Vélizy 2 en créant un “bar à bonnet”. Product-market fit immédiat : 20 000 ventes en à peine 2 mois. Depuis, ils ont développé d’autres produits, se sont plantés sur certains, ont lancé de l’acquisition Criteo, Facebook, Instagram, font de l’influence, de l’email. Emilien est super généreux en chiffres et détails sur ses bonnes pratiques, ses apprentissages et ses victoires.
17 - #17 – Les vraies stars d’Amazon : les vendeurs tiers ! – 30 minutes avec Patrick Labarre, directeur d’Amazon Marketplace
“Le succès et le développement d’Amazon ces dernières années c’est d’abord, et avant tout, le développement de vendeurs tiers”Nouvel invité du Panier, Patrick Labarre est le directeur d’Amazon Marketplace France. Après avoir été supply chain manager pendant plus de 10 ans dont quelques années chez L’Oréal, il aide depuis presque 5 ans les entreprises à vendre mieux et plus sur Amazon. “Y’a un gros paradoxe en france entre les consommateurs qui ont complètement adopté le cyber-achat, et les commerçants qui restent une minorité à s’être digitalisé. ”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont échangé à l’occasion de l’Amazon Academy qui avait lieu à l’Elysée Montmartre le 6 novembre. Ensemble ils abordent le développement de la Marketplace en France et en Europe, les nombreux intérêts pour un commerçant d’y exister, qu’il soit en cours de lancement ou installé depuis de nombreuses années, et l’ensemble des fonctionnalités et aides mises à leur disposition.Ils parlent également la complémentarité qui existe - contrairement aux idées reçues - entre vente sur la marketplace d’Amazon et Retail physique en magasin.
16 - #16 – Wecomeet : Dropshipping : 150K€ en 3 mois et 3h de travail par jour
“Le dropshipping c’est d’avoir un acteur qui gère toute la chaîne, du stock à l’expédition et de vraiment se focaliser sur le marketing.”Seizième invité du Panier, Adrian Zerbib est un ancien de CosaVostra qui s’est spécialisé dans le marketing, le growth hacking et le drop shipping, Actuellement il gère six business, tous basés sur cette technique de vente.“Mon métier c’est de faire de la veille de produits tendances - je commande un produit et estime s’il va bien se vendre. Si c’est le cas, je le market, et je le vends”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent tous les aspects du dropshipping : comment automatiser la recherche des futurs produits qu’on va vendre ? Comment optimiser ses coûts d'acquisition grâce à des campagnes test ? Ou encore, comment lancer des business qui ne soient pas dépendants de la saisonnalité (encore elle) ? Ils abordent aussi les outils utilisés par Adrian : Dianxiaomi (lien avec agent, compatible Shopify, Prestashop), Mass Fulfullfill (faire des export excel, importer des numéros de suivi, traiter des flux de commandes, etc), AdSpy (sourcing et analyse de pubs Facebook), Jarvee (automatismes marketing), etc
15 - #15 – Tshirt Corner : S’ouvrir au BtoB pour ne plus être dépendant de la saisonnalité
“Quand on a compris que l’acquisition n’était pas scalable à l’infini, on a fait deux choix : se concentrer sur le SEO où nos concurrents avaient une longueur d’avance, et le plus important, s’ouvrir au BtoB.”Quinzième invité du Panier, Nicolas Serres est le co-fondateur du groupe Run Better, un producteur, expéditeur et marketplace de t-shirts qui regroupe une galaxie de sites et services comme Tshirt-Corner, Atelier Tshirt Corner, MariéDansL’Année, Printz Live, etc, tous dédiés à l’ultra-personnalisation d’impression textile dans le BtoC, BtoB et l’événementiel.“La saisonnalité dans la vente de t-shirt est énorme ! Par exemple, le Black Friday c’est un moment super important. La veille : on fait une journée pourrie à 600€, le jour même on en fait 11 000. En soit on fait 50% de notre chiffre d’affaire sur 3 mois ”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent différentes problématiques rencontrées lors du développement de TShirt Corner : un POC Prestashop, l’achat media sur le social, le lancement et le biz-dev sur le B2B, la saisonnalité sur le marché du t-shirt, etc.
14 - #14 – Stockly : Un secret pas si bien gardé : les flux e-commerce
“On s’est rendu compte qu’une des plus grosses causes d’abandon de panier, c’était la rupture de stock. Chez certains, cela peut montrer jusqu’à 30%”Quatorzième invité du Panier, Eliott Jabes est le créateur de Stockly, une solution qui permet à un e-commerçant de ne plus jamais connaître la rupture de stock, à travers une connection avec d’autres retailers.“C’est une bonne chose de se poser la question des flux assez tôt, parce que si tu veux être compétitif aujourd’hui, tu as besoin d’être interfacé avec beaucoup d’acteurs.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Eliott parle des problématiques liées aux enjeux de la gestion des flux et des stocks : quels sont les problèmes posés par l’absence de norme pour les flux, et comment y remédier ? Comment supprimer la situation de rupture de stock et réduire ses abandons panier de 25 à 60% ?
13 - #13 – Trusk : Au volant du dernier kilomètre, commencer en hackant LeBonCoin et finir à 30 000 courses par mois
“Il ne faut pas oublier que la livraison est le dernier maillon de la chaîne, c’est donc la dernière perception que ton client va avoir de ton enseigne”Daniel Kahneman parle de la "règle pic-fin", règle selon laquelle le souvenir qu’on conserve d’une expérience est conditionné par deux moments clefs : le premier est le meilleur ou le pire, le second est le dernier (merci TTSO pour ce 30 seconds MBA).Dans le e-commerce, ce dernier moment c’est celui de la livraison, du dernier kilomètre. Et vos clients, eux aussi, sont sensibles au pic et à la fin. Treizième invité du Panier, Thomas Effantin est le créateur de Trusk, un transporteur professionnel spécialisé dans les derniers kilomètres des objets volumineux. Une société qui a commencé avec une offre BtoB pour se spécialiser dans le BtoBtoC en devenant le prestataire privilégié d’entreprises comme Leroy Merlin, But, Ikea, etc. “Au début, notre objectif n’était pas d’avoir un business pérenne et scalable. Notre objectif c’était de tester le marché et de démontrer que ça fonctionne”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils parlent des enjeux du transport sur les derniers kilomètres et de tous les hacks mis en place par Trusk pour répondre à ses principales problématiques : trouver ses premiers clients ? s’assurer que ses sous-traitants soient irréprochables ? Mais aussi : l’importance d’aller régulièrement sur le terrain ?
14 - Hors Série - Paris Retail Week
Premier hors-série du Panier, en immersion à la Paris Retail Week, le plus grand rendez-vous d’Europe à destination de tout l’écosystème du commerce, qui avait lieu du 24 au 26 septembre 2019 au Parc des expositions, porte de Versailles.Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, s’est baladé dans les allées de l’exposition le temps d’une matinée, pour rencontrer les exposants, en savoir plus sur les offres et solutions qu’ils proposent, mais également connaître la perception qu’ils ont de leur secteur, et ce à quoi il faut s’attendre dans les mois et années à venir. Dans cet épisode hors-série, nous vous proposons de découvrir certains des entretiens réalisés lors de cette matinée, avec des start ups et des sociétés qui proposent des solutions aussi bien au niveau de l’automation, des études marketing, que du pricing, ou encore de la logistique.
12 - #12 – Lunii : De 0 à 20 millions en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance
“On a besoin d’une présence en magasin pour que les familles puissent voir le produit, le tester et le toucher. C’est ce qui permet aux ventes en ligne de décoller”Douzième invitée du Panier, Maëlle Chassard est la co-créatrice de Lunii - Ma Fabrique à Histoire, une boîte sans écran ni onde, qui raconte une histoire aux enfants, à partir de ce qu’ils ont choisi : le héros, l'univers, le personnage secondaire et un objet. “Ce qui arrive souvent c’est qu’un parent le découvre, l’achète pour son enfant et l’offre ensuite aux enfants de trois de ses amis. Le premier achat est toujours en magasin. Les suivants, pratiquement toujours en ligne.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent les différentes problématiques rencontrées au cours de la - jeune mais déjà pleine de succès - histoire de Lunii : Combien fait-on de prototypes avant d’arriver à la version mise sur le marché ? Comment trouver un prestataire pour du hardware aussi peu commun ? Et enfin pourquoi est-ce aussi important d’être présent en magasin ?
11 - #11 – Deliver.ee : Tout, tout le temps, tout de suite : Transformer le métier de coursier pour le grand public
“Ça faisait 15 ans que je faisais du e-commerce, et il y avait une chose très frustrante aussi bien pour les clients que pour les commerçants, c’était le transport. Et en même temps, il y avait un status quo dans l’absence de rupture technologique”Onzième invité du Panier - et premier invité sur un secteur BtoB - Michael S Levy est le fondateur de Deliver.ee, un service de livraison depuis les magasins (Ship From Store ou Livraison Derniers Kilomètres), qui a récemment lancé Mothership une solution SaaS - Software as a Service - qui automatise la gestion des livraisons clients au départ de tous leurs points de vente partenaires.“Dans le transport, il y a peu de personnes qui perçoivent les valeurs ajoutées du choix du créneau de livraison, du tracking en temps réel, de la livraison en une heure… sauf le destinataire. Mais ce n’est pas le destinataire qui fait appel à tes services ”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils abordent différentes problématiques clés de la livraison : Comment s’adapter au changements d’habitude et aux nouvelles attentes des consommateurs ? Comment gérer le turn-over important de ses prestataires ? Mais aussi pourquoi une marque doit-elle combiner vente en ligne et boutique “brick and mortar” pour exister dans l’esprit des gens ?
10 - #10 – La Yoga Box & La Bougie Box : L’Automatisation à l’extrême : Monter des business d’abonnement qui tournent (presque) tout seuls
“Tu peux assez facilement te créer une base de données de mails de gens qui veulent acheter ton produit avant même l’avoir lancé”Dixième invité du Panier Jonathan Benoudiz, est un expert du business de répétition de la box, ayant fondé La Yoga Box & La Bougie Box. Il est également à l’origine de l’événement Start in Paris.“Les gens qui restent abonnés longtemps, le jour où ils se désabonnent, tu leur envoies un email. C’est une de tes meilleurs source de feedback .”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé de comment se constituer une base de consommateurs conséquente et qualitative, avant même d’avoir lancé avec une simple landing page, de comment optimiser ses KPIs quotidiens, et de comment gérer deux tels business tout seul.
9 - #9 – Bonne Gueule : Fédérer sa communauté ailleurs que sur Instagram
“On parle beaucoup de l’importance des réseaux sociaux. Mais quand ta communauté y est exclusivement, elle n’est pas chez toi, elle est chez Mark Zuckerberg. C’est comme un vigile devant ta boutique que tu dois payer pour qu’il laisse rentrer tes clients.”Neuvième invité du Panier, Geoffrey Bruyère a rejoint Bonne Gueule à l’époque où le site n’était encore qu’un site de conseil en mode masculine. Avec Benoit Wojtenka - le fondateur - ils l’ont transformé en une marque et un e-shop de vêtements masculins incontournable. “Aujourd’hui la transparence, c’est galvaudé : on a l’impression qu’il suffit d’envoyer un questionnaire ou de dire “je fais mon tissu au Japon” pour être transparent. C’est pas ça. ”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé de comment fédérer sa communauté autour d’un site et d’une boutique plutôt qu’un compte Instagram. De la transformation step by step de média à e-shop de prêt à porter, mais aussi de la nécessaire synergie entre vente en ligne et en boutique.
8 - #8 – LiveMentor : De la place de marché au numéro 1 des écoles en ligne
“On ne cherche pas à créer un funnel facile et sans friction. On cherche à créer un climat de confiance et de ne pas être dans de l’optimisation court terme. On est à l’opposé de la plupart des théories sur le e-commerce”Huitième invité du Panier - et dernier avant le rentré en septembre - Alexandre Dana a fondé en 2013 LiveMentor, première plateforme française de cours et de formations à destination des entrepreneurs.“Le plus gros asset que l’on a aujourd’hui, c’est la communauté de gens qui nous suit. Les élèves, les anciens élèves et les profs avec qui on construit le futur de la boîte .”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé des 3 challenges principaux (technologiques, institutionnels, communautaires) pour une plateforme de formation en ligne, de leur approche bien à eux de l’optimisation et de l'acquisition, mais aussi de conseils sur la communication et le marketing pour lancer son premier livre.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
7 - #7 – Wopilo : De l’importance d’avoir un magicien au service client
“Avoir une expérience client parfaite, c’est un des facteurs clé de la réussite. C’est ce qui détermine qui vous embauchez en premier.”Septième invité du Panier, Florian Deveaux est Chief Marketing Officer de Wopilo. Première marque française d’oreiller innovant qui fusionne l’oreiller à plume traditionnel avec l’oreiller ergonomique, lancée via une campagne de crowdfunding en 2017. “On prône un marketing de la justesse : pas de superlatifs à gogo, mais un focus sur le bénéfice fonctionnel et émotionnel .”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra et host du jour, ils ont parlé de “repeat business” sur un secteur où les actes d’achats sont plutôt espacés, des DNVB du sommeil qui réveillent le marché, de crowdfunding, et surtout de comment construire un service client irréprochable.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.
6 - #6 – Miasun : Vendre un produit d’été toute l’année
“Les premiers modèles sont sortis un an jour pour jour après que l’on ait eu l’idée”Sixième(s) personne(s) à rejoindre notre panier, Valériane Voirin et Hortense de Pontabry sont les fondatrices de Miasun, une marque de tentes de plage nouvelle génération, aussi pratiques qu’esthétiques.“Au moment où on a pris la décision de se lancer , la première action a été de créer le compte Instagram et le site, avant même de trouver des fournisseurs.” Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé de comment passer de l’idée d’origine aux premières commandes, en passant par le prototypage et la recherche de fournisseur en un an montre en main. Mais aussi de l’intérêt de créer une image de marque avant un produit définitif. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par ici si vous préférez Deezer ou par ici si vous préférez Spotify.
5 - #5 – My Little Box : L’effet “Woah”
“Dans le business des box, la plus importante n’est pas la première. C’est la deuxième.”
Cinquième personne à rejoindre notre panier, Ana Webanck est la directrice e-commerce du site My Little Paris qui propose plusieurs box : My Little Box, Gambettes Box et Gina.
“Ce que l’on vend, c’est le moment d’excitation d’ouverture de la box, le temps passé à la déballer.”
Avec Matthieu Stefani, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé de comment profiter d’une réputation déjà établie quand on lance une box, de la “secret sauce” de My Little, de ce qui fait les spécificité de ce secteur, de l’importance de bien choisir les petites mains et de comment se lancer au pays du soleil levant…
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4 - #4 – Asphalte : Le Crowdfunding comme modèle pérenne
“On a réussi à économiser 25 à 30 000€ lors de notre lancement”
Quatrième invité du Panier, Rodolphe Gardies est Chief Marketing Officer d’Asphalte. Un site de vêtements pour homme qui ne vend -quasi - qu’à travers le modèle du crowdfunding.
“Le problème avec la vente en ligne, c’est qu’on vend des idées, des photos, un concept… c’est ce concept qu’on doit faire acheter plus qu’un produit.”
Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra et host du jour, ils ont parlé des KPI’s les plus importants, de la place de l’e-mailing dans les stratégies d’acquisition, mais aussi conseils de lecture et pourquoi tout e-commerçant devrait lire Launch: An Internet Millionaire's Secret Formula to Sell Almost Anything Online, Build a Business You Love, and Live the Life of Your Dreams de Jeff Walker.
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3 - #3 – Epicery : La stratégie ultra-locale
"On est le prolongement d’un métier traditionnel en e-commerce”
La troisième personne à rejoindre notre panier, c’est Elsa Hermal, fondatrice d’Epicery. Un site qui propose d’acheter des produits auprès des petits commerces de quartiers pour se les faire livrer en une heure.
“Comment garantir d’avoir les meilleurs produits alimentaires ? en se reposant sur les meilleurs directeurs des achats du monde, qui sont ces petits commerçant”
Avec Matthieu Stefani, fondateur de CosaVostra, iels ont parlé qualité de service et de produit, de l’importance du bouche à oreilles pour se faire connaître, mais aussi de leur prédiction sur le prochain gros secteur de l’e-commerce…
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2 - #2 – Weezevent : Gestion bon père de famille, croissance à 5 chiffres
“On a connu des business angels qui ne voulaient pas nous donner 15 000 €, mais aussi des opportunités de lever 50 millions que l’on a décliné.”
Le deuxième invité du Panier, c’est Pierre-Henri Deballon, fondateur de Weezevent. Un site qui propose aux organisateurs d’événements de mettre en place billetterie et service cashless.
“On laisse la création de compte gratuite. 10% de nos clients sont des gens qui nous ont connus en participant à un événement, donc c’est une forme d'acquisition assez maligne. ”
Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé de stratégie d’internationalisation, du coût d’acquisition des utilisateurs, et de comment on passe d’une situation où on n’arrive pas à lever de fonds à une autre où on décline les invitations des plus gros fonds américains.
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1 - #1 – Monsieur Tshirt : La stratégie zéro stock
“Il faut être super réactif, si on se dit le concept sera le même dans 10 ans, on se condamne.”
La première personne qu’on a mise dans notre panier, c’est Arnaud Péré, fondateur du site Monsieur TSHIRT. Il a lancé le site comme une marketplace pour d’autres marques, pour passer ensuite à la création d’une marque propre et finir comme producteur de A à Z des produits proposés.
“On a une maîtrise de la production de A à Z, ce qui fait qu’on a un circuit super vertueux, pas de logique de surstock, pas d’invendus, tout ce qui coûte énormément à d’autres marques.”
Avec Matthieu Stefani, fondateur de CosaVostra, ils ont parlé stratégie de production, politique d’acquisition, des basics à ne pas oublier si on veut se lancer ou ne pas mettre la clef sous la porte, mais aussi de quel est le prochain gros secteur de l’e-commerce…
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1 - #0 - Le Panier - CosaVostra
Chez CosaVostra, on aime en apprendre toujours plus sur les sujets qui nous passionnent. L’e-commerce en fait partie ! Alors on a décidé d’aller faire les courses aux bonnes pratiques en créant notre propre podcast sur le sujet. Dans chaque épisode du Panier, on part à la rencontre de personnes qui se sont lancées dans le e-commerce et qui ont pleins de choses à nous enseigner, qu’ils aient décidé de vendre du béton ou du thé, par abonnement ou au détail, en BtoB ou BtoC.
“L’idée est de creuser, de rester en permanence en contact du marché, pour être au courant des tendances, des bonnes pratiques, de ce qui se fait dans le e-commerce.”
Dans cet épisode d’introduction, Matthieu Stefani et Laurent Kretz, fondateurs de CosaVostra, s’apprêtent à partir secouer le e-commerce et nous présentent le podcast un peu plus en détail.
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