9 - De Gaulle contre le parti communiste : complots et manœuvres pour libérer Paris
Début 1944 le général de Gaulle après une épopée pleine de rebondissements est enfin à la tête d’un gouvernement provisoire de la République française. Son destin politique qu’il a construit dans l’adversité se profile enfin : il aspire à diriger la France libérée.
Mais plus la libération se rapproche, plus sa légitimité est à nouveau contestée : il est pris en étau entre les Américains qui se méfient de lui et le Parti communiste dont Charles de Gaulle craint un coup de force à Paris. Pour tenter de se tirer de ce mauvais pas, il aura recours à toutes les expédients possibles : la ruse, le coup de bluff et les manœuvres les plus audacieuses…
8 - De Gaulle contre les Américains : les coups tordus de la bataille d’Alger
A la fin de l’année 1940, le général de Gaulle est dans une mauvaise passe ; ses relations avec les Anglais et Winston Churchill ne font que se détériorer. Mais comme il l’avait prévu, le conflit se mondialise et il parie sur des circonstances qui lui seront plus favorables. En juin 1941 les Nazis attaquent l’Union soviétique. Et en décembre de la même année, un événement de portée internationale rebat les cartes…
7 - De Gaulle contre les Anglais : s’imposer à Churchill face à Pétain
Après la défaite de 1940, la plupart des Français se résignent dans un premier temps à la politique pétainiste de collaboration avec les Allemands.
Sauf une poignée de rebelles dont le premier d’entre eux : un certain général de Gaulle. Il rompt tous les ponts avec sa hiérarchie, décide de s’exiler en Angleterre pour continuer le combat.
Mais pas seulement, il a aussi de grandes ambitions politiques. Il veut jouer sa carte, et prendre la tête de la France, de la France libérée lorsque les nazis en seront chassés.
Pour y parvenir, il ne devra pas ferrailler uniquement contre les Allemands ; mais aussi, plus étonnant, s’opposer aux Anglais, aux Américains et en France au parti communiste. Voici le récit de cette lutte fratricide où tous les coups furent permis.
7 - De Gaulle contre les Anglais : s’imposer à Churchill face à Pétain
Après la défaite de 1940, la plupart des Français se résignent dans un premier temps à la politique pétainiste de collaboration avec les Allemands.
Sauf une poignée de rebelles dont le premier d’entre eux : un certain général de Gaulle. Il rompt tous les ponts avec sa hiérarchie, décide de s’exiler en Angleterre pour continuer le combat.
Mais pas seulement, il a aussi de grandes ambitions politiques. Il veut jouer sa carte, et prendre la tête de la France, de la France libérée lorsque les nazis en seront chassés.
Pour y parvenir, il ne devra pas ferrailler uniquement contre les Allemands ; mais aussi, plus étonnant, s’opposer aux Anglais, aux Américains et en France au parti communiste. Voici le récit de cette lutte fratricide où tous les coups furent permis.
6 - L’effondrement du pouvoir politique et l’armistice
L’armée française a craqué devant Sedan, les Allemands avancent si vite qu’ils provoquent une panique sans précédent dans la population civile. Des millions de réfugiés qui abandonnent tout, se replient vers la Loire en provoquant d’immenses embouteillages. Le chaos est tel que le gouvernement est pris de doute. Il se divise entre les tenants de la lutte jusqu’au bout et les partisans de l’armistice dirigés par un vieux maréchal mais au prestige inégalé : Philippe Pétain. Il va intriguer pour se faire nommer chef du gouvernement, en profitant de la panique qui règne sur les routes de France.
5 - La percée de Sedan et le tragique exode des civils
En moins de 4 jours, après une folle traversée des Ardennes, les Allemands arrivent devant la Meuse à Sedan. Tout va se jouer ici. Tant qu’ils ne l’ont pas traversée, la France peut encore stopper l’invasion surprise. Mais si les blindés allemands franchissent le fleuve, il n’y a plus aucune armée pour leur barrer la route de Paris…
4 - La folle traversée des Ardennes
Paris, 14 Juillet 1939. La république commémore les 150 ans de la Révolution Française. Un des personnages clé de l'incroyable tragédie qui commence prend la parole, le président de la république, Albert Lebrun. 45 jours avant l'entrée en guerre avec l'allemagne, la république s'offre un de ses plus beaux défilés.
3 - Septembre 1939 devons-nous attaquer les premiers ?
Septembre 1938, la France est sur le point de déclarer la guerre à l’Allemagne pour protéger la Tchécoslovaquie. Mais à la toute dernière minute, les Anglais acceptent le principe d’une ultime conférence pour la paix à Munich. Faut-il y aller ou pas ? Doit-on toujours négocier avec les nazis ?
2 - Septembre 1938 : faut il faire la guerre pour la Tchécoslovaquie ?
Deux ans après l’affaire de la Rhénanie, la France ne peut plus ignorer l’expansionnisme hitlérien. En mars 1938 l’Allemagne nazie annexe l’Autriche. Et elle vise ensuite la Tchécoslovaquie. Or Paris s’est engagé à la défendre. Et on l’a un peu oublié depuis mais la France a failli déclarer la guerre à Hitler dès septembre 1938.
1 - Mars 1936, la France a-t-elle manqué une occasion ?
Samedi 7 mars 1936 Hitler tente un coup de poker. Il remilitarise la Rhénanie, cette région proche des frontières françaises et belges. C’est une violation gravissime des traités internationaux. Si la France réagit et attaque, le Führer sait qu’il sera vraisemblablement battu en Rhénanie. Ce serait son premier grand échec politique et international. Face à la première armée d’Europe, il ne pèse alors pas lourd. Et pourtant la France ne bougera pas. Voici les vraies raisons d’une tragique passivité.