11 - Jeanne Gassie Pladepousaux : "Cette nuit-là…"
La voix des Justes - C’est l’histoire d’une famille originaire d'Asson dans les Pyrénées-Atlantiques, les Pladepousaux, maillon d’une chaîne de solidarité qui a permis à une famille juive originaire de Belgique, les Bukspan, d'échapper à la déportation en 1942.
10 - Marie-Antoinette Pallarès : "Une sœur inattendue"
La voix des Justes - C’est l’histoire d’une famille de Montpellier, les Pallarès, qui au mépris du danger, a adopté puis élevé une petite fille juive âgée de deux ans en 1942, Diane Popovsky. Jusqu'à ce que son père, rescapé d'Auschwitz, ne la retrouve en 1948.
9 - Denise Aguadich-Paulin : "Le souvenir en scène"
La voix des Justes - C’est l’histoire de Denise Paulin, originaire de Grenoble dans l’Isère. Avec détermination, faisant fi du danger, la jeune femme a mobilisé ses contacts et ses ressources pour trouver des refuges, des cartes d’alimentation ou de fausses cartes d’identité à des enfants juifs.
8 - Famille Cordier : "Le pont du danger"
La voix des Justes - C’est l’histoire de la famille Cordier, originaire de La Varenne-Saint-Hilaire dans le Val-de-Marne. En 1942, Louis est directeur d’une école du XIe arrondissement de Paris, Pauline, sa femme, est retraitée, et leurs deux enfants adultes, Simone et Georges, vivent encore au domicile parental.
7 - Hélène Duc et sa mère Jeanne : "On ne joue plus"
La voix des Justes - Hélène Duc, jeune comédienne, a permis que cinq personnes soient protégées des persécutions antisémites : son ami le comédien Robert Marx, les parents et la sœur de celui-ci, et la future chanteuse Juliette Gréco. L'histoire se passe en Dordogne, autour de Bergerac, entre 1942 et la Libération.
6 - Marinette Arjac-Toujas : la dernière lettre
La voix des Justes - C'est l’histoire de Marinette Arjac-Toujas, qui, au péril de sa vie, a pris des risques immenses pour sauver de la déportation une jeune fille de 16 ans, Gilberte Polack, fille du directeur d'un sanatorium à Montfaucon-du-Lot, où la jeune femme travaillait comme secrétaire.
5 - Raymonde et Roger Fontaneau : "Revoir la Tour Eiffel"
La voix des Justes - C’est l’histoire de Roger et Raymonde Fontaneau, un couple de professeurs toulousains qui, en 1942, décide d’aider Rachel Sattinger dont le mari a été déporté à Auschwitz. D’abord en donnant des cours particuliers à ses deux enfants, puis en les accueillant, au péril de leur vie, à leur domicile.
4 - Famille Rigaud : "Désobéir pour sauver"
La voix des Justes - C’est l’histoire de Paul-Raymond et Marie-Louise Rigaud, et de leur fille Jacqueline, originaires de Gaillac dans le Tarn, qui sauvèrent d'une rafle Diana Dudelczyk, une jeune fille juive d'origine polonaise, et ses parents.
3 - Marguerite Soubeyran, l’école des libertés
La voix des Justes - En 1929, Marguerite Soubeyran ouvre dans le village de Dieulefit dans la Drôme un lieu d’apprentissage alternatif pour tous les enfants "blessés de la vie", l’école Beauvallon. En juillet 1941, elle accepte d’y inscrire huit enfants juifs pour les cacher.
2 - Henriette Launay et sa fille Henriette : "Le petit sac rouge"
La voix des Justes - Quand en 1940, au moment de l’exode, le maire de Saint-André-de-la-Marche dans le Maine-et-Loire lance un appel aux habitants pour loger les réfugiés qui fuient l'occupant allemand, Henriette Launay et sa fille de 19 ans acceptent d’héberger Mireille Prymak et son bébé de deux mois, Edith.
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